↩ Accueil

Vue lecture

X arrête son application X pour Mac (qui n'était que l'app iPad mal intégrée)

X (anciennement Twitter, même si ce nom a perdu de son aura) a mis à jour récemment son application, et elle vient de perdre la compatibilité avec macOS. L'app macOS native historique, avec l'oiseau bleu, avait été abandonnée en août 2024 et X avait poussé une solution alternative et peu satisfaisante : l'app X pour iPad.

La dernière version de l'app n'est plus compatible macOS. Image MacGeneration.

Cette dernière n'est qu'une application iPad qui peut être lancée sur les Mac Apple Silicon (pas les Mac Intel) et l'intégration dans le système d'exploitation était minimale, avec des fenêtres liées à l'app et non détachables (par exemple). Mais malgré une bonne partie du code partagé entre toutes les versions, la variante pour Mac a souffert de nombreux bugs ces derniers mois. Et visiblement, les développeurs en ont eu assez : la 11.47 est la dernière qui était compatible avec macOS. La 11.48, sortie récemment, n'est plus compatible avec macOS.

Soit les développeurs ont décidé d'arrêter la prise en charge des Mac, soit c'est un problème de leur côté. Nous avons contacté X, mais comme toujours depuis le rachat par Elon Musk nous n'avons pas eu de réponse1. Et la page officielle de support pour macOS renvoie encore et toujours vers l'ancienne app, qui n'est plus disponible depuis plus d'un an. Si vous utilisez encore le réseau social, c'est donc le moment de chercher une solution, qui est probablement de passer par le site directement, plutôt qu'une app dédiée.


  1. Au moins, la réponse automatique limitée à un ne semble plus en place.  ↩︎

  •  

Remplacer son Mac par un iPad : fausse bonne idée ?

Apple nous vante depuis longtemps l’idée selon laquelle il serait possible, voire même souhaitable, de se passer d’un Mac au profit de l’iPad. On se rappelle de la publicité à succès pour l’iPad Pro « What’s a computer » d’il y a quelques années… Avec l’ajout progressif de fonctionnalités propres au Mac comme le clavier, le trackpad, le multitâche, les puces Apple Silicon… sur le papier, tout est là.

Mais dans les faits, pour avoir moi-même essayé de délaisser mon MacBook Pro pour un iPad Pro, iPadOS reste une vraie limite. Multitâche limité, applications bridées, ergonomie inférieure… Il est techniquement possible de travailler sur iPad mais c’est souvent loin d’être souhaitable.

Et le fameux combo iPad Pro + Magic Keyboard est selon moi une fausse bonne idée car plus lourd et moins stable qu’un MacBook Air. L’iPad, a cependant ses qualités et je l’utilise aujourd’hui en complément de mon Mac comme pour de la prise de notes manuscrites et la consommation de contenus.

Le choix de l’iPad n’est donc pas aussi évident qu’Apple peut l’insinuer. L’iPad est un excellent produit mais le vendre comme un remplacement pur et dur du Mac est trompeur pour la majorité des utilisateurs.

Mais qu’il s’agisse d’un Mac ou un d’un iPad, il s’agit du genre de beau cadeau qui fait toujours plaisir. Le Black Friday a été cette année marqué par de nombreuses promotions sur les derniers modèles. Mais, alors que les autres enseignes sont retournées aux tarifs habituels, il est bon de savoir à une dizaine de jours de Noël qu’Amazon continue de proposer de nombreuses promotions (voire même les mêmes tarifs que pendant le Black Friday, avec livraison garantie avant Noël). En voici quelques exemples :


Et vous, utilisez-vous un Mac, un iPad ou les deux ?


Cet article contient des liens d’affiliation Amazon. En achetant via ces liens, vous soutenez MacBidouille sans dépenser plus.

  •  

Google Traduction veut devenir un interprète en temps réel

Google accélère l’intégration de son IA Gemini au sein de Google Translate. Le service de traduction bénéficie désormais de nouvelles capacités avancées, allant d’une meilleure compréhension des expressions idiomatiques à la traduction vocale en temps réel directement dans les écouteurs.
  •  

iRobot, le fabricant des aspirateurs robots Roomba, en faillite et acheté par un groupe chinois

Dans le monde des aspirateurs robots, ceux d'iRobot sont probablement les plus connus : Roomba est parfois utilisé comme un nom générique, un peu comme Frigidaire1. Mais en réalité, iRobot n'allait pas bien : la société vient d'être placée sous le chapitre 11 de la loi sur les faillites des États-Unis, l'équivalent du redressement judiciaire dans nos contrées, et va être achetée par un de ses clients pour la production, Picea Robotics.

Un des derniers Roomba. Image iRobot.

iRobot a été fondé en 1990, et le premier aspirateur robot date de 2002 (les premiers robots étaient dans le domaine militaire). La marque a eu un grand succès dans ce domaine, avant de peu à peu se faire rattraper puis dépasser par ses concurrents au fil des années, qui ont proposé des modèles moins onéreux et plus complets.

La fin d'iRobot n'est pas réellement une surprise. En 2022, Amazon avait annoncé l'achat de la société pour 1,7 milliard de dollars, avant que le deal capote à cause de la Commission européenne. Si certaines autorités locales de la concurrence avaient adoubé l’acquisition. iRobot et Amazon avaient donc dû renoncer, devant les risques monopolistiques évidents de l’opération.

Amazon achète iRobot, le créateur des aspirateurs Roomba

Amazon achète iRobot, le créateur des aspirateurs Roomba

Depuis, la société essayait de survivre tant bien que mal, mais ce n'était pas très engageant : les derniers modèles en date étaient essentiellement des modèles chinois rebadgés… fabriqués par Picea Robotics. Cet achat est du coup assez étonnant sur un point : Picea est le fabricant de nombreux modèles d'aspirateurs robots (Shark, Haier, Anker, Dyson selon certaines sources, etc.), ce qui risque d'amener un monopole de fait, au moins dans la conception des robots.

Picea Robotics produit pour beaucoup de monde. Image Picea.

Pour les personnes qui possèdent un Roomba, cet achat devrait au moins permettre aux robots de continuer à fonctionner à court terme. Ensuite, il faut espérer que Picea Robotics continuera à exploiter la marque et gardera les serveurs en ligne…

Les robots aspirateur de Neato dépendaient de serveurs distants, ils vont perdre toute connexion sans recours

Les robots aspirateur de Neato dépendaient de serveurs distants, ils vont perdre toute connexion sans recours


  1. Qui est une marque. On appelle ça un onomastisme.  ↩︎

  •  

SF Symbols Lite améliore le gestionnaire d’icônes fourni par Apple

SF Symbols Lite (gratuit) est une nouvelle app plutôt destinée aux développeurs dans l’écosystème Apple, même si elle peut aussi servir dans d’autres contextes. Son développeur la présente comme une alternative à SF Symbols, une app fournie par Apple pour lister toutes les icônes conçues par ses soins et que l’on retrouve dans les apps développées pour ses systèmes d’exploitation. SF Symbols comme SF Symbols Lite affichent la liste exhaustive de tous les symboles à disposition, avec des catégories pour les filtrer, un champ de recherche ou encore la possibilité de créer sa propre organisation.

SF Symbols Lite en action. Image MacGeneration.
SF Symbols Lite en action. Image MacGeneration.

Les deux présentent aussi chaque icône telle qu’elle s’affichera dans une app, avec toutes les options associées : on peut les prévisualiser en monochrome ou avec plusieurs couleurs, fixes ou animées. En bref, ce sont deux apps très proches, au point où l’on peut se demander ce qui a pu pousser le créateur de SF Symbols Lite à proposer sa version. Le développeur a quelques arguments à faire valoir en mettant en avant une app plus simple et plus légère que celle d’Apple, la possibilité de définir ses propres mot-clés ou encore un aperçu amélioré.

Après quelques minutes à tester les deux apps, la différence la plus évidente à mes yeux est la recherche améliorée. Cela n’a jamais été le point fort de SF Symbols, qui cherche uniquement par le nom des icônes, sans souplesse. Par exemple, l’éclair (lightning en anglais) est en réalité nommé bolt, un synonyme qui désigne sans doute plus précisément le symbole, mais l’app d’Apple impose de saisir ce terme et uniquement lui pour retrouver l’icône. Avec SF Symbols Lite, les deux mots fonctionnent aussi bien pour trouver la bonne image. Seul point à noter, j’ai eu quelques latences en utilisant la recherche et il y a probablement des optimisations à faire.

Exemple d’une recherche que la nouvelle app gère parfaitement, alors que celle d’Apple ne donne aucun résultat. Image MacGeneration.
Exemple d’une recherche que la nouvelle app gère parfaitement, alors que celle d’Apple ne donne aucun résultat. Image MacGeneration.

Côté légèreté, on peut relever que SF Symbols pèse environ 136 Mo dans le dossier des applications, contre 32 Mo pour SF Symbols Lite. Pour ne rien gâcher, cette nouvelle app est non seulement gratuite, elle est aussi open-source et son code entièrement en Swift est distribué sur GitHub. La première version est proposée sur la page des sorties et il s’agit d’une app compilée et signée, ce qui permet de l’ouvrir directement.

SF Symbols Lite n’est proposée qu’en anglais et l’app nécessite macOS 26.

  •  

iRobot dépose le bilan : le fabricant du Roomba passe sous contrôle chinois

iRobot, l'entreprise américaine qui a démocratisé les aspirateurs robots avec son célèbre Roomba, vient de déposer le bilan. Après 35 ans d'existence, le pionnier de la robotique domestique se place sous la protection du Chapter 11, l'équivalent américain du redressement judiciaire.
  •  

Beats rend hommage aux films de kung-fu pour vendre ses Powerbeats Pro 2

Beats a publié une vidéo de près de cinq minutes pour vendre ses Powerbeats Pro 2, ses écouteurs intra-auriculaires pensés pour les sportifs avec leur capteur cardiaque et un arceau qui leur apporte de la stabilité en mouvement… voici d’ailleurs le thème de base de cette nouvelle publicité. Dans une sorte d’hommage aux films de kung-fu des années 1970, la stabilité est au cœur de l’apprentissage d’un jeune américain qui se rend en Asie pour améliorer ses talents et surtout récupérer quelques arguments contre un troll en ligne. Un court-métrage qui multiplie les clins d’œil, jusqu’aux doublages grossiers, avec une bonne dose de second degré.

Test des Powerbeats Pro 2 : réduction de bruit sur fond de rythme cardiaque

Test des Powerbeats Pro 2 : réduction de bruit sur fond de rythme cardiaque

  •  

Les Powerbeats Pro 2 sont parfaits pour pratiquer le kung-fu !

Beats poursuit sa stratégie marketing spectaculaire avec une nouvelle publicité dédiée aux Powerbeats Pro 2, mettant en scène le streamer et YouTuber IShowSpeed. Dans ce spot de près de cinq minutes, la marque joue à fond la carte de la vitesse, de la stabilité mais aussi de l’autodérision, en s’inspirant ouvertement des codes des films de kung-fu classiques.
  •  

macOS 26.2 déplace les indicateurs de luminosité et volume quand une app s’affiche en plein écran

macOS 26.2 modifie légèrement les indicateurs de luminosité et de volume, qui ont été déplacés avec macOS Tahoe. Longtemps affichés en milieu et en bas de l’écran, ces indicateurs qui se présentent lorsque l’on change le volume de la sortie audio ou la luminosité de l’écran en utilisant le clavier ont été rangés en haut à droite avec la mise à jour annuelle. La logique d’Apple est de les associer physiquement avec le Centre de contrôle qui se trouve également à ce niveau et qui permet, lui aussi, d’ajuster les deux paramètres.

Changement de luminosité sur le bureau de macOS et avec une app affichée en plein écran. Image MacGeneration.

Avec la mise à jour, on ajoute une subtilité à ce principe général. Les indicateurs s’affichent toujours en haut à droite par défaut, Apple n’est pas revenue en arrière sur ce changement qui modifie des habitudes bien ancrées. En revanche, quand une app passe en plein écran, l’indicateur change de place et vient se positionner en haut, au milieu du moniteur. Pourquoi ce changement ? Sans doute parce que la barre des menus n’est plus visible par défaut quand on est en mode plein écran, alors le lien spatial entre les deux éléments n’a plus lieu d’être.

D’ailleurs, comme l’a relevé AAPL Ch. en signalant la nouveauté, le placement supérieur droit est restauré dès lors que l’on affiche la barre des menus de macOS tout en étant en plein écran. Dans une app en plein écran sans barre de menus, les indicateurs de volume et de luminosité seront en haut à droite ; dans une app en plein écran avec barre de menus, ils seront centrés en haut.

Pour finir, si vous regrettez l’ancien affichage, rappelons l’existence de volumeHUD, un utilitaire qui se charge de le restaurer. L’app a été mise à jour à de multiples reprises depuis notre présentation initiale et elle fonctionne aujourd’hui très bien et peut maintenant masquer l’indicateur du système, pour un rendu plus propre. Si le changement de macOS 26 vous agace, c’est une excellente option.

volumeHUD restaure le gros affichage lors d’un changement de volume sous macOS Tahoe 26

volumeHUD restaure le gros affichage lors d’un changement de volume sous macOS Tahoe 26

  •  

Waze teste (enfin) l’affichage des feux tricolores

En cette fin d’année, Google semble décidé de combler les quelques lacunes de ses logiciels de navigation. Si Google Maps va enfin mémoriser systématiquement l’endroit où vous vous êtes garés, Waze pourrait dans un avenir proche enfin afficher les feux rouges !

Google Maps se met enfin à niveau : Plans et Waze faisaient déjà ça en 2016

Google Maps se met enfin à niveau : Plans et Waze faisaient déjà ça en 2016

Image : appshunter.io/ Unsplash

Mais attention, l'idée n'est pas de transformer la carte en sapin de Noël. Selon les premiers retours, l'application limiterait l'affichage à trois feux tricolores simultanés lors d'une navigation active. L'objectif est clair : préserver la lisibilité de l'interface et ne pas noyer le conducteur sous un flot d'informations visuelles alors qu'il doit se concentrer sur la route.

Le comportement diffère toutefois si vous utilisez Waze en mode « roue libre », sans itinéraire programmé. Dans ce cas de figure, l'application se montre plus exhaustive et affiche l'ensemble des feux situés à proximité de votre position, offrant une vue plus complète des intersections alentour.

Cette nouveauté, repérée par GeekTime, n'en est pour l'heure qu'au stade expérimental. Les tests semblent circonscrits à Israël et aucune date n'a encore filtré pour un déploiement international. Il reste également à voir si cette limite de trois feux sera maintenue dans la version finale.

Ce n'est cependant pas une surprise totale : en mai dernier, Waze avait confirmé que la prise en charge des feux était bien sur sa feuille de route. La logique voudrait que la filiale de Google ne reparte pas d'une feuille blanche. Théoriquement, Waze pourrait piocher dans l'immense base de données de Google Maps, qui cartographie déjà les feux tricolores dans de nombreux pays, plutôt que de tout recommencer à zéro.

Reste à voir quand cette fonction sera effectivement déployée. La patience dans cette affaire est de mise. Apple Plans gère cela depuis … 2019.

Plans sait afficher les feux   et les stop

Plans sait afficher les feux et les stop

  •  

iOS : Apple cherche toujours à forcer les mises à jour automatiques

Pour Apple, tous les moyens sont bons pour inciter très fortement les utilisateurs à installer la dernière version d’iOS ou de macOS. Les utilisateurs encore sous iOS 18 ont droit à un énorme pavé pour vanter les nouveautés d’iOS 26 et doivent s’y prendre à deux fois s’ils veulent rester sur leur version actuelle tout en installant simplement la dernière mise à jour de sécurité.

Des mises à jour de sécurité pour les anciennes versions de macOS et iOS

Des mises à jour de sécurité pour les anciennes versions de macOS et iOS

Il semble d'ailleurs que chez certains utilisateurs sous iOS 18, seule la bascule vers iOS 26 soit proposée. Un comportement qui pourrait être lié au profil choisi dans les réglages de Mise à jour logicielle1.

Le piège du bouton « Continuer »

Le dernier subterfuge d’Apple pour arriver à ses fins se niche dans le tunnel d’écrans auquel l’utilisateur fait face lorsqu’il installe une mise à jour. Un peu comme lorsqu’on a affaire à des conditions générales d'utilisation, on a une fâcheuse tendance à cliquer sur « Continuer » sans trop réfléchir pour accéder rapidement à son écran d'accueil.

C’est précisément là que le stratagème d’Apple se révèle assez fourbe. Les utilisateurs ayant migré vers iOS 26.2 ce week-end ont pu s’en rendre compte : l'écran affichant « Mise à jour terminée » n'est pas aussi anodin qu'il y paraît.

Image : MacRumors

Si vous appuyez machinalement sur le gros bouton bleu « Continuer », vous consentez, sans forcément le vouloir, à ce que les futures mises à jour soient téléchargées et installées automatiquement. Apple a bien prévu une échappatoire, mais elle prend la forme d'un lien discret « Télécharger uniquement automatiquement », bien moins visible que le bouton principal. Si vous n'êtes pas attentif, l'option d'installation automatique est activée par défaut par ce simple clic.

iOS 26.2 disponible en version finale : toutes les nouveautés de cette mise à jour pas si anodine

iOS 26.2 disponible en version finale : toutes les nouveautés de cette mise à jour pas si anodine

Une apparition aléatoire

Ce changement de comportement ne saute pas aux yeux de tout le monde. Si vous aviez déjà activé les mises à jour automatiques, iOS 26.2 ne changera rien à votre quotidien. Plus curieux, cet écran ne semble pas apparaître systématiquement chez tous les utilisateurs ayant pourtant désactivé cette fonction, signe qu'Apple procède peut-être à des tests ou à un déploiement progressif de cette interface.

Il n'empêche, la méthode a de quoi agacer. Elle rappelle que Cupertino peut glisser ce genre d'option « opt-out » (où l'utilisateur doit agir pour refuser) dans n'importe quelle mise à jour mineure. Si vous avez déjà retrouvé votre iPhone mis à jour au petit matin alors que vous n'aviez rien demandé, c'est probablement par ce biais que l'option s'est réactivée discrètement.

Un tour dans les Réglages s'impose

Dans le doute, mieux vaut vérifier l'état de vos paramètres après l'installation d'iOS 26.2. Si vous avez cliqué un peu trop vite et activé accidentellement l'installation automatique, la marche arrière est heureusement simple.

Rendez-vous dans Réglages > Général > Mise à jour logicielle > Mises à jour automatiques. De là, vous pourrez décocher l'option « Mises à jour d’iOS » (ou « Installation des mises à jour de sécurité et fichiers système » selon votre préférence) pour reprendre le contrôle sur le calendrier de vos mises à jour.


  1. On veut bien vos commentaires dans les réactions pour y voir plus clair. Indiquez-nous si vous avez bien installé des bêtas d’iOS par le passé !  ↩︎

  •  

Avec des années de retard, les widgets de X arrivent sur l’iPhone

Après plusieurs années de retard, l'app X déploie enfin des widgets sur iOS et iPadOS, aussi bien sur l’écran d’accueil que sur l’écran verrouillé de l’iPhone et de l’iPad. La fonction était attendue de longue date par les utilisateurs, d’autant qu'elle avait été évoquée dès la WWDC 2020, lors de la présentation d’iOS 14 sans jamais être concrétisée jusqu’ici.
  •  

Venez donner une note à macOS Tahoe 26

Comme chaque année, on vous propose le même petit exercice : venez noter macOS Tahoe 26, de 0 (exécrable) à 10 (parfait).

macOS Tahoe a d’ores et déjà fait l’objet de deux mises à jour importantes. On part du principe qu’en théorie, Apple a eu le temps d’essuyer les plâtres et de corriger les plus gros dysfonctionnements de son système.

La grande nouveauté de macOS Tahoe, c’est bien évidemment son interface : Liquid Glass. Il ne faudrait pas limiter cependant le système d’exploitation à cela. Apple a revu Spotlight en profondeur, avec plus ou moins de bonheur. C’est aussi l’arrivée de nouvelles apps issues d’iOS comme Téléphone, de petites nouveautés liées à Apple Intelligence, des fonds d’écran qui donneront le sourire aux nostalgiques, ou encore un centre de contrôle largement inspiré de l’iPhone.

macOS Tahoe : les nouveautés à découvrir en premier

macOS Tahoe : les nouveautés à découvrir en premier

Contrairement à il y a quelques années, Apple améliore son système d’exploitation en permanence, en y ajoutant régulièrement de nouvelles fonctionnalités. Avec macOS 26.2, Apple ajoute par exemple la fonction Éclairage des bords, qui affiche une large bande lumineuse sur les contours de l’écran pour améliorer l’éclairage du sujet. Pratique pour les visioconférences.

Alors, la question est simple : êtes-vous satisfait de macOS Tahoe 26 ? Donnez-lui une note !

  •  

Traduction en direct : Google va défier les AirPods Pro sur leur propre terrain

La fonction de traduction en direct des AirPods, qui vient tout juste d’arriver en Europe, va bientôt avoir de la concurrence. Limitée initialement aux Pixel Buds, la fonction de traduction en temps réel de Google Translate va être généralisée progressivement.

On a testé la traduction en direct des AirPods : vraiment utile pour franchir la barrière de la langue ?

On a testé la traduction en direct des AirPods : vraiment utile pour franchir la barrière de la langue ?

La fin de l'exclusivité matérielle

C'est là que la stratégie de Google diverge radicalement de celle de Cupertino. Alors qu'Apple verrouille cette fonctionnalité à son propre écosystème matériel — il vous faut impérativement des AirPods pour en profiter —, la firme de Mountain View abat les cloisons. La dernière mise à jour de Google Translate permet d'utiliser la traduction vocale en direct avec n'importe quel casque ou écouteurs, pour peu qu'ils soient connectés à un téléphone Android compatible.

Le déploiement, qui débute aujourd'hui en version bêta, prend en charge plus de 70 langues. L'idée est simple : démocratiser l'interprète de poche sans obliger l'utilisateur à investir dans une paire d'écouteurs spécifique. Une approche agnostique qui contraste avec la « magie » d'Apple, conditionnée presque toujours par la présence d’une puce H1 ou H2.

Image : WatchGeneration

Gemini à la rescousse du contexte

Google ne se contente pas d'ouvrir les vannes matérielles, elle revoit aussi la copie logicielle. L'application Translate va bénéficier de l'intégration de Gemini pour affiner la précision des traductions. L'objectif est de mieux saisir les nuances, les expressions idiomatiques et l'argot, des domaines où la traduction littérale montre vite ses limites.

L'exemple donné par Google est parlant : une expression comme "stealing my thunder" (se faire voler la vedette) sera désormais traduite en tenant compte de son sens figuré, plutôt que d'une incompréhensible histoire de vol de tonnerre. C'est une amélioration bienvenue pour les traductions textuelles, qui cherchent à s'éloigner du mot à mot robotique pour gagner en naturel.

Un professeur de poche et un calendrier échelonné

Enfin, Google lorgne du côté de Duolingo avec l'extension de sa fonction "Practice". Déjà en bêta depuis août, cet outil intégré directement à Translate utilise l'IA pour générer des sessions d'apprentissage personnalisées, basées sur votre niveau de compétence. Vocabulaire, compréhension orale : Google veut que vous n'ayez plus besoin de traduire, mais que vous finissiez par comprendre.

Comment Google Traduction veut concurrencer Duolingo grâce à l’IA

Comment Google Traduction veut concurrencer Duolingo grâce à l’IA

Comme souvent, il faudra patienter un peu avant de voir débarquer tout cela sur nos iPhone. Si la traduction vocale en direct arrive dès aujourd'hui sur Android aux États-Unis, au Mexique et en Inde, elle ne sera disponible sur iOS que l'année prochaine. Les améliorations textuelles. Le mode « Entrainement » est pour sa part en bêta et n’est pas forcément encore déployé chez tout le monde.

  •  

Kindle : Amazon va permettre le téléchargement des livres en EPUB et PDF

Amazon fait machine arrière toute. Après avoir tout fait pour verrouiller l’écosystème Kindle, le géant du commerce en ligne change son fusil d'épaule. Dans une note publiée sur le portail Kindle Direct en fin de semaine dernière, Amazon annonce que les lecteurs pourront, à partir du 20 janvier 2026, télécharger les fichiers des livres qu’ils ont achetés.

Image : Balázs Kétyi / Unsplash

Un choix de format, mais pas de liberté totale

Cette nouveauté, qui sera effective dans un peu plus d'un mois, permettra aux utilisateurs de récupérer une copie locale de leurs ouvrages. Le choix sera offert entre deux formats standards : le PDF et, plus intéressant pour les liseuses, l’EPUB.

Cependant, ne criez pas victoire trop vite. Si Amazon ouvre la porte technique, la clé reste dans la poche des éditeurs. La firme de Seattle précise bien que la présence ou non de DRM dépendra entièrement de la volonté de la maison d'édition. Si l'éditeur décide de protéger son œuvre, le fichier téléchargé restera verrouillé, limitant drastiquement son utilisation sur des appareils concurrents.

Après une année 2025 sous le signe du verrouillage

Ce revirement est d'autant plus surprenant qu'Amazon avait passé l'année 2025 à serrer la vis. En février dernier, l'entreprise avait supprimé la fonction « Télécharger et transférer via USB », coupant l'herbe sous le pied de ceux qui voulaient gérer leur bibliothèque hors ligne. Puis, en septembre, une mise à jour du système de DRM avait rendu le "déplombage" des ebooks quasiment impossible, au grand dam des amateurs de Calibre.

Amazon finit de verrouiller l’écosystème Kindle

Amazon finit de verrouiller l’écosystème Kindle

Amazon ne permettra plus de télécharger les livres destinés aux Kindle depuis son site

Amazon ne permettra plus de télécharger les livres destinés aux Kindle depuis son site

Officiellement, ces mesures visaient à lutter contre le piratage. Dans les faits, elles ont surtout compliqué la vie des utilisateurs honnêtes soucieux de conserver une copie de sauvegarde de leurs achats, ou de prêter un livre numérique aussi simplement qu'un livre papier.

La fuite vers des écosystèmes plus ouverts

Cette rigidité a fini par coûter cher à Amazon. De nombreux utilisateurs historiques du Kindle ont commencé à migrer vers des solutions plus souples, notamment les liseuses Boox. Ces appareils sous Android permettent de piocher dans plusieurs boutiques et gèrent nativement les fichiers EPUB sans passer par des conversions fastidieuses.

En face, Kobo a toujours permis le téléchargement des fichiers EPUB, bien que souvent protégés par le DRM d'Adobe. Une solution imparfaite, mais qui a le mérite d'exister et d'assurer une certaine interopérabilité, là où Amazon jouait cavalier seul.

Un pas dans la bonne direction

Avec ce changement prévu pour 2026, Amazon semble vouloir endiguer l'hémorragie. C'est indéniablement une avancée positive pour le consommateur qui pourra plus facilement stocker ses achats localement.

Néanmoins, en laissant le choix du DRM aux éditeurs, Amazon se dédouane habilement : si vous ne pouvez pas lire votre livre acheté sur Amazon sur votre nouvelle liseuse, ce ne sera plus (officiellement) la faute de Jeff Bezos, mais celle de votre éditeur préféré

  •  

Apple et la RAM : des accords clés arriveraient bientôt à échéance

L’intelligence artificielle ne se contente plus de bouleverser nos usages logiciels. Elle est désormais en train de pomper très concrètement les ressources physiques de l’industrie. Mémoire, capacités de production, priorités industrielles : tout converge vers l’IA, au détriment des marchés plus « classiques » comme le PC, le smartphone ou l’électronique grand public.

Le changement est brutal. Et il commence déjà à se faire sentir dans les négociations entre fabricants et fournisseurs. Quand les producteurs de mémoire reviennent à la table, ce n’est plus pour consentir des rabais : la courbe ne va que dans un sens.

Certains acteurs ont visiblement acté cette nouvelle réalité. Micron, par exemple, a choisi de sacrifier sa marque grand public Crucial. Une décision lourde de sens. Crucial, c’était des SSD et de la RAM accessibles, largement adoptés par le grand public et les assembleurs. Une page se tourne, au profit de l’IA et de ses marges autrement plus confortables.

Image Crucial

Du côté des constructeurs, les signaux ne sont guère plus rassurants. En coulisses, il se murmure que Lenovo préparerait une révision de ses grilles tarifaires dès le début de l’année prochaine. Là encore, difficile d’y voir une coïncidence.

Pénurie de mémoire : des fabricants de PC s’apprêteraient à augmenter leurs prix

Pénurie de mémoire : des fabricants de PC s’apprêteraient à augmenter leurs prix

Apple en position de faiblesse (pour une fois) pour négocier ?

Même Apple, pourtant réputée pour la solidité de sa chaîne d’approvisionnement, pourrait ne pas sortir indemne de cette séquence. Une rumeur, à manier avec précaution, évoque la fin prochaine des accords d’approvisionnement à long terme qui lient Cupertino à Samsung et SK Hynix pour la mémoire.

Un scénario qui tombe mal. Très mal, même. Car les deux fondeurs coréens sont aujourd’hui en position de force. La demande liée à l’IA explose, les capacités sont limitées, et les marges n’ont jamais été aussi attractives. Dans ce contexte, renégocier des contrats dès janvier 2026 serait tout sauf une formalité.

What I find hard to understand is that the sell-side and the market are significantly overestimating Apple's supply chain management capabilities.

In my view, Apple is also likely to take a significant hit from this memory price surge. The LTAs (Long-Term Agreements) that Apple…

— Jukan (@jukan05) December 13, 2025

Selon plusieurs sources, Samsung n’hésiterait déjà plus à arbitrer en faveur de ses clients les plus rentables, allant jusqu’à restreindre certaines livraisons à sa propre division mobile. Le message est limpide : la mémoire va là où elle rapporte le plus.

Samsung refuse de vendre de la RAM à Samsung, à cause de la pénurie

Samsung refuse de vendre de la RAM à Samsung, à cause de la pénurie

Si cette tendance se confirme, Apple pourrait se retrouver dans une situation inhabituelle : payer plus cher pour sécuriser ses volumes, là où elle imposait jusqu’ici ses conditions.

Un conseil qui ressemble à un avertissement

L’analyste connu sous le pseudonyme @jukan05 ne mâche pas ses mots. Pour lui, les prix actuels sont probablement les meilleurs que nous verrons avant longtemps. Un constat sans appel, qui sonne presque comme un avertissement aux consommateurs.

Son message est clair : si un renouvellement de matériel est prévu, mieux vaut ne pas trop tarder. Tant que les stocks tiennent et que les hausses ne sont pas encore passées intégralement dans les prix publics, le moment est sans doute mieux choisi aujourd’hui que demain.

Car lorsque les coûts de production augmentent durablement, l’addition finit toujours par arriver. Et rarement en douceur.

iPhone 18, Mac et mauvaises surprises à l’horizon ?

Apple conserve évidemment des leviers que peu d’acteurs peuvent se permettre. Sa trésorerie colossale, son intégration verticale, et ses puces maison — à commencer par le futur modem 5G, qui pourrait économiser une dizaine de dollars par appareil — offrent de précieux amortisseurs.

Mais ces garde-fous suffiront-ils face à une flambée durable des prix de la mémoire ? Rien n’est moins sûr. Si les coûts explosent, c’est l’ensemble de la feuille de route matérielle qui pourrait en pâtir : du futur MacBook d’entrée de gamme au MacBook Pro M6, en passant par la gamme iPhone 18… sans oublier l’iPhone pliant, s’il voit bien le jour.

Les puces Apple vont coûter plus cher : TSMC relève ses prix

Les puces Apple vont coûter plus cher : TSMC relève ses prix

Pour ceux qui comptaient changer de machine au premier semestre 2026, la note pourrait être sensiblement plus salée que prévu. L’IA promet beaucoup de choses. Mais elle a déjà un coût. Et ce coût commence à se voir.

  •  

Promos : iPad Air M3 à partir de 545 €, Smart Folio Apple à partir de 19 € et Smart Keyboard à 85 €

Si à l’approche des fêtes de fin d’année, vous êtes à la recherche d’un iPad Air M3 à bon prix, vous avez du choix. On a connu des offres plus agressives par le passé, mais les prix proposés restent tout à fait intéressants.

La meilleure offre du moment nous vient d’Amazon Italie. Il est possible d’y acquérir la tablette d’Apple pour 545,65 €. Attention, seul le modèle bleu est annoncé avec une livraison avant Noël. Le prix final diffère quelque peu de celui affiché sur la fiche produit : il est recalculé au panier pour prendre en compte les frais de port vers la France ainsi que l'ajustement de la TVA. Rappelons que vous pouvez utiliser votre compte Amazon France pour passer commande.

A titre de comparaison, la tablette d’Apple est proposée à 669 € sur l’Apple Store et à 589 € sur Amazon France. L’autre alternative, c’est de commander chez Darty. L'iPad y est vendu 599 €. Le prix est certes plus élevé, mais jusqu’à minuit, l'enseigne offre 20 € en bon d’achat tous les 200 € dépensés avec le code DARTY20. En ajoutant un petit câble ou un adaptateur dans votre panier pour franchir la barre des 600 €, vous obtiendrez ainsi 60 € en bons d’achat (utilisables en magasin à partir du 26 décembre).

Le MacBook Pro M4 1 To à 1699 € et 120 € de bons d

Le MacBook Pro M4 1 To à 1699 € et 120 € de bons d'achat ! (et d'autres offres Apple)

Réduction sur de nombreux accessoires

L'achat d'un iPad s'accompagne presque systématiquement de celui d'une protection. Le site Ploonk propose actuellement des Smart Folio pour iPad Air 11” à des tarifs défiant toute concurrence : les prix débutent à 18,99 €, soit une fraction de ce que réclame Apple pour le même accessoire (99 €). Le revendeur l'assure, il s'agit bel et bien de stocks officiels de la Pomme et non de contrefaçons. Notez que la facture peut varier légèrement selon le coloris choisi.

À défaut de Magic Keyboard, Ploonk propose le Smart Keyboard Folio pour iPad Air 11” à 99,99 €. Lorsqu’il était commercialisé, ce clavier était tout de même vendu 220 €. Détail important à prendre en compte avant de passer commande : il s'agit d'une disposition QWERTY. Enfin, le code XMAS15 permet d'obtenir 15 % de réduction sur l’ensemble du site. Ce qui fait tomber le prix du clavier à 85 € !

Déstockage de bracelets Apple à partir de 15 € !

Déstockage de bracelets Apple à partir de 15 € !

  •  

Marre des pubs et des trackers ? Voilà pourquoi il faut utiliser un Adblock VPN

Le web est une invention magnifique… mais disons-le franchement : il a un peu mal tourné. À force de grandir dans tous les sens, il ressemble aujourd’hui davantage à un sapin de Noël surexcité qu’à l’autoroute de l’information qu’on nous promettait. Publicités qui clignotent, trackers par pelletées, scripts qui s’empilent comme des lasagnes mal montées… et au final, un paradoxe absurde : jamais nos machines n’ont été aussi rapides, jamais nos connexions n’ont été aussi bonnes, et pourtant les sites mettent toujours autant de temps à se charger.

On scrolle, ça rame. On ouvre un onglet, ça halète. On se dit qu’on a peut-être trop d’onglets ouverts, mais non : c’est simplement le site qui est conçu à la truelle. Ou plutôt, disons-le clairement : il est ralenti par une armée de scripts qui ne vous veulent pas forcément du bien.

Et pour assombrir le tableau, rappelons que la publicité en ligne n’est pas seulement envahissante : elle constitue aussi un vecteur de choix pour la diffusion de logiciels malveillants. Oui, en 2025, on peut encore attraper un virus en regardant une bannière mal servie…

Pour se protéger, une première solution existe : les bloqueurs de publicité. Ils soulagent les internautes, mais ils pénalisent aussi les éditeurs — toujours bon à rappeler. Et surtout, ils ne règlent qu’une partie du problème. Ils filtrent, certes, mais ils ne réparent rien. La vraie réponse, aujourd’hui, ce sont les Adblock VPN comme CleanWeb.

Pourquoi les Adblock VPN sont LA solution contre le fléau publicitaire

Un bloqueur de pub classique, c’est une petite extension vissée à votre navigateur. Elle analyse chaque page, filtre ce qui doit s’afficher ou non, et fait de son mieux. Mais ce système présente trois limites majeures.

La première, c’est que le filtrage repose entièrement sur votre navigateur. Autrement dit, c’est votre machine qui fait le ménage. Si votre connexion est médiocre ou votre appareil un peu ancien, vous le sentirez passer : ça saccade, ça charge lentement, ça pompe la batterie.

Deuxième difficulté : le navigateur le plus utilisé au monde s’appelle Chrome. Et Chrome appartient à Google. Et Google n’aime pas trop les bloqueurs de publicité. Sa stratégie consiste à réduire progressivement leur efficacité, notamment en limitant drastiquement le nombre de règles qu’ils peuvent appliquer.

Enfin, ces extensions ne fonctionnent que dans les navigateurs web. Rien pour les apps mobiles, rien pour les autres logiciels, rien pour les flux réseau qui ne passent pas par un navigateur.

La force d’une solution comme CleanWeb, c’est que tout est géré en amont. Les publicités et scripts malveillants ne franchissent même pas la porte d’entrée de vos terminaux. Ce sont les serveurs de Surfshark qui s’occupent du tri. Tout bénéfice pour vous.

Résultat : des pages qui s’affichent plus rapidement, une bande passante soulagée, une autonomie préservée, un processeur moins sollicité… et une protection active sur l’ensemble de vos appareils.

Autrement dit, CleanWeb bloque également les publicités dans les applications. Et ce n’est pas tout : la solution vous épargne aussi les innombrables publicités dans les vidéos YouTube.

En plus de filtrer la publicité, CleanWeb élimine les pop-up RGPD envahissants, vous alerte en cas de malware et vous prévient en cas de fuite de données.

Pourquoi utiliser CleanWeb plutôt qu’une autre solution ?

Comme évoqué plus haut, CleanWeb fait partie intégrante du bouquet de services Surfshark. C’est une solution mature, éprouvée, et dont le sérieux n’est plus à démontrer.

La formule Surfshark One, probablement la plus intéressante en rapport qualité-prix, comprend CleanWeb, un VPN complet, Alternative ID, un antivirus, un moteur de recherche sans traqueurs ainsi qu’un système d’alerte en cas de fuite de données personnelles.

Et bonne nouvelle : à l’occasion des fêtes de fin d’année, Surfshark casse ses prix. L’abonnement Surfshark One passe à 61,83 € HT, soit 74,2 € TTC. Mieux encore : trois mois supplémentaires sont offerts. Au total, vous vous assurez un confort maximal de surf jusqu’en mars 2028.

À l’heure où le web devient toujours plus touffu, plus lent et parfois plus intrusif, s’équiper d’une vraie solution de protection n’est plus un luxe : c’est une nécessité. CleanWeb n’est pas un gadget, c’est une nouvelle manière de naviguer : plus fluide, plus sûre, plus agréable, partout et sur tous vos appareils.

Et puisque Surfshark propose en ce moment l’une de ses meilleures offres de l’année, le moment est clairement idéal pour franchir le pas. Testez, comparez, et voyez à quel point votre quotidien numérique peut s’alléger. Une fois qu’on y a goûté… difficile de revenir en arrière.

Je teste pendant 30 jours l’offre de Surfshark

  •  

Des mises à jour de sécurité pour les anciennes versions de macOS et iOS

Vendredi en fin de journée, Apple ne s’est pas contentée de s'occuper des versions 26 de ses systèmes d’exploitation. Le constructeur a également proposé des mises à jour pour les anciennes moutures d’iOS et de macOS.

Image : The Average Tech Guy / Unsplash

En fonction de vos appareils, vous avez été invités à télécharger macOS Sonoma 14.8.3, macOS Sequoia 15.7.3, iOS 18.7.3 et iPadOS 18.7.3. Toutes ces mises à jour ont le même but : la sécurité. Elles comblent notamment deux vulnérabilités de type « zero-day » susceptibles d'avoir été exploitées lors d’attaques ciblées.

Sécurité : Apple comble deux failles « zero-day » avec iOS 26.2 et macOS 26.2

Sécurité : Apple comble deux failles « zero-day » avec iOS 26.2 et macOS 26.2

Sur iOS 18, à force de vouloir pousser les utilisateurs vers iOS 26, Apple finit par s'emmêler les pinceaux. La nouvelle version majeure a ainsi été suggérée sur l’un de nos iPhone XS… alors même que ce modèle n'est officiellement plus supporté par le dernier système !

D'une manière générale, sur les terminaux restés sur une ancienne mouture, Apple continue de privilégier l'affichage de la version 26 plutôt que le simple correctif de sécurité, souvent relégué au second plan. Quel que soit votre choix, ne tardez pas à mettre à jour vos terminaux !

  •  

Promo : l’iPhone 17 passe sous la barre des 840 €

Si l'iPhone 17 s'impose comme le « choix de la raison » cette année, son tarif public de 969 € reste un frein pour beaucoup. Bonne nouvelle : l'addition s'allège encore un peu plus chez Rakuten grâce à un nouveau code promo.

Image : Apple

En saisissant le code RAKUTEN20 au moment de la commande, le terminal tombe à 839,99 €. C'est une dizaine d'euros de mieux que la précédente promotion. Pour être complet, ajoutez à cela 8,40 € de cashback crédités sur votre compte. Après tout à ce prix, on peut presque s’acheter un chargeur Qi2 chez IKEA. À ce prix, vous avez le choix entre deux couleurs : noir et sauge.

IKEA lance trois chargeurs Qi2 à des prix IKEA

IKEA lance trois chargeurs Qi2 à des prix IKEA

Pour rappel, l'iPhone 17 n'a plus grand-chose à envier aux modèles Pro, si ce n'est le poids sur la balance et le prix sur la facture. Une bonne partie des fonctionnalités réservées aux modèles Pro, sont enfin disponibles sur l’iPhone 17 comme la prise en charge de ProMotion. Le modèle proposé ici est une version européenne : c’est strictement le même appareil que celui vendu en Apple Store, avec la même garantie et une compatibilité réseau totale.

Test de l

Test de l'iPhone 17 : une reconversion Professionnelle

Les autres couleurs (brume, lavande, blanc) sont également proposés, mais, après activation du code promo, le prix est légèrement plus élevé : 869,99 €. Vu les délais affichés par le vendeur, on est encore bon pour une livraison avant Noël.

  •