Version RC : iOS 18.5 bientôt disponible, la liste des nouveautés

Les release candidate de watchOS 11.5 et visionOS 2.5 sont en téléchargement avant des versions finales attendues logiquement pour la semaine prochaine. Il n'y avait pas grand chose à se mettre sous la dent avec ces deux mises à jour lors des bêtas. watchOS reçoit toutefois son cadran pride/fierté annuel qui va avec le bracelet du même nom. Lequel est actuellement en précommande.
Les notes de version de watchOS citent le nouveau cadran, la possibilité de confirmer un achat avec sa montre dans l'app TV d'Apple fonctionnant sur un autre appareil que l'Apple TV. Et aussi la correction d'un bug qui pouvait empêcher l'iPhone d'afficher une notification lorsque la batterie de l'Apple Watch était remplie à 100 %.
watchOS 11.4 est de retour en version finale
macOS 15.5 approche de la ligne d'arrivée avec la distribution d'une release candidate. On en aura peut-être une seconde si un gros bug est détecté sinon ce sera la version finale d'ici une semaine.
Ce n'est une mise à jour très chargée en nouveautés c'est le moins qu'on puisse dire, on avait juste observé un microchangement dans Mail. Les notes de version ne mentionnent que des correctifs qui ne sont pas détaillés et des failles de sécurité bouchées.
Les iPhone et iPad recoivent iOS et iPadOS en version 18.5 release candidate. L'ultime étape avant la version finale attendue la semaine prochaine. Cette sortie est calée avec la commercialisation dans quelques jours du bracelet Pride 2025 qui est complété d'un fond d'écran et d'un cadran sur les iPhone, iPad et Apple Watch.
Nous n'avions pas relevé grand chose de très significatif dans cette mise à jour 18.5 : de menus changements dans Mail et une amélioration pour l'eSIM de Free. tvOS 18.5 est aussi quasi-finalisé avec encore moins de changements visibles
Les notes de version sont succintes :
Backbone est de retour avec une nouvelle manette berceau au tarif exorbitant visant les joueurs les plus exigeants. En plus de quelques améliorations côté confort comme des sticks de taille standard, cette Backbone Pro embarque désormais une connectivité Bluetooth. On pourra ainsi s’en servir pour des jeux sur iPhone avant de l'utiliser pour continuer une partie sur son Mac. Il est également possible de la brancher directement en filaire pour une latence moindre ou pour jouer sur une tablette.
Cette Backbone Pro reprend une disposition assez classique avec deux sticks asymétriques plus confortables et des boutons XYAB que l’on nous présente comme étant plus silencieux. On retrouve aussi un combo Start/Select, une touche de capture d’écran, une croix directionnelle et un bouton pour lancer l’app maison. Les gâchettes sont à effet Hall, une technologie qui devrait offrir de meilleures sensations. Autre petite nouveauté : l’entreprise a ajouté deux boutons personnalisables tombant sous les index.
Le Bluetooth a visiblement été bien pensé, avec une fonction permettant de rapidement passer d’un appareil à l’autre sans se reconnecter. L’intégration avec l’application Backbone devrait être améliorée, celle-ci faisant office d’agrégateur de jeux pour les multiples plateformes. Backbone affirme qu’il sera possible d’enregistrer de nombreux profils pour ses différents jeux. L’autonomie monte jusqu’à 40 heures.
La manette est USB-C, ce qui exclut les téléphones sortis avant l’iPhone 15. L’accessoire fonctionne avec un grand nombre de coques, comme celle en silicone d’Apple. Il sera prochainement mis en vente sur le site du constructeur, sachant que le tarif américain est de 170 $ : on devrait s’approcher des 200 € dans la version européenne. Backbone n’est pas le seul sur le créneau des manettes haut de gamme, et nous avions testé il y a quelque temps la Kishi Ultra, une manette au concept similaire sans connectivité sans fils.
Il y a du changement dans la gamme Surface Copilot+ à puces ARM. Microsoft vient d’annoncer une version revue du Surface Laptop, un ultraportable équivalent au MacBook Air. Si le design s’affine et que la bécane perd une centaine de grammes, elle n’est pas particulièrement intéressante étant donné que la puissance est réduite pour un prix en hausse : 1 099 €, contre 100 € de moins pour la génération précédente.
Le nouveau Surface Laptop embarque une puce Snapdragon X Plus de Qualcomm, 16 Go de RAM et 256 Go de stockage. La puce est une version moins puissante que celle que l’on connaissait jusqu’à présent étant donné qu’elle dispose de seulement 8 cœurs (contre 10 habituellement). Le PC n’en reste pas moins certifié Copilot+, ce qui lui permet d’accéder à certaines fonctions d’IA.
Mis à part ça, on y trouve un écran de 13 pouces 1920 x 1280 (60 Hz). La batterie devrait tenir environ 16 heures. Côté connectique, on retrouve deux USB-C, un USB-A et un port jack. La machine est Wi-Fi 7 et embarque du Bluetooth 5.4. Un ventilateur est toujours présent, ce qui est bruyant, mais devrait éviter la surchauffe sur le long terme. Notons qu’il est possible de grimper à 512 Go pour 1 219 €.
Sur un autre registre, Microsoft a également lancé une nouvelle Surface Pro, son hybride 2-en-1 faisant autant tablette que PC portable. Ce nouveau modèle 12 pouces intègre la même puce et la même configuration que le Surface Laptop (16/256 Go). Les ventilateurs ont disparu, ce qui donne un design plus moderne. L'autonomie n'est pas exceptionnelle pour autant étant donné qu'on parle de 12 heures en usage web, soit moins que le Surface Laptop.
La dalle LCD 2196 x 1464 (220 ppi) est 90 Hz et non 120 Hz comme sur la Surface Pro 11 13". Le connecteur Surface Connect a disparu et été remplacé par un second USB-C. La bécane est vendue pour 979 €, sachant que le clavier est vendu à part pour 180 € (ou 300 € en pack avec le stylet Slim Pen).
Amazon fait partie des acteurs qui profitent pleinement de la décision de justice qui a obligé Apple a desserrer son étreinte sur l'App Store aux États-Unis.
Depuis l'app Kindle pour iOS, les utilisateurs américains peuvent maintenant parcourir la librairie d'Amazon, voir les prix des ouvrages numériques, en acheter et les télécharger directement dans l'app. Un parcours tout à fait banal de prime abord sauf qu'il n'était pas possible jusqu'à présent et qu'il ne l'est toujours pas en dehors des États-Unis.
Pour s'épargner la commission obligatoire d'Apple lors de l'achat d'un livre, Amazon imposait un parcours plus compliqué pour disposer d'un livre entier dans son app. On pouvait récupérer un extrait du texte — du moins pour les ouvrages qui en proposent un — et on utilisait le menu de partage pour s'envoyer le lien vers la page web du bouquin chez Amazon.
App Store : Apple change ses règles aux États-Unis et Spotify saute sur l'occasion
L'achat devait donc être effectué en dehors de l'app Kindle. C'est une fois seulement que le livre avait été acheté par cet autre biais qu'il pouvait être récupéré au complet dans l'app Kindle. Ces circonvolutions ont disparu de l'app Kindle américaine qui agit maintenant comme on s'y attend, en proposant un bouton dont l'intitulé — Get book — se passe d'explication.
Apple ayant fait appel de la décision de justice qui a mis à bas un pan entier de son modèle économique sur l'App Store, la durée de vie de mécanisme demeure incertaine.
Apple mord la poussière face à Epic, mais ne rend pas les armes
Tim Cook a reçu un hommage appuyé de Warren Buffet, l'un des financiers les plus respectés de ce secteur, pour la manière dont il a développé Apple et par la même occasion la valeur de son action. Buffet (94 ans) s'exprimait lors de l'assemblée générale des actionnaires de Berkshire Hathaway dont il va quitter la direction pour ne conserver que le titre de président du conseil.
En préambule à tout autre propos sur la situation économique, Warren Buffet a partagé son admiration pour la manière dont Tim Cook — qui avait fait le déplacement à Omaha dans le Nebraska — a conduit les affaires d'Apple après le décès de Steve Jobs. Warren qui a l'aura d'un investisseur de génie (Berkshire Hathaway ne produit rien et ne fait que placer judicieusement son capital) a souligné la contribution du patron d'Apple a sa bonne fortune :
Je suis quelque part gêné de dire que Tim Cook a fait gagner à Berkshire Hathaway bien plus d'argent que je l'ai fait moi-même. J'ai brièvement connu Steve Jobs, et Steve a bien sûr fait des choses que personne d'autre n'aurait pu faire pour développer Apple. Steve a choisi Tim pour lui succéder et ce fut une vraie bonne décision. Steve comme vous le savez est mort jeune, et personne d'autre que Steve n'aurait pu créer Apple, mais il n'y a que Tim qui pouvait la développer comme il l'a fait. Donc, au nom de Berkshire Hathaway, merci Tim.
Buffet a pris soin de préciser que les seules présentations trimestrielles des résultats qu'il suivait en direct étaient celles d'Apple. Il faut dire que Berkshire Hathaway a investi des sommes colossales dans la Pomme depuis un peu moins de 10 ans, avec un pic de 908 millions de titres en 2021.
L'été dernier, l'entreprise s'était délestée de la moitié de ses actions après une précédente vente, une manière a-t-on dit de réduire son imposition sur les plus-values. Malgré cette séparation, Berkshire Hathaway détenait pour 84 milliards de dollars d'actions. Au 31 décembre, il était le 6e investisseur institutionnel avec 300 millions de titres, pesant 2 % du capital pour une valeur de 59,6 milliards de dollars.
Quelques jours plus tôt, c'est Tim Cook qui avait rendu hommage à Buffet, qui venait d'annoncer qu'il laissait la direction de Berkshire Hathaway à l'un de ses fidèles, Greg Abel. Sur X, Cook disait lui aussi son admiration pour le financier, habituellement qualifié « d'Oracle d'Omaha », et « sa sagesse inspirante ».
There’s never been someone like Warren, and countless people, myself included, have been inspired by his wisdom. It’s been one of the great privileges of my life to know him. And there’s no question that Warren is leaving Berkshire in great hands with Greg. pic.twitter.com/7p5zXtq5hP
— Tim Cook (@tim_cook) May 3, 2025
Apple a récemment invité une poignée d’influenceurs à visiter son QG européen de Cork, en Irlande. Plus précisément, les chanceux ont pu visiter des laboratoires dans lesquels Apple teste la résistance de ses produits. Le français TheiCollection a fait le déplacement, tout comme d’autres influenceurs européens (l’Espagnole Verownika, l’Italienne Hopebellee, le Polonais Spider’s web…).
Ce laboratoire d’essai a ouvert en 2022. Les invités ont pu découvrir le Reliability Lab (où sont testés la durabilité des produits) ainsi que l'Applied Research Lab, passant aux cribles les appareils à la recherche de failles. L’occasion d’apercevoir les différentes machines industrielles torturant les multiples bidules pommés : four à iPhone, frigo pour iMac, machine à projection de sable, simulateur de pression sur les écrans… On peut également y voir une machine inclinant un iMac ou y insérant un port USB afin de tester sa durabilité, ou une autre s’assurant que le produit ne sera pas abîmé dans son carton pendant le transport.
La visite présentait aussi les microscopes et autres scanners utilisés pour analyser en détail les produits. Sans surprise, Apple n’a pas montré de prototype exclusif mais a fait sa démonstration avec des iMac et iPhone déjà sur le marché. Ce n’est pas la première fois que Cupertino donne accès à ce laboratoire : un Youtubeur italien avait été invité à une visite similaire il y a maintenant un an.
OpenAI va rester une société à but non lucratif. La start-up a confirmé dans un billet de blog qu’elle abandonnait son ambitieux projet visant à changer de structure sur deux ans. « OpenAI a été fondée en tant que société à but non lucratif, et est aujourd'hui supervisée et contrôlée par celle-ci », écrit le président d’OpenAI. « À l'avenir, elle continuera d'être supervisée et contrôlée par cette organisation à but non lucratif ».
L’idée de changer de structure avait été officialisée en fin d’année dernière : l’ambition était alors de rivaliser avec les plus grands et de « devenir une entreprise pérenne », avec une transition sur 24 mois. De nombreuses voix critiques s’étaient levées, y voyant une transition dommageable sur le long terme pouvant créer un précédent dangereux. L’idée n’avait pas du tout plu à Elon Musk, qui avait proposé 97,4 milliards de dollars pour racheter la branche à but non lucratif d'OpenAI.
La décision a été prise après une discussion avec les bureaux des procureurs généraux de Californie et du Delaware, où OpenAI est basée et enregistrée. Dans une lettre ouverte, Sam Altman réitère son ambition « de veiller à ce que l'intelligence artificielle générale (AGI) profite à l'ensemble de l'humanité ». Il y indique que, même si une branche demeurera dédiée au profit, elle continuera d’être contrôlée par un conseil d’administrateurs rattaché à une entité mère à but non lucratif. Un tel choix devrait permettre « de continuer à réaliser des progrès rapides et sûrs et de donner à tous l’accès à une IA performante ».
Un tel changement de stratégie devrait déplaire aux investisseurs, qui attendaient impatiemment de faire fructifier leurs placements. OpenAI a levé 40 milliards de dollars en début d’année, dont les 3/4 proviennent de la société d’investissement japonaise SoftBank. La transformation d’OpenAI en entreprise à but lucratif était une des conditions du contrat : la somme devrait donc être revue à la baisse.
Le bidouilleur Josh Greenwalt s’est mis en tête de se créer un PC de joueur au boîtier original : celui d’un Macintosh SE. Il a donc réussi à transformer le châssis de cette vénérable machine de 1987 en véritable tour gaming à la configuration musclée. Les détails sont disponibles dans sa vidéo YouTube sur le sujet.
Josh Greenwalt explique être récemment tombé sur une annonce pour un Macintosh SE d’occasion, qu’il a décidé de désosser et de découper pour y intégrer des composants de PC. La configuration est plus que respectable étant donné qu’on y trouve une carte graphique RTX 3070 couplée à 32 Go de RAM et un processeur Ryzen 5 7600. Le SSD NVME interne fait 2 To. L’écran d’origine reste fonctionnel et peut servir à jouer, même s’il sera évidemment plus intéressant d’utiliser un écran externe pour autre chose que du rétrogaming format 4:3.
Malgré de nombreuses heures de perçage, de découpe et de ponçage du boîtier, le bidouilleur a réussi à ne pas trop dénaturer le Mac. Le lecteur de disquette d’origine sert désormais à lire les cartes SD, et la molette de luminosité ajuste maintenant le son. Des haut-parleurs ont été intégrés, ainsi qu’un port USB-C frontal. De plus, il a développé plusieurs fonds d’écrans pour l’écran interne avec un petit visage de robot donnant l’impression que l’ordinateur dort ou qu’il est en sueur quand il monte dans les tours.
Les composants des machines actuelles sont énormes par rapport au boîtier, lancé il y a presque 40 ans. L’intégration a demandé un peu de bidouille, comme il l’a expliqué à Engadget. « La seule façon de faire tenir une carte graphique était de la monter verticalement avec les ports orientés vers le bas. Pour cette raison, j'ai dû faire passer des câbles d'extension pour réorienter les ports vers l'arrière et j'ai dû utiliser un câble PCIe riser de 400 mm pour le brancher sur la carte mère ». Il précise que la torsion de cet énorme câble donne un côté assez ridicule quand on jette un coup d'œil aux entrailles de la bête, mais que l’astuce fonctionne.
Le résultat est sympathique. Cependant, Josh Greenwalt s’inquiète que des bidouilleurs du dimanche s’accaparent les stocks de Macintosh SE pour essayer de faire pareil - réduisant ainsi les le nombre de machines sur le marché. Il a des idées pour la suite et envisage de proposer ses plans de boîtier 3D pour ceux voulant également tenter l’aventure. Une vidéo devrait arriver dans les semaines qui viennent détaillant le processus de fabrication.
Orange a commencé à distribuer une mise à jour logicielle pour sa dernière Livebox 7. Cette révision immatriculée G02.R08.C03 n'est pas encore référencée sur sa page mais on nous en a transmis les notes de version qui indiquent :
Corrections de problèmes aléatoires de perte du Live sur le Décodeur TV, de fonctionnement du Wifi 5 GHz, de débit maximal à proximité de la Livebox (ex: un speedtest nPerf).
Il est également précisé qu'il faut laisser la Livebox se calibrer après l'installation de la mise à jour, pendant une bonne demi-heure :
Après le redémarrage, la Livebox 7 observe son environnement radio, note les différents canaux et largeurs de bande afin de prendre une décision de changement de configuration (généralement sous 30 mn). Un speedtest pendant cette période peut avoir un résultat en deçà des attentes voire inciter la Livebox 7 à se mettre en repli dans une configuration conservatrice avec moins de débit.
Si vous n'avez pas encore reçu cette nouvelle version — elle a commencé à être envoyée dans la nuit — il peut être intéressant de procéder à quelques tests de vitesse autour de la box de manière à comparer avec d'éventuelles améliorations après-coup. Le sujet des performances avait cristallisé des critiques sur la décision d'Orange de ne plus prendre en charge la bande des 6 GHz — tout en se gardant la possibilité de l'activer — laquelle est efficace sur de courtes distances.
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Folder Preview comble une lacune de Quick Look dans macOS en permettant de voir le contenu d'un dossier sans l'ouvrir, comme on le fait pour la prévisualisation du contenu d'un document.
Ce petit utilitaire vendu 1,99 € sur le Mac App Store ajoute les dossiers aux éléments dont on peut avoir un aperçu du contenu par un simple appui sur la barre d'espacement (ou par le raccourci Cmd + Y). Apple n'a en effet jamais pris en charge les dossiers pour Quick Look, peut-être en considérant que cela fait double-emploi avec une simple ouverture dans le Finder. On peut utiliser Quick Look sur un dossier, mais on n'obtient qu'une vue agrandie de son icône, rien de plus.
Pourtant un Quick Look sur un dossier peut avoir un intérêt pour éviter d'avoir à ouvrir un dossier pour rien et autres manipulations qu'un coup sur la barre d'espacement remplace avantageusement.
Après l'installation de l'app, la prévisualisation fonctionne immédiatement, mais pour qu'elle soit plus étendue — par exemple avec les dossiers dans les boites de dialogue d'ouverture de fichiers — allez dans Réglages Système > Général > Ouverture et extensions > Coup d'œil puis activez Folder Preview.
L'app a même quelques réglages pour afficher le contenu d'un dossier zippé, pour ouvrir automatiquement les sous-dossiers (dans la limite de 7 niveaux), pour montrer les éléments cachés ou encore pour agrandir l'affichage.
Folder Preview a quelques limitations inhérentes à Quick Look, c'est un outil de prévisualisation, on ne va pas naviguer dans une hiérarchie de sous-dossiers ni ouvrir un élément depuis cette vue. Cela reste l'apanage du Finder, mais même dans ce cadre, Folder Preview reste un utilitaire pratique et l'auteur en a amélioré les performances avec cette version 1.6.
La sympathique enceinte Bose SoundLink Flex de deuxième génération est en promo ce matin. Amazon la propose pour 119,99 €, contre un prix public conseillé de 179,95 €. Cela représente donc 33 % de ristourne sur cette enceinte Bluetooth qui n’est disponible à ce prix là qu’en coloris noir.
Bose promet une autonomie allant jusqu’à 12 heures et un indice de protection IP67, ce qui la rend résistante à l’eau et à la poussière. Une technologie maison détecte l’inclinaison de l’enceinte afin d’ajuster le son en conséquence. La connexion multipoint est au programme, tout comme un micro intégré pour passer des coups de fil en kit mains libres. Un mode stéréo permet d’en jumeler deux pour les clients équipés.
En ajoutant 10 € de plus, vous pourrez vous tourner vers la récente Beats Pill qui perd actuellement 24 % de son prix chez Amazon. Celle-ci tient plus de 20 heures et a l’avantage d’être compatible avec le réseau Localiser. Nous recommandons également la Sonos Roam, qui a l’avantage d’être compatible AirPlay mais dont le tarif est bien moins abordable (199 €).