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À contre-courant : pourquoi Nicolas déteste le concept de playlists
À contre-courant, c’est la nouvelle série de podcasts estivale réservée aux abonnés du Club iGen. Dans chaque épisode, un membre de la rédac défend son opinion impopulaire et cherche à l’argumenter, ce qui donne lieu à de petits débats. L’idée est de vous faire revivre les discussions de la rédac pendant la pause midi dans un format plus court que les traditionnels Kernel Panic.

Aujourd’hui, Nicolas défend sa manière particulière d’écouter de la musique, à savoir uniquement par albums complets du début à la fin, et jamais par playlists. Cédric et Florian écoutent de la musique d’une façon moins rigide et défendent leur façon de faire.
Bonne écoute !
Journée des parcs nationaux : un trophée et des autocollants à gagner ce dimanche
Comme chaque année, Apple s’apprête à lancer un nouveau défi Activité pour célébrer la journée des parcs nationaux, qui aura lieu demain, le 24 août. Pour décrocher le précieux trophée virtuel, il suffira d'enregistrer un exercice d'au moins 20 minutes à l'aide de toute app qui synchronise les exercices dans Santé. Il y a quelques années, Apple demandait à la place de parcourir au moins 1,6 km. Rien d’insurmontable en soit, il faudra juste penser à démarrer l’entraînement, faute de quoi l’effort ne sera pas pris en compte.

Comme à l’accoutumée, le trophée s’accompagnera de nouveaux autocollants animés pour l’app Messages, histoire de partager votre exploit avec vos proches. Mais ce n'est pas tout, aux États-Unis, d'ici au 29 août, Apple fera un don de 10 $ à la National Park Foundation pour chaque achat réalisé aux États-Unis avec Apple Pay — que ce soit sur Apple.com, dans l’app Apple Store ou directement en Apple Store — dans la limite d’un plafond de 1 million de dollars. Ce partenariat existe depuis 2017. L'objectif de cette association est "d'obtenir des financements privés et établir des partenariats stratégiques afin de protéger et d’améliorer les parcs nationaux américains pour les générations actuelles et futures". Apple a également mis en avant cette initiative sur ses services, notamment sur l'App Store, où l'application de National Park Service a été sélectionnée comme App du jour.
Promo : des AirPods Max Lightning à 399,99 €
À l'approche de la rentrée, les promotions agressives concernant les produits Apple se multiplient. Darty propose actuellement les AirPods Max Lightning de 2020 pour 399,99 €. À ce prix, vous avez même le choix de la couleur : argent, gris sidéral, bleu ciel, vert).

C'est un prix canon, mais gardez bien à l'esprit qu'il dispose d'un port Lightning. Le modèle USB actuellement en vente, coûte 579 € en Apple Store. Si l'on met de côté, la connectique et les nouvelles couleurs, les différences sont assez négligeables entre les deux modèles. Les AirPods Max USB-C apportent toutefois une meilleure prise en charge de l'audio filaire avec un véritable son lossless et une latence ultra-faible. Ils offrent également l’audio spatial personnalisé en qualité sans perte et la possibilité de créer ou de mixer du contenu avec l’audio spatial et le suivi des mouvements de la tête.

L’AirPods Max USB-C va prendre en charge le lossless et la latence réduite grâce à une mise à jour
En résumé, si vous comptez utiliser les AirPods Max la majorité du temps en Bluetooth et que le câble Lightning ne vous dérange pas, alors foncez ! On n'a jamais vu de mémoire ce modèle proposé à 399,99 €. Si, par contre, l'aspect filaire est vraiment important, le choix est peut-être un peu plus difficile.

Test des AirPods Max : le casque du siècle
Donald Trump au secours d’Intel en faisant entrer l’État à hauteur de 10 % de l’entreprise
Alors qu’Intel est dans la tourmente, à la fois pour ses résultats catastrophiques, son impasse technique et son patron contesté pour ses accointances avec la Chine, voilà que le président des États-Unis d’Amérique décide de se poser en sauveur, faisant entrer à hauteur de 10 % le pays dans les actions du fondeur pour la rondelette somme de 10 milliards de dollars.

Alors qu’il avait publiquement critiqué Lip-Bu Tan pour ses liens financiers avec la Chine, Donald Trump a ensuite demandé au CEO d’Intel de venir le rencontrer à la Maison Blanche. Suite à cette rencontre, Trump semblait avoir changé d’avis sur le patron, comprenant son histoire personnelle l’ayant mené au poste de CEO du fondeur.

Le CEO d’Intel appelé à démissionner par Donald Trump
J’ai rencontré M. Lip-Bu Tan, patron d’Intel, avec le Secrétaire d’État au Commerce, Howard Lutnick, et le Secrétaire au Trésor, Scott Bessent. La réunion fut intéressante. Son succès et son ascension sont une histoire incroyable. M. Tan et les membres de mon cabinet vont passer un peu de temps ensemble, pour ensuite m’apporter des suggestions la semaine prochaine. Merci de votre attention sur ce sujet !
Donald Trump aurait ensuite proposé au patron d’Intel une solution pour garder sa place : laisser le gouvernement américain entrer à hauteur de 10 % dans l’entreprise, comme rapporté par TheVerge.
J’ai dit « Vous savez quoi ? Je pense que les États-Unis devraient recevoir 10% d’Intel. » Et il m’a répondu « Je vais y réfléchir. » Et j’ai ajouté « Eh bien, j’aimerais que vous le fassiez parce qu’Intel a été laissé pour compte, comme vous le savez, par rapport à Jensen et quelques-uns de nos amis, Nvidia, et parmi certaines personnes et… parce qu’Intel n’aurait jamais dû… Intel était la plus grande, la plus puissante entreprise de puces au monde. Et puis ils ont commencé à partir. Ils ont commencé à aller dans des pays étrangers, et particulièrement à Taïwan. Et si on avait eu un président qui aurait dit ‘Ok, vous pouvez aller à Taïwan, mais on va mettre une taxe de 100%, ou 200%, ou 300, ou 500% : quiconque vend aux États-Unis devra payer’, ils ne seraient pas partis. »
S’il n’a pas précisé les détails de l’accord, il a en revanche bien fait comprendre que la signature de celui-ci est la seule issue permettant à Lip-Bu Tan de sauver sa place à la tête d’Intel. Suite à cette prise de parole du président américain, protégeant d’une certaine manière le fondeur d’une chute probable en le rapprochant du giron de l’État, les actions d’Intel ont grimpé de 6 %.

Panther Lake, la prochaine génération Intel, déjà dans la tourmente à cause de la gravure en 18A
Apple porte plainte contre un ancien employé parti chez Oppo avec des secrets industriels
Apple a déposé une plainte contre un ancien ingénieur spécialiste des capteurs sur l’Apple Watch, Chen Shi, travaillant maintenant pour l’entreprise Oppo. Le gredin aurait profité de ses accès privilégiés aux secrets de fabrication de Cupertino pour les amener avec lui chez son nouvel employeur.

Selon la plainte dévoilée par MacRumors, Shi aurait indiqué quitter son emploi chez Apple afin de retourner en Chine s’occuper de ses parents devenus âgés. Cependant, il aurait omis dans le même temps de préciser qu’il avait accepté un poste chez Oppo, et en a profité avant son départ pour faire une razzia sur les serveurs de son désormais ex-employeur. Il aurait même poussé le vice jusqu’à discuter avec un bon nombre de ses collègues ingénieurs de l’équipe Apple Watch pour savoir sur quoi ils travaillaient et où ils en étaient.
Trois jours avant son départ, Shi a récupéré 63 fichiers techniques sur le serveur protégé de l’équipe de développement, les transférant sur une clé USB. Il aurait ensuite cherché le meilleur moyen d’effacer un MacBook, et de cacher les accès qu’il aurait pu avoir sur les serveurs. Décidément bien peu discret, il aurait ensuite envoyé un message à son nouvel employeur, indiquant qu’il « collectera autant d’informations que possible » pour les partager avec Oppo, spécifiquement celles sur le capteur de rythme cardiaque.
La plainte d’Apple demande une injonction interdisant à Oppo et Shi d’utiliser les secrets industriels d’Apple, la restitution des fichiers volés, ainsi que des dommages et intérêts.
Orange France touchée par un ransomware
Le mois de juillet a décidément été chaud pour les équipes de sécurité d’Orange : après avoir été piratés sur ses serveurs de Belgique, vu des données sur les employés de sa branche Orange Roumanie publiées sur le dark web, voilà maintenant qu’un groupe spécialisé dans le ransomware (ou rançongiciel en bon français) s’en est pris à ses serveurs français, comme le rapporte Bloomberg.

C’est grâce à la solution « clés en mains » de Warlock, un fournisseur de ransomware pour d’autres groupes de pirates informatiques, que les ordinateurs de l’agrume ont été attaqués. Si normalement toute fuite de donnée chez un opérateur doit être signalée à la CNIL, Orange SA ne l’a pas fait, indiquant qu’aucun des documents récupérés par les hackers ne contenait de fichier client.

Orange Belgique victime d’une cyberattaque fin juillet, des données clients compromises
Selon l’opérateur, les données récupérées ne sont que des « données périmées ou de faible sensibilité ». Celles-ci concernant des entreprises extérieures à Orange, les partenaires concernés ont été mis au courant :
Les entreprises affectées par le piratage en ont été informées par Orange avant cette communication, et nous collaborons avec elles ainsi qu’avec les autorités depuis le début de cet incident.
Généralement, les hackers utilisant la solution de Warlock récupèrent les données et verrouillent ensuite les ordinateurs cibles, demandant ensuite une rançon pour les déverrouiller et ne pas faire fuiter les éléments récupérés. Le groupe de pirates responsable de la fuite d’Orange a déjà laissé 4 Go de données appartenant à l’opérateur sur le dark web mi-août.
Si Orange a été « bien servi » ce mois-ci, ses concurrents n’ont pas été en reste depuis quelques mois. Les opérateurs téléphoniques restent des cibles de choix, leurs serveurs contenant des données particulièrement intéressantes pour les pirates, que ce soit les fichiers clients ou les renseignements sur les infrastructures de ces réseaux, permettant de chercher des failles utiles à d’autres piratages.
"Ils sont forts ces Chinois !" (Les Doigts dans la Prise S04E04)
Apple envisagerait de remplacer le moteur de Siri par Google Gemini

Siri motorisé par Gemini ? Apple rajoute Google aux possibilités
Depuis plusieurs semaines, les bruits de couloir indiquent qu’Apple travaille en même temps sur une version interne du nouveau Siri et sur une version motorisée par une solution externe. Ce matin, Mark Gurman indiquait même qu’Apple penchait de plus en plus vers la seconde possibilité. Le fuiteur en remet une couche, en dévoilant le partenaire avec lequel Apple serait en train de travailler : Google, et son IA Gemini.

Si Cupertino pourrait donc utiliser Gemini pour Siri, ce n’est pas faute d’avoir tenté d’autres partenariats selon Bloomberg : avant d’aller voir Google et son IA, Apple aurait démarché Anthropic (Claude) et OpenAI (ChatGPT) plus tôt dans l’année.

Apple envisage de remplacer le moteur de Siri par celui de ChatGPT ou Claude AI
Cependant, Apple se tâte encore : Cupertino se laisse plusieurs semaines pour décider si oui ou non elle utilisera un partenariat pour motoriser Siri, et laquelle de ces IA externes prendra ce rôle.
Pourquoi aller voir plusieurs partenaires possibles, et donc multiplier les développements parallèles ? Selon Gurman et ses oreilles bien placées, si Anthropic était le favori en début d’année, ses revendications financières auraient été bien trop élevées pour les décisionnaires d’Apple et auraient poussé Cupertino à élargir les possibilités.
Dans le cas d’une collaboration, la mise en place ne serait pas une partie de plaisir : si Apple n’est pas contre utiliser un moteur venant d’une autre entreprise, elle souhaite garder la main sur l’endroit où vont se balader les données de ses utilisateurs, et celles-ci seraient obligatoirement envoyées non seulement dans des data-centers appartenant à Apple, mais tournant en plus sur ses propres puces.

Meta a encore capturé un ingénieur IA d’Apple, le sixième depuis juillet
Quoi qu’il en soit, la décision finale aura une importance capitale : toute l’IA d’Apple se reposera dessus. Les équipes internes avancent rapidement, étant déjà passées à des modèles à 1 000 milliards de paramètres selon Gurman, mais restent à distance des meilleurs comme OpenAI, qui sont déjà sur des LLM à plusieurs milliers de milliards de paramètres. Qui plus est, l’équipe voit partir depuis juillet ses têtes de pont les unes après les autres, soit pour une meilleure motivation, soit attirés par l’argent proposé par Meta.
Meta qui, d’ailleurs, est le seul qui n’aurait pas été approché par Apple. Un souci de compatibilité entre les machines... ou entre les hommes ?
Qui fait encore les challenges Apple Watch ?
Apple a cessé de signer iOS 18.6 et devrait faire de même avec 18.6.1 la semaine prochaine
Alors qu’Apple a enchaîné coup sur coup deux mises à jour d’iOS, la firme de Cupertino a cessé de signer iOS 18.6. Rappelons que nous en sommes déjà à iOS 18.6.2, publié cette semaine afin de corriger plusieurs failles de sécurité jugées importantes. Juste avant cela, Apple avait rendu disponible iOS 18.6.1, une mise à jour notable puisqu’elle réactivait la mesure du taux d’oxygène sanguin aux États-Unis sur l’Apple Watch Series 9, la Series 10 et l’Apple Watch Ultra 2 sous watchOS 11.6.1.

D'importants correctifs de sécurité avec macOS 15.6.1 et iOS 18.6.2 [ : iPadOS 17.7.10, macOS 14.7.8 et macOS 13.7.8 aussi proposés]
iOS 18.6 est donc condamné, ce qui signifie qu'il n'est plus possible de revenir en arrière si vous êtes sur iOS 18.6.1 ou iOS 18.6.2. Et au vu des habitudes d’Apple, iOS 18.6.1 devrait subir le même sort d’ici quelques jours seulement, probablement au début de la semaine prochaine.

Rien de surprenant dans cette politique de signatures : Apple verrouille méthodiquement l’accès aux anciennes versions pour limiter les failles potentielles et maintenir son parc à jour. Une pratique qui peut frustrer ceux qui aiment conserver la main sur leur appareil, mais qui s’inscrit dans la logique de sécurité et de contrôle chère à Cupertino
Des supports pour faire de la place sous le Mac mini M4
Particulièrement compact, le Mac mini n'occupe pas beaucoup de surface sur le bureau. Quelques supports permettent toutefois de le relever et de glisser en dessous de petits accessoires ou par exemple un SSD de sauvegarde si vraiment votre espace est compté. Et si vous utilisez régulièrement le bouton d'extinction — plutôt que de laisser la machine en veille — il pourrait être plus accessible ainsi placé en hauteur.

Amazon référence plusieurs articles qui font peu ou prou la même chose à des tarifs inférieurs à 20 €. Ils mettent en avant leur fonction d'aide au refroidissement, mais cela peut être un intérêt secondaire.

Bon plan : le Mac mini M4 sous la barre des 600 €, la petite machine qui fait la grande affaire
On ne se ruinera pas avec le support de Gewokliy. Vendu 22,99 €, il est muni de patins pour mieux tenir en place et, comme les autres, il présente une découpe en son centre pour laisser respirer la machine et accéder au bouton à l'arrière. Le même est proposé sous le nom de Akkyajaure à un tarif identique, mais il peut être en promotion à 19,99 €.

Autre look pour le support Hagibis dont le rôle est identique aux précédents et le prix plus bas encore puisqu'il est actuellement à 16,99 €.

Toujours dans ce registre, le support de Omoton soutient le Mac mini sur ses quatre pieds et un loquet a été ajouté qui paraît simplifier la manipulation du bouton arrière. Comptez 19,99 € pour celui-ci.


Promo : 170 € sur le Mac mini M4 Pro, 300 € sur l'iMac M4
Un nouveau bouton Photo pour l'iPhone 18 ?
Apple TV+ vient-elle de perdre son plus gros talent ?
Orange : la 5G+ bientôt compatible avec l’option Multi-SIM sur iPhone ?
Les clients les plus fidèles ne sont pas toujours les mieux servis. Si Orange a activé la 5G+ sur iPhone début juin, les abonnés équipés de l’option Multi-SIM en étaient privés jusqu’à présent. Avec les récents changements apportés aux options Multi-SIM, la situation semble évoluer.
Plusieurs lecteurs détenteurs de l’option Multi-SIM nous ont indiqué avoir vu apparaître dans leur espace client une bannière leur proposant de bénéficier gratuitement de la 5G+. Après quelques clics, l’un d’eux a reçu un SMS validant son inscription au nouveau service. L’activation n’est pas immédiate, Orange annonce un délai pouvant aller jusqu’à cinq semaines.


La prudence reste de mise. La documentation d’Orange indique toujours que la 5G+ est incompatible avec l’option Multi-SIM (et avec l’option eSIM Apple Watch). Et contrairement à d’autres, certains abonnés Multi-SIM ne voient toujours pas de bannière 5G+. Contacté, l’opérateur n’a pas répondu à notre demande d’éclaircissement au moment d’écrire ces lignes.
S’appuyant sur le réseau 3,5 GHz de l’opérateur, la 5G+ (ou 5G standalone) offre de meilleures performances car elle repose sur une architecture totalement pensée pour la 5G. À la clé, la latence est réduite ; la voix passant en 5G, le smartphone ne bascule plus sur la 4G lors des appels téléphoniques ; et la sécurité est renforcée. Pour en profiter côté Apple, un iPhone 15 ou un iPhone 16 est nécessaire et il faut penser à activer l’option 5G+ (gratuite sur tous les forfaits 5G) dans son espace client.
Toutes les nouveautés de l'app Messages avec iOS 26
Les iPhone 18 auraient un bouton moins cher pour commander l'appareil photo
Les iPhone 18 en 2026 n'abandonneraient pas leur bouton "Commande de l’appareil photo" mais sa conception serait revue pour des questions de coût.
En début de semaine une rumeur venue d'Asie, d'un compte peu connu, affirmait que la génération 2025 des iPhone supprimerait son bouton dédié pour la prise de photos. Celui-là même qui est apparu avec les iPhone 16 l'an dernier (mais que le 16e n'a pas eu). Apple aurait jugé que l'attrait de ce bouton de "Commande de l’appareil photo" n'était pas assez marqué chez les clients pour justifier son maintien.

Cette affirmation est contestée par un autre fuiteur, plus connu, Instant Digital, qui livre une autre version. Il affirme que ce bouton de commande est toujours au programme des futurs iPhone mais qu'Apple va simplifier son fonctionnement interne. Au lieu d'un capteur de pression pour valider l'action et d'un système capacitif pour agir sur la minuscule interface, il n'y aurait plus que le capteur de pression pour s'occuper de tout. Oppo et Vivo le font déjà avec leurs X8 Ultra et X200 Ultra, ajoute le fuiteur.

Le bouton d'Apple dans sa forme actuelle serait trop onéreux et les coûts ne seraient pas minces non plus en cas de réparation. Il serait aussi un peu trop cher au vu de l'usage qu'en font les utilisateurs. Le bouton a gagné une fonction liée à Apple Intelligence mais les opinions restent tranchées sur l'utilité et la commodité de ce dispositif.

Visual Intelligence est réservée aux iPhone avec la nouvelle commande de l’appareil photo
Tesla : attention, la mise à jour de l'app iPhone désactive les clefs !
Le « MagSafe 2 » n’est plus seul : Belkin lance ses chargeurs Qi2 à 25 W pour iPhone
Le chargeur MagSafe Apple de deuxième génération n’a plus le monopole de la vitesse. Quasiment un an après sa sortie, Belkin lance à son tour des chargeurs Qi2 pouvant recharger sans fil les iPhone 16 à une puissance de 25 W. Le fabricant exploite le standard Qi2.2 récemment officialisé.
Pour mémoire, le premier chargeur MagSafe d’Apple et les chargeurs Qi2 disponibles jusqu’à présent ne fournissent pas plus de 15 W. Les iPhone 12 à 15 n’acceptent pas davantage, mais Apple a relevé la puissance maximale à 25 W pour les iPhone 16 (à l’exception du 16e). Cela permet de remplir jusqu’à la moitié de la batterie d’un iPhone 16 en 30 minutes, soit le même rythme que la charge rapide filaire.

Jusqu’à aujourd’hui, seul le chargeur « MagSafe 2 » d’Apple, comme on le surnomme parfois, pouvait alimenter les iPhone 16 à 25 W. Belkin propose finalement trois alternatives pour qui veut remplumer son iPhone récent aussi vite que possible. Ces produits font tous partie d’une nouvelle gamme nommée UltraCharge.
Socle de recharge 2-en-1 pliable UltraCharge
Le premier (référence WIZ038) est un socle 2-en-1 compact et pliable. Fermé, il permet de recharger un iPhone (ou un Pixel 10) jusqu’à 25 W. Le refroidissement est passif, donc sans aucun bruit. Si vous avez « seulement » un iPhone 12/13/14/15, la recharge sera limitée à 15 W. Avec un iPhone 8/X/XS/11/SE, la puissance ne dépasse pas 7,5 W.

Déplié, ce socle peut recharger simultanément un second appareil jusqu’à 5 W, comme un boîtier d’AirPods. Un port USB-C sur le côté permet de recharger avec un câble un troisième appareil, mais pas à plus de 5 W.

Cet accessoire fait 105 x 59 x 23 mm pour 162 g. Il est décliné en noir, blanc et bleu. Un adaptateur secteur USB-C 45 W et un câble USB-C de 1,5 m sont fournis. Il est vendu 59,99 € et est en précommande sur Amazon et chez d’autres revendeurs. Sortie programmée le 5 septembre. Il a une variante (WIZ039) avec des coins arrondis.
Socle de recharge 3-en-1 pliable UltraCharge
Le socle 3-en-1 UltraCharge (WIZ036) est similaire, si ce n’est qu’il cache en plus un galet pour l’Apple Watch. Il est compatible avec la charge rapide de la montre apparue sur la Series 7.

Il est disponible dans les mêmes couleurs et livré avec les mêmes accessoires. Il coûte 89,99 €. Précommande ouverte Amazon et sortie le 5 septembre.

Station de recharge 3-en-1 UltraCharge Pro
Enfin, pour un usage plus sédentaire, Belkin propose la station de recharge 3-en-1 UltraCharge Pro (WIZ040). Son chargeur Qi2 25 W dispose du refroidissement actif ChillBoost, autrement dit d’un ventilateur, pour réguler la température et ainsi charger l’iPhone aussi rapidement que possible (jusqu’à 50 % en 25 minutes).

La recharge sans fil a en effet ceci de problématique qu’elle fait chauffer l’iPhone, ce qui peut entraîner une surchauffe dans certaines conditions (lors d’une canicule, au hasard), qui a comme effet final de couper totalement l’alimentation. Un ventilateur est un moyen efficace pour régler ce souci… mais génère du bruit en contrepartie. C’est pour cette raison que Belkin dote son produit d’un interrupteur servant à couper le refroidissement actif si on le trouve gênant. Cela servira notamment la nuit si le ventilateur est bruyant.

Le chargeur iPhone est inclinable jusqu’à 70°. Par ailleurs, cette station a un chargeur rapide d’Apple Watch et un chargeur Qi 5 W qui servira essentiellement pour des AirPods. Sa base lestée est faite d’un silicone doux au toucher et son bras a une finition chromée.

La station vient avec un adaptateur secteur 45 W et un câble USB-C de 1,5 m. Elle est en précommande dès maintenant à 119,99 € pour une sortie le 12 septembre.
D’autres fabricants (Anker, Aukey…) vont annoncer prochainement leurs propres produits Qi2 25 W. Si seuls les iPhone 16 sont compatibles avec cette puissance à l’heure actuelle, on s’attend à ce que les iPhone 17 reprennent cette caractéristique.

Test du nouveau chargeur MagSafe 25 W : Apple accélère bien la recharge sans fil des iPhone 16
Google : l'IA pourrait influencer la conception des smartphones
Il n'y aura pas de lunettes, de bague connectée ou de tablette dans un avenir proche chez Google qui préfère concentrer ses efforts sur d'autres développements.
Dans une interview accordée à Bloomberg, plusieurs responsables des développements matériels de Google ont dessiné un périmètre d'activité pour cette partie. Le fabricant n'est pas avare en appareils et accessoires — il a présenté de nouveaux téléphones, écouteurs et montres cette semaine — mais ailleurs, il laisse les autres à la manœuvre tout en leur fournissant le logiciel et les outils d'IA.

Rick Osterloh qui pilote les divisions matérielle et Android déclare ainsi que ses équipes ne travaillent pas sur des bagues connectées, que le développement d'une tablette a été suspendu le temps de trouver une approche originale dans cette catégorie et qu'il n'est pas prévu non plus de téléphone pliant au format vertical. Google s'en tient à la disposition des écrans comme un livre, en témoigne sa nouvelle génération de Pixel Fold.
Quant aux lunettes connectées, un domaine que Google a défriché très tôt avant de s'en retirer, il fait toujours l'objet de discussions sur l'opportunité d'y revenir. Pendant ce temps, Google se concentre sur la partie logicielle (Android XR) pour les produits prévus par Samsung et une petite équipe cogite néanmoins sur des écrans de toute petite taille.
Le téléphone demeure indétrônable
Car le téléphone reste un incontournable : « Le smartphone fait trop de choses trop bien pour être détrôné aussi facilement » estime Shakil Barkat, responsable Devices & Services, qui précise : « Le contenu visuel est le principal problème à résoudre avant qu’un changement majeur ne se produise. ».
Pour des lunettes qui ne sont pas le support idéal pour la consommation de contenus sur la durée, Google imagine un utilisateur les seconder par un téléphone de poche, compact car pliant façon clapet comme en font certains de ses partenaires. Plus généralement, Shakil Barkat rejette l'idée d'une surabondance d'appareils et de gadgets sur l'utilisateur : « Chaque fois qu’un nouveau type de produit se rajoute, c'est quelque chose de plus dont l’utilisateur final doit s'occuper pour son fonctionnement et son entretien. C’est déjà assez pénible comme ça. ». Pour l'avenir immédiat, Google envisage plutôt les gens s'en tenir à leur téléphone, une paire d'écouteurs, une montre et des lunettes connectées. Ce qui est déjà pas mal.
À propos des smartphones, Rick Osterloh considère que leur évolution matérielle s'est stabilisée, les produits sont devenus matures (Shakil Barkat ne cache pas son envie de faire disparaître la trace de pliure qui orne toujours les modèles à écran pliant, mais c'est de l'ordre du détail esthétique). C'est grâce au logiciel que de nouveaux progrès sont maintenant faits : « L’IA deviendra la manière d’interagir avec un téléphone pour “accomplir quelque chose” » et d'envisager que cela « commencera ensuite à influencer sur sa conception. ».
Google a montré de nouveaux usages de Gemini cette semaine, comme la capacité — encore exclusive à l'anglais — de demander la suppression d'un élément sur une photo en le désignant oralement, sans manipuler un quelconque élément d'interface. Pour Osterloh, il n'y a pas débat, si on veut être en pointe, c'est chez Google que ça se passe : « C’est à nous de faire en sorte que cela compte dans le mobile au cours des prochaines années, où je pense qu’il est assez clair que nous avons une nette avance. ». Et d'asséner, non sans raison : « Si vous utilisez Android, vous serez à l’avant-garde de l’évolution de l’IA. ».
Enfin, il est suggéré que l'on devrait voir arriver des changements plus significatifs dans le design des tout prochains Pixel (la gamme 2026 est en passe d'être finalisée et les développements ont débuté sur la 2027). « Tous les deux à trois ans, nous cherchons à faire quelque chose avec un nouveau langage de design. », explique Ivy Ross, en charge de cette partie. Le look actuel des Pixel 10 — avec l'épais bandeau à l'arrière — trouve ses origines dans la 6e génération puis il s'est affirmé avec les Pixel 8. L'heure est probablement venue de tenter autre chose.

Cette gamme reste néanmoins assez confidentielle dans ses ventes. En dépit de l'avance de Google sur l'IA et de la couverture médiatique autour des difficultés d'Apple sur le sujet, les grands équilibres ne bougent guère. Peut-être par habitude et satisfaction de ce que l'on a, peut-être par la difficulté à quitter un écosystème et peut-être aussi parce que l'IA n'attire pas encore les foules au-delà de quelques usages basiques sur le texte ou les images.
Google n'a pas observé une « avalanche » de switchers venus de l'iPhone vers les Pixel. D'après le cabinet d'études Canalys, Google aurait distribué 800 000 Pixel aux États-Unis au second trimestre 2025, soit 3 % du marché local quand Apple s'en accapare presque 50 %. Rick Osterloh concède que Google ne deviendra jamais un « acteur de premier ordre » sur les smartphones mais il y a une croissance, des innovations et cela suffit semble-t-il à faire « un bon business » pour sa division.
« Les Trésors de l’Aventure Apple » : 1 000 articles pour replonger dans l’histoire d’Apple
Compagnon de route de longue date de MacGeneration, Jean-Baptiste Leheup vient de franchir un joli cap : il a publié le 1000e article de son blog Les Trésors de l’Aventure Apple. Une belle occasion pour aller y faire un tour tant il regorge d’histoires et de produits étonnants autour de la Pomme.

Jean-Baptiste partage depuis des années des anecdotes, des trouvailles ou encore des astuces qui font partie de la grande (et parfois de la petite) histoire d’Apple. Vous voulez savoir comment redonner de l’éclat aux plastiques jaunis de vos vieux Mac ? La réponse est là. Envie de découvrir l’improbable Renault Clio Apple ? Elle aussi vous attend. Tout comme les goodies d’Apple, les slogans oubliés, et bien d’autres pépites. On ne va pas tout divulgâcher : avec 1 000 billets à son actif, le blog Les Trésors de l’Aventure Apple a de quoi vous occuper un bon moment !
Commande de l'appareil photo : un bouton simplifié sur l'iPhone 18 ?
