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Une attaque particulièrement bien ficelée cible des utilisateurs Apple

Les tentatives de phishing, relativement simples voire simplistes il y a quelques années, deviennent de plus en plus sophistiquées, au point qu’il pourrait devenir difficile de discerner certaines d’une conversation légitime avec une entreprise. Un utilisateur Apple, Eric Moret, a été la cible d’une de ces tentatives particulièrement bien ficelées.

L’authentification à deux facteurs, au cœur de cette manipulation. Image Eric Moret.

Tout à commencé par un message texte contenant le bien connu code à six chiffres permettant d’authentifier une demande de connexion à un compte protégé par le système à double facteurs. Signe que la demande était légitime, elle est apparue sur tous les appareils de l’utilisateur à la fois, indiquant un envoi depuis les serveurs officiels d’Apple. Par la suite, un appel automatique a encore une fois laissé une suite de six chiffres sensés permettre d’autoriser une connexion sur un nouvel appareil. Clairement, quelqu’un essayait d’utiliser le compte en question.

L’affaire a pris une autre tournure quelques minutes plus tard : une personne bien réelle a appelé Eric Moret, indiquant faire partie du support Apple, et ne faisant aucun mystère sur la raison de son appel :

Votre compte Apple est en train de subir une attaque. Nous avons ouvert un ticket pour vous aider, quelqu’un va vous contacter rapidement.

Dix minutes plus tard, un nouvel appel est arrivé, cette fois bien plus long : après avoir ouvert un cas réel sur le site Apple au nom de la victime, l’interlocuteur a mené Eric Moret tout au long des étapes consistant à mettre un nouveau mot de passe sur son compte, en passant par l’e-mail qui venait de lui être envoyé. L’e-mail respectait non seulement tous les codes Apple, mais l’adresse de l’expéditeur était AppleSupport@email.apple.com. Rien d’étrange, et Eric suit donc la procédure pour réinitialiser son mot de passe, avec la personne au bout du fil.

Mais alors, comment l’arnaqueur prend possession du compte Apple, si tout est officiel ? C’est la clôture du dossier qui contient toute la machination : à la fin de la conversation, l’interlocuteur lui a signalé qu’il allait recevoir un message l’invitant à clore le ticket après avoir vérifié que tout fonctionnait. Message qui n’a pas tardé à arriver.

Saurez-vous retrouver l’intrus ? Image Eric Moret.

Sans se préoccuper plus que ça de la légitimité de ce message, Eric clique sur le lien. Lien qui l’envoie sur une page reprenant parfaitement les codes d’Apple, encore une fois, et indiquant précisément les étapes qu’il a suivi, du ticket ouvert au mot de passe changé, en passant par le verrouillage préventif de son compte. Ne restait plus qu’à clôturer le ticket.

L’interlocuteur toujours en ligne avec Eric, lui signale qu’il va recevoir un dernier code de confirmation à rentrer sur la page pour pouvoir boucler le dossier, et retourner à ses occupations. Le SMS arrive avec les six chiffres, qu’Eric rentre sur la page.

Les pirates ont maintenant accès à son compte : la page appeal-apple.com n’appartenant pas à Apple mais aux malandrins, il vient ainsi de donner les clés de son compte Apple aux vilains de l’histoire.

L’instant d’après, Eric reçoit un e-mail lui indiquant qu’un Mac mini venait de se connecter grâce à ses identifiants Apple. Sans se démonter, son interlocuteur lui indique que c’est normal, et que ça fait partie du process.

Eric Moret a eu la sage précaution de refaire la manipulation de réinitialisation de son mot de passe, sans l’aide de son interlocuteur cette fois. Bien lui en a pris, sinon son compte serait resté aux mains des pirates.

Les attaques sophistiquées comme celle-ci sont encore rares, mais elles sont amenées à se multiplier. Les nouveaux délinquants du milieu savent très bien que les e-mails jouant sur la peur du piratage, avec des bandeaux rouges clignotants ne servent plus à grand chose. Ils sont donc passés à des attaques bien plus ingénieuses, et plus difficiles à discerner de la réalité. Moralité : il faut redoubler de vigilance, et l’authentification à deux facteurs n’est pas l’alpha et l’oméga de la protection... elle peut même se retourner contre son utilisateur.

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BOE se fait claquer la porte au nez par Apple pour la fourniture d’écrans d’iPhone

En 2022, BOE Displays faisait déjà parler d’elle en mal chez Cupertino, en modifiant des éléments des dalles qu’elle fournit à Apple sans prévenir son client. Aujourd’hui, la firme chinoise ne semble pas beaucoup plus fiable, obligeant Apple à mettre en pause sa collaboration avec ce fournisseur concernant les dalles des iPhone 17, comme le rapporte AppleInsider.

Un écran OLED souple, tel que BOE souhaiterait en fournir à Apple en 2026. Image BOE.

Apple a donc tranché, c’est l’heure de la valse des fournisseurs pour l’iPhone 17 : Samsung rafle la mise tandis que BOE, déjà figurant, se voit fermer la porte au nez. En coulisses, c’est une guerre froide technologique qui se joue, où un pixel défaillant peut valoir des millions perdus. Derrière la façade léchée du design californien, chaque dalle OLED cache une lutte féroce pour la fiabilité et l’innovation.

En plus de ses problèmes de production, BOE aurait modifié ses dalles OLED sans prévenir

En plus de ses problèmes de production, BOE aurait modifié ses dalles OLED sans prévenir

BOE, acteur chinois prêt à tout pour s’imposer (il ambitionnait encore en 2022 de dépasser LG en tant que fournisseur), croyait tenir sa chance. L’entreprise a ainsi gonflé ses capacités jusqu’à la centaine de millions de panneaux par an. Mais la réalité est brutale : Apple lui a ouvert la porte… pour le seul marché chinois, et l’a tenue à l’écart de la scène mondiale. Il faut dire que les ambitions mondiales de BOE se fracassent sur le mur du déficit de rendement – 85% quand Samsung tourne à plein – et une réputation ternie par les bidouilles non autorisées de 2022. Au final, BOE qui plafonnait à 1% du gâteau doit céder ses options de vente à Samsung.

C’est le LTPO qui a tué dans l’œuf les ambitions de BOE. Pour Apple, impossible de faire l’impasse sur cette technologie lui permettant des taux de rafraîchissement variables. Pendant que Samsung et LG maîtrisent l’art, BOE accumule les échecs techniques. Pour Cupertino, hors de question de rejouer le feuilleton des écrans mal calibrés ou des lots pas à la hauteur vus sur certains iPhone précédents : la sanction, c’est le déclassement immédiat.

Pour s’assurer d’une production la plus unifiée possible, Apple a de toute façon choisi de se baser sur les écrans M14 de Samsung. Las de faire des compromis et des calibrations au cas par cas sur les écrans des différents fournisseurs, cette fois un seul modèle sert de ligne conductrice à tous, ce qui vient encore embêter BOE qui est aux prises avec un litige concernant certains brevets de Samsung.

En plus de ces déconvenues, BOE accumule décidément les problèmes, étant dans le viseur de l’administration américaine qui la soupçonne de collusion avec le gouvernement chinois. Si l’enquête menée par les services US devait aller jusqu’au bout, l’entreprise pourrait se voir complètement fermer le marché américain, rangée dans la case des entreprises liées au complexe militaro-industriel de l’Empire du milieu.

Si BOE a encore des espoirs pour l’avenir, ceux-ci s’amoindrissent au fur et à mesure que le temps passe : après les erreurs de 2022, le manque de qualité de 2025 pourrait bien lui valoir une fin de collaboration définitive avec Apple, alors qu’elle ambitionnait encore récemment d’être parmi les fournisseurs de l’iPhone Fold.

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Royaume-Uni : le procès contre iCloud pourrait être gagné par Apple par manque de moyens du plaignant

Si en tant qu’européens nos yeux sont très souvent tournés vers le DMA concernant Apple, l’Union européenne n’est pas le seul endroit où les avocats de la firme ont de quoi travailler plus que de raison : la Grande-Bretagne a son lot de procès en cours, comme le rappelle MacRumors.

Récemment, Apple s’est vue refuser le droit de faire appel de la décision du tribunal britannique concernant un abus de position dominante sur l’App Store, ayant conduit à une compétition amoindrie et des prix artificiellement élevés, entre autres du fait des commissions prélevées par Cupertino sur chaque achat. Potentiellement, Apple risque des dommages et intérêts supérieurs à 1 milliard de dollars.

Mais c’est une autre affaire qui concentre actuellement les ténors engagés par la firme à la pomme : l’association de consommateurs Which, mandatée par certains adhérents, a lancé une procédure contre Apple pour pratiques anticoncurrentielles concernant iCloud, indiquant que Cupertino empêche les utilisateurs d’aller voir ailleurs en limitant les possibilités de sauvegarde alternative sur ses appareils, les forçant ainsi à passer au palier supérieur de stockage iCloud, et donc à payer un abonnement supplémentaire à Apple.

Royaume-Uni : une action de groupe contre Apple et son offre iCloud

Royaume-Uni : une action de groupe contre Apple et son offre iCloud

La plainte portant sur le fonctionnement d’iCloud depuis le 1er octobre 2015 jusqu’à nos jours, elle pourrait si Which venait à gagner engendrer plus de 4 milliards de dollars de dommages et intérêts à payer pour Apple, et la pomme use donc de toutes les ficelles possibles pour gagner, voire empêcher la tenue du procès. Et le financier du procès vient possiblement de lui offrir une excuse sur un plateau d’argent : Litigation Capital Management (LCM), qui est derrière la procédure et gère les comptes de celle-ci, a perdu 99 % de sa valeur depuis novembre 2024, ne pesant plus que 16 petits millions de dollars.

Pour Apple, la question de la solidité de l’organisme se justifie : si Cupertino vient à gagner le procès, ou si un appel doit être lancé, LCM a-t-elle les reins assez solides pour payer les frais de la procédure, qui devront être remboursés au gagnant ? Apple indique que la situation financière de LCM aurait dû être rapportée bien plus tôt, afin de pouvoir prendre les dispositions nécessaires, que ce soit du côté des plaignants comme de l’autre. Si la procédure se poursuit pour le moment, le tribunal devra se prononcer sur le sujet, et est bien entendu attendu de pied ferme par Apple.

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Vous en avez marre des cookies ? Et bien l’Europe aussi !

La Commission européenne a présenté mercredi son « Omnibus numérique », un vaste paquet législatif destiné à alléger le fardeau réglementaire. Au programme : une centralisation du consentement des cookies directement dans le navigateur, un report des obligations strictes sur l'IA et une réduction massive de la paperasse administrative.
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Starway Touring : le vélo électrique qui mise tout sur la simplicité et la sérénité

Starway lance en ce mois de novembre 2025 ses deux nouvelles références urbaines : le Touring et le Touring GT. Fidèle à sa ligne directrice, le fabricant français propose ici des vélos conçus pour gommer les contraintes habituelles du cycliste : pas de vitesses à passer, pas d'entretien de chaîne et une protection contre le vol incluse de série.
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[Sponsorisé] Pourquoi utiliser Surfshark — le VPN de première qualité à tout petit prix

À l'occasion du Black Friday, notre partenaire Surfshark propose des promotions conséquentes sur ses produits dès aujourd’hui et pendant les prochaines semaines.

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Vous pouvez protéger tous vos appareils : un seul abonnement peut être activé sur un nombre illimité d’appareils Mac, iPhone, iPad, Apple TV et plus encore sans aucune limitation de bande passante. Aucun autre service ne facilite autant la protection complète d’un foyer.

N’oublions pas ses outils de confidentialité intégrés, comme :

  • CleanWeb : bloque pubs et trackers
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C’est l’un des tarifs les plus bas jamais proposés pour un VPN dit "premium".

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Face à l'invasion de l'IA, voilà comment nettoyer votre fil TikTok

TikTok héberge désormais plus de 1,3 milliard de vidéos générées par l'intelligence artificielle, un chiffre qui montre clairement la saturation actuelle de la plateforme. Face à ce constat, le réseau social teste une nouvelle option permettant aux utilisateurs de réduire drastiquement la visibilité de ces contenus dans leur fil Pour toi.
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Pourquoi Ubisoft a suspendu sa cotation et ses résultats ? Enfin des réponses...

Il aura fallu six jours à Ubisoft pour sortir de son mutisme, après avoir brutalement repoussé la publication de ses résultats semestriels et demandé dans la foulée la suspension immédiate de sa cotation en Bourse. Cette décision rarissime continue d’interroger aussi bien les marchés que les salariés.
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La Commission européenne recule sur le RGPD et l’AI Act : moins de bannières de cookies, plus de données pour les modèles

Face à des considérations économiques, technologiques et politiques, la Commission européenne a plié. Sous la pression combinée de l’Allemagne, des États-Unis et des géants de la tech, Bruxelles propose d’assouplir deux textes emblématiques du cadre numérique européen. Ces changements s’inscrivent dans un paquet législatif baptisé Digital Omnibus qui est censé remettre à niveau plusieurs règles devenues difficiles à appliquer ou inadaptées aux usages actuels.

Conférence de presse du Digital Omnibus. Image Union européenne.

Les bannières de cookies sur le gril

Dans ce train de mesures, Bruxelles propose notamment de simplifier le RGPD, la grande loi sur la protection des données adoptée il y a près de dix ans. Selon la Commission, l’explosion de l’IA impose de revoir certains points du règlement, suivant en cela une recommandation de Mario Draghi dans son rapport sur la compétitivité publié en 2024. Au lendemain de l’annonce d’un partenariat entre le Français Mistral et l’Allemand SAP autour d’une « IA souveraine » destinée à l'administration publique, Bruxelles veut faciliter le traitement des données personnelles afin de simplifier le développement des modèles.

La Commission propose ainsi que les données « pseudonymisées », c’est-à-dire qui empêchent de réidentifier les utilisateurs, sortent du champ du RGPD, ce qui les rendrait pleinement exploitables pour l’entraînement des modèles. Les données « sensibles », révélant des opinions politiques, une orientation sexuelle ou une pratique religieuse, resteraient en revanche protégées.

Dans le même mouvement, Bruxelles souhaite revoir les règles encadrant les cookies pour améliorer l’expérience en ligne. Il ne vous aura pas échappé qu’une première visite sur un site s’accompagne presque systématiquement d’un choix à faire sur le traitement des cookies. L’objectif est justement de réduire la prolifération des bannières et de permettre aux internautes de gérer leur consentement global en un seul clic, directement depuis le navigateur ou le système d’exploitation.

Selon le plan, les sites pourront s’abstenir de mettre des bannières pour les usages « inoffensifs » (comme le simple comptage des visites) et ils devront respecter les choix de cookies pendant au moins six mois. De quoi se passer d’extensions dédiées pour éviter des dizaines de clics… à condition que les navigateurs intègrent ce nouveau mécanisme.

Image MacGeneration

L’AI Act remodelé

L’autre texte bien parti pour être rouvert est l’AI Act, pourtant adopté seulement l’an dernier. Outre la question des données disponibles pour l’entraînement, la Commission veut repousser à décembre 2027, au lieu d’août 2026, l’entrée en vigueur des obligations pesant sur les modèles dits « à haut risque », susceptibles d’avoir un impact sur la santé ou la sécurité. Elle souhaite également alléger les exigences de signalements en cybersécurité, aujourd’hui fragmentées entre plusieurs législations qui obligent parfois à déclarer un même incident à différentes autorités.

Ce virage réjouit la droite européenne et les grands patrons de la tech, qui y voient un moyen de renforcer la compétitivité du continent. À l’inverse, la gauche et les associations de défense des consommateurs dénoncent des concessions dangereuses. Si ces aménagements étaient adoptés, ils offriraient « aux entreprises d’IA un chèque en blanc pour aspirer les données personnelles des Européens », critique l’organisation de défense de la vie privée Noyb.

Pour le moment, il ne s’agit que de propositions de la Commission. Elles devront être examinées et votées par les parlementaires. Le Parti populaire européen, première force politique dans l’Union européenne, y semble favorable, mais elle devra rallier suffisamment d’alliés pour les faire adopter.

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Elon Musk se dit prêt à intégrer Grok à Siri

Elon Musk propose de venir à la rescousse de Siri. Le patron de Tesla s’est dit prêt à aider Apple en y intégrant le tout frais Grok 4.1 de xAI. La déclaration a été faite en réponse à un tweet sur sa plateforme X et a de quoi surprendre quand on se souvient qu’Elon Musk a menacé d’attaquer Apple en justice il y a quelques mois, précisément à propos de Grok.

I’m down https://t.co/yNY2NtkTEc

— Elon Musk (@elonmusk) November 18, 2025

Le milliardaire américain avait accusé Cupertino de mettre en valeur ChatGPT sur l’App Store au détriment de Grok en août dernier. Il se demandait pourquoi son app n’était pas dans la section Incontournables de l’App Store malgré ses bons scores, contrairement au service d’OpenAI. Il a peu après porté plainte contre les deux entreprises, les accusant d’entente illégale.

Elon Musk porte plainte contre Apple et OpenAI pour entente illégale

Elon Musk porte plainte contre Apple et OpenAI pour entente illégale

Apple s’étant défendu en rapportant qu’il était « de notoriété publique » qu’elle avait l'intention de s'associer à d'autres chatbots IA à l'avenir. Si rien n’a été lancé officiellement pour le moment, les rumeurs voudraient que Google puisse prochainement y intégrer son Gemini en plus de ChatGPT. Cupertino s’est vue forcer la main au Japon, où les utilisateurs pourront bientôt choisir d’activer Alexa, Gemini ou un autre assistant à la sortie d’iOS 26.2.

Siri perd l

Siri perd l'exclusivité de son bouton au Japon avec iOS 26.2

Dans tous les cas, Apple a prévu d’ouvrir son système à d’autres assistants IA suite au fiasco de ses avancées dans le domaine. Grok pourrait donc finir par arriver, mais on serait surpris qu’il soit dans les starting-blocks : le tchatbot a dérapé de nombreuses fois sur des sujets variés, ce qui ne plaît sans doute pas à Apple. On peut s’attendre à ce qu’elle privilégie ses concurrents moins clivants.

La nouvelle tombe alors qu’Elon Musk vient de mettre en ligne la version 4.1 de Grok, qui raisonne de manière plus efficace tout en étant plus créatif. Le modèle est également moins sujet aux hallucinations et a un ton visant à rendre les conversations plus proches de celles que l’on aurait avec un véritable assistant humain.

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Les deux Mac les plus attendus pour début 2026

Les deux Mac les plus attendus pour 2026 sont les MacBook Air M5 et le MacBook A18.

MacBook Air M5

La génération M5 amène de bien meilleures performances face au M4.
Les MacBook Air sont le cœur de marché des Mac.
Le MacBook Air M5 est donc très attendu.

Je pense que c'est une erreur, le MacBook Air M4 est un excellent produit, aucun besoin d'attendre, et en revanche le MacBook Air M5 avec sa puissance de traitement théorique pourrait ne pas répondre aux attentes, ni même égaler le M4 sur des charges de travail lourdes sur la durée!

Le M5 a un TDP proche de 28W, quand 22W sur le M4.
Si sur le MacBook Pro 14" ventilé activement ça ne pose pas problème, rien n'est moins sûr sur un MacBook Air refroidi passivement: comme avec le M3 on pourrait être très très déçu.

MacBook A18 12" ou 13"

Ce que moi j'attend le plus: un Mac simplifié de différentes manières, avec un SoC équivalent au M1, lequel rempli encore aujourd'hui parfaitement sa fonction, et plus abordable.

Les matériaux, la présentation, l'écran, les microphones et haut-parleurs, les entrées-sorties, et évidemment comparé au MacBook Air M4 (ou futur M5) : il y aura des compromis différents !

Mais ça devrait rester un Mac et dans les usages simples en 16Go/512Go donner toute satisfaction en usage informatique, tout comme un MacBook Air 13" M1 16Go/512Go le fait.
Probablement un écran moins bon, enfin ça serait appelé un excellent écran sur un PC pas cher, microphones et haut parleurs encore moins bons (plus mauvais), et la présentation peut-être cheap.

Puis les entrées-sorties, on se souvient du MacBook 12" et son port (son seul port) USB Type C avec son second port mini-Jack 3.5mm pour casque.
Adaptateur Apple USB Type C -> HDMI + USB + alimentation obligatoire!
Je ne doute pas que Apple remette le couvert, et peut-être même se débarrasse du port pour casque au passage, au nom de la courageuse modernité... Apple a un superbe courage !

Mais en restant un Mac, en étant très abordable et pas mal performant quand-même, qui me suffirait comme machine secondaire. Avec des adaptateurs. Pas un, plusieurs. À payer en sus.
Le prix d'entrée moins cher, les adaptateurs en sus, le chargeur en sus, et un seul port pas si fiable que ça sur la durée...

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Free : des bénéfices records, mais il y a un problème…

Iliad vient de publier ses résultats trimestriels ce mercredi. Si le groupe de Xavier Niel affiche une santé financière insolente avec un objectif de cash-flow relevé pour 2025, la situation commerciale en France est un peu moins brillante. Le recrutement sur le fixe est à l’arrêt total dans l'Hexagone, contrastant avec les succès en Italie et en Pologne.
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Ce que les App Store Awards 2025 disent de notre iPhone

Apple vient de dévoiler la liste des finalistes des App Store Awards 2025 : au total, 45 apps et jeux soigneusement sélectionnés par l’équipe éditoriale d’Apple. Si la firme met en avant leur qualité de design, leur innovation technique et leur impact culturel, cette cuvée 2025 semble axée sur le quotidien : travailler mieux, accompagner tous les jours, créer plus facilement...
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Modifier l'arrière-plan d'une photo sans y passer trois heures : voici Aiarty Image Matting à - 40 % avec mises à jour

Retoucher des photos sur Mac, c'est souvent plus compliqué qu'on ne le voudrait. Détourer un portrait à la main prend un temps fou, et les outils en ligne se perdent dès qu'il y a des cheveux, de la transparence ou une lumière un peu capricieuse. Sans parler du fait qu'on confie ses images à un serveur inconnu.

Aiarty Image Matting travaille différemment. Ce logiciel tourne directement sur votre ordinateur, sans connexion internet requise. Il utilise l'intelligence artificielle pour séparer ce qui compte du reste, que ce soit pour retirer un fond, le flouter ou le remplacer. Pas de compte à créer, pas d'abonnement mensuel qui s'accumule, juste un outil qui fait son travail là où vous en avez besoin. Photo de profil, portrait administratif, visuel produit ou simple cliché iPhone pour les réseaux sociaux : tout passe par le même pipeline.

Une offre Black Friday qui change la donne

Jusqu'à la fin du mois, la licence à vie d'Aiarty Image Matting est proposée à 40% de réduction. Concrètement, vous payez une fois et c'est réglé. Le logiciel s'installe sur trois machines, reçoit toutes les mises à jour futures et ne vous demandera jamais de rallonger la carte bleue.

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Retirer l'arrière-plan, vraiment

Détourer manuellement un sujet, surtout quand il a des cheveux qui volent, du pelage ou des matières semi-transparentes comme du verre ou de la dentelle, c'est le genre de tâche qui finit par vous faire regretter d'avoir ouvert Photoshop. L'intelligence artificielle d'Aiarty analyse l'image et isole automatiquement ce qui doit rester. En quelques secondes, vous obtenez un détourage propre.

Le logiciel gère aussi le traitement par lot. Vous pouvez lui donner des centaines d'images d'un coup et les exporter en résolution 10K. Pratique quand on doit préparer une série de portraits LinkedIn, standardiser des photos produits pour une boutique en ligne, ou créer des visuels administratifs avec un fond uniforme.

Flouter plutôt que supprimer

Parfois, on ne veut pas effacer complètement l'arrière-plan, juste le mettre en retrait. Aiarty Image Matting permet d'adoucir ce qui se trouve derrière le sujet tout en gardant le premier plan net. L'intensité se règle en direct, avec un aperçu immédiat.

Ça fonctionne bien pour les portraits pris avec un iPhone dans des conditions d'éclairage ordinaires, les photos professionnelles où le contexte doit s'effacer, ou les visuels marketing où le produit mérite toute l'attention.

Changer de décor

Remplacer un arrière-plan se fait avec la même logique. Vous pouvez mettre une couleur unie, importer une autre image, ou laisser la transparence intacte pour composer plus tard ailleurs. L'algorithme respecte les bords délicats et les zones semi-transparentes, ce qui évite les raccords grossiers qu'on voit souvent avec des outils plus rudimentaires.

Cette souplesse sert dans plusieurs cas de figure : actualiser des photos de profil professionnel, uniformiser des fonds pour du commerce en ligne, ou réutiliser la même prise de vue dans différents contextes selon le support de diffusion.

Quatre modèles pour quatre approches

Aiarty Image Matting embarque quatre algorithmes distincts, chacun calibré pour un type de situation précis. AlphaStandard V2 constitue le modèle polyvalent, celui qui trouve l'équilibre entre vitesse, netteté des contours et rendu naturel de la luminosité. AlphaEdge privilégie la précision des bordures et convient aux sujets qui demandent des limites franches. EdgeClear conserve les micro-détails comme les cheveux, la fourrure ou les tissus ajourés. SolidMat produit des masques denses pour les objets opaques ou les compositions simples.

Choisir le bon modèle en fonction de ce qu'on photographie fait la différence entre un résultat qui passe inaperçu et un rendu qui trahit le montage.

Les petits plus qui comptent

Au-delà du détourage de base, le logiciel propose quelques outils annexes qui évitent de jongler entre plusieurs applications. On peut affiner les contours avec des pinceaux et des gommes, ajuster la transparence alpha, inverser le masque ou moduler les transitions. L'export grimpe jusqu'à 10K de résolution sans perte de qualité, et le traitement par lot accepte jusqu'à 3000 images en une seule passe. Rotation, recadrage, réduction du bruit et du flou : tout se règle dans la même interface.

Et puisque tout fonctionne hors ligne, vos images restent sur votre disque dur. Pas de transit par des serveurs tiers, pas de questions à se poser sur ce qui advient de vos données. Le logiciel tourne aussi bien sur Mac que sur Windows.

Aiarty Image Matting s'intègre dans un flux de travail Mac classique et traite directement les photos iPhone ou reflex. En regroupant suppression, floutage et remplacement d'arrière-plan dans un seul outil, il réduit des heures de bidouillage manuel à quelques minutes de paramétrage. Que ce soit pour des portraits personnels, des images professionnelles, de la photographie produit ou des projets créatifs, le logiciel fait ce qu'on lui demande sans faire de chichis.

L'offre Black Friday en détail

La licence à vie est disponible avec 40 % de réduction, ce qui en fait le tarif le plus bas de l'année. Toutes les évolutions futures sont incluses, sans frais supplémentaires ni renouvellement caché. De quoi simplifier la retouche photo sur Mac sans se ruiner ni s'abonner à perpétuité.

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Éclairage des bords : coup d'œil sur l'anneau lumineux de macOS 26.2

macOS 26.2 va apporter une nouveauté intéressante pour les adeptes des visioconférences : un anneau lumineux (ou ring light) pouvant être activé lorsque la webcam est allumée. Cette option baptisée Éclairage des bords est à aller chercher dans la barre des menus, en cliquant sur l’icône verte en forme de caméra.

Vidéo MacGeneration

Cela a pour effet de faire apparaître une bande sur les bordures du Mac, imitant le style d’un ring light. On peut l’ajuster depuis la barre des menus : il est possible de la rendre plus épaisse, mais aussi de la faire tirer vers le jaune ou le bleu. L’idée est d'offrir un meilleur rendu dans les pièces moins éclairées. La nouveauté n’est proposée que sur les machines Apple Silicon, et fonctionne sur toutes les apps activant la webcam.

Apple explique que le Neural Engine du Mac est capable de détecter votre visage, sa taille et son emplacement dans le cadre afin de positionner la lumière de manière appropriée. Celle-ci peut également s’activer sur un écran tiers. La bordure lumineuse s’évapore lorsque votre curseur s’en approche, par exemple pour montrer une icône qu’elle recouvre dans le dock.

Les propriétaires d’un Mac datant de 2024 ou plus récents auront droit à un petit avantage : la fonction peut s’activer toute seule quand l’éclairage ambiant est trop faible. Ici aussi, l’option s’active depuis la barre des menus. Est-ce efficace ? Je n’ai pas remarqué de différence dans un environnement faiblement éclairé sur mon MacBook Air M1. On note du mieux quand on est quasiment dans le noir, mais il y a fort à parier que vous irez allumer la lumière pour faire une visio. La technologie est plus adaptée aux MacBook Pro à écran mini-LED, et sera sans doute très efficace sur le futur MacBook Pro OLED que voient arriver les rumeurs.

Image MacGeneration

Bref, c’est une nouveauté rigolote, mais loin d'être indispensable. Apple a amélioré la qualité des webcams de ses Mac au fil du temps, même le MacBook Air embarquant désormais une caméra 12 Mpx avec Cadre centré donnant un bien meilleur rendu qu’auparavant. Pour les visios importantes, il sera probablement plus judicieux d’utiliser votre iPhone comme webcam grâce à Continuité avant de réquisitionner une lampe de chevet. Sinon, un accessoire comme la Litra Glow de Logitech pourra facilement améliorer votre qualité d’image.

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iPhone 17 : la puce Apple N1 propulse les performances Wi-Fi

Apple fait une entrée plus que réussie dans le monde des puces Wi-Fi. D’après les mesures recueillies par Ookla via le service Speedtest, sa puce maison N1 améliore significativement les performances des iPhone 17 et iPhone Air par rapport aux iPhone 16 équipés en Broadcom. En réception comme en envoi, les débits progressent nettement, et ce dans tous les pays étudiés. À l’échelle mondiale, l’avantage tourne jusqu’à 40 % en faveur de la nouvelle puce.

Comparés aux smartphones Android, les iPhone 17 sont dans un mouchoir de poche avec les Pixel 10 de Google (puce Broadcom), les meilleurs toutes catégories confondues. Le Pixel 10 Pro a enregistré la vitesse de téléchargement médiane la plus élevée au monde, à 353 Mbit/s, devançant de peu la gamme iPhone 17 à 329 Mbit/s.

Sur le papier, l’affaire n’était pourtant pas gagnée pour Apple. Comme sur les iPhone 16, le Wi-Fi 7 des iPhone 17/Air est limité à des canaux de 160 MHz, quand Qualcomm ou MediaTek proposent des puces capables de tirer parti de canaux 320 MHz. En théorie, cette limitation technique réduit largement les débits de pointe. Mais les données collectées par Ookla montrent que cette caractéristique n’a que peu d’effet sur les performances réelles pour l’instant.

« Cela explique peut-être aussi pourquoi Apple a choisi de ne pas intégrer cette fonctionnalité au N1, même si le gain de performance offert par une puce compatible 320 MHz est susceptible de croître avec la maturation de l'écosystème Wi-Fi, faisant de cette fonctionnalité un atout pour l'avenir des smartphones Android haut de gamme qui en sont équipés », observe le spécialiste des connexions. On espère maintenant que la puce N1 trouvera vite sa place dans d'autres produits, au contraire du MacBook Pro M5 qui est passé à côté et qui doit se cantonner au Wi-Fi 6E.

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pCloud : -60% sur les offres Cloud 3en1 et tous les plans à vie individuels

La société suisse pCloud vous propose à l'occasion du Black Friday jusqu'à 60 % de réduction sur le pack 3en1 exclusif et tous les plans à vie individuels. Pack pCloud 3en1 en édition limitée exclusive incluant 5 To de stockage, pCloud Encryption à vie et pCloud Pass à vie avec 60 % de réduction !
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