Alors que les rumeurs sur les AirTags 2 se précisent, Apple a mis à jour une application Android qu'elle n'a pas souvent modifiée : Détection de traqueurs (Tracker Detect). Lancée en 2021, elle permet à un utilisateur de smartphone Android de détecter les traqueurs iOS.
Un AirTag vous suit ? Il y a une app pour ça. Image Apple.
Cette mise à jour est un peu étonnante : tant iOS qu'Android détectent automatiquement les traqueurs depuis quelques années maintenant. Apple avait mis en place une fonction pour détecter les traqueurs Android avec iOS 17.5 et Google a fait de même avec Android.
Apple prévient qu'Android détecte automatiquement les traqueurs.
Une des raisons possibles de la mise à jour de l'app en version 1.2 est probablement l'arrivée des AirTags 2. Ils sont présents dans le code d'iOS 26 et devraient être nettement plus précis. Nous avons regardé dans le code de l'app Android sans trouver de références claires aux nouveaux modèles, mais il est possible que les changements sur la précision ou la manière de remettre à zéro le traqueur soient modifiés avec les nouveaux modèles.
Vous pouvez faire sonner un traqueur détecté, ou apprendre comment le désactiver.
L'app d'Apple demeure intéressante si vous avez un smartphone Android et que vous soupçonnez qu'une personne a décidé de vous suivre avec un traqueur Apple : elle permet de lancer une détection manuelle. Si le traqueur est détecté près de vous pendant plus de dix minutes (un délai qui permet d’éviter en partie les faux positifs), vous pourrez ensuite le faire sonner pour tenter de le trouver et éventuellement le désactiver grâce aux instructions d'Apple.
Tado° présente une nouvelle fonctionnalité pour ses clients qui sont chauffés avec des radiateurs à eau associés à une chaudière ou pompe à chaleur. À condition d’être équipé de la dernière génération « X » et d’avoir installé des têtes thermostatiques sur les radiateurs pour les contrôler individuellement, il est maintenant possible de réaliser un équilibrage hydraulique du réseau automatiquement depuis l’app. Cette opération améliore l’homogénéité du chauffage et augmente le rendement énergétique en faisant en sorte que tous les radiateurs reçoivent la même quantité d’eau chaude.
L’équilibrage hydraulique expliqué dans l’app de Tado°, à côté d’une tête thermostatique indispensable au bon fonctionnement de la fonctionnalité. Image Tado°.
Par défaut, l’eau chaude envoyée par la chaudière ou pompe à chaleur va arriver avec force dans le radiateur le plus proche et il ne restera plus beaucoup d’eau chaude pour le radiateur le plus éloigné. Pour uniformiser le chauffage, on fait traditionnellement appel à un chauffagiste qui va intervenir sur le réseau de chauffage en commençant par une vidange complète, puis en modifiant le matériel pour que les flux soient plus homogènes. Tado° propose une solution alternative, qui ne nécessite aucune intervention et qui fonctionne uniquement grâce à ses produits.
Concrètement, vous devrez avoir à la fois le thermostat Tado° X qui contrôle la source du chauffage et des têtes thermostatiques de la même génération sur chaque radiateur. Avec cette base, l’app va réduire automatiquement le débit en fermant un petit peu les têtes les plus proches de la source et en ouvrant davantage celles qui sont éloignées. Le fabricant promet un processus automatisé, qui dépend seulement de la température observée par ses appareils. Si la tête installée sur un radiateur observe une chauffe très rapide de la pièce alors qu’une autre remarque une montée en température plus lente, le système partira du principe que le premier radiateur est proche de la chaudière et le deuxième éloigné.
Une fois ce premier constat établi, Tado° ajustera automatiquement l’apport d’eau chaude pour que tous les radiateurs soient à égalité. On devrait ainsi avoir l’équivalent d’un équilibrage hydraulique physique réalisé par un professionnel, mais dans une version logicielle permise par la domotique. Reste à savoir si cela fonctionne aussi bien que l’affirme le fabricant, même si au minimum, cela devrait améliorer le confort thermique du logement, en chauffant plus efficacement les différentes pièces.
La nouveauté nécessite une souscription à Tado° AI, le nouveau nom de l’abonnement proposé par le fabricant depuis bien des années. La formule propose de nombreuses autres fonctionnalités, essentiellement des automatisations pour limiter la consommation d’énergie tout en bénéficiant d’une température agréable, le tout avec une bonne dose d’intelligence artificielle, parce qu’on est presque en 2026. Comptez 3,99 € par mois pour en bénéficier.
Si vous êtes comme moi et que votre sac à dos ressemble davantage à une boutique d'électronique qu'à un bagage à main, vous savez que l'autonomie est le nerf de la guerre. Entre le MacBook Pro pour monter des vidéos en déplacement, l'iPhone qui chauffe en partage de connexion et l'iPad pour les moments de détente, la quête de la batterie externe parfaite est un éternel recommencement. Mais avec sa
Sous la direction de Tim Cook, Apple est devenue la première entreprise au monde à atteindre une capitalisation boursière de 4 000 milliards de dollars. Un exploit historique qui aurait pu justifier une rémunération record pour son directeur général. Pourtant, en matière de salaire, Tim Cook reste loin derrière plusieurs de ses homologues, y compris chez des groupes bien moins emblématiques.
Free a enfin lancé une option pour utiliser la fonction cellulaire des Apple Watch, en parallèle d'iOS 26.2. Mais attention, cette nouveauté (gratuite, contrairement aux autres opérateurs) ne fonctionne pas avec la version bêta 26.3 d'iOS, sortie hier.
L'eSIM sur Apple Watch chez Free ? Oui, mais pas avec la bêta 1 d'iOS 26.3.
C'est un problème confirmé par plusieurs personnes sur les réseaux sociaux, et qui est simplement dépendant du développement chez Apple. iOS a besoin d'un fichier avec les paramètres des opérateurs (l'IPCC) et il dépend de la version du système d'exploitation depuis quelques années. Si le fichier de la version finale d'iOS 26.2 est bien compatible avec les Apple Watch chez Free, ce n'est pas le cas de celui de la première bêta d'iOS 26.3, qui a probablement été finalisée un peu avant.
La seule solution est simple : attendre. Apple devrait probablement mettre à jour ses fichiers pour la seconde bêta. Mais compte tenu de la période, elle ne devrait pas arriver avant l'année prochaine.
RAM, SSD, stockage… Il est devenu difficile de faire de bonnes affaires, la faute à la frénésie d’achats causée par le boom des intelligences artificielles génératives.
On ignore si ces promotions sont liées au fait que Crucial va bientôt fermer rideau, mais elles sont intéressantes.
Les Crucial X10 Pro à partir de 150 €
Si vous êtes à la recherche d’un peu de stockage, on vous recommande de jeter un œil à ces SSD externes de Crucial. Il est possible de faire l’acquisition du X10 Pro 2 To pour 150 €, soit 45 € de moins que son prix public. Le modèle 4 To est proposé pour sa part à 295 €.
Les Crucial X10 Pro font partie des SSD externes haut de gamme sortis en 2023 : avec des débits annoncés jusqu’à 2 100 Mo/s en lecture et 2 000 Mo/s en écriture, ils visent ceux qui manipulent de gros fichiers au quotidien — vidéo, photo, bibliothèques de projets, sauvegardes rapides. À l’intérieur, on trouve de la mémoire 3D TLC en NVMe (bus PCIe), reliée en USB 3.2 Gen2x2 Type-C, et un chiffrement matériel AES 256 bits pour sécuriser les données sans plomber les performances. Le tout tient dans un boîtier en aluminium très compact (65 × 50 × 10 mm, 42 g) et conçu pour encaisser : IP55 (poussière/éclaboussures), résistant aux chocs, et annoncé comme hydrofuge.
Les Crucial X9 jouent une partition plus simple que les X10 Pro : ce sont des SSD externes compacts et faciles à emporter, pensés avant tout pour augmenter rapidement l’espace de stockage et déplacer des fichiers sans prise de tête. Ils misent sur un format discret, un boîtier conçu pour résister à la vie nomade et une connexion USB-C pour fonctionner aussi bien avec un Mac qu’avec un PC ou certains appareils mobiles. Ils offrent jusqu’à 1 050 Mo/s en lecture, et à peu près autant en écriture. En clair : une solution sobre et pratique pour des sauvegardes, des bibliothèques photo/vidéo, ou du stockage d’appoint au quotidien.
Bref, des SSD moins performants, mais des prix encore plus doux :
Dans un communiqué, Renault vient de dévoiler les prix officiels de sa nouvelle Twingo E-Tech. Grâce aux aides prévues par le Projet de Loi de Finances 2025, elle se positionne comme l’une des citadines électriques les plus accessibles du marché européen.
Dévoilée le mois dernier, la nouvelle Twingo E-Tech sera commercialisée dans quelques semaines, même si les commandes ont débuté aujourd’hui pour les plus pressés qui avaient acheté le « Twingo R Pass » (vendu 100 €) lors de la présentation officielle. De ce fait, le véhicule s’est glissé sur le configurateur en ligne de Renault et surtout, le constructeur a dévoilé la grille de prix. Sa promesse était de vendre la voiture à moins de 20 000 € avant les aides et c’est bien le cas, puisqu’elle sera proposée à partir de 19 490 €. Grâce aux aides en France, Renault revendique même un tarif de 14 720 €, même s’il y a quelques astérisques importants à prendre en compte.
Image Renault/MacGeneration.
Pour passer sous la barre des 15 000 €, il faudra tout d’abord patienter un petit peu plus, puisque cela concerne la variante d’entrée de gamme, « Evolution », qui ne sera pas vendue avant le printemps, sans plus de précision à ce stade. Le 6 janvier 2026, c’est la version « Techno » haut de gamme qui sera proposée en commande, un modèle qui débute cette fois à 21 090 € avant déduction des aides. Le coup de pouce destiné aux véhicules particuliers sera maintenu en 2026 et Renault annonce les aides qui seront accessibles à tous ses clients, avec une variation selon leurs revenus.
Tous les clients pourront bénéficier d’une aide de 3 620 € sur les Twingo électriques, soit un prix de départ de 17 470 € sur la Techno. Les ménages les plus précaires pourront obtenir une aide plus élevée, jusqu’à 4 770 €, et repartir avec une version haut de gamme à partir de 16 320 €. Pour le modèle de base, le tarif descend même à 14 720 €, ce qui concrétise la promesse de Renault. Tous ces prix s’entendent hors options et il y en a une qui aurait dû faire partie de la dotation de série et que l’on aura tout intérêt à cocher systématiquement dans le configurateur.
En effet, toutes les Twingo E-Tech se passent de charge rapide par défaut. Renault se limite à une recharge de série à 6,6 kW, bien loin des 22 kW de l’ancienne génération, et facture en supplément l’ajout du connecteur CCS pour atteindre une puissance de 50 kW. Un choix discutable pour un véhicule électrique lancé en 2026. Même si la voiture est pensée pour un usage urbain, l’absence de charge rapide risque de devenir une contrainte réelle au cours de sa vie. Faire de longs trajets sera pratiquement impossible : si l’autonomie annoncée (260 km théorique) constitue déjà un frein, c’est surtout le temps nécessaire pour remplir la batterie de 27,5 kWh (plus de quatre heures) qui pose problème.
Image Renault.
La recharge rapide en courant continu permettra de ramener l’opération à une demi-heure environ, ce qui est raisonnable sur ce segment. Le « Pack Advanced Charge » est vendu à 500 € quelle que soit la version de base, un tarif raisonnable qui devrait être systématiquement pris en compte dans le prix de la voiture. Même Renault en a conscience, en communiquant sur un prix de départ avec l’option à 15 220 € pour les ménages précaires. On repasse au-dessus du seuil des 15 000 €, certes, mais on a un véhicule bien plus polyvalent, capable de répondre à des situations d’urgence et bien plus désirable à long terme, notamment sur le marché de l’occasion. L’option ajoute aussi un chargeur embarqué de 11 kW, ce qui permet de remplir la batterie en 2h35, ainsi que les V2G et V2L qui deviendront incontournables dans quelques années1.
Pour le prix demandé, la Twingo E-Tech d’entrée de gamme n’est pas une voiture au rabais, loin de là. Renault n’a retiré aucun écran et on peut les utiliser sur la version Evolution pour projeter son smartphone avec CarPlay et Android Auto. Si la version Techno ajoute quelques raffinements appréciables, comme la conduite à une seule pédale ou encore le système complet de Google avec Maps intégré en guise de planificateur, le modèle de base est tout à fait correct… à condition toutefois d’intégrer d’emblée les 500 € nécessaires à une configuration réellement exploitable.
Renault assume le choix de ne pas intégrer la charge rapide de série, en s’appuyant sur les usages constatés de ses clients. Cela lui permet de revendiquer un prix plancher sous les 15 000 € : un symbole, plus qu’une réalité commerciale. En pratique, peu d’acheteurs paieront ce prix et il aurait sans doute été plus cohérent de supprimer l’option et d’augmenter l’ensemble de la gamme de 500 €. En l’état, de nombreux clients risquent de ne pas anticiper cette limite et de s’en mordre les doigts.
« Vehicle-to-Grid » et « Vehicle-to-Load », c’est-à-dire la possibilité d’exploiter la batterie d’une voiture pour renvoyer de l’énergie sur le réseau public ou dans un logement, ou pour alimenter des appareils. Ces technologies sont encore balbutiantes, elles devraient toutefois prendre de l’importance. ↩︎
Au début du mois de décembre 2025, Netflix supprimait la compatibilité Google Cast de ses applications, pour pousser l'usage de ses applications. Apple, dans le même temps, vient de l'ajouter à l'app Apple TV pour Android. Cette version longtemps attendue a été lancée en 2025, et elle permet donc d'accéder au service Apple TV d'Apple sur les appareils Android.
L'app Android permet de caster vers un appareil Google Cast. Image iGeneration.
Nous avons pu vérifier le fonctionnement avec l'app en version 2.2 et un Google Chromecast (avec Google TV) sans soucis particuliers : l'app affiche directement le Chromecast, et le transfert du smartphone au boîtier TV a été assez rapide. Rappelons que la technologie de Google n'est pas directement de la recopie : elle consiste à fournir au récepteur un lien direct vers la vidéo, qui sera lue par ce dernier.
Le chargement est en cours. Image iGeneration.
Notons tout de même que comme pour Netflix, il est plus simple de regarder le service directement depuis votre appareil. Apple propose l'app Apple TV sur de nombreux systèmes d'exploitation (Google TV, Tizen, les consoles, etc.) et la possibilité de caster n'est donc qu'une solution d'appoint. Mais si vous avez un vieux modèle de Chromecast ou si vous préférez lancer les contenus depuis un smartphone, c'est une nouveauté qui reste pratique.
Pluribuscasté depuis un smartphone Android. Image iGeneration.
Bien évidemment, ce changement se limite à Android : sous iOS, il faut se contenter d'AirPlay.
Si vous êtes tenté par les MacBook Pro dotés des puces M4 Pro et M4 Max, c'est peut-être le moment de craquer grâce à une promotion permettant d'économiser au minimum une centaine d'euros et bien plus sur certaines configurations après la sortie de la version M5 (dont vous pouvez retrouver notre test complet).
LG va présenter au CES 2026 sa toute première télévision Micro RGB evo. Cette nouvelle technologie promet une couverture colorimétrique de 100 % sur les espaces BT.2020, DCI-P3 et Adobe RGB, le tout piloté par le processeur Alpha 11 AI Gen 3.
Une petite piqûre de rappel ne fait jamais de mal, même si nous avons déjà consacré plusieurs dossiers à cette commande particulière des SSD : avec les versions modernes de macOS et le matériel actuel, l'activation de la commande TRIM manuellement n'est plus nécessaire, sauf dans un cas précis, assez rare : si vous avez un SSD SATA connecté.
Sous macOS, l'activation manuelle du TRIM n'est nécessaire qu'avec les vieux SSD SATA. Image Crucial.
La commande TRIM est une optimisation des SSD apparue à la fin des 2000, qui permet d'indiquer au contrôleur d'un SSD qu'une zone de la mémoire flash a bien été effacée, et qu'il peut donc l'employer pour sa gestion de l'usure. Sans trop entrer dans les détails, le contrôleur du SSD, par défaut, n'a absolument aucune idée de la façon dont sont organisées vos données. Il ne peut pas déterminer si les informations sont importantes ou si le système de fichiers (APFS, HFS+, etc.) a effacé les données. En effet, si vous videz la corbeille, son contenu n'est pas réellement effacé : ce sont les liens vers les données, au niveau du système de fichiers, qui le sont. Les données, elles, sont toujours bien présentes. Le but du TRIM est simple : indiquer au contrôleur que la zone est libre, sans devoir remettre physiquement les données à zéro.
Entre 2009 et 2015 environ, Apple a fait un choix un peu surprenant : seuls les SSD équipés d'un firmware Apple (soit ceux installés en usine dans les Mac) acceptaient la commande TRIM. Des applications permettant de modifier Mac OS X, comme TRIM Enabler, sont alors apparues. En 2015, avec OS X Yosemite, Apple a ajouté une ligne de commande pour forcer le TRIM dans tous les cas… mais elle est largement obsolète en 2025.
La commande trimforce ne sert que dans un cas précis : si vous avez un SSD SATA branché en direct. Dans les Mac, vous en trouverez dans les Mac Pro avant 2013, dans les MacBook Pro jusqu'en 2012 environ et ensuite dans quelques Mac mini et iMac. Mais dès 2013, Apple a commencé à équiper les Mac avec des SSD PCI-Express (puis PCI-Express NVMe). Sur ces derniers, quel que soit le modèle, le TRIM est actif. De même, depuis macOS Monterey, le TRIM est actif en USB si votre adaptateur ou boîtier USB l'accepte.
TRIM Enabler ne sert plus à activer le TRIM.
En l'état, en 2025, la commande d'Apple (et TRIM Enabler) n’est utile que sur de vieux Mac avec un SSD SATA qui n'est pas d'origine Apple, et dans quelques rares boîtiers Thunderbolt qui acceptent les SSD SATA, comme certains vieux modèles LaCie. Si vous avez un SSD externe ou si vous installez un SSD dans un Mac Pro, elle n'est donc pas nécessaire. De même, si vous avez un SSD SATA avec un adaptateur USB, la commande n'est pas nécessaire.
Enfin, rappelons tout de même un point : si vous avez un SSD formaté en exFAT, le TRIM ne fonctionne pas. Ce n'est pas un bridage d'Apple dans ce cas précis, mais bien un défaut du système de fichiers. Si vous voulez prolonger la durée de vie d'un SSD externe et réduire l'usure, il faut le formater en APFS ou éventuellement en HFS+.
ChatGPT annonce dans son app macOS le retrait à venir de la fonction « Voice », l’assistant vocal imaginé par OpenAI. Quand on l’utilise sur le Mac, un message s’affiche pour signaler qu’elle sera désactivée à partir du 15 janvier 2026. Le texte associé précise que l’entreprise travaille sur « des expériences vocales plus unifiées et améliorées au sein de nos apps », tout en renvoyant sur cette page qui ne permet pas d’en apprendre beaucoup plus.
Le message indiquant la fin à venir de ChatGPT Voice sur le Mac. Image MacGeneration.
Précisons que ce retrait ne concerne que l’app macOS, pas la fonctionnalité elle-même. Voice restera disponible sur iOS, Android et même sous Windows et sur la version web de ChatGPT, bref partout, sauf sur le Mac. Pourquoi ce retrait ? Si OpenAI ne donne pas de raison, le site Apple Ch. qui a remonté l’information fait le lien avec un message publié en octobre sur X par Stephan Casas, développeur iOS et macOS au sein de l’entreprise. Il y indique que l’équipe de développement de ChatGPT pour le Mac a été sollicitée pour créer ChatGPT Atlas, le navigateur web d’OpenAI sorti fin octobre.
De ce fait, le développement de ChatGPT sur le Mac a fortement ralenti, ce que les utilisateurs ont pu constater. Son interface native reste un argument fort face à ses concurrents qui reposent largement sur les technologies du web, mais il est vrai qu’elle n’évolue plus trop depuis plusieurs mois. Alors qu’OpenAI avait ajouté plusieurs ponts avec des apps, il n’y a plus eu d’ajouts depuis bien longtemps et j’ai noté quelques bugs d’interface avec les versions récentes de macOS, notamment sur la position du curseur. Bref, on sent que l’app n’a pas été une priorité pour le créateur de ChatGPT et cela se ressent fortement.
Fort heureusement, OpenAI a probablement un plan pour le Mac, qui tient en trois lettres : Sky. Cette app d’automatisation a été créée par les concepteurs de Workflow, devenue Raccourcis, avant d’être achetée par la firme de Sam Altman. L’opération a également été rendue publique en octobre dernier et on peut imaginer que l’équipe de Sky travaille aussi vite que possible sur une grosse mise à jour de ChatGPT pour macOS.
Est-ce que l’on commencera à voir les fruits de cet effort d’ici le 15 janvier 2026, c’est-à-dire avant l’arrêt de la fonctionnalité Voice ? C’est une hypothèse très intéressante et on aura (peut-être) un début de réponse d’ici un mois…
Seuls les modèles Wi-Fi sont concernés par cette promotion. Pour toutes ces références, Amazon promet une livraison avant Noël. Si le prix est le facteur premier dans votre choix, on trouve par exemple des iPad Pro M5 11” 256 Go 899 € chez Rakuten. Il s’agit d’un modèle d’import. Quitte à se répéter, vu l’économie constatée, on ne peut que vous conseiller de prendre un contrat Apple Care.
Bonne nouvelle pour les fans de Fallout : la série à succès d’Amazon Prime Video fait son grand retour cette semaine avec le lancement de sa saison 2, et ce plus tôt que prévu. La plateforme a officialisé une diffusion anticipée du premier épisode, offrant ainsi un joli cadeau de fin d’année aux abonnés.
Nous étions passés à côté dans la liste des nouveautés d’iOS 26.2 diffusée par Apple en même temps que la version finale du système. On peut ainsi lire dans cette liste que « dans l'app Maison, le jumelage d'accessoires vendus ensemble simplifie leur configuration : un seul code suffit pour ajouter facilement plusieurs accessoires ». C’est un changement intrigant, car l’ajout des accessoires dans l’app Maison se faisait jusqu’ici un par un, y compris si vous achetiez un pack de plusieurs ampoules, par exemple. C’est aussi une nouveauté très certainement venue de Matter.
Image iGeneration.
Apple ne le mentionne pas explicitement dans ses notes de version, mais c’est en effet le plus probable, puisque le standard de domotique gère cette capacité depuis quelques mois. C’est la mise à jour 1.4.1 sortie au printemps dernier qui a ajouté la fonctionnalité, pensée spécifiquement pour des produits vendus en pack. Par exemple, quatre ampoules Matter pourraient être fournies avec un seul code QR et en le scannant pour un ajout dans Maison, tous ces appareils pourraient rejoindre la domotique en même temps.
À ma connaissance, cette possibilité reste encore théorique, puisqu’aucun fabricant d’accessoire ne la prend en charge. Mais cela n’avait pas de sens de toute manière tant que les écosystèmes de domotique ne géraient pas aussi la fonctionnalité et l’ajout dans Maison est une grosse étape en ce sens. Les autres acteurs devront aussi la prendre en charge, ce qui n’est pas vraiment le cas pour le moment.
Terminons sur un rappel un petit peu triste : ce n’est pas parce qu’Apple gère cette nouveauté spécifique de Matter 1.4.1 que cela veut dire que Maison gère toutes les nouveautés du standard jusqu’à ce point. Malheureusement, la Pomme préfère l’ajout à la découpe, en piochant dans le catalogue pour ne garder que les fonctionnalités qui l’intéressent. Elle reste dans l’ensemble sur une ancienne version du standard et cet ajout ne comble qu’à peine son retard.
Pour le plus grand malheur des dirigeants d’Apple, une vieille bêta d’iOS 19 (avant qu’Apple ne décide de la renommer iOS 26) circule dans la nature. Cette version n’avait évidemment pas vocation à sortir des laboratoires de Cupertino. Elle contient de nombreuses informations sur les produits à venir — que nous avons déjà détaillées dans un autre article — mais aussi une moisson d’indices sur les futures fonctionnalités et services de la marque.
MacRumors va un peu plus loin en listant tout ce que renferme cette vieille bêta. Parfois, le nom de certaines fonctions se laisse deviner sans effort, parfois, c’est nettement plus obscur. Quoi qu’il en soit, voilà ce qu’il en ressort.
Des produits en filigrane
Premier objet non identifié : un accessoire domotique rattaché à l’architecture J229. Le code ne dit pas clairement ce que c’est, mais il parle tout de même de briques comme sensor manager et sensing predict models, ce qui colle assez bien avec l’idée d’un produit bardé de capteurs. MacRumors évoque deux hypothèses : la caméra de sécurité dont les rumeurs se font plus insistantes depuis quelques temps ou une autre plus terre-à-terre : une base autonome pour le futur Home Hub.
L’AirTag 2 apparaît ensuite en filigrane, avec plusieurs intitulés qui pointent vers des améliorations de fond : Bluetooth, gestion de batterie faible, et progrès sur la localisation participative. Dans les chaînes remontées, on retrouve notamment AirTag2025_Phone_Finding, AirTag2025_Watch_Finding, Distribution, Battery et Switchover. Le détail amusant, c’est justement ce AirTag2025… : Apple visait vraiment une sortie en 2025. Il n’est pas trop tard, mais cela semble désormais hautement improbable.
Les AirPods, eux, sont associés à une salve de fonctions datées printemps 2026 : ContextualReminders, ConversationBreakthroughVQA et Visual Lookup. D’autres entrées vont dans le sens d’une meilleure compréhension de l’environnement, comme Precise outdoor location understanding et Room Aware Connect Controls. On croise aussi une technologie estampillée automne 2025, Extended_Precision_Finding_Core_Tech, ainsi qu’un intitulé qui intrigue : SRAudioMixing - Mix audio with the active streaming device. Si l’on se fie au libellé brut, Apple voudrait mieux gérer le mélange audio avec l’appareil qui streame déjà.
Enfin, côté Vision Pro, une bascule de fonctionnalité mentionne Enable AUSM Enhanced Room Spatializer, avec un marquage printemps 2026. Là encore, c’est succinct, mais ça confirme qu’Apple continue d’améliorer la brique audio de son casque.
Fonctionnalités iOS 26 et iOS 27 : le grand inventaire
Le gros morceau, c’est la liste de fonctions logicielles — certaines pour iOS 26 au fil des mises à jour, d’autres qui ressemblent davantage à des chantiers iOS 27.
Le cas le plus parlant : Health+, daté printemps 2026, qui fait évidemment écho aux rumeurs d’un service santé « dopé à l’IA ». Dans le même panier, on voit passer Gumdrop (sans explication limpide) et une mention beaucoup plus lointaine, Geronimo, associée à 2030 : difficile d’y voir autre chose qu’un marqueur interne à ce stade.
Les sous-titres en direct reviennent aussi, avec une extension à davantage de langues (taguée WWDC 2026). Et, côté accessibilité, une autre chaîne apparaît : LiveCaptionsForAll — sans qu’on sache si cela désigne une version plus large, plus systématique, ou simplement un renommage interne.
Sur le front des paiements, AutoFillUI est associé à l’automne 2026 : l’idée, c’est que des apps tierces puissent accéder au remplissage automatique des cartes bancaires, là où aujourd’hui on s’en remet surtout à Apple Pay ou à la capture de carte à la volée.
Siri revient évidemment dans la liste, avec un marquage printemps 2026 et une grappe de chaînes qui donnent une idée de la direction : IntelligenceFlow, PlanOverrides, SpotlightPersonalAnswersSiri, SpotlightSearchToolLLMQueryUnderstanding et SpotlightExtSemanticSearch. Dit autrement : Apple cherche plus que jamais à relier Siri à Spotlight, avec une couche de compréhension sémantique plus ambitieuse. Mais précisons que la bêta d’où provient ces information date d’il y a près d’un an. Entre-temps, Apple a beaucoup tergiversé au sujet de Siri et a revu en grande partie ses plans.
Deux apps « modestes » gagnent aussi un peu d’épaisseur. Freeform récupérerait des dossiers au printemps 2026 (c’est pas trop tôt !). Et Journal afficherait des relances pour continuer l’écriture, via Followup prompts (printemps 2026 également).
Wallet se signale avec des notifications liées aux paiements à venir : BankConnectUpcomingPaymentNotifications et AppleCardUpcomingPaymentNotifications, taguées WWDC 2026.
Photos n’est pas en reste, avec Photos Connections et Shared Collections, cette fois calées sur l’automne 2026. Enfin, un intitulé plus étrange se glisse entre deux lignes : Dynamic Sports Tier Manager, associé au printemps 2026.
2027 : le sommeil comme chantier de fond
Plus loin, quelques entrées sont taguées WWDC 2027 et tournent autour du sommeil : sleepCloudKitManatee, sleepCloudKitSync, sleepOnIpad et sleepOnMac. Les noms parlent d’eux-mêmes : synchronisation iCloud/CloudKit et extension plus nette de ces fonctions au Mac et à l’iPad.
Accessibilité : une pluie de chaînes
Dans les entrées accessibilité, on note aussi Background Sounds avec une version 2 en chantier. Sur Mac, il est question de Full Keyboard Access VoiceOver Support for macOS, et d’une extension de la plage de tailles de police.
L’app Loupe se voit associée à des intitulés très concrets : Announce Stairs (annoncer les escaliers), Find My Item (trouver un objet) et Human Hand Pose (pose de la main / position de la main).
Live Listen récupère de nouveaux contrôles : Live Listen controls from watch, Live Mic levels on watch, et une option Rewind 30 seconds pour revenir en arrière.
Enfin, on trouve une fonction intitulée Tilt to Scroll.
Autres indices : appels, finances, Mail, Podcasts, stickers
Pour les appels, CallKit mentionne une option Push-to-Talk. Et ConversationKit glisse une chaîne au nom assez mystérieux : Experimental_CallScreening_LiveActivity.
Une section FinHealth évoque reverse lookup (recherche inversée), habitual spend (dépenses habituelles) et spending summaries (résumés de dépenses). Là aussi, c’est parlant. Cela pourrait être lié à Apple Card.
Mail mentionne CatchUpHighlightsV2, daté hiver 2025.
Podcasts, enfin, accumule les petits chantiers : activation du “Home Siri assistant” dans CarPlay, une page Connected Subscriptions Account settings page, un bouton pour traduire une transcription, et la possibilité de toucher un paragraphe traduit pour l’entendre lu à voix haute.
Et visionOS se voit attribuer un bloc “stickers”, avec une fonction de création, des “sticker effects”, et même de la création d’emoji.
Une photo datée, pas une prophétie
Dernier rappel (et c’est le plus important) : ce leak est une photographie figée. Certaines fonctions peuvent avoir changé de nom, de périmètre, ou avoir été purement abandonnées. D’autres ont peut-être déjà été repoussées. Et, évidemment, tout cela ne reflète pas l’intégralité de ce qu’Apple prépare — seulement ce que cette build a laissé traîner derrière elle.
Pas de pause avant Noël comme on aurait pu le penser : Apple a lancé les dernières bêtas de ses systèmes (en 26.3) hier soir, à commencer par iOS 26.3 dont la mise à jour est attendue pour le mois de janvier.
Petit cadeau de Noël avant l'heure ! Free crée la surprise sur le marché français des télécoms. L’opérateur de Xavier Niel officialise le lancement de l’option eSIM Watch pour l’Apple Watch, tout en devenant le seul opérateur à l’inclure sans surcoût dans ses forfaits mobiles. Une annonce attendue de longue date, qui rebat clairement les cartes face à Orange et SFR.
Apple continue de défendre solidement sa place sur le marché mondial des smartphones, malgré un contexte global toujours marqué par une forte pression sur les volumes et les prix.
C'était devenu un secret de polichinelle et c'est maintenant officiel : Free Mobile adopte enfin l'Apple Watch. L'opérateur saute finalement le pas en commercialisant aujourd’hui la montre sur sa boutique et en proposant gratuitement l’option à ses abonnés ! Pas de forfait adapté, pas d’option supplémentaire, ni même de frais d’activation, il suffit d’être abonné chez Free Mobile avec un forfait 5G pour bénéficier gratuitement d’une eSIM dédiée à la montre d’Apple. La connexion se fera en 4G uniquement sur l’Apple Watch, ce qui n’est pas bien gênant à l’usage, surtout à ce prix-là.
Capture site Free Mobile, image WatchGeneration.
Si vous êtes déjà abonné Free Mobile et que vous avez une Apple Watch avec puce cellulaire, vous pouvez activer l’option dès maintenant. L’opération se fait dans l’app Watch de l’iPhone associé à la montre, le site de l’opérateur s’affichera par ce biais et après connexion avec vos identifiants Free, vous pourrez activer la SIM virtuelle indispensable au bon fonctionnement de la fonction. Vous trouverez aussi un bouton pour activer l’option depuis l’app mobile de Free et le site client dans un navigateur.
Dans tous les cas, Free indique qu’il n’est possible d’activer l’eSIM pour Apple Watch qu’une seule fois par forfait, ce qui semble assez logique. C’est la seule restriction notable, pour le reste, on a accès au réseau 4G (et uniquement 4G) de l’opérateur depuis sa montre, avec les mêmes limites de données que depuis un smartphone. Ajoutons qu’iOS 26.2 et watchOS 26.2 sont nécessaires et la fonction ne sera pas proposée si vous avez une ancienne version ou une plus moderne, puisque les premières bêtas des OS 26.3 sorties hier soir ne gèrent pas encore le profil Apple Watch de Free Mobile.
Image WatchGeneration.
D’expérience, on sait que l’Apple Watch consomme très peu de données, alors on peut dire que Free Mobile n’a pas pris un grand risque. Reste que la gratuité est une exception sur ce marché : Orange comme SFR demandent 5 € par mois en plus du forfait de base pour le droit d’utiliser le réseau cellulaire depuis sa montre. Il faut souvent aussi ajouter des frais de mise en place, en général facturés 10 €, si bien que l’offre de Free Mobile est vraiment compétitive par rapport aux autres.
Il aura donc fallu attendre six ans et demi pour qu'un nouvel opérateur français prenne en charge la montre. Pourquoi une attente si longue ? Xavier Niel avait affirmé l’année dernière qu’il n’y avait pas (ou plus) d’obstacle technologique. Le dernier point de blocage se situait dans les négociations avec Apple, qui exige que ses partenaires distribuent la montre dans l’ensemble de leurs points de vente. C’est aussi le cas sur le site, où Free a ajouté une rubrique dédiée aux montres connectées.
Capture site Free Mobile, image WatchGeneration.
Si vous cherchiez une montre, Free Mobile propose à ses abonnés une offre de remboursement sur l’achat d’une nouvelle Apple Watch. L’offre est valable jusqu’au 29 décembre et elle peut atteindre 50 € sur une Ultra 3, qui vous reviendra ainsi à 849 € au lieu de 899. Les Series 11 ont droit à 40 € de remboursement et 20 € encore pour la petite SE3. De quoi affiche un prix de base à 299 € pour ce lancement.
Orange a été le premier à gérer les Apple Watch cellulaires, et ce dès 2017, année de sortie de la Series 3, celle qui a inaugurée cette connexion. SFR l’a suivi deux ans plus tard. Maintenant que Free a rejoint le mouvement, il ne manque plus que Bouygues.
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