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Apple dépend de plus en plus de Samsung pour la mémoire vive des iPhone

Si Apple n'a pas encore augmenté ses prix sur la mémoire vive — qui sont plus élevés que la moyenne en temps normal —, la RAMpocalypse commence à poser un problème. Selon The Korea Economic Daily, Samsung fournit environ 60 à 70 % des puces de mémoire LPDDR5 des iPhone 17. Dans les iPhone précédents, SK Hynix, un autre fabricant majeur de mémoire, fournissait une plus grande partie de la mémoire.

Samsung fournit beaucoup de LPDDR5. Image Samsung.

La raison principale est simple : tant Micron que SK Hynix ont choisi de produire de la mémoire HBM (employée dans les cartes intégrées dans les serveurs pour l'IA) au détriment de composants comme la LPDDR des smartphones et autres ordinateurs. Mécaniquement, Samsung a donc récupéré une partie de ce marché, car la société coréenne n'a pour le moment pas décidé de diminuer drastiquement sa production.

les puces A nécessitent des composants spécifiques. Images iFixit.

Le problème, selon nos confrères, est qu'Apple demande de la mémoire avec des spécifications très précises. Les iPhone et autres Mac utilisent de la mémoire LPDDR rapide (le MacBook Pro M5 utilise de la LPDDR5X-9600) et Apple veut de la mémoire d'une excellente qualité, sans variations sur la production. Les contrôleurs mémoire des systèmes sur puce sont très sensibles à la qualité de la tension des puces, et donc la production doit être parfaite. Visiblement, Samsung est le seul fabricant capable de fournir de la mémoire adéquate en volume : Micron a fait le même choix que SK Hynix et se concentre sur la HBM et CXMT, le quatrième fabricant majeur (et chinois), est techniquement très en retard sur les autres.

Quel pourrait être l

Quel pourrait être l'impact de la RAMpocalypse sur Apple ?

Dans la pratique, toute la question reste celle de l'impact du prix de la mémoire sur celui de nos appareils. Et l'inconnue principale est le prix qu'Apple paye pour la mémoire : sur les marchés classiques, les composants nécessaires pour 12 Go de LPDDR5 (la quantité présente dans les iPhone Air et 17 Pro) valent actuellement plus de 70 $, contre environ 30 $ en début d'année. Mais Apple ne paye a priori pas ce prix, en tout cas pour le moment.

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Amazon brade ces docks Thunderbolt 4 et 5 à -30% : parfaits pour les Mac !

Vous vous sentez à l'étroit sur votre Mac et avez besoin de disposer de davantage de ports ? Il sera peut-être intéressant d'ajouter un dock Thunderbolt à votre arsenal. L'accessoiriste Ugreen propose justement deux modèles en Thunderbolt 4 et Thunderbolt 5 actuellement en promotion et capables de répondre à de nombreux besoins
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Après Spotify et Apple Music, ChatGPT aussi lance son bilan de fin d’année

Après Spotify, Tesla, Discord ou encore la SNCF, c’est au tour de ChatGPT de lancer son bilan annuel. Le service propose d’obtenir un aperçu des thèmes abordés et des statistiques relatives aux discussions de l'année. La nouveauté n’est malheureusement pas disponible en France pour le moment étant donné qu’elle est réservée aux États-Unis, au Royaume-Uni, au Canada, à la Nouvelle-Zélande et à l'Australie.

Your Year with ChatGPT!

Now rolling out to everyone in the US, UK, Canada, New Zealand, and Australia who have reference saved memory and reference chat history turned on.

Just make sure your app is updated. pic.twitter.com/whVkS1qxKu

— OpenAI (@OpenAI) December 22, 2025

Comme ses petits camarades, OpenAI propose de nombreux graphiques illustrant les statistiques d’utilisation du service. L’entreprise a également ajouté un système de « récompenses » en fonction de l’utilisation du tchatbot tout au long de l'année (des sortes de succès, comme « débuggeur créatif »). Ce bilan se termine par un poème et une image liés à vos centres d'intérêt.

La nouveauté est disponible pour les utilisateurs de l’app l’ayant mis à jour : ils devraient voir apparaître une bannière proposant ce récap’ dès le lancement. Il est sinon possible de directement demander à ChatGPT de l’afficher (cela ne fonctionne pas en France, j’ai essayé).

À noter que ce récapitulatif annuel repose sur les données déjà enregistrées par ChatGPT tout au long de l’année : seules les conversations prises en compte par l’historique et la mémoire peuvent alimenter ces statistiques, ce qui explique pourquoi certains utilisateurs peuvent se retrouver avec un bilan incomplet. Rien ne s'affiche si les deux fonctions sont désactivées.

Image OpenAI.

Sur un autre registre, OpenAI a récemment ajouté un petit easter egg à ChatGPT. Il suffit d’envoyer l’émoji cadeau ( ) au bot pour voir apparaître une invite proposant d’envoyer un selfie. Le service génère alors une courte vidéo via Sora 2 dans laquelle le père Noël vous apporte un cadeau. La nouveauté fonctionne chez moi alors que Sora 2 n’est pas officiellement disponible en France.

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Un des créateurs de Call of Duty décède dans un accident tragique

L’industrie du jeu vidéo est sous le choc. Vince Zampella, figure majeure du secteur et producteur derrière des franchises emblématiques comme Apex Legends, Titanfall, Call of Duty ou plus récemment Battlefield 6, est décédé à l’âge de 55 ans dans un accident de la route en Californie.
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Cloudflare : Apple sur la troisième place du podium des services Internet en 2025

Cloudflare, l'un des plus grands fournisseurs d'infrastructures Internet au monde, vient de publier son rapport annuel analysant les tendances de l’année. Apple s’en sort bien étant donné qu’elle occupe la troisième place du classement des services Internet, qui liste les principaux services en ligne en fonction de leur popularité à partir des données DNS de Cloudflare. La Pomme se trouve donc désormais juste derrière Google et Facebook.

Image Cloudflare

Le rapport explique qu’Apple est restée solidement accrochée à la 3e place pendant la majeure partie de l’année, une place qu’elle a décroché en dépassant TikTok. Elle s’est ensuite fait concurrencer par Microsoft certains jours d’été, mais malgré ces échanges de places, elle conserve la médaille de bronze. Pendant ce temps, TikTok a reculé à la 8e place tandis que Microsoft a progressé par rapport à 2024.

Le poids d’Apple.com ne se limite pas au site vitrine étant donné qu’il sert de porte d’entrée à une constellation de services. Cloudflare précise d’ailleurs que d’autres domaines Apple (notamment iCloud) sont comptabilisés indépendamment.

Côté mobile, Cloudflare estime que les appareils iOS génèrent 35 % du trafic mobile mondial en 2025, un chiffre en légère hausse sur un an (+2 points). En face, Android affiche 65 %. Si Monaco fait figure d’ovni avec une part iOS très élevée (70 %), de nombreux pays comptent plus de 90 % d’appareils Android.

L'évolution sur l'année. Image Cloudflare

Quelques chiffres intéressants sont à noter, comme le fait que le trafic mondial a augmenté de 19 % sur 2025 ou que celui de Starlink a tout bonnement doublé. Google reste le moteur de recherche numéro un, suivi respectivement (et de très loin) par Bing, Yandex, Baidu et DuckDuckGo. L'Europe domine le monde en termes de vitesse et de qualité d'Internet avec les vitesses de téléchargement moyennes les plus élevées, l’Espagne se positionnant en première place du classement.

Deux tiers du trafic provenaient de Chrome en 2025, le Safari d'Apple se situant en deuxième place avec 15,4 % des parts de marché. Les deux navigateurs sont suivis par Microsoft Edge (7,4 %), Mozilla Firefox (3,7 %) et Samsung Internet (2,3 %). Safari reste de loin le plus populaire sur iOS : moins de 1 % des requêtes sont issues de DuckDuckGo, Firefox ou du chinois QQ Browser.

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7 bonnes raisons de s’offrir un VPN

Les VPN sont quasiment tout le temps en promotion, mais c’est à cette période de l’année que les tarifs deviennent véritablement indécents. Si les technophiles sont déjà équipés depuis belle lurette, d’autres hésitent encore à franchir le pas. Voici pourquoi vous devriez (enfin) sauter le pas.

Pour surfer enfin en toute sécurité

L’argument de la sécurité sur les Wi-Fi publics commence à dater, même s'il reste une base d'hygiène numérique indispensable. Mais l’intérêt d’une suite comme celle de Surfshark, c’est d'aborder la question dans sa globalité.

Plutôt que de se contenter d’un simple tunnel chiffré, l'éditeur propose une solution complète : un antivirus pour bloquer les logiciels malveillants, des outils de lutte contre le phishing ainsi que la fonction Alternative ID. Cette dernière permet de protéger votre identité en créant des alias, évitant ainsi que votre boîte mail principale ne finisse noyée sous le spam. Là où certains ne vendent qu'une brique technique, d'autres proposent désormais un véritable bouclier numérique.

Pour un Web (enfin) plus respirable

Sur certains points, on serait tenté de dire que l’Internet, c’était mieux avant. Aujourd'hui, le web est devenu une foire d’empoigne où les traqueurs vous suivent à la trace et où la publicité est devenue, n'ayons pas peur des mots, omniprésente.

Pour reprendre un peu le contrôle, la fonction de blocage intégrée au VPN est un allié redoutable. Ici, le travail de filtrage n’est pas effectué par votre machine, mais directement par les serveurs de Surfshark. Les avantages sont immédiats : vous économisez de la bande passante (un vrai plus en mobilité), vos pages s’affichent bien plus vite et, surtout, la protection s'étend à tous vos appareils, pas seulement à votre navigateur. C’est la fin des bannières intrusives, même au sein de vos applications mobiles.

Faire sauter les barrières virtuelles

Internet a été pensé comme une fenêtre ouverte sur le monde, une utopie sans frontières. Malheureusement, entre les querelles de droits et le maquis des réglementations, cette fenêtre ressemble chaque jour un peu plus à une porte close.

C’est le quotidien : cette vidéo YouTube indisponible, ce site US qui vous bloque à cause du RGPD, ou ces fonctions d'IA qui restent bloquées à la frontière européenne. Pour ne plus regarder le web par le petit bout de la lorgnette, enfilez votre cape d’invisibilité : avec Surfshark, vous vous « télétransportez » virtuellement dans plus de 100 pays en un clic.

Protéger ses données... et son portefeuille

S'offrir un VPN coûte souvent moins cher qu'un café en terrasse, mais c'est un investissement qui se rentabilise vite. L'outil permet de déjouer le « dynamic pricing », ces algorithmes qui gonflent les prix selon votre localisation ou le prestige de votre appareil.

L'exemple des locations de voiture est flagrant : les loueurs ajustent souvent leurs tarifs à la hausse si vous réservez depuis une grande capitale. En déplaçant votre curseur, les prix retrouvent leur sens commun. Même logique pour les services numériques (YouTube, Canva, streaming) dont les tarifs font le grand écart d'un continent à l'autre. L’abonnement « plein pot » n’est plus une fatalité.

Le peering, ce frein invisible

Il y a aussi la question, agaçante, du peering. Vous avez la fibre, un Mac de compétition, et pourtant, cette vidéo YouTube s’obstine à mouliner ou la mise à jour de macOS semble peser trois tonnes.

La faute à des accords d’interconnexion grippés entre votre opérateur et les serveurs de Google ou d’Apple. En chiffrant votre trafic, le VPN rend votre activité illisible pour votre FAI. Il ne sait plus si vous téléchargez un fichier système à Cupertino ou si vous regardez un stream. Résultat : vous contournez les bridages arbitraires et retrouvez enfin le débit pour lequel vous payez chaque mois.

Pour ceux qui veulent tester les nouveautés en premier

C’est le péché mignon de tout technophile qui se respecte : vouloir tester la nouveauté avant tout le monde. On ne compte plus les services, les plateformes de cloud-gaming ou les applications qui sortent d'abord aux États-Unis ou au Japon, laissant l'Europe sur le banc de touche pendant des mois.

Le VPN devient alors votre passeport pour ne plus subir le bon vouloir des déploiements progressifs. Que ce soit pour créer un compte sur un nouveau réseau social en vogue ou pour essayer des fonctions logicielles encore limitées géographiquement, vous n'avez plus besoin d'attendre qu'un obscur comité de validation daigne ouvrir les vannes pour le Vieux Continent. On change de pays en un clic, et le web s'aligne enfin sur votre curiosité.

Emporter sa télévision dans sa valise

Ceux qui voyagent souvent connaissent bien cette frustration. Vous payez vos impôts et votre redevance (ou vos abonnements premium) en France, mais dès que vous franchissez la frontière, vos services de Replay ou vos applications de streaming préférées vous claquent la porte au nez.

« Ce contenu n'est pas disponible dans votre région » : voilà le message qui vient gâcher votre soirée à l'hôtel. En utilisant Surfshark, vous « rentrez à la maison » virtuellement. Vous retrouvez votre JT de 20h, vos compétitions sportives sur les chaînes nationales ou votre catalogue Netflix habituel, exactement comme si vous étiez dans votre canapé. C’est le confort de la maison, partout dans le monde.

Prendre un VPN, oui mais lequel ?

Si l’offre est pléthorique, Surfshark a su se tailler une place de choix, notamment chez les utilisateurs Apple. Pourquoi lui plutôt qu’un autre ? D’abord pour son intégration exemplaire : l’application est disponible sur tous les terminaux d’Apple, y compris l’Apple TV. Depuis que tvOS 17 a ouvert les vannes, l’éditeur y propose une application native d'une simplicité désarmante pour débloquer les catalogues de streaming directement sur le téléviseur du salon, sans passer par des réglages réseau abscons.

L’autre point fort, c’est son pragmatisme. Là où la concurrence s’amuse à compter le nombre de vos appareils, Surfshark l’ignore superbement. Vous pouvez installer le service sur un nombre illimité d’appareils : du Mac Studio de compétition au vieil iPad qui traîne dans la cuisine, sans oublier l’iPhone de chaque membre de la famille. Un seul compte pour tout le foyer, sans aucune restriction de connexions simultanées.

Et bonne nouvelle : pour les fêtes de fin d’année, Surfshark fait fondre ses tarifs. L’abonnement Surfshark One tombe à 61,83 € HT (74,2 € TTC), avec trois mois offerts en prime. De quoi surfer l’esprit tranquille jusqu’en mars 2028 pour seulement 2,74 € par mois !.

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Flambée de la mémoire : les SSD Studio Drive bientôt touchés par une hausse de prix

En raison de la flambée des prix des mémoires NAND causée par le secteur de l'IA, les Studio Drive vont bientôt voir leurs tarifs augmenter. La boutique française Polysoft prévient sur son site qu’elle appliquera « la plus faible augmentation de prix possible (inférieure à 10 %) » quand elle rouvrira les commandes d’ici la fin décembre.

Tarifs actuels des Studio Drive

Les Studio Drive sont des SSD tiers qui permettent d’étendre la capacité de stockage d’un Mac Studio à un coût largement inférieur à ce que demande Apple. Par exemple, le Studio Drive M4 (pour Mac Studio M4) de 4 To est vendu 769 € et celui de 8 To 1 079 €, quand ces capacités sont facturées respectivement 1 500 € et 3 000 € sur l’Apple Store.

Les performances sont équivalentes à celles des barrettes Apple puisqu’il s’agit de la même mémoire flash et le fonctionnement est parfaitement transparent. Un second Mac est obligatoire pour effectuer le changement de SSD. Vous trouverez davantage de détails dans notre test de ce composant conçu par le spécialiste Gilles Aurejac :

Studio Drive : comment j’ai remplacé le SSD de mon Mac Studio au nez et à la barbe d’Apple

Studio Drive : comment j’ai remplacé le SSD de mon Mac Studio au nez et à la barbe d’Apple

Quel pourrait être l

Quel pourrait être l'impact de la RAMpocalypse sur Apple ?

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Une simple panne de courant a suffi à bloquer les robotaxis d'une ville entière !

Ce weekend il régnait comme une ambiance de fin du monde. En effet, un incendie s'est déclaré dans une sous-station électrique de Pacific Gas & Electric (PG&E). Malheureusement, celui-ci a provoqué une panne de courant majeure à San Francisco, plongeant des centaines de milliers de foyers et d’entreprises dans le noir.
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Avec iOS 26.3, tous les écouteurs auront "quelque chose" des AirPods

La Commission européenne salue une nouvelle fois les effets du DMA sur l’écosystème Apple. Avec iOS 26.3, Cupertino introduit en effet des changements majeurs en matière d’interopérabilité, réservés exclusivement à l’Union européenne. Bruxelles entend en effet offrir aux accessoires tiers des capacités jusqu’ici réservées aux produits Apple, à commencer par les AirPods et l’Apple Watch.
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AirPods Pro 3 : des clones d’embouts déjà en vente dans le commerce

Cela n’a pas traîné. On trouve d’ores et déjà des clones d’embouts pour AirPods Pro 3 sur Amazon. C’est d’ailleurs l’un des points sur lesquels on manque encore de recul : leur durée de vie.

Quoi qu’il en soit, vous avez le choix. Apple facture 10 € le pack de 2 jeux d’embouts. Il vous faut choisir votre taille : S, M ou L. Au même prix, la concurrence propose un package de 5 tailles, allant du XXS au L, incluant un kit de nettoyage, le tout dans un étui portable.

Un autre fabricant propose un jeu de 4 embouts pour 12 €. Là aussi, ce pack est livré avec un kit de nettoyage. La seule différence tient au fait que vous pouvez choisir précisément votre taille d’embouts.

On rappellera que ces embouts sont uniquement compatibles avec les AirPods Pro 3. Un bon maintien dans les oreilles est plus que jamais indispensable, non seulement pour l’écoute de la musique, mais aussi pour une mesure précise de la fréquence cardiaque.

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Bon plan : les quatre traceurs Ugreen Localiser rechargeables en USB-C à 26 €, le prix le plus bas

Pour le prix d’un seul AirTag, vous pouvez avoir quatre traceurs Bluetooth qui s’intègrent également à l’application Localiser d’Apple. Le lot de quatre balises Ugreen FineTrack est en effet en promotion à 25,79 € sur Amazon pour une durée limitée. C’est le prix le plus bas à ce jour. Le lot est généralement vendu autour de 30 €.

Ces trackers ressemblent beaucoup à un autre modèle de Ugreen que nous avons testé récemment, mais il y a une différence significative : pas de pile ici, c’est une batterie qui alimente le petit carré. Le fabricant promet une autonomie d’un an et la recharge s’effectue via un simple câble USB-C. Un petit câble USB-A vers USB-C est d’ailleurs fourni.

Chaque traceur dispose d’une encoche pour porte-clés et d’une alarme sonore de 80 dB. Ils permettent donc de retrouver des objets depuis l’application Localiser disponible sur iPhone, iPad ou encore Mac. Face aux AirTags, il leur manque juste la localisation précise (pour être guidé exactement vers eux quand on se trouve à proximité), qui est une exclusivité d’Apple. Pour retrouver une valise ou une voiture, par exemple, cette absence n’a toutefois rien de réellement pénalisant.

Les balises compatibles avec le réseau Localiser d’Apple permettent véritablement de réduire le nombre de bagages définitivement perdus quand les compagnies aériennes en tirent parti.

Dans les aéroports, les AirTags font chuter drastiquement le nombre de bagages définitivement perdus

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Le guide 2025 des accessoires Localiser : les meilleurs traqueurs pour tout retrouver

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Donnez une note à iOS 26

C’est l’heure des bilans. Comme chaque année, on vous propose de donner une note à iOS 26.

Les versions d’iOS se suivent et, souvent, se ressemblent. Qu’on l’aime ou qu’on ne l’aime pas, iOS 26 restera dans les annales pour au moins deux raisons : sa toute nouvelle interface Liquid Glass et sa numérotation, qui marque une vraie césure avec iOS 17, son prédécesseur.

Les nouveautés d’iOS 26 et iPadOS 26 à ne pas rater

Les nouveautés d’iOS 26 et iPadOS 26 à ne pas rater

Tout comme le flat design en son temps, Liquid Glass n’a pas que des fans. Difficile de comparer des époques et des sensibilités, mais il semble que la nouvelle expression graphique d’Apple ait été globalement mieux acceptée. Il faut dire qu’Apple n’a cessé de jouer avec les curseurs au fil des bêtas et des mises à jour pour trouver un compromis plus digeste. Autre différence avec l’époque du flat design : cette fois, les développeurs ne se sont pas rués pour adapter leurs apps. Et Apple, sur le sujet, est loin d’être irréprochable.

Image : Apple

iOS 26, ce n’est pas que Liquid Glass. Apple a entièrement revu son application Téléphone, qui protège mieux des appels indésirables. Les applications de base, comme Messages, Rappels, Photos ou encore Musique, ont elles aussi reçu leur lot de nouveautés. Enfin, iOS 26 accueille de nouvelles apps, à commencer par Jeux et Aperçu.

Alors, la question est simple : êtes-vous satisfait d’iOS 26 ? Quelle note lui donnez-vous ?

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Prévoyez un peu plus de 15 000 € pour avoir tout Spotify en local

Spotify a donc fait l’objet d’un piratage massif. Passons sur le fond de l’affaire, pourtant fort intéressant : les responsables de cette attaque affirment avoir voulu créer la première « archive de préservation » musicale au monde, entièrement ouverte. Le discours est peut-être hypocrite, mais il faut reconnaitre que c’est un vrai souci…

La base de données de Spotify aspirée par des pirates, 300 To de musique dans la nature

La base de données de Spotify aspirée par des pirates, 300 To de musique dans la nature

On a tous connu cette frustration : un morceau que l'on écoute en boucle depuis des mois devient soudainement inaccessible pour de sombres raisons de droits ou de renégociations de contrats. Dans le cloud, nous ne sommes que locataires, et le propriétaire peut changer la serrure sans prévenir.

300 To de musique dans la nature

À peu de chose près, les catalogues des services de streaming sont aujourd'hui comparables. Spotify, c’est donc quelque 86 millions de morceaux qui pèsent environ 300 To de stockage. À force d’être habitués à pouvoir tout streamer depuis le fin fond de la pampa avec une simple connexion 5G, on finit par perdre certains ordres de grandeur.

La base de données de Spotify aspirée par des pirates, 300 To de musique dans la nature

La base de données de Spotify aspirée par des pirates, 300 To de musique dans la nature

Alors, 300 To, c’est évidemment énorme comparé aux malheureux 256 Go d’un iPhone 17. Mais ce qui est amusant, c’est de se dire qu’un collectionneur un peu « frappadingue » pourrait très bien héberger chez lui toute la musique du monde, à condition d’avoir un budget stockage un peu plus conséquent que la moyenne.

Un NAS de compétition sous le sapin

Pour stocker une telle bibliothèque, la solution la plus sage est de se tourner vers un NAS 16 baies. Dans ce segment, les prix oscillent généralement entre 3 000 et 6 000 € pour le boîtier nu. On lorgnera du côté des Synology RS2825RP ou RS4021xs, ou encore du QNAP TS-1673AU-RP. Quoi qu’il en soit, prévoyez une pièce isolée : l'ensemble est particulièrement bruyant en pleine charge.

Le Synology RackStation RS2825RP

Avec 16 disques de 24 To, ce système afficherait une capacité brute de 384 To. C'est largement suffisant pour notre cahier des charges, tout en permettant une configuration en RAID 6 pour limiter les risques de perte de données si un (ou deux) disque(s) venait à rendre l'âme.

La facture grimpe vite

Le gros du budget, ce sont évidemment les disques. Et la poussée inflationniste provoquée par le boom de l’IA n’arrange rien aux affaires des particuliers. Pour remplir la bête, il faut compter 16 unités de 24 To. En choisissant des Seagate Exos X24, vendus environ 700 € pièce, on arrive à un total de 11 200 €, rien que pour le stockage.

À cela, il faut ajouter quelques barrettes de RAM supplémentaires pour le NAS, une armoire serveur pour ranger tout cela et un onduleur sérieux pour protéger l'investissement, soit environ 1 300 € de plus.

Bref, en se débrouillant bien, il faut prévoir un budget minimal de 15 500 €. N'est-ce pas un beau cadeau de Noël à faire à un audiophile radical ? Reste une dernière inconnue, et non des moindres : trouver un logiciel capable de gérer une base de données de 86 millions de morceaux sans tousser. À ce petit jeu, on ne donnerait pas cher de la peau d’iTunes !

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Apple a LA solution pour plier l'iPhone à l'infini

Apple poursuit discrètement le développement de son premier iPhone pliable, et la pliure au centre de l’écran reste l'objet de tous les tests. Selon de nouvelles informations venues de Chine, la firme expérimenterait toujours une technologie avancée de verre ultra-fin flexible afin de rendre cette pliure quasiment invisible à l’usage.
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DMA : les AirPods vont perdre un peu de leur magie avec iOS 26.3

Sous la pression de Bruxelles, iOS 26.3 marquera une étape symbolique forte en Europe. La firme de Cupertino va devoir partager ses technologies de proximité, permettant aux constructeurs tiers d'offrir une expérience de connexion aussi fluide que celle des AirPods.

iOS 26.3 bêta 1 : découvrez toutes les nouveautés

iOS 26.3 bêta 1 : découvrez toutes les nouveautés

Sous la houlette du Digital Markets Act (DMA), la sortie d’iOS 26.3 apportera trois changements majeurs sur le Vieux Continent. Apple facilitera le transfert de données depuis ou vers Android, tandis que le système offrira une meilleure prise en charge des notifications vers d'autres montres que l’Apple Watch. Mais le changement peut-être le plus visible au quotidien concerne l’appairage simplifié : jusqu'ici jalousement réservé aux produits « maison », il s'ouvre enfin à la concurrence.

Image : Sophia Stark / Unsplash

Le « pop-up » magique pour tout le monde

Le DMA impose à Apple de fournir aux accessoires tiers les mêmes capacités et le même accès aux fonctionnalités système que ses propres produits. Avec iOS 26.3, les fabricants de wearables opérant dans l'UE peuvent désormais tester l'appairage de proximité.

Concrètement, des écouteurs de marques tierces pourront s'appairer à un iPhone ou un iPad à la manière des AirPods : il suffira d'approcher l'accessoire de l'appareil pour voir surgir la célèbre carte d'appairage en bas de l'écran. Finies les fouilles archéologiques dans les méandres des réglages Bluetooth ; un simple tap suffira.

Une mise en œuvre qui reste à confirmer

Pour que la magie opère, les fabricants de casques et d’écouteurs devront sans doute faire évoluer le firmware de leurs appareils pour prendre en charge cette fonctionnalité. Il sera intéressant de voir si les constructeurs se jetteront sur cette opportunité ou s’ils jugeront l'investissement superflu compte tenu de la contrainte géographique (l'UE uniquement).

Pour l’heure, la théorie se heurte encore à la pratique : nous avons tenté d’utiliser cette fonction avec des écouteurs Shokz sur un iPhone équipé de la bêta d’iOS 26.3, sans succès pour le moment. Rappelons que cette version est attendue pour fin janvier.

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Apple encore condamnée à une amende en Europe pour son dispositif d’encadrement du pistage sur iOS

L’autorité italienne de la concurrence (AGCM) a annoncé, ce lundi 22 décembre, avoir infligé une amende de 98,6 millions d’euros à Apple. En cause : la mise en œuvre de la fonctionnalité App Tracking Transparency (ATT), jugée contraire aux règles de concurrence.

Selon l’AGCM, l’entreprise abuse de sa position dominante dans la distribution des applications iOS en imposant une mesure jugée « disproportionnée ». Introduit non sans polémique dans iOS 14.5, l’encadrement du pistage oblige les développeurs à demander explicitement aux utilisateurs l’autorisation de suivre leur activité entre différentes applications s’ils veulent personnaliser les pubs.

« Or, ces demandes ne répondent pas aux exigences de la législation sur la protection de la vie privée, obligeant les développeurs à doubler la demande de consentement pour le même objectif », observe l’autorité italienne. Dans les faits, il n’est en effet pas rare de voir apparaître deux sollicitations distinctes : la fenêtre ATT intégrée à iOS ainsi qu’un panneau de gestion des cookies (CMP) similaire à ceux utilisés sur le web.

Deux demandes de consentement consécutives : la CMP suivie de l’ATT. Image iGeneration.

« Par conséquent, cette double exigence de consentement est préjudiciable aux développeurs, dont le modèle économique repose sur la vente d'espaces publicitaires, ainsi qu'aux annonceurs et aux plateformes d'intermédiation publicitaire », conclut l’AGCM, qui a mené cette enquête conjointement avec la Commission européenne.

« L’autorité italienne de la concurrence adopte ses décisions de manière indépendante. Sa décision ne s’applique qu’à l’Italie et non aux autres États membres ou à l’UE dans son ensemble », a tenu à préciser un porte-parole de la Commission à Euractiv, alors que le torchon brûle depuis des années entre Apple et Bruxelles.

La Pomme va faire appel de la décision. « Nous sommes fermement en désaccord avec la décision de l’ICA [l’autorité italienne de la concurrence], qui fait abstraction des importantes protections de la vie privée qu’offre l’ATT au profit des entreprises de l’ad-tech et des courtiers en données qui souhaitent un accès sans entrave aux données personnelles des utilisateurs », a déclaré un porte-parole.

Apple a déjà été condamnée en France à une amende de 150 millions d’euros en mars pour des motifs similaires. Bien qu’elle ait fait appel, cette décision l’a contrainte à afficher un message d’information sur la page d’accueil de son site. N’ayant pas modifié son mécanisme, les acteurs de la publicité en ligne ont de nouveau saisi la justice début décembre, demandant au juge des référés de suspendre le dispositif sous peine de fortes astreintes. Le verdict est attendu pour la fin du mois de janvier, selon mind Media.

En Allemagne aussi l’App Tracking Transparency est dans le viseur. L’autorité locale de la concurrence a fait part de préoccupations comparables dans ses conclusions préliminaires. Face à ces multiples ennuis judiciaires en Europe, Apple avait menacé, en octobre dernier, de retirer purement et simplement cette fonctionnalité.

Apple : la fin annoncée du panneau “Autoriser le suivi” (ATT) en Europe ?

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Bouygues Telecom « étudie » la prise en charge de l’Apple Watch

Depuis que Free a adopté l’Apple Watch, une question se pose : et Bouygues Telecom alors ? Des quatre opérateurs français, il n’y a plus que lui qui boude la montre d’Apple. Nous avons donc interrogé le dernier réticent sur une éventuelle compatibilité avec l’Apple Watch cellulaire. Réponse de l’opérateur : « Bouygues Telecom étudie actuellement la possibilité de pouvoir proposer la eSim (sic) à ses abonnés détenteurs d’une Apple Watch. »

Image whity (CC BY)

Il y a deux lectures possibles. Le verre à moitié plein, c’est qu’il ne s’agit plus d’un refus catégorique, comme Bouygues Telecom en opposait encore par le passé — en 2018, ça remonte tout de même. La porte est donc ouverte à l’arrivée d’un forfait dédié.

Le verre à moitié vide, c’est que la réponse ne déborde pas d’enthousiasme et qu’aucun calendrier n’est avancé. Certes, Bouygues Telecom n’a pas pour habitude de faire des annonces spontanées à la manière de Xavier Niel, mais un signal un peu plus clair ne ferait pas de mal vu la situation.

Orange a été le premier opérateur à gérer les Apple Watch cellulaires, et ce dès 2017, année de lancement de la Series 3, qui a inauguré ce type de connexion. SFR lui a emboîté le pas deux ans plus tard. Free Mobile s’y est mis pas plus tard que la semaine dernière, avec un argument important pour se faire pardonner : l’eSIM est proposée sans surcoût avec tous ses forfaits 5G, quand les autres la font payer 5 €/mois, sauf à posséder un forfait mobile très cher.

Free Mobile adopte enfin l’Apple Watch, avec une option gratuite pour ses abonnés 5G

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Concernant Free, Xavier Niel avait expliqué l’année dernière qu’il n’y avait pas (ou plus) d’obstacle technologique. Le dernier point de blocage concernait alors les négociations avec Apple, qui impose à ses partenaires de distribuer la montre dans l’ensemble de leurs points de vente.

Du côté de Bouygues Telecom, on ignore où en est cette « étude » autour de la prise en charge de l’Apple Watch. Mais huit ans après le lancement de la montre dans sa version cellulaire, ceux qui l’étudient doivent être de véritables experts.

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Soldes d'hiver chez ShopSystem : les coques iPhone les plus fines au monde !

Pour Noël, vous avez peut-être craqué pour un iPhone et il serait bien dommage d'abîmer ce dernier. Mais les coques protectrices sont souvent trop épaisses, et peu esthétiques. Qu'à cela ne tienne, ShopSystem — leader français des coques ultra-fines — propose des réductions allant jusqu’à -15% !
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RAM : face aux prix en hausse, Apple dépendante de Samsung

Face à l'explosion des prix de la mémoire vive depuis quelques mois, Apple accroîtrait sa dépendance de Samsung pour la mémoire LPDDR utilisée sur l'iPhone. D'après The Korea Economic Daily, SK Hynix et Micron auraient réaffecté une partie de leurs usines à la production de mémoire HBM...

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