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Orange TV bénéficie d’une meilleure qualité d’image sur Apple TV
Depuis l’année dernière, Orange permet à ses clients d’utiliser son service Orange TV sur Apple TV. Mais jusque-là, la qualité de l’image était un cran en-dessous de celle disponible sur ses décodeurs maison. Ce n’est plus le cas maintenant.
L’opérateur a récemment amélioré la qualité des flux diffusés sur son application tvOS et Android TV, relève le site UniversLivebox. Depuis la version 11.4 sortie mi-avril, les principales chaînes sont passées d’une qualité HD « simple » à une qualité « HD+ ». Concrètement, le bitrate (la quantité de données transmises) a été augmenté autour de 10 Mb/s au lieu de 5 Mb/s pour proposer une image plus nette. La définition, elle, ne change pas, cela reste du 1080p, mais le bitrate plus élevé amène plus de détails et diminue les défauts liés à la compression.

En plus du direct, le replay a lui aussi été amélioré. En l’occurrence, les vidéos passent de la SD à la HD, ce qui doit faire une belle différence.
D’après UniversLivebox, Orange prévoit des flux en 4K, mais on ne sait pas quand cela va arriver. De plus, l’opérateur travaillerait sur des portages de son application sur webOS (téléviseurs LG) et Fire OS (appareils Amazon).
Depuis mi-avril, Orange inclut sans surcoût son application Orange TV sur les plateformes de salon, dont l’Apple TV, dans toutes ses offres Livebox comprenant un décodeur. Chez Sosh, l’application tvOS requiert une option à 5 €/mois.

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France Identité : le permis de conduire numérique va devenir plus complet
France Identité va bientôt améliorer sa prise en charge du permis de conduire. Une version bêta de l’application comprend deux nouveautés pour ce document officiel. La première, c’est une nouvelle présentation. À l’instar de la carte d’identité, le permis de conduire s’affiche désormais en plein écran quand on le sélectionne.

La deuxième nouveauté, optionnelle, concerne les données du permis. On peut maintenant récupérer l’intégralité des renseignements de ce document : catégories de véhicules, numéro de dossier, état du titre, identifiant du titre et date de délivrance. Pour rassembler toutes ces informations, une mise à jour manuelle du permis est nécessaire.
Après avoir touché le bouton « Mettre mon permis à jour », il faut autoriser un partage de données (genre, date de naissance, prénom et nom) auprès de la Délégation à la Sécurité routière, saisir son code personnel et enfin lire sa carte d’identité en NFC pour valider l’opération.

Après avoir actualisé son permis dématérialisé, un bouton permet de le retourner virtuellement pour dévoiler les infos supplémentaires. Notez que cette mise à jour n’est pas nécessaire pour les contrôles routiers, on peut très bien présenter aux forces de l’ordre la version simple de son permis numérique.
La version bêta de France Identité est distribuée sur TestFlight, mais il n’est pas possible de rejoindre le programme de test à l’heure actuelle. Un peu de patience si vous ne faites pas partie des testeurs, ces deux nouveautés devraient être déployées pour tout le monde prochainement. La carte grise pourra, elle, s’intégrer à l’application à partir du mois de juin.
La responsable de Chrome estime que seul Google peut gérer son navigateur
Google fait tout pour éviter de devoir revendre Chrome, une séparation que pourrait bien lui imposer le département de la Justice des États-Unis (DoJ). Face à cette menace, l’entreprise multiplie les arguments pour garder son bébé. Dans un nouveau témoignage, la chef de Chrome Parisa Tabriz a affirmé qu’Alphabet était la seule société à pouvoir proposer les fonctions et caractéristiques dont Chrome dispose grâce à ses « interdépendances » avec les autres divisions internes.

L’audition a eu lieu devant le juge Amit Mehta, qui avait estimé l’été dernier que la firme de Mountain View avait un monopole sur le marché de la recherche en ligne. « Aujourd'hui, Chrome représente 17 ans de collaboration entre les gens de Chrome et le reste de Google », a déclaré Parisa Tabriz. Elle pense qu’essayer de dissocier les deux serait « sans précédent ».
La directrice a indiqué que certaines fonctions étaient liées à des infrastructures 100 % Google, comme les différents niveaux de protection de la navigation sécurisée ou le système d’alerte en cas de mot de passe compromis. « Je ne pense pas que cela pourra être recréé », a-t-elle déclaré, avant d’ajouter que plus de 90 % du code de Chromium a été rédigé par les équipes de Google depuis 2015. En plus d’investissement de plusieurs centaines de millions de dollars, elle estime qu’environ 1 000 ingénieurs de Google ont mis la main à la pâte. À l’inverse, les autres entreprises n’auraient pas participé « de manière significative ».
Parisa Tabriz est également revenu sur l’intégration de l’IA dans Chrome. Si le navigateur dispose désormais d’extensions pour ChatGPT ou Perplexity, elle a reconnu que Gemini était pour le moment le seul assistant proposé par défaut. Google voudrait renforcer cette intégration sur le long terme en cherchant à faire de Chrome un navigateur « à agents » d’IA. Ces automatisations pourrait simplifier certaines actions, comme des achats ou le remplissage de formulaires. La technologie n’est pas prête pour le moment, et il reste à voir si Google sera encore maître de Chrome à ce moment-là.
Bouygues Telecom améliore encore son offre B&You Pure fibre, laissant la concurrence loin derrière
Bouygues Telecom a bousculé le marché des connexions à internet fixe en lançant à l’automne dernier son offre B&You Pure fibre, qui propose la fibre optique et rien de plus à un tarif serré, 23,99 € par mois sans engagement. Loin de se reposer sur ses lauriers, le FAI continue d’améliorer l’offre sans augmenter son prix, comme en témoigne le passage à la Bbox Wi-Fi 7 lancée en début d’année. Pour 24 €, vous aurez ainsi presque le meilleur de ce que la fibre optique peut apporter aux particuliers français, avec jusqu’à 8 Gbit/s en téléchargement, 1 Gbit/s en envoi et le meilleur de ce que les box peuvent offrir, avec du Wi-Fi 7 tri-bandes. Un répéteur Wi-Fi 7 peut aussi être demandé, pour 4 € par mois et il faut aussi tenir compte des 48 € de frais d’ouverture demandés au départ.

Face à une offre si généreuse, les concurrents ont bien du mal à réagir. Mis à part Free qui a une offre assez proche avec la Freebox Pop S (24,99 € sans engagement, fibre jusqu’à 5 Gbit/s en téléchargement et 900 Mbit/s en envoi, box avec Wi-Fi 7 mais bi-bande seulement), les autres acteurs ont eu des réponses bien timides. SFR a d’abord baissé le prix de l’une de ses offres RED et elle a récemment ajouté une formule à ses offres classiques qui s’approche de l’idée, sans aller aussi loin. Nommée « SFR Fibre Starter internet + téléphone », elle coûte 26,99 € par mois avec engagement de 12 mois et se limite à 1 Gbit/s symétrique et une vieille box avec Wi-Fi 5, qui ne sera même pas capable d’atteindre le débit théorique de la fibre optique. SFR ajoute en contrepartie la téléphonie, illimitée vers les fixes et payante vers les mobiles, tout en restant loin du compte.
Du côté d’Orange, si l’on oublie Sosh qui a toujours proposé une offre de ce type, il n’y a pas vraiment d’équivalent. Au mieux, les prix débutent à 30 € par mois au-delà de la première année et la télé est incluse à ce prix. Interrogée sur le sujet suite à la présentation de ses résultats financiers, l’entreprise a d’abord noté que ce n’était pas une nouveauté puisque des offres avec uniquement internet ont déjà existé, y compris chez Orange. Les dirigeants de l’opérateur historique considèrent par ailleurs qu’il n’y a pas eu d’effets visibles suite au lancement de ces offres simplifiées et moins chères. En clair, Orange n’a pas constaté de départs vers B&You ou Free suite au lancement de leurs formules avec seulement internet, ce qui trahit selon eux un manque d’attrait pour ces forfaits.
Bouygues Telecom devrait ainsi avoir le champ libre et son offre B&You Pure fibre devrait rester particulièrement intéressante pour tous ceux qui veulent uniquement une connexion à internet. Petite information supplémentaire au passage, plusieurs abonnés ont réussi à obtenir un ONT seul et ainsi se passer de box, ce qui est l’idéal si vous avez votre propre routeur ou que vous voulez gérer votre réseau avec votre propre matériel, par exemple dans l’écosystème UniFi. Ce n’est pas systématique ni promis par l’entreprise, mais une demande au service client peut apparemment suffire.

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Netflix va systématiquement proposer des sous-titres dans la langue d’origine du contenu
Netflix a annoncé un changement dans la gestion de ses sous-titres : le service compte proposer systématiquement le texte dans la langue d’origine du contenu, en plus des sous-titres pour les personnes malentendantes. Jusque-là, un contenu en anglais par exemple était généralement associé à des sous-titres dans de multiples langues différentes, mais pas en anglais simple. Seuls les sous-titres malentendants étaient proposés en anglais, ce qui implique qu’ils ne contiennent pas que les dialogues.

L’objectif de ces sous-titres sont en effet de permettre à une personne qui n’entend pas de suivre l’action, et c’est pourquoi ils intègrent autant les dialogues que des indications sur l’ambiance sonore ou bien sur une porte qui claque hors champ. Quand on peut entendre la bande-sonore, ce dédoublement est au mieux inutile, voire frustrant, car les sous-titres peuvent divulgâcher des éléments ou distraire. En proposant des sous-titres avec uniquement les dialogues dans la langue d’origine, Netflix propose une solution pour tous ceux qui veulent apprendre une langue en s’appuyant sur du texte en plus de l’audio ou même des natifs qui n’entendent pas bien les dialogues (ce n’est pas de leur faute).
La mauvaise nouvelle, c’est que le changement ne va concerner que les nouveaux contenus publiés par Netflix, pas l’immense catalogue déjà en place. La nouveauté est arrivée avec la dernière saison de You et le service promet que les sous-titres de base seront présents désormais sur toutes les nouvelles séries et nouveaux films produits par ses soins. Cela ne concerne pas que l’anglais d’ailleurs, toutes les versions originales devraient désormais proposer une piste de sous-titres avec uniquement avec les dialogues dans la même langue que l’audio.
Les Ray-Ban Meta d'Apple n'arriveront pas tout de suite
Fin des remaniements internes, déplacement d’usines et projets de réalité augmentée : la semaine Apple
Le Markus Gurmanorus est un animal étrange... À l’inverse de tous ses camarades Geekus Softwarus Programmus, il prend du repos quand ces derniers préparent pour Pâques de jolis œufs, appelés par les spécialistes du domaines « easter eggs ». Heureusement, cette période est maintenant derrière nous, et le spécimen chante de plus belle. Prêtons-lui une oreille attentive, afin de percer les mystères d’Apple !

Sandbox Love
Habituellement, Apple est une entreprise très organisée, avec des départements très précis. Mais contrairement à d’autres géants du secteur, il n’y a pas une équipe iPhone, une autre iPad, encore une autre MacBook... à la place, Apple est divisée en une team matériel, une autre logiciel, ou encore services. Jusqu’en 2018, tout fonctionnait selon ce principe, et personne ne s’en plaignait.

Est arrivée l’intelligence artificielle... qui a tout chamboulé. Déjà pas très en avance sur le sujet, Cupertino a décidé que les divisions habituelles pouvaient être un frein au développement rapide de l’IA, et que tout devait être chamboulé pour créer un département réservé à cette innovation, avec un seul chef à sa tête. Ainsi fut créé le département intelligence artificielle, avec à sa tête John Giannandrea, qui ne devait rendre de comptes qu’à Tim Cook. Son groupe avait la responsabilité de Siri, de l’intelligence artificielle, du développement du Machine Learning, de l’analyse des données, de la recherche fondamentale et pendant un temps du projet Titan.
Sympathetic Character
Six ans plus tard, il faut se rendre à l’évidence, c’est un flop complet : les fonctions d’Apple Intelligence, quand elles sortent à temps, sont relativement basiques et en retard face à la concurrence, le projet Apple Car a été enterré, et pire, Apple se retrouve accusée de vaporware avec le Siri montré durant la WWDC 2024 qui a été repoussé aux calendes grecques. Comment se sortir de l’impasse ?
La méthode est simple, mais elle prend du temps, qu’Apple n’a pas beaucoup : revenir au principe de fonctionnement précédent. Ainsi, la division Titan a été donnée à Kevin Lynch, lui-même sous les ordres du COO Jeff Williams avant de la démanteler complètement. Les ingénieurs du projet ont ensuite été confiés à John Giannandrea et son équipe, mais pas pour longtemps : son groupe est lui aussi mis en pièces. Une bonne partie des ingénieurs ont été confiés à Mike Rockwell, ancien chef du groupe Vision Pro, maintenant responsable de l’IA et directement sous les ordres de Craig Federighi. Le groupe Vision Pro, lui a été redivisé en une partie matérielle et une autre logicielle, cette dernière elle aussi sous les ordres de Mike Rockwell.
Pour Apple, c’est le retour à la logique originelle : Siri et la partie logicielle du Vision Pro sont maintenant là où ils devaient être, l’équipe logicielle.
You Learn
Un autre domaine important auparavant sous la coupe de Giannandrea a été relocalisé : l’équipe robotique. Même s’il ne fait pas beaucoup parler de lui pour le moment, c’est un développement important pour Apple, qui croit fortement en l’avenir de la robotique pour le grand public. Le premier exemple de ces promesses devrait prendre la forme d’une version articulée et dotée d’expressions copiant les humains pour le haut de gamme du « HomePad ».

Le groupe est désormais confié à John Ternus, et rejoint donc l’équipe matériel. Dans la plus pure logique Apple, même si les robots sont contrôlés par IA, ils sont plus du domaine mécanique et matériel que logiciel, et doivent donc être dirigés par l’équipe hardware.
Giannandrea de son côté ? Même si son équipe s’est fortement réduite, elle n’est pas ridicule et désœuvrée pour autant : reste à sa charge la recherche fondamentale sur l’intelligence artificielle et l’analyse des données IA, continuant d’avoir un lien avec Siri même si celui-ci est maintenant plus ténu. En réduisant son équipe, Apple prévoit aussi la possibilité de son départ : si tel devait être le cas, son groupe serait alors absorbé par la division logicielle sans heurts, complétant ainsi le retour d’Apple à son « schéma de principe » habituel.
All I Really Want
À l’autre bout du couloir, Apple active ses équipes sur un autre grand projet : les lunettes à réalité augmentée. Le projet, appelé « N50 » en interne, est encore loin d’être prêt. L’idée pour le moment est de transformer une paire de lunettes en objet doté d’Apple Intelligence, afin de lui faire analyser l’environnement de l’utilisateur en temps réel, et de permettre un retour d’informations audio. On est encore très loin de la réalité augmentée telle qu’on l’entend, avec écrans transparents affichant des informations.

Apple développant aussi des écouteurs dotés de caméras, pourquoi faire aussi une version sous forme de lunettes ? Tout simplement le retour des clients : apparemment, nombreux sont ceux rebutés par l’idée de porter des écouteurs dans les oreilles à longueur de journée. La vraie bataille aura lieu vers la fin de la décennie : une fois les performances des processeurs améliorées et d’autres technologies arrivées, il sera temps de réaliser des lunettes AR telles qu’on les imagine, et la guerre promet d’être sans merci, surtout avec Meta qui en est déjà à présenter des prototypes.
Il est d’ailleurs surprenant de ne pas déjà voir Apple face à Meta, et d’en être seulement aux prototypes internes pour concurrencer les Ray-Ban connectées. Avec les capacités de miniaturisation d’Apple, et son affect pour les wearables comme l’Apple Watch, la firme aurait dû être leader dans le domaine, et non un simple suiveur de Meta.
En attendant de voir ce qu’Apple pourra réellement mettre face à Meta, le Vision Pro tel qu’on le connaît suit son chemin, et devrait voir apparaître une version plus légère et obligatoirement reliée à un Mac d’ici la fin de l’année ou début 2026, et un Vision Pro 2 reste sur les rails.
King of Pain
Avec les taxes sur l’importation de Chine qui restent en épée de Damoclès sur toute la production d’iPhone pour les USA, Apple se dépêche de déplacer autant d’usines qu’elle peut en Inde. Si l’entreprise fabrique déjà un bon tiers des iPhone dédiés aux États-Unis d’Amérique sur le territoire de Narendra Modī, le reste ne devrait pas être déplacé avant fin 2027 au plus tôt. Et même si le but final est atteint, personne ne peut prévoir si les taxes n’auront pas encore une fois été profondément modifiées d’ici 18 mois...

Un autre problème se pose à Cupertino : le premier iPhone pliable de son histoire, prévu pour le vingtième anniversaire du smartphone pommé, est autrement plus complexe à produire que les versions actuelles. Et même si les usines indiennes ont rejoint la qualité de fabrication de leurs versions chinoises, le gap de complexité est bien trop élevé pour se permettre de tout laisser reposer sur les usines indiennes. Apple n’a jamais fabriqué un produit entièrement nouveau depuis un autre pays que la Chine, et ne voudra certainement pas prendre le moindre risque pour un symbole tel son premier iPhone pliable, qui plus est célébrant le vingtième anniversaire.
Crazy
Pour nos amis américains, une situation étrange perdure : Apple n’a toujours pas redonné une fonction de mesure de l’oxygène sanguin à l’Apple Watch. Et étrangement, alors qu’elle a largement les moyens de mettre un terme à la brouille avec Masimo, voire de recréer de toutes pièces un capteur qui contourne les brevets du concurrent, elle n’en fait rien.

Le souci est d’autant plus embêtant pour les américains que non seulement le capteur d’oxygène est absent des montres vendues, mais aussi de celles proposées en échange d’un modèle défectueux ou cassé.
Hand in My Pocket
Si Apple paraît calme vu de l’extérieur, il semble que c’est le principe même du canard qu’elle applique actuellement : paraître gracieux et tranquille à la surface, chaque problème glissant sur ses plumes sans s’accrocher réellement. Mais sous l’eau, elle agite d’autant plus vite les pattes pour se sortir de l’impasse... en évitant cette fois les couacs.
- Dis Siri, mets Alanis Morissette.
- Désolé, Greg, aucune Mauricette n’est présente dans vos contacts. De plus, l’abus d’alcool est dangereux pour la santé.
- T’es sûr que c’est pas de toi qu’elle parlait dans son titre Reasons I Drink ?
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Apple a invité des influenceurs du monde entier pour les 10 ans de l'Apple Watch
Apple a fêté le dixième anniversaire de l’Apple Watch de manière bien étrange. Elle a incité, pendant cette journée, ses utilisateurs à compléter leurs anneaux et à obtenir en guise de récompense un nouveau trophée ainsi que des autocollants pour Messages. Les plus chanceux ont pu également se rendre en Apple Store et obtenir un pin’s qui rencontre semble-t-il, un certain succès sur eBay.
La chose sur laquelle Apple n’a pas communiqué, c’est qu’elle a invité sur son campus des influenceurs du monde entier pour fêter le dixième anniversaire de l’Apple Watch. Les personnes invitées venaient dans leur majorité du monde du sport et étaient encadrées par certains coachs de Fitness+. Le but : compléter leurs anneaux bien évidemment.
Pendant cette journée, les personnes invitées ont été amenées à faire différentes activités sportives (vélo, yoga, course à pied) et ont même participé à une petite compétition sportive.
Ce qui est très bizarre dans cette affaire, c’est que, lorsqu’on invite des influenceurs du monde entier à un événement spécial, c’est dans le but de faire parler de soi. Or, cette journée n’a fait que très peu de bruit sur les réseaux.
Promos : iPhone 13 256 Go à 579 €, l'iPhone 16e à 660 € et l'iPhone 16 à 800 €
Ce week-end, dans toutes les zones de prix ou presque, il y a un iPhone en promotion. Pour ceux qui ne veulent pas faire de folies, on peut faire l’acquisition d’un iPhone 13 256 Go RED au prix de 579 €. C’est un modèle qui n’est pas tout jeune, qui ne fera pas tourner Apple Intelligence, mais il est relativement léger, a des performances plus qu’honorables et est compatible 5G.
L’iPhone 16e est également en promotion. Pour 80 € de plus, vous avez le tout nouveau smartphone d’Apple. Il est plus puissant, offre une meilleure autonomie, est compatible avec Apple Intelligence, mais ne dispose que d’un capteur photo et de seulement 128 Go d’espace de stockage. L’iPhone 16e est disponible à 660 € chez Boulanger et chez Amazon, soit 60 € de moins que chez Apple. Les modèles avec 256 Go et 512 Go d’espace de stockage sont également proposés avec des réductions similaires sur ces deux boutiques.

Mais la grosse promotion du week-end concerne l’iPhone 16 qui est proposé à 800 € chez Amazon. C’est 170 € de moins que sur l’Apple Store en ligne. Jamais l’iPhone 16 n’avait été vendu à un tel prix en France. C’est le moment si vous êtes intéressé…

Le modèle 256 Go est proposé pour sa part à 930 €, cela représente une ristourne de 15 % sur le prix habituel.

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Pour le producteur de La Maison, « Apple est la pire boîte marketing de l’univers »
Alex Berger, producteur de la série La Maison, semble ne pas avoir apprécié sa collaboration avec Apple... et le fait savoir dans une interview donnée à Variety, n’hésitant pas à qualifier la pomme de « pire entreprise marketing de l’univers », rien de moins.
S’attaquant à un sujet représentant l’un des clichés parfaits de la France à l’étranger, la série faisait entrer le spectateur dans les coulisses d’une maison de haute-couture, dont le créateur phare, joué par Lambert Wilson, se retrouve au cœur d’une polémique suite à la diffusion d’une vidéo compromettante. S’ensuit une lutte de pouvoirs, à la fois interne à l’entreprise et avec des concurrents coriaces.
Avec un casting 100 % français, la série était une première pour Apple TV+, qui n’avait quasiment jusqu’alors à son catalogue que des séries anglophones. Le pari était risqué, et semble avoir échoué : autant La Maison a eu son petit succès en France, autant la mayonnaise n’a pas pris aux USA, principale cible du diffuseur. Le producteur met cet échec principalement sur le dos d’une absence totale de marketing de la part d’Apple :
Ce qui fait la réussite d’un show, c’est le marketing. Apple, par exemple, est probablement la pire boîte de l’univers niveau marketing – la meilleure pour ses iPhone, la pire pour la télévision. Ils ne font aucun marketing, et c’était un gros problème pour nous avec La Maison. Nous avons réalisé une excellente série, qui a eu un succès extraordinaire en France et dans d’autres pays d’Europe, mais ils n’en ont fait aucune promotion. Ça m’a rendu fou.
Avec un tel constat, Variety a demandé au producteur ce qui l’a incité à faire un partenariat avec Apple :
Nous avions de l’espoir. [...] Apple TV+ n’avait jamais réalisé de série en Europe, à part Slow Horses qui bien que tournée au Royaume-Uni reste très américaine. J’espérais que je pourrais changer les choses. Nous avons rapidement déchanté, au point que nous nous sommes demandés pourquoi Apple désirait tellement se tirer une balle dans le pied.
Quoi qu’il en soit, La Maison s’est arrêtée à la fin de sa première saison, et n’a pas été reconduite. Et avec de telles déclarations, il est facile d’imaginer que le producteur ne fera pas appel à Cupertino pour ses prochaines idées...
Apple TV+ : USS Greyhound aura une suite en 2027
En 2020, Apple s’était associée avec Tom Hanks et sa maison de production Playtone pour sortir un film ancré dans la Seconde Guerre mondiale, USS Greyhound. Une suite a été annoncée, qui devrait sortir courant 2027, comme le rapporte AppleInsider.
L’original suivait le capitaine Krause, fraîchement nommé de l’US Navy, devant guider un convoi dans l’Atlantique, traversant les barrières formées par les U-boat allemands. Le film avait été plutôt bien accueilli par les critiques, recevant une belle note de 7.0/10 sur IMDb entre autres.
Le prochain opus devrait cette fois nous transporter vers l’autre bataille de la Seconde Guerre mondiale, ferraillant avec les japonais dans l’océan Pacifique. L’équipe du premier film devrait revenir au complet, que ce soit au niveau des acteurs comme pour la réalisation. Le tournage devrait commencer en Australie en 2026, pour une sortie probable en 2027.
Nest fait du ménage dans sa gamme, et abandonne le marché européen des thermostats connectés
Comme toute entreprise de la tech, Google fait de temps en temps le ménage dans ses gammes, et a décidé de cibler les thermostats connectés de sa filiale Nest : les premières et secondes générations sont abandonnées par l’entreprise, et n’auront plus le droit à la moindre mise à jour de sécurité à partir du 25 octobre 2025.

Si la première n’a pas été vendue en Europe, ce n’est pas le cas de la seconde, qui voit donc son support s’arrêter avant la fin de cette année. Tous les propriétaires devraient normalement recevoir un mail d’avertissement, leur proposant par la même occasion un bon de 50 % de réduction pour passer chez... tado°.
Pourquoi une réduction chez un concurrent, et pas sur le thermostat de troisième génération ou la version E ? Tout simplement parce que Google a décidé d’abandonner le marché européen.
Comme le rapporte 9to5Google, le constructeur justifie la décision du fait « des systèmes de chauffage européens très spécifiques et aux matériels et logiciels variés, rendant difficile la fabrication d’un appareil convenant à des configurations très diverses ».
En conséquence, Nest continue de proposer la gamme actuelle jusqu’à épuisement des stocks, et disparaîtra du marché européen des thermostats connectés une fois ceux-ci vidés.
La situation dépendra donc de la génération de votre thermostat :
- seconde génération : « le thermostat ne recevra plus de mises à jour logicielles ni de mises à jour de sécurité, ne sera plus compatible avec les applications Nest ni Home, et ne prendra plus en charge d'autres fonctionnalités connectées comme la fonction Chez moi/Absent. ». Vous recevrez en même temps que le mail d’information un lien pour une réduction de 50 % sur le pack de démarrage de tado°.
- troisième génération et version « E » : le support est toujours assuré et toutes les fonctions restent actives.
Bien entendu, la marque ayant décidé d’abandonner le marché européen, les appareils toujours supportés ne sont qu’en sursis, avant que la marque ne décide qu’ils sont trop vieux pour être mis à jour... voilà une piqûre de rappel bien utile : tout ce qui fonctionne grâce à un serveur externe est à la merci du constructeur.
Le pin’s des 10 ans de l’Apple Watch à peine sorti, déjà revendu en quantité sur eBay
Certains diront qu’il n’y a pas de petits profits... d’autres qu’il est scandaleux de revendre ainsi un objet qui vous a été donné. Qu’on le veuille ou non, le pin’s dédié aux 10 ans de l’Apple Watch et au « Close your rings Day » à peine distribué dans les Apple Store a fini... sur eBay.

Et le moins qu’on puisse dire, c’est que la somme demandée est plutôt élevée pour un bout de métal offert en boutique : la plupart des vendeurs demandent au minimum 20 €, et certains poussent le vice jusqu’à le proposer pour plus de 50 € !
Ce type d’opportunisme se reproduisant à chaque fois qu’Apple décide de sortir un goodies, il est facile de comprendre pourquoi la marque en propose le moins possible au fil des ans...
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Cloud, pub, IA : Google cartonne sur tous les fronts
Upscaling vidéo et restauration photo plus rapides sur Mac/PC : VideoProc AI mis à jour est à - 62 %
VideoProc Converter AI passe la seconde avec une mise à jour qui promet de simplifier (et d’accélérer) le traitement des vidéos et photos sur Windows comme sur macOS. Sans révolutionner le secteur, l’outil affine sa proposition et s’offre une belle réduction au passage.

Le marché des logiciels de traitement vidéo et photo n’a jamais manqué d’options, souvent plus complexes les unes que les autres. VideoProc Converter AI, lui, joue depuis ses débuts la carte de la simplicité, en combinant plusieurs fonctions essentielles sous une même interface. Montage léger, conversion, compression, téléchargement, capture d’écran… tout y passe, sans fioritures.
Une réduction saisonnière, mais sans abonnement
Enfin, côté tarif, VideoProc Converter AI reste sur un modèle simple : une licence à vie. Pas d’abonnement mensuel ou annuel, mais un paiement unique, qui donne accès aux futures mises à jour. Actuellement, une promotion de 62 % ramène le prix à 29,95 € (au lieu de 78,95 €, hors taxes). Vous pouvez en profiter sans tracas, puisque le service vous offre 30 jours d'essai satisfait ou remboursé.
Avec cette nouvelle mise à jour, l’éditeur renforce surtout deux aspects : la vitesse et l’intelligence artificielle. L’upscaling vidéo, par exemple, serait jusqu’à 80 % plus rapide. Une promesse qui, dans les faits, allège sensiblement le temps passé à retravailler d’anciens fichiers SD, DVD ou VHS pour leur redonner un peu de lustre. L’algorithme optimise le tout : il réduit le bruit, affine les contours, restaure les détails manquants. Le tout sans exiger de maîtriser les arcanes du montage vidéo.

Autre ajout marquant : l’interpolation d’images par IA. Concrètement, cela permet d’augmenter le nombre d’images par seconde (FPS) d’une vidéo, jusqu’à 120 voire 240 FPS. Le rendu est plus fluide, particulièrement sur les séquences lentes ou les vidéos sportives. De quoi donner un coup de polish à vos montages, sans pour autant s’aventurer dans les réglages complexes.

L’IA aussi au service de la photo
Côté photo, VideoProc ne reste pas en retrait. L’outil embarque désormais des fonctionnalités d’amélioration d’image par intelligence artificielle. Il est possible d’upscaler une image jusqu’en 4K, 8K, voire 10K, tout en conservant un maximum de détails, ce qui s’avère utile pour le recadrage ou l’impression grand format.

L’IA s’occupe également de restaurer les visages flous ou de coloriser des photos en noir et blanc. Si ces fonctions ne sont pas inédites, elles gagnent en accessibilité ici : un simple clic suffit, là où d’autres logiciels réclament une prise en main plus approfondie.

Une boîte à outils complète
Au-delà de ces nouveautés dopées à l’IA, VideoProc Converter AI continue de proposer son panel d’outils classiques :
- La conversion de fichiers, avec la prise en charge de plus de 420 formats (vidéo, audio, DVD).
- La compression, notamment pour réduire la taille des gros fichiers sans trop sacrifier la qualité.
- L’édition légère, avec des fonctions comme le découpage, le recadrage, la rotation ou l’ajustement du volume et de la vitesse.
- Le téléchargement de vidéos, y compris de playlists entières, avec conversion possible en MP3 ou AAC.
- La capture d’écran vidéo, complète ou partielle, avec prise en charge du micro et de la webcam.
Mention spéciale à deux fonctionnalités réservées pour l’instant à Windows : la stabilisation vidéo par IA, utile pour corriger les tremblements des prises de vue à la volée (GoPro, smartphones, drones), et la réduction du bruit audio. Des ajouts prévus prochainement sur macOS.

Une réduction saisonnière, mais sans abonnement
Enfin, côté tarif, VideoProc Converter AI reste sur un modèle simple : une licence à vie. Pas d’abonnement mensuel ou annuel, mais un paiement unique, qui donne accès aux futures mises à jour. Actuellement, une promotion de 62 % ramène le prix à 29,95 € (au lieu de 78,95 €, hors taxes). Vous pouvez en profiter sans tracas, puisque le service vous offre 30 jours d'essai satisfait ou remboursé.
Petit bonus : la licence inclut six mois d’accès à Aiarty Image Matting, un outil pour modifier les arrière-plans des photos (suppression, flou, remplacement).
Les détenteurs de licences existantes de VideoProc peuvent mettre à jour gratuitement, tandis que les nouveaux utilisateurs peuvent profiter de l'offre temporaire, calée sur les promotions de Pâques.

Verdict ? Un logiciel qui fait le job
VideoProc Converter AI ne révolutionne pas le traitement vidéo, mais il continue d’affiner une formule qui parle à ceux qui veulent un outil accessible, polyvalent, et sans surcoût caché. Cette mise à jour majeure joue la carte de l’efficacité, en facilitant les tâches les plus chronophages. Si votre quotidien implique de manipuler vidéos ou photos, il mérite au moins un essai !
Profitez de l’offre de Pâques : jusqu'à 62 % de réduction sur la licence à vie. Un paiement unique, et vous en êtes propriétaire pour toujours avec mises à jour gratuites à vie.
Les caméras Eufy 2C Pro bradées à -41% (HomeKit, pas d'abonnement) !
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Derniers jours Apple week à la Fnac : -10 % sur des MacBook Pro, iPhone 15 Pro à 16 Pro Max et iPad Pro M4
L'opération de réduction sur plusieurs gammes de produits Apple s'achève ce week-end. Jusqu'au dimanche 27, l'enseigne applique une remise de 10 %, sans qu'il soit nécessaire d'être adhérent. Sont concernés les prix des iPhone 16 Pro et 16 Pro Max, des iPhone 16 mais aussi des iPhone 15 Pro et 15 Pro Max.

Pour le Mac ce sont les MacBook Pro 14" et la grande version de 16" qui ont été retenus. Enfin les derniers iPad Pro M4 sont de la partie également. Le pourcentage de cette réduction est égal à celui que l'on peut obtenir en Apple Store sur simple demande à un vendeur tout en lui montrant l'offre en cours à la Fnac. Ce sera accepté puisque ce n'est pas une opération réservée aux adhérents Fnac+ et qu'il s'agit d'un revendeur agréé.

Boulanger : un crédit à 0% sur tout le matériel Apple
Govee présente des arbustes lumineux connectés avec Matter
Quarante-neuf, c’est le nombre de luminaires proposés par Govee après la présentation des Outdoor Garden Lights, de drôles de lampes de jardin qui prennent la forme d’arbustes. Le fabricant chinois, créé par un cofondateur d’Anker, n’en finit plus de décliner sa gamme de produits connectés avec Matter.

Si le nom du produit est au pluriel, c’est que Govee fournit deux « troncs » et quatre « branches », qui peuvent former des arbustes mesurant entre 30 et 90 centimètres de hauteur. Ces lampes d’ambiance, qui doivent se fondre parmi les plantes du jardin avec leur forme organique et leur coloris verdâtre, utilisent la technologie Luminblend pour fournir jusqu’à 16 millions de couleurs. Les diodes RGBW adressables permettent de former des motifs mêlant plusieurs couleurs, mais aussi d’émettre une lumière blanche pure (CRI 94) et forte (1 100 lumens).
L’application de Govee permet de créer jusqu’à 64 scénarios d’éclairage, mais la prise en charge de Matter assure la compatibilité avec de nombreuses applications de domotique, dont celle d’Apple. La structure en aluminium assure le refroidissement passif des diodes, qui consomment environ 36 W, et une protection IP66 contre l’eau et les poussières. Govee annonce une disponibilité immédiate au prix de 169,99 €, mais propose déjà une réduction de 30 €.