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Comment Apple s’est pris les pieds dans le tapis avec son nouveau Siri
Apple s’est tiré une balle dans le pied en annonçant son nouveau Siri, censé pouvoir interagir avec ce qui est affiché à l’écran de l’iPhone en plus de pouvoir piocher dans les données personnelles de l’utilisateur. Cette refonte devait être l’argument phare d’Apple Intelligence, mais a été repoussée aux calendes grecques. Comment en est-on arrivé là ? Selon les sources de The Information, les déboires de Cupertino à ce niveau viendraient d’un manque de données à moissonner pour ses modèles, ce qui s’explique par sa politique très carrée sur la confidentialité des données. Mais les employés d’Apple interrogés évoquent également des conflits humains liés aux différentes manières de gérer les équipes.

En 2018, Apple débauchait John Giannandrea, un ancien de Google mis à la tête de l’équipe d’IA et qui a été immédiatement intéressé par Siri. À l’époque, les ingénieurs qui s’occupaient de l’assistant se sentaient délaissés par rapport à l’équipe logiciel de Craig Federighi, perçue au sein de l’entreprise comme très efficace. En face, les personnes interrogées décrivent le responsable des opérations de Siri Robby Walker comme quelqu’un ne souhaitant pas prendre de risque : l’un de ses plus gros projets récents est l’abandon du « Hey » de « Hey Siri », qui a passé deux ans en cuisine. Il a visiblement eu du mal a discerner l’intérêt de l’IA. L'année dernière encore, il aurait repoussé l’idée d’intégrer un LLM à Siri dans le but de lui donner une plus grande sensibilité émotionnelle face aux utilisateurs en détresse.
Bien qu’on lui ait soumis l’idée, John Giannandrea aurait refusé de changer la direction de Siri. Il a également manqué de vision concernant l’IA : il estimait que l’apprentissage automatique ne pouvait conduire qu’à des améliorations progressives. Il s’est aussi montré méfiant vis-à-vis du ChatGPT d’OpenAI, ne voyant pas la valeur ajoutée du service pour les utilisateurs.
Les relations entre l’équipe IA/Siri et celle de Federighi se seraient tendues au fil du temps. Giannandrea aurait la réputation d’être un manager plutôt décontracté et à l’écoute, là où Federighi serait connu pour poser des questions et être particulièrement exigeant. Des tensions auraient émergé sur certains points, comme le fait que les employés sous la direction de Giannandrea disposaient de plannings moins remplis, de meilleures payes et de promotions plus rapides.
Bien que les troupes de Craig Federighi ne soient pas focalisées sur l’aspect IA, le vice-président a tout de même mis sur pied une équipe d’une centaine d’ingénieurs spécialisés, surnommée Intelligent Systems. Gérée par Sebastien Marineau-Mes, celle-ci aurait construit ses propres modèles accompagnés de démos pour contrôler des apps par la voix… parfois sans faire appel à l’équipe Siri. Une source de tension supplémentaire qui n’a pas été aidée par le développement du Vision Pro.
Selon les témoins interrogées, le chef du casque Mike Rockwell avait de grandes ambitions pour Siri sur son produit. Il voulait par exemple que l’utilisateur puisse redimensionner une fenêtre par la voix, ou que plusieurs personnes puissent papoter avec l’assistant en même temps. Face à la difficulté de répondre à la commande, l’équipe Siri serait passée à côté d’un bon nombre d’idées. Les relations entre Mike Rockwell et John Giannandrea se seraient donc tendues, tout comme avec celles de Sebastien Marineau-Mes, dont les équipes ont tenté de collaborer sur un projet de commandes vocales pour le Vision Pro.
L’arrivée de ChatGPT fin 2022 a ravivé les tensions. John Giannandrea, pourtant en charge de la question de l’IA, ne se serait pas jeté sur la nouveauté, contrairement aux équipes de Federighi ayant rapidement mis sur pieds des démos et autres concepts tournant à l’aide des modèles d’OpenAI. Cependant, la direction d’Apple a imposé l’utilisation de ses propres moteurs, dont la création revenait aux troupes de Giannandrea. Entre 2023 et 2024, les résultats auraient été bien en deçà de ce que proposait alors OpenAI.

Est arrivée la WWDC 2024 et la présentation du nouveau Siri… qui n’était qu’un montage. L’équipe en charge de Siri l’aurait découvert avec surprise, étant donné que la seule nouveauté fonctionnelle à l’époque était l’effet coloré sur les bords de l’écran. En coulisses, les ingénieurs n’avaient même pas tranché sur l’approche à adopter. Ils ont pendant un temps envisagé d’intégrer un petit modèle de langage s’occupant des tâches simples, comme lancer un minuteur. Un second dans le nuage devait l’épauler en gérant les demandes plus complexes, comme réserver un taxi pour aller à un rendez-vous.
Ce compromis n’a pas fonctionné, et une option 100 % dans le nuage a été mise sur la table. Celle-ci a amené d’autres changements techniques importants, frustrant certains employés et en incitant certains à claquer la porte. Face à cette bérézina, décision a été prise de repousser la sortie de ce nouveau Siri. John Giannandrea et son lieutenant Robby Walker ont donc été remplacés par Craig Federighi et Mike Rockwell, auparavant à la tête de la division Vision Pro. Ce changement pourrait donner un nouveau souffle à l’assistant : Craig Federighi aurait demandé de construire « les meilleures fonctions d’IA », quitte à se baser sur des modèles open source de la concurrence.
WhatsApp reçoit une fonction de scan de documents et plusieurs autres nouveautés
WhatsApp reçoit une longue liste de nouvelles fonctions et d'améliorations. On ne les listera pas toutes, elles sont détaillées ici. Parmi celles situées dans les tréfonds de l'app, il y a une fonction pour scanner un document et l'envoyer aussitôt en PDF dans une conversation. WhatsApp utilise les API d'iOS, qui détectent les contours d'un document et permettent d'enchainer les scans puis d'envoyer le tout d'une seule traite. Il faut ouvrir le tiroir des pièces jointes sous le champ de saisie, sélectionner « Document » et toucher « Numériser le document ». Le reste coule de source.

Ensuite, sur iPhone, le pincer pour zoomer est possible dans une visio pour agrandir le visage de son interlocuteur ou le sien (les appels vidéos sont par ailleurs promis comme étant plus fluides). Un détail noté dans les conversations : on peut voir combien de personnes sont actuellement en ligne. C'est inscrit en petit sous le nom du groupe. On ne saura pas qui est là, mais au moins on pourra voir si on n'est pas tout seul.

WhatsApp a également ajouté un moyen de reprendre une réaction rapide déjà utilisée sur un commentaire pour l'envoyer soi-même et gagner ainsi du temps. Cette fonction ne semblait pas encore présente chez nous.
Pour réduire le volume des notifications lorsqu'on est dans des groupes très actifs, la mise à jour permet de les hiérarchiser grâce à une option "Notifications pour". On pourra choisir de ne recevoir que celles liées à une mention, un message ou une réponse provenant d'un contact enregistré.

WhatsApp peut remplacer Téléphone et Messages dans iOS 18
Enfin, nous avons remarqué sur 2 iPhone la disparition de la fonction d'IA lancée il y a peu. Le petit anneau coloré qui la symbolise n'apparaît plus sur la liste des conversations. Il y était toujours sur un 3e iPhone et dans Messenger.

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Android 15 : la détection des vols à l’arraché serait un peu trop sensible
Android 15 apporte une nouvelle fonction de détection des vols à l’arraché. En théorie bien pratique, celle-ci utilise le machine learning pour détecter si le smartphone a été arraché des mains de son propriétaire par un malotru parti en courant. Le système verrouille alors automatiquement le téléphone, et peut également se manifester quand le mode avion est activé de manière louche (ce que font généralement les voleurs). Malheureusement, il semble que Google a sorti sa fonction un peu vite du four : plusieurs utilisateurs se plaignent que la protection s’active régulièrement toute seule.
Le souci a été mis en lumière par Android Authority, qui a déniché un fil de témoignages sur Reddit. Certains expliquent que la protection s’est activée pendant un footing, ou plus simplement lorsqu’ils sont dans le bus. « Cela s’active chez moi plusieurs fois par jour, mais je marche vite », confie l’un. « Cela se produit environ une fois par jour sur mon Samsung, mais je m'y suis habitué », ajoute l’autre. Les témoignages ne sont pas particulièrement nombreux, mais sont unanimes sur les faiblesses de la protection qui était déjà critiquée dans d’autres discussions il y a plusieurs mois.
AndroidAuthority indique que l’algorithme était beaucoup moins sensible à son lancement : on peut donc imaginer que Google l’a rendu plus alerte au fil du temps. Il se base principalement sur l’accéléromètre du téléphone afin de détecter un mouvement brusque. Les utilisateurs n’ont pas l’air spécialement dérangés, la protection se contentant de verrouiller le smartphone et d’exiger un code en plus d’afficher une notification. Il vaut mieux pour Google que son système soit trop sensible que pas assez, mais l’entreprise a visiblement encore de la marge pour s’améliorer. Rappelons que cette fonction est désactivable dans les paramètres du téléphone.
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L’iPhone 16e rejoint le programme de réparation en libre-service d’Apple
Cela n’aura pas traîné : l’iPhone 16e est désormais éligible au Self Service Repair, le programme d’Apple permettant aux particuliers de réparer leur iPhone à la maison. Le manuel de réparation du téléphone a été mis en ligne, tandis que les pièces peuvent être commandées sur la boutique dédiée. Différents composants sont proposés, allant de la batterie à l’écran en passant par l’appareil photo ou le support pour carte SIM.

Une nouvelle batterie est facturée 109 €, sachant qu’un crédit sera accordé après le retour de la pièce remplacée (elle revient alors à 56,68 €). L’écran coûte 269 € ou 255,55 € après crédit, et la caméra TrueDepth 229 € (ou 171,75 €). Rappelons qu’il faudra pour l’occasion louer un lot d’outils Apple à 55,20 € la semaine.
Apple a également ajouté ses autres machines sorties au mois de mars. Les manuels pour les MacBook Air M4 de 13 et 15 pouces sont en ligne, tout comme celui du Mac Studio 2025. Les pièces pour les iPad Air M3 et l’iPad 11 ne sont pas disponibles, la tablette n’étant pour le moment pas couverte par ce programme.

Les pièces et outils pour réparer les Mac M4 déjà disponibles sur le site self-repair d'Apple
Le Self Service Repair a été lancé fin 2022 et ne concernait alors que les iPhone 12/13 et les MacBook M1. Apple l’a petit à petit élargi à d’autres machines, qui arrivent de plus en plus rapidement. La manœuvre se destine évidemment aux gens à l’aise avec la réparation, d’autant plus qu’elle n’est pas toujours très intéressante d’un point de vue économique.
Les marchés mondiaux continuent leur dégringolade
[MàJ] Changement de braquet, l'essentiel des nouvelles taxes sont suspendues ce qui a permis à l'action APPL de rebondir de 15%. Seule la Chine est maintenant concernée, tout du moins pour les 90 prochains jours. Apple va donc certainement faire travailler au maximum les usines Indiennes pour échapper aux droits de douane.
Tous les marchés mondiaux continuent leur descente depuis la semaine dernière et la flambée des taxes d'importation aux Etats-Unis et les mesures de rétorsions prises ou en cours d'étude dans le reste du monde.
Apple reste tout particulièrement touchée avec maintenant une baisse de plus de 19% de son cours en cinq jours.
La raison en est simple, la société se retrouve sous plusieurs feux.
Pour commencer, ses produits vont devenir beaucoup plus chers à l'achat aux Etats-Unis, étant fabriqués essentiellement en Chine et en Inde. A moins d'un miracle il sera difficile d'échapper à une hausse de tarif dont le pourcentage sera à deux chiffres, et encore en rognant sur ses marges.
Dans le même temps, l'Europe pour ne parler que d'elle s'apprêterait à taxer les GAFAM sur leurs services. En résumé, Apple pourrait voir le coût de ses services être imposés très lourdement en Europe, de quoi les renchérir très significativement et donc forcément faire baisser le volume de ventes.
Elle va donc devoir faire face à une double punition qui ne pourra qu'avoir un effet néfaste sur ses bénéfices, et sur laquelle la géante de la tech est remise assez sévèrement à sa place, celle d'une société commerciale.
Elle ne sera bien entendu pas la seule entreprise à souffrir, loin de là, mais ce n'était clairement pas le meilleur moment de son histoire récente pour avoir à gérer cette crise.
En passant, il sera très intéressant cette année de suivre le discours inaugural de la WWDC pour voir comment Apple va gérer aussi SA crise de l'IA.
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Promo : le Quest 3S avec Batman : Arkham Shadow à seulement 299,99 € (-9 %)
Amazon affiche aujourd’hui une bonne ristourne sur le casque Quest 3S de Meta : il revient à seulement 299,99 €, soit 30 € de moins que son tarif habituel. Il s’agit de son prix le plus bas, et le produit est livré avec le sympathique jeu Batman : Arkham Shadow. Le casque embarque 128 Go de stockage ce qui devrait suffire à une majorité de clients. Le même tarif est proposé à la Fnac, une alternative intéressante si vous avez des cartes cadeaux ou des bons de réduction. Notons tout de même qu’Amazon propose une remise de 7 % sur le modèle 256 Go, qui tombe à 409 €.

Le Quest 3S est un produit à l’excellent rapport qualité prix. Le dernier arrivé de la gamme de Meta embarque la même puce Snapdragon XR2 Gen2 que le Quest 3 ainsi que des caméras couleur. On est certes loin de la qualité du Vision Pro, mais l’appareil en fait tout de même beaucoup : on pourra jouer ou regarder des vidéos dans de bonnes conditions, sachant que la batterie n’est pas déportée.
Nous avions testé ce casque à sa sortie, et le produit nous avait plus que convaincus. Le confort est correct, le son est bon et l’autonomie de 2:30 habituelle sur ce type d’appareil. Les lentilles sont un poil en dessous de celles du Quest 3, mais resteront suffisantes pour découvrir le gros catalogue d’apps et de jeux VR. Un essai de 3 mois à l’abonnement Meta Quest+ est inclus, ce qui vous permettra d’accéder à différents jeux sans surplus.
Apple Watch : une noyade évitée et un cancer détecté à temps
La série « l'Apple Watch sauve des vies » s'est enrichie de nouveaux épisodes venus d'Océanie. En Nouvelle-Zélande, les relevés de santé de la montre ont conduit à la détection d'un cancer. Amanda Faulkner a raconté au New Zealand Herald que sa toute nouvelle Series 10 ne cessait de l'alerter, au travers de l'app Signe vitaux, de rythmes cardiaques anormaux lorsqu'elle dormait. Sa fréquence, habituellement située autour de 55 bpm, grimpait régulièrement à 90 battements et plus. Ces alertes ne souffraient d'aucun répit.

Après avoir envisagé une anomalie de sa montre, les effets d'une activité professionnelle assez dense ou encore de sa ménopause, Amanda Faulkner s'est tournée vers son médecin à qui elle a fourni les relevés consignés dans l'app Santé. Il l'a aussitôt envoyée aux urgences où une analyse sanguine a révélé la présence d'une leucémie aigüe myéloïde, une forme de cancer. À quelques jours près, sans ce diagnostic, son état de santé aurait pu avoir des conséquences irrémédiables. Aujourd'hui elle n'est pas encore guérie, mais en traitement. Cette app Signes vitaux lui aura permis de prendre conscience que quelque chose ne tournait pas rond.

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L'Apple Watch serait un bon outil pour suivre l'évolution d'un traitement contre le cancer
La seconde histoire vient d'Australie où un homme a été sauvé de la noyade après avoir pu joindre les secours par téléphone depuis sa montre. Cela s'était produit l'été dernier et Apple a reconstitué la scène avec le principal intéressé. Rick Shearman était parti nager au large de Byron Bay (Est de l'Australie), il s'était retrouvé pris dans une mer houleuse avec de fortes vagues et des courants qu'il l'ont emmené à plus d'un kilomètre du rivage.

Sentant l'épuisement le gagner et voyant qu'il ne pourrait pas rejoindre la côte tout seul, il a appelé les secours — avec la fonction idoine qui transmet aussi la position — sur son Ultra. Il a pu décrire l'urgence de sa situation (il faut bien sûr avoir un modèle cellulaire, c'est le cas par défaut sur la gamme Ultra, et un forfait téléphonique associé si aucun iPhone ou Wi-Fi n'est à proximité).
Il y a un moment involontairement drôle dans le clip lorsque son interlocuteur lui demande de « rester au téléphone » pendant qu'il organise l'envoi d'un hélicoptère, tandis que Shearman est au beau milieu de l'océan. Le nageur a pu être récupéré sain et sauf.

Trois skieurs sauvés par une Apple Watch après une chute de 300 mètres
Au Japon aussi l’iPhone tire parti de Starlink Direct to Cell
Après les États-Unis, le Japon. L’opérateur nippon « au » (filiale de KDDI) a annoncé la mise en place pour ses clients de Starlink Direct, un service qui permet aux iPhone de se connecter directement aux satellites de SpaceX en cas de zone blanche.

Les satellites Direct to Cell disposent d’un modem LTE (eNodeB) qui fonctionne comme une antenne-relai de téléphonie mobile dans l'espace. Pas de modification matérielle ni même logicielle spéciale à apporter sur les smartphones, mais cette technologie requiert un partenariat entre Starlink et un opérateur terrestre pour l’intégration du réseau.

Quand ils se trouvent dans une zone sans couverture cellulaire, les clients d'au peuvent maintenant continuer à envoyer des SMS, des iMessage ou des messages RCS. Lors de l’utilisation de cette fonctionnalité satellite fournie par l’opérateur, l’iPhone affiche « SAT » dans la barre d’état. En revanche, Starlink Direct ne fournit pas de connexion internet. Le service est gratuit pour l’instant et il faut au moins un iPhone 14 pour en profiter.

Tous les détails de la connexion Starlink sur iPhone par T-Mobile
Adobe fait miroiter des nouveautés d’IA pour Photoshop, Premiere, Express et Acrobat
Adobe a de grandes ambitions pour l’IA dans ses logiciels. L’entreprise vient de publier un billet de blog dans lequel elle détaille la façon dont elle envisage d’incorporer des « agents IA » dans Photoshop, Première ou même Acrobat. Certaines idées sont intéressantes, l’entreprise voyant ces IA comme une bonne manière d’apprendre à effectuer certaines manipulations pointues.

Dans Photoshop par exemple, un « agent IA » devrait prendre la forme d’une fenêtre supplémentaire avec une zone de texte. La nouveauté va tout d’abord analyser l’image avant de suggérer plusieurs modifications : on pourra ainsi rapidement supprimer des passants ou de changer la couleur du ciel. Il sera également possible de décrire une modification complexe, comme d’ajouter du texte avec un dégradé de couleur derrière une personne.
L’IA ne va pas se contenter de tout faire, mais va aussi montrer les nombreuses étapes de l’opération. Éclaircir l’image, créer un calque « sujet » un second pour le texte, les organiser… Ces différentes étapes pourront être reprises et modifiées par l’utilisateur, qui pourra ensuite demander d’autres retouches.

Pour ce qui est de la vidéo dans Premiere, Adobe veut construire un « agent IA » en se basant sur une de ses récentes nouveautés analysant en profondeur le contenu des vidéos. Elle permet d’en retrouver facilement un élément (par exemple un objet ou un plan spécifique). Dans le futur, Adobe voudrait que l’IA puisse aider les monteurs sur différents aspects : choix de plans, ajustement des couleurs, mixage du son… L’entreprise a récemment lancé différentes nouveautés pour ce logiciel, comme une IA pouvant allonger légèrement un plan trop court ou une traduction de sous-titres dans 27 langues.
Adobe a également promis des « agents IA » dans Acrobat, où ils pourront par exemple effectuer des recherches dans un PDF et répondre à des questions. Express (un outil de conception graphique abordable) pourrait gagner quelque chose d’assez similaire à Photoshop. On devrait en savoir plus le 24 avril prochain à l’occasion du grand évènement annuel de la marque, qui aura lieu à Londres.
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L’Apple Watch pourrait-elle vraiment accueillir Apple Intelligence ?
Une rumeur d’une source peu fiable évoque l’arrivée d’Apple Intelligence dans une future Apple Watch Ultra, qui serait équipée d’une puce spécifique plus puissante pour ce besoin. L’information est fournie par le site israélien The Verifier (via) qui a rarement vu juste ces derniers temps, alors autant dire qu’il faut la prendre avec un gros grain de sel. Néanmoins, cela pose une question intéressante : est-ce que la montre avec sa puissance très limitée pourraient offrir les fonctionnalités d’intelligence artificielle conçues par Apple ?

Pour rappel, Apple a suivi une approche différente de la majorité de l’industrie, en pariant sur des tâches réalisées en local, en association avec des serveurs. Là où Google ou Amazon comptent exclusivement sur des serveurs et peuvent ainsi offrir les fonctionnalités à tous leurs utilisateurs, ce choix impose des restrictions plus importantes sur le matériel pommé compatible. Il faut une puce suffisamment puissante et 8 Go de mémoire vive, autant d’éléments qui sont loin du compte pour la montre, qui doit se contenter d’un processeur à deux cœurs économes repris de l’Apple A16 (une puce de 2022) et surtout d’un seul gigaoctet de mémoire1.
Si on voulait faire tourner Apple Intelligence sur une Apple Watch, il faudrait sérieusement augmenter la puissance de la puce S. Plus que des cœurs CPU plus rapides, il faudrait un moteur neuronal beaucoup plus puissant que celui à quatre cœurs que l’on trouve dans les générations actuelles, c’est quatre fois moins que dans l’A18. Il faudrait aussi beaucoup plus de mémoire vive, autant d’exigences techniques qui vont finir par coincer sur un appareil aussi compact qu’une montre connectée. Il faut de la place pour caler tous ces composants et encore plus pour intégrer la batterie nettement plus grosse qui serait nécessaire pour préserver l’autonomie.
Alors qu’Apple vient d’affiner sa montre avec la Series 10, ces exigences tombent mal. C’est peut-être pour cela d’ailleurs que l’Ultra 3 est évoquée par la rumeur, ce serait le choix le plus logique pour gonfler la partie technique. On pourrait imaginer qu’Apple distingue encore plus les deux gammes en augmentant légèrement la taille de l’Ultra, de quoi glisser une plus grosse batterie. Malgré tout, on voit mal l’Apple Watch atteindre le niveau technique des iPhone, iPad et Mac et il faudrait sans doute prévoir des compromis sur les fonctionnalités proposées. The Informer indique que deux volets pourraient se retrouver au poignet : les Genmojis et le nouveau Siri.
Le premier est le seul que l’on connaît actuellement, le nouveau Siri étant sérieusement en retard. Les genmojis peuvent créer des emojis à partir de vos requêtes, une tâche effectuée en local et plus gourmande qu’on le croit, du moins si on en juge à la chaleur dégagée par les iPhone lorsqu’ils génèrent ces petites images. Quant à Siri, son analyse des données personnelles doit être effectuée en local et ce sera aussi probablement une opération lourde et qui demandera des ressources importantes, sans doute trop pour une montre.

Outre les processus effectués en local, Apple Intelligence repose aussi sur des serveurs mis en place par l’entreprise pour les tâches les plus complexes et c’est peut-être la clé pour ajouter ces fonctionnalités à tous ses appareils. Même si ce n’est pas la philosophie d’Apple jusque-là, on pourrait imaginer un Apple Intelligence qui tourne presque uniquement sur les serveurs quand il est utilisé depuis une Apple Watch. Ce pourrait être la bonne occasion pour passer les modèles cellulaires à la 5G et insister sur l’intérêt d’une connexion permanente… même si le modem est un composant qui consomme aussi énormément d’énergie. Le choix de restreindre la fonctionnalité à l’Ultra aurait, ici encore, tout son sens.
Reste une dernière interrogation : apporter Apple Intelligence à l’Apple Watch ne sera peut-être pas la priorité pour Apple en 2025. Face au retard des fonctionnalités annoncées il y a près d’un an, on imagine que la firme de Tim Cook a déjà fort à faire avec ses autres appareils. Il lui faudra malgré tout une stratégie pour amener Apple Intelligence à ses produits plus légers, parmi lesquels on peut aussi compter les HomePod qui tournent d’ailleurs grâce à des puces pour Apple Watch.
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Apple ne donne aucun chiffre et on ne peut pas récupérer aisément l’information, alors il s’agit en grande partie de spéculation. ↩︎
Ballie : le petit robot de Samsung arrivera cet été avec l’IA Gemini intégrée
Dévoilé en 2020, le robot Ballie de Samsung devrait finalement arriver cet été. Cette petite boule jaune peut se déplacer à la manière d’un Roomba, enregistrer des vidéos et répondre à différentes commandes vocales. Le fabricant coréen a confirmé travailler main dans la main avec Google pour lui greffer de nouvelles fonctions d’IA génératives. Elles devraient lui permettre de papoter de façon naturelle, en plus de le rendre plus proactif.

« Ballie sera capable d'engager des interactions naturelles […] pour aider les utilisateurs à gérer leur environnement domestique, notamment en réglant l'éclairage, en accueillant les gens à la porte, en personnalisant les emplois du temps, en programmant des rappels et bien plus encore », indique le communiqué. Samsung évoque la possibilité de demander au robot ce qu’il pense d’une tenue (qu’il analysera grâce à ses caméras), ou encore de solliciter ses conseils sur différents sujets. Il se basera alors sur des recherches Google.
Les réponses ne sont pas simplement dictées par haut-parleur : le robot intègre de quoi projeter une vidéo sur un mur. L’appareil se base sur la plateforme Samsung SmartThings pour les aspects domotiques et fonctionne grâce au système Tizen. Il peut donc diffuser des vidéos provenant de YouTube ou de Netflix. Ballie arrivera dans un premier temps aux États-Unis et en Corée du Sud, sachant qu'il ne comprendra que l'anglais américain ou le coréen. Le prix n’a pas été communiqué, mais une page dédiée permet de laisser son mail pour être tenu au courant.

Cette annonce marque une nouvelle étape dans les relations Samsung - Google. Dans son communiqué, le coréen indique que ce partenariat fait suite à l'intégration réussie de Gemini sur ses derniers smartphones Galaxy. Les deux compères travaillent également sur un casque de réalité mixte, qui devrait arriver dans l’année.
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Orange lance deux nouvelles Livebox Wi-Fi 7 (bibande) et revoit ses offres fibre
Gros changements chez Orange. Pour contrer une concurrence qui ne s’est pas tourné les pouces, l’opérateur historique revoit toutes ses offres de fibre optique et dévoile deux Livebox Wi-Fi 7. Le nouveau catalogue comprend de bonnes améliorations, mais aussi de mauvaises surprises.
Comme ses petits camarades, Orange impose maintenant des frais de mise en service aux nouveaux abonnés. Ceux-ci s’élèvent à 49 € pour les offres Orange et 39 € pour Sosh. Seules les personnes éligibles à l’offre sociale Coup de Pouce Internet échappent (heureusement) à ces frais. Maigres lots de consolation : le start-over (pour reprendre depuis le début un programme en cours) et la TV d’Orange sur TV connectée sont inclus dans toutes les offres avec décodeur.

Séries spéciales Livebox
Le catalogue est toujours composé de cinq offres, toutes liées à un engagement d’un an. Comme nous le révélions dès mars, en entrée de gamme, la Série Spéciale Just Livebox Fibre passe de 400 Mb/s symétriques à 1 Gb/s en réception et 700 Mb/s en émission. Elle garde la Livebox 5 (Wi-Fi 5) et ne comprend pas de décodeur pour la télévision. Elle coûte toujours 19,99 €/mois pendant six mois, puis 33,99 €/mois.
Malgré cette grosse accélération, cette offre n’a pas grand intérêt. La boîte Sosh comprend des prestations quasi identiques pour 25,99 €/mois sans engagement. Bouygues Telecom et Free ont, eux, musclé significativement leurs formules sans télé avec d’un côté B&You Pure fibre (jusqu’à 8 Gb/s, Wi-Fi 6E) à 23,99 €/mois et de l’autre la Freebox Pop S (jusqu’à 5 Gb/s, Wi-Fi 7 bibande) à 24,99 €/mois.
Pas de changements de débits pour la Série Spéciale Livebox Fibre (1 Gb/s en réception, 700 Mb/s), mais un tout nouveau routeur. La Livebox 5 est remplacée par la Livebox S. Le décodeur TV UHD reste en place. Pas de changement de prix : 39,99 €/mois.
Livebox S : un nouveau routeur Wi-Fi 7 (bibande)
La Livebox S ressemble globalement aux Livebox 6/7 (les modèles verticaux), sauf que son petit écran est placé sur la face principale et non sur le côté. Elle emploie la technologie GPON, ce qui signifie qu’elle gère la fibre optique jusqu’à 2,5 Gb/s.

Pour la partie sans fil, contrairement à ce que nous avions annoncé fin mars, elle n’est pas juste compatible Wi-Fi 6, elle prend aussi en charge le Wi-Fi 7. D’après nos informations, Orange a décidé d’activer au dernier moment la nouvelle norme par le biais d’une mise à jour logicielle. La box est donc certifiée Wi-Fi 6 auprès de la Wi-Fi Alliance, tandis que la certification Wi-Fi 7 arrivera plus tard.
Comme la Freebox Pop, la Livebox S a beau être compatible Wi-Fi 7, elle ignore la bande des 6 GHz (celle qui offre la plus grande vitesse à courte portée) pour se concentrer sur les bandes 2,4 et 5 GHz. Orange annonce malgré tout une connexion jusqu’à trois fois plus rapide et plus stable qu’en Wi-Fi 5.
La Livebox S est présentée comme plus écoresponsable que la Livebox 5 qu’elle remplace dans certaines offres. Selon Orange, son impact carbone est inférieur de 30 % et elle consomme moins que les box Wi-Fi 7 des autres opérateurs. Elle dispose d’un mode éco (seule la ligne fixe reste active) et d’un mode arrêt (tous les services sont désactivés) déjà vus dans les Livebox 6/7. Pour son bloc d’alimentation, le FAI a reconditionné des alimentations d’anciennes Livebox 4/5.
Par ailleurs, elle intègre un crayon optique. Grâce à ce nouvel outil, l’installation de la fibre peut être réalisée sans l’intervention d’un technicien à domicile, à condition évidemment que le logement soit déjà équipé d’une prise fibre. Ce crayon optique permettra aussi aux techniciens de diagnostiquer certains problèmes de fibre à distance.
Livebox Fibre : jusqu’à 2 Gb/s, Livebox S
Double amélioration pour l’abonnement Livebox Fibre. D’une part, les débits augmentent : 2 Gb/s en réception et 800 Mb/s en émission au lieu de 1 Gb/s et 700 Mb/s respectivement. D’autre part, la Livebox 5 passe le relais à la Livebox S. Pas d’évolution matérielle pour la partie télé, c’est encore le décodeur TV UHD qui est fourni. Le prix ne bouge pas : 29,99 €/mois pendant un an, puis 42,99 €/mois.

Livebox Up Fibre : jusqu’à 8 Gb/s symétriques, Livebox 7 Wi-Fi 7
On continue de tourner les pages du catalogue pour arriver à la Livebox Up Fibre, l’offre qui bénéficie des plus gros gains. Les débits maximum passent de 2 Gb/s en réception et 800 Mb/s émission à 8 Gb/s symétriques. Cette vitesse supersonique de téléchargement était jusque-là réservée à la formule Livebox Max Fibre. La Livebox Up Fibre rattrape ainsi les abonnements Freebox Ultra, SFR Fibre Premium et Bbox ultym en matière de débits qui crèvent le plafond.
Les 8 Gb/s sont toujours sous réserve d'éligibilité. Vous pouvez voir si vous y avez droit ou bien si vous êtes limité à 2 Gb/s sur la carte de couverture de l'opérateur.
Au niveau matériel, le décodeur TV 6 prend la place du décodeur TV UHD. Changement aussi pour le routeur : la Livebox 6 (Wi-Fi 6E) est remplacée par la « nouvelle Livebox 7 ». L’offre est facturée 39,99 €/mois pendant un an (auparavant, c’était 34,99 €/mois pendant six mois), puis 51,99 €/mois.
La Livebox 7 passe au Wi-Fi 7 (bibande aussi)
Histoire de bien perdre tout le monde, Orange lance une nouvelle box dont le nom officiel est « nouvelle Livebox 7 ». Pour rappel, la Livebox 7 de première génération était sortie en 2023 et s’apparentait à une Livebox 6 un peu plus grosse adaptée au 8 Gb/s. Les deux modèles étaient compatibles Wi-Fi 6E.
La Livebox 7 v2 — on se permet de l’appeler ainsi — adopte le Wi-Fi 7. Elle a la certification Wi-Fi 7 auprès de la Wi-Fi Alliance, ce qui est normalement gage d’interopérabilité parfaite et de sécurité. La Bbox WiFi 7 a aussi ce label, mais pas encore la Freebox Ultra.

Mais comme la Livebox S, la Livebox 7 v2 prend en charge le Wi-Fi 7 uniquement sur deux bandes (2,4 et 5 GHz). La bande des 6 GHz, qui était gérée par les Livebox 6/7, passe à la trappe. D’après Orange, la bande des 6 GHz était très peu utilisée sur ces Livebox (seulement 5 % des connexions), ce qui justifierait en partie son abandon.
Sauf que plus le temps passe, plus les appareils prenant en charge cette bande de fréquences sont nombreux (MacBook Pro M2, MacBook Air M3, iPhone 15 Pro, iPad Pro M2…). À courte portée, la Livebox 7 v2 devrait fournir une connexion moins rapide que les Livebox 6/7 avec les terminaux compatibles 6 GHz. L’opérateur communique sur « une connexion jusqu'à 70% plus rapide qu'en Wifi 6 ». Cette amélioration vaut « en 5 GHz lorsqu'on est éloigné de la Livebox » et avec des équipements Wi-Fi 7.

Wi-Fi 6E : le Wi-Fi 6 dans la bande des 6 GHz

C’est quoi, le Wi-Fi 7 ?
Orange légitime aussi le retrait des 6 GHz par la très courte portée de cette bande de fréquences et les interférences qu'elle cause. Plutôt que les performances, l'opérateur préfère insister sur la consommation réduite de sa nouvelle Livebox 7. Celle-ci dispose d’un nouveau « Wifi Intelligent » qui désactive automatiquement le 5 GHz quand il n'est pas indispensable pour réduire la consommation électrique jusqu'à 30 %. Quand la bande des 2,4 GHz arrive à saturation, la box rallume les 5 GHz et bascule dessus (de manière transparente, normalement) les appareils qui en ont besoin. Selon nos informations, ce mode pourrait être déployé dans d’autres Livebox dans le futur.
Livebox Max Fibre
Et pour finir, la formule la plus chère, la Livebox Max Fibre, gagne logiquement la nouvelle Livebox 7 v2. Les débits n’évoluent pas. Il faut dire qu’ils étaient déjà sur 8 Gb/s au maximum. Elle coûte 47,99 €/mois la première année (contre 39,99 €/mois pendant six mois avant) puis 57,99 €/mois. Cet abonnement se différencie de la Livebox Up Fibre par la disponibilité de trois répéteurs Wi-Fi 6 au lieu d’un, du service Orange Cybersecure et de réductions supplémentaires sur des services de streaming.
Pour vous y retrouver, voici ci-dessous un tableau qui récapitule les principaux changements.

Télécharger facilement playlists, chaînes et vidéos YouTube : 4K Video Downloader+ 25.0.0 répond à tous vos besoins
Vous récupérez souvent des vidéos YouTube pour les consulter hors ligne ? Vous gérez des playlists, suivez des chaînes thématiques ou travaillez avec du contenu en ligne ? Alors vous savez à quel point le téléchargement de vidéos peut vite devenir un casse-tête. Liens à copier, qualité à choisir, organisation manuelle… les outils classiques montrent vite leurs limites.

C’est précisément là que 4K Video Downloader+ entre en jeu. Et sa version 25.0.0 va encore plus loin.
Téléchargement direct de playlists et de chaînes depuis un menu contextuel, navigation visuelle repensée, gestion claire des pistes audio, meilleure stabilité sur YouTube et YouTube Music : cette mise à jour coche toutes les bonnes cases — sans complexifier ce qui fonctionne déjà.
4K Video Downloader+ s'améliore (encore) !
Télécharger des vidéos YouTube, gérer des playlists longues comme le bras, jongler entre plusieurs formats audio ou éviter les erreurs au moment de rapatrier une chaîne complète... voilà des tâches bien connues de celles et ceux qui manipulent régulièrement du contenu en ligne. Et souvent, les outils disponibles sont soit trop limités, soit inutilement compliqués.
4K Video Downloader+ entend résoudre ces problèmes, sans surcharger l’expérience. Avec sa version 25.0.0, le logiciel propose des améliorations très concrètes : téléchargement direct de playlists et de chaînes depuis un menu contextuel, vitesse accrue, vignettes plus lisibles, et bien d’autres raffinements utiles au quotidien. Une mise à jour pensée pour gagner du temps, sans perdre la main.
Télécharger une playlist YouTube en un clic (et sans copier-coller)
C’est la grande star de cette version : la possibilité de télécharger des playlists ou des chaînes YouTube entières directement depuis le menu contextuel de la liste des téléchargements.
Le principe est limpide. Vous lancez un téléchargement classique d’une vidéo YouTube. Une fois l’élément ajouté à la liste, cliquez sur les trois petits points situés à droite. Et là, magie : si cette vidéo fait partie d’une playlist ou d’une chaîne, un menu déroulant vous proposera de rapatrier tout le reste. Simple. Intuitif. Efficace.
Plus besoin de copier l’URL de la playlist, de jongler entre navigateur et application, de valider quinze fois une boîte de dialogue. Tout est intégré là où vous en avez besoin, et ça change radicalement la donne.
Mieux encore, si des abonnements sont disponibles, vous pouvez vous y abonner en quelques clics depuis ce même menu. Et si l’option est activée, chaque nouvelle vidéo publiée viendra s’ajouter automatiquement à votre collection offline, sans que vous ayez à lever le petit doigt.
C’est exactement le genre de fonction qui transforme une bonne app en outil indispensable — surtout pour celles et ceux qui suivent de près des chaînes de formation, des playlists de conférences, des séries documentaires ou tout simplement leurs vidéastes favoris.
Un moteur de téléchargement repensé
Mais cette version ne se contente pas de vous faire gagner du temps sur les clics. Elle revoit aussi la manière même dont les playlists sont traitées. Avant, il fallait attendre que l’ensemble de la playlist soit analysé avant que le téléchargement commence. Un goulot d’étranglement parfois frustrant, surtout avec de longues listes.
Aujourd’hui, le téléchargement s’enclenche dès l’analyse des premiers éléments, grâce à une meilleure parallélisation des tâches. Cela se traduit concrètement par moins de latence, une sensation de réactivité immédiate et un gain de temps particulièrement appréciable sur les séries longues.
Pour les pros qui doivent traiter du contenu en masse, ou pour les power users qui gèrent leurs vidéos comme des bibliothèques bien rangées, c’est un vrai plus.

Navigation visuelle : place aux vignettes XXL
Côté interface, le logiciel a également gagné en lisibilité. Les vignettes qui accompagnent les vidéos s’affichent désormais dans un format plus large, plus confortable à l’œil, au moment de la prévisualisation d’une playlist ou d’une chaîne.
Et ce n’est pas tout. Si le mode intelligent (Smart Mode) est désactivé, un nouveau bouton permet d’agrandir encore davantage l’affichage, tout en conservant un maximum d’éléments visibles à l’écran. Le tri visuel devient plus rapide, plus intuitif, et surtout plus agréable.
Autre détail bien pensé : le survol de la souris déclenche un aperçu agrandi de la vignette sans avoir besoin de cliquer ni d’attendre un chargement. Ce genre de micro-interaction fluide contribue grandement à améliorer l’expérience globale, sans bouleverser les habitudes.
Des pistes audio plus lisibles et mieux identifiées
Là encore, c’est une amélioration qui a du sens. Lorsqu’on télécharge une vidéo YouTube (et que le Smart Mode est désactivé), les différentes pistes audio sont désormais clairement identifiées : piste par défaut, version originale, piste descriptive, piste commentée…
C’est particulièrement utile pour les contenus multilingues, les vidéos éducatives ou les documents adaptés, où la bonne piste fait toute la différence. Plus besoin de deviner ou de refaire un téléchargement pour tomber sur la bonne version.
Moins d’erreurs, plus de vitesse : YouTube et YouTube Music optimisés
Ceux qui utilisaient l’application régulièrement le savent : les erreurs 403 ("Forbidden") étaient parfois le grain de sable dans la machine bien huilée. Avec cette version, l’analyse des liens YouTube et YouTube Music a été renforcée, réduisant considérablement ces interruptions inopinées.
En parallèle, les performances globales de téléchargement sont en hausse, avec une reprise de la qualité audio à 256 kbit/s, qui avait disparu depuis quelque temps.
La gestion des chaînes privées, restreintes par l’âge ou devenues inaccessibles a également été améliorée. Résultat : une fiabilité accrue, notamment pour les contenus un peu sensibles ou mal référencés.
BiliBili passe en HD, sans connexion
Bonne nouvelle pour les amateurs de contenus venus d’Asie : plus besoin de se connecter à un compte pour télécharger des vidéos BiliBili en HD. C’est une simplification bienvenue pour une plateforme longtemps réputée plus capricieuse.
Cela ouvre la voie à une consommation plus fluide des contenus culturels, artistiques ou éducatifs hébergés sur BiliBili, sans les contraintes d’identification.
Essayez la version 25.0 de 4K Video Downloader+ !
Pour découvrir comment télécharger une playlist YouTube avec 4K Video Downloader+, consultez la page officielle :
https://www.4kdownload.com/fr/howto/howto-download-youtube-playlist/1
Apple active Plans en version web sur l'iPhone
Apple a activé l'affichage de Plans sur iPhone au sein de Safari et d'autres navigateurs. Depuis juillet dernier, où Plans a fait ses premiers pas sur le web, on ne pouvait le consulter ainsi que sur son Mac ou son PC. Apple avait ajouté progressivement la compatibilité avec les navigateurs concurrents de Safari. Sur iPhone c'est l'app native qui prenait automatiquement le relais.

Un changement technique a été opéré récemment puisqu'une page d'assistance liste depuis hier de nouveaux moyens d'accès (la version française indique encore la situation qui prévalait depuis l'été dernier). Sur Mac et PC, rien ne change, Safari, Edge, Chrome et Firefox sont pris en charge.
Une section mobile a été ajoutée qui indique une compatibilité avec Safari sur iOS et iPadOS ainsi que les trois autres navigateurs en version iPhone et iPad. De fait, lorsqu'on saisit l'adresse https://maps.apple.com/ dans l'un d'eux, on a toujours l'incitation à ouvrir l'app native, mais on peut rester dans le navigateur.

Plans sur le web est en français et affiche les vues à 360°
Ce n'est pas encore d'une fluidité remarquable et lorsqu'on tourne l'iPhone en mode paysage, un message apparaît en indiquant que le navigateur n'est pas compatible. Au-delà de ça, cette version est toujours en bêta, elle n'a pas encore une parité de fonctions avec Plans dans l'app (les itinéraires par exemple sont limités aux voitures et piétons, les transports en communs sont absents, etc.).

Ce changement pourrait être lié à l'obligation qui a été faite à Apple — en Europe, mais aussi dans d'autres pays — d'autoriser le choix par l'utilisateur d'une autre app de cartographie par défaut. Ce qui lui permet aussi de supprimer celle de Plans sur son iPhone ou iPad, s'il le souhaite. En étant accessible via les navigateurs mobiles, Plans peut garder un pied sur l'appareil.

iOS 18.4 permet de changer les apps de navigation et de traduction par défaut

Plans : Apple montre les lieux qu'elle va aller photographier à pied
L’Europe pourra-t-elle rattraper son retard dans l’IA avec son plan à 200 milliards d’euros ?
Donald Trump prêt à alléger les droits de douane pour Apple ?
+15 % pour Apple qui peut espérer un traitement de faveur sur les droits de douane
Wall Street est en train de devenir fada. Les bourses américaines ont fini la séance hier en forte hausse, effaçant la plupart des pertes enregistrées ces derniers jours. Le Nasdaq, pour ne citer que lui, a gagné plus de 12 %, et se permet même d’afficher une progression de 1,45 % depuis l’officialisation de la guerre commerciale de Trump il y a tout juste une semaine.

Sur la séance d’hier, AMD, ARM et Tesla ont enregistré des hausses de plus de 20 %. L’action Apple s’est pour sa part appréciée de 15 %, soit sa plus forte hausse depuis 1998. À l’époque, le titre avait pris 23 %, suite à un regain d’optimisme dû à des rumeurs à quelques jours de Macworld San Francisco. Une autre époque…
Sur la semaine, l’action Apple recule toutefois de quasiment 4 % tandis que la baisse dépasse les 20 % depuis le début de l’année. L’histoire n’est cependant pas finie et, tant que la situation n’est pas stabilisée, les marchés vont continuer à beaucoup tanguer. Cette hausse est bien évidemment liée à la décision de Donald Trump de limiter les droits de douane à 10 % pendant 90 jours, le temps de négocier. Cette « grâce » concerne tous les pays du monde entier, à l’exception de la Chine, pour lesquels les droits de douane sont toujours à 125%.

Droits de douane : les USA annoncent 90 jours de grâce pour le monde entier, sauf pour la Chine qui passe à 125 %
Donald Trump, qui a reconnu que ses surtaxes douanières « effrayaient un peu », a délivré un message qui a peut-être donné un peu d’espoir à Tim Cook. Lors d’une conférence de presse, le président des États-Unis n’a pas totalement écarté la possibilité d’exempter certaines entreprises américaines de droits de douane. « Avec le temps, nous allons y jeter un œil », a-t-il déclaré. « Certaines entreprises sont un peu plus touchées par nature, et nous allons examiner cela », a-t-il ajouté, affirmant qu’il fera preuve « d’un peu de flexibilité ».
Pour cela, il faudra sans doute montrer patte blanche et démontrer à Donald Trump une volonté réelle de relocaliser sa production aux États-Unis. Jusqu’à présent, le locataire de la Maison-Blanche s’était systématiquement opposé à l’idée de mettre en place des exemptions de taxes douanières. Lors de son premier passage à la Maison-Blanche, il avait accordé des exemptions à Apple sur certains produits. Durant cette période compliquée, Tim Cook est resté particulièrement silencieux. Nul doute que cela doit négocier en coulisses pour tenter de trouver une solution.