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Bien sûr sans bug ça serait moins amusant, Johnny Mnemonic?!?

C'est la première fois que j'utilise cet outil, ou plutôt ces différents outils.

C'est très pratique si on pense à cliquer sur les "i" cerclés : là où je me serais attendu à un message explicatif, c'est à chaque fois un outil spécialisé permettant de trouver ce qui consomme le plus d'espace de stockage et de s'en débarrasser si on le souhaite !

Le "i" cerclé n'est vraiment pas le bon "call to action" dans ce cas, c'est ce qu'on appelle un "anti-pattern", il n'est pas conçu pour inciter à l'action comme le bouton "Stocker dans iCloud..." et c'est pour cette raison que je n'avais jamais essayé ces très bons outils.

Aucun rapport avec le fait que "Stocker dans iCloud..." rapporte à Apple via l'abonnement afférent au-delà de seulement 5 Go, tandis que nettoyer localement ne rapporte rien...

Dans mon cas quelques logiciels, les échantillons GarageBand (que je n'ai jamais utilisé), ma gigantesque bibliothèque perso d'ouvertures aux échecs et ses multiples copies (5 Go chacune), une série télé, la sauvegarde d'un ancien iPhone 12, etc.
Plus de 40 Go récupérés d'un coup...

Pensez à sauvegarder avant bien sûr, et nettoyez un grand coup.

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iOS 26.3 généraliserait l'appairage par proximité en Europe

iOS 26.3 devrait généraliser la fonctionnalité d'appairage par proximité aujourd'hui réservée aux produits d'Apple à l'ensemble des accessoires tiers le souhaitant, tout du moins au sein de l'Union européenne, d'après MacRumors. C'est une évolution imposée par le DMA dont la Commission...

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La prise en charge de l'Apple Watch cellulaire à l'étude chez Bouygues

Maintenant que Free Mobile prend à son tour en charge l'Apple Watch cellulaire depuis la semaine dernière, il ne manque plus en France que Bouygues Telecom qui n'a jamais communiqué sur la question... jusqu'à cette semaine, avec une déclaration à nos confrères de WatchGeneration : « Bouygues...

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Le Mota, un support de bureau DockKit pour seulement 20 €

Si les stabilisateurs DockKit — une technologie de suivi qui permet à un iPhone de contrôler mécaniquement un support — sont devenus assez courants, il existe une autre catégorie de produit : les supports de bureau. Comitok, qui propose un stabilisateur DockKit à 50 € dont nous vous avons proposé un test, a un produit de ce type, que nous avions raté : le Mota.

Un support simple, mais visiblement efficace. Image Comitok.
Test du Mogo, le stabilisateur iPhone compatible DockKit à seulement 50 €

Test du Mogo, le stabilisateur iPhone compatible DockKit à seulement 50 €

Le Mota n'est pas un stabilisateur, mais bien un support de bureau : il se place sur une surface plane et est parfait pour effectuer un suivi si vous aimez bouger pendant vos conversations FaceTime, par exemple. Il a un gros avantage par rapport aux autres produits DockKit, son prix : 20 € seulement.

Le Mota se place sur un bureau. Image Comitok.

C'est un support assez classique, proche du modèle de Belkin qui était vendu presque dix fois plus cher (et a été rappelé à cause de risques d'incendie). Il propose donc des mouvements sur deux axes, un aimant pour fixer un iPhone compatible (tous les modèles depuis l'iPhone 12 sauf les iPhone SE et 16e) et la compatibilité DockKit. Et c'est tout. Il n'est pas capable de charger un iPhone (contrairement au modèle de Belkin) et ne fait qu'une chose : déplacer l'iPhone pour vous garder dans le cadre quand vous bougez. Comitok propose le strict minimum sur le support lui-même, mais une télécommande permet de contrôler les quelques fonctions.

Dans tous les cas, au vu du prix, c'est un accessoire intéressant pour ceux qui utilisent un iPhone comme webcam (par exemple avec l'Apple TV) ou aiment bouger en parlant. Nous n'avons pas encore essayé ce modèle, mais le Mogo de la même marque offre une implémentation solide de DockKit, donc le Mota est a priori dans le même cas.

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Le mini onduleur d'Eaton en promotion à moins de 40 €, pour protéger sa box Internet des coupures de courant

Le mini onduleur Eaton 3S Mini, lancé à 70 €, est en promotion à seulement 38 € sur Amazon. C'est un produit parfait pour protéger une box Internet et garder une connexion en cas de coupure de courant. Si vous êtes en télétravail, c'est un accessoire utile et pas très encombrant pour ne pas vous retrouver sans connexion.

L'onduleur (à droite) va remplacer l'adaptateur secteur (à gauche). Image MacGeneration.

Comme nous l'avons expliqué dans notre test, ce n'est pas un onduleur classique, mais plus l'équivalent d'une batterie externe pour une box ou n'importe quel appareil qui consomme peu. Techniquement, il intègre une batterie lithium-ion (les onduleurs se basent généralement sur des batteries à l'acide) et ne propose pas de prise électrique femelle. Le mini onduleur fonctionne en réalité en remplaçant l'adaptateur secteur d'une box ou de n'importe quel appareil qui consomme moins de 36 W, à la manière d'une alimentation universelle. Il est fourni avec de nombreux embouts circulaires, et peut fournir une tension de 9, 12, 15 ou 19 V (et 36 W au maximum).

Test de l

Test de l'Eaton 3S Mini : le mini onduleur pour les box internet… qui ne convient pas pour toutes

C'est donc une solution parfaite pour les box Internet, qui passent généralement par une prise de ce type et consomment assez peu. Il faudra juste l'éviter si vous avez un des rares modèles qui s'alimente en USB-C. Si la marque met en avant les box Internet, tous les appareils qui nécessitent une des quatre tensions proposées sont compatibles, tant que la puissance maximale reste sous la limite.

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Backblaze ne sauvegarde plus le contenu de Dropbox ni d’autres services de stockage

Si vous utilisez Backblaze pour sauvegarder votre Mac, attention à une chose. Plusieurs utilisateurs ont constaté que le service de sauvegarde en ligne ne prenait plus en compte le dossier de Dropbox ni celui d’autres solutions de stockage dans le cloud.

Image MacGeneration

Le changement semble remonter à la version 9.2.2.878 du client Mac. Dans les notes de version, Backblaze indique ceci :

Les versions récentes de macOS peuvent monter des espaces de stockage cloud (par exemple, Google Drive, OneDrive et Dropbox) dans des répertoires locaux, ce qui peut entraîner leur sauvegarde par erreur par le client de sauvegarde. Ces dossiers montés dans le cloud sont désormais détectés et exclus afin d'éviter les problèmes de performance, la consommation excessive de données et les complications lors de la restauration.

Sur son blog, le développeur Michael Tsai fait également état d’absences de sauvegarde concernant iCloud Drive et OneDrive. On pourrait penser que ce comportement est lié au framework File Provider Extension, qui intègre ces services d’une nouvelle façon dans le Finder, mais cela ne semble pas être le cas. Apparemment, Backblaze exclut ces services de manière explicite, sans proposer d’option pour modifier ce choix. En revanche, lorsque Dropbox est utilisé via le client tiers Maestral, les fichiers sont bien sauvegardés, comme nous avons pu le vérifier.

La prudence est donc de mise si vous utilisez Backblaze. Il convient également de rester vigilant avec les sauvegardes locales : les fichiers stockés sur iCloud Drive, Dropbox ou Google Drive ne sont pas toujours réellement présents sur le Mac, ce qui peut les faire passer à travers certaines sauvegardes. C’est pourquoi certains logiciels, comme Carbon Copy Cloner, proposent de télécharger temporairement les fichiers non présents localement afin de les inclure sur un disque dur ou un SSD externe.

Backblaze est facturé 99 $ HT par an pour la sauvegarde complète d’un Mac, avec un historique des fichiers sur un an. Nous avions comparé cette offre il y a quelques mois à plusieurs alternatives, dont Arq Premium et CrashPlan.

Sauvegarde en ligne : peut-on trouver mieux que Backblaze en 2025 ?

Sauvegarde en ligne : peut-on trouver mieux que Backblaze en 2025 ?

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Selfix, la protection qui intègre un écran pour améliorer vos selfies et un lecteur de microSD

Le fabricant DockCase, un habitué de Kickstarter, va bientôt proposer un produit intéressant pour les amateurs de selfie : la coque Selfix. Destinée aux iPhone 17 Pro et Pro Max, elle intègre une fonction inédite pour prendre des selfies : un écran AMOLED. Contrairement aux coques qui emploient simplement un miroir, la coque reproduit en réalité ce qu'affiche l'écran principal de votre iPhone, ce qui explique qu'elle est réservée aux iPhone 17 Pro.

La coque en action. Image Selfix.

L'écran ne nécessite pas d'applications pour fonctionner, car il repose sur la sortie vidéo en USB-C de l'iPhone, qui n'est pas proposée sur les iPhone Air. Compte tenu des images, la dalle AMOLED en 480 x 480 doit probablement exposer un moniteur externe plus grand à l'iPhone, tout en n'affichant que la partie centrale. Cette solution astucieuse transforme le petit écran externe en viseur pour les photos, en ne montrant que la partie importante.

L'écran est une copie de l'écran principal. Image Selfix.

L'intérêt principal est évident : il est possible d'utiliser les capteurs placés à l'arrière de l'iPhone (48 mégapixels) au lieu du capteur frontal de 18 mégapixels. Ils sont plus efficaces que ce dernier dans certains cas, comme quand la lumière est faible, et la coque donne accès aux boutons de l'iPhone pour déclencher facilement.

Du stockage optionnel

La coque, qui sera proposée en trois couleurs (beige, rose et noir) intègre aussi un petit accessoire pratique : un lecteur de cartes microSD. Il n'est pas assez rapide1 pour enregistrer des vidéos en ProRes, qui nécessitent des SSD capables d'atteindre 220 ou 440 Mo/s en écriture, mais c'est une solution pratique pour stocker certaines informations. Attention, ce n'est pas une solution qui étend la capacité de stockage de l'iPhone au sens strict du terme, les applications doivent accepter un périphérique externe.

Image Selfix.

Toute la question vient évidemment d'un seul point : le prix. DockCase annonce qu'un financement participatif va être lancé, sans donner de tarifs pour sa coque. Compte tenu de la présence d'un écran et d'un peu d'électronique, elle devrait être a minima aux alentours de 100 €, même si les premiers participants payeront probablement moins que les autres, comme dans tous les bons financements de ce type.


  1. L'UHS-1 permet 104 Mo/s au mieux, et les résultats dépendent des cartes.  ↩︎

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Ce coup-ci c'est la Banque Postale qui subit une attaque par DDoS

Je voudrais d'abord dire que je suis effaré et effrayé par ces attaques multiples contre la France.
À ce point, il ne s'agit plus de hasard, mais de volonté de faire du mal, organisée.

Cette fois-ci c'est la Banque Postale attaquée via du DDoS, le DDoS consistant à utiliser un grand nombre d'objets connectés (IoT) comme par exemple des caméras de surveillance publique ou des routeurs Internet, pour saturer les capacités techniques de la proie.
Le but étant de rendre la victime incapable de communiquer effectivement au travers d'Internet, ses serveurs saturés par des millions de requêtes.

Par exemple, au moment où j'écris ces lignes labanquepostale.com ne répond toujours plus!

La Caisse d'épargne et la Banque Populaire pourraient aussi être visées, mais semblent moins affectées.

Pendant ces fêtes de Noël et malgré l'euphorie des derniers achats, que ça soit de beaux cadeaux, de la nourriture festive ou tout ce qui se boit, je recommanderais d'avoir une excellente hygiène numérique, et de se souvenir que l'argent liquide n'a pas besoin d'Internet ou de cloud...

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Galaxy Z Fold : Samsung étudierait un second modèle au format proche de celui de l’iPhone Fold

Jamais deux sans trois. En plus des Galaxy Z Flip8 et Z Fold8, Samsung pourrait lancer un troisième smartphone à écran pliable en 2026. D’après etnews, il s’agira d’une déclinaison du Z Fold8 dont le format se rapprocherait de celui de l’hypothétique iPhone Fold.

Galaxy Z Fold7. Image Samsung.

Ce modèle surnommé « Wide Fold » s’ouvrirait toujours comme un livre, mais se distinguerait par un format plus large que haut une fois déplié. Il adopterait ainsi un ratio proche du 4:3 des iPad. Selon le média coréen, l’appareil sera doté d’un écran externe plus petit et moins allongé que celui des Z Fold actuels : 5,4", contre 6,5" pour le Z Fold7. L’écran interne mesurerait quant à lui 7,6" au lieu de 8", avec une surface donc plus large que haute.

Ces caractéristiques sont très proches de celles prêtées à l’iPhone Fold. La semaine dernière, The Information indiquait que le futur smartphone pliable d’Apple pourrait embarquer un écran externe de 5,3" et un écran interne de 7,7", avec un ratio « similaire à celui des plus grands iPad en mode paysage » et un format « plus large que haut une fois déplié ».

De l’iPhone 17e à l’iPhone 20 : les secrets de huit futurs iPhone révélés

De l’iPhone 17e à l’iPhone 20 : les secrets de huit futurs iPhone révélés

Le ratio 4:3 est bien adapté à la lecture de documents, à la consultation de photos ou encore à différents usages créatifs et productifs, comme la retouche d’images. En revanche, il se prête moins bien au visionnage de films, avec l’apparition de larges bandes noires en haut et en bas de l’image.

Samsung renouvelle habituellement sa gamme de smartphones pliables durant l’été. Le « Wide Fold » pourrait toutefois être lancé à l’automne, à une période qui coïnciderait avec celle évoquée pour l’iPhone Fold.

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La nouvelle arme de WhatsApp ? Des quizz interactifs !

WhatsApp continue de faire évoluer ses chaînes, son format de diffusion à sens unique lancé pour concurrencer Telegram. Dans la dernière version bêta de WhatsApp pour iOS, la messagerie teste un nouvel outil baptisé Channel Quiz, qui est destiné à renforcer l’engagement des abonnés.
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Cyberattaque : les services de La Poste sont toujours dans les choux

La panne continue chez La Poste. Depuis lundi matin, une panne massive touche les différents services du groupe, de la livraison de colis à sa filiale bancaire. Le problème n’a toujours pas été corrigé ce matin, et il reste impossible d’obtenir le suivi d’un courrier ou d’accéder à ses comptes.

Le site de La Poste ce matin. Image MacGeneration

La panne fait suite à une attaque par déni de service (DDoS) consistant à surcharger les serveurs via l’envoi de multiples de requêtes. Le groupe a indiqué hier que la distribution des colis et des courriers à domicile était perturbée mais assurée. Un gros couac à deux jours de Noël…

Cyberattaque : les sites et apps de la Poste et de la Banque Postale inaccessibles

Cyberattaque : les sites et apps de la Poste et de la Banque Postale inaccessibles

Aujourd’hui, le site de la Poste est de nouveau accessible, mais entrer un numéro de suivi donne une erreur. Sur le site de la Banque Postale, il est indiqué qu’un « incident informatique » rend indisponible l'accès à l’application mobile et à la banque en ligne. Les paiements en ligne restent possibles avec authentification par SMS, tandis que les paiements par carte bancaire ou les virements par WERO sont toujours accessibles.

« La cyberattaque se poursuit » mais a « baissé en intensité » a indiqué sur BFMTV le ministre de l’Économie Roland Lescure. Il a assuré qu’aucune donnée personnelle n’avait été aspirée et que, même sans suivi, les colis restaient bien en cours d’acheminement.

BFM note que deux autres banques ont eu des soucis hier, à savoir la Caisse d'épargne et la Banque populaire. Le groupe BPCE a indiqué qu’il s’agissait d’un incident distinct lié à « un dysfonctionnement temporaire d'un de ses fournisseurs ». Il a depuis été résolu.

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Les bandes magnétiques ne sont pas mortes : les LTO-10 (Ultrium) passent à 40 To

Dans le monde informatique grand public, les bandes magnétiques ne sont plus employées depuis très longtemps. Mais dans le monde professionnel, pour l'archivage, elles sont encore très courantes : elles offrent un bon rapport capacité/prix et sont plus pérennes que les disques durs ou les SSD. Fujifilm vient d'annoncer des cartouches LTO-10 d'une capacité de 40 To, pour ceux qui ont de gros besoins de stockage.

Le lecteur de bandes d'Apple des années 80.

Les plus anciens d'entre vous se souviennent peut-être de l'Apple Tape Backup 40SC, un périphérique SCSI qui permettait de stocker 40 Mo sur une bande magnétique dans les années 80. La nouvelle génération permet donc de stocker un million de fois plus de données, et peut atteindre 100 To avec de la compression1. La nouvelle bande de 40 To fait partie de la gamme LTO-10, qui a un défaut : alors que les générations précédentes de lecteurs de bandes avaient une rétrocompatibilité assumée (un lecteur de génération x pouvait lire et écrire les bandes de la génération x-1 et lire celles de la génération x-2), ce n'est pas le cas avec les LTO-10.

Cette bande contient 40 To. Image Fujifilm.

La nouvelle bande de 40 To de Fujifilm mesure 1 337 m et la marque annonce un débit de 400 Mo/s. Comme toujours avec les bandes magnétiques, il n'est pas possible d'accéder à une donnée précise sans dérouler la bande jusqu'à la bonne position, ce qui peut être assez lent. Les bandes magnétiques servent donc essentiellement à l'archivage dit froid : les données sont sauvegardées périodiquement mais normalement rarement accédées.

Bien évidemment, les bandes magnétiques de type LTO ne ciblent pas le grand public, mais il existe tout de même des lecteurs en Thunderbolt pour les entreprises qui utilisent du matériel standard, par exemple. Et certains amateurs récupèrent parfois d'anciennes générations d'appareils pour effectuer des sauvegardes durables et fiables.


  1. Une valeur qui dépend évidemment du type de données. Si le ratio de 2,5:1 peut être atteint sur du texte, ce n'est pas le cas sur des images ou de la vidéo, qui sont généralement déjà compressées.  ↩︎

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Apple dépend de plus en plus de Samsung pour la mémoire vive des iPhone

Si Apple n'a pas encore augmenté ses prix sur la mémoire vive — qui sont plus élevés que la moyenne en temps normal —, la RAMpocalypse commence à poser un problème. Selon The Korea Economic Daily, Samsung fournit environ 60 à 70 % des puces de mémoire LPDDR5 des iPhone 17. Dans les iPhone précédents, SK Hynix, un autre fabricant majeur de mémoire, fournissait une plus grande partie de la mémoire.

Samsung fournit beaucoup de LPDDR5. Image Samsung.

La raison principale est simple : tant Micron que SK Hynix ont choisi de produire de la mémoire HBM (employée dans les cartes intégrées dans les serveurs pour l'IA) au détriment de composants comme la LPDDR des smartphones et autres ordinateurs. Mécaniquement, Samsung a donc récupéré une partie de ce marché, car la société coréenne n'a pour le moment pas décidé de diminuer drastiquement sa production.

les puces A nécessitent des composants spécifiques. Images iFixit.

Le problème, selon nos confrères, est qu'Apple demande de la mémoire avec des spécifications très précises. Les iPhone et autres Mac utilisent de la mémoire LPDDR rapide (le MacBook Pro M5 utilise de la LPDDR5X-9600) et Apple veut de la mémoire d'une excellente qualité, sans variations sur la production. Les contrôleurs mémoire des systèmes sur puce sont très sensibles à la qualité de la tension des puces, et donc la production doit être parfaite. Visiblement, Samsung est le seul fabricant capable de fournir de la mémoire adéquate en volume : Micron a fait le même choix que SK Hynix et se concentre sur la HBM et CXMT, le quatrième fabricant majeur (et chinois), est techniquement très en retard sur les autres.

Quel pourrait être l

Quel pourrait être l'impact de la RAMpocalypse sur Apple ?

Dans la pratique, toute la question reste celle de l'impact du prix de la mémoire sur celui de nos appareils. Et l'inconnue principale est le prix qu'Apple paye pour la mémoire : sur les marchés classiques, les composants nécessaires pour 12 Go de LPDDR5 (la quantité présente dans les iPhone Air et 17 Pro) valent actuellement plus de 70 $, contre environ 30 $ en début d'année. Mais Apple ne paye a priori pas ce prix, en tout cas pour le moment.

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Amazon brade ces docks Thunderbolt 4 et 5 à -30% : parfaits pour les Mac !

Vous vous sentez à l'étroit sur votre Mac et avez besoin de disposer de davantage de ports ? Il sera peut-être intéressant d'ajouter un dock Thunderbolt à votre arsenal. L'accessoiriste Ugreen propose justement deux modèles en Thunderbolt 4 et Thunderbolt 5 actuellement en promotion et capables de répondre à de nombreux besoins
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Après Spotify et Apple Music, ChatGPT aussi lance son bilan de fin d’année

Après Spotify, Tesla, Discord ou encore la SNCF, c’est au tour de ChatGPT de lancer son bilan annuel. Le service propose d’obtenir un aperçu des thèmes abordés et des statistiques relatives aux discussions de l'année. La nouveauté n’est malheureusement pas disponible en France pour le moment étant donné qu’elle est réservée aux États-Unis, au Royaume-Uni, au Canada, à la Nouvelle-Zélande et à l'Australie.

Your Year with ChatGPT!

Now rolling out to everyone in the US, UK, Canada, New Zealand, and Australia who have reference saved memory and reference chat history turned on.

Just make sure your app is updated. pic.twitter.com/whVkS1qxKu

— OpenAI (@OpenAI) December 22, 2025

Comme ses petits camarades, OpenAI propose de nombreux graphiques illustrant les statistiques d’utilisation du service. L’entreprise a également ajouté un système de « récompenses » en fonction de l’utilisation du tchatbot tout au long de l'année (des sortes de succès, comme « débuggeur créatif »). Ce bilan se termine par un poème et une image liés à vos centres d'intérêt.

La nouveauté est disponible pour les utilisateurs de l’app l’ayant mis à jour : ils devraient voir apparaître une bannière proposant ce récap’ dès le lancement. Il est sinon possible de directement demander à ChatGPT de l’afficher (cela ne fonctionne pas en France, j’ai essayé).

À noter que ce récapitulatif annuel repose sur les données déjà enregistrées par ChatGPT tout au long de l’année : seules les conversations prises en compte par l’historique et la mémoire peuvent alimenter ces statistiques, ce qui explique pourquoi certains utilisateurs peuvent se retrouver avec un bilan incomplet. Rien ne s'affiche si les deux fonctions sont désactivées.

Image OpenAI.

Sur un autre registre, OpenAI a récemment ajouté un petit easter egg à ChatGPT. Il suffit d’envoyer l’émoji cadeau ( ) au bot pour voir apparaître une invite proposant d’envoyer un selfie. Le service génère alors une courte vidéo via Sora 2 dans laquelle le père Noël vous apporte un cadeau. La nouveauté fonctionne chez moi alors que Sora 2 n’est pas officiellement disponible en France.

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Un des créateurs de Call of Duty décède dans un accident tragique

L’industrie du jeu vidéo est sous le choc. Vince Zampella, figure majeure du secteur et producteur derrière des franchises emblématiques comme Apex Legends, Titanfall, Call of Duty ou plus récemment Battlefield 6, est décédé à l’âge de 55 ans dans un accident de la route en Californie.
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Cloudflare : Apple sur la troisième place du podium des services Internet en 2025

Cloudflare, l'un des plus grands fournisseurs d'infrastructures Internet au monde, vient de publier son rapport annuel analysant les tendances de l’année. Apple s’en sort bien étant donné qu’elle occupe la troisième place du classement des services Internet, qui liste les principaux services en ligne en fonction de leur popularité à partir des données DNS de Cloudflare. La Pomme se trouve donc désormais juste derrière Google et Facebook.

Image Cloudflare

Le rapport explique qu’Apple est restée solidement accrochée à la 3e place pendant la majeure partie de l’année, une place qu’elle a décroché en dépassant TikTok. Elle s’est ensuite fait concurrencer par Microsoft certains jours d’été, mais malgré ces échanges de places, elle conserve la médaille de bronze. Pendant ce temps, TikTok a reculé à la 8e place tandis que Microsoft a progressé par rapport à 2024.

Le poids d’Apple.com ne se limite pas au site vitrine étant donné qu’il sert de porte d’entrée à une constellation de services. Cloudflare précise d’ailleurs que d’autres domaines Apple (notamment iCloud) sont comptabilisés indépendamment.

Côté mobile, Cloudflare estime que les appareils iOS génèrent 35 % du trafic mobile mondial en 2025, un chiffre en légère hausse sur un an (+2 points). En face, Android affiche 65 %. Si Monaco fait figure d’ovni avec une part iOS très élevée (70 %), de nombreux pays comptent plus de 90 % d’appareils Android.

L'évolution sur l'année. Image Cloudflare

Quelques chiffres intéressants sont à noter, comme le fait que le trafic mondial a augmenté de 19 % sur 2025 ou que celui de Starlink a tout bonnement doublé. Google reste le moteur de recherche numéro un, suivi respectivement (et de très loin) par Bing, Yandex, Baidu et DuckDuckGo. L'Europe domine le monde en termes de vitesse et de qualité d'Internet avec les vitesses de téléchargement moyennes les plus élevées, l’Espagne se positionnant en première place du classement.

Deux tiers du trafic provenaient de Chrome en 2025, le Safari d'Apple se situant en deuxième place avec 15,4 % des parts de marché. Les deux navigateurs sont suivis par Microsoft Edge (7,4 %), Mozilla Firefox (3,7 %) et Samsung Internet (2,3 %). Safari reste de loin le plus populaire sur iOS : moins de 1 % des requêtes sont issues de DuckDuckGo, Firefox ou du chinois QQ Browser.

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7 bonnes raisons de s’offrir un VPN

Les VPN sont quasiment tout le temps en promotion, mais c’est à cette période de l’année que les tarifs deviennent véritablement indécents. Si les technophiles sont déjà équipés depuis belle lurette, d’autres hésitent encore à franchir le pas. Voici pourquoi vous devriez (enfin) sauter le pas.

Pour surfer enfin en toute sécurité

L’argument de la sécurité sur les Wi-Fi publics commence à dater, même s'il reste une base d'hygiène numérique indispensable. Mais l’intérêt d’une suite comme celle de Surfshark, c’est d'aborder la question dans sa globalité.

Plutôt que de se contenter d’un simple tunnel chiffré, l'éditeur propose une solution complète : un antivirus pour bloquer les logiciels malveillants, des outils de lutte contre le phishing ainsi que la fonction Alternative ID. Cette dernière permet de protéger votre identité en créant des alias, évitant ainsi que votre boîte mail principale ne finisse noyée sous le spam. Là où certains ne vendent qu'une brique technique, d'autres proposent désormais un véritable bouclier numérique.

Pour un Web (enfin) plus respirable

Sur certains points, on serait tenté de dire que l’Internet, c’était mieux avant. Aujourd'hui, le web est devenu une foire d’empoigne où les traqueurs vous suivent à la trace et où la publicité est devenue, n'ayons pas peur des mots, omniprésente.

Pour reprendre un peu le contrôle, la fonction de blocage intégrée au VPN est un allié redoutable. Ici, le travail de filtrage n’est pas effectué par votre machine, mais directement par les serveurs de Surfshark. Les avantages sont immédiats : vous économisez de la bande passante (un vrai plus en mobilité), vos pages s’affichent bien plus vite et, surtout, la protection s'étend à tous vos appareils, pas seulement à votre navigateur. C’est la fin des bannières intrusives, même au sein de vos applications mobiles.

Faire sauter les barrières virtuelles

Internet a été pensé comme une fenêtre ouverte sur le monde, une utopie sans frontières. Malheureusement, entre les querelles de droits et le maquis des réglementations, cette fenêtre ressemble chaque jour un peu plus à une porte close.

C’est le quotidien : cette vidéo YouTube indisponible, ce site US qui vous bloque à cause du RGPD, ou ces fonctions d'IA qui restent bloquées à la frontière européenne. Pour ne plus regarder le web par le petit bout de la lorgnette, enfilez votre cape d’invisibilité : avec Surfshark, vous vous « télétransportez » virtuellement dans plus de 100 pays en un clic.

Protéger ses données... et son portefeuille

S'offrir un VPN coûte souvent moins cher qu'un café en terrasse, mais c'est un investissement qui se rentabilise vite. L'outil permet de déjouer le « dynamic pricing », ces algorithmes qui gonflent les prix selon votre localisation ou le prestige de votre appareil.

L'exemple des locations de voiture est flagrant : les loueurs ajustent souvent leurs tarifs à la hausse si vous réservez depuis une grande capitale. En déplaçant votre curseur, les prix retrouvent leur sens commun. Même logique pour les services numériques (YouTube, Canva, streaming) dont les tarifs font le grand écart d'un continent à l'autre. L’abonnement « plein pot » n’est plus une fatalité.

Le peering, ce frein invisible

Il y a aussi la question, agaçante, du peering. Vous avez la fibre, un Mac de compétition, et pourtant, cette vidéo YouTube s’obstine à mouliner ou la mise à jour de macOS semble peser trois tonnes.

La faute à des accords d’interconnexion grippés entre votre opérateur et les serveurs de Google ou d’Apple. En chiffrant votre trafic, le VPN rend votre activité illisible pour votre FAI. Il ne sait plus si vous téléchargez un fichier système à Cupertino ou si vous regardez un stream. Résultat : vous contournez les bridages arbitraires et retrouvez enfin le débit pour lequel vous payez chaque mois.

Pour ceux qui veulent tester les nouveautés en premier

C’est le péché mignon de tout technophile qui se respecte : vouloir tester la nouveauté avant tout le monde. On ne compte plus les services, les plateformes de cloud-gaming ou les applications qui sortent d'abord aux États-Unis ou au Japon, laissant l'Europe sur le banc de touche pendant des mois.

Le VPN devient alors votre passeport pour ne plus subir le bon vouloir des déploiements progressifs. Que ce soit pour créer un compte sur un nouveau réseau social en vogue ou pour essayer des fonctions logicielles encore limitées géographiquement, vous n'avez plus besoin d'attendre qu'un obscur comité de validation daigne ouvrir les vannes pour le Vieux Continent. On change de pays en un clic, et le web s'aligne enfin sur votre curiosité.

Emporter sa télévision dans sa valise

Ceux qui voyagent souvent connaissent bien cette frustration. Vous payez vos impôts et votre redevance (ou vos abonnements premium) en France, mais dès que vous franchissez la frontière, vos services de Replay ou vos applications de streaming préférées vous claquent la porte au nez.

« Ce contenu n'est pas disponible dans votre région » : voilà le message qui vient gâcher votre soirée à l'hôtel. En utilisant Surfshark, vous « rentrez à la maison » virtuellement. Vous retrouvez votre JT de 20h, vos compétitions sportives sur les chaînes nationales ou votre catalogue Netflix habituel, exactement comme si vous étiez dans votre canapé. C’est le confort de la maison, partout dans le monde.

Prendre un VPN, oui mais lequel ?

Si l’offre est pléthorique, Surfshark a su se tailler une place de choix, notamment chez les utilisateurs Apple. Pourquoi lui plutôt qu’un autre ? D’abord pour son intégration exemplaire : l’application est disponible sur tous les terminaux d’Apple, y compris l’Apple TV. Depuis que tvOS 17 a ouvert les vannes, l’éditeur y propose une application native d'une simplicité désarmante pour débloquer les catalogues de streaming directement sur le téléviseur du salon, sans passer par des réglages réseau abscons.

L’autre point fort, c’est son pragmatisme. Là où la concurrence s’amuse à compter le nombre de vos appareils, Surfshark l’ignore superbement. Vous pouvez installer le service sur un nombre illimité d’appareils : du Mac Studio de compétition au vieil iPad qui traîne dans la cuisine, sans oublier l’iPhone de chaque membre de la famille. Un seul compte pour tout le foyer, sans aucune restriction de connexions simultanées.

Et bonne nouvelle : pour les fêtes de fin d’année, Surfshark fait fondre ses tarifs. L’abonnement Surfshark One tombe à 61,83 € HT (74,2 € TTC), avec trois mois offerts en prime. De quoi surfer l’esprit tranquille jusqu’en mars 2028 pour seulement 2,74 € par mois !.

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Flambée de la mémoire : les SSD Studio Drive bientôt touchés par une hausse de prix

En raison de la flambée des prix des mémoires NAND causée par le secteur de l'IA, les Studio Drive vont bientôt voir leurs tarifs augmenter. La boutique française Polysoft prévient sur son site qu’elle appliquera « la plus faible augmentation de prix possible (inférieure à 10 %) » quand elle rouvrira les commandes d’ici la fin décembre.

Tarifs actuels des Studio Drive

Les Studio Drive sont des SSD tiers qui permettent d’étendre la capacité de stockage d’un Mac Studio à un coût largement inférieur à ce que demande Apple. Par exemple, le Studio Drive M4 (pour Mac Studio M4) de 4 To est vendu 769 € et celui de 8 To 1 079 €, quand ces capacités sont facturées respectivement 1 500 € et 3 000 € sur l’Apple Store.

Les performances sont équivalentes à celles des barrettes Apple puisqu’il s’agit de la même mémoire flash et le fonctionnement est parfaitement transparent. Un second Mac est obligatoire pour effectuer le changement de SSD. Vous trouverez davantage de détails dans notre test de ce composant conçu par le spécialiste Gilles Aurejac :

Studio Drive : comment j’ai remplacé le SSD de mon Mac Studio au nez et à la barbe d’Apple

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Quel pourrait être l

Quel pourrait être l'impact de la RAMpocalypse sur Apple ?

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