En décembre 2024, iOS 18.2 inaugurait le partage de la position des AirTags avec les compagnies aériennes afin de faciliter la localisation des bagages égarés. Un an plus tard, SITA, société spécialisée dans les solutions de communication pour le transport aérien et partenaire d’Apple sur cette fonctionnalité, dresse un premier bilan.
Un AirTag accroché à une valise. Image iGeneration
D’après les statistiques de SITA, si la majorité des bagages perdus finissent par être restitués à leurs propriétaires, un « petit pourcentage » d’entre eux ne sont toutefois jamais retrouvés et sont alors considérés comme définitivement perdus. Pour les bagages équipés d'un AirTag ou d'un autre traceur compatible avec le réseau Localiser d’Apple, le nombre de pertes définitives a chuté de 90 % lorsque le partage de localisation est activé via WorldTracer, le système de gestion de l’entreprise.
De plus, les compagnies aériennes qui exploitent le réseau Localiser d’Apple ont observé une réduction de 26 % du temps nécessaire à la récupération des bagages retardés. « Lorsque les technologies grand public et les infrastructures aéronautiques sont connectées de manière optimale, les résultats peuvent être révolutionnaires », souligne Nicole Hogg, directrice du portefeuille Bagages chez SITA, dans un communiqué.
Partage de la position d’un AirTag avec une compagnie aérienne. Image Apple.
À ce jour, 29 compagnies aériennes tirent parti de l’intégration du réseau Localiser dans WorldTracer. C’est notamment le cas d’Aer Lingus, British Airways, Brussels Airlines, Delta Air Lines, Eurowings, Iberia, KLM Royal Dutch Airlines, Lufthansa, Qantas, Swiss International Air Lines, Turkish Airlines, United, Virgin Atlantic ou encore Vueling. D’autres transporteurs devraient suivre dans les mois à venir. Selon nos informations, Air France expérimente actuellement ce dispositif et prévoit un déploiement en 2026.
À l’échelle mondiale, le taux de bagages égarés est de 6,3 pour 1 000 passagers. Parmi eux, 66 % sont restitués à leurs propriétaires dans un délai de 48 heures, précise la société spécialisée.
Samsung vient officiellement de dévoiler l’Exynos 2600, présenté comme la première puce pour mobile, gravée en 2 nanomètres. Cette annonce se veut des plus stratégiques, à la fois technologique et symbolique, alors qu’Apple est attendue sur ce terrain mais seulement en 2026.
Le gouvernement français n’a pas obtenu gain de cause. Ce vendredi 19 décembre, le tribunal judiciaire de Paris a rejeté la demande de suspension de la plateforme de vente en ligne Shein, pourtant accusée d’avoir commercialisé des produits illégaux sur sa marketplace. L’exécutif réclamait un blocage d’au moins trois mois, à quelques jours seulement des fêtes de Noël.
Si certains utilisateurs s'appuient sur le stockage dans le cloud, d'autres ont toujours besoin de plus de stockage rapide et local, d'autant plus sur Mac où les machines d'entrée de gamme disposent encore d'une capacité limitée. Alors que Crucial va arrêter sa gamme grand public pour se concentrer sur le B2B et l'IA, des promotions permettent aujourd'hui de s'offrir les derniers SSD de Crucial à
Bloom (16,4 €) est un gestionnaire de fichiers pour le Mac qui est sorti au printemps dernier. Il s’agit d’une alternative au Finder, une catégorie qui n’attire sans doute plus autant de développeurs qu’à une époque, mais qui reste attrayante pour tous ceux qui sont insatisfaits de l’interface intégrée à macOS. Bloom vient ainsi concurrencer de nombreux noms bien ancrés dans le domaine, à commencer par Path Finder, qui reste sûrement la référence. Son positionnement est d’ailleurs similaire, en pariant sur de multiples fonctions avancées pour mieux se distinguer du gestionnaire de fichiers d’Apple.
Bloom en action avec ici trois panneaux dans une seule fenêtre, plus la petite fenêtre « Portal » en bas. Image MacGeneration.
L’app a beau être relativement jeune, la liste de fonctionnalités qu’elle propose est déjà impressionnante. Bloom permet de découper ses fenêtres en panneaux, deux à la verticale par défaut, jusqu’à quatre si vous le souhaitez. Chaque panneau affiche le contenu d’un dossier, indépendamment de tous les autres, ce qui facilite le travail sur plusieurs emplacements en parallèle. On peut par ailleurs sauvegarder des espaces de travail, qui combinent l’organisation en panneaux et les emplacements de chaque élément. Par défaut, l’app ouvrira le dossier du bureau à gauche et celui des téléchargements à droite et vous pourrez créer des combinaisons en fonction de vos besoins.
En plus de tous ces panneaux, le « Portal » est une petite fenêtre flottante qui affiche le contenu du dossier de votre choix. Elle peut servir d’espace temporaire qui se fermera automatiquement dès que vous changez de contexte, ou bien d’espace permanent épinglé, qui restera alors au-dessus de l’interface de Bloom et même des fenêtres des autres apps. Le gestionnaire de fichiers propose aussi un puissant outil qui permet d’ouvrir rapidement un dossier et qui fait office de moteur de recherche. C’est un peu l’équivalent d’un lanceur similaire à Spotlight ou Raycast à cet égard, sauf qu’il ne gère que les fichiers. Tout peut être géré au clavier et la fonctionnalité est associée par défaut au raccourci clavier ⇧⌘↩︎.
La fonction qui permet à la fois d’ouvrir un dossier et de rechercher un fichier dans Bloom. Image MacGeneration.
Je suis loin d’avoir couvert toute la liste de fonctions et les réglages intégrés à Bloom sont d’une densité rare de nos jours. Vous pouvez ajuster la présentation et le fonctionnement très précisément et il y a de nombreuses idées à découvrir. Par exemple, il est possible de synchroniser deux panneaux, pour que la sélection d’un dossier dans l’un affiche son contenu dans l’autre. Les colonnes peuvent aussi être automatiquement redimensionnées selon de multiples critères. Côté interface, l’app propose de changer la couleur de fond de chaque fenêtre ou encore de modifier l’icône associée à chaque favori dans la barre latérale.
Possibilité de créer des fichiers, ajout d’actions pour manipuler des documents, ouverture d’une session de terminal pour un dossier… il y a encore plein de petites fonctionnalités à découvrir. Bloom nécessitera un temps de découverte pour en faire le tour, si bien que les sept jours de démonstration ne seront peut-être pas suffisants. Au-delà, il faudra payer une licence à environ 16,4 € au minimum (on peut donner plus). C’est une licence personnelle, mais elle peut servir sur trois Mac, ce qui est plutôt généreux.
L’interface de Bloom n’est pas traduite en français et l’app nécessite macOS 14 au minimum.
Vous avez maintenant encore plus d’occasions de vous servir d’Apple Pay. Régulièrement, des plateformes en ligne ajoutent la technologie d’Apple à leurs options de règlement. Deux services particulièrement populaires ont sauté le pas ces dernières semaines.
Depuis une quinzaine de jours, HelloAsso prend en charge Apple Pay, ainsi que Google Pay. Au moment du paiement, vous pouvez maintenant choisir entre la saisie des infos de votre carte bancaire à l’ancienne ou bien Apple Pay. Une évolution qui facilitera un petit peu le règlement des inscriptions à une association ou à un club sportif, la plateforme étant largement utilisée par ce type d’organisations.
Le mois dernier, Yurplan a également intégré Apple Pay parmi ses moyens de paiement. Cette billetterie en ligne est utilisée pour de nombreux événements, qu’il s’agisse de compétitions sportives, de festivals ou de salons professionnels, comme le sympathique Marché de la Mode Vintage.
Les plateformes ont plutôt intérêt à adopter Apple Pay, car ce mode de paiement limite les abandons d’achat au dernier moment liés à des frictions ou des blocages. « En termes de transformation, si l’on compare les gros volumes de transaction en dehors du BNPL [buy now pay later, paiement différé, ndlr], Apple Pay convertit le mieux, suivi de PayPal et des cartes bancaires », expliquait récemment un responsable de Cdiscount à mind Retail. Sur ce créneau du paiement en ligne, Apple Pay va bientôt être concurrencé par Wero, qui va s’intégrer à des sites français à partir de 2026.
L'hiver s'installe, et avec lui arrive ce moment de l'année où l'on replonge dans les albums, où l'on ressort ces souvenirs figés sur pellicule ou capteur. Mais voilà le drame : cette photo de famille si précieuse est floue. Ce portrait de vacances manque cruellement de netteté. Et ce cliché que vous comptiez agrandir pour l'accrocher au mur révèle, une fois zoomé, une pixellisation digne des premiers écrans cathodiques.
Bonne nouvelle : Aiarty Image Enhancer débarque avec des outils d'intelligence artificielle conçus pour redonner une seconde jeunesse à vos images. Que vous cherchiez à sublimer des clichés bruiteux d'un vieil appareil, à rehausser des photos basse résolution ou à peaufiner des visuels destinés à l'impression, aux réseaux sociaux ou comme fond d'écran, le logiciel promet une expérience fluide et des résultats bluffants.
Une offre de Noël qui casse les prix
Parlons immédiatement de ce qui devrait vous faire dresser l'oreille : jusqu'au 31 décembre, Aiarty propose une remise de 52 % sur la licence à vie. Mieux encore, le code promo XMASSAVE vous octroie 5 € supplémentaires de réduction, ramenant le prix final à seulement 64 €. C'est, selon l'éditeur, le tarif le plus bas jamais pratiqué.
Cette licence à vie, c'est du sérieux. Vous obtenez l'accès perpétuel aux futures mises à jour, sans frais cachés ni abonnement récurrent. Le logiciel s'installe sur trois machines maximum, qu'il s'agisse de Mac ou de PC. Cerise sur le gâteau : le traitement s'effectue entièrement hors ligne, gage de confidentialité absolue puisque vos images ne transitent jamais par le cloud. Et si jamais vous n'êtes pas convaincu, une garantie satisfait ou remboursé de 30 jours vous couvre.
D'après Aiarty, les prochaines versions intégreront la restauration des couleurs, une gomme intelligente pour effacer les éléments indésirables, davantage de formats d'export, et d'autres améliorations pensées autant pour le grand public que pour les professionnels.
Toutes les photos n'ont pas besoin de restauration de visage par IA, mais quand c'est le cas…
Améliorer un portrait peut prendre du temps. La fonction AI Face Restoration d'Aiarty vous permet d'améliorer facilement les détails du visage pour un rendu plus net et agréable à regarder.
Deux modes vous permettent d'affiner le rendu. Le Gradient Overlay offre une amélioration progressive et subtile, idéale si vous souhaitez conserver l'aspect naturel du cliché. Le Routine Overlay, quant à lui, pousse l'amélioration plus loin, révélant des détails que l'on croyait perdus à jamais. C'est vous qui choisissez le degré d'intervention, du coup de pouce discret à la transformation manifeste.
Lors de tests sur un portrait de famille légèrement flouté par des conditions de prise de vue difficiles, l'application du Gradient Overlay a restitué les contours des visages avec une délicatesse remarquable. En basculant sur le Routine Overlay, les textures de peau et les cheveux ont gagné en définition, offrant un résultat quasi professionnel.
Curseur d'intensité : la précision au bout des doigts
Nouveauté bienvenue, le Strength Slider permet d'ajuster manuellement le niveau de netteté et de réduction du bruit. Fini le temps où il fallait choisir entre une image trop adoucie ou une suraccentuation désagréable. Désormais, vous modulez l'intensité selon vos préférences et le type de photo.
Glissez le curseur vers le bas pour obtenir un aspect plus doux et naturel, parfait pour les portraits intimistes où vous voulez éviter l'effet « trop retouché ». Poussez-le vers le haut pour récupérer les détails les plus fins, ce qui se révèle particulièrement utile sur les clichés animaliers, où chaque plume, chaque poil compte. Sur un gros plan de rapace, par exemple, l'ajustement à haute intensité a fait ressortir la structure même des plumes avec une précision stupéfiante.
Correction colorimétrique express
Les couleurs qui tirent sur le vert sous un éclairage néon, les clichés jaunis d'un coucher de soleil surexposé, les ambiances ternes d'une photo prise en intérieur : autant de situations que l'on connaît tous. Aiarty intègre des outils de correction chromatique qui permettent d'ajuster la balance des blancs, l'exposition, le contraste, la saturation et la teinte en quelques clics.
Lors d'un test sur une photo de paysage crépusculaire aux tons déséquilibrés, la manipulation des curseurs a restitué les nuances orangées du ciel et les tons bleutés de l'eau, transformant un cliché fade en une image vibrante. Aucun besoin de maîtriser Photoshop ou Lightroom : l'interface reste intuitive, même pour ceux qui débutent dans la retouche.
Des modèles IA taillés pour chaque situation
Aiarty ne se contente pas d'un seul algorithme. Le logiciel propose plusieurs modèles d'intelligence artificielle, chacun optimisé pour un type d'image spécifique.
More Detail GAN v3 constitue le modèle par défaut, conçu pour ajouter des détails complexes et améliorer la clarté globale. Il excelle sur la plupart des photos du quotidien.
AIGC Smooth v3 cible les créations générées par IA, les illustrations animées et les textures lisses. Si vous travaillez sur de l'art numérique ou des visuels stylisés, ce modèle préserve l'esthétique tout en rehaussant la qualité.
Real-Photo v3 se concentre sur les images réalistes. Il maintient un aspect naturel tout en améliorant la définition, sans tomber dans l'hyperréalisme artificiel.
Smooth Diff v2 se spécialise dans le lissage et l'élimination des imperfections, rendant les images plus nettes et fidèles à l'intention initiale du photographe.
Mieux encore, Aiarty permet d'upscaler vos photos jusqu'à huit fois leur taille d'origine, atteignant une résolution de 32K. Que vous prépariez une impression grand format, un fond d'écran haute résolution ou un visuel destiné à un écran 8K, vos images conservent leur piqué même en zoomant à outrance. Un test sur une photo de faune sauvage traitée avec le modèle More Detail GAN v3 a produit un résultat saisissant, révélant des textures que l'œil nu peinait à distinguer sur le fichier d'origine.
Retours du terrain : l'avis des pros
Les photographes professionnels commencent à adopter Aiarty, et leurs retours sont éloquents. L'un d'eux souligne que « l'approche combinant GAN et diffusion fonctionne remarquablement bien pour améliorer les images, y compris les paysages et les scènes urbaines ».
Un autre témoignage évoque une photo de la tour Taipei 101, dont les détails récupérés après traitement se sont révélés « remarquables, bien plus nets une fois zoomés ». Un photographe animalier s'est montré impressionné par la version 3.5, louant la réduction du bruit et la simplicité d'utilisation. Le résultat de son test, visible sur la capture d'écran ci-dessus, illustre parfaitement la qualité d'amélioration obtenue sur un cliché de faune sauvage.
Ces retours ne sont pas anodins : ils attestent que le logiciel dépasse le simple gadget grand public pour s'imposer comme un outil sérieux dans l'univers de la retouche photographique.
Pourquoi choisir Aiarty maintenant ?
Si vous cherchez une solution accessible pour améliorer vos images sans vous perdre dans des tutoriels interminables, Aiarty coche toutes les cases. L'outil combine qualité, rapidité et facilité d'emploi, que vous souhaitiez upscaler, débruiter ou restaurer les détails d'une photo.
La version d'essai gratuite vous permet de tester le logiciel avant de vous décider. Et si vous passez à l'acte maintenant, vous profitez de la promotion de Noël à un tarif jamais vu : 64 € avec le code XMASSAVE, pour une licence à vie sans abonnement.
La Commission européenne vient de préciser les contours de sa future catégorie M1E, destinée aux petites voitures électriques. On connaît désormais les critères exacts, le système de super-crédits CO2 et l'assouplissement de l'objectif 2035.
Samsung est de nouveau le premier acteur à battre un record de finesse sur les puces mobiles. Cette fois, c’est l’Exynos 2600 qui a les honneurs d’être la première puce gravée à 2 nm, devançant TSMC qui devrait déployer une gravure équivalente l’an prochain, notamment pour les puces A20 d’Apple qui équiperont les futurs iPhone 18 Pro. Ce n’est pas vraiment un nouvel échec pour TSMC ou Apple toutefois, l’entreprise sud-coréenne avait déjà été la première sur le 3 nm, en lançant la production à ce niveau de gravure mi-2022, plus d’un an avant l’arrivée de cette gravure chez Apple, à l’automne 2023.
Image Samsung/iGeneration.
En réalité, l’avance de Samsung n’est pas aussi grande qu’on pourrait le croire et l’entreprise n’hésite pas à communiquer au plus vite, sans nécessairement avoir de produit à commercialiser derrière. L’exemple de la gravure à 3 nm est à cet égard frappant : après l’annonce initiale en juin 2022, la première puce pour smartphone conçue par Samsung qui exploite cette gravure est l’Exynos 2500 sortie… cette année. Il a fallu près de trois ans entre l’annonce initiale et la sortie d’un produit, si bien que dans les faits, c’est bien TSMC et Apple qui ont gardé leur avance en sortant la puce A17 Pro gravée à 3 nm dès septembre 2023.
Est-ce que l’histoire se répétera avec le passage au 2 nm ? En théorie non, puisque Samsung a cette fois présenté une puce de smartphone et pas seulement un procédé de gravure. L’Exynos 2600 devrait rapidement trouver place dans des téléphones, probablement dans la gamme Galaxy S26 attendue en début d’année prochaine. Si tout se passe comme prévu, Apple sera cette fois bien battu de plusieurs mois sur le terrain de la gravure. Reste à savoir si cela apportera un avantage décisif à son concurrent asiatique en matière de performances, car jusque-là, les puces pommées ont gardé une belle avance technologique.
Image Samsung.
Samsung met en avant plusieurs innovations sur la page dédiée à l’Exynos 2600, dont un tout nouveau système de gestion thermique, inédit dans une puce pour smartphone d’après le fabricant. Le Heat Path Block (HPB) « optimise le chemin de transfert thermique afin de disperser la chaleur plus efficacement », ce qui permet « à la chaleur interne d’être évacuée plus rapidement et de maintenir une température interne stable du SoC, même sous forte charge ». Par rapport à la génération précédente, Samsung met en avant des gains à hauteur de 16 %, sachant que l’on parle ici d’optimisations internes, pas du refroidissement de la puce prévu par le smartphone.
Samsung a par ailleurs prévu d’intégrer dix cœurs ARM de dernière génération pour former un processeur 39 % plus rapide que son prédécesseur. Ce sera sans doute encore plus inévitable en 2026, l’intelligence artificielle sera centrale et le constructeur promet des gains à hauteur de 119 % pour le moteur neuronal inclus, par rapport à celui de l’Exynos 2500. L’IA est partout et même dans le GPU, qui devrait doubler les performances notamment grâce à la génération d’images intermédiaires et à l’agrandissement des images de base, deux techniques désormais courantes.
Pour en revenir à Apple, TSMC promet que la gravure à 2 nm permettra d’augmenter les performances de 15 % en gardant la même consommation, de baisser la consommation de 25 à 30 % à performances égales ou un mix des deux, ce qui est le plus courant. La densité des transistors devrait augmenter de 15 % environ, ce qui permettra soit de réduire la superficie de la puce, soit d’inclure davantage de composants à taille égale. Cette nouvelle gravure devrait toutefois avoir un coût, d’autant que le contexte n’est plus aussi favorable à Apple.
Après des mois d’incertitude, TikTok semble enfin avoir trouvé une porte de sortie sur le marché américain. Selon Axios, ByteDance a accepté de céder les opérations américaines de TikTok à un consortium d’investisseurs comprenant Oracle, Silver Lake et le fonds émirati MGX.
Le moniteur Studio Display d'Apple rencontre un bug de scintillement lorsqu'il est connecté à un Mac sous macOS Tahoe, rapporte MacRumors qui a repéré de multiples témoignages d'utilisateurs se plaignant de ce désagréable phénomène. Le problème serait apparu dès la première version de...
OpenAI vient de lancer ChatGPT Go en France, une nouvelle formule à 8 euros par mois qui permet d'accéder à GPT-5.2 sans payer le prix fort de l'abonnement Plus. Certains abonnés actuels pourraient même bénéficier d'un tarif réduit à 4 euros.
Mophie revisite son célèbre kit de charge pour voyageurs avec une édition limitée aux coloris pastel assez inhabituels, mais franchement canons. Au-delà de l'esthétique, cette nouvelle mouture intègre la certification Qi2 et la charge rapide pour Apple Watch, promettant de simplifier la vie numérique des nomades, à condition d'accepter un tarif qui reste élevé.
Quelques mois après son lancement, OpenAI propose depuis peu ChatGPT Go en France. Cet abonnement facturé 8 € par mois pour les nouveaux abonnés (et peut-être moins si vous êtes déjà abonné) est une formule d’entrée de gamme qui intègre les mêmes fonctionnalités que la version gratuite, mais avec des limites supérieures. ChatGPT Plus, l’offre payante la plus abordable jusque-là, est quasiment trois fois plus chère, même si elle ajoute quelques fonctions supplémentaires et encore plus d’usage des modèles de base.
La nouvelle grille tarifaire de ChatGPT pour les particuliers en France. Image MacGeneration.
ChatGPT reste gratuit à la base et on peut même l’utiliser de manière très légère sans compte. Se connecter avec un compte OpenAI permet une utilisation plus intensive des fonctionnalités de base : discussions avec les variantes allégées du grand modèle de langage du moment et créations de textes et images. Il y a toutefois des limites quotidiennes suffisamment basses pour gêner un usage même modéré, en particulier si on veut utiliser des fonctionnalités comme une réflexion prolongée avec les modèles plus avancés.
Jusque-là, il fallait débourser pas moins de 23 € par mois pour lever ces limites, alors l’introduction de la formule ChatGPT Go est une bonne nouvelle à cet égard. Pour 8 € par mois, on a un accès plus large à GPT-5.2 et ses futures mises à jour, on peut créer plus d’images au quotidien, importer des fichiers en plus grand nombre et plus lourds, ou encore utiliser plus souvent le modèle « Thinking », qui offre des réponses plus complexes. Comme toutes les entreprises du secteur, OpenAI se garde bien de définir clairement les limites qui subsistent et son site se contente d’indiquer :
ChatGPT Go inclut des limites d’utilisation plus élevées que l’offre gratuite pour le chat principal et les outils. Ces limites peuvent varier en fonction des conditions du système afin de garantir une expérience fluide pour l’ensemble des utilisateurs.
Seul l’usage permet de déterminer si l’option Go pourrait suffire ou si la formule Plus reste nécessaire. La réponse dépendra sûrement du nombre de requêtes approfondies utilisées chaque jour ainsi que de la taille du contexte, c’est-à-dire du nombre d’informations associées à une demande. Si vous comptez souvent sur ChatGPT pour lire de longs documents ou pour analyser de grandes quantités de code source, vous aurez probablement besoin de monter votre abonnement d’un cran. ChatGPT Plus a d’autres arguments à faire valoir, avec la possibilité d’organiser les échanges en projets thématiques, l’accès à Codex qui sert à générer du code ou à Sora pour créer des vidéos.
Cela dit, si vous vous étiez abonné à ChatGPT Plus et que vous n’utilisez pas ces avantages ou tout simplement que vous souhaitez économiser un peu sur votre facture mensuelle, sachez qu’il est possible de descendre sur la formule Go. Dans mon cas, OpenAI me propose même un tarif réduit, puisque je ne paierais que 4 € par mois, soit quasiment six fois moins ! Voilà qui est tentant, sachant que je n’utilise jamais Sora et rarement Codex et même si j’ai commencé récemment à exploiter les projets, je pourrais m’en passer pour faire de belles économies.
Étant actuellement abonné à ChatGPT Plus, OpenAI me propose une réduction sur le forfait Go. Image MacGeneration.
Tous ces forfaits étant sans engagement, rien n’empêche de les tester pendant un mois avant de changer d’avis. C’est vrai pour la formule Go comme pour la Pro, vendue à 229 € par mois pour un usage illimité de ChatGPT (avec tout de même quelques garde-fous techniques) et un accès aux nouveautés en avant-première. C’est sans doute bien trop élevé hors d’un contexte professionnel, mais rien ne vous interdit d’essayer un mois pour trancher.
Si l'iPad Air M3 vous fait de l'œil, sachez qu'il est actuellement possible de profiter d'une promotion vraiment intéressante afin de l'acquérir au meilleur prix
Testée à grande échelle lors des Jeux olympiques de Paris, la vidéosurveillance algorithmique n’en a pas fini avec l’espace public français. Les députés ont voté la prolongation de cette expérimentation sécuritaire jusqu’au 31 décembre 2027, relançant un dispositif aussi ambitieux que controversé.
Tim Sweeney avait promis un retour de Fortnite sur l’iPhone au Japon quand le pays avait annoncé son intention de forcer Apple à ouvrir son smartphone. Maintenant que la loi MSCA a été votée et que l’iPhone va effectivement s’ouvrir aux boutiques alternatives, on apprend finalement qu’il n’en sera rien. Le patron d’Epic Games a détaillé ses raisons sur X et la plus importante est financière : il n’apprécie pas les 5 % qu’Apple peut exiger sur chaque transaction effectuée hors de l’App Store.
Image Epic/iGeneration.
La réglementation japonaise permettrait à Epic Games de proposer son jeu phare sans utiliser le système de paiement de l’App Store et donc sans reverser la commission de 15 ou 30 % exigée par Apple. On peut rappeler que c’était en effet le point de conflit entre le créateur de Fortnite et le concepteur de l’iPhone et ce qui avait poussé Tim Sweeney à affronter directement Apple en 2020. À l’époque, une mise à jour avec une boutique qui proposait des achats en direct avait été distribuée, entraînant la suppression de l’app sur la boutique et un long procès qui n’est toujours pas terminé cinq ans plus tard.
Depuis, Apple a été contrainte d’assouplir ses règles, en particulier en Europe dans le cadre du DMA. Cela a permis à Fortnite de revenir grâce à des boutiques d’apps alternatives, puis même sur l’App Store, où il est désormais possible de proposer des méthodes alternatives de paiement.
Retour au Japon : pourquoi est-ce que Tim Sweeney refuse finalement d’y lancer Fortnite, s’il peut à la fois compter sur des boutiques tierces et sur des moyens de paiement alternatifs dans l’App Store ? Contrairement aux règles actuellement en vigueur en Europe, les législateurs japonais ont permis à Apple de prélever un pourcentage sur chaque transaction effectuée dans une app installée sur l’iPhone, peu importe son origine. Un développeur devra ainsi reverser 5 % pour les apps distribuées sur une boutique tierce et 15 % s’il veut utiliser un moyen de paiement externe sur l’App Store.
Néanmoins, comme le rappelle MacRumors, la situation va bientôt changer en Europe, où Apple va imposer la même commission de 5 % à partir du 1er janvier 2026. Jusque-là, les développeurs pouvaient opter pour un prélèvement unique de 50 centimes, ce qui était certainement plus intéressant pour une app comme Fortnite, où les joueurs peuvent dépenser régulièrement des sommes parfois importantes. Cet avantage va disparaître en Europe, alors est-ce que le jeu d’Epic Games disparaîtra lui aussi ?
Outre les questions financières, Tim Sweeney critique aussi les écrans systématiquement affichés par iOS lorsque l’on veut sortir du cadre de l’App Store et qui vont sans doute dissuader une partie des utilisateurs. Selon lui, Apple respecte la loi japonaise avec mauvaise foi et n’essaie pas vraiment d’ouvrir son iPhone à la concurrence, en faisant tout pour empêcher l’émergence d’une alternative populaire.
Tim Sweeney n’hésite jamais à utiliser Fortnite comme moyen de pression sur Apple et Google et c’est encore une fois le cas au Japon. Pour autant, le législateur semble satisfait de l’implémentation d’Apple, alors on ne sait pas trop quelle marge de manœuvre il pourrait avoir. Peut-être que ses arguments feront mouche et que le MSCA sera à son tour ajusté en sa faveur…
Nous vous avons parlé récemment de la disparition de la marque Crucial destinée au grand public. L'une des raisons de cette fermeture est liée à la pénurie de mémoire que Micron préfère maintenant destiner à son marché professionnel plus rémunérateur.
La hausse des cours de la DRAM et de la NAND continue et les analystes n'espèrent pas de changement de tendance avant la fin 2026, si tant-est que la demande des centres de données destinés aux calculs "IA" ne continue pas à exploser
Les premières conséquences seront une hausse de prix des appareils électroniques. Selon leur tarif et la marge des fabricants elle sera surtout conséquente pour les produits d'entrée de gamme. D'ailleurs le chamboulement va aller plus loin. Par exemple, Nvidia va cesser de fabriquer certaines cartes graphiques d'entrée de gamme et va produire de manière privilégiée des cartes plus coûteuses. Ce sera bien plus rentable pour la société, la RAM étant la même sur le plus gros des produits. Il y aura certainement d'autres annonces du même genre pour les autres produits.
On vous parlait d'une arrivée probable d'un MacBook d'entrée de gamme doté d'une puce A18Pro. Cette tendance pourrait en freiner la sortie à moins qu'Apple ne limite sa RAM au strict minimum ce qui ne serait pas une bonne nouvelle pour l'usage et la pérennité de la machine.
À quelques jours de Noël, on peut encore profiter de bons plans sur des produits Apple. Le MacBook Air M2 est disponible à 749 € à la Fnac et chez Darty. Dans les deux cas, une livraison avant Noël est proposée. C’est un tarif devenu assez habituel, Amazon fait le même, mais en plus le groupe français offre 50 € en carte cadeau.
Chez Darty, il faut utiliser le code MACBOOK50 lors de la commande pour en profiter. Attention à une chose, les conditions d’utilisation de la carte cadeau sont assez strictes : elle est valable uniquement dans les magasins Darty de France métropolitaine, hors darty.com, du 10/01/2026 au 24/02/2026.
À la Fnac, les conditions sont différentes : les 50 € reversés sont réservées aux adhérents Fnac+ et sont valables 30 jours à partir de la réception du produit. Dès le cumul de 1 € sur le compte fidélité, il est possible d'obtenir un chèque-cadeau virtuel Fnac du montant cumulé valable dans les magasins Fnac et Darty participants ainsi que sur Fnac.com.
Même s’il a été lancé il y a trois ans, le MacBook Air M2 reste dans le coup. Il est léger, silencieux, performant et endurant — il tient sans aucun problème une longue journée. Deux générations lui ont succédé, mais la formule n’a pas changé, si bien qu’il est tout à fait recommandable encore aujourd’hui.
Il n’est pas trop tard pour faire des économies sur ses cadeaux de Noël Apple. L’iPhone 17 Pro orange est vendu 1 184 € sur Amazon Italie au lieu de 1 329 € chez Apple. Il est affiché à 1 199 € sur Amazon.it, mais une fois les taxes et les frais de livraison calculés, il revient à 1 184 €. Il est livré en France le 24 décembre, juste à temps pour l’emballer et le mettre sous le sapin, donc.
Vous pouvez passer commande sur Amazon Italie avec votre compte Amazon français. Seule la couleur orange est disponible avant Noël.
Si vous l’ignorez, l’iPhone 17 Pro représente le top du top chez Apple. Il a un magnifique écran OLED de 6,3", une nouvelle structure unibody solide, une puissance de feu, un appareil photo ultra complet (enfin, presque) et une excellente autonomie. Les seules critiques qu’on peut lui faire, c’est que son design n’est pas du goût de tout le monde et surtout qu’il est relativement lourd et imposant.
Vos proches ont déjà des iPhone qui tiennent la route ? Une Apple Watch peut faire un très beau cadeau. En plus, c’est moins cher qu’un smartphone. L’Apple Watch Series 11 est à 358 € sur Amazon Italie, soit 20 % de moins que chez Apple.
L’Apple Watch Series 11 est une excellente montre connectée, l’aboutissement d’une dizaine d’années d’évolutions. Les progrès par rapport à la Series 10 sont très minimes, mais l’écart devient nettement plus perceptible face aux générations précédentes. C’est une montre fine et très bien finie, avec une bonne autonomie et de multiples fonctionnalités utiles au quotidien. Si vous voulez le meilleur de l’Apple Watch sans passer à la massive Ultra, vous ne serez pas déçu.
SpaceX vient de commander plus de 1 000 Cybertrucks à Tesla, pour un montant estimé entre 80 et 160 millions de dollars. Un achat massif qui tombe à pic pour gonfler les ventes du pick-up électrique en cette fin d'année, alors que les chiffres sont catastrophiques.
Si vous êtes comme moi et que votre sac à dos ressemble davantage à une boutique d'électronique qu'à un bagage à main, vous savez que l'autonomie est le nerf de la guerre. Entre le MacBook Pro pour monter des vidéos en déplacement, l'iPhone qui chauffe en partage de connexion et l'iPad pour les moments de détente, la quête de la batterie externe parfaite est un éternel recommencement. Mais avec sa
SpaceX a perdu le contrôle d'un satellite Starlink après une anomalie survenue le 17 décembre. L'engin spatial, désormais en chute libre, devrait se désintégrer dans l'atmosphère dans les semaines à venir. Un incident qui intervient dans un contexte de surpopulation orbitale quelque peu problématique.
DJI, leader mondial des drones civils et des technologies de captation visuelle, met sa technologie au service de la prévention des risques climatiques.