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L'identité numérique et monnaie numérique de l'UE ont des failles de sécurité

Pas encore implémenté finalement, mais déjà défini et régulé (eiDAS 2.0), l'UE créé à la fois une identité numérique mais aussi une monnaie numérique programmable destinés à être utilisés conjointement (EUDIW). Ce projet a débuté vers 2018.

Des voix ce sont élevés sur différents points, notamment la disparition de la possibilité de dépenser anonymement son argent, mais aussi le coté programmable de celui-ci.

Il se trouve que des chercheurs ont évalué l'aspect cryptographique (PDF en Anglais) et viennent de livrer leurs résultats: il y a des failles de sécurité en terme de protection de la vie privée et de l'anonymat.

L'anonymat des paiements et vérifications d'identité ont été actés après des débats intenses.
Las! Les outils cryptographiques choisis pour l'implémentation actuelle ne répondent pas à ces règles car ils n'ont pas été créés pour avoir ces propriétés.

De fait, malgré les débats, malgré eiDAS 2.0 imposant l'anonymat, la Commission Européenne a choisi d'implémenter sans anonymat réel, au mépris du choix du législateur, de la représentation populaire, de la protection des consommateurs et des personnes.

Une société de vérification d'identité a une brèche énorme

La société AU10TIX (prononcé "authentics") effectue des vérifications de sécurité pour d'autres, comme Uber, PayPal, X aka Twitter, LinkedIn, TikTok, etc.
Pour cela elle collecte des informations personnelles très sensibles incluant des copies de papiers d'identité dont les permis de conduire très utilisés pour cela en Amérique du Nord.

Pendant plus d'un an elle a eu ces données exposées en ayant eu des informations d'accès d'administration exposées publiquement.
Des chercheurs en sécurité ont trouvé cela, en exfiltrant les informations et les copies de papiers d'un de leur propre employé.

La société a d'abord bien réagit en fermant les accès, probablement en coupant ce serveur d'après ces dires, mais ensuite très mal en refusant de reconnaître que ses accès avaient pu être utilisés depuis un an, et en prétendant que personne ne les aurait employés quand pourtant diffusés dans des canaux de communication de hackers.

China Mobile dévoile une « super SIM » avec un CPU RISC-V intégré

Alors que les pays occidentaux tendent à abandonner la carte SIM sous sa forme classique (même si les eSIM ne sont pour le moment que des SIM plus ou moins intégrées), China Mobile vient de lancer la CC2560A, une « super SIM ».

La présentation de la super carte SIM.

La carte de China Mobile est animée par un processeur RISC-V à 120 MHz, est compatible NFC et peut stocker 2,5 Mo de données. Ces fonctions ont un but : permettre de remplacer différents éléments de la vie courante, comme une carte d'étudiant, une carte d'accès, des clés de voiture, etc.

Rappelons tout de même qu'ajouter du NFC ou (un peu) de stockage à une carte SIM n'est pas réellement une nouveauté. Orange a intégré le NFC dans ses cartes SIM pendant un temps pour prendre en charge le paiement mobile ou pour les transports (avec les premières expérimentations sur le passe Navigo). De même, Orange et Gemplus (devenu Gemalto) proposaient déjà des cartes SIM capables de stocker 128 Mo de données dès 2005.

La révolution RISC-V : tout ce qu

La révolution RISC-V : tout ce qu'il faut savoir sur ce jeu d'instructions prometteur

Des chercheurs atteignent 402 Tb/s sur de la fibre optique commerciale

Des chercheurs japonais du NICT (l'Institut national des technologies de l'information et des télécommunications) viennent de présenter une nouveauté intéressante : ils ont réussi à atteindre un débit de 402 Tb/s sur de la fibre optique. Si la valeur est élevée, il ne s'agit pas d'un record stricto sensu… sauf si on prend en compte un point : la fibre optique employée est une version commerciale.

C'est un record. Image NICT.

Pour atteindre ce débit, qui n'est évidemment pas destiné à un usage domestique, la solution combine 1 505 signaux sur différentes longueurs d'onde et — visiblement une première — travaille dans la bande U et la bande O, en plus des bandes E, S, C et L. Chaque bande définit une plage de fréquence précise, et la multiplication des signaux dans les différentes bandes permet d'obtenir un débit cumulé plus élevé. Selon le communiqué, cette expérimentation a été effectuée sur une distance de 50 km et le débit est 25 % plus élevé qu'en octobre 2023, date de l'ancien record.

Les différentes bandes. Image NICT.

L'intérêt pratique est évident : une fois mise en place commercialement, la technologie pourrait permettre d'améliorer les débits sans devoir tirer de nouvelles fibres, uniquement en modifiant les points d'entrée et de sortie. Les chercheurs visent notamment l'après-5G, qui va nécessiter des capacités très élevées dans le futur. C'est aussi grâce à ce genre d'innovations que les opérateurs peuvent proposer des débits élevés à leurs clients, comme Free ou SFR qui montent à 8 Gb/s du côté de l'utilisateur.

Un schéma de la technologie. Image NICT.

Des batteries plus faciles à remplacer dans les futurs iPhone grâce à l'électroadhésion

Pour se conformer aux demandes de la Commission européenne, Apple travaillerait sur une solution pour remplacer plus facilement les batteries des iPhone. Ne vous attendez pas à une batterie amovible comme dans les antiques téléphones du début des années 2000 : l'idée serait de modifier la façon dont sont collées les batteries.

La batterie d'un iPhone 14 Plus, collée. Image iFixit.

Dans les iPhone actuels, les batteries sont collées et nécessitent des outils pour être extraites, et du matériel spécifique pour installer une nouvelle batterie dans les règles de l'art. Mais selon The Information, la nouvelle solution passerait par une méthode différente. Au lieu d'emballer la batterie dans de l'aluminium, Apple emploierait un autre métal pour passer sur de l'électroadhésion. Avec ce choix, l'adhésif choisi peut être décollé en appliquant une tension électrique, sans devoir passer par des outils.

Ce schéma explique rapidement le fonctionne.

Selon eux, Apple pourrait implémenter cette solution dans au moins un des iPhone de cette année (les iPhone 16) avant de la généraliser aux iPhone 17. Comme vous vous en doutez, cette voie n'est pas très intéressante pour un utilisateur lambda qui ne possède probablement pas le matériel nécessaire, mais elle devrait permettre aux professionnels de décoller plus facilement et plus rapidement les batteries avant un échange.

Apple : la longévité d'un appareil peut impliquer des concessions

Dans un livre blanc, Apple défend son approche dans la conception des produits. Elle les veut durables et aisés à réparer… lorsque cela se justifie. En même temps qu'elle annonçait hier une extension à l'Europe de l'accès à ses outils de diagnostic par des particuliers, Apple a publié un document titré « Longevity, by Design » ou comment la durabilité de ses produits est le fruit d'une approche mûrement réfléchie. Avec ce qui peut ressembler parfois à des compromis, mais que la Pomme explique.

« Concevoir pour le temps long est un effort à l'échelle de l'entreprise, éclairant nos premières décisions bien avant la fabrication du premier prototype et guidée par les données historiques d'utilisation des clients et les prévisions sur l'utilisation future », explique Apple en introduction, ajoutant : « Cela nécessite de trouver un équilibre entre durabilité et réparabilité sans compromettre la sûreté, la sécurité et la confidentialité ».

Cela se traduit par des produits qui conservent leur valeur plus longtemps que leurs concurrents poursuit l'argumentaire, les appareils Apple se passent plus volontiers de main en main au fil de leur cycle de vie. Aux États-Unis et en Europe, l'iPhone conserverait au moins 40 % de sa valeur face aux Android et cet écart augmente avec l'âge des appareils. L'iPhone 7 de 2016 est cité comme un modèle qui se négocie encore aux États-Unis (en France aussi, mais cela reste anecdotique chez Apple qui reprend un 7 Plus pour 50 € tandis qu'on le trouve en reconditionné pour deux fois plus, ndlr). De fait, des centaines de millions d'iPhone qui sont en activité ont plus de 5 ans, insiste Apple.

iPhone 14 avec son dos ouvert et facilement remplaçable. Image : iFixit

Au fil des générations, leur résistance s'est accrue, souligne le document, avec comme conséquence une baisse des volumes de réparation. Des statistiques sont avancées : -38% d'actes de réparation hors garantie en moins entre 2015 et 2022 sur les produits d'Apple en général et -44% sur les téléphones. « Pour l’iPhone, les réparations globales pour dommages accidentels ont diminué de 44 % depuis l'introduction avec l'iPhone 7 de châssis améliorés ». La résistance à l'eau sur cette génération a fait chuter de 75% les réparations liées à ces incidents.

Des interventions en baisse et des clients qui fréquentent moins les SAV font dire à Apple que la fin justifie parfois les moyens :

Bien que ces changements aient nécessité l'ajout d'adhésifs et de joints qui rendaient les réparations plus complexes, les améliorations remarquables apportées à la longévité des produits ont justifié une légère augmentation de la complexité des réparations.

Plus loin, la Pomme illustre l'évolution de la réparabilité de ses iPhone. Le pire étant le premier modèle dont le seul élément interchangeable était le tiroir SIM. Avec les iPhone 15, douze pièces plus ou moins cruciales peuvent être changées. On l'a vu dernièrement avec les iPhone 15 Pro qui ont repris un principe des iPhone 14 où la partie arrière en verre peut être ôtée sans devoir tout enlever devant au préalable. Et une facture divisée par deux comparée aux iPhone 12 et 13 pour la même opération.

Image Apple.

Un autre argument selon lequel un téléphone doit être conçu en vue de pouvoir en changer toutes les pièces est contesté. « Parfois, privilégier la durabilité est un facteur de réduction des émissions de carbones », affirme Apple. Ce qu'elle démontre par l'exemple d'une pièce qui est peu susceptible de tomber en panne :

Le port de chargement de l'iPhone fait partie d'un module à la grande longévité, qui comprend des microphones et d’autres composants qui peuvent être réparés dans leur ensemble, mais qui nécessitent rarement un remplacement. Rendre le port de charge remplaçable individuellement nécessiterait des composants supplémentaires, notamment son propre circuit imprimé flexible, son connecteur et ses attaches qui augmentent les émissions de carbone nécessaires à la fabrication de chaque appareil.

À l'inverse, la batterie et l'écran font beaucoup plus fréquemment l'objet de réparations et nécessitent des efforts de conception. Le port de charge avec son taux d'interventions inférieur à 0,1% n'aurait donc pas besoin d'une telle attention.

Apple défend également le principe de sérialisation pour garantir que des pièces de rechange utilisées répondent à des niveaux de qualité suffisants et que certaines interventions — avec les composants Touch ID ou Face ID — soient sans risques pour les données des clients. Apple glisse au passage deux autres statistiques toujours pour 2015 à 2022 : « Les taux de réparations sous garantie et hors garantie ont baissé respectivement de 78 et 38 % », reflétant une augmentation de la fiabilité des produits. En ce qui la concerne, Apple dit ne s'occuper que du tiers des interventions faites hors garantie, prouvant par là que les réparateurs tiers se taillent la part du lion.

Apple ouvre ses iPhone aux réparations avec des pièces d

Apple ouvre ses iPhone aux réparations avec des pièces d'occasion

Il est également fait état de la durée du support technique logiciel sur iPhone, iPad et Mac. Les trois derniers systèmes en date s'installent sur des appareils vieux de 7 ans. Cela peut aller plus loin, on l'a vu cette année avec des iPhone lancés il y a 9 ans qui ont été mis à jour (les 6s, 7 et SE). Mais il s'agissait de correctifs de sécurité et officiellement Apple s'en tient toujours à 5 ans. Google et Samsung promettent depuis relativement peu de temps 7 années de mises à jour majeures et mineures pour leurs smartphones récents.

SpaceX récupère le contrat pour désorbiter l'ISS

Space X a remporté un beau contrat auprès de la Nasa, à savoir la fabrication d'un véhicule, qui devra repousser la Station spatiale internationale (ISS) vers l'atmosphère terrestre. Cette opération n'est pas prévue pour tout de suite mais interviendra en 2023, après sa mise à la retraite et sa nécessaire destruction.

Livability : l’app de gestion d'appareils secrète des équipes logiciel d'Apple

Le saviez-vous ? Apple a une application interne pour ses développeurs leur permettant d'activer individuellement les fonctionnalités du système. Baptisée Livability, l’app est présente sur la version InternalUI d'iOS, qui est assez avancée étant donné qu’elle arrive après la déclinaison VendorUI envoyée aux chaînes de production. AppleInsider a discuté avec des personnes proches de Cupertino, ce qui nous permet d’en savoir un peu plus sur comment fonctionne cette app et sur ce qu’elle peut faire.

Image AppleInsider.

Livability est utilisée par les ingénieurs pour activer, désactiver ou déboguer les fonctionnalités à venir. Elle fournit différentes données sur le téléphone (numéro de série, modèle) ainsi que des détails sur les profils ou VPN actuellement installés. Elle peut aussi indiquer des informations sur les mises à jour où sur les paramètres de démarrage personnalisés, par exemple pour ceux ayant activé le mode verbose ou de diagnostic.

L’app comporte également des indications sur les « fusibles » des appareils (« Device fusing »). Cela correspond à la sécurité de l’appareil : si les iPhone vendus par Apple sont protégés du mieux possible au niveau matériel, ce n’est pas le cas de ceux circulant en interne. Ils peuvent exécuter du code spécifique afin d’utiliser d’autres interfaces de test (JTAG) à l’aide de câbles spécialisés. Mais surtout, Livability contient un gestionnaire de « flags », des taquets permettant d’activer des fonctionnalités individuelles ou par lot.

Ces drapeaux sont organisés en fonction de la date de sortie prévue pour chaque nouveauté, avec quatre catégories : Printemps, WWDC, Automne et Hiver. Selon AppleInsider, les OS circulants en interne peuvent avoir des fonctions (voire des ébauches de celles-ci) prévues pour sortir dans quelques années. Certains drapeaux actuels peuvent concerner des fonctions qui n’arriveront pas avant la prochaine WWDC. À l’intérieur de ces catégories, les nouveautés sont rangées en fonction des différents aspects du système. Cela donne par exemple « WWDC 2024 → Notes » ou « WWDC 2024 → Spotlight ». Des noms de codes peuvent être employés pour certaines fonctions.

Tout est classé à l’aide de 4 stades de finitions. On y trouve « en cours de développement », « code complet », « prêt à tester » ou encore « fonctionnalité complète ». Il est possible d’en activer tout un groupe d’un coup, par exemple toutes celles marquées comme étant complètes. Évidemment, activer plusieurs fonctions qui ne sont pas finalisées peut amener des bugs ici et là.

Fun lol pic.twitter.com/H0O4BVfSJS

— mcguire | cooking for a …boat? (@Jioriku) June 18, 2024

Livability a plusieurs avantages : elle permet de rapidement désactiver une fonction amenant des plantages, et les employés d’Apple peuvent s’en servir pour désactiver de nouveaux éléments de l’interface. Certains bidouilleurs finissent tout de même parfois par retrouver ces drapeaux. On l’a par exemple vu avec l’interface du nouveau Siri, qui est désactivée sur les bêtas, mais pourtant bien présente dans le code. En réactivant son drapeau, un message invite d’ailleurs de ne pas s’en servir dans les lieux publics et indique comment la couper… en passant par Livability.

Meta : le Quest 2 pourrait bientôt être remplacé par un nouveau casque abordable

Le Quest 2 est sur la sortie. Ce casque de réalité virtuelle mis en vente en 2020 est désormais en rupture de stock sur la boutique de Meta dans la plupart des régions du monde, à l’exception du Royaume-Uni. Le produit est présenté comme « indisponible » en France, bien qu’il reste trouvable sur les étals des revendeurs. RoadToVR y voit le signe de l’annonce imminente d’un remplaçant : une version plus abordable du Meta Quest 3.

Cela fait plusieurs mois que les rumeurs font miroiter un nouveau modèle d’entrée de gamme pour le catalogue de Meta. Le design serait plus plat et les écrans de moins bonne qualité que sur le Quest 3. Les lentilles seraient différentes, mais le casque conserverait la puce XR2 Gen 2 de son grand frère. Ce modèle pourrait s’appeler Meta Quest 3S, à la manière de la Xbox Series S (qui est une déclinaison plus abordable). On s’attend à ce que l’appareil ne fasse pas l’impasse sur la réalité mixte, un domaine dans lequel Meta cherche à s’imposer.

Test du Meta Quest 3 : en quête de sens

Test du Meta Quest 3 : en quête de sens

L’arrivée d’un nouveau Quest plus abordable est crédible. L’année dernière, une feuille de route de Meta mentionnait l’idée d’un casque moins cher en 2024 cherchant à avoir « le plus grand impact possible sur le marché de la VR grand public, au prix le plus attractif ». Selon Mark Gurman, l’appareil pourrait être vendu dans les 300 $ là où le Quest 3 dépasse la barre des 500 $. Les premières livraisons pourraient être effectuées à la rentrée pour concorder avec la grande conférence annuelle de l’entreprise, qui aura lieu le 25 septembre.

SFR RED : 200 Go en 5G pour 9,99 € au lieu de 17,99 €

SFR RED relance un forfait 5G à 200 Go à un tarif beaucoup plus intéressant que la fois précédente. Fin mai, les 200 Go en 5G se négociaient 17,99 € chez la filiale de SFR.

La même offre est revenue, mais à un prix quasiment divisé par deux : 9,99 €. Le coût d'un abonnement est décidément une notion très relative. Seule différence, on peut utiliser 27 Go en Europe et DOM contre 32 Go auparavant. Ça ne change pas grand-chose dans l'absolu, c'est toujours une quantité appréciable. Cette formule rend au passage superflue l'offre de 100 Go avec option 5G vendue 10,99 €.

La grille des forfaits de SFR RED joue à l'accordéon en ce moment avec des ajouts successifs de petite, grande et grosse formules, avec respectivement 2 Go, 100 Go et 300 Go. B&You, souvent prompt à être aligné sur son concurrent n'a pas encore répondu à cette offre de 200 Go.

Synology : des solutions de surveillance intelligentes pour une tranquillité d'esprit totale

Les beaux jours arrivent et avec eux, la saison des vacances et des festivités. Que ce soit pour un bureau déserté pendant les vacances d'été ou un restaurant pris d'assaut lors des Jeux Olympiques, la sécurité reste une priorité.

Pouvoir surveiller votre espace à distance, être alerté en cas d'intrusion ou encore vérifier que votre établissement n'a pas dépassé sa capacité maximale en un coup d'œil... Synology se distingue avec ses solutions de surveillance robustes et innovantes.

Basées sur le système d'exploitation primé DSM et le logiciel Surveillance Station, elles apportent une tranquillité d'esprit aux particuliers et aux entreprises, qu'il s'agisse de protéger un foyer ou de surveiller une entreprise 24/7.

Surveillance Station : votre allié sécurité au quotidien

Surveillance Station de Synology est plus qu’un simple outil de surveillance. Il s’agit d’une plateforme complète qui vous permet de gérer vos caméras IP avec une flexibilité impressionnante, de détecter les mouvements suspects et de visualiser les vidéos en temps réel depuis n'importe quel appareil connecté.

Que vous souhaitiez garder un œil sur votre domicile ou votre entreprise, ce logiciel vous aide à enregistrer les événements importants et à recevoir des notifications instantanées en cas de besoin.

Plus de 8 300 modèles de caméras sont pris en charge, vous garantissant une large gamme de choix. L'inntégration est également pensée pour les NAS Synology, couvrant les arrières des petites entreprises en assurant une sécurité sans faille.

D'ailleurs, l'histoire de Q-Park, l’un des principaux fournisseurs de services de stationnement en Europe, illustre parfaitement l’efficacité des solutions de Synology.

En optant pour Surveillance Station, Q-Park a non seulement réduit les temps d'arrêt, mais a également sécurisé l’intégrité de ses données grâce à une redondance accrue des disques et de l’alimentation. Avec plus de 2 000 caméras déployées, Q-Park bénéficie d’une administration centralisée et efficace, et d’un accès à distance pour une surveillance continue de ses installations.

Série DVA : l'IA au service de votre sécurité

Synology va plus loin avec sa série DVA, qui exploite l'intelligence artificielle pour une surveillance encore plus intelligente et efficace.

Pensez à une caméra tout à fait capable de reconnaître les visages ou de détecter des plaques d'immatriculation en temps réel. C'est ce que propose la série DVA, avec des fonctionnalités avancées qui redéfinissent la sécurité.

Avec la reconnaissance faciale, DVA identifie aussi immédiatement les individus et vous alerte en cas de mouvement suspect.

L'écosystème Synology : une solution complète pour une protection optimale

Synology ne s'arrête pas là. Leur écosystème de surveillance est conçu pour fonctionner de manière transparente et efficace. Les caméras BC500 et TC500 offrent une intégration parfaite avec les autres équipements Synology, garantissant performances optimales et gestion simplifiée.

Les disques durs Synology, tels que les HAT3300, sont spécialement optimisés pour l’enregistrement de vidéos haute définition, assurant des performances fluides, même sous une forte charge. Cette synergie entre caméras, disques durs et le logiciel Surveillance Station assure une protection et une gestion simplifiée de vos données.

C2 Surveillance : votre bouclier contre les pertes de données

Avec C2 Surveillance, Synology vous offre une couche de sécurité supplémentaire. Ce service de sauvegarde en ligne protège vos enregistrements contre les pertes et les intrusions, vous assurant une tranquillité d’esprit totale.

Synology, un choix sûr pour une surveillance sans compromis

Avec son système DSM performant, ses solutions basées sur l’IA et son écosystème complet, Synology propose des solutions de surveillance qui répondent aux besoins des entreprises et des particuliers.

Que ce soit pour la tranquillité d’esprit au quotidien ou pour une gestion sécurisée des installations, Synology se positionne comme un leader fiable et innovant dans le domaine de la surveillance.

  • Licences à vie : une fois vos caméras achetées, vous bénéficiez de licences sans frais supplémentaires.
  • Cloud privé sécurisé : gardez un contrôle total sur vos données avec des options de stockage en cloud privé.
  • Accès à distance : consultez vos enregistrements et surveillez vos installations de n'importe où, à tout moment.

Les touches de votre clavier Apple sont-elles décolorées ?

La Magic Mouse n’est pas le seul produit Apple qui peut se décolorer avec le temps : les touches des MacBook ont parfois cette mauvaise habitude. Il peut s'agir de simples traces de gras persistantes sur quelques touches, mais chez d’autres, les lettres ont tendance à complètement s’effacer.

Le clavier d'un de nos MacBook (2018).

Le plastique des touches s’use au fil du temps, le contact des doigts et la sueur attaquant le matériel. Le phénomène se remarque bien sur les claviers des MacBook, qui disposent de touches noires. Certains avancent que la qualité du plastique joue sur ce phénomène, d’autres qu’il est possible de limiter la casse en nettoyant ses touches régulièrement. En attendant, le problème ne date pas d’hier : nous évoquions la question sur les claviers papillon en 2019.

Le clavier papillon se décolore-t-il plus rapidement que les autres ?

Le clavier papillon se décolore-t-il plus rapidement que les autres ?

Et vous, les touches de votre clavier Apple sont-elles décolorées ? N'hésitez pas à préciser la génération de Mac et les touches concernées en commentaires !

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