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Bons plans : les robots aspirateurs compatibles Matter et HomeKit à prix cassés

Après la hausse technique des prix suite au Black Friday, de nombreux robots aspirateurs sont revenus à leur tarif le plus bas. Certains modèles s'affichent même à des prix inférieurs à ceux pratiqués durant la semaine de promotions. Voici une petite sélection de valeurs sûres. Tous ces modèles ont un point commun crucial pour les utilisateurs de l'écosystème Apple : ils sont compatibles Matter (et donc intégrables à Maison/HomeKit).

SwitchBot K11+ : Le petit poucet qui passe partout

C'est sans doute le modèle le plus atypique de cette sélection. Avec son diamètre réduit (24,8 cm contre 35 cm pour la moyenne du marché), le K11+ est conçu pour se faufiler là où les autres bloquent : entre les pieds de chaises serrés ou dans les recoins exigus. Malgré sa taille de guêpe, il ne sacrifie rien à la puissance avec une aspiration de 6 000 Pa et une navigation LiDAR précise.

Nous testons ce modèle actuellement et le bilan est pour l'instant très positif : il est agile, étonnamment silencieux et sa station de vidage automatique (incluse) lui offre une autonomie de plusieurs semaines. Un excellent choix pour les appartements encombrés ou les petites surfaces.

Prix : 199,99 € au lieu de 259,99 €

SwitchBot S20 : Le nettoyage par rouleau

Si vous avez de grandes surfaces, le S20 est un candidat sérieux. Sa particularité réside dans son système de lavage : contrairement aux patins classiques, il utilise un rouleau "RinseSync" qui se nettoie en continu pendant le cycle. Résultat, il ne traîne pas une serpillière sale sur votre carrelage.

Avec une puissance brute de 10 000 Pa, il avale tout sur son passage. C'est un modèle très complet qui gère parfaitement le multi-étages. Revers de la médaille de son efficacité : le système à rouleau demande un peu plus d'entretien régulier qu'une serpillière statique pour rester performant, mais le résultat en vaut la chandelle.

Prix : 399,99 € au lieu de 499,99 €

Roborock Q7 M5 : La puissance brute à petit prix

159,99 € (au lieu de 239,99 €) | Voir sur Amazon

Roborock décline ici une version musclée de son milieu de gamme. Le Q7 M5 fait l'impasse sur la station de vidage automatique pour casser son prix, mais il conserve l'essentiel : un moteur surpuissant de 10 000 Pa (rare à ce tarif) et la fameuse navigation LiDAR de la marque, réputée pour sa fiabilité.

Il intègre une brosse duo anti-enchevêtrement, idéale si vous avez des animaux à poils longs. À moins de 160 €, c'est un excellent point d'entrée dans l'univers Roborock si vous êtes prêt à vider le bac à poussière vous-même tous les deux ou trois jours.

Prix : 160 € au lieu de 250 €

Roborock Q7 L5+ : Le confort de la station automatique

Pour 40 euros de plus que le modèle précédent, le Q7 L5+ vous offre la tranquillité d'esprit avec sa station de vidage automatique. Concrètement, le robot vide son bac tout seul à la fin de chaque nettoyage, stockant la poussière dans un sac hygiénique que vous ne changerez que toutes les 7 semaines environ.

Sa puissance d'aspiration est légèrement inférieure (8 000 Pa), ce qui reste largement suffisant pour sols durs et tapis fins. C'est le meilleur rapport qualité/prix/confort du moment pour qui veut oublier la corvée de ménage pendant plus d'un mois.

Prix : 200 € au lieu de 220 €

Roborock Q10 S5+ : L'intelligence VibraRise

On monte en gamme avec le Q10 S5+. Ce modèle combine le meilleur des deux mondes : une aspiration de 10 000 Pa, une station de vidage automatique, mais surtout la technologie VibraRise.

Contrairement aux modèles précédents qui traînent leur lingette humide partout, le Q10 S5+ est capable de soulever sa serpillière lorsqu'il détecte un tapis ou une moquette. Il frotte également le sol par vibrations soniques (3000 fois/minute) pour désincruster les taches séchées. Si vous avez un mélange de parquet et de tapis chez vous, c'est le modèle à privilégier pour éviter de mouiller vos textiles.

Prix : 270 € au lieu de 300 €

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Deux boîtiers pour SSD capables d'atteindre 40 Gb/s en promotion

Si vous avez un SSD M.2 dans un boîtier un peu ancien ou dans un tiroir, deux boîtiers externes sont en promotion pour le moment. Le premier est un modèle de chez Orico, proposé pour 53 €, contre pratiquement 80 € en temps normal.

Le boitier SSD d'Orico.

Le M224 accepte les SSD M.2 2280 (PCI-Exress NVMe) et compte tenu des débits annoncés — 2,8 Go/s en lecture —, il est probablement équipé d'un contrôleur Thunderbolt 4 Intel. C'est nettement plus que le débit de 1 Go/s qu'il est possible d'atteindre sur un modèle USB-C à 10 Gb/s, et un peu plus que les 2 Go/s que la norme USB 3.2 Gen 2x2 (qu'Apple ne prend pas en charge) permet. Le choix du Thunderbolt 4 à l'avantage d'amener une compatibilité USB-C en parallèle du Thunderbolt : n'importe quel appareil avec de l'USB acceptera le SSD externe, avec un débit évidemment limité par les capacités de l'hôte.

Le modèle d'Ugreen.

Le second est un peu plus onéreux — 60 € au lieu de 100 € — mais aussi un peu plus rapide. C'est un modèle Ugreen équipé d'une puce Asmedia (ASM2464PD). Elle permet de tirer totalement parti de l'USB4 avec des débits qui peuvent atteindre 3,6 Go/s. Attention, vous aurez besoin d'un SSD PCI-Express 4.0 dedans pour en profiter. Comme le modèle Orico, les débits dépendront de l'hôte : 3,6 Go/s sur un Mac Apple Silicon, 2,8 Go/s sur un Mac Intel, etc.

Petite astuce pour les boîtiers de ce type : l'interface externe va limiter les performances dans la majorité des cas, donc il n'y a pas besoin de vous tourner vers des modèles PCI-Express 5.0 ou PCI-Express 4.0 haut de gamme. Un modèle milieu de gamme comme un WD Blue suffit amplement. Et choisir un SSD milieu de gamme amène aussi un avantage : ce sont des modèles qui chauffent généralement moins que les modèles plus rapides, un point important dans un boîtier externe.

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C'est officiel : stocker vos données en Europe ne sert à rien face aux USA

Une expertise juridique commandée par le ministère allemand de l'Intérieur confirme ce que beaucoup redoutaient : les autorités américaines peuvent accéder aux données stockées sur des serveurs européens. La localisation physique des données ne protège en rien contre la surveillance américaine.
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Il utilise une carte cadeau Apple et PAF, il perd 20 ans de vie numérique

Un développeur Apple a vu son compte bloqué définitivement après avoir tenté d'utiliser une carte cadeau compromise. Résultat : plus de 30 000 dollars de matériel inutilisable, des milliers d'achats inaccessibles et des années de photos perdues. Apple refuse de débloquer la situation.
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Spotify fait le coup de la (demi) panne...

Mauvaise surprise pour de nombreux utilisateurs ce lundi : Spotify est victime d’une panne touchant une partie de ses abonnés. Depuis les premières heures de la journée, le service de streaming musical rencontre des difficultés d’accès, empêchant la lecture de musique et de podcasts sur plusieurs plateformes.
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Contrôle de l'âge et nudité : Apple et Google sommées de faire le nécessaire !

La pression réglementaire sur les géants du numérique continue de monter. Selon le Financial Times, le gouvernement britannique s’apprête à demander officiellement à Apple et Google d’intégrer des mécanismes de vérification d’âge beaucoup plus stricts au sein d’iOS et d’Android, afin d’empêcher les mineurs de prendre, d’afficher ou de partager des images à caractère sexuel.
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Samsung va arrêter les SSD SATA, et les prix vont encore grimper

Après Micron qui abandonne sa marque Crucial, c'est au tour de Samsung de tourner la page du stockage grand public. Le géant coréen prépare l'arrêt de sa production de SSD SATA pour se concentrer sur les mémoires dédiées à l'intelligence artificielle. Mauvaise nouvelle pour votre portefeuille.
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La fin des SSD SATA se précise : Samsung aurait abandonné ce marché

Dans le monde des SSD, le marché se divise encore en 2025 en deux : d'un côté les SSD PCI-Express (généralement de type NVMe) et de l'autre les SSD SATA. La différence se fait essentiellement sur le format1 : barrettes rapides d'un côté, et format 2,5 pouces issu des SSD des disques durs de l'autre. Et selon Moore's Law Is Dead, Samsung devrait abandonner ce marché en 2026.

C'est vraisemblablement la fin pour les SSD Samsung.

Actuellement, les SSD SATA se retrouvent essentiellement en entrée de gamme, dans des PC portables à bas prix et dans des mini PC, mais ils sont aussi prisés par ceux qui veulent mettre à jour de vieux PC, équiper un NAS qui n'a pas d'emplacement M.2 ou installer un SSD secondaire dans un PC qui n'a plus de M.2 libre. C'est donc un coup dur pour certains, après la disparition de Crucial, un autre habitué des SSD SATA.

Crucial disparaît d’un marché de la mémoire vive déjà très tendu

Crucial disparaît d’un marché de la mémoire vive déjà très tendu

Le point important, c'est que Samsung était le dernier constructeur majeur à proposer des SSD SATA avec ses propres contrôleurs et de la mémoire TLC (le MX500 de Crucial n'est plus disponible depuis un an) et que le reste du marché est essentiellement composé de modèles équipés de mémoire de type QLC (moins fiable dans le temps) et de contrôleurs d'entrée de gamme. Il existe bien de nombreux constructeurs chinois qui proposent des SSD SATA à bas prix, mais la fiabilité et les performances laissent souvent à désirer. Il ne s'agit même pas ici d'une vague remarque sur les produits noname : lors d'un test d'un NAS, des SSD Fanxiang nous ont posé des soucis, avec des pertes de données à la clé. Pour mettre à jour un vieux PC, un modèle comme le 870 EVO est généralement un bon choix, par exemple.

Test du Ugreen DXP480T Plus : le NAS (à quatre SSD) qui se détache de la masse

Test du Ugreen DXP480T Plus : le NAS (à quatre SSD) qui se détache de la masse

Une des raisons, expliquée dans la vidéo, vient de la rentabilité. Un SSD SATA rapide, dans l'absolu, contient les mêmes composants qu'un SSD M.2 NVMe d'entrée de gamme, au moins sur la mémoire. Mais pour des questions de segmentation, un SSD SATA limité par la norme à environ 550 Mo/s ne peut évidemment pas être vendu aussi cher qu'un modèle qui atteint (par exemple) plus de 3 Go/s. Ou, si vous prenez le problème dans le sens de Samsung, un SSD NVMe d'entrée de gamme peut être vendu plus cher qu'un SSD SATA pour un coût de revient globalement proche.

Samsung vend ses SSD SATA à un prix élevé. Image Samsung.

C'est un problème à moyen terme

Le problème de l'arrêt de la production par Samsung est plus important que la fin de la marque Crucial, et il faut bien le comprendre. Dans le marché de la RAM, Micron ferme sa filiale Crucial, mais vend toujours de la RAM à ses partenaires. Un mouvement qui va augmenter les prix, mais pas forcément la disponibilité : ce que Crucial vendait va être redirigé (au moins en partie) vers d'autres marques. Mais dans le cas des SSD SATA, ce mouvement n'existe tout simplement pas et donc ceux qui ont besoin de SSD SATA performants vont probablement acheter rapidement les stocks existants, ce qui va mécaniquement faire augmenter les prix. Et sans alternatives, ils vont rester élevés pendant un moment. Dans le cas précis de ce domaine, le résultat final est évident : le marché va abandonner le SATA pour le PCI-Express.


  1. Il existe des SSD SATA en barrettes (mSATA et M.2) mais ils sont devenus rares en 2025.  ↩︎

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C'était la seule chose qui manquait à Waze face à Google Maps

L'application de navigation préférée des Français commence à tester une fonctionnalité réclamée depuis des années : l'affichage des feux de circulation directement sur la carte. Pour l'instant, seuls les utilisateurs israéliens peuvent en profiter, mais un déploiement mondial semble en bonne voie.
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Open-ear, IA, santé : comment ces écouteurs sans fil explosent les ventes !

Le marché mondial des écouteurs true wireless (TWS) ralentit un peu, mais il n’a pas dit son dernier mot. Selon les dernières données du cabinet Omdia, les expéditions mondiales ont atteint 92,6 millions d’unités au troisième trimestre 2025, en hausse symbolique de 0,33 % sur un an.
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ONLYOFFICE Desktop Editors 9.2 : l'IA s'invite sur votre Mac (et votre PC)

L'intelligence artificielle débarque sur votre bureau, au sens propre. ONLYOFFICE franchit un cap avec sa version 9.2 en intégrant un agent conversationnel capable d'automatiser vos tâches documentaires, de fouiller dans vos fichiers et de remplir des formulaires à votre place. Le tout sans jamais quitter votre machine, grâce au support des modèles locaux.

ONLYOFFICE a sorti récemment la version 9.2 de sa suite bureautique gratuite pour Windows, Linux et macOS. La nouveauté qui retient l'attention ? L'arrivée d'un véritable agent conversationnel d'intelligence artificielle, directement intégré à l'application de bureau.

Une première dans l'écosystème des suites bureautiques grand public qui mérite qu'on s'y attarde.

Un agent IA qui fait bien plus qu'assister

Contrairement aux assistants d'écriture que l'on croise désormais un peu partout, l'agent IA d'ONLYOFFICE ne se contente pas de reformuler vos phrases ou de corriger vos fautes. Il agit comme un véritable bras droit numérique, capable d'interagir avec vos fichiers, votre système de fichiers et vos documents de manière autonome.

Concrètement, on peut lui demander de générer un nouveau document, de retrouver un fichier perdu dans les méandres de votre disque dur, d'extraire le contenu d'un PDF sans même l'ouvrir, ou encore de remplir automatiquement un formulaire administratif en suivant vos instructions.

L'idée n'est pas simplement de faciliter la rédaction, mais d'automatiser des tâches répétitives qui grugent du temps au quotidien. Besoin de lister tous les fichiers récents dans un dossier spécifique ? De comprendre la structure d'un document complexe avant de l'ouvrir ? De transformer une plage de dates vague en dates précises dans un formulaire ? L'agent s'en charge. On tape une instruction en langage naturel, et l'IA exécute. C'est aussi simple que cela en apparence, mais la promesse derrière est ambitieuse : rendre les workflows documentaires plus fluides et moins chronophages.

La souveraineté des données comme argument de poids

Là où ONLYOFFICE marque un point intéressant, c'est dans sa gestion de la confidentialité. L'application permet de connecter différents fournisseurs d'IA : Anthropic, OpenAI, TogetherAI, OpenRouter... Mais aussi, et c'est crucial, Ollama. Pour ceux qui ne connaissent pas, Ollama est une solution qui permet d'héberger localement des modèles de langage sur sa propre machine. En clair, vos données ne quittent jamais votre ordinateur. Aucun envoi vers le cloud, aucune fuite potentielle, aucune dépendance à une connexion internet stable.

Dans un contexte où les questions de confidentialité et de souveraineté numérique deviennent de plus en plus prégnantes, cette approche hybride séduit. Les entreprises sensibles, les professions réglementées ou simplement les personnes soucieuses de protéger leurs informations peuvent ainsi bénéficier des avantages de l'IA sans en subir les inconvénients. ONLYOFFICE ne fournit pas de clés API, c'est à chacun de se procurer la sienne auprès du fournisseur choisi. Une manière de rester neutre et de laisser l'autonomie aux utilisateurs finaux.

MCP : la personnalisation poussée à son paroxysme

Pour ceux qui aiment bidouiller et adapter leurs outils, ONLYOFFICE Desktop Editors 9.2 introduit également le support des serveurs MCP. Cette fonctionnalité permet de configurer des tâches automatisées sur mesure, adaptées aux besoins spécifiques d'une personne ou d'une organisation.

On quitte alors le terrain de l'assistant générique pour entrer dans celui de l'outil façonné selon ses propres routines de travail. C'est une couche de sophistication supplémentaire, destinée à ceux qui veulent aller plus loin dans l'automatisation.

Deux niveaux d'IA pour deux usages distincts

Il faut bien distinguer l'agent IA, qui agit comme un assistant global capable de manipuler fichiers et système, du plugin IA intégré directement dans les éditeurs. Ce dernier propose des outils contextuels, comme la correction grammaticale et orthographique dopée à l'intelligence artificielle. On sélectionne un texte, on clique sur l'onglet IA dans la barre d'outils, et le plugin repère et corrige les erreurs. Pratique pour peaufiner un document avant de l'envoyer, sans avoir à jongler entre plusieurs applications.

Ces deux niveaux d'IA coexistent et se complètent. L'un travaille en coulisses sur l'ensemble de votre environnement documentaire, l'autre intervient ponctuellement au cœur même de vos documents. Cette dualité offre une flexibilité bienvenue.

Des améliorations annexes qui comptent

Au-delà de l'IA, ONLYOFFICE Desktop Editors 9.2 apporte son lot de raffinements. Les raccourcis clavier sont désormais personnalisables, ce qui ravira ceux qui ont leurs propres habitudes ancrées depuis des années. L'enregistrement de macros fait également son apparition, permettant d'automatiser des séquences d'actions sans écrire une seule ligne de code. Enfin, l'outil de rédaction des PDF s'enrichit d'une personnalisation de la couleur de masquage, un détail qui compte lorsqu'on manipule des documents sensibles.

Une suite gratuite qui continue de séduire

ONLYOFFICE reste fidèle à son positionnement : proposer une alternative open source, gratuite et compatible avec les formats Microsoft Office.

La version Desktop ne coûte rien, fonctionne sur les trois principaux systèmes d'exploitation (Windows, Linux, macOS), et bénéficie d'un développement continu. Téléchargeable gratuitement, elle franchit avec cette version 9.2 un cap en intégrant l'IA de manière native et réfléchie, sans imposer un modèle unique ni forcer la main sur la collecte de données.

Pour ceux qui cherchent une suite bureautique performante, respectueuse de la vie privée et capable de s'adapter à des workflows modernes, ONLYOFFICE Desktop Editors 9.2 mérite clairement un essai. L'IA n'y est pas un gadget marketing, mais un outil pensé pour gagner du temps et automatiser l'ennuyeux. Et ça, c'est précisément ce qu'on attend d'une bonne technologie.

Pour en savoir plus sur cette mise à jour, l'annonce officielle détaille l'ensemble des nouveautés.

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Arnaque en ligne : attention aux fausses peluches du Loup d'Intermarché

La campagne publicitaire d’Intermarché à l'occasion de Noël a rencontré un succès incroyable ces dernières semaines - le monde entier ayant craqué pour cette fable moderne fait à l’ancienne. Forcément, cet engouement a attiré l’attention des escrocs flairant la bonne affaire pour le fêtes de fin d'année.
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Un satellite chinois a frôlé la collision avec Starlink

SpaceX alerte sur une quasi-collision entre un de ses satellites Starlink et un engin spatial chinois. L'incident s'est produit à 560 km d'altitude, avec seulement 200 mètres d'écart entre les deux appareils. La société d'Elon Musk pointe du doigt l'absence de coordination de la part de l'opérateur chinois.
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iOS 26.2 tente de forcer le passage aux mises à jour automatiques

Apple veut que ses utilisateurs installent les mises à jour logicielles, qui comprennent notamment des correctifs de sécurité. Elle peut pour cela user de techniques plus ou moins incitatives, et la dernière petite nouveauté mise en place sur iOS 26.2 lancé la semaine dernière met carrément...

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X arrête son application X pour Mac (qui n'était que l'app iPad mal intégrée)

X (anciennement Twitter, même si ce nom a perdu de son aura) a mis à jour récemment son application, et elle vient de perdre la compatibilité avec macOS. L'app macOS native historique, avec l'oiseau bleu, avait été abandonnée en août 2024 et X avait poussé une solution alternative et peu satisfaisante : l'app X pour iPad.

La dernière version de l'app n'est plus compatible macOS. Image MacGeneration.

Cette dernière n'est qu'une application iPad qui peut être lancée sur les Mac Apple Silicon (pas les Mac Intel) et l'intégration dans le système d'exploitation était minimale, avec des fenêtres liées à l'app et non détachables (par exemple). Mais malgré une bonne partie du code partagé entre toutes les versions, la variante pour Mac a souffert de nombreux bugs ces derniers mois. Et visiblement, les développeurs en ont eu assez : la 11.47 est la dernière qui était compatible avec macOS. La 11.48, sortie récemment, n'est plus compatible avec macOS.

Soit les développeurs ont décidé d'arrêter la prise en charge des Mac, soit c'est un problème de leur côté. Nous avons contacté X, mais comme toujours depuis le rachat par Elon Musk nous n'avons pas eu de réponse1. Et la page officielle de support pour macOS renvoie encore et toujours vers l'ancienne app, qui n'est plus disponible depuis plus d'un an. Si vous utilisez encore le réseau social, c'est donc le moment de chercher une solution, qui est probablement de passer par le site directement, plutôt qu'une app dédiée.


  1. Au moins, la réponse automatique limitée à un ne semble plus en place.  ↩︎

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Remplacer son Mac par un iPad : fausse bonne idée ?

Apple nous vante depuis longtemps l’idée selon laquelle il serait possible, voire même souhaitable, de se passer d’un Mac au profit de l’iPad. On se rappelle de la publicité à succès pour l’iPad Pro « What’s a computer » d’il y a quelques années… Avec l’ajout progressif de fonctionnalités propres au Mac comme le clavier, le trackpad, le multitâche, les puces Apple Silicon… sur le papier, tout est là.

Mais dans les faits, pour avoir moi-même essayé de délaisser mon MacBook Pro pour un iPad Pro, iPadOS reste une vraie limite. Multitâche limité, applications bridées, ergonomie inférieure… Il est techniquement possible de travailler sur iPad mais c’est souvent loin d’être souhaitable.

Et le fameux combo iPad Pro + Magic Keyboard est selon moi une fausse bonne idée car plus lourd et moins stable qu’un MacBook Air. L’iPad, a cependant ses qualités et je l’utilise aujourd’hui en complément de mon Mac comme pour de la prise de notes manuscrites et la consommation de contenus.

Le choix de l’iPad n’est donc pas aussi évident qu’Apple peut l’insinuer. L’iPad est un excellent produit mais le vendre comme un remplacement pur et dur du Mac est trompeur pour la majorité des utilisateurs.

Mais qu’il s’agisse d’un Mac ou un d’un iPad, il s’agit du genre de beau cadeau qui fait toujours plaisir. Le Black Friday a été cette année marqué par de nombreuses promotions sur les derniers modèles. Mais, alors que les autres enseignes sont retournées aux tarifs habituels, il est bon de savoir à une dizaine de jours de Noël qu’Amazon continue de proposer de nombreuses promotions (voire même les mêmes tarifs que pendant le Black Friday, avec livraison garantie avant Noël). En voici quelques exemples :


Et vous, utilisez-vous un Mac, un iPad ou les deux ?


Cet article contient des liens d’affiliation Amazon. En achetant via ces liens, vous soutenez MacBidouille sans dépenser plus.

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Google Traduction veut devenir un interprète en temps réel

Google accélère l’intégration de son IA Gemini au sein de Google Translate. Le service de traduction bénéficie désormais de nouvelles capacités avancées, allant d’une meilleure compréhension des expressions idiomatiques à la traduction vocale en temps réel directement dans les écouteurs.
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iRobot, le fabricant des aspirateurs robots Roomba, en faillite et acheté par un groupe chinois

Dans le monde des aspirateurs robots, ceux d'iRobot sont probablement les plus connus : Roomba est parfois utilisé comme un nom générique, un peu comme Frigidaire1. Mais en réalité, iRobot n'allait pas bien : la société vient d'être placée sous le chapitre 11 de la loi sur les faillites des États-Unis, l'équivalent du redressement judiciaire dans nos contrées, et va être achetée par un de ses clients (et fournisseurs) pour la production, Picea Robotics.

Un des derniers Roomba. Image iRobot.

iRobot a été fondé en 1990, et le premier aspirateur robot date de 2002 (les premiers robots étaient dans le domaine militaire). La marque a eu un grand succès dans ce domaine, avant de peu à peu se faire rattraper puis dépasser par ses concurrents au fil des années, qui ont proposé des modèles moins onéreux et plus complets.

La fin d'iRobot n'est pas réellement une surprise. En 2022, Amazon avait annoncé l'achat de la société pour 1,7 milliard de dollars, avant que le deal capote à cause de la Commission européenne. Si certaines autorités locales de la concurrence avaient adoubé l’acquisition. iRobot et Amazon avaient donc dû renoncer, devant les risques monopolistiques évidents de l’opération.

Amazon achète iRobot, le créateur des aspirateurs Roomba

Amazon achète iRobot, le créateur des aspirateurs Roomba

Depuis, la société essayait de survivre tant bien que mal, mais ce n'était pas très engageant : les derniers modèles en date étaient essentiellement des modèles chinois rebadgés… fabriqués par Picea Robotics. Cet achat est du coup assez étonnant sur un point : Picea est le fabricant de nombreux modèles d'aspirateurs robots (Shark, Haier, Anker, Dyson selon certaines sources, etc.), ce qui risque d'amener un monopole de fait, au moins dans la conception des robots.

Picea Robotics produit pour beaucoup de monde. Image Picea.

Pour les personnes qui possèdent un Roomba, cet achat devrait au moins permettre aux robots de continuer à fonctionner à court terme. Ensuite, il faut espérer que Picea Robotics continuera à exploiter la marque et gardera les serveurs en ligne…

Les robots aspirateur de Neato dépendaient de serveurs distants, ils vont perdre toute connexion sans recours

Les robots aspirateur de Neato dépendaient de serveurs distants, ils vont perdre toute connexion sans recours


  1. Qui est une marque. On appelle ça un onomastisme.  ↩︎

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SF Symbols Lite améliore le gestionnaire d’icônes fourni par Apple

SF Symbols Lite (gratuit) est une nouvelle app plutôt destinée aux développeurs dans l’écosystème Apple, même si elle peut aussi servir dans d’autres contextes. Son développeur la présente comme une alternative à SF Symbols, une app fournie par Apple pour lister toutes les icônes conçues par ses soins et que l’on retrouve dans les apps développées pour ses systèmes d’exploitation. SF Symbols comme SF Symbols Lite affichent la liste exhaustive de tous les symboles à disposition, avec des catégories pour les filtrer, un champ de recherche ou encore la possibilité de créer sa propre organisation.

SF Symbols Lite en action. Image MacGeneration.
SF Symbols Lite en action. Image MacGeneration.

Les deux présentent aussi chaque icône telle qu’elle s’affichera dans une app, avec toutes les options associées : on peut les prévisualiser en monochrome ou avec plusieurs couleurs, fixes ou animées. En bref, ce sont deux apps très proches, au point où l’on peut se demander ce qui a pu pousser le créateur de SF Symbols Lite à proposer sa version. Le développeur a quelques arguments à faire valoir en mettant en avant une app plus simple et plus légère que celle d’Apple, la possibilité de définir ses propres mot-clés ou encore un aperçu amélioré.

Après quelques minutes à tester les deux apps, la différence la plus évidente à mes yeux est la recherche améliorée. Cela n’a jamais été le point fort de SF Symbols, qui cherche uniquement par le nom des icônes, sans souplesse. Par exemple, l’éclair (lightning en anglais) est en réalité nommé bolt, un synonyme qui désigne sans doute plus précisément le symbole, mais l’app d’Apple impose de saisir ce terme et uniquement lui pour retrouver l’icône. Avec SF Symbols Lite, les deux mots fonctionnent aussi bien pour trouver la bonne image. Seul point à noter, j’ai eu quelques latences en utilisant la recherche et il y a probablement des optimisations à faire.

Exemple d’une recherche que la nouvelle app gère parfaitement, alors que celle d’Apple ne donne aucun résultat. Image MacGeneration.
Exemple d’une recherche que la nouvelle app gère parfaitement, alors que celle d’Apple ne donne aucun résultat. Image MacGeneration.

Côté légèreté, on peut relever que SF Symbols pèse environ 136 Mo dans le dossier des applications, contre 32 Mo pour SF Symbols Lite. Pour ne rien gâcher, cette nouvelle app est non seulement gratuite, elle est aussi open-source et son code entièrement en Swift est distribué sur GitHub. La première version est proposée sur la page des sorties et il s’agit d’une app compilée et signée, ce qui permet de l’ouvrir directement.

SF Symbols Lite n’est proposée qu’en anglais et l’app nécessite macOS 26.

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