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Les promotions sur les casques Beats reviennent, presque aux tarifs du Black Friday
Pendant le Black Friday, Amazon avait proposé de très grosses promotions sur les casques de Beats, avec des réductions qui dépassaient 50 %. Et les promotions reviennent aujourd'hui, avec (presque) les mêmes prix.
Le premier est le casque Beats Studio Pro. Il est à 200 € au lieu de 400 €, une très belle réduction. Ce casque haut de gamme avec réduction de bruit est très efficace, peut fonctionner en filaire en USB-C et existe en de nombreuses couleurs.

Test du Beats Studio Pro, le casque Apple qui cible un peu trop Android
Pour un tarif beaucoup plus doux — 120 € au lieu de 230 € —, le Solo 4 est un bon casque audio sans fil. Il n'a pas de réduction de bruit active, mais bien les intégrations intéressantes des produits Beats dans la plateforme Apple, tout en gardant une compatibilité Android.

Test du Beats Solo 4 : un excellent casque… pour 2019
Si vous préférez les écouteurs, il y a de nombreux modèles en promotion. Les Studio Buds+ sont à moitié prix : 100 € au lieu de 200 €. La version transparente n'est malheureusement pas en promotion.

Test des Studio Buds + : Beats met les choses au clair
Les Solo Buds, en entrée de gamme, sont à 50 € au lieu de 90 €, un prix vraiment faible pour des écouteurs sans fil de bonne qualité.

Test des Beats Solo Buds : des écouteurs qui se fondent dans la poche
Pour le sport et les petits budgets, les Beats Flex sont à 45 € au lieu de 90 €. Ils ont un fil qui relie les deux écouteurs, mais se connectent tout de même en Bluetooth.

Test des Beats Flex
Les récents Beats Powerbeats Pro 2, qui intègrent un capteur cardiaque comme les AirPods Pro 3, sont à 200 € en orange ou en bleu (210 € pour les autres couleurs), au lieu de 300 €.

Test des Powerbeats Pro 2 : réduction de bruit sur fond de rythme cardiaque
Enfin, l'enceinte Beats Pill (USB-C) est à 100 € au lieu de 170 €. C'est une enceinte efficace en Bluetooth, avec une excellente autonomie.

Test de la Beats Pill : une enceinte qui a du cachet
Nouvelles spéculations sur la succession de Tim Cook… et sur sa santé
Qui remplacera Tim Cook ? La question revient de plus en plus souvent, nourrie par les rumeurs de la presse américaine et les départs en cascade de cadres. The Information apporte de l’eau au moulin, en dévoilant de manière surprenante des éléments très personnels sur le CEO d’Apple.

Alors que Bloomberg contredisait récemment le Financial Times sur un départ imminent, The Information suggère que celui qui est aux commandes d’Apple depuis quinze ans commence à fatiguer. Difficile de ne pas l’être en enchaînant toute l’année les voyages à travers le monde, pour des rendez-vous plus ou moins réjouissants.
Selon les sources du média d’investigation, Tim Cook, qui a aujourd’hui 65 ans, a changé dernièrement quelques-unes de ses habitudes. Il ne se lèverait plus à 4 heures du matin tous les jours pour faire une séance de sport aux aurores. Il aurait aussi acheté une luxueuse maison près de Palm Springs, en Californie, pas très loin d’Eddy Cue, après des années passées en tant que « simple » locataire.
The Information va même jusqu’à interroger l’état de santé du patron d’Apple. Des personnes l’ayant côtoyé ces derniers mois auraient remarqué un léger tremblement de ses mains, écrivent les journalistes Aaron Tilley et Wayne Ma, en ajoutant immédiatement que ce n’est pas forcément un signe alarmant. Mais ils appuient tout de même leurs dires en pointant la remise tremblotante du cadeau doré à Donald Trump à la Maison-Blanche l’été dernier.
Alors qui pourrait prendre son fauteuil le moment venu ? John Ternus semble tenir la corde. Après avoir gravi patiemment les échelons, l’actuel responsable de l’ingénierie matérielle est loué pour son calme, son intelligence émotionnelle et son sens des responsabilités. Il avait notamment assumé l’échec des claviers papillon, quand d’autres n’ont pas toujours reconnu leurs torts.
Mais des éléments pourraient jouer contre lui, selon The Information. En interne, certains lui reprochent de ne pas avoir le charisme d’un Steve Jobs. Il serait aussi peu impliqué dans les dossiers géopolitiques et réglementaires qui occupent aujourd’hui une grande partie de l’agenda du big boss. On aurait pu faire toutefois les mêmes reproches à Tim Cook avant son entrée en poste, ce qui ne l’a pas empêché de bien mener la barque.
L’hypothèse Craig Federighi est également avancée. Populaire auprès des fans d’Apple, le patron de l’ingénierie logicielle, 56 ans, ne serait toutefois pas particulièrement intéressé par le job de CEO.
Enfin, The Information cite un nom plus inattendu : Tony Fadell. Le co-inventeur de l’iPod aurait récemment confié à des proches qu’il se verrait bien succéder à Cook. Son arrivée pourrait, selon certains anciens cadres, insuffler un nouvel élan à Apple grâce à un profil plus entrepreneurial et centré sur le produit. Fadell a aussi cofondé Nest, vendue à Google en 2014. Le média tempère néanmoins cette indiscrétion (pilotée ?) en ajoutant que d’autres personnes proches d'Apple considèrent Fadell comme un candidat improbable, notamment en raison de son passé mouvementé au sein de l’entreprise. Les rumeurs n’ont pas fini…
Le design des iPhone est une calamité
L'iPhone avec le meilleur design a été pour moi l'iPhone 5c...
Les iPhone sont tous très biens finis, avec de beaux matériaux, et leur présentation par Apple fait toujours plaisir.
Sauf qu'ils ne sont pas fait pour être utilisé tels-que!
Le dos est en verre, facilement cassable, pas dans un matériaux dur ni encore moins un plastique absorbant l'énergie des chocs. Il faut donc le protéger avec une coque !
Perdant au passage la bataille des arguments sur la légèreté relative et de la finesse, sans parler de celle du look ou du choix des couleurs, excepté avec une coque transparente non proposée par Apple.
La face avant est un grand écran, qui se raye pas mal facilement en sus de se casser, donc qui nécessite une protection là-aussi, et qui dans le cas de l'iPhone 17 fait perdre sa nouvelle qualité: la réflectivité limité de la lumière.
Évidemment l'iPhone Air ne se conçoit pas sans une grosse batterie accolée, lui faisant perdre là aussi tout intérêt.
Intérêt très théorique puisque si vous mettez ça dans une poche, même sans batterie ni protection, vous allez bien sentir la protubérance, et non ça n'est pas l'émotion de l'instant!
Pourrait-on voir des iPhone adaptés aux usages quotidiens, tels-que: non amochés, non agrandis et non alourdis?
Netflix s'offre Warner Bros pour la somme de 82,7 milliards de dollars
Netflix a annoncé avoir conclus un accord pour racheter le studio Warner Bros et ses contenus pour la somme de 82,7 milliards de dollars.
Avec ces contenus la société va étoffer considérablement son offre de contenus alors que la concurrence fait rage dans le secteur du streaming vidéo.
Amazon et Disney on déjà eux aussi racheté nombre de sociétés. Apple fidèle à elle-même ne fait pas ce genre de choses mais préfère développer sa propre offre.
Apple fait son show en Corée pour montrer des jeux vidéo
Depuis quelques années, à chaque keynote, Apple montre des jeux à gros budgets (ce qu'on appelle des AAA) qui ont été portés sur Mac ou iPhone. Et même si les ventes ne semblent pas nécessairement suivre, la société continue à pousser ce sujet. Il y a quelques jours, Apple a par exemple organisé un « Apple Game Showcase » à Séoul, en Corée du Sud.

La marque montrait des iPhone, des iPad et des Mac, en partenariat avec des développeurs locaux. On pouvait voir Netmarble (spécialisé dans les jeux mobiles, notamment sous licence), Devsisters (CookieRun), Com2uS (la série Summoners War), Krafton — PUBG: Battlegrounds, inZOI, Hi-Fi Rush, etc. — ou NCSoft.
Les développeurs présents ont notamment expliqué que les appareils d'Apple avaient l'avantage d'être très stables dans le temps (une des nouveautés de l'iPhone 17 Pro avec sa chambre à vapeur). Ceux à l'origine de inZOI, une sorte de Sims avec des graphismes de très bonne qualité, expliquaient aussi que l'iMac ou le Mac mini offrent d'excellentes performances.
Apple améliore peu à peu ses puces
Si nous mettons de côté les problèmes ergonomiques (qui peuvent être réglés avec des manettes) et financiers — un iPhone 17 Pro est plus cher que plusieurs PlayStation 5 —, les différentes évolutions des puces Apple vont dans le bon sens. La marque a ajouté le ray tracing, des optimisations pour les jeux vidéo, des unités pour l'IA qui permettent d'améliorer la qualité de l'image, etc. Et un iPhone moderne est aussi rapide qu'une puce M1… et que certains GPU d'entrée de gamme.

Le principal problème actuel, dans un sens, est toujours le choix d'imposer Metal… et uniquement Metal. Car même s'il existe des solutions libres pour adapter les jeux pensés pour Windows (et DirectX 12), il y a un gros problème : elles reposent généralement sur Vulkan, l'API qui a succédé à OpenGL. Et Apple n'a malheureusement pas décidé de proposer une compatibilité avec cette API.
Mais peut-être que l'arrivée du Steam Frame, un casque de réalité virtuelle autonome, va permettre de changer les choses. Valve affirme que son casque équipé d'un système sur puce ARM (un Qualcomm Snapdragon 8 Gen 3) peut exécuter des jeux PC et il est donc possible que les couches d'émulation de Valve se retrouvent un jour dans nos appareils.
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Les AirPods 4 en promo à leur prix le plus bas : une bonne idée cadeau !
Cette mini liseuse e-ink se colle à votre iPhone grâce au MagSafe !
Téhéran est de retour sur Apple TV (avec le Dr House en invité)
X sanctionné par Bruxelles : amende de 120 millions d’euros pour non-respect du DSA
Cela pendait au nez d’Elon Musk : X vient d’écoper d’une amende de 120 millions d’euros dans le cadre du DSA. Après deux ans d’enquête, la Commission européenne estime que le réseau social enfreint plusieurs dispositions du règlement sur les services numériques.

Premier grief : la coche bleue attribuée aux « comptes vérifiés ». Contrairement à l’ancien système de certification de Twitter, n’importe qui peut désormais obtenir ce badge en payant, sans véritable vérification de l’identité. D’après Bruxelles, cela empêche les utilisateurs d’évaluer clairement l’authenticité des comptes et des contenus, et les expose à des escroqueries. Le DSA n’impose pas la vérification des utilisateurs, mais il interdit aux plateformes de prétendre faussement que ceux-ci ont été vérifiés.
La Commission reproche aussi à X son manque de transparence : le répertoire public des publicités ne respecte pas les critères du DSA et la plateforme ne permet pas aux chercheurs d’exploiter ses données publiques. Bruxelles avait déjà alerté la société d’Elon Musk l’an dernier. Faute de réponse et de coopération, elle a décidé de sanctionner.
Si le montant de l’amende peut sembler modeste, « il est proportionné aux infractions [et] coûte beaucoup plus cher au réseau X que s’il appliquait les règles », affirme un fonctionnaire européen au journal Le Monde. X a maintenant 60 jours pour présenter des mesures corrigeant son badge de certification et 30 de plus concernant le répertoire publicitaire et l’accès aux chercheurs.
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Elon Musk ne va pas aimer : la sanction de l'Europe contre X vient de tomber et elle est colossale
Les AirPods 4 en promotion au prix du Black Friday, dès 109 €
Les AirPods 4 sont encore en promotion, et Amazon propose la même réduction que pendant le Black Friday. Pour la version classique, sans réduction de bruit, vous ne devrez débourser que 109 € pour les écouteurs sans fil d'Apple. C'est 40 € de moins que le prix conseillé, une belle réduction qui n'est pas si courante sur les AirPods.

Test des AirPods 4 : double dose de confort
La version avec réduction de bruit, qui va taquiner les premiers AirPods Pro dans ce domaine, est à 170 € au lieu de 200 €. Elle est intéressante pour ceux qui n'aiment pas les intra-auriculaires : les écouteurs ne bloquent pas le conduit auditif, tout en offrant tout de même une réduction de bruit correcte.

Qu'utilisez-vous comme enceinte(s) sur votre bureau avec votre Mac ?
Dans la majorité des cas, quand nous testons des moniteurs avec des enceintes intégrées, elles sont médiocres et la seule société qui semble s'intéresser à ce sujet est Apple (tant sur le Studio Display que sur les iMac). De même, une bonne partie des enceintes d'entrée de gamme offre des résultats assez mauvais, souvent loin derrière les haut-parleurs intégrés dans les Mac. Nous avons donc une question : qu'utilisez-vous comme enceintes sur votre bureau ? Si vous avez un moniteur avec des enceintes correctes, c'est le moment de l'indiquer dans les commentaires.

Premier revers pour le mystérieux produit IA de Sam Altman et Jony Ive !
C'est officiel, Netflix rachète Warner Bros pour 83 milliards de dollars (HBO, Harry Potter, etc.)
L'AV1 représente 30 % des vidéos lues sur Netflix (mais probablement pas chez Apple)
Quand vous regardez une vidéo en streaming, vous n'avez probablement aucune idée du codec employé1. Et pourtant, il a de l'importance. Netflix vient d'annoncer, dans un billet de blog, que l'AV1 est utilisé dans environ 30 % des vidéos lues sur le service.

Historiquement, Netflix se repose évidemment sur le H.264, et c'est logique : il est bien pris en charge depuis une vingtaine d'années dans le monde informatique. Mais avec le temps, il a été remplacé par le H.265 (HEVC) et l'AV1. Le code open source a d'abord été employé dans un cas précis chez Netflix : pour les smartphones Android, dès 2020. Le codec AV1 permet de réduire la bande passante à qualité identique et est donc parfait pour de la vidéo en basse définition destinée à des appareils qui ont des abonnements limités sur la quantité de données. Grâce au décodeur dav1d, il est parfaitement possible de se reposer sur un décodage logiciel dans ce cas de figure.
dav1d, le décodeur AV1 le plus optimisé qu'Apple refuse d'utiliser
Netflix a ensuite étendu l'usage de l'AV1 aux téléviseurs (en 2021), aux navigateurs (en 2022) et aux appareils Apple (en 2023). Dans le cas d'Apple, justement, il est possible que Netflix ne vous envoie jamais d'AV1 : la société n'a pas intégré de décodeur logiciel dans ses systèmes d'exploitation (certaines apps peuvent intégrer dav1d) et le décodage matériel n'est apparu qu'avec les puces A17 Pro et M3. Il faut donc un iPhone, un iPad ou un Mac assez récent pour en profiter. Les appareils qui n'ont pas la bonne puce — ce qui inclut tous les modèles d'Apple TV — ne reçoivent pas d'AV1.

Dans le post de blog, la société explique que l'AV1 permet une meilleure qualité d'image (avec des tests normalisés) par rapport au H.264 et au H.265, mais qu'il permet aussi de réduire les interruptions si vous avez une connexion un peu limitée. Le codec est aussi important dans le domaine de l'écologie : il réduit l'usage du réseau et permet d'améliorer l'efficience des serveurs de Netflix. C'est assez simple à comprendre : avec une capacité en sortie fixe (par exemple 10 Gb/s), un serveur peut envoyer plus de flux vidéo en AV1 que de flux en H.264.
Le passage à l'AV1 a aussi permis la mise en place de la norme HDR10+ pour ses contenus et d'optimisations sur la présence du grain dans les vieilles vidéos.
Parfait pour la vidéo en direct
Ils expliquent aussi que l'AV1 est intéressant dans le monde de la diffusion en direct. D'abord pour ses qualités intrinsèques qui permettent de servir plus de clients avec la même bande passante, mais aussi parce que le codec permet plus facilement l'intégration d'images en surimpression que d'autres codecs. Il est possible d'intégrer en amont des choses comme les publicités ou les scores, alors qu'il faut a priori gérer ça du côté du client avec d'autres codecs. C'est aussi une solution efficace pour le cloud gaming.

Enfin, la dernière partie est un tacle implicite pour Apple : 88 % des appareils certifiés Netflix sortis entre 2021 et 2025 prennent en charge l'AV1. C'est-à-dire la majorité du marché… sauf une partie de la gamme Apple actuelle. Si tous les iPhone sont compatibles, ce n'est ni le cas des Mac (le Mac Pro est encore sur une puce M2) ni des iPad. Le modèle le moins cher de la gamme est encore animé par une puce A16, qui ne décode pas matériellement l'AV1. Et il y a bien évidemment l'éléphant au milieu de la pièce quand on parle de Netflix : l'Apple TV et son système sur puce A15. Une absence réellement gênante, tant l'AV1 offre des avantages évidents.
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Sur YouTube, l'option pour le vérifier s'appelle Stats pour les nerds. ↩︎
Un satellite capture la première image détaillée d'un tsunami géant depuis l'espace
Amazon brade le Beats Studio Pro à moitié prix : une bonne idée cadeau !
Netflix veut s’offrir Warner Bros (Game of Thrones, Harry Potter...) !
30 % de réduction sur un écran OLED 4K LG de 32 pouces
Le LG UltraGear 32GX850A est en promotion sur Amazon, à 704 € au lieu de 1 000 €. Si c'est un moniteur pensé pour les joueurs, la dalle OLED qui permet des noirs profonds est un avantage aussi pour ceux qui travaillent et regardent des vidéos, pas uniquement pour les gamers.

Il possède une dalle de 32 pouces 4K (3 840 x 2 160) capable d'atteindre 165 Hz, une valeur élevée. Si vous aimez les gros pixels, il est même possible de passer en 1080p à 330 Hz, une fonction surtout utile dans certains jeux rapides. Comme beaucoup de moniteurs OLED informatiques, la luminosité maximale peut sembler faible (275 nits) mais rappelons que les recommandations classiques sont de l'ordre de 150 à 180 nits, et que le contraste élevé pallie un peu ce défaut. Par ailleurs, c'est un choix qui est dicté par une contrainte matérielle : éviter le marquage de la dalle. Il est tout de même compatible HDR10, mais avec une valeur maximale trop faible pour que ce soit réellement utile (DisplayHDR 400).

Pour les utilisateurs de Mac, attention, il nécessite un modèle avec une sortie vidéo HDMI (certains MacBook Pro, Mac mini, etc.) ou un adaptateur USB-C. En effet, il propose une entrée DisplayPort (1.4) et deux entrées HDMI, mais pas d'USB-C. Mais c'est un défaut mineur compte tenu des avantages d'une dalle OLED. Enfin, il n'a pas de haut-parleurs mais intègre une sortie jack 3,5 mm pour récupérer le son transmis via l'entrée. Mais personne ne s'en plaindra, tant les enceintes sont habituellement médiocres dans les moniteurs1.

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Sauf chez Apple. ↩︎
Netflix achète les studios, films et séries de Warner Bros. et HBO pour 82,7 milliards de dollars
Mise à jour le 05 décembre 2025 à 13h28
Ce n’était pas une question de jours, mais d’heures ! Netflix va acquérir Warner Bros. pour 82,7 milliards de dollars, comme l’entreprise l’a annoncé sur son site. Les deux entreprises ont trouvé un accord pour une acquisition sur la base de 27,75 $ par action Warner Bros. Discovery, à hauteur de 23,25 $ en argent et 4,5 $ en actions Netflix. L’acquisition n’aura pas lieu avant la vente de la partie télévision en direct, qui doit se faire au troisième trimestre 2026. Autrement dit, l’opération ne sera pas finalisée avant la fin de l’année prochaine, sous réserve que le nouvel acquéreur obtienne les opérations nécessaires.
Dans son communiqué de presse, Netflix tente de rassurer Hollywood en promettant de maintenir les activités de Warner Bros., y compris les sorties de ses films au cinéma. La collection de films et séries de Netflix sera enrichie par ceux de Warner Bros., y compris le prestigieux catalogue de HBO. Le service de streaming ajoute que sa capacité à produire des contenus sur le sol américain sera plus grande encore, grâce à l’achat des studios de Warner Bros. Reste à savoir si ce sera suffisant pour rassurer le monde du cinéma américain… et plus encore, les autorités en charge du respect de la concurrence, qui scruteront probablement ce nouvel acteur de très près.
Ted Sarandos, co-CEO de Netflix, insiste sur les contenus avant tout et met en avant ce qui s’annonce comme un impressionnant catalogue de films et séries :
Notre mission a toujours été de divertir le monde. En combinant l’incroyable catalogue de séries et de films de Warner Bros — des classiques intemporels comme Casablanca et Citizen Kane aux succès plus récents comme Harry Potter et Friends — avec nos titres qui façonnent la culture, tels que Stranger Things, KPop Demon Hunters et Squid Game, nous pourrons le faire encore mieux. Ensemble, nous pouvons offrir davantage de ce que le public aime et contribuer à définir le prochain siècle de narration.
Même son de cloche pour son homologue chez Warner Bros. Discovery. David Zaslav évoque les contenus, rien que les contenus :
L’annonce d’aujourd’hui réunit deux des plus grandes entreprises de narration au monde pour offrir à encore plus de personnes les contenus qu’elles aiment le plus regarder. Depuis plus d’un siècle, Warner Bros. émerveille les publics, capte l’attention du monde et façonne notre culture. En nous associant à Netflix, nous garantirons que les histoires les plus marquantes au monde continueront d’être appréciées, partout et pour les générations à venir.
Article original
Warner Bros. est à vendre et d’après les dernières rumeurs, Netflix pourrait bien être l’heureux acquéreur. Bloomberg puis Variety ont indiqué tout à tour que les négociations seraient entrées dans une nouvelle phase, avec des échanges exclusifs entre les deux entreprises. Le numéro un du streaming voudrait récupérer le célèbre studio Warner Bros. et surtout son immense catalogue et toutes les juteuses licences associées, ainsi que le service concurrent HBO Max et surtout l’impressionnante collection de séries HBO. Ce serait la plus grosse acquisition de l’histoire de Netflix et la naissance d’un géant de l’industrie, ce qui pourrait d’ailleurs faire tiquer les autorités autour de la question de la concurrence.
C’est d’ailleurs probablement ce qui a permis à Netflix de sortir du lot face à ses concurrents, parmi lesquels on aurait compté Apple à une époque si l’on en croit des rumeurs. D’après Bloomberg, le service de streaming aurait proposé cinq milliards de dollars à Warner Bros., même si les autorités compétentes bloquent l’opération. La somme proposée si l’acquisition peut se faire n’est pas encore connue, mais pour vous donner une idée, la valorisation boursière de Warner Bros. était estimée à 60 milliards de dollars avant la vente en cours. L’acheteur aurait largement de quoi payer, puisque la capitalisation de Netflix dépasse aujourd’hui les 437 milliards de dollars.
Le service de streaming ne serait pas intéressé par tout ce qui concerne la télévision traditionnelle, si bien que toutes les chaînes qui appartiennent à Warner Bros. (CNN, TBS…) seraient vendues à part à une autre entreprise. Peut-être Paramount, qui était l’autre acteur le plus engagé dans les négociations et qui a même accusé son concurrent en début de semaine de faire jouer des relations personnelles pour obtenir les faveurs de Warner Bros. Dans l’équation, il faut aussi tenir compte de l’administration américaine, qui sera probablement plus favorable à un Paramount dirigé par David Ellison, proche de Trump, qu’à un Netflix régulièrement critiqué pour ses positions plus modernes.
Au-delà de la politique, Netflix deviendrait d’un seul coup l’un des plus gros acteurs à Hollywood et des inquiétudes apparaissent déjà dans le milieu. Est-ce que le nouveau propriétaire compte toujours sortir les films gérés par Warner Bros. dans les salles de cinéma ? Le manque de concurrence inquiéterait aussi tous les professionnels du milieu, scénaristes, producteurs et même acteurs. Bref, c’est loin d’être gagné, mais les deux rumeurs concordantes du jour semblent indiquer que Netflix pourrait emporter la bataille.
Netflix très avancé dans le rachat de Warner Bros.
Bloomberg suggère qu’une annonce pourrait être faite dans les prochains jours, alors on en saura peut-être plus très rapidement.