Jeff Williams a cédé son poste de directeur de l'exploitation d'Apple à Sabih Khan en juillet dernier, et a finalement quitté Cupertino à la mi-novembre. À 62 ans, il avait déclaré vouloir passer plus de temps avec ses proches... mais il ne sera pas tout à fait retraité pour autant : on...
ASUS vient de lever le voile sur un nouveau moniteur gaming qui promet de séduire les joueurs exigeants. Le ROG Strix XG27JCG mise sur un concept dual-mode original pour offrir le meilleur des deux mondes : définition 5K ou réactivité extrême.
L'administration Trump veut obliger les voyageurs exemptés de visa à fournir l'intégralité de leur activité sur les réseaux sociaux des cinq dernières années. La mesure concerne 42 pays dont la France, et pourrait entrer en vigueur sous 60 jours.
Ugreen lance le LinkStation, un boîtier externe pour carte graphique équipé d'une alimentation 850W certifiée Gold. Compatible OCuLink et USB4, il peut accueillir les GPU jusqu'à 370 mm de long, dont la RTX 5090. Le dock est vendu 2 299 yuans en Chine, soit environ 300 euros.
Le secrétaire d'État américain Marco Rubio vient d'ordonner le retour à la police Times New Roman pour toutes les correspondances officielles du Département d'État. Exit Calibri, jugée trop informelle et associée aux initiatives de diversité de l'administration Biden.
Chantre autoproclamé de la liberté d’expression, l’administration Trump envisage de contrôler les contenus publiés sur les réseaux sociaux par les touristes exemptés de visa qui entrent sur son territoire. Cette mesure viserait les ressortissants de 42 pays, dont la France, rapporte le New York Times. La proposition émane du service américain des douanes et doit d’abord être soumise à une consultation publique de 60 jours. Elle sera ensuite transmise à la Maison-Blanche pour validation.
Ce n’est pas la première fois que les États-Unis s’intéressent aux activités sur les réseaux sociaux des voyageurs étrangers. Dès 2016, des champs pour remplir les pseudos utilisés sont apparus sur un formulaire, mais cette information restait facultative.
Les douanes souhaitent désormais rendre cette déclaration obligatoire. Si la mesure est adoptée, les visiteurs devront communiquer l’ensemble de leurs comptes sociaux utilisés au cours des cinq dernières années. Les agents pourraient alors consulter les publications avant d’autoriser ou non l’entrée sur le territoire.
Le changement concerne les ressortissants des pays bénéficiant du Visa Waiver Program, qui permet de voyager aux États-Unis pendant 90 jours sans visa, à condition d’obtenir au préalable une autorisation de voyage électronique (ESTA). Sont concernés la France, le Royaume-Uni, l’Allemagne, l’Australie, Israël et le Japon, entre autres. Ce changement pourrait intervenir alors que les États-Unis vont accueillir des centaines de milliers de supporters mi-2026 pour la Coupe du monde de football.
Pour Sophia Cope, qui représente l’Electronic Frontier Foundation, cette obligation constituerait « une atteinte accrue aux libertés civiles ». Selon elle, la surveillance systématique des réseaux sociaux « n’a pas démontré son efficacité pour identifier des terroristes ou d’autres individus dangereux », mais restreint au contraire la liberté d’expression et porte atteinte à la vie privée « de voyageurs innocents et de leurs proches. »
Manifestement, Homey n’a pas reçu le mémo sur l’augmentation vertigineuse du prix de la mémoire vive. Ce spécialiste de la domotique qui propose une solution similaire à Home Assistant, mais en version fermée, et qui appartient à LG a en effet annoncé l’arrivée d’une nouvelle version de son boîtier Homey Pro. Le prix reste le même qu’aujourd’hui, soit 399 €, avec deux fois plus de RAM, soit 4 Go au lieu de 2 jusqu’à maintenant.
Le doublement de la RAM est annoncé sur la page du Homey Pro. Capture site Homey, image iGeneration.
À quasiment 400 €, le Homey Pro était un appareil déjà particulièrement coûteux, alors qu’il embarque des composants assez légers. À l’intérieur du bloc noir, on retrouve un ordinateur avec quatre cœurs ARMv8 à 1,5 GHz, ce qui trahit la présence de l’équivalent d’un Raspberry Pi 4 (c’est en réalité un Compute Module 4), associé à 8 Go seulement de stockage eMMC. Le doublement de la mémoire vive ne sera pas de trop, les 2 Go étaient certainement un peu légers pour faire tourner des installations de domotique complexes.
Malgré tout, ce n’est pas courant en cette fin de 2025 de pouvoir évoquer une augmentation de RAM sans l’associer à une hausse des prix. C’est probablement l’un des avantages de pouvoir compter sur la force de frappe d’une entreprise comme LG, on imagine que cela aurait plus compliqué si Homey était restée une entreprise indépendante. Tant mieux pour les nouveaux clients, sachant que cette mise à jour du Homey Pro semble disponible sur le site du fabricant. Si les frais de port vers la France sont inclus, c’est heureux à 399 €, on peut regretter l’absence de toute autre mise à jour matérielle.
En effet, le Homey Pro n’intègre toujours qu’une connectique limitée à son alimentation et il repose uniquement sur du Wi-Fi. Cela peut fonctionner, mais le centre de la domotique gagnera à être connecté en Ethernet pour plus de stabilité. Même en 2026, ce sera possible à condition d’ajouter un adaptateur vendu 29 € de plus, c’est un peu mesquin. C’est d’autant plus étrange que le plus récent boîtier Homey Pro Mini, qui vient d’ailleurs de sortir en Europe, intègre bien une prise Ethernet, lui.
Homey est une solution de domotique complète, qui peut remplacer Maison et HomeKit d’Apple. Vous pourrez y connecter vos appareils, les contrôler depuis une interface dédiée ou encore les automatiser avec les outils fournis. Le boîtier Homey Pro intègre tout le matériel pour gérer les appareils Bluetooth, Zigbee, Thread, Z-Wave, infrarouge et même ceux qui communiquent en 433 MHz, ce qui est notamment le cas du RTS qui a longtemps été utilisé par Somfy. Contrairement à Home Assistant, ce n’est pas une solution open-source, mais elle bénéficie elle aussi d’une grande communauté d’utilisateurs.
L’Apple Watch n’est plus seulement un capteur d’activité ; elle devient peu à peu un outil de recherche médicale à grande échelle. Une nouvelle étude menée par des chercheurs du MIT et d’Empirical Health démontre qu’un modèle d’intelligence artificielle entraîné sur 3 millions de jours de données issues de l’Apple Watch peut prédire plusieurs pathologies avec une précision jugée remarquable.
Invité du podcast de son ex-conseillère Katie Miller, Elon Musk a répondu à une question théorique : que ferait-il s'il devait repartir de zéro avec 1000 $ ? Sa réponse, jugeant le scénario impossible, montre une vision singulière de sa propre valeur, loin de ses déboires récents au gouvernement.
C'est un vrai jeu du chat et de la souris. Après l'iPhone 17 et l'iPhone 17 Pro Max qui étaient tous deux difficiles à trouver jusqu'à la mi-novembre, le FP300 d'Aqara est sans doute le produit high-tech qui se fait le plus désirer en cette fin d'année. Il y a deux jours à peine, le produit était de nouveau en stock, avant de retomber en rupture au bout de quelques heures seulement.
Une disponibilité en pointillé
Victime de son succès lors de son lancement le mois dernier, le FP300 avait rapidement disparu des rayons, laissant bon nombre de personnes sur leur faim. Bonne nouvelle pour les retardataires (et les plus réactifs) : ce détecteur de présence nouvelle génération fait une timide réapparition.
Si vous aviez raté le coche en novembre ou lors du réassort éclair d'il y a deux jours, c’est le moment ou jamais. Le produit est affiché à son prix public de 49,99 €.
Une petite révolution sur piles
Pourquoi un tel engouement pour un simple capteur ? Pour rappel, le FP300 est une petite révolution dans le monde de la domotique grand public. C'est le tout premier accessoire à combiner la précision d'un radar à ondes millimétriques avec une alimentation sur piles (pour une autonomie annoncée d'un an).
Contrairement aux détecteurs de mouvements classiques (PIR) qui finissent par éteindre la lumière si vous restez immobile devant votre TV ou en lisant un livre, le FP300 détecte votre présence statique (via la respiration notamment) et maintient l'éclairage actif tant que vous êtes réellement dans la pièce.
Son autre atout majeur, c'est sa compatibilité Matter via Thread. Il s'intègre nativement dans l'app Maison d'Apple sans nécessiter le hub du constructeur, pour peu que vous disposiez d'un routeur de bordure comme un HomePod ou une Apple TV 4K. Comme nous l'avions noté dans notre test le mois dernier, c'est une excellente solution pour ceux qui veulent une détection fine dans des endroits dépourvus de prises électriques, comme un couloir ou des toilettes.
Vu la rapidité de la rupture de stock précédente, on ne saurait trop vous conseiller de ne pas traîner si ce produit vous intéresse pour compléter votre installation HomeKit. Amazon annonce désormais une livraison autour du 23 décembre.
Adobe est fier d’annoncer que Photoshop, Express et Acrobat sont désormais « intégrés » dans ChatGPT, ce qui rend ses logiciels accessibles à 800 millions d’utilisateurs dans le monde. Mais « intégrés » comment ? Il ne s’agit pas de piloter la version de Photoshop installée sur votre Mac via l’IA générative. L’idée est d’importer certaines fonctions de ces logiciels directement au sein de ChatGPT. OpenAI avait ouvert la voie en octobre avec quelques partenaires triés sur le volet ; Adobe s’ajoute maintenant à la liste.
Image Adobe
Pour utiliser une application dans ChatGPT, il faut d’abord l’activer en tapant son nom puis en autorisant l’accès. Ensuite, chaque requête doit commencer par ce même nom (le logo de l’app s’affiche alors sous le champ de saisie) avant de demander l’action, par exemple : « Photoshop ajoute la lune sur cette photo ».
Mes premiers essais ont été catastrophiques à cause de plusieurs gros problèmes. Premièrement, le Photoshop intégré à ChatGPT ne sait pas créer d’élément pour l’instant, il peut seulement modifier ceux qui existent déjà. Deuxièmement, l’outil multiplie les échanges inutiles pour réclamer des précisions avant d’agir. Troisième écueil : les images générées ne se chargent tout simplement pas.
(Tentative) d’ajout d’une lune avec Photoshop dans ChatGPT. Vidéo MacGeneration.
En comparaison, l’expérience est nettement plus fluide avec Gemini. Le modèle Nano Banana de Google, très doué pour les retouches, ne bombarde pas l’utilisateur de questions et fait des modifications précises. C’est le jour et la nuit.
Ajout d’une lune avec Gemini (modèle Nano Banana). Vidéo MacGeneration.
Mes essais ont été tout aussi désastreux avec Acrobat, censé manipuler des PDF au sein de ChatGPT. Malgré des dialogues interminables avec l’assistant, impossible d’obtenir des résultats exploitables sur mes documents.
On comprend l’intérêt stratégique pour OpenAI : intégrer des services externes permet à ChatGPT d’aller au-delà des capacités d’un « simple » modèle d’IA et donc de faire rester les utilisateurs plus longtemps. Pour certains usages, comme créer une playlist Spotify sans quitter l’assistant (une intégration pas encore disponible en France), cela fait sens. En revanche, tenter de faire entrer des applications créatives comme Photoshop ou Acrobat dans ce moule ne fonctionne pas. L’association est bancale, et l’expérience, pour l’instant, très décevante.
La Russie a choisi de bloquer FaceTime depuis la semaine dernière, mais pas iMessage. Pourquoi ce traitement de faveur pour la messagerie instantanée d’Apple ? Si, comme le gouvernement russe le prétend, FaceTime est utilisé pour des activités terroristes, ce sera probablement aussi vrai pour iMessage et un blocage aurait été logique. L’explication est peut-être purement technique : comme l’a relevé cet internaute sur Mastodon, la messagerie est intimement liée à Apple Push Notification service (APNs), le service fourni par la Pomme pour gérer toutes les notifications qui s’affichent sur iOS. Bloquer iMessage reviendrait ainsi peut-être à bloquer toutes les notifications… rendant les appareils Apple presque inutiles.
Le lien entre iMessage et APNs est souligné par Apple sur cette page de son site, qui explore la sécurité de la messagerie instantanée maison. Il existe par ailleurs plusieurs autres signes de l’association entre les deux. Ainsi, les notifications de toutes les apps continuent de fonctionner sur un iPhone ou iPad dans les avions qui proposent une connexion à internet gratuite uniquement pour les messageries. C’est sûrement parce que cela revient à autoriser les serveurs d’Apple qui gèrent les deux services.
Par ailleurs, iMessage reste accessible dans de nombreux pays qui censurent pourtant tous ses concurrents occidentaux. En Chine, par exemple, on ne peut utiliser ni WhatsApp, ni Telegram, ni Messenger, ni Signal, du moins pas sans un VPN. En revanche, la messagerie d’Apple reste accessible, sans activer quoi que ce soit. Dans le monde de l’entreprise ou dans l’éducation aussi, on connaît bien le problème : s’il existe des solutions pour bloquer iMessage, elles bloquent alors toutes les notifications, comme le relève par exemple le gestionnaire de réseaux GFI sur son site.
Un lien voulu par Apple pour éviter la censure ?
S’il est bien établi qu’iMessage dépend étroitement des notifications sous iOS et que l’on ne peut pas bloquer l’un sans gêner les autres, on ne sait pas pourquoi Apple a choisi cette approche. Est-ce précisément pour protéger iMessage contre la censure gouvernementale ? John Gruber a une autre théorie sur son blog : il suggère qu’Apple aurait pu lier intimement les deux pour forcer la main des opérateurs.
Scott Forstall présente la toute première version d’iMessage pendant le keynote de l’iPhone 4s, en octobre 2011. Image Apple/iGeneration.
Lors de l’arrivée d’iMessage, en 2011, l’iPhone était déjà un beau succès, mais pas à l’échelle actuelle et les rapports de force entre Apple et ses partenaires étaient bien différents. Les opérateurs auraient pu choisir de bloquer iMessage au profit des SMS, qui restent sous leur contrôle, et la Pomme aurait pu choisir cette solution pour faire en sorte que ce soit impossible techniquement, en tout cas pas sans retirer une fonction essentielle de son smartphone. On peut aussi souligner que construire iMessage sur les bases d’APNs, qui existait depuis 2009, était l’option la plus simple et la plus logique pour Apple.
Quoi qu’il en soit, le constat ne change pas à l’arrivée. Bloquer iMessage sans nuire sérieusement à l’utilisation d’un iPhone semble impossible, ce qui favorise la messagerie instantanée d’Apple. Pour le moment au moins, elle reste ainsi accessible en Russie et, a priori, toujours chiffrée de bout en bout et donc inaccessible pour les autorités.
Viture et CD Projekt Red s'associent pour célébrer les cinq ans de Cyberpunk 2077 avec une édition collector de lunettes XR. Les Luma Cyber affichent un écran virtuel de 152 pouces, un taux de 120 Hz et un design inspiré de Night City. Seulement 10 000 exemplaires seront produits, et la France est éligible à la livraison.
Le premier casque de Sonos a été conçu pour croiser le fer avec les ténors du marché, dont les AirPods Max d'Apple ainsi que les modèles de Bose ou de Sony
Apple vante des micros de « qualité studio » pour l’iMac et les MacBook Pro depuis les premières générations Apple Silicon. Ils sont effectivement très bons, mais encore faut-il que macOS vous laisse les utiliser. Dès que vous mettez vos AirPods, le système bascule automatiquement l’entrée audio sur les écouteurs, dont le micro est notoirement mauvais. SoundAnchor est là pour régler ce désagrément.
Cet utilitaire, qui se loge dans la barre des menus, permet de donner la priorité au micro de son choix. Si vous placez par exemple « Micro MacBook Air » en tête de liste, le système continuera d’utiliser le micro intégré à la machine même si vos AirPods se connectent. Ainsi, plus besoin de changer manuellement la source dans les Réglages Système ou dans les options de vos applications pour rectifier le tir. Cela fonctionne avec n’importe quelle source : si vous avez un (bon) micro externe, vous pouvez faire en sorte qu’il garde la priorité tout le temps.
L’intérêt est peut-être moins évident dans ce sens, mais SoundAnchor peut aussi jouer le rôle de chef d’orchestre pour la sortie audio. Vous pouvez par exemple faire en sorte que les AirPods ne diffusent pas automatiquement le son de votre Mac quand vous les enfilez.
L’application est développée par Flavio De Stefano, un ingénieur travaillant chez Spotify. Elle a planté une fois lors de mon essai, mais pour le reste elle fonctionne bien. Elle est disponible gratuitement sur le web, avec possibilité de soutenir son créateur par un don. Sur le Mac App Store, elle coûte 1,99 €, un moyen de compenser un petit peu les frais d’inscription au programme développeur. Elle demande macOS Monterey 12 au minimum.
Adobe vient de frapper fort en intégrant trois de ses applications phares directement dans ChatGPT. Photoshop, Express et Acrobat sont désormais accessibles gratuitement pour les 800 millions d'utilisateurs hebdomadaires du chatbot d'OpenAI, y compris en France et sans abonnement Adobe.
Hier, Apple et Google ont annoncé une collaboration visant à rendre le passage d’un smartphone Android à un iPhone – et inversement – nettement plus simple, plus rapide et plus complet. Ce matin, la Commission européenne s'approprie cette avancée qu'elle attribue directement au Digital Markets Act (DMA), son texte phare pour réguler les géants du numérique.
La commercialisation de la nouvelle gamme domotique d’IKEA est un petit peu chaotique, c’est souvent le cas avec le géant de l’ameublement suédois. Officialisée en novembre, elle est visible sur le site internet depuis le début de ce mois de décembre, mais pas encore tout à fait en vente… enfin du moins, pas officiellement. L’entreprise nous a indiqué que la commercialisation allait commencer en France en janvier 2026, même si cela ne veut pas dire que quelques produits ne sont pas déjà dans les rayons de quelques magasins en attendant.
Deux nouveaux produits de domotique dans les rayons d’un magasin IKEA. Photo prise et transmise par Cécile sur le Discord du Club iGen.
Pour rappel, IKEA a totalement repris sa gamme domotique, en pariant sur une compatibilité directe avec le standard logiciel Matter grâce au standard matériel Thread. Les anciens produits Zigbee vont tous être remplacés par des équivalents construits sur cette nouvelle base technique, qui permet bien souvent de se passer d’une passerelle propriétaire. Au programme, des ampoules, des interrupteurs, des capteurs variés et des prises… en tout, l’entreprise va sortir pas moins de 21 nouveaux produits.
Ce lancement est un peu désordonné, ce qui se traduit par des produits qui arrivent en ordre dispersé. S’ils sont presque tous visibles en ligne, la majorité ne peut pas être achetée sur internet et une partie de la gamme ne peut pas être livrée du tout. En se rendant sur place, on peut avoir quelques produits, à l’image du magasin IKEA où s’est rendue notre lectrice, qui n’a qu’une ampoule et une télécommande à vendre pour le moment.
En bref, si vous voulez acheter ces produits, le mieux est encore d’attendre le mois de janvier. En théorie, toute la gamme sera alors dans les rayons et disponible sur le site d’IKEA, ce sera plus simple. En attendant, vous pouvez tenter votre chance avant de manger quelques boulettes, vous aurez peut-être une bonne surprise.
La dernière version de la PlayStation 5, plus compacte et plus légère mais tout aussi puissante ainsi que la PlayStation 5 Pro et la PlayStation Portal sont actuellement en promotion pour les fêtes de fin d'année
Intermarché dévoile sa campagne de Noël avec un court-métrage d'animation où un loup mal-aimé apprend à manger des légumes pour se faire des amis. Réalisé par le studio français Illogic, nominé aux Oscars, le film est accompagné du tube de Claude François. Et ce qui est fort, c'est qu'elle fait un carton sur le Web mondial !
Le dernier iPad intègre désormais un stockage de base doublé ainsi que la puce A16 et profite d'une belle réduction, améliorant d'autant son rapport qualité/prix en s'affichant à son prix le plus bas
Le Black Friday s’est terminé il y a plus d’une semaine, et pourtant, il reste des promotions aussi fortes que lors de cette grande foire. En nous basant sur notre relevé des offres du Black Friday, nous avons sélectionné plusieurs objets connectés qui sont toujours au même tarif et qui valent le coup.
Serrure connectée Aqara U200 à 159 €
La serrure connectée Aqara U200 est toujours à 159 € sur Amazon, une réduction de 16 % sur son ancien prix. C’est l’une des meilleures serrures pour les clients Apple. C'est notamment la première compatible avec la fonction Clés du domicile, qui permet de déverrouiller sa porte le plus simplement du monde grâce à la puce NFC de son iPhone ou de son Apple Watch.
En plus de la serrure elle-même, l’Aqara U200 comprend un pavé numérique à installer à l’extérieur. Ce pavé permet donc d’ouvrir la porte avec un code (pratique pour laisser entrer un employé de ménage, par exemple) et c’est lui qui inclut la puce NFC qui autorise le déverrouillage avec la carte virtuelle stockée dans Wallet.
Autrement, il y a la SwitchBot Lock Pro, encore à 149 € au lieu de 179 €. Le pack comprend la serrure elle-même, un pavé numérique et un Hub Mini, qui ajoute notamment la compatibilité Matter et la connexion à distance. Ce concentrateur peut aussi servir pour d’autres produits SwitchBot.
Vous trouverez tous les détails dans nos tests de ces deux serrures :
Toujours pour l’accès à sa maison, l’excellente sonnette vidéo Aqara G410 est encore à 94,99 € au lieu de 130. C’est une sonnette qui peut être alimentée par l’ancienne sonnette filaire (12 ou 24V) ou bien par six piles AA pour un fonctionnement totalement sans fil. Le carillon s’installe à l’intérieur, c’est lui qui fait le relais avec la domotique grâce au Wi-Fi et qui apporte la compatibilité entière avec Maison.
L’accessoire est compatible avec la vidéo sécurisée HomeKit, qui stocke les images sur les serveurs d’iCloud. C’est surtout utile si vous pouvez alimenter la sonnette, vous aurez alors une vraie caméra de surveillance active en permanence. Sur piles, il s’agit surtout d’une sonnette vidéo, qui s’activera lorsqu’un invité appuie sur le bouton.
Quitte à avoir un détecteur de fumée — un appareil obligatoire dans tous les logements depuis une dizaine d’années maintenant —, autant en avoir un connecté, non ? Le modèle de Netatmo est disponible en ce moment à 65 €, le même tarif que lors du Black Friday.
Il envoie une alerte sur votre smartphone en cas de détection de fumée. Il se connecte en Wi-Fi 2,4 GHz et ne nécessite pas de hub. Le fabricant français promet 10 ans d’utilisation avec la batterie intégrée. La batterie n’est pas remplaçable, mais un détecteur n’est pas censé être utilisé plus de dix ans de toute façon.
Kit de démarrage Philips Hue Essential E27 à 80 €
Philips Hue était jusque-là synonyme de qualité, mais pas de petit prix. La récente gamme Essential bouscule les choses, en cassant les tarifs sans faire trop de compromis. Le kit de démarrage comprenant quatre ampoules E27 et un pont de connexion est vendu 80 € sur Amazon, soit une réduction de 20 € sur le prix de lancement et le même tarif que lors du Black Friday.
Les ampoules Essential sont un peu moins avancées que les versions traditionnelles (fabrication tout en plastique et luminosité limitée à 806 lumens dans le cas présent), mais elles restent de bonne qualité et permettent de profiter des nombreuses fonctions connectées de l’univers Hue.
Si vous ne voulez pas du pont — après tout, il n’est pas indispensable —, vous pouvez simplement acheter des ampoules. Le pack de quatre ampoules Essential E27 est actuellement à 49,99 €. C’est 5 € de plus que lors du Black Friday, mais 10 € de moins que lors du lancement. Quant au pack de quatre ampoules Essential GU10, il est aussi à 49,99 €.
Pour alimenter certains objets connectés, il faut des piles. Après une brève remontée début décembre, celles de Duracell ont vu leur prix rechuter au niveau du Black Friday. Les huit piles Duracell CR2032 compatibles AirTags sont ainsi en promo à 9,59 €, les quatre AAA 900 mAh à 10,99 € et les quatre AA 2500 mAh à 11,99 €.
Google et Apple ont travaillé ensemble pour améliorer et simplifier le transfert des données entre un appareil iOS et Android. On a appris la nouvelle en début de semaine et on a encore très peu de détails, si ce n’est qu’il faudra attendre des mises à jour des deux systèmes d’exploitation. Il faudra probablement patienter jusqu’en 2026 pour voir à quoi cela ressemble, mais d’ici là, l’Union européenne se permet une petite piqûre de rappel : l’arrivée de cette nouveauté ne vient pas d’une générosité naturelle de la part des deux entreprises américaines.
Image iGeneration.
Un porte-parole de la Commission européenne a envoyé un message à nos confrères de 9to5 Mac pour rappeler l’influence du DMA sur l’arrivée de cette fonctionnalité. Le transfert des données entre systèmes d’exploitation, ainsi que la migration d’eSIM qui est disponible depuis cet automne avec iOS 26, « découlent directement du DMA, qui impose aux services désignés (dont iOS et Android) de garantir une véritable portabilité des données ». Histoire de lever tout doute restant, le porte-parole a ajouté : « ces solutions ont été rendues possibles grâce à un important travail d’ingénierie et à une collaboration étroite entre Apple et Google, ainsi qu’à des discussions poussées avec la Commission au cours des deux dernières années. »
D’ailleurs, Apple avait prévenu bien en amont que cela allait venir. Cela remonte, puisque c’est dans la feuille de route fournie à la Commission européenne au printemps 2024. À l’époque, le transfert simplifié des données depuis Android était prévu pour l’automne 2025, il a donc pris un petit peu de retard.
Contrairement à d’autres mesures liées au DMA, ce transfert simplifié sera proposé dans le monde entier, même pour les citoyens hors de l’Union européenne. Reste que la législation européenne était bien à l’origine de la décision et a certainement poussé Apple et Google à collaborer autour d’une solution commune, au minimum.