Les GAFAM se révèlent être au centre de toute activité numérique avec tous les avantages qu’il offre à ses utilisateurs. Il présente toutefois une face cachée qui, heureusement, peut être remédiée.

Les GAFAM profite bien à l’ensemble de la population mondiale, notamment dans les recherches et l’interaction avec le reste du monde. Dans cet article, vous allez découvrir le fonctionnement des GAFAM, les avantages et les inconvénients liés à leur utilisation. Nous ne manquerons pas de vous proposer des mesures alternatives pour que vous puissiez profiter d’internet sans que vos informations personnelles ne soient collectées à votre insu.

GAFAM : qu’est-ce que c’est ?

GAFAM est l’appellation qui englobe les géants américains de la technologie. Il s’agit de Google, Apple, Facebook, Amazon et Microsoft.

Ces cinq sociétés ne sont pas uniquement les plus utilisées, ce sont aussi les plus cotées en bourse aux Etats-Unis. En effet, la capitalisation boursière pour les GAFAM s’élève à 4,5 milliards de dollars et ils sont tous côtés en NSADAQ.

Ici, on parle surtout de l’emprise de ces géants sur l’ensemble des secteurs d’activités en général. Les GAFAM à lui seul possède une mainmise sur la quasi-totalité des secteurs. Il possède même une grande influence sur le plan politique.

Plus connu pour sa grande capacité à collecter des données, les GAFAM semblent supplanter les gouvernements, même les plus puissants. D’où sa domination actuelle.

Ces géants de la technologie dominent par le numérique

Très récemment, le site de streaming Netflix est monté en puissance et a trouvé une place au sein de l’oligopole de la technologie.

Aussi, un nouvel acronyme, le FAANG, qui englobe Facebook, Apple, Amazon et Google, est né. Dans ce nouvel acronyme, Microsoft a cédé sa place à Netflix.

Netflix appartient cependant à un autre secteur, les services aux consommateurs. Une précision s’impose, Amazon, même avec son service de streaming Amazon Prime Vidéo, œuvre surtout dans le secteur du Cloud Computing et de l’e-commerce.

A côté du FAANG, un autre acronyme, le NATU : Netflix, Airbnb, Tesla et Uber, a gagné en popularité.

En Chine, on rencontre des firmes qui connaissent le même succès que les GAFAM, on parle du BATX : Baidu, Alibaba, Tencent et Xiaomi.

Comment les GAFAM ont-ils conquis le monde ?

Le succès des GAFAM se traduit par la somme colossale qu’il représente, rien qu’en matière de cotation en bourse. Mais si cela est possible, c’est surtout grâce à l’acquisition de plusieurs sociétés, des startups notamment.

Voici quelques-unes de ces acquisitions qui ont fait les GAFAM ce qu’il est aujourd’hui :

Google

En 2005, Google a aussi acheté Android avec son système d’exploitation mobile pour 50 millions de dollars.

Google à lui seul a acquis plus d’une trentaine de sociétés d’IA, en l’occurrence DeepMind, en 2014 contre 625 millions de dollars. Dans le secteur du Cloud Computing, il a acheté Alooma, Looker, Elastifile et CloudSimple en une année.

Si Google se trouve à la tête de la cartographie numérique, c’est surtout grâce à l’acquisition de son principal concurrent Waze, en 2013. Sans parler de l’ensemble des outils inclus dans Google Drive qui résultent presque tous d’acquisitions.

Quant à YouTube, Google l’a acheté pour 1,6 milliard de dollars et ses revenus publicitaires résultent d’une acquisition d’une startup, Doubleclick.

Apple

Apple a acquis des entreprises spécialisées dans l’automatisation des logiciels et les assistants virtuels. À cet effet, la firme a acquis Siri en 2010. Le programme a été initié par le ministère de la Défense.

En moins d’une décennie, Apple a englouti 14 entreprises spécialisées dans l’IA, la reconnaissance faciale et le Machine Learning. L’acquisition de certaines sociétés proposant des services connexes fait également partie de sa politique d’expansion.

Par exemple, Apple a racheté Beats en 2014 pour une valeur totale de 3 milliards de dollars. Cela lui a permis de développer Apple Music, actuellement plus utilisé dans le secteur du streaming musical. Une telle acquisition a permis à ce géant de concurrencer Spotify.

En 2019, Apple a enregistré plus de 20 achats d’entreprises.

Facebook

Quant à Facebook (nouvellement Meta), ses débuts ont même commencé par le rachat de la société AboutFace dont le nom de domaine était « facebook.com ». Après cette acquisition, ce nom n’a pas changé et est devenu le réseau social le plus utilisé au monde. 

Avec les 19 milliards de dollars que Marc Zuckerberg a dépensé pour acheter WhatsApp, Facebook a fait les plus grosses dépenses en matière d’acquisitions. Facebook a également entrepris d’autres achats comme celui d’Instagram en 2012 pour un milliard de dollars.

Snapchat est également dans son viseur bien que son fondateur, Evan Spiegel, ait refusé de le lui vendre pour 3 milliards de dollars. Les revenus publicitaires de Facebook résultent de deux achats, Atlas en 2013 et LiveRail en 2014. 

La firme s’est également lancée sur le marché de la réalité virtuelle après l’acquisition d’Oculus (Meta actuellement) pour 2 milliards de dollars en 2014.

Amazon

Son histoire a commencé avec l’ouverture d’une librairie en ligne. Aujourd’hui, Amazon développe la plus grande plateforme d’achat qui rassemble des acheteurs du monde entier. L’acquisition de diverses entreprises du secteur, Zappos en l’occurrence, en est la première cause, mais pas seulement.

Amazon a conquis le secteur de l’alimentation en acquérant Whole Foods Market. L’achat a été réalisé avec 13,7 milliards de dollars. Si la firme a du succès dans le secteur de l’IoT grâce aux rachats d’entreprises de sécurité domestique et de routeurs. AWS, la branche de l’industrie du cloud d’Amazon résulte d’une série d’achats de startups. AWS a désormais atteint son apogée au niveau mondial.

Microsoft

Pour Microsoft, les plus connues des acquisitions sont celles de Skype et Bing.

Skype était, au départ, un service de messagerie instantané qui a réuni des millions d’utilisateurs. Il a été acheté par Microsoft, sans doute pour concurrencer Facebook Messenger et Google HangOut.

Aujourd’hui, Bing est devenu le moteur de recherche par défaut de Microsoft Bing. C’est ainsi le principal concurrent de Google. DuckDuckGo ou Dogpile ne possèdent qu’une faible part du marché.

Ce que les GAFAM savent de nous 

Avec autant de violations de la vie privée, la plupart des internautes se demandent ce que les autres géants de la technologie savent vraiment sur eux.

Le site Security Baron a examiné les politiques de confidentialité des GAFAM, dont Facebook, Google, Apple, Twitter, Amazon et Microsoft. Il a créé une infographie pratique montrant les types de données que chacune de ces entreprises admet collecter. En fait, pour ces dernières, les données sont de l’argent.

Facebook se révèle être la plus gourmande en données. En effet, ce réseau social collecte diverses informations que ce soit sur le travail, les salaires, l’origine ethnique, les croyances religieuses. Il recueille également les données sur les publicités que l’utilisateur consulte, le numéro de téléphone de ce dernier, son adresse électronique, sa localisation voire le type d’appareil dont il se sert.

En revanche, Twitter est « relativement passif » en ce qui concerne la collecte de données. Le service de microblogging ne recense pas le nom, le sexe ou la date de naissance des utilisateurs. Toutefois, il enregistre leur numéro de téléphone, leur adresse électronique, leur fuseau horaire, les vidéos qu’ils regardent.

De leur côté, Google et Microsoft constituent les deux principaux acteurs de la collecte de données. Avec Cortana qui écoute et Gmail qui surveille tous les courriels, l’omniprésence de ces deux entreprises leur donne accès à une énorme quantité d’informations personnelles.

Une mainmise sur tous les secteurs

La plupart des révolutions politiques naissent de discussions sur Facebook et Twitter. Le printemps arabe, entre autres. Récemment, l’ancien président des États-Unis, Donald Trump, se retrouvait censuré des réseaux sociaux.

Puis, avec la crise sanitaire du covid -19, la distanciation sociale a amplifié le succès des GAFAM.

Facebook fait désormais figure de principal moyen de rencontre avec la famille. YouTube connaît son plus grand succès avec des millions d’abonnés qui y vont pour se divertir. Quant à la livraison d’articles, elle se fait facilement via Amazon.

Bien sûr, la majorité des appareils fonctionnant sous Windows, macOS, Android ou iOS.

Avec toutes les données collectées, ces géants connaissent le moindre mouvement et même les intentions les plus minimes. Ils peuvent les utiliser à des fins publicitaires ou pour influencer votre comportement d’achat.

De là à dire que les GAFAM sont devenus une arme redoutable pour prendre le pouvoir et que la crise du covid -19 n’a fait qu’accentuer sa domination.

La bataille des GAFAM pour le métavers

La bataille entre Apple et Facebook se poursuit dans le métavers. Mark Zuckerberg prend aujourd’hui la tête de la bataille pour le métavers parce qu’il est déterminé à empêcher Apple de dominer l’après-smartphone. Selon la Silicon Valley, cette révolution sera un mélange de casques et de lunettes, d’applications de réalité mixte et de présence à distance.

Meta, anciennement connu sous le nom de Facebook, investit désormais massivement dans toutes sortes de matériels. Il s’agit d’appareils de réalité virtuelle, de réalité augmentée, de systèmes pour la maison intelligente et autres. Parmi les leaders de la GAFAM capables d’intégrer véritablement le métavers, Apple se distingue par sa capacité à initier les consommateurs sceptiques à de nouvelles méthodes informatiques. Apple s’apprête à prendre la tête du mouvement vers le métavers avec son propre appareil AR portable à la fin de l’année prochaine.

Si la migration vers le métavers a été lente, elle s’accélère. Parmi les concurrents de la GAFAM sur la piste de la virtualisation de tous se trouvent également Alphabet. Ce dernier intègre désormais la réalité augmentée dans son moteur de recherche Google. Amazon a également commencé à inclure des affichages de produits en AR dans certaines de ses offres de commerce électronique.

Comment se prémunir contre l’emprise des GAFAM sur le net ?

Sans conteste, cette oligopole ne va pas cesser d’étendre son empire. Il y a toutefois des alternatives afin d’y remédier.

L’idéal c’est de laisser de côté tous les produits des GAFAM afin d’éviter que vos échanges électroniques et vos conversations ne soient pas surveillés. Protonmail ou Tutanota offrent des services de messagerie cryptés.

Les outils de cryptage PGP permettent aussi de chiffrer vos conversations.

Pour sécuriser vos conversations via les messageries instantanées, utilisez plutôt Signal et optez pour Gab ou Parler à la place de Twitter et Facebook.

Quant au streaming vidéo, il est conseillé d’utiliser Odysee ou Rumble. Vimeo peut aussi héberger vos vidéos au lieu de YouTube.

Enfin, pour vos achats, privilégiez le commerce local. Non seulement les produits sont frais mais vous contribuez aussi au développement de l’économie locale. Tout cela en échappant à l’emprise des GAFAM.

L’Union Européenne face aux GAFAM

Ces géants américains de la technologie sont aussi sujets à controverse au sein de l’Union Européenne. Cette dernière s’oppose en particulier à l’utilisation du Big Data par les GAFAM en vue de renforcer leur pouvoir sur le marché mondial.

Pourquoi et comment l’Union Européenne s’oppose aux GAFAM ?

L’Union Européenne condamne la façon dont les GAFAM accaparent les marchés mondiaux. Raison pour laquelle ce vieux continent a intenté plusieurs procès contre les firmes du GAFAM.

L’Union Européenne a ainsi gagné au procès contre Microsoft pour des pratiques anticoncurrentielles. Ce dernier a été condamné à une peine d’amende de 2,2 milliards d’euros.

Le vieux continent a réprimandé Google pour avoir utilisé des informations personnelles à des fins commerciales. Google a été condamné à une peine d’amende de 50 millions d’euros.

Les amendes infligées à Google s’élèvent à 10 milliards de dollars depuis 2010 pour 3 procès différents.

Amazon est aujourd’hui mal-vu en Europe en raison de sa politique de restriction géographique et revendique l’uniformisation des produits dans tout le continent.

Quelle politique anti-GAFAM l’Union Européenne adopte-t-elle ?

Depuis 2020, l’Union Européenne envisage de concurrencer les GAFAM. Pour commencer, celle-ci va créer un « marché unique européen des données » qu’elle pense pouvoir mettre en place d’ici 2030.

Cette politique vise à faire circuler librement les données dans toute l’étendue de l’Europe. Ce qui va faciliter l’exploitation de ces données par toutes les entreprises et créer des géants européens de la technologie tout en assurant une concurrence saine.

Avec l’initiative « Open Data », l’Union Européenne envisage la réutilisation des données de grande valeur.

L’Europe va également établir une nouvelle infrastructure cloud qui prendra en charge cette phase de réutilisation en investissant 4 à 6 milliards d’euros.

Pour ce qui est de l’IA, 20 milliards d’euros par an vont être investis pour la décennie à venir à cette fin, tout en respectant l’éthique humaine et l’impartialité.

L’authentification biométrique reste encore loin d’être approuvée au sein du vieux continent.

Peut-on faire vaciller les GAFAM ? 

Le succès de GAFAM est si grand que certains pensent qu’il est impossible de l’arrêter. Or, ces géants sont menacés par des concurrents chevronnés et présentent leurs propres vulnérabilités.

Par exemple, Google a été le premier et le seul moteur de recherche à atteindre une échelle massive. Cependant, il a accumulé une longue liste d’échecs, du smartphone Nexus aux Google Glass. Ses tentatives visant à défier les autres géants de la technologie ont échoué ou ont pris beaucoup de retard. Google+ n’a été qu’un défi éphémère pour Facebook, et Google Cloud reste loin derrière Azure de Microsoft dans la lutte contre Amazon Web Services. 

Facebook, Méta, l’entreprise bénéficie du fait d’être le plus grand réseau social du monde, et a, pour la plupart, investi judicieusement en interne. Mais l’entreprise fait l’objet de critiques croissantes pour avoir contribué à la diffusion de fausses informations et de contenus haineux en ligne. Elle pourrait ainsi perdre sa crédibilité auprès des utilisateurs, des annonceurs et de la nouvelle génération de réseaux sociaux.

Amazon doit faire face non seulement à des opérateurs historiques établis, mais aussi à des start-ups ciblées, comme les producteurs de produits de consommation directe. Le commerce de détail reste un secteur difficile et très concurrentiel, avec des avantages durables limités.

Les GAFAM et les enjeux environnementaux

Les géants de la technologie jouent un rôle crucial dans l’impact environnemental global en raison de leur taille et de leurs opérations à grande échelle. Bien que ces entreprises aient initié des efforts significatifs pour réduire leur empreinte carbone, plusieurs défis restent à relever.

Google s’est engagé à fonctionner entièrement avec de l’énergie renouvelable, atteignant cet objectif pour ses opérations en 2017. Apple, quant à lui, utilise déjà 100 % d’énergie renouvelable pour ses installations mondiales et pousse ses fournisseurs à adopter des pratiques similaires. Microsoft a annoncé son ambition de devenir « carbone négatif » d’ici 2030, un objectif ambitieux qui inclut la suppression de tout le carbone que l’entreprise a émis depuis sa création en 1975​.

Amazon, malgré ses initiatives comme le « Climate Pledge », fait face à des critiques pour l’empreinte carbone de son vaste réseau logistique et ses centres de données énergivores. Facebook (Meta) a également investi dans les énergies renouvelables, mais la consommation énergétique de ses centres de données et ses infrastructures reste une préoccupation majeure.

En somme, bien que les GAFAM aient pris des mesures pour atténuer leur impact environnemental, l’ampleur de leurs opérations présente des défis continus en matière de durabilité. Une vigilance accrue et des innovations constantes sont nécessaires pour aligner leurs pratiques commerciales avec les objectifs environnementaux mondiaux​​.

À quels défis les GAFAM font-ils face en 2025 ?

L’Union Européenne, avec le Digital Markets Act et le Digital Services Act, impose des contraintes significatives sur leurs pratiques commerciales en 2025. Ces régulations forcent les entreprises à repenser fondamentalement leur approche de la gestion des données utilisateurs et de la concurrence.

par ailleurs, la question de la protection de la vie privée devient de plus en plus centrale en ce début de l’année 2025. Apple, Google et Meta doivent constamment adapter leurs modèles publicitaires face aux demandes grandissantes de transparence et de contrôle des utilisateurs sur leurs données personnelles. Cette évolution impacte directement leurs revenus publicitaires et nécessite le développement de nouvelles solutions respectueuses de la vie privée.

De son côté, l’intelligence artificielle représente à la fois une opportunité et un défi majeur. Microsoft et Google investissent massivement dans ce domaine, mais doivent gérer les préoccupations éthiques et les risques associés au développement de l’IA. La course à l’innovation dans ce secteur intensifie également la concurrence pour les talents et les ressources.

En outre, les centres de données massifs des GAFAM sont scrutés pour leur impact écologique. Ils sont en effet amenés à accélérer leur transition vers des énergies renouvelables et à développer des solutions plus écologiques. Toutefois, la rétention des talents devient de plus en plus complexe.

 

FAQ – Tout savoir sur les GAFAM

Cet article GAFAM : Tout ce que vous devez savoir a été publié sur REALITE-VIRTUELLE.COM.

Vous êtes un vrai passionné de simulateurs de vol pour planifier des trajets réalistes ? Dans ce cas, il est certain que vous connaissez déjà SimBrief. Tous ceux qui cherchent à recréer des vols professionnels dans des environnements virtuels apprécient cet outil. A vrai dire, il reste le choix de prédilection pour les simulateurs de vol. Découvrez pourquoi.

SimBrief est un service en ligne gratuit. C’est l’outil des amateurs de simulateurs de vol pour la planification de leurs voyages aériens. On l’utilise surtout avec des simulateurs comme Microsoft Flight Simulator, X-Plane et Prepar3D.

Grâce à ce logiciel, vous réussirez à créer des plans de vol détaillés. Cela inclut les routes, les altitudes, les procédures de départ et d’arrivée, ainsi que des informations météo. On l’apprécie aussi grâce à son interface simple et sa compatibilité avec d’autres outils. Désormais, de nombreux débutants et experts ne peuvent plus s’en passer. Cet article vous expliquera les principales fonctionnalités de SimBrief, comment s’en servir, et pourquoi il est essentiel pour vivre une simulation réaliste.

SimBrief, la solution de planification de vol complet de Navigraph

C’est Derek Mayer, un passionné d’aviation et développeur informatique qui a créé SimBrif. Il a lancé cet outil en 2013. Son but a été de développer une solution de planification de vol réaliste et gratuite aux passionnés de simulation de vol. Plus tard, en 2021, Navigraph a acquis SimBrief. A titre d’information, cette entreprise est le spécialiste des cartes de navigation aéronautique et les données pour simulateurs de vol. Depuis, le programme ne cesse d’évoluer et il reste gratuit pour les utilisateurs.

Comme nous l’avons mentionné plus haut, SimBrief sert à planifier des vols de manière très précise, comme le font les compagnies aériennes. En pratique, vous indiquez des informations comme l’aéroport de départ, la destination, le type d’avion ou la météo dans un premier temps. SimBrief crée alors un plan de vol détaillé. Ce plan inclut le chemin à suivre, l’altitude conseillée, les points de passage, les routes aériennes, la quantité de carburant nécessaire et les procédures spécifiques pour décoller et atterrir.

Comment créer un bon plan de vol sur le logiciel ?

La première étape de l’utilisation de SimBrief consiste à créer un plan de vol. La démarche est assez simple. Vous devez entrer des informations essentielles. Renseignez les aéroports de départ et d’arrivée et le type d’avion que vous préférez. N’oubliez pas d’autres détails comme la charge utile, les conditions météorologiques et l’heure de départ souhaitée.

Par la suite, le logiciel génère une route de vol personnalisée qui s’appuie sur des bases de données réelles. Il vous fournira également des informations sur les vents, les altitudes et la consommation de carburant. Ce niveau de détail est indispensable pour simuler un vol réaliste. En fait, il donne aux utilisateurs un aperçu de ce à quoi ressemblerait un vol commercial dans le monde réel.

Au sujet des itinéraires de vol et calcul de distance

L’un des principaux avantages de SimBrief ? Sa capacité à générer un itinéraire de vol détaillé, en tenant compte des points de passage, des routes aériennes, des zones de contrôle de l’espace aérien, des restrictions de vol et des arrêts éventuels pour le ravitaillement. Ces informations viennent toujours de bases de données réelles. C’est pourquoi le plan de vol est aussi proche que possible de la réalité.

SimBrief ne se contente pas de créer des itinéraires. Il calcule aussi la distance et le temps de vol en fonction de la vitesse de l’avion et des conditions météo. Ces prévisions permettent aux simulateurs de mieux gérer leur trajet. C’est un peu comme un copilote virtuel, prêt à vous guider à travers les cieux. C’est un vrai atout pour les pilotes en herbe.

Par exemple, si vous planifiez un vol virtuel de Paris à Rome, SimBrief va non seulement vous donner l’itinéraire à suivre, mais aussi vous dire combien de temps cela prendra en tenant compte de la vitesse de l’avion et de la météo. Si le vent souffle fort, le vol pourrait être un peu plus long, et SimBrief vous le signalera. C’est un peu comme si vous aviez un copilote qui vous avertit des conditions pour mieux ajuster votre plan de vol.

Comment SimBrief vous aide à planifier le carburant pour chaque vol

L’une des caractéristiques clés de SimBrief est son calcul détaillé du carburant nécessaire pour le vol. En fonction de l’itinéraire, du poids de l’avion et de la distance parcourue, il apporte des informations précises sur le carburant nécessaire. Ainsi, les utilisateurs peuvent planifier la gestion du carburant de manière réaliste pendant le vol.

Imaginons que vous préparez un vol virtuel de Paris à Madrid. SimBrief va calculer combien de carburant vous aurez besoin en fonction de la distance, du poids de l’avion et des conditions de vol. Par exemple, il pourrait estimer qu’il vous faut 5 000 litres pour ce trajet. Il vous dira aussi quelle altitude choisir pour économiser du carburant et assurer en même temps des performances optimales de l’avion. Cela vous permet de planifier votre vol de manière réaliste, comme si vous étiez vraiment aux commandes.

SimBrief et ses connexions avec les meilleurs simulateurs

Vous serez heureux d’apprendre que SimBrief fonctionne bien avec d’autres outils de simulation de vol, ce qui le rend encore plus utile. Par exemple, il peut se connecter à Navigraph, un logiciel qui génère des cartes très détaillées et des informations de navigation aérienne mises à jour en temps réel. Vous avez donc l’assurance de disposer de données précises pour chaque vol.

De plus, SimBrief est compatible avec des simulateurs de vol très connus comme Microsoft Flight Simulator, X-Plane et Prepar3D. Cela veut dire que vous pouvez facilement importer votre plan de vol dans ces simulateurs. Ainsi, vous démarrerez votre vol virtuel sans perdre de temps à tout saisir manuellement. C’est un vrai gain de temps et de précision pour les passionnés de simulation de vol.

Plus de flexibilité et d’outils grâce à ses intégrations intelligentes

Sur SimBrief, il existe des options pour se connecter à d’autres applications, ce qui vous simplifie encore plus la tâche. Par exemple, vous pouvez exporter votre plan de vol vers SimBrief Downloader. Ce logiciel récupère toutes les informations nécessaires et les utilise même sans connexion internet. C’est pratique si vous n’avez pas accès à internet pendant le vol.

SimBrief peut aussi se connecter à ForeFlight, une application très populaire chez les vrais pilotes. Elle les assiste dans la préparation de leurs vols. Pour ce faire, elle met à disposition des cartes, des prévisions météo, et des informations de navigation détaillées. Grâce à ces intégrations, SimBrief enrichit l’expérience de planification. Il apporte plus de flexibilité et d’outils à la fois pour les simulateurs et les pilotes réels.

Un vol sur mesure, où que vous soyez, avec SimBrief

Vous êtes en déplacement et vous avez besoin de préparer votre vol, mais vous n’êtes pas devant votre ordinateur habituel ? Pas de souci ! Sachez que SimBrief est basé sur le web. Cela signifie que vous pouvez y accéder depuis votre téléphone, tablette ou n’importe quel autre appareil avec une connexion Internet. Vous pouvez préparer votre plan de vol depuis un café, à la maison, ou même pendant un voyage, sans aucune restriction de plateforme.

Outre cela, SimBrief est très personnalisable. Il vous permet d’ajuster votre plan de vol selon vos besoins. Par exemple, vous êtes un pilote qui préfère voler à une altitude plus basse pour profiter de meilleures vues ? Vous pouvez ajuster la hauteur de croisière pour refléter cette préférence. Si vous souhaitez éviter certaines zones de contrôle aérien, vous pouvez les exclure des itinéraires proposés. Qu’en est-il de l’ajustement de la consommation de carburant ?

Imaginons que vous prévoyez un vol long-courrier. SimBrief permet d’adapter la quantité de carburant nécessaire en fonction de différents facteurs, comme la météo ou même les arrêts en cours de route. Vous pouvez ainsi obtenir une estimation précise de la consommation de carburant et ajuster votre plan pour éviter toute surprise.

Un autre point important à aborder concernant SimBrief concerne les restrictions de vol. Lorsque vous planifiez un vol dans une région où des restrictions particulières s’appliquent, comme des zones interdites ou des espaces aériens sensibles, SimBrief vous permet de les prendre en compte. Par exemple, vous pouvez choisir d’éviter certaines zones de vol ou de respecter les réglementations locales. Cette option assure la sécurité et la conformité de votre trajet.

Un plan de vol sur-mesure, à portée de clic

L’interface de SimBrief est facile à utiliser. Même si c’est la première fois que vous l’essayez, vous serez capable de vous balader entre les différentes sections pour créer votre plan de vol. Et pour les plus expérimentés, il y a de nombreuses options de personnalisation pour peaufiner votre trajet à la perfection.

Des vols gratuits, mais la version premium vous emmène plus haut

SimBrief est totalement gratuit. C’est pour cette raison qu’il constitue une option idéale pour les passionnés de simulation de vol qui ne veulent pas dépenser d’argent. Vous pouvez créer des plans de vol complets sans payer un centime. C’est parfait pour ceux qui veulent simplement simuler des vols de manière basique. Par exemple, vous pouvez obtenir des informations de vol détaillées, des horaires de départ et des routes de base pour vos trajets sans frais.

Cependant, si vous souhaitez des outils plus avancés, comme des cartes de navigation plus précises, des informations sur les conditions météorologiques en temps réel, ou des options de personnalisation poussées pour vos plans de vol, vous pouvez opter pour l’abonnement premium.

Par exemple, dans la version premium, vous avez accès à des cartes haute définition pour une navigation plus précise. En outre, vous pouvez ajuster davantage de paramètres comme la consommation de carburant ou les altitudes spécifiques. C’est la solution par excellence pour les plus expérimentés. Ils bénéficient de fonctionnalités supplémentaires impressionnantes.

Bref, SimBrief est un must pour tous les fans de simulation de vol qui veulent des plans de vol réalistes et bien organisés. Avec son interface facile à utiliser, ses fonctionnalités complètes et ses intégrations avec d’autres outils, il vous assiste dans la simulation des vols, presque comme dans la vraie vie. Que vous soyez un débutant ou un pilote chevronné, SimBrief a tout ce qu’il faut pour rendre votre expérience de vol immersive et précise.

Optimisez vos vols avec le nouvel outil de performance de SimBrief

SimBrief améliore encore le réalisme de la simulation avec l’ajout d’un outil avancé de calculs de performance pour le décollage et l’atterrissage. Désormais, il est possible de déterminer automatiquement les limitations de poids et les vitesses essentielles, comme V1 (décision), Vr (rotation) et Vref (approche). Disponible dans l’onglet Performances et outils, cette nouvelle fonctionnalité facilite la planification des vols en toute sécurité.

Dans l’aviation réelle, les performances dictent de nombreux choix opérationnels. Les conditions météorologiques, la longueur des pistes et l’altitude influencent directement les vitesses et masses maximales autorisées. L’outil SimBrief prend en compte ces paramètres et génère des calculs précis pour optimiser chaque phase du vol.

Il permet également d’explorer diverses options, comme l’ajustement des volets, de la poussée ou des réglages de freinage, afin d’obtenir la meilleure configuration possible. Les pilotes virtuels peuvent ainsi affiner manuellement les résultats pour correspondre à leur stratégie de vol.

Compatible avec plus de 100 types d’appareils, dont les Boeing 737 et Airbus A320, cet outil apporte un niveau inédit de précision à la planification des performances. Vous n’avez plus qu’à tester cette fonctionnalité pour améliorer vos décollages et atterrissages.

FAQ – SimBrief en 2025 : tout ce qu’il faut savoir

Cet article Tout savoir sur SimBrief, l’outil de vol préféré des simulateurs a été publié sur REALITE-VIRTUELLE.COM.

Unity 3D est un nom qui résonne dans le domaine du développement de jeux vidéo et des applications interactives. Ce moteur de développement puissant et accessible a permis à de nombreux développeurs de donner vie à leurs idées. Il aide à réaliser des projets allant des petits jeux indépendants aux productions triple A. Mais que signifie réellement Unity 3D pour le monde du développement en temps réel ? Je vous en dis plus sur le sujet.

Unity : De l’outil de création pour Mac à aujourd’hui

L’histoire d’Unity commence en 2005 lorsque trois étudiants passionnés par la technologie décident de créer un outil accessible qui permet le développement de jeux vidéo. Leur objectif était simple : démocratiser le processus de création en offrant un moteur de jeu, puissant mais facile à utiliser. À ses débuts, Unity n’était prévu que pour le développement sur Mac, mais il s’est rapidement ouvert à d’autres plateformes.

Le véritable tournant pour Unity est survenu avec l’introduction du support multiplateforme. Cette innovation a permis aux développeurs de déployer leurs jeux sur Windows comme sur consoles de jeu et sur mobiles. Ce changement a catapulté Unity au premier plan. Il a rendu possible le développement simultané sur plusieurs supports sans devoir repartir de zéro pour chaque plateforme.

Au fil des années, Unity a su évoluer en intégrant des technologies innovantes telles que la réalité virtuelle (VR) et la réalité augmentée (AR). L’intégration de ces nouvelles dimensions a élargi les horizons des créateurs et a ouvert la voie à des expériences immersives toujours plus poussées. Aujourd’hui, Unity continue de dominer le marché grâce à sa capacité d’adaptation et à une communauté croissante de développeurs dédiés.

Des avantages, mais aussi des limites indéniables

Les principaux atouts d’Unity 3D sont la variété impressionnante de fonctionnalités qu’il propose. Sa nature multiplateforme permet aux développeurs de créer des jeux qui fonctionnent sur PC, mais aussi sur consoles, mobiles, en VR et AR. Ce potentiel d’adaptabilité contribue à renforcer son attrait auprès des développeurs du monde entier.

Son autre avantage notable est l’accès à une vaste communauté et à de nombreux tutoriels en ligne. Cette richesse de ressources facilite grandement la formation autodidacte et l’apprentissage continu. Les développeurs débutants ou expérimentés y trouvent une aide précieuse pour résoudre des problèmes spécifiques ou améliorer leurs compétences en développement en temps réel.

Toutefois, Unity n’est pas exempt de limites. L’une des critiques fréquentes concerne les performances parfois inégales lors du rendu de graphismes très détaillés. En comparaison à certains moteurs de jeu concurrents, Unity peut rencontrer des difficultés quand il s’agit de gérer des scènes très complexes avec un haut niveau de détail visuel. Cela peut représenter un challenge pour les projets de grande envergure nécessitant une qualité graphique exceptionnelle.

Des fonctionnalités pensées pour séduire les créateurs

L’interface d’Unity 3D est intuitive et bien structurée, avec plusieurs fenêtres qui vous permettent de travailler simultanément sur différents aspects de votre projet. Vous pouvez visualiser la scène, ajuster les propriétés des objets, gérer les ressources, et programmer les comportements dans un espace cohérent.

Grâce à son système de scripting qui utilise le langage de programmation C#, Unity 3D permet d’ajouter des comportements à vos objets, comme des mouvements, des interactions ou des animations. Si vous développez un jeu, par exemple, vous pourrez facilement programmer le personnage principal pour qu’il saute lorsqu’une touche est pressée. Vous pouvez mêmecréer des mécanismes complexes comme des combats ou des puzzles. Une API riche rend l’intégration de ces fonctionnalités à la fois rapide et flexible. Cela vous offre même la possibilité de tester et de corriger votre code directement dans l’éditeur.

Le moteur graphique d’Unity est extrêmement polyvalent, que vous travaillez en 2D ou en 3D. Il offre un rendu réaliste ou stylisé, selon vos besoins. Avec les pipelines de rendu (comme l’URP ou HDRP), vous pouvez atteindre des résultats visuels de haute qualité tout en optimisant la performance pour différents types de plateformes. Par ailleurs, la gestion des lumières, des ombres, des matériaux et des effets spéciaux se fait en temps réel, ce qui permet d’obtenir des environnements immersifs et dynamiques.

Unity 3D : D’autres caractéristiques intéressantes

Unity se distingue également par son moteur physique intégré. Cela signifie que vous pouvez facilement simuler la gravité, les collisions et d’autres interactions physiques dans votre projet. Dans un jeu de course, par exemple, Unity gère les véhicules, la route et les obstacles de manière réaliste. Si vous créez un jeu de plateforme, vous pouvez programmer des sauts et des mouvements fluides pour vos personnages sans avoir à coder toute la logique physique vous-même. Cela vous permet de vous concentrer sur l’aspect créatif de votre projet tout en bénéficiant d’une base solide et performante.

Une autre caractéristique clé d’Unity 3D est sa capacité à exporter vos créations vers de multiples plateformes. Vous pouvez développer votre jeu ou application une seule fois, puis le déployer sur des appareils très variés. Vous pouvez le faire sur vos smartphones, consoles, PC, et même dans des environnements de réalité virtuelle VR ou de réalité augmentée AR. Grâce à cette flexibilité, Unity simplifie le processus de distribution, ce qui vous permet de toucher un large public sans nécessiter de développements multiples.

Enfin, l’Asset Store d’Unity vous offre une bibliothèque immense de ressources prêtes à l’emploi, telles que des modèles 3D, des animations, des sons et des scripts. Cela vous permet de gagner du temps en utilisant des éléments existants et de vous concentrer sur la personnalisation de votre projet.

Unity, Unreal engine et Godot : Un choix pas facile pour les développeurs

La question « Laquelle choisir entre Unity et Unreal  » revient très souvent. Au fait, Unreal Engine, réputé pour ses capacités graphiques avancées, offre davantage de possibilités en matière de rendu photoréaliste. Cela le rend privilégié pour les projets AAA nécessitant une fidélité visuelle impressionnante. Cependant, cette excellence vient au prix d’une plus grande complexité d’apprentissage et de mise en œuvre.

Du côté de Godot, on retrouve un outil léger et open source, apprécié pour sa rapidité de prototypage et sa communauté engagée. Bien que Godot soit reconnu pour sa simplicité et sa gratuité, il n’offre pas encore autant de fonctionnalités avancées qu’Unity.

C’est notamment le cas en termes de support AR/VR ou de gestion multiplateforme. Il demeure, néanmoins, une alternative intéressante pour les petits studios ou les projets indépendants cherchant un moteur facile à utiliser et à personnaliser.

Unity 3D, un vaste domaine d’application 

Largement associé au développement de jeux vidéo, Unity 3D trouve en réalité sa place dans de nombreux autres secteurs. Très souvent, le domaine de l’architecture utilise Unity pour créer des visualisations interactives. Ainsi, les clients ont la possibilité de parcourir virtuellement des espaces avant même qu’ils ne soient construits.

Dans le milieu éducatif, Unity offre des solutions innovantes pour rendre l’apprentissage plus engageant et interactif. Des simulations 3D sont utilisées tant pour l’enseignement des sciences que pour la formation professionnelle. Cela contribue à une meilleure assimilation des concepts complexes.

Enfin, l’industrie automobile a adopté Unity pour tester et simuler de nouvelles technologies en toute sécurité avant leur déploiement réel. Grâce à cela, les constructeurs peuvent économiser des coûts considérables et accélérer le processus de développement, tout en garantissant des niveaux élevés de sécurité et de performance.

On peut aussi citer des applications médicales développées via Unity. C’est par exemple le cas des simulateurs de chirurgie, conçus pour améliorer les compétences des médecins avant qu’ils ne pratiquent véritablement.

Un outil de connu dans le domaine du divertissement

L’industrie du divertissement fait largement appel à Unity pour concevoir des scènes animées et des éléments interactifs dans les films et séries télévisées. La flexibilité et l’efficacité du moteur permettent de produire des résultats impressionnants tout en respectant les délais serrés si souvent imposés dans ce milieu exigeant. Des compagnies telles que Disney ont intégré Unity dans leurs créations pour produire des applications VR engageantes et expérientielles.

Plusieurs jeux célèbres ont également marqué l’histoire grâce à Unity 3D. Parmi eux, « Monument Valley » utilise parfaitement les capacités graphiques 3D d’Unity pour offrir une expérience visuelle époustouflante. Ce jeu de puzzle acclamé par la critiqueillustre comment une utilisation judicieuse du moteur peut aboutir à un gameplay unique et novateur.

« Hearthstone », un autre incontournable édité par Blizzard Entertainment, a également vu le jour grâce à Unity. Le choix du moteur a permis aux développeurs de mettre en place un système de cartes interactif et dynamique. En plus, il est efficace sur une variété de plateformes, y compris les mobiles.

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Voir sans voir, c’est un peu l’idée. Grâce à l’intelligence artificielle, les lunettes Ray-Ban Meta deviennent de vraies alliées pour les personnes aveugles ou malvoyantes. Détection d’objets, descriptions sonores, aide en direct : la tech se met maintenant au service de l’accessibilité.

À l’occasion de la Journée mondiale de sensibilisation à l’accessibilité, Meta a présenté de nouvelles options pour ses lunettes Ray-Ban intelligentes. Grâce à la caméra intégrée et à son IA, elles peuvent désormais mieux aider les personnes aveugles ou malvoyantes au quotidien.

Les lunettes Ray-Ban Meta sont vraiment smart. Elles ont une caméra ultra grand-angle de 12 MP, cinq micros et des haut-parleurs qui vous parlent directement à l’oreille. Grâce aux dernières mises à jour, elles réagissent mieux à ce qui se passe autour de vous.

L’IA intégrée peut décrire ce qu’elle voit, ce qui est pratique pour les personnes malvoyantes. Les réponses sont courtes, histoire de ne pas vous déranger trop longtemps. Mais si vous préférez plus de détails, Meta a lancé une option « Réponses détaillées ». Elle est en test aux États-Unis et au Canada, et sera bientôt disponible ailleurs.

Avec ces lunettes, tout est fluide. C’est comme si vous aviez un assistant personnel sur le nez, qui vous parle discrètement, sans que les autres ne l’entendent, sauf s’ils sont collés à vous. Dans une vidéo, l’IA de Meta décrit un parc en bord d’eau, en soulignant que les pelouses sont « bien entretenues ».

Lunettes Ray-Ban Meta : Une aide instantanée pour les malvoyantes grâce à l’IA

Pour célébrer la Journée mondiale de l’accessibilité, Meta a présenté plusieurs autres initiatives. Parmi elles, l’outil « Appeler un bénévole ». Celui-ci connecte les personnes malvoyantes à des bénévoles voyants en direct pour les aider dans leurs activités quotidiennes.

Les utilisateurs aveugles ou malvoyants des lunettes Ray-Ban Meta peuvent se connecter à un réseau de plus de 8 millions de bénévoles voyants. Grâce à la commande « Hey Meta, Be My Eyes », un bénévole voit ce que vous voyez en direct. Il peut alors vous aider dans des tâches quotidiennes. Tout ça via les haut-parleurs des lunettes. Pratique, non ? D’ici la fin du mois, ce service sera lancé dans 18 pays.

Meta a également lancé un système de sous-titrage en direct pour ses casques VR Quest. Cela permet  de lire les paroles instantanément lors de la diffusion des contenus.

Cet article Ray-Ban Meta : De nouvelles fonctionnalités pour décrire le monde aux malvoyants a été publié sur REALITE-VIRTUELLE.COM.

Au moment où certains tentent encore de comprendre ce qu’est exactement le metaverse, d’autres y achètent déjà des terrains, y ouvrent des boutiques virtuelles, et même y organisent des concerts. Une véritable révolution numérique est en marche, mêlant réalité virtuelle, avatars, NFT et monnaies numériques. Pour participer à cet univers parallèle, il ne suffit pas d’un simple casque VR : il faut aussi des actifs numériques. C’est dans cette optique que de nombreux utilisateurs cherchent comment acheter USDC avec carte de crédit, une passerelle rapide vers un monde où les devises classiques perdent peu à peu leur influence.

À l’instar des pionniers du Far West, les explorateurs du metaverse ne voyagent pas avec des valises pleines de dollars ou d’euros, mais bien avec des portefeuilles électroniques remplis de cryptomonnaies. Et dans cette nouvelle frontière numérique, les règles changent.

Le metaverse : un monde parallèle, mais bien réel

Le metaverse n’est plus une chimère sortie d’un roman de science-fiction. C’est un espace virtuel en constante évolution, où l’on peut socialiser, travailler, apprendre, acheter et vendre – le tout sous forme d’avatars en 3D. Des plateformes comme Decentraland, The Sandbox ou encore Horizon Worlds attirent déjà des millions d’utilisateurs actifs.

Meta (anciennement Facebook) a investi plus de 10 milliards de dollars dans ce domaine en 2022, tandis que des marques telles que Nike, Gucci ou Adidas y ont ouvert des boutiques virtuelles. Ces espaces deviennent de véritables extensions des marques, avec un potentiel commercial inédit. En parallèle, les cryptomonnaies jouent le rôle de monnaies locales, permettant aux utilisateurs de naviguer et de consommer dans ces univers sans frontières.

Pourquoi les cryptomonnaies sont indispensables dans le metaverse

Imaginez-vous vous promener dans un centre commercial virtuel. Vous voyez un T-shirt NFT en édition limitée. Voulez-vous l’acheter ? Il ne suffit pas de sortir sa carte bancaire. Ici, la transaction se fait en MANA, SAND ou USDC. Les cryptomonnaies sont le carburant de cette nouvelle économie numérique.

Contrairement à l’euro ou au dollar, les cryptos offrent une compatibilité native avec la technologie blockchain sur laquelle repose le metaverse. Elles permettent des transactions rapides, transparentes, et surtout décentralisées. Il n’y a pas de banque centrale dans le metaverse – seulement des smart contracts et des protocoles automatisés.

NFT, immobilier virtuel et événements : les multiples usages des cryptos

Les cryptomonnaies dans le metaverse ne servent pas seulement à acheter des vêtements pour avatars. Elles sont au cœur d’une économie dynamique et variée.

• NFT (jetons non fongibles) : Ces actifs numériques uniques sont devenus les pièces d’art du monde virtuel. En 2021, une œuvre virtuelle s’est vendue 69 millions de dollars chez Christie’s. Dans le metaverse, les NFT servent aussi de billets d’entrée, de certificats de propriété, voire d’identité numérique.
  
• Immobilier virtuel : Acheter une parcelle de terrain dans The Sandbox ou Decentraland n’est plus une lubie réservée aux geeks. Certaines entreprises dépensent des centaines de milliers d’euros pour s’y installer et attirer une clientèle jeune et connectée. En 2021, la société Republic Realm a acheté une parcelle pour 4,3 millions de dollars.
  
• Événements et concerts : Des artistes comme Travis Scott et Ariana Grande ont déjà donné des concerts dans des univers virtuels, attirant des millions de spectateurs. Les billets ? Payés en cryptomonnaies, bien sûr.
  

Avantages et risques de l’économie du metaverse

Comme tout eldorado, le metaverse attire autant les opportunités que les dangers. D’un côté, on trouve une nouvelle liberté économique, où tout le monde peut créer, vendre, collaborer sans autorisation centrale. De l’autre, une jungle numérique encore peu régulée.

Les avantages sont nombreux :

• Accessibilité mondiale : Peu importe votre pays, tant que vous avez une connexion internet et une wallet crypto, vous pouvez participer.
  
• Monétisation directe : Les créateurs de contenu peuvent vendre leurs œuvres sans passer par des plateformes traditionnelles.
  
• Innovation permanente : L’intersection entre IA, blockchain et VR crée un terrain fertile pour l’expérimentation.
  

Mais les risques ne sont pas à négliger :

• Vols et arnaques : Sans régulation claire, les escroqueries pullulent.
  
• Spéculation excessive : Les prix des biens virtuels peuvent exploser… puis s’effondrer.
  
• Inégalités numériques : Tout le monde n’a pas les mêmes connaissances ou outils pour en profiter.
  

La régulation : le prochain grand défi

Les États ne peuvent plus ignorer le phénomène. Avec des milliards en jeu, les législateurs cherchent à encadrer les usages liés au metaverse et aux cryptomonnaies. La France, par exemple, a commencé à explorer les implications juridiques des NFT. L’Union européenne a proposé le règlement MiCA (Markets in Crypto-Assets), qui vise à créer un cadre pour les cryptomonnaies.

Mais qu’en est-il du metaverse ? Qui est responsable si un litige survient entre deux avatars ? Comment protéger les mineurs ? Quelles lois appliquer quand une transaction a lieu “hors-sol” ? Autant de questions encore sans réponse claire.

Vers une intégration totale des cryptos dans notre quotidien virtuel

Si la courbe d’adoption se poursuit, on peut imaginer que dans quelques années, nos activités numériques seront presque toutes ancrées dans une logique crypto. De la participation à une réunion professionnelle en VR à l’achat de biens de consommation, la monnaie fiat pourrait devenir aussi obsolète qu’un fax dans une startup.

Certains experts prévoient que d’ici 2030, plus de 25 % de la population passera au moins une heure par jour dans le metaverse, que ce soit pour le travail, les loisirs ou l’éducation. Une étude de McKinsey estime même que ce marché pourrait valoir 5 000 milliards de dollars d’ici la fin de la décennie.

Comment se préparer à cette nouvelle réalité ?

Pas besoin de tout vendre pour acheter des terres virtuelles ou créer une ligne de vêtements pour avatars. Mais il est judicieux de s’informer, d’expérimenter et d’anticiper.

• Ouvrir un portefeuille numérique : Testez l’achat d’actifs, explorez les plateformes.
  
• Se former : Comprendre les NFT, la blockchain, les DAO – c’est comprendre les outils du futur.
  
• Rester prudent : Loin des promesses d’enrichissement rapide, mieux vaut avancer avec une dose de scepticisme éclairé.
  

Conclusion : une fusion entre réel et virtuel

Le metaverse et les cryptomonnaies ne sont pas deux révolutions séparées, mais les deux faces d’une même pièce. Ensemble, elles façonnent un nouvel écosystème où les frontières s’estompent, où la propriété devient numérique, et où chacun peut, potentiellement, devenir acteur.

Comme pour toute transformation majeure, certains resteront au quai, sceptiques, pendant que d’autres monteront à bord. Mais une chose est sûre : ce train-là, propulsé par la blockchain, est déjà en marche. Et ceux qui choisissent de le prendre aujourd’hui pourraient bien découvrir les continents numériques de demain.

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L’évènement butin Feunard d’Alola de Pokémon TCG Pocket, c’est maintenant que ça se passe. Si vous parvenez à accomplir certaines missions, vous recevrez des récompenses, comme la fameuse carte Feunard Alola. Dresseurs de Pokémon, voici tous les détails sur cet événement !

L’évènement butin Feunard d’Alola commence le vendredi 16 mai à 7h et se poursuivra au lundi 26 mai à 6h59. Il s’agit du septième événement butin du jeu de cartes à collectionner mobile Pokémon TCG Pocket. A cette occasion, Feunard d’Alola, une carte jugée absolument sublime, est la star. Mais en quoi consiste cet évènement ?

Eh bien, il est assez similaire aux autres événements butins que l’on a connus dans le jeu. Dans cet événement de type Drop Event, vous pourrez obtenir la carte Feunard (avec 23,84% de chance d’obtention).  Gardez à l’esprit que son attaque Blizzard ne fait pas dans la dentelle : 60 dégâts directs au Pokémon actif de votre adversaire, plus 20 dégâts à chacun de ceux sur le Banc.

Petit conseil : Pour exploiter pleinement le « spread damage » de Feunard d’Alola, l’idéal est de l’entourer de cartes qui accentuent ou profitent de cette mécanique.

A part Feunard, on a également la carte Crabagarre (avec 12,66% de chance d’obtention), Noadkoko d’Alola (avec 23,84% de chance d’obtention), Tadmorv d’Alola (avec 15,82%) et Bazoucan (avec 23,84 de chance).

Evènement butin Feunard d’Alola : Réussissez aux combats solos Spéciaux

Donc, lors de l’événement butin Feunard d’Alola, il y aura cinq nouvelles cartes promotionnelles Promo-A à gagner ! À l’instar des éditions précédentes, ces cartes spéciales ne sont disponibles que le temps de l’événement.

Pour les acquérir, il faudra se livrer à des combats solos Spéciaux et compléter de nombreuses missions. À chaque défi réussi, vous gagnerez un booster bien spécial — et c’est dedans que vous pourrez dénicher vos cartes promo toutes neuves. Notons qu’il y a des niveaux de difficulté (Facile, Normal, Difficile, Expert).

Un ensemble de récompenses attend aussi ceux qui ont réussi les missions événementielles. Cela inclut un booster promotionnel de la série A, volume 8, différents types de sabliers (Miracle, Booster et Événement) et un ticket boutique.

Cet évènement vous intéresse ? Accédez à l’événement dans le jeu (menu Combat > Solo > Événement butin Feunard Alola. Nous vous souhaitons bonne chance !

Cet article Tout sur l’évènement butin Feunard d’Alola de Pokémon TCG Pocket ! a été publié sur REALITE-VIRTUELLE.COM.

Le monde de la réalité virtuelle s’apprête à vivre un événement incontournable. Créature, le studio innovant derrière des titres comme Starship Home et Thrasher, organise en effet un showcase VR le 19 mai 2025. Intitulé Creature Feature, cet événement en collaboration avec IGN dévoile des mises à jour et des annonces surprises de leurs jeux à venir. Préparez-vous à découvrir des nouvelles passionnantes sur des jeux VR exclusifs et à vivre des moments inédits en VR.

Le 19 mai le studio Creature (Starship Home) et IGN proposeront un VR Showcase https://t.co/afezVaWRP7

— Rλmes VR (@vr_rames)

?ref_src=twsrc%5Etfw">May 13, 2025

Un showcase VR avec des révélations exclusives

Creature Feature s’annonce comme un événement riche en surprises pour les amateurs de VR. Cela a été diffusé le 19 mai à 9h PT via YouTube sur la chaîne IGN. Ce showcase sera alors l’occasion de découvrir des annonces inédites et des mises à jour sur les projets en cours du studio Créature. Ce showcase réunira des studios partenaires, y compris Funktronic Labs et Neat Corporation. Le but ? C’est d’offrir aux fans de réalité virtuelle un aperçu des nouveaux jeux qui s’annoncent dans l’univers VR. Les fans pourront alors s’attendre à des révélations sur les prochains jeux de Créature et de ses partenaires, avec une présentation dynamique qui promet de redéfinir l’expérience.

Des surprises et des annonces de jeux à ne pas manquer

Créature ne se contente pas de faire des annonces. Son objectif est de créer une expérience interactive qui tiendra en haleine les spectateurs. Le studio a déjà annoncé que Neat Corporation, connu pour ses succès comme Budget Cuts et Garden of the Sea, présentera son nouveau jeu lors de cet événement. Bien que peu d’informations aient été partagées sur ce projet, l’attente est grande. De plus, le studio Trebuchet devrait dévoiler des informations sur Prison Boss Prohibition, un jeu très attendu.

L’un des grands objectifs de ce showcase est de montrer que la VR ne cesse d’évoluer. Les développeurs ont alors mis en place des présentations et des démonstrations qui permettent aux spectateurs de découvrir de manière concrète ce qui rend ces jeux uniques. Cela pourrait bien attirer une nouvelle audience.

Créature, un studio de plus en plus influent dans la VR

Fondé en 2023, Créature est un studio qui agit à la fois en tant que développeur et éditeur. Le studio a commencé avec Starship Home, une expérience où les joueurs transforment leur salon en vaisseau spatial grâce à la réalité mixte (MR). Après ce succès initial, Créature a aussi lancé plusieurs projets, dont Maestro et Thrasher. Leur approche créative et leur engagement ont rapidement fait d’eux un acteur incontournable dans l’industrie de la VR. Ce showcase est donc une excellente occasion pour le studio de montrer l’étendue de ses capacités et de renforcer son influence dans le secteur. Créature continue de repousser les frontières de la VR et de travailler avec des studios de renom pour offrir des expériences aux joueurs.

Une saison des événements VR bien remplie

Le Creature Feature n’est que le début de la saison des showcases VR de 2025. Après cet événement, plusieurs autres conférences importantes suivront, comme le Summer Game Fest prévu pour le 6 juin et l’AWE le 10 juin. Creature Feature servira ainsi de tremplin pour l’explosion de contenu VR à venir cet été. Les joueurs devront être prêts pour un véritable tourbillon d’annonces et de nouvelles expériences immersives. L’année 2025 semble donc être celle où la réalité virtuelle prend son envol. Ces grands événements promettent de captiver les joueurs et de redéfinir les attentes de l’industrie. Créature est en bonne position pour jouer un rôle clé dans cette évolution.

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Vingt matchs, cinq captations immersives et une nouvelle façon de vivre le basket sans bouger de chez vous. La saison 2025 de la WNBA débute cette semaine, et elle s’annonce plus connectée que jamais.

Meta a confirmé que 20 matchs seront diffusés en live sur casque VR Quest via deux applications phares : Xtadium et NBA Arena, disponibles dans l’écosystème Horizon Worlds. Cinq rencontres bénéficieront même d’un format vidéo à 180°, pour une diffusion en VR immersive et dynamique. Le basketball féminin entre ainsi dans une nouvelle ère, au croisement du sport en direct et de la réalité virtuelle.

Avec l’application Xtadium, les utilisateurs de Quest pourront regarder la WNBA en live VR depuis chez eux. L’appli permet d’assister aux matchs en streaming, à la demande ou en direct, seul ou entre amis. Grâce aux séances de visionnage privées, les fans peuvent créer leur propre salon virtuel. Des sessions publiques seront aussi proposées dans la NBA Arena, l’espace social VR de Meta dédié à la NBA et à ses déclinaisons. Ce dispositif transforme chaque match WNBA en événement social partagé en live VR.

Les matchs live VR à ne pas rater cette saison

Parmi les 20 matchs WNBA prévus en live VR, cinq seront captés en vidéo immersive. Le premier rendez-vous est fixé au 27 mai avec Chicago Sky contre Phoenix Mercury, en 180 degrés. Ensuite, suivez en VR :

• Las Vegas Aces vs Minnesota Lynx (17 juin)
• Los Angeles Sparks vs New York Liberty (3 juillet)
• Dallas Wings vs Los Angeles Sparks (20 août)
• Dallas Wings vs Golden State Valkyries (4 septembre)

La saison commence dès le 18 mai avec Minnesota Lynx vs Los Angeles Sparks à 15h (heure Pacifique), un match diffusé en live mais en format standard. En tout, la VR accueillera des stars et des franchises emblématiques de la ligue.

Des avatars aux couleurs WNBA dès le 27 mai

À partir du 27 mai, Meta proposera aussi des produits dérivés WNBA pour avatars directement intégrés à Horizon Worlds. Les utilisateurs pourront personnaliser leur apparence en soutien à leurs équipes favorites. Cette stratégie de Meta vise à faire de la WNBA en live VR une expérience complète. La plateforme mêle sport, personnalisation et interaction sociale. C’est un prolongement naturel de la fan culture, transposé dans l’univers virtuel.

Attention aux restrictions de diffusion en direct

Même dans un univers VR, les règles de diffusion s’appliquent. Certains matchs WNBA live peuvent être inaccessibles selon la localisation du spectateur, notamment près des lieux physiques des rencontres. Malgré ces limitations, la diffusion en live VR permet à un nouveau public d’explorer la WNBA autrement. Pour Meta comme pour la ligue, c’est une opportunité d’élargir l’audience, en liant innovation technologique et passion sportive.

Cet article 20 matchs WNBA en live VR dès cette semaine : prêt à plonger dans l’action ? a été publié sur REALITE-VIRTUELLE.COM.

En 2021, Facebook prenait un virage radical. Sous l’impulsion de son fondateur Mark Zuckerberg, l’entreprise adoptait le nom Meta pour refléter une ambition bien plus large : bâtir le métavers, un monde numérique immersif et connecté.

Mais depuis cette annonce, les choses ont beaucoup évolué. Si Meta continue de dominer les réseaux sociaux traditionnels, son avenir se joue désormais sur d’autres fronts : réalité virtuelle, intelligence artificielle, réalité augmentée et technologies portables.

Pendant l’événement annuel des développeurs de l’entreprise, Connect, qui s’est tenu le 28 Octobre 2021, le PDG a fait part de ses nouveaux rêves : le métavers. Vous trouverez, dans cet article, tout ce qu’il y a à savoir sur ce gigantesque réseau social et sa nouvelle vision.

Rappel sur l’ère Facebook

Fondée au milieu des années 2000, Facebook est le plus vaste réseau social que le monde ait jamais connu. Des millions de nouveaux utilisateurs rejoignent ce réseau tous les jours. Sa principale source de revenu a toujours été la publicité.

Aujourd’hui, Facebook compte parmi les géants américains du numérique à côté de Google, d’Amazon et de Netflix entre autres. Marqué par diverses acquisitions, Facebook est devenu un moyen de rapprochement. Il a permis de retrouver des amis d’enfance, des membres de la famille, etc.

La firme a englouti bon nombre d’applications afin d’agrandir son réseau. Facebook Messenger, WhatsApp et Instagram sont les plus populaires. Le réseau est aussi comme une sorte de moyen de communication utilisé à but politique. Cela s’explique par les différentes révolutions comme le printemps arabe et l’élection présidentielle aux Etats-Unis.

Le sens derrière le nom « Meta »

Le mot Meta, d’origine grecque, signifie « au-delà ». Il traduit l’ambition de Meta d’aller au-delà des simples interactions sociales pour créer un univers où réalité physique, virtuelle et augmentée se confondent. Cette nouvelle identité illustre aussi la volonté de Meta de construire un avenir technologique pérenne et immersif, notamment à travers le métavers.

Qu’est-ce que le métavers ?

Le métavers désigne un monde numérique dans lequel les utilisateurs interagissent à travers des avatars 3D. Ils peuvent y travailler, jouer, assister à des événements ou simplement discuter, comme dans la vie réelle. Meta ambitionne de créer cet univers via des technologies telles que la réalité virtuelle (VR) et la réalité augmentée (AR), avec des dispositifs comme les casques Meta Quest et les lunettes connectées Ray-Ban Meta.

Comment Facebook tente de monopoliser le metaverse ?

Facebook a passé près de deux décennies à consolider sa position de plus grande entreprise de médias sociaux au monde. Pour ce faire, l’entreprise a racheté diverses startups telles qu’Instagram et WhatsApp.

Mais, Mark Zuckerberg a été accusé d’avoir utilisé une stratégie « copier, trouver, pousser » pour faire pression sur les concurrents potentiels afin de réaliser des ventes ou de les risquer.

Maintenant, certains craignent que Meta utilise les mêmes tactiques dans le Metaverse. Bien que cette tendance soit encore aux premiers stades du développement, la société est déjà leader du marché. En fait, les casques VR de Meta ont représenté environ 75 % de toutes les expéditions au premier trimestre 2021.  

En outre, Zuckerberg a déclaré qu’il voulait que le Metaverse permette à d’autres entreprises de construire dans cet espace. Mais certains développeurs indépendants affirment que laplateforme ne semble pas aussi ouvert qu’il le prétend. En fait, certaines entreprises de matériel AR/VR affirment que Meta réduit le prix de leurs casques VR au point que les petites startups ont du mal à être compétitives. À cet effet, le casque Quest 2 de Meta coûte actuellement 250 €, soit des centaines d’euros de moins que tout autre appareil comparable sur le marché.

Stan Larroque, fondateur de Lynx, une startup AR/VR, a aussi expliqué que Meta a essayé de voler son équipe d’ingénieurs avec des offres de salaire plus élevées.

Meta et la réalité virtuelle : vers un avenir en évolution

Depuis 2022, Meta a recentré ses efforts sur l’IA et l’AR, tout en poursuivant l’expansion de sa plateforme Horizon Worlds. Celle-ci s’est dotée de fonctionnalités immersives pour les jeux, les concerts virtuels, les bureaux virtuels et les rencontres sociales. Néanmoins, des problèmes de modération et de qualité graphique subsistent.

Collaboration avec Ray-Ban

La collaboration avec Ray-Ban s’est élargie au-delà des simples lunettes connectées. En 2024, la firme a lancé une version avancée des Ray-Ban Meta, intégrant des capacités améliorées de réalité augmentée. Ces lunettes permettent aux utilisateurs d’interagir avec le métavers sans avoir à porter un casque complet, rendant la technologie plus discrète et accessible au quotidien.

Lancement de Meta Horizon Worlds

Horizon Worlds, l’univers virtuel de Meta, continue de se développer, avec de nouvelles fonctionnalités de création et d’interaction sociale. En 2024, Meta a lancé des versions plus robustes de cette plateforme, incluant des espaces immersifs pour les jeux, les événements sociaux, et même les réunions professionnelles. Cependant, la plateforme a dû surmonter des critiques concernant la qualité graphique et les problèmes de modération des contenus.

Avancées matérielles : Quest 3S et lunettes Orion

Lors du Meta Connect 2024, Meta a présenté le Quest 3S, un casque de réalité mixte plus puissant et accessible, et a levé le voile sur Orion, un prototype de lunettes AR qui ambitionne de remplacer le smartphone : navigation web, communication, contrôle vocal et gestuel, écran microLED, 5G… Le tout dans un design discret.

Le compte Meta : une identité numérique

Meta a lancé les Comptes Meta, un nouveau système de connexion qui dissocie les profils VR des comptes Facebook. Cette initiative répond aux préoccupations des utilisateurs concernant la vie privée et offre une gestion simplifiée. Grâce à ce système, les utilisateurs peuvent personnaliser leur profil Meta Horizon et accéder aux plateformes VR sans être liés aux réseaux sociaux existants. Cette séparation améliore l’expérience utilisateur tout en offrant une plus grande flexibilité.

Pour un utilisateur déjà inscrit de Meta VR, il peut créer un compte Meta à l’aide de Facebook. Pour activer les expériences connectées dans la VR avec le compte Instagram, il suffit d’aller dans le Centre des comptes. Il s’agit du guichet unique pour gérer les comptes et les expériences connectées (comme la synchronisation de vos différents profils) dans ses technologies. Vous trouverez le Centre des comptes dans les Paramètres de l’application mobile de l’application et dans le casque.

Si vous avez configuré votre compte avec une adresse e-mail, vous pouvez activer ces expériences connectées avec Facebook et Instagram à tout moment dans Accounts Center. Si vous avez précédemment fusionné votre compte Oculus avec votre compte Facebook, vous pouvez choisir de supprimer votre compte Facebook au cours du processus de configuration. Cela permet de séparer votre compte Facebook de votre utilisation de la VR.

Par ailleurs, le profil Oculus a évolué vers un nouveau profil Meta Horizon, personnalisable à souhait. Les « Amis » deviendront désormais des « Suiveurs », à l’instar du modèle existant d’Instagram.

Par ailleurs, il est possible d’ajouter votre compte Facebook et/ou Instagram au même Centre de comptes que votre compte Meta. Ce qui débloque des expériences connectées dans la VR.

Meta : amende et accusations

En novembre 2024, le joujou de Mark Zuckerberg a fait face à une amende de 798 millions d’euros infligée par l’Union européenne pour abus de position dominante sur le marché des petites annonces. Cette décision a été prise après une enquête approfondie qui a révélé que l’entreprise avait utilisé sa position dominante sur les réseaux sociaux pour restreindre la concurrence dans le secteur des annonces en ligne. Cette amende reflète l’attention croissante des régulateurs européens sur les pratiques commerciales des grandes entreprises technologiques et marque un tournant dans la lutte contre les abus de pouvoir des géants du numérique.

En plus de cette amende, la firme a également été au centre de accusations sérieuses liées au trafic d’êtres humains et à la pédocriminalité. En mars 2023, un groupe de fonds de pension et d’investissement a accusé l’entreprise de n’avoir pas suffisamment pris de mesures pour lutter contre ces pratiques sur ses plateformes, notamment Facebook et Instagram. Les critiques se sont concentrées sur la gestion insuffisante des contenus liés à l’exploitation sexuelle des enfants et aux trafics humains, mettant en lumière les failles dans les politiques de sécurité et de modération de contenu de Meta. Ces accusations ont intensifié les pressions sur l’entreprise pour améliorer la transparence et renforcer ses mesures de sécurité.

Ces événements ont souligné non seulement les défis juridiques auxquels la plateforme fait face, mais aussi les tensions croissantes entre les grandes entreprises technologiques et les gouvernements du monde entier, qui cherchent à réguler et contrôler les pratiques des plateformes sociales.

Cet article Meta : Tout savoir sur le nouveau visage de Facebook a été publié sur REALITE-VIRTUELLE.COM.

GameTwist est un casino en ligne qui propose divers jeux. Il peut vous faire gagner sans dépenser un sou. Découverte !

GameTwist fait partie des casinos en ligne, créés pour divertir et faire gagner de l’argent. Certains considèrent la plateforme comme un passe-temps tandis que d’autres y jouent pour s’enrichir. En effet, face à la multitude des casinos en ligne, chaque internaute doit faire le bon choix. Parmi les plus populaires figure GameTwist, l’un des plus célèbres dans le monde. Voici toutes les informations essentielles à savoir sur la plateforme.

GameTwist : qu’est-ce que c’est exactement ?

C’est un site Web plus connu sous le nom de « casino en ligne ». Comme son nom l’indique clairement, il s’agit d’un casino comme les autres qui propose une variété de jeux de hasard. Tout comme les plateformes de jeux, celle-ci convient aussi bien aux amateurs qu’aux professionnels.

Pour ceux qui veulent jeter un coup d’œil à la plateforme avant de s’abonner, GameTwist propose une version gratuite permettant de tester ses différents jeux. Cette démarche est complétée par un bonus de bienvenue qui inclut 30 000 Twists et 15 tours gratuits sur des jeux populaires tels que « Book of Ra ». En somme, GameTwist est une solution idéale pour se divertir sans risques financiers.

Comment bénéficier des fonctionnalités supplémentaires de la plateforme ?

Bien que la plupart des jeux soient accessibles gratuitement, GameTwist adopte un modèle freemium qui encourage les joueurs à effectuer des achats pour prolonger leur expérience ou accéder à des options premium. Les abonnements mensuels ou annuels offrent de nombreux avantages :

• Prix des abonnements : 8,50 € par mois ou 72 € par an.
• Avantages exclusifs : accès à des bonus supplémentaires, des jeux avancés et une expérience globale enrichie.

Outre les abonnements, les joueurs peuvent acheter directement des Twists via la boutique du site pour parier sur de nouveaux jeux ou augmenter leurs chances de remporter des récompenses virtuelles.

Une ludothèque variée et immersive

GameTwist propose plus de 300 jeux, adaptés à tous les profils de joueurs.

• Machines à sous : Avec plus de 100 thèmes différents, les amateurs de machines à sous trouveront une large gamme d’options. Ces jeux offrent des niveaux de mise variés pour convenir à tous les types de joueurs.
• Jeux de table : Laissez-vous tenter par des classiques comme la roulette européenne, le blackjack, le baccara ou le poker. Ces jeux sont conçus pour offrir une expérience authentique et immersive.
• Poker : Les passionnés de poker peuvent choisir parmi plusieurs variantes, notamment le Texas Hold’em et le Vidéo Poker.
• Jeux en direct : Avec des croupiers virtuels, ces jeux apportent une immersion unique, recréant l’ambiance des casinos traditionnels.

Système de récompenses : les Twists

Les Twists, monnaie virtuelle exclusive de GameTwist, sont au cœur de l’expérience utilisateur. Ils permettent de miser, d’accéder à de nouveaux jeux et d’améliorer l’expérience globale. Voici comment accumuler des Twists :

• Bonus quotidiens : Connectez-vous chaque jour pour recevoir des Twists gratuits.
• Participez à des tournois : Ces événements réguliers permettent de remporter des récompenses importantes.
• Achats directs : Si nécessaire, les joueurs peuvent acheter des Twists dans la boutique.

Avec un abonnement annuel, vous pouvez obtenir jusqu’à 630 000 Twists, renforçant votre capacité à explorer l’offre variée de GameTwist..

Méthodes de paiement et avantages VIP sur GameTwist

Ce qui est impressionnant, c’est aussi le fait que GameTwist propose une variété de méthodes de dépôt pour l’achat de sa monnaie virtuelle, les Twists. Une telle stratégie facilite l’accès des utilisateurs aux jeux de la plateforme. Les dépôts peuvent s’effectuer via carte de crédit (Visa, Mastercard), PayPal, paysafecard, Skrill, Neteller, virement bancaire et Sofort. Elle propose également le dépôt de Bitcoin.

Les montants de dépôt varient selon la méthode choisie. Toutefois, il faut respecter le minimum de 1 € et le maximum de 500 €. Notons en passant que GameTwist ne permet pas de retraits. En effet, les Twists ne peuvent être échangés contre de l’argent réel.

Quant à son programme VIP, il s’agit d’une récompense que GameTwist propose en réponse de la fidélité des joueurs. Le programme propose notamment des avantages exclusifs. Comment ça marche ? En achetant des packs de Twists, les joueurs accumulent des points VIP qui déterminent leur statut, allant de Bronze à Black. Chaque niveau offre des bonus croissants, tels que des multiplicateurs de temps-bonus, des réductions sur les achats de Twists et des bonus quotidiens améliorés.

Par exemple, au niveau Black, les joueurs bénéficient d’un multiplicateur de temps-bonus de +50 %, d’un intervalle de bonus réduit à 1 heure et d’un bonus de dépôt de +50 %. Ce programme vise à inciter les joueurs à rester actifs sur la plateforme et à profiter pleinement de leur expérience de jeu.

Les étapes à suivre pour s’inscrire sur GameTwist

Chez GameTwist, l’inscription n’est pas seulement gratuite, elle se révèle aussi super facile et super rapide. Même sans aucune connaissance des casinos en ligne, la procédure d’inscription se fait en moins de deux minutes.

Pour ce faire, il faut se rendre sur le site officiel de la plateforme. Tout en bas de la page d’accueil du site, il existe un bouton « Inscription gratuite » sur lequel il faut cliquer. Après ce clic simple, le site va rediriger vers un petit formulaire à remplir avec :

• L’adresse e-mail,
• Le pseudo de choix,
• Un mot de passe avec plus de 8 caractères,
• Et la date de naissance.

Ensuite, il ne faut pas oublier de vérifier le reCAPTCHA et d’accepter les termes et conditions. Pour envoyer le formulaire, il suffit de cliquer sur le bouton « ‘Commencer l’aventure »’. Pour valider l’ouverture du compte, l’utilisateur va recevoir un mail de confirmation dans sa boîte aux lettres électronique. Il faut appuyer sur le bouton de confirmation pour que le compte GameTwist soit officiellement ouvert et prêt à être utilisé.

Accès au site bloqué, quelles en sont les raisons ?

Impossible de se connecter à GameTwist ? Pas de panique, c’est tout à fait normal, et il ne s’agit que d’un dysfonctionnement temporaire. Il y a trois raisons possibles à cela, et voici les solutions.

Une connexion Internet instable

Dans ce cas, il faut faire une petite vérification de la connexion Internet. Il faut s’assurer que le forfait est toujours valide, et redémarrer le routeur ou l’appareil mobile pour tout rétablir.

La maintenance de GameTwist

GameTwist effectue des mises à jour régulières. Il faut savoir que ces mises à jour ont pour but d’améliorer l’expérience utilisateur. Notez également que le site implante de nouveaux produits et de nouveaux jeux de temps en temps. Ce qui peut le rendre temporairement indisponible.

Dans les deux cas, il faut attendre que les mises à jour et les installations soient terminées..

Un bug au niveau du serveur

Ce dernier souci arrive rarement, et seuls les techniciens peuvent y remédier. Là encore, vous devez faire preuve d’un peu de patience, le temps qu’ils puissent résoudre les bugs.

Est-il possible de supprimer son compte sur GameTwist ?

GameTwist permet à ses utilisateurs de supprimer leur compte en cas de besoin. En effet, étant donné que les abonnés peuvent jouer aussi bien avec de l’argent virtuel qu’avec de la monnaie réelle, cela crée une dépendance. Dans ce cas, la suppression du compte est nécessaire.

Pour cela, il suffit d’envoyer un mail de demande de suppression au support d’assistance de GameTwist. Dans l’e-mail, vous devez indiquer votre pseudonyme, et le compte sera donc supprimé.

Cependant, vous n’êtes pas toujours obligé de supprimer votre compte en cas de dépendance. Vous pouvez aussi jouer tout en limitant le temps passé sur GameTwist avec les alternatives suivantes :

Limiter les dépenses

Pour cela, il vous faut définir une limite de dépenses en donnant un montant maximum par mois. Comme pour la suppression, cette limite est posée par service assistance du site, vous n’avez qu’à envoyer la requête avec votre pseudo à l’adresse citée plus haut.

Bloquer temporairement son compte

La deuxième alternative à la suppression consiste à bloquer l’accès à votre compte pendant une durée déterminée. Pour ce faire, envoyez votre requête avec votre pseudo sur l’e-mail temporaire YOPmail.Qu’en est-il de la version mobile de GameTwist ?

Dans un souci d’offrir la satisfaction des joueurs, GameTwist est aussi disponible en version mobile. Avec l’évolution des technologies, la plateforme a pu créer une version compatible avec les tablettes et smartphones fonctionnant avec un système iOS ou Android. Pour obtenir l’application, il faut la télécharger sur Google Play Store.

Ainsi, GameTwist offre à ces utilisateurs, la chance de pouvoir jouer à leurs jeux préférés partout où ils sont grâce aux appareils mobiles. Les jeux de la plateforme s’adaptent très bien aux petits écrans tout en gardant une bonne qualité.

Comment contacter le support client du casino GameTwist ?

L’un des principaux atouts de GameTwist tient à la réactivité de son service clientèle. Pour obtenir de l’aide, vous pouvez contacter l’équipe d’assistance aux utilisateurs de GameTwist par e-mail à l’adresse support@gametwist.com. Pour que chaque client soit pleinement satisfait, le service clientèle de GameTwist peut également être joint par courrier à l’adresse suivante : Funstage Gmbh, Wiedner Hauptsrasse 94, 1050 Vienne Autriche.

Par ailleurs, les joueurs peuvent utiliser le système de FAQ pour accéder à des formulaires qu’ils peuvent remplir en fonction de la nature de leur problème. Cela permet de s’assurer que les personnes concernées reçoivent les bonnes réponses le plus rapidement possible.

Cela signifie que le site est entièrement disponible pour répondre à toute question de satisfaction. La seule chose à retenir est que GameTwist dispose d’un manuel qui contient les conditions d’utilisation. En outre, le site dispose d’un département spécialisé dans l’offre de coopération en matière de marketing et de vente.

Maintenant que vous avez découvert les détails de l’utilisation de ce casino électronique, rien ne vous empêche d’y aller et de vous amuser. Tous les jeux sont ouverts au public ayant atteint l’âge de la majorité.

Découvrez les principaux atouts de GameTwist Casino en 2025

GameTwist se distingue actuellement comme un établissement virtuel novateur, principalement grâce à son adoption complète des devises numériques. Effectivement, cette plateforme contemporaine facilite les opérations financières via diverses cryptomonnaies, ce qui garantit non seulement des transactions instantanées mais également un niveau de confidentialité optimal. Par conséquent, les adeptes de Bitcoin et autres monnaies digitales apprécient particulièrement cette flexibilité qui répond aux exigences modernes du secteur.

Concernant les avantages financiers, gametwist propose un ensemble d’offres particulièrement séduisantes. En premier lieu, les nouveaux membres profitent d’un bonus d’accueil substantiel. En plus, la plateforme maintient l’intérêt de sa clientèle grâce à des promotions renouvelées chaque semaine ainsi qu’à des offres mensuelles exclusives. Ces incitations permettent donc aux joueurs d’explorer davantage l’étendue des divertissements disponibles tout en optimisant leur capital de jeu.

En matière de sécurité, cet établissement ne laisse rien au hasard. D’une part, toutes les opérations monétaires bénéficient d’un cryptage SSL de dernière génération. D’autre part, la préservation des informations personnelles constitue une priorité absolue pour l’opérateur qui met en œuvre des mesures strictes à cet égard. Par conséquent, les utilisateurs évoluent dans un environnement totalement sécurisé où la confiance règne.

Enfin, l’assistance aux utilisateurs représente un pilier fondamental de l’expérience GameTwist en 2025. Les équipes de support restent accessibles sans interruption via plusieurs canaux de communication. De plus, une documentation exhaustive répond aux interrogations courantes. Ainsi, chaque membre bénéficie d’un accompagnement personnalisé qui contribue significativement à la qualité globale du service offert par cette plateforme d’exception.

Cet article GameTwist : tout savoir sur le casino en ligne a été publié sur REALITE-VIRTUELLE.COM.

Samsung a profité du SID Display Week 2025 pour présenter deux écrans micro-OLED destinés aux casques VR. Résolution 4K par œil, couleurs améliorées et suppression du flou de mouvement sont au programme.

Samsung a sorti le grand jeu dans un tout petit format. Son nouvel écran de 1,4 pouce tient dans un casque VR, mais affiche des images ultra réalistes. Grâce à sa technologie OLED RVB sur silicium (OLEDoS pour les intimes), il vise des résolutions qui dépassent même la 8K.

Clairement, on change de dimension. Il n’est plus question des écrans OLED 4K à 140 DPI et 1 000 nits. Samsung parle d’un un écran à 5 000 pixels par pouce, capable d’envoyer jusqu’à 15 000 nits de lumière. Le tout à 120 Hz, avec 99 % des couleurs au rendez-vous. C’est plus de quatre fois la cadence du Meta Quest 3.

Toujours pas impressionné ? Samsung a une version à 20 000 nits dans sa manche. La contrepartie : elle baisse à 4 200 DPI.

Les nouveaux écrans micro-OLED de Samsung : 20 000 nits et un défi à la lumière du soleil

20 000 nits, ça semble énorme pour vous ? C’est vrai… jusqu’à ce qu’on les compare à la lumière du soleil à midi : environ 1,6 milliard de nits. Là, ça remet les choses en perspective. Mais pourquoi vouloir autant de lumière si près des yeux ?

Parce que les lentilles « pancake », utilisées pour agrandir l’image dans les casques VR, mangent environ 90 % de la lumière. Oui, neuf fois sur dix, la luminosité part aux oubliettes. Ajoutez à ça la « low persistence » — une technique qui n’allume l’écran qu’un court instant par image pour éviter le flou — et vous obtenez un écran de 5 000 nits qui paraît n’en faire que 100.

Avec les nouveaux modèles de Samsung, on peut espérer 300 à 400 nits perçus, toujours à 120 Hz. Ou alors, on diminue encore un peu le temps d’allumage pour une image ultra nette, sans flou, et un bon compromis entre clarté et confort.

Si Samsung ne rencontre pas d’imprévus, la production de ses panneaux OLEDoS pourrait démarrer en fin d’année. Ces écrans dernier cri pourraient bientôt équiper des casques VR haut de gamme.

LG Display, éternel rival, ne reste pas là à regarder. Lors du salon Display Week l’an dernier, la marque a dévoilé son écran « micro-OLED » avec une densité impressionnante de 4 175 ppp. Pas mal, mais Samsung semble avoir pris la tête de la course !

Cet article Ces nouveaux écrans micro-OLED 4K signés Samsung sont géniaux ! a été publié sur REALITE-VIRTUELLE.COM.

Le jeu en réalité augmentée Pokémon Go est un phénomène mondial. Ganratuit à télécharger, ce jeu édité par Niantic suscite un fort engouement. Plusieurs dizaines de millions de joueurs y jouent chaque mois. La chasse au Pokémon se passe désormais dans le jardin ou dans la rue.

Pour les amateurs de la licence Pokémon, Pokémon Go a été une véritable révélation. Les joueurs ont immédiatement adhéré à son concept : devoir attraper des Pokémon « pour de vrai ». Vous voilà donc dans la peau d’un dresseur, prêt à parcourir le monde pour capturer le plus de Pokémon possibles.

Pokémon Go : présentation et processus du jeu

Présentation du jeu Pokémon Go

Pokémon Go est un jeu de réalité augmentée qui nécessite l’utilisation d’un smartphone. Pour y jouer, il faut d’abord créer un compte et saisir les informations de son personnage. En outre, il faut se connecter au jeu avec son compte Google ou son compte Pokémon pour y accéder. Notez que le jeu fonctionne avec les systèmes Android et iOS. Pour pouvoir jouer au jeu et recevoir les mises à jour, il faut disposer d’environ 400 Mo d’espace libre sur son téléphone.

Pour pouvoir jouer à Pokémon Go, la fonction de géolocalisation du téléphone doit être activée. En effet, le jeu a besoin de localiser le joueur. Cela permet de faire apparaître des Pokémon sauvages à proximité pour les chasser.

Rappelons que le but du jeu est d’attraper le plus de Pokémon possible. De cette manière, vous allez augmenter votre niveau et progresser dans le jeu. Ainsi, de nouvelles options sont débloquées comme la Ligue de Bataille GO.

Comment fonctionne ce jeu de réalité augmentée ?

Les principes qui résument le mieux l’expérience apportée par le jeu Pokémon Go sont les suivants : parcourir le monde, capturer des Pokémon et s’affronter dans des arènes. Ce qui explique pourquoi une simple promenade peut rapidement se traduire par une chasse. En effet, le joueur a pour mission de mettre tout en œuvre pour attraper les Pokémon. Dans le cas contraire, ces derniers s’échappent et vont disparaître dans la nature.

Pour alerter le joueur de la présence d’un Pokémon à proximité, son smartphone vibre. Ce dernier va alors tenter de l’attraper à l’aide d’une Poké ball. Une fois qu’il l’a attrapé, il remporte des bonbons lui permettant de faire évoluer son Pokémon et de le rendre plus fort.

D’ailleurs, pour obtenir des Poké balls, il faut se rendre dans des PokéStops et des arènes. Ces dernières sont en général situées dans des lieux historiques et de rassemblement. En particulier, les pièces architecturales ou les musées uniques. Une fois près de ces points de rencontre, il faut tourner un PhotoDisc afin de générer des éléments dans le stock du joueur.

Rarement, ces PhotoDisques offrent au joueur la possibilité de se procurer plusieurs éléments pour faire évoluer certaines espèces d’œufs ou de Pokémon. Il arrive que, pour faire éclore l’œuf, il doit parcourir 2,5 ou 10 km.

Les échanges

Les échanges sont une fonctionnalité essentielle des jeux Pokémon depuis les toutes premières versions sur Game Boy. Toutefois, cette fonctionnalité n’était pas présente dans Pokémon Go lors du lancement.

C’est chose faite depuis 2018. Il est possible d’échanger des Pokémon avec les joueurs de sa liste d’amis, à condition qu’il soient présents physiquement dans un rayon de 200 mètres.

Les joueurs reçoivent des bonbons additionnels lors des échanges, dont le nombre dépend en fonction de la distance qui sépare les lieux où les deux Pokémon ont été capturés. S’ils ont été attrapés à des endroits éloignés, le nombre de bonbons sera plus important.

Les points de santé et de combat des Pokémon échangés sont réinitialisés. Ils reçoivent de nouvelles statistiques aléatoires. Les possibilités de variation des statistiques varient selon le niveau d’amitié des deux dresseurs, et les Meilleurs Amis ont plus de chances de recevoir des Pokémon plus puissants.

Les missions d’étude

Pour sortir de leur routine, certains dresseurs Pokémon sont autorisés à se lancer dans de nouvelles « missions d’étude ». Celles-ci se déclinent en deux catégories, à savoir les missions sur le terrain et spéciales.

Missions d’étude sur le terrain

Ces opérations se déroulent sur plusieurs jours. Elles consistent en des tâches de base, comme faire éclore des œufs ou capturer une dizaine de Pokémon.

Afin de bénéficier de nouvelles missions, il faut simplement déclencher un PokéStop. Cependant, les objectifs ne peuvent être accumulés que trois par jour. En plus, les missions sans intérêt peuvent être abandonnées.

En contrepartie, les joueurs reçoivent des accessoires ou une opportunité d’attraper un Pokémon. Les récompenses augmentent en fonction de la difficulté des tâches à accomplir.

Tous les jours, dès la réalisation de la première tâche, un timbre est octroyé. Après avoir reçu sept timbres, un Pokémon légendaire ou rare peut être attrapé. Ces Pokémon diffèrent tous les mois. Autrement dit, en jouant quotidiennement et en réalisant au minimum une tâche, il y a quatre opportunités de rencontrer un Pokémon rare.

Missions d’étude spéciales

Le but principal de cette mission est d’accomplir plusieurs épreuves simultanément pour gagner une prime spécifique.

Par exemple, la quête « Une découverte fabuleuse » visait à attraper Mew. Tandis que la mission « Ripple of Time » a pour but de récupérer un Célebi en prime.

Lorsqu’une étape est accomplie, Willow, ce professeur va apparaître pour fournir des informations supplémentaires. À noter que les missions d’étude spéciales ne prennent jamais fin.

Les Combats de Raid dans Pokémon GO

Comme cité ci-dessus, des Pokémon spéciaux peuvent prendre le contrôle de certaines arènes. Les joueurs peuvent alors s’allier pour tenter de remporter un Combat de Raid. Les joueurs ayant participé gagnent des récompenses et peuvent capturer le Pokémon battu.

Comment accéder au Raid ?

Pour participer aux Combats de Raid, il faut se procurer des passes dans la boutique du jeu. Il y a le Passe de Raid, qui peut être acquis seulement une fois par jour en tournant le PhotoDisque d’une Arène. Ou bien, le passe de Raid à distance et la Passe de Combat Premium.

Les différents Raids

Les raids se déclinent en trois types. La couleur de chaque œuf géant détermine l’apparition de Pokémon différent :

• Le module de niveau facile (1 ou 2), est représenté par un œuf rose. Le gamer de Pokemon GO dispose de 3 minutes pour combattre le boss du raid.
• L’œuf jaune est synonyme de niveau moyen (3 ou 4), et correspond à un Pokémon rare.
• L’œuf noir correspond au niveau 5. Ce niveau désigne un Pokémon légendaire. Il faut 5 minutes pour affronter le boss du raid.

Il faut souligner que plus le niveau des raids est difficile, plus les joueurs doivent être nombreux, tandis qu’un niveau moins difficile ne nécessite que peu de participants. En général, les raids communs sont réalisables en solo, alors que ceux des légendaires nécessitent deux joueurs et plus.

Les Combats de Raid EX

Pour finir, en luttant dans certaines arènes spéciales, le joueur peut obtenir un Passe de Raid EX. Ce dernier ne peut être utilisé que pour un Raid à un endroit et un horaire donné. Il est possible d’inviter quelqu’un à vous rejoindre dans un Raid EX.

Les raids légendaires

Il existe aussi des raids légendaires, représentés par un oeuf sombre. Il s’agit des raids les plus difficiles à compléter, même si certains sont plus simples que d’autres. En général, 10 joueurs seront nécessaires pour en venir à bout. Ces raids proposent de combattre un Pokémon légendaire, et de le capturer en cas de victoire.

Comment gagner un combat de raid ?

Pour triompher d’un boss de raid, le secret consiste à prendre le temps d’étudier son type élémentaire et ses attaques. Une attaque d’eau est très efficace contre un Pokémon de type feu, mais inflige encore plus de dégâts si le Pokémon qui l’utilise est de type eau.

Récompenses de raid

Après un raid, les joueurs reçoivent des objets en récompense. Ils auront ensuite l’opportunité de capturer le Pokémon vaincu. En fonction des dégâts infligés au boss de raid pendant le combat, et du nombre d’arènes que son équipe contrôle, chaque joueur reçoit un nombre d’Honor Balls.

Ce sont les seules Poké Balls que vous pourrez utiliser pour capturer le boss de raid. Si vous tombez à court, le Pokémon s’enfuit.

Les raids sont aussi le moyen le plus rapide de gagner des points d’expérience dans Pokémon Go. En utilisant un Oeuf Chance juste avant un raid, vous pourrez encore doubler les points d’expérience que vous gagnez. C’est le meilleur moyen d’augmenter rapidement de niveau.

Les combats de dresseurs PvP

Les combats de dresseurs représentent un élément essentiel de la saga Pokémon, à l’instar des échanges. Pourtant, ce système n’était pas présent dans les premiers temps de Pokémon Go. En fait, il a été mis en place par la suite.

En effet, affronter un joueur à proximité se révèle possible. Pour ce faire, il suffit de lui faire scanner son code de combat, ou d’affronter ses Ultra et ses meilleurs amis à distance via internet.

Les combats de dresseurs opposent un joueur à un autre. Chaque joueur utilise une équipe de trois Pokémon. Les équipes peuvent être formées à l’avance.

Les combats de dresseurs ressemblent aux combats de raid ou d’arène. Il est possible d’utiliser des attaques rapides pour recharger son énergie, et des attaques chargées plus puissantes et dévastatrices.

Le joueur adverse peut utiliser son bouclier de protection pour contrer une attaque chargée. Cependant, seuls deux boucliers peuvent être utilisés par combat.

À la fin du combat, les deux joueurs reçoivent des récompenses. Il peut s’agir de poussières d’étoiles ou de pierres d’évolution, par exemple. Les récompenses peuvent être obtenues jusqu’à trois fois par jour. Combattre un ami augmente également le niveau d’amitié.

Pour se perfectionner, il faut combattre les chefs des trois factions : White, Candela ou Spark, contrôlés par l’IA. Ces combats d’entraînement permettent de recevoir des récompenses une fois par jour.

Les ligues de combat de dresseurs

Il existe différentes ligues de combats de dresseur. Dans chacune d’entre elles, un cap de Points de Combat limite la puissance des Pokémon qu’il est possible d’utiliser.

Dans la ligue super, les Pokémon ne doivent pas dépasser 1500 PC. Pour la ligue Ultra, le cap est à 2500 PC. Pour la Master League, il n’y a pas de limite et même les monstres les plus puissants peuvent combattre.

La Team GO Rocket

Désormais, le monde de Pokémon Go est en proie aux invasions de la Team Go Rocket. Les sbires de cette organisation maléfique envahissent les PokéStops avec leurs Pokémon obscurs asservis.

Les joueurs doivent les combattre pour sauver les Pokémon obscurs et recevoir des récompenses. Les combats se déroulent à la manière des combats de dresseurs PvP.

Après avoir sauvé un Pokémon obscur, il est possible de le capturer puis de le conserver sous cette forme ou de le purifier. Les Pokémon obscurs ont généralement une statistique d’attaque supérieure, mais moins de défense.

Un Pokémon purifié a généralement de meilleures statistiques et davantage de Points de Combat. Augmenter sa puissance coûte aussi moins cher.

Certaines missions d’études spéciales mettent en scène la Team Rocket. En outre, leurs ballons dirigeables arpentent les cieux et apparaissent sur la carte de façon aléatoire à la manière des Pokémon.

En utilisant le radar rocket, il est possible d’affronter les membres importants de la Team Go Rocket (Sierra, Cliff et Arlo) ou même leur chef : Giovanni. Les célèbres personnages Jesse et James issus du dessin animé de Pokémon peuvent aussi être affrontés.

Les combats contre la Team permettent aussi d’obtenir des oeufs contenant des Pokémon de type Ténèbres ou Poison, nécessitant 12 km de marche pour évoluer.

Les Pokémon Shiny

Les Pokémon Shiny, ou chromatiques, existaient déjà dans les jeux Pokémon traditionnels. Toutefois, ils ont été ajoutés tardivement par Niantic dans Pokémon Go.

Ces monstres sont des versions alternatives des Pokémon, se distinguant par leur couleur. Ils sont beaucoup plus rares, mais les chances de les capturer augmentent lors d’événements spéciaux.

Pendant les Journées Communauté, qui surviennent une fois par mois pendant trois heures, un Pokémon est mis en lumière et peut être capturé facilement en version Shiny et avec des attaques exclusives. Ce monstre apparaît beaucoup plus fréquemment qu’à l’accoutumée pendant l’événement, et les chances de le trouver en version chromatique sont donc accrues.

Les nouvelles générations de Pokémon

Aux débuts de Pokémon Go, seule la première génération de Pokémon était disponible. Depuis, plusieurs générations ont été ajoutées. En 2021, nous en sommes déjà à la sixième génération de monstres de poche.

On retrouve ainsi les Pokémon de Kanto, issus des versions Rouge et Bleue, les Pokémon de Johto des versions Or et Argent, ceux des versions Rubis et Saphir, des versions Diamant et Perle, Noir et Blanc et X et Y. Le bestiaire se renouvelle au fil du temps, ce qui permet au jeu de conserver de l’intérêt même pour les joueurs les plus anciens.

Les amis et les cadeaux dans Pokémon Go

Depuis l’été 2018, Niantic a ajouté une fonctionnalité sociale dans Pokémon Go : le système d’amis. Chaque joueur dispose d’un code personnel qu’il est possible de partager avec les autres joueurs pour les ajouter à sa liste d’amis.

Cette liste peut contenir un maximum de 200 amis. Une fois qu’un joueur est dans la liste d’amis, il est possible de voir les Pokémon qu’il a attrapés et de consulter toutes ses statistiques : le nombre de combats gagnés, la distance parcourue, ou encore le nombre total de Pokémon capturés.

Il existe quatre niveaux d’amitié : Bon ami, super ami, ultra ami et meilleur ami. En fonction de leur niveau d’amitié, les joueurs reçoivent différentes récompenses. Il peut s’agir d’un coût réduit pour les échanges, d’un bonus de dégâts infligés dans les combats d’arène, ou de PokéBalls supplémentaires pendant les raids.

Il faut une journée pour devenir bons amis, sept jours pour devenir super amis, trente jours pour devenir ultra amis, et 90 jours pour atteindre le niveau meilleurs amis. Pour augmenter le niveau d’amitié, il est également nécessaire de s’envoyer des cadeaux, de faire des échanges ou de participer ensemble à des combats d’arène et des raids.

Les cadeaux peuvent être obtenus dans les PokéStops. Ils peuvent ensuite être envoyés aux amis de sa liste. Il peut s’agir d’une carte postale à l’effigie du PokéStop où elle a été obtenue, d’un oeuf contenant un Pokémon rare, ou d’objets divers.

Un cadeau peut aussi contenir de la poussière d’étoiles. Pour chaque cadeau envoyé, le joueur reçoit également 200 points d’expérience.

La météo dynamique

Dans Pokémon Go, la météo évolue de façon dynamique en fonction du temps qu’il fait dans le monde réel. Elle est actualisée de façon dynamique, et indiquée par un logo situé en haut à droite de l’écran.

Au total, on dénombre huit climats différents dans le jeu : pluie, vent, neige, brouillard, soleil, nuit claire, nuageux, partiellement nuageux.

La météo a un impact direct sur les Pokémon qui apparaissent autour de vous. Certains types de Pokémon apparaîtront plus fréquemment sous certaines conditions, et la puissance de certaines attaques augmente en fonction du climat.

Les météos favorables

Une météo de type Temps clair ou Temps ensoleillé favorisera les Pokémon de type Feu, Plante et Sol.  S’il y a du Brouillard, ce seront plutôt les types Ténèbres et Spectre qui bénéficieront d’un boost.

Un temps Couvert par contre avantages les Pokémon Poison, Combat et Fée. S’il y a Quelques nuages, les types Roche et Normal seront de sortie alors que c’est la Neige qui incite les Pokémons Acier et Glace à être plus nombreux dans la nature.

Un temps Pluvieux, booste les types Insecte, Eau et Électrik quand c’est un temps Venteux pour les Pokémon Dragon, Vol et Psy.

Dans tous les cas, vous aurez plus de chance de rencontrer un type lors d’une météo qui lui est favorable. De plus, ils auront un PC augmentée de 25%, dans un raid ou dans la nature. Et s’ils seront plus difficile à battre avec une hausse de 20% de leur puissance, vous obtiendrez 25% de bonus poussières d’étoile dans Pokémon Go à sa capture.

Pokemon Go : les stratégies de combat à adopter en fonction de la météo

Les effets de la météo n’affectent pas seulement les Pokémon attrapés. Ceux qui ont déjà été capturés en profitent également. Si les conditions météorologiques conviennent aux attaques reconnues par le Pokémon, par exemple une lame d’air ou vent violent, les dégâts causés par ces dernières seront plus importants. Pour savoir si la puissance a augmenté, il suffit de jeter un coup d’œil à son résumé.

Il est aussi important de tenir compte de toutes les données disponibles avant de participer à des combats de Raid de Pokemon Go. Étant donné que les variations météorologiques influencent aussi le Pokémon sauvage, leurs adversaires risquent d’être plus coriaces face à eux. Par conséquent, il faut absolument constituer une équipe comprenant des Pokémon ayant une bonne capacité d’attaque.

À titre d’exemple, Kyogre, ce Pokémon légendaire, se révèle être un adversaire redoutable. Cependant il reste vulnérable face aux Pokémon de type Électrik ou Plante. En fait, il s’agit d’un Pokémon de type Eau. De ce fait, au cours des combats de Raids, il faudra adapter la tactique selon les conditions météorologiques. 

Si la pluie tombe, mieux vaut miser sur les attaques Electrik, car elles provoquent des dégâts supplémentaires de 20 %. En revanche, lorsqu’il est ensoleillé, les Pokémon de type plante peuvent être utilisés, puisque leur performance au combat est plus élevée.

Le Pokédex : l’un des principaux éléments du jeu 

Le Pokédex est une collection d’informations sur chaque Pokémon déjà attrapé et vu par le joueur. Il s’enrichit au fur et à mesure que les dresseurs possèdent et rencontrent de nouveau Pokémon. Pour accéder à la page Pokédex, le joueur doit appuyer sur le bouton du menu principal de Map View. Ensuite, il faut cliquer sur le bouton Pokédex.

En haut de la page Pokédex, il y a deux statistiques du joueur, à savoir le nombre de Pokémon déjà attrapé et vu. En dessous, il se trouve des onglets avec les Pokémon de chaque région et le nombre de Pokémon actuellement capturés. De plus, en sélectionnant l’onglet Kanto, les médailles actuellement détenues pour chaque région Pokémon apparaissent au-dessus des onglets respectifs.

La longue page entière du Pokédex contient des champs pour chaque espèce de Pokémon dans le jeu.

Il existe trois types de ces champs :

• Une tuile non interactive avec un certain nombre d’espèces de Pokémon. Ces espèces de Pokémon n’ont jamais été attrapées ou vues par le joueur,
• Une tuile avec une ombre, une silhouette monochromatique de Pokémon. L’espèce de ce Pokémon n’a été vue que par un seul joueur. En appuyant sur ce champ, le joueur accède à l’entrée incomplète du Pokédex pour l’espèce spécifique du Pokémon,
• Un champ sans tuile de fond et une image colorée de l’espèce du Pokémon. Cette espèce a déjà été attrapée par le joueur. Après avoir appuyé sur ce champ, le joueur accède à l’entrée complète du Pokédex pour l’espèce de Pokémon en question.

Menu d’affichage du Pokédex

Au départ, toutes les tuiles de chiffres n’apparaissent pas. En fait, le joueur n’accède qu’au champ de l’espèce de Pokémon qui a été attrapée ou vue avec le numéro Pokédex le plus élevé dans chaque région. Il y a différentes couleurs de tuiles dans chaque section pour les espèces de Pokémon dans chaque région.

De plus, chaque section de ces Pokémon a une ligne d’en-tête avec le nom de la région. Dans le coin inférieur droit de la page, il y a un bouton qui permet de changer de vue entre le Pokédex standard et le Mega Pokédex.

Les saisons

Avec la mise à jour Beyond, Pokémon Go s’enrichit d’un système de saison. Tous les trois mois, la saison change et le contenu s’adapte. Différents Pokémocommentn apparaissent à l’état sauvage, au même titre que ceux contenus dans les oeufs ou les boss de Raids et les méga évolutions mises en avant.

Les saisons ont un impact différent dans l’hémisphère sud et l’hémisphère nord. Certains Pokémon apparaîtront aussi sous différentes formes selon l’hémisphère, à l’instar de Vivaldaim. Les événements sont également liés la saison en cours, et des ligues de combat saisonnières avec des règles spécifiques sont disponibles.

Les Pokémon Chanceux

Les Pokémon Chanceux ont été ajoutés après l’introduction des échanges. En effet, lorsqu’ils sont échangés, les Pokémon ont une probabilité de devenir des  » Pokémon Chanceux « .

Cela signifie qu’ils nécessitent moins de Poussière d’étoile que d’habitude pour évoluer. Il n’est donc pas nécessaire de dépenser autant de ressources pour atteindre leur maximum de Points de Combat. De plus, les Pokémon Chanceux ont plus de probabilités d’avoir de bonnes statistiques.

Plus un monstre est stocké longtemps, plus il a de chances de devenir Chanceux. Il s’agit donc d’une excellente occasion de vous débarrasser des monstres attrapés au lancement du jeu et qui encombrent votre capacité de stockage.

Les amis Pokémon

Dès le début de Pokémon Go, marcher permettait de faire éclore des oeufs. Désormais, il est aussi possible de faire évoluer son  » Ami Pokémon «  de cette manière.

Il suffit de choisir son Pokémon préféré et de lui conférer le statut d’Ami. Il suivra à présent votre avatar, et gagnera des bonbons à mesure que vous effectuez des pas. Notons que les pas sont désormais pris en compte via des plateformes comme Google Fit même lorsque le jeu n’est pas ouvert.

Ce nouveau système permet d’augmenter facilement la puissance des Pokémon rares, pour lesquels il serait difficile de trouver des bonbons en temps normal. Un Ami Pokémon peut même conférer des capacités spéciales, notamment pour les combats ou la capture de Pokémon.

Les clichés

Depuis le mois de février 2019, les joueurs de Pokémon Go peuvent prendre en photo leurs Pokémon devant les paysages du monde réel grâce à la réalité augmentée. Cette fonctionnalité  » Clichés  » permet de choisir n’importe quel monstre de sa collection pour le photographier. Il suffit de cliquer sur l’icône de caméra en haut à droite de l’écran.

De temps à autre, un autre Pokémon s’invite sur la photo le temps d’un  » photobombing « . Ce Pokémon apparaît ensuite sur la carte, et il est possible de le capturer. Les dresseurs ont ainsi pu capturer Queulorior.

Les objets et récompenses

Le joueur de Pokémon Go gagne des points d’expérience en fonction des actions accomplies comme faire éclore un œuf, attraper un Pokémon ou gagner un combat dans une arène. Ces points permettent de débloquer de nouvelles fonctionnalités, de gagner des objets et surtout de monter de niveau. En atteignant le niveau 5, le dresseur peut rejoindre l’une des équipes suivantes : l’équipe Bravoure, l’équipe Sagesse et l’équipe Intuition.

Poussière d’étoiles et Bonbons

En attrapant un Pokémon, le joueur de Pokémon GO reçoit des poussières d’étoiles et des bonbons. La poussière d’étoiles est une devise monétaire indispensable dans ce jeu de réalité augmentée. C’est la ressource principale pour renforcer vos Pokémon. Grâce à elle, vous pouvez apprendre de nouvelles attaques à vos Pokémon et augmenter leurs points de combat (leur force). Lors d’échange avec vos amis, c’est aussi la monnaie qui vous permet de payer.

Quant aux bonbons, ils sont liés au Pokémon et sont plus difficiles à gagner. Ils permettent là encore d’augmenter leur puissance, mais également de les faire évoluer.

PokéStops

Les marqueurs bleus sur la carte représentent les PokéStops. Ils se situent souvent à des endroits clés comme d’anciens statues, monuments ou bâtiments. Pour laisser apparaître l’image de l’endroit, il suffit de cliquer sur le marqueur. Divers accessoires comme des Pokéball, des Œufs ou des articles comme des Rappels et des Potions vont apparaître.

Œufs

En gagnant un Œuf, le dresseur peut le mettre dans un incubateur avec l’application ouverte tout en marchant dans le voisinage. Certains sites tiers permettent de savoir à l’avance quel Pokémon sortira de l’œuf. 

Arènes

Pour pouvoir commencer à utiliser les Arènes, il faut être au niveau 5. Il s’agit du lieu dédié à l’affrontement entre dresseurs. Lorsque vous tombez sur un autre joueur, s’il n’est pas votre ami, il peut être votre rival. Dans ce cas, préparez à faire combattre vos Pokémon contre les siens. L’intérêt de combattre dans une Arène est de gagner des points d’expérience, mais aussi des objets et des passes de Raid.

Poképièces

Défendre une Arène fait partie des moyens pour gagner des Poképièces, bien qu’il soit possible de s’en procurer dans la boutique. Le joueur doit seulement laisser son Pokémon dans l’Arène jusqu’à ce qu’un autre joueur décide de le défier pour gagner des Poképièces.

Le bracelet Pokémon Go Plus

Pokémon Go Plus est un bracelet connecté par Bluetooth à un téléphone avec Pokémon Go installé. Ce bracelet émet une vibration lorsque le joueur est à proximité d’un Pokémon. Pour attraper le Pokémon, il faut appuyer sur les boutons du bracelet. C’est en consultant l’application sur un téléphone mobile ou une tablette que le joueur va connaître ce qu’il a capturé. 

Comment jouer à Pokémon Go sans bouger ?

Il existe deux méthodes efficaces pour jouer à Pokemon Go sans se déplacer. Mais avant de se lancer là-dedans, il faut noter qu’il n’y a pas de logiciel valable pour iOS et Android en même temps. Donc, il faut utiliser un outil différent.

Pour jouer à Pokemon Go sans se déplacer sur votre appareil iOS, il est recommandé d’utiliser iToolab AnyGo. Pour commencer, il faut aller sur le site officiel de l’outil. Ensuite, téléchargez-le et lancez-le sur votre PC ou Mac Windows. Connectez votre iPhone à l’aide d’un câble USB et cliquez sur le bouton « Démarrer ».

Pour continuer, cliquez sur le mode « Téléportation » (dans le coin supérieur droit). Par la suite, entrez l’endroit souhaité et cliquez sur le bouton « Rechercher ». L’outil va afficher votre emplacement sur la carte. En cliquant sur le bouton « Go », vous vous téléportez immédiatement à l’endroit souhaité.

Jouer à Pokemon Go sans se déplacer sur Android

Le processus pour jouer à Pokemon Go sans bouger sur Android peut sembler un peu complexe par rapport à iOS, mais il fonctionne parfaitement bien. Pour ce faire, téléchargez les applications Fake GPS GO Location Spoofer et Fake GPS Joystick & Routes Go. Activez également les « Options du développeur » sur votre appareil Android en appuyant 7 fois sur le « numéro de build » du téléphone. Dans Paramètres, sélectionnez « Localisation » et activez le « Mode » sur « Haute précision ».

Lancez les itinéraires et activez le GPS avant d’ouvrir les « Paramètres » de l’application Fake GPS et d’activer le « Mode sans racine ». Ensuite, pointez avec le point rouge l’emplacement virtuel souhaité et cliquez sur le bouton « Play ». 

Vous pouvez vérifier la même chose en ouvrant Google Maps sur votre appareil. Vous pouvez maintenant ouvrir Pokemon Go et constater que vous pouvez maintenant jouer au jeu depuis l’emplacement souhaité que vous avez choisi plus tôt. 

Pokemon Go célèbre l’anniversaire de Niantic avec une Boîte spéciale gratuite

Depuis 2018, Niantic a ajouté une fonctionnalité sociale dans Pokémon Go : le système d’amis. Chaque joueur bénéficie d’un code personnel qu’il peut partager avec d’autres joueurs pour les ajouter à sa liste d’amis.

Cette liste peut contenir un maximum de 200 amis. Une fois le joueur ajouté à la liste d’amis, il est possible de voir les Pokémon capturés et de consulter toutes ses statistiques. Notamment le nombre de batailles gagnées, la distance parcourue ou le nombre total de Pokémon capturés.

Il existe quatre niveaux d’amitié : Bon ami, Super ami, Ultra ami et Meilleur ami. En fonction du niveau d’amitié, les joueurs reçoivent différentes récompenses. Il peut s’agir d’une réduction du coût des échanges, d’un bonus de dégâts dans les combats d’arène ou de PokéBalls supplémentaires pendant les raids.

Il faut un jour pour devenir Bon ami, sept jours pour devenir Super ami, trente jours pour devenir Ultra ami, et 90 jours pour atteindre le niveau Meilleur ami. Pour augmenter le niveau d’amitié, il faut également envoyer des cadeaux, faire des échanges, ou participer ensemble à des combats en arène et à des raids. 

Un cadeau peut également contenir de la poussière d’étoiles. Pour chaque cadeau envoyé, le joueur reçoit également 200 points d’expérience. Ces cadeaux peuvent être obtenus dans les PokéStops. Ils peuvent ensuite être envoyés aux amis de la liste.  

Comment changer sa localisation dans Pokémon Go ?

Les joueurs de Pokémon GO qui vivent dans les grandes villes ou les banlieues n’ont aucun problème pour trouver des Pokéstops ou des Gyms, mais qu’en est-il des zones rurales ? Ces derniers ont du mal à trouver des Pokéstops et des Pokémon en général, et ne peuvent pas espérer en attraper un rare. Il existe une astuce qui peut les aider à avoir la même expérience, qui consiste à changer leur localisation dans Pokemon GO.

Pour la plupart des applications mobiles, l’utilisation d’un VPN suffit pour changer la région ou la localisation. Ce service permet de masquer l’activité en ligne et l’adresse IP. Mais Pokemon GO a commencé à surveiller ses serveurs pour détecter les joueurs dont la localisation ne correspond pas aux coordonnées GPS de leur téléphone. Ces joueurs peuvent être suspendus ou bannis. Donc un module de masquage de localisation factice peut aussi être nécessaire.

Ainsi, après avoir téléchargé et installé un VPN sur votre appareil mobile, vous devrez également installer une application de mystification de GP comme Fake GPS Location. Rendez-vous maintenant dans les paramètres de votre appareil Android et cliquez sur « À propos du téléphone ».

Pour activer le mode développeur, appuyez sept fois sur « Build Number ». Par la suite, retournez dans les paramètres et cliquez sur Developer Options » afin de choisir l’option « Mock Locations App » ou « Allow Mock Locations ». Ce module empêchera Pokemon GO de savoir que vous avez activé les emplacements fictifs.

Après avoir activé les lieux fictifs et le VPN sur votre appareil mobile, choisissez un serveur dans un endroit où vous souhaitez trouver des Pokémon.

Vous pouvez maintenant lancer Pokemon GO et commencer à chercher vos Pokémon préférés.

Pokémon Go, le futur de la réalité augmentée

Pokémon Go est un meilleur exemple de ce que pourrait être le futur de la réalité augmentée. Ce jeu représente également une bonne évolution de la précédente application de Niantic « Ingress ». Depuis son lancement, Pokémon Go a effacé la frontière entre la réalité et le virtuel pour permettre de rencontrer les Pokémon dans la vraie vie. Au fil du temps, le réalisme s’est accru. La prise en compte de l’occlusion sur Apple ARKit et sur Google ARCore permet d’intégrer les Pokémon à l’environnement du joueur de façon plus convaincante.

En outre, le jeu de réalité augmentée Pokémon Go s’enrichit de deux nouvelles fonctionnalités plus immersives : mode « Aventure entre copains » et le mode AR partagé. 

Un modèle de réalité augmentée sociale

L’aventure des copains offre aux joueurs la possibilité d’interagir avec leur copain Pokémon en réalité augmentée. Celui-ci va réagir à toutes les actions entreprises. Comme un vrai compagnon, il peut manger ou participer à des jeux.

De plus, le mode AR partagé permet aux joueurs de partager l’expérience de réalité augmentée avec jusqu’à deux autres dresseurs. Pendant le moment de partage, il est par exemple possible de prendre une photo avec vos amis et leurs Pokémon. Voilà une excellente occasion pour vous et votre équipe de vous exhiber sur les réseaux sociaux et d’intimider vos rivaux.

Pokémon Go, un jeu pour les plus grands bonheurs des gamers

Grâce à ses deux innovations, Pokémon Go continue à se parfaire pour le plus grand bonheur des fans. Certainement, la prochaine étape tant attendue sera le lancement du jeu sur les lunettes de réalité augmentée que Niantic est en train de développer avec Qualcomm. 

Dans le but de fournir à ses joueurs une expérience plus réaliste, Niantic a également renouvelé la réalité augmentée présente dans son jeu Pokémon Go. Cette firme a ajouté une nouvelle fonctionnalité nommée « Reality Blending ». Ce système permet aux Pokémon de disparaître de façon plus naturelle, partiellement ou complètement, derrière une poubelle, un arbre ou tout autre objet.

Niantic dévoile également l’arrivée d’un nouvel outil permettant aux joueurs de participer au développement d’une map 3D du monde. La firme propose une fonctionnalité activable à la communauté Pokémon GO, appelée PokéStop Scan.  

Lorsque les joueurs se trouvent à un PokéStop ou une Arène, ils vont devoir filmer le monde qui l’entoure dans des vidéos de 30 secondes maximum. Via ce processus, Niantic peut alors concevoir des cartes 3D dynamiques des PokéStop. Malheureusement cette fonctionnalité n’est disponible qu’aux joueurs de niveau 40 minimum, avant d’être accessible aux dresseurs de niveaux inférieurs.

Pokémon Go revient à la normale après la crise de la covid

Niatic Labs a déclaré le 21 juin 2021 que les gratifications instaurées pour faire face à la crise sanitaire vont se terminer progressivement.

En fait, lorsque les restrictions sanitaires en 2020 ont obligé la population à rester chez elle, Pokémon Go a su s’adapter en rendant la partie plus sédentaire. Mais comme les campagnes de vaccination progressent et que les mesures restrictives prennent fin, Niantic compte donc faire en sorte que l’expérience redevienne ce qu’elle était à ses débuts.

Mais avant tout, sachez que certains éléments vont rester tels quels. Ainsi, il y a l’encens qui garde son délai d’utilisation de 60 min, et le nombre maximum de cadeaux qui peuvent être portés reste à 20. En même temps, il sera toujours possible d’ouvrir jusqu’à 30 cadeaux. Par ailleurs, les captures effectuées lors de la première journée accordent 3 fois plus de points d’expérience et de poussières d’étoiles.

En ce qui concerne les changements, les joueurs qui se déplacent vont avoir plus de chance de rencontrer un Pokémon, grâce à un Encens plus efficace. De même, le fait de s’arrêter dans un PokéStop entraîne des bonus. À noter également que le nombre d’objets fournis par un compagnon sera réduit.

La mise à jour de cette expérience a été déployée en juillet 2021 après le Pokémon GO Fest.

Pokémon GO : Niantic dévoile les revenus de son jeu 

Cinq ans se sont écoulés depuis que Niantic a lancé Pokémon GO, mais le jeu continue de gagner en popularité. Selon Sensor Tower, Pokémon GO a rapporté à Niantic plus de 5 milliards de dollars américains en une demi-décennie. 

Ces chiffres font de Pokémon GO l’un des jeux les plus populaires de tous les temps, et pas seulement pour les jeux mobiles. Le chiffre d’affaires total de Pokémon GO a atteint 1,3 milliard de dollars l’année dernière. Les revenus du deuxième semestre 2020 ont dépassé ceux du premier semestre. 

Les utilisateurs de Pokémon GO ont déjà dépensé plus de 600 millions de dollars au cours du premier semestre 2021. Environ 30 % ont été absorbés par Apple et Google au titre des frais de boutique d’applications. Apparemment, Google Play représente 52,8 % des dépenses globales, contre 47,2 % pour iOS. 

Sensor Tower rapporte que le jeu a été téléchargé 632 millions de fois sur Android et iOS depuis 2016, mais que 77 % des installations ont eu lieu sur Android. Par conséquent, les utilisateurs d’iOS ont tendance à dépenser plus sur Pokémon GO que les utilisateurs d’Android. 

Sensor Tower affirme également que Pokémon GO a connu une augmentation de 34 % des dépenses semestrielles entre le premier semestre 2020 et le premier semestre 2021. Si cette augmentation se maintient pour le reste de l’année, alors Pokémon GO pourrait gagner près de 1,75 milliard de dollars US rien qu’en 2021.

Pokémon GO : l’événement Halloween 2022 se divise en 2 parties

En cette saison propice aux fantômes, Pokémon GO devient une Véritable Maison Hantée riche en frissons à travers l’événement Halloween 2022. Tout au long de la première partie de cet événement, les dresseurs vont pouvoir profiter pleinement d’une immersion totale.

Méga-Branette va faire son apparition lors des Raids de Pokémon GO. En outre, Giratina va participer à des combats de Niveau 5. De plus, les Giratina capturés au cours de cette première partie vont découvrir les attaques des Spectres Revenants, un nouveau type de combat qui fait ses débuts dans Pokémon GO !

Les Arènes et les PokéStops se mettront au diapason avec des décorations effrayantes. Mais Halloween ne le serait pas s’il n’y avait pas de bonbons. Parmi les récompenses de cet événement, les entraîneurs recevront deux fois plus de bonbons pour tous les Pokémon capturés ou éclos.

Au cas où les décors, la musique et les bonbons ne suffiraient pas, diverses recherches thématiques attendent les Dresseurs. En effet, jusqu’au 1er novembre 2022, ces derniers vont pouvoir participer à une Étude spéciale centrée sur Galar Tutafeh chromatique, Galar Tutafeh et Tutafeh ainsi que leur première apparition dans Pokémon GO. Redoublez vos études avec 2 autres recherches ponctuelles.

Pokémon GO : Cosmovum apparaîtra lors de l’événement Evolution Etoilée

Vous voulez attraper un Cosmovum ? Il existe différentes façons de faire évoluer les Pokémon dans GO. Un nouvel événement, l’Évolution Étoilée, est à l’honneur !

Lors de cet événement, Cosmog peut évoluer en Cosmovum en échange de 25 bonbons.

Ne vous inquiétez pas de faire évoluer votre seul et unique Cosmog, il a été rapporté que pendant cet événement il est possible d’en rencontrer d’autres, alors gardez les yeux ouverts.

Comme à chaque manifestation, au fil des périples, vous pourrez chasser de nombreux Pokémon intéressants. Certains d’entre eux ont leur variante shiny, vous pourrez donc retrouver vos monstres préférés avec de nouvelles couleurs. Ces Pokémon vont apparaître davantage dans les Raids, dans les Œufs et dans la nature.  

Une journée de raid mettant en vedette Mega Leviator aura, ensuite, lieu le 8 octobre à 14h00. De plus, des bonus seront offerts. Le dresseur peut acquérir jusqu’à 5 laissez-passer de raid complémentaires en utilisant les PhotoDiscs disponibles dans l’arène.

Vous aurez plus de chances de découvrir un Léviator chromatique. Il est aussi possible de relever 4 défis de collection.Étant donné qu’ils sont consacrés à l’évolution des Pokémon, des objets d’évolution seront remis aux joueurs qui les auront relevés.

À noter que l’événement Évolution étoilé se déroulera du 5 octobre à 10 h 00 au 11 octobre à 20 h 00.

Meilleures astuces Pokémon Go

Bien que les bases de Pokemon Go soient simples, pour maîtriser ce jeu il faut prendre en compte bien d’autres éléments. Découvrez les astuces pour devenir un pro de Pokemon.

Utiliser les incubateurs judicieusement

Les œufs collectés dans les Poke Stops ou offerts permettent d’obtenir des Pokémon, de cumuler des points XP et d’augmenter le nombre de bonbons. Pour ce faire, il suffit de les placer dans un incubateur en parcourant la distance demandée. Au début, chaque joueur reçoit un incubateur à usage infini, mais parfois il obtient aussi un incubateur 3x. Ces derniers doivent être utilisés à bon escient pour les œufs de 10k. En fait, ces œufs de plus longue distance sont mieux récompensés.

Acquérir des XP

Le niveau de compétence du dresseur est déterminé par l’XP qu’il possède. Pour passer d’un niveau à l’autre, il faut acquérir plus de points d’expérience à chaque fois. Mais au fur et à mesure que les récompenses augmentent, le Pokémon peut évoluer et éclore à des niveaux supérieurs.

Faire évoluer un Pokémon lorsque le nombre d’XP est faible signifie un coût supplémentaire en bonbons. Ainsi, il est préférable de conserver les bonus du Pokémon jusqu’à ce que le niveau d’XP soit plus élevé. Pour en accumuler au maximum, il faut se servir d’un œuf chanceux ou combattre pour prendre le contrôle des gymnases.

Combattre dans des raids susceptibles d’être gagnés

Cette approche peut paraître peu courageuse durant les raids Pokemon Go. Cependant, lancer un Squirtle de 86CP dans une attaque contre un Kyogre de 50000CP ne donne aucun résultat. En effet, sans de puissants Pokémon ni une équipe de joueurs pour combattre, il est certain de perdre le raid et de devoir simplement ranimer les Pokémon et les soigner avec des potions.

Par conséquent, il faut vérifier la capacité du Pokémon avant de démarrer le combat dans le raid. Dans les salles de gym, les adversaires peuvent s’épuiser progressivement, ce qui permet de faire face à des dresseurs beaucoup plus redoutables. Effectivement, le combat sera toujours perdu, mais les progrès réalisés seront plus importants.

Choisir un Pokémon de type rare

Certains types de Pokémon sont rares. Étant donné que ces derniers ne se manifestent pas très souvent, en les choisissant comme compagnons, ils permettent de gagner des points au fil du temps. Au fil du temps, il est possible de faire évoluer ce Pokémon.

Pour Magikarp, il vaut mieux ne pas procéder ainsi. En fait, il faut obtenir 400 bonbons pour le transformer. Ensuite, il faut attendre un certain temps avant de voir le résultat. À noter cependant que chaque Pokémon requiert des distances différentes.

Échanger des Pokémon contre des bonbons

Dans Go, le joueur peut transférer des Pokémon à son professeur et les échanger contre des bonbons équivalents. Une fois le Pokémon capturé, la poussière d’étoiles et les bonbons obtenus, il est possible de déplacer les Pokémon inutiles.

Par exemple, en ayant une vingtaine de Rattata, il est préférable d’échanger certains d’entre eux pour des candy. Cette technique renforce la puissance des Pokémon qui vont se battre et devenir des Raticate. Le nombre de Pokémon pouvant être transporté est limité. Alors, pour qu’ils deviennent tous plus puissants, il faut se débarrasser des plus faibles d’entre eux.

Vérifier le cycle d’évolution

Pour savoir comment évoluent les Pokémon, il faut vérifier en quoi ils peuvent évoluer. Et ce avant de leur donner des bonbons pour les renforcer ou les faire évoluer vers des formes inférieures.

Par exemple, avec de nombreux Pidgy et Pidgeotto, il vaut mieux ne pas dépenser de bonbons pour transformer Pidgy en un autre type de Pidgeotto. En effet, le fait de faire muter des Pokémon à des niveaux moyens est beaucoup moins efficace que de les faire évoluer sous leur forme rare. En fait, ce dernier est bien souvent plus avantageux lors d’un combat de Raids.

Pokéball 101

Pour attraper des Pokémon sauvages, il faut envoyer une balle courbe pour augmenter le nombre d’XP. Tout ce qui reste à faire, c’est de secouer la balle. Il suffit pour cela de la toucher, de la tenir et de la faire tourner dans le sens des aiguilles d’une montre ou dans le sens inverse jusqu’à ce qu’elle brille. Une fois qu’elle brille, il suffit de capturer la créature et obtenir un bonus d’XP.

L’endroit auquel la balle courbe peut être envoyée dépend de la façon dont elle est lancée après la rotation. En outre, si le joueur rate un lancer, il peut toucher la Pokéball lorsqu’elle rebondit ou roule afin de la récupérer.

Pokémon Go Home

Pokémon Go Home est le dernier service de Nintendo basé sur le cloud pour stocker tous vos Pokémon et les déplacer entre les jeux. Ceux qui sont vraiment engagés pourront récupérer une créature attrapée à l’époque de la Game Boy Advance et la déplacer vers Pokémon Épée et Bouclier.

Le processus est beaucoup plus simple pour les joueurs de Pokémon Go. Pour se connecter à Pokémon Home, il suffit d’aller dans les paramètres et de connecter sans fil votre jeu à votre Nintendo Switch. Ensuite, lancer l’application Maison Pokemon sur la Switch et transférer les monstres entre les appareils.

Il existe également une application Maison Pokémon pour mobile où il est possible d’échanger des Pokémon, recevoir des cadeaux et lire des nouvelles.

Meilleures astuces Pokémon Go pour les débutants

Connaître les différents types de Pokémon

Les Pokémon sont classés en différents types. Notamment le feu, l’eau, la terre, l’électricité, l’acier ou la fée. Chaque catégorie joue un rôle important, car elle présente un avantage particulier par rapport aux autres. Aussi fort soit-il dans un combat, un Pokémon risque toujours d’être éliminé par un Pokémon plus fort dans une arène.

En fait, les formes de combat peuvent varier d’un Pokémon à l’autre, ce qui a des conséquences sur leurs attaques. De plus, la nature du coup et le type du Pokémon adverse déterminent principalement les dégâts causés par une action. Par conséquent, le type d’attaque dépend du type du Pokémon adverse.

Visiter autant de Pokéstops que possible

Les Pokéstops constituent une partie essentielle du jeu Pokémon Go. Ils représentent la principale source des récompenses au sein de l’environnement dans lequel ils opèrent. Ils constituent des sites culturels à visiter. En effet, les Pokéstop offrent des gratifications telles que les œufs, les pokéballs ou les élixirs de guérison. Il est possible de visiter de nombreuses fois le même Pokéstop. 

Comment jouer à Pokémon Go en 2025 ?

Pour jouer à pokémon go en 2025, il faut télécharger l’application gratuite sur votre smartphone Android ou iOS, puis créer un compte. Le jeu utilise la géolocalisation et la réalité augmentée pour faire apparaître les créatures dans votre environnement.

Une fois dans le jeu, votre avatar se déplace sur la carte en même temps que vous dans le monde réel. Les PokéStops, représentés par des points bleus sur la carte, sont des lieux d’intérêt où vous pouvez récupérer des objets utiles comme des Poké Balls. Ces derniers sont nécessaires pour capturer les Pokémon. Les arènes, marquées en jaune ou rouge, permettent d’affronter d’autres dresseurs.

Pour capturer un Pokémon ensuite, il suffit de toucher son avatar sur la carte lorsqu’il apparaît. L’écran de capture s’ouvre alors et vous montre la créature en réalité augmentée dans votre environnement. Lancez une Poké Ball, faites la glisser vers le Pokémon et tenez compte de sa distance et de ses mouvements.

Sachez que le jeu propose différents événements saisonniers et communautaires qui permettent de capturer des Pokémon rares ou chromatiques. Les Raids sont des combats coopératifs où plusieurs joueurs s’unissent pour affronter des Pokémon puissants. Pour y participer, rendez-vous physiquement à une arène pendant qu’un Raid est en cours.

Source : notebookcheck.net

 FAQ sur Pokémon Go

Qu’est-ce que Pokémon Go ?

Pokémon Go est un jeu mobile en réalité augmentée lancé en 2016 par Niantic. Dans ce jeu, les joueurs capturent des Pokémon dans le monde réel en utilisant leurs smartphones, qui superposent des éléments de réalité augmentée à leur environnement.

Comment jouer à Pokémon Go ?

Pour pouvoir jouer, vous devez d’abord télécharger l’application depuis l’App Store ou Google Play. Ensuite, créez un compte, puis choisissez votre avatar avant de commencer à explorer votre ville pour trouver des Pokémon. Utilisez des Poké Balls pour les capturer !

Y a-t-il des coûts associés ?

Le jeu est gratuit. Cependant, il propose des achats intégrés pour des objets dans le jeu. Vous pouvez toutefois progresser sans débourser d’argent. Pour cela, vous devez gagner des récompenses.

Comment gagner des objets ?

Visitez des PokéStops, qui sont des lieux réels comme des monuments ou des parcs. Vous pouvez également participer à des événements et des raids pour obtenir des objets spéciaux.

Qu’est-ce qu’un Raid ?

Un Raid est une bataille contre un Pokémon puissant, appelée « Raid Boss ». Vous pouvez vous associer avec d’autres joueurs pour le combattre et avoir la chance de le capturer.

Le jeu est-il adapté aux enfants ?

Oui, mais il est recommandé de surveiller leur activité. Effectivement, le jeu nécessite de se déplacer à l’extérieur et d’interagir avec d’autres joueurs.

Jouer à Pokémon GO avec BlueStacks en 2025: comment s’y prendre ?

L’émulateur BlueStacks permet d’accéder à Pokémon GO sur ordinateur. La configuration nécessite plusieurs étapes techniques mais reste accessible.

Après l’installation de BlueStacks, ouvrez le Play Store et connectez-vous avec votre compte Google habituel. Téléchargez Pokémon GO directement depuis cette interface. Vous aurez également besoin de l’application Kingroot APK, disponible dans la boutique BlueStacks, pour rooter votre émulateur.

Une fois le root effectué, redémarrez le plugin Android via le menu situé dans le coin supérieur droit. Cette étape s’avère essentielle pour la suite du processus.

Recherchez ensuite dans le Play Store un outil d’usurpation de localisation fiable. Parallèlement, installez Lucky Patcher APK depuis la boutique BlueStacks. Cette application vous permettra de configurer l’outil d’usurpation comme application système.

Redémarrez à nouveau le plugin Android. Ouvrez Lucky Patcher et téléchargez Pokémon GO. Acceptez toutes les conditions requises et autorisez les accès demandés pour la gestion de l’appareil.

La dernière étape consiste à lancer votre outil d’usurpation GPS et à définir votre emplacement virtuel. Vous pourrez alors profiter de Pokémon GO sur votre ordinateur via BlueStacks comme si vous utilisiez un smartphone.

Cet article Pokémon Go : tout savoir sur le jeu phénomène en réalité augmentée a été publié sur REALITE-VIRTUELLE.COM.

Scroller sans toucher, c’est bientôt possible avec VisionOS 3. Vos yeux font le boulot, selon Mark Gurman de Bloomberg. Découvrez tous les détails sur cette fonction de défilement oculaire dans la suite de notre article.

Oubliez les gestes : Apple veut qu’on navigue sur le Vision Pro juste avec les yeux. En d’autres mots, la marque compte introduire la fonction de défilement oculaire sur son gadget. C’est Bloomberg qui le dit, et c’est pour visionOS 3.

Mark Gurman partage sur Bloomberg : « Apple travaille sur une nouvelle fonction pour le Vision Pro. Grâce à celle-ci on pourra faire défiler les contenus simplement avec les yeux. Cette option, en cours de test dans visionOS 3, rendra l’interface encore plus intuitive, selon des sources proches du projet ».

« Aujourd’hui, le casque permet déjà de contrôler l’interface en fixant un élément à l’écran, puis en le sélectionnant via un pincement des doigts. La nouveauté permet donc d’aller plus loin. Elle supprime même ce geste » ajoute t-il.

Le défilement oculaire arrive partout sur les apps Apple du Vision Pro. Et Apple prévoit déjà un kit pour que les devs puissent l’intégrer chez eux.

Fonctionnalité de défilement oculaire sur l’Apple Vision Pro : Comment ça marche ?

Une fonctionnalité de défilement oculaire, c’est bien. Mais des questions subsistent. Comment ça va marcher exactement ? Faudra-t-il fixer le bord de la page un moment pour la faire défiler ? Ou bien regarder un bouton, puis lever ou baisser les yeux pour bouger l’écran ? Pour l’instant, on n’en sait rien.

Le Vision Pro suit déjà vos yeux pour savoir où vous regardez. Ensuite, il faut pincer les doigts pour valider. Pour l’instant, tout passe encore par les gestes. Mais avec cette nouvelle fonction, on pourrait faire défiler le contenu juste avec les yeux. Une suite logique pour le casque, qui continue d’explorer des façons de tout contrôler sans les mains. Selon Bloomberg, cela s’appuie sur le même système de suivi oculaire déjà en place.

Ce week-end, Gurman a partagé dans sa newsletter Power On de Bloomberg qu’Apple préparait une version bien chargée de visionOS 3, la prochaine version majeure du système d’exploitation du casque. On pourrait donc découvrir plus de détails sur le défilement oculaire à la WWDC de juin, sa conférence mondiale annuelle des développeurs. Notons que cet événement se tiendra en ligne du 9 au 13 juin 2025.25 mars 2025.

Cet article Bientôt, vos yeux feront tout le travail sur le Vision Pro ! a été publié sur REALITE-VIRTUELLE.COM.

Développer des modèles d’intelligence artificielle performants nécessite des outils flexibles, intuitifs et puissants. Justement, il y a Pytorch, l’une des bibliothèques de Deep Learning les plus populaires. Elle s’est imposée comme un choix privilégié pour ceux qui souhaitent passer rapidement de l’idée au prototype, puis à la mise en production. Un véritable outil de référence aussi bien dans la recherche que dans l’industrie.

Pytorch : Un framework de Deep Learning puissant et flexible

Pytorch est une bibliothèque open source qui permet d’effectuer des calculs numériques avec une grande flexibilité. Elle s’utilise principalement pour développer des algorithmes d’apprentissage automatique. Cet outil est particulièrement apprécié grâce à sa simplicité d’utilisation et sa capacité à exécuter rapidement des opérations complexes. Il attire tant les débutants que les experts dans le domaine du machine learning.

Parmi les principaux atouts de Pytorch, il y a sa nature dynamique. Contrairement à certains concurrents, cette bibliothèque offre aux développeurs la possibilité de modifier leurs calculs en temps réel. Cette fluidité améliore considérablement le processus de test et d’évaluation des modèles prédictifs. Cela rend l’expérience de développement plus intuitive. De plus, la compatibilité de Pytorch avec un large éventail d’accélérateurs GPU permet d’optimiser les performances. En même temps, elle réduit significativement les temps de calcul.

Derrière Pytorch, on découvre un partenariat initial avec de grands noms de la tech. Toutefois, même si le framework continue de croître sous l’impulsion de nombreux contributeurs, son succès repose également sur sa vaste communauté. Ce réseau collaboratif contribue constamment à enrichir la documentation, échanger des idées et résoudre des problèmes techniques divers.

La PyTorch Docathon, qui se tiendra du 03 au 18 juin 2025 tel qu’indiqué sur son site officiel, témoigne de l’évolution continue et de l’implication active de la communauté PyTorch. Cet événement collaboratif, organisé par Fondation Pytorch, mobilise les contributeurs du monde entier pour améliorer la documentation officielle du projet. Un aspect essentiel pour rendre la technologie plus accessible et favoriser le partage de bonnes pratiques.

Comment Pytorch révolutionne le Deep Learning

Alors que le deep learning transforme diverses industries, Pytorch se positionne comme l’un des outils privilégiés pour explorer cette technologie révolutionnaire. Ce framework est conçu pour simplifier le développement de modèles complexes de profondeur variée. Il optimise le processus d’entraînement des réseaux neuronaux, même pour ceux qui disposent de peu d’expérience technique.

Grâce à la puissance de calcul parallèle offerte par les GPU, Pytorch accélère significativement le traitement de vastes jeux de données nécessaires au Deep Learning. Cette capacité devient indispensable lorsqu’il s’agit de formations intensives en vision par ordinateur ou en traitement du langage naturel. Des points où la précision et la vitesse d’analyse sont primordiales.

L’approche définie par Pytorch propose non seulement un accès direct aux ressources matérielles, mais elle encourage aussi l’exploration et l’expérimentation. Les utilisateurs peuvent ajuster et optimiser les hyperparamètres de leurs modèles en toute flexibilité. Cela assure des résultats optimisés selon les besoins spécifiques de chaque application. Ainsi, de nombreuses avancées en recherche scientifique ont vu le jour grâce à l’application stratégique de cet outil dans le domaine du Deep Learning.

L’utilisation de Pytorch pour le traitement du langage naturel

Le traitement du langage naturel (NLP) représente l’une des applications les plus pertinentes de l’apprentissage automatique aujourd’hui. Avec Pytorch, la création de modèles NLP devient particulièrement accessible pour les développeurs désireux d’explorer les interactions homme-machine. Cette accessibilité repose sur la capacité de la bibliothèque à gérer naturellement les chaînes linguistiques complexes. Cela facilite ainsi la construction d’applications NLP performantes.

Parmi les forces majeures de Pytorch en NLP, il y a sa capacité à utiliser des architectures de modèles modernes telles que les Transformers. Ces réseaux neuronaux révolutionnaires permettent de capter les relations contextuelles parmi les mots au sein d’une phrase. Cela améliore sensiblement la précision des analyses sémantiques. L’intégration facile de ces modèles préentraînés dans Pytorch ouvre de nouvelles perspectives d’application : de la traduction automatique à l’analyse de sentiments.

L’implémentation de Pytorch peut transformer le workflow dans le traitement du langage, tant pour la recherche académique que commerciale. Que ce soit pour automatiser des tâches répétitives d’assistant virtuel ou pour développer de nouveaux services interactifs, la flexibilité de cet outil reste un avantage indéniable. Enfin, l’harmonisation avec des solutions open source complémentaires permet une personnalisation accrue des expériences utilisateurs.

Pytorch et la vision par ordinateur

En matière de vision par ordinateur, Pytorch brille par sa capacité à traiter des volumes massifs de données visuelles. Cette spécialité rend cette bibliothèque idéale pour former et déployer des modèles analytiques sophistiqués destinés à l’interprétation et à la classification d’images. Grâce à son cadre flexible et évolutif, Pytorch facilite l’intégration de techniques de pointe pour la reconnaissance d’objets, la segmentation d’image et bien plus encore.

Avec Pytorch, la vision par ordinateur bénéficie d’une optimisation poussée grâce à l’accélération GPU. Cette dernière est essentielle pour traiter efficacement d’importants ensembles de données. La modularité de la bibliothèque permet également aux développeurs de concevoir facilement des réseaux convolutifs personnalisés adaptés à des projets spécifiques. Cela en fait un choix privilégié pour les innovations dans le domaine biomédical, la surveillance intelligente et la conduite autonome.

Les outils complets et bien documentés offerts par Pytorch contribuent à réduire le délai entre conception théorique et implémentation pratique. De plus, l’évolution rapide des modèles disponibles garantit d’être constamment à la pointe de l’amélioration des systèmes de vision. Cela assure des progrès constants dans la qualité et l’efficacité des analyses visuelles. Indéniablement, la valeur ajoutée de Pytorch soutient les aspirations scientifiques et commerciales qui cherchent à repousser les limites de ce qui peut être accompli grâce aux technologies visuelles actuelles.

Pourquoi choisir Pytorch plutôt qu’une autre bibliothèque ?

Parmi les bibliothèques pour l’apprentissage profond, Pytorch se distingue par diverses caractéristiques qui la rendent particulièrement attractive. Son atout majeur reste sa nature open source. Elle permet à une large communauté de contributeurs et d’utilisateurs d’améliorer et d’étendre continuellement ses capacités. De plus, cette plateforme bénéficie du soutien d’experts académiques et de grandes entreprises technologiques.

Pytorch est aussi largement prisée pour sa simplicité et son intuitivité. Contrairement à d’autres frameworks qui peuvent être compliqués à prendre en main, Pytorch utilise une syntaxe claire et directe proche de la logique Python. Cela permet aux développeurs de se concentrer davantage sur la conception de modèles complexes de réseaux neuronaux sans être ralentis par des problèmes de syntaxe. En effet, les opérations de calcul tensoriel sont simplifiées, ce qui offre une approche transparente pour écrire et déboguer du code.

Un autre point fort de Pytorch, c’est sa capacité à effectuer une accélération GPU performante. Outre la gestion optimisée des tenseurs, Pytorch supporte de nombreux types de matériels grâce à CUDA et facilite ainsi l’entraînement rapide des modèles. L’intégration fluide avec l’écosystème Python en fait également un choix privilégié pour le traitement du langage naturel et la vision par ordinateur. Elle augmente les opportunités de création d’applications innovantes.

Comment installer Pytorch ?

L’installation de Pytorch a été orchestrée de manière à être aussi simple que possible. Et cela, même si elle peut varier légèrement selon le système d’exploitation et l’environnement de travail utilisé. Voici une démarche générale pour installer Pytorch sur vos machines.

Tout d’abord, assurez-vous que votre système ait les prérequis nécessaires. Il faut, notamment que Python soit installé ainsi que pip, le gestionnaire de paquets. Dans un terminal ou invite de commande, commencez par déterminer votre version préférée de Pytorch depuis le site officiel. Vous allez pouvoir y configurer votre installation spécifique (version CUDA, environnement Anaconda, etc.). Une fois cela configuré, on vous fournira la commande adaptée.

Pour une installation basique dans un environnement virtualenv, exécutez simplement la commande suivante :

pip install torch torchvision torchaudio

Si vous préférez utiliser Conda, qui est souvent conseillé pour les utilisateurs qui gèrent plusieurs environnements virtuels, la commande sera similaire à :

conda install pytorch torchvision torchaudio cudatoolkit=x.x -c pytorch

où ‘x.x’ représente la version CUDA appropriée à votre matériel.

Après ces étapes, vous disposerez rapidement d’un environnement opérationnel pour explorer les vastes possibilités offertes par ce framework puissant.

Vos questions autour de Pytorch

Quelle différence entre Pytorch et TensorFlow ?

Pytorch et TensorFlow sont tous deux des frameworks puissants pour l’apprentissage profond, mais ils présentent des approches différentes. TensorFlow offre une riche suite d’outils intégrée pour le déploiement commercialet une interface facilitée pour les services cloud. Pytorch, quant à elle, séduit par sa simplicité et sa flexibilité pour élaborer des prototypes rapides. Les chercheurs privilégient souvent Pytorch pour sa dynamique orientée sur les graphiques définis à l’exécution. Contrairement à cela, TensorFlow repose sur des graphes statiques.

Pytorch fonctionne-t-il uniquement avec Python ?

Ce framework est principalement conçu pour être utilisé avec Python. Cependant, il propose aussi des interfaçages optionnels pour d’autres langages via des bindings C++ connus sous le nom de LibTorch. Cela élargit les possibilités d’intégration aux projets qui ne seraient pas exclusivement basés sur Python. En même temps, cela maintient l’efficacité caractéristique de Pytorch lors des opérations intensives basées sur le calcul tensoriel.

Quel type de projets puis-je réaliser avec Pytorch ?

Avec Pytorch, vous pouvez concrétiser une vaste gamme de projets. Cela va de la formation de modèles d’intelligence artificielle pour la reconnaissance d’image à l’analyse prédictive de données. Grâce à ses algorithmes de traitement du langaged naturel, Pytorch permet aussi de développer des applications conversationnelles telles que les chatbots intelligents. La mise en œuvre de modèles GAN pour générer des contenus média ou visuels innovants est aussi notable.

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Cet article NordVPN x Saily : sécurité, data offerte et connexion instantanée dans 200+ pays a été publié sur REALITE-VIRTUELLE.COM.

Oubliez les quêtes solo : dans BitCraft Online, tout se construit à plusieurs, ou pas du tout. Coopérer devient une nécessité absolue pour survivre, explorer… et bâtir une civilisation entière.

La dernière bande-annonce de gameplay de BitCraft Online donne un aperçu clair de sa philosophie : ici, aucun joueur ne bâtit seul. Chaque séquence montre des actions collectives, qu’il s’agisse de récolter des ressources, d’explorer une forêt ou d’éliminer des créatures hostiles. L’objectif est simple mais ambitieux : construire une ville, ensemble, brique après brique. Cette dynamique communautaire n’est pas un simple détail esthétique, elle structure le cœur du jeu.

Dans BitCraft Online, chaque joueur a un rôle à jouer pour faire émerger un monde durable. La chasse, la cueillette, l’artisanat et même la défense collective s’organisent dans un esprit de solidarité. Les extraits vidéo insistent sur cette nécessité de rassembler les forces pour progresser. Que ce soit pour repousser une menace ou pour ériger un bâtiment, rien ne se réalise seul. La réussite ne vient pas d’un exploit isolé, mais d’une coordination fluide entre aventuriers.

Un gameplay ouvert et organique

Loin des MMORPG classiques axés sur la performance individuelle, BitCraft Online propose une expérience plus naturelle. L’environnement réagit aux choix du groupe et chaque action s’inscrit dans une dynamique collective. La carte évolue au rythme des décisions, des échanges et des constructions. Ce modèle sandbox permet une immersion durable, alimentée par la volonté de créer plutôt que de conquérir.

La bande-annonce souligne aussi les défis du terrain. Certains lieux hostiles exigent une vraie coordination. Donjons à explorer, créatures à affronter, ressources rares à protéger : tout passe par le groupe. Les compétences s’additionnent, les stratégies se construisent ensemble. Même les situations les plus tendues deviennent accessibles quand les joueurs avancent de concert.

Accès anticipé pour BitCraft Online dès le 20 juin

L’accès anticipé débutera le 20 juin sur Steam. Le studio a volontairement évité les périodes chargées en sorties AAA pour laisser au jeu un meilleur espace d’exposition. Ce choix permet de fédérer une communauté plus concentrée, plus disponible. Pour les amateurs de stratégie communautaire et de construction partagée, BitCraft Online pourrait bien devenir le MMO surprise de l’été.

Cet article Pour vous rendre accro, Bitcraft Online vous propose de bâtir une vie entière avec des inconnus a été publié sur REALITE-VIRTUELLE.COM.

Soul Paint est une expérience en réalité virtuelle qui combine dessin 3D et exploration émotionnelle. Ce projet a été lancé au SXSW 2024 et a été créé par Sarah Ticho et Niki Smit, avec la narration de Rosario Dawson. Son objectif ? Permettre aux utilisateurs de découvrir et exprimer leurs émotions d’une manière nouvelle et immersive. Plongez dans une réalité virtuelle apaisante et explorez votre propre monde intérieur à travers l’art.

Une nouvelle façon de comprendre vos émotions

Soul Paint permet aux utilisateurs de dessiner sur leur propre corps virtuel dans un espace en 3D. Le processus commence par une question : « Où te sens-tu ? ». Cela incite à la réflexion et à l’introspection. Les participants peuvent exprimer leurs émotions à travers le dessin, sans souci de perfection artistique, car l’objectif est l’expression pure, pas le résultat esthétique. Cela leur permet de se libérer de leurs sentiments tout en restant dans un cadre sécurisant.

Une exploration des émotions via la VR

L’un des aspects fascinants de Soul Paint est l’utilisation de la réalité virtuelle pour connecter l’esprit et le corps. En fait, quand vous dessinez sur un corps virtuel, vous pouvez vous sentir plus connecté à vos propres émotions. Cela offre une toute nouvelle perspective sur le bien-être mental. Cette expérience devient alors un moyen pour les individus de réaliser une forme d’autothérapie, en dehors des mots.

De plus, une fois l’expérience terminée, les utilisateurs ont la possibilité de laisser un message vocal pour partager leurs sentiments avec d’autres. Cette fonctionnalité renforce l’aspect social de l’expérience. Cela permet ainsi à chacun de s’exprimer de manière authentique. Ce partage pourrait potentiellement créer des ponts émotionnels entre les individus, ce qui est au cœur du concept de Soul Paint.

Un concept novateur pour l’empathie et la connexion sociale

Soul Paint a un objectif important : encourager l’empathie et la connexion sociale. La technologie de réalité virtuelle permet aux utilisateurs de vivre des émotions d’une manière immersive, ce qui facilite une compréhension plus profonde des autres. Bien que l’expérience soit essentiellement évolutive et introspective, elle ouvre également la voie à une meilleure compréhension des autres à travers des émotions partagées. Cette approche innovante pourrait avoir un impact sur des domaines aussi variés que la santé mentale et le bien-être émotionnel.

Cet article Cette expérience en VR vous laisse dessiner vos émotions sur votre corps… et c’est bluffant ! a été publié sur REALITE-VIRTUELLE.COM.

Il est tout à fait possible de vivre une bonne expérience de jeu en PC VR avec le Meta Quest 3. Mais comment cela fonctionne-t-il, et sous quelles conditions ?

Le casque Meta Quest 3 peut être relié à un ordinateur puissant (PC) qui est capable de faire fonctionner des jeux en réalité virtuelle. Une fois connecté à votre PC, cet appareil vous donne accès à tous les jeux disponibles sur votre ordinateur.

Vous pouvez, par exemple, vous lancer sur des jeux sur SteamVR, ce que vous ne pouvez pas faire avec le Quest 3 tout seul (en mode autonome). Cela inclut même les gros jeux avec un gros budget, comme Half-Life: Alyx ou The Walking Dead: Saints & Sinners. Mais comment cela fonctionne-t-il et de quoi aurez-vous besoin pour jouer aux jeux VR PC sur Meta Quest 3 ?

Utiliser un ordinateur suffisamment puissant

La première étape consiste à vérifier si votre PC est assez puissant pour faire tourner des jeux en VR. Pour y parvenir, pensez à utiliser un logiciel gratuit qui permette d’analyser les performances de votre machine. Et ne vous en faites pas, il en existe plusieurs.

OpenVR Benchmark, par exemple, teste la performance de votre système. Il simule des scènes VR et fournit un score qui indique si votre configuration peut supporter des jeux VR exigeants. Il y a un autre outil qui pourrait vous aider : VRMark. Ce dernier propose des tests spécifiques pour la VR. Il donne des résultats détaillés qui vous aident à identifier les points faibles de votre PC.

Un dernier logiciel à mentionner.  NVIDIA FCAT VR se concentre sur l’analyse de la latence et des erreurs de rendu. Grâce à ces outils, vous aurez un diagnostic détaillé. Ainsi, vous saurez si votre machine est prête pour des sessions de jeu immersives.

Les caractéristiques requises de votre PC pour jouer en VR avec le Quest 3

Pour jouer à des jeux VR PC sur le Meta Quest 3, votre ordinateur doit à certaines spécifications minimales. Cela inclut :

• un processeur Intel Core i5-4590 ou AMD Ryzen 5 1500X,
• une carte graphique NVIDIA GTX 1060 (6 Go) ou AMD Radeon RX 480 (8 Go),
• 8 Go de RAM,
• un système d’exploitation Windows 10 ou version ultérieure.

A part cela, il est nécessaire de disposer d’un port USB 3.0 ou supérieur pour une connexion filaire via Quest Link. Pour une expérience sans fil, optez de préférence pour une connexion Wi-Fi 6stable, avec une bande passante suffisante.

Gardez à l’esprit que les performances varient en fonction des jeux VR spécifiques. Certains titres exigent des configurations plus puissantes. En revanche, vous pourriez vous débrouiller avec un matériel un peu moins costaud. Mais ce niveau de configuration est aujourd’hui considéré comme le minimum conseillé pour la VR sur PC.

L’installation des logiciels nécessaires pour jouer à des jeux VR PC sur Meta Quest 3

D’une part, vous devez télécharger et installer l’application Meta Quest Link sur votre PC. Rendez-vous sur le site officiel de Meta. Ensuite, téléchargez le logiciel compatible avec votre système d’exploitation.

D’autre part, pour accéder à une large bibliothèque de jeux VR, SteamVR est indispensable. Téléchargez et installez le client Steam. Une fois Steam installé, ouvrez-le et connectez-vous à votre compte. Dans la barre de recherche de Steam, tapez SteamVR.

Cliquez sur Installer pour ajouter SteamVR à votre bibliothèque. Après l’installation, lancez SteamVR depuis votre bibliothèque Steam. Dans le casque, vous devriez voir l’interface SteamVR et pouvoir accéder à vos jeux VR.

Connecter votre Meta Quest 3 à votre PC : de nombreuses options s’offrent à vous

 Il existe une panoplie de solutions pour connecter Quest 3 à votre PC. On a la connexion filaire via Meta Quest Link et la connexion sans fil via Air Link, ainsi que l’utilisation de Steam Link et Virtual Desktop.

La connexion filaire via Meta Quest Link

Pour profiter de vos jeux SteamVR sur le Meta Quest 3 sans prise de tête, rien de plus efficace qu’une connexion via Quest Link. Privilégiez un bon câble USB-C pour connecter le casque à une machine performante. Vous aurez une expérience fluide, une belle qualité d’image et un accès complet aux titres VR du catalogue Steam.

Le câble officiel Meta Quest Link reste le choix le plus sûr. Cela dit, un câble USB 3.0 vers USB-C compatible 5 Gbit/s peut très bien faire l’affaire, à condition qu’il soit de bonne qualité. Mieux vaut choisir un modèle actif, un peu plus long (au moins 3 à 4,5 mètres), avec une puce d’amplification. Privilégiez aussi un câble robuste, bien protégé contre les interférences et capable d’alimenter le casque pendant l’utilisation. Et surtout, évitez les câbles limités à l’USB 2.0 : ils ne suivent pas pour la VR.

Câble branché, PC prêt, il ne reste plus qu’à lancer l’application Meta Quest et à vérifier que le casque est bien chargé avant la connexion. Enfilez ensuite le Quest 3 : un message s’affiche pour activer Quest Link. Il ne reste plus qu’à lancer SteamVR sur votre PC ou directement depuis le casque. Tout est en ordre ? Vous pouvez commencer à vous lancer sur vos jeux SteamVR en mode filaire.

Vous pouvez effectuer quelques réglages dans l’application Meta Quest. Il est par exemple conseillé d’augmenter le taux de rafraîchissement pour avoir un affichage plus fluide. La définition de l’image peut aussi être modifiée : plus elle est élevée, plus les visuels sont nets. Enfin, ajuster le débit vidéo permet de trouver un bon équilibre entre qualité d’image et charge sur la carte graphique.

La connexion sans fil via Air Link

Vous préférez plutôt jouer sans câble ? Laissez de côté Meta Quest Link. Air Link est la solution sans fil officielle de Meta pour connecter votre Quest 3 à SteamVR. Avec cette solution, vous pouvez profiter de vos jeux VR PC sans câble, en passant simplement par votre réseau Wi-Fi.

Vous apprécierez certainement la liberté de mouvement que cela permet. Toutefois, nous vous conseillons d’avoir un réseau solide et une configuration adaptée. Pour maintenir une bonne qualité de connexion avec Air Link, un débit d’au moins 100 Mbit/s est fortement recommandé.

Avant de vous lancer, vérifiez que votre ordinateur est assez costaud pour faire tourner les jeux VR dans de bonnes conditions. Idéalement, privilégiez un routeur compatible Wi-Fi 6 ou Wi-Fi 6E en 5 GHz pour une connexion plus rapide et plus stable. Par ailleurs, il est conseillé de connecter votre PC via Ethernet pour réduire la latence. Votre PC doit disposer des versions à jour de Meta Quest, Steam et SteamVR.

Vérifiez aussi que votre Quest 3 et votre ordinateur tournent avec les dernières mises à jour. Depuis l’appli Meta Quest sur le PC, activez l’option Air Link, puis faites de même dans les réglages rapides du casque. Une fois Air Link lancé, vous pourrez profiter de vos jeux SteamVR sans le moindre câble.

Pour tirer le meilleur de votre expérience, pensez à adapter la fréquence d’affichage à 90 ou 120 Hz. Modifiez le débit vidéo pour équilibrer netteté et fluidité et ajustez la définition pour limiter les ralentissements.

Idéalement, gardez votre routeur à proximité de votre espace de jeu et reliez votre PC en filaire. Si des soucis persistent, un petit tour dans les réglages réseau, une baisse des options graphiques ou un redémarrage complet peuvent souvent tout remettre en ordre.

Jouer aux jeux VR PC sur Meta Quest 3: Steam Link

Steam Link est une application gratuite de Valve, disponible sur le Meta Quest Store. Grâce à elle, vous serez capable de diffuser vos jeux SteamVR sans fil sur votre casque. Pour profiter de cette option, commencez par installer Steam et SteamVR sur votre PC, puis téléchargez l’application Steam Link sur votre Quest 3.

Assurez-vous que votre PC et votre casque soient connectés au même réseau Wi-Fi, de préférence en 5 GHz, et que votre ordinateur soit branché en Ethernet pour optimiser la connexion et limiter les délais.

Une fois l’application lancée, elle détectera automatiquement votre PC si celui-ci est allumé et connecté au même réseau. Cette solution est simple à configurer et fonctionne bien pour la plupart des jeux VR.

Jouer aux jeux VR PC sur Meta Quest 3: Virtual Desktop

La dernière option à considérer est Virtual Desktop. Créée par Guy Godin, cette application nécessite un achat pour en profiter. Grâce à elle, l’expérience est plus personnalisable. Virtual Desktop diffuse sans fil l’intégralité de votre bureau PC dans le casque, y compris les jeux VR.

Sur Virtual Desktop, vous retrouverez des options avancées. Parmi les plus notables, on compte la personnalisation de l’environnement virtuel, le suivi des mains (hand tracking), et la possibilité de contourner SteamVR pour certains jeux via le runtime OpenXR optimisé (VDXR). Mais attention, sachez que cette solution exige une configuration plus poussée. Pour les débutants, cela pourrait s’annoncer plus complexe à mettre en place.

Peu importe la méthode, une chose est sûre : avec le Meta Quest 3, les jeux VR sur PC n’attendent plus que vous !

Cet article Comment jouer aux jeux VR PC sur Meta Quest 3 ? a été publié sur REALITE-VIRTUELLE.COM.

Avril c’est le mois de Laval Virtual pour tout l’écosystème de la XR en France, en Europe et dans le monde. Plusieurs membres de RA’pro étaient sur place pour prendre ...

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Vous avez toujours rêvé de créer votre propre jeu vidéo, mais sans savoir par où commencer ? Pygame est peut-être l’outil qu’il vous faut. C’est une bibliothèque Python simple, accessible, et pourtant puissante. Elle permet de créer des jeux 2D interactifs en un temps record.

Pygame se distingue comme une bibliothèque phare en termes de développement de jeux vidéo. Si elle est largement adoptée par les développeurs, c’est surtout pour sa grande facilité d’utilisation. Cette bibliothèque propose aussi un cadre robuste pour concevoir des jeux interactifs avec Python. Découvrez comment cette bibliothèque libre peut révolutionner votre méthode de création de jeux.

Qu’est-ce que Pygame ?

Pygame est une bibliothèque libre utilisée pour concevoir des jeux vidéo. Elle s’appuie sur le langage Python, ce qui la rend accessible à une large communauté de développeurs, débutants ou expérimentés. Pygame est équipé de modules Python spécialisés. C’est grâce à cela qu’elle facilite la gestion des graphismes, des sons et des interfaces graphiques. Il en est de même pour des éléments essentiels de tout jeu moderne.

La bibliothèque est initialement conçue pour être multiplateforme. Elle permet aux développeurs de créer des jeux compatibles avec divers systèmes d’exploitation (Windows, macOS et Linux). Cela rend les jeux accessibles à un public varié sans nécessiter de modifications importantes du code.

La base de Pygame repose sur SDL (Simple DirectMedia Layer). Il s’agit d’une bibliothèque open source qui offre un accès direct au matériel du système. Cela optimise la performance des applications multimédias, et assure que les jeux développés sont à la fois rapides et réactifs. Grâce à cela, Pygame est devenue une ressource essentielle dans le domaine de la création de jeux interactive.

Comment fonctionne Pygame ?

Pygame fonctionne comme une couche supérieure de SDL. Elle fournit des abstractions simplifiées pour manipuler les aspects complexes du développement de jeux. Lorsqu’un développeur initie un projet avec Pygame, il commence généralement par initialiser les modules nécessaires. C’est notamment le cas de l’affichage graphique et l’audio, pour préparer l’environnement de jeu.

Parmi les fonctionnalités clés de Pygame, il y a sa boucle principale semblable à un moteur de jeu intégré. Cette boucle gère la mise à jour continue de l’écran, la détection des événements utilisateur, et le rendu des graphismes à chaque cycle. Les développeurs peuvent ainsi se concentrer sur la logique du jeu proprement dite. En même temps, Pygame traite efficacement les bases essentielles.

De plus, Pygame facilite l’intégration d’assets graphiques et sonores. Via des méthodes simples, les créateurs peuvent importer et manipuler des sprites, ajuster des animations, ou encore gérer des effets audio. Cela rend la mise en œuvre de concepts créatifs bien plus intuitive, car ils n’ont pas besoin de plonger dans des détails techniques complexes.

Comment installer Pygame ?

L’installation de Pygame est un processus relativement simple. Elle peut être réalisée sur n’importe quelle plateforme qui prend en charge Python. La méthode la plus courante consiste à utiliser pip, l’outil de gestion de packages Python. Il vous suffit d’exécuter la commande « pip install pygame » dans votre terminal ou invite de commande pour installer automatiquement la dernière version stable disponible.

Avant d’installer Pygame, il est important de vous assurer que la version adéquate de Python est installée sur votre machine. Pygame prend en charge plusieurs versions. Toutefois, je vous recommande d’avoir la version la plus récente pour bénéficier d’une compatibilité optimale et l’accès aux dernières fonctionnalités disponibles.

Après l’installation, il ne vous reste plus qu’à tester si tout est fonctionnel. Pour ce faire, vous devez lancer un court script comme « import pygame » suivi de « pygame.init() ». Si aucune erreur ne survient, la bibliothèque a été correctement configurée, et vous pouvez commencer à explorer ses capacités en profondeur.

Pygame, Unreal Engine ou Unity ?

Lorsqu’il s’agit de choisir une technologie pour le développement de jeux vidéo, les options incluent souvent Pygame, Unreal Engine et Unity. Ces outils offrent des ensembles distincts de fonctionnalités qui répondent chacun à différentes exigences de conception et préférences personnelles.

Associée au langage Python, Pygame est réputée pour sa simplicité et son approche éducative, idéale pour les débutants. Certes, elle est incroyablement puissante pour des projets 2D. Néanmoins, la bibliothèque ne dispose pas de certaines capacités avancées de traitement 3D présentes dans Unreal et Unity, qui sont plutôt destinés à des jeux AAA et complexes.

Connus respectivement pour leurs moteurs C++ et C#, Unreal Engine et Unity fournissent des outils robustes pour la création d’expériences immersives avec des graphismes sophistiqués. Ils sont parfaits pour les équipes qui cherchent à travailler sur des projets ambitieux, avec une infrastructure solide soutenue par une large communauté de développeurs professionnels.

Quelles sont les limites de cette bibliothèque Python ?

Il est certain que Pygame offre de nombreuses fonctionnalités intéressantes pour le développement de jeux vidéo simples. Cependant, comme toute technologie, elle présente aussi des limites. Parmi ses principaux défis, il y a le fait qu’elle utilise SDL (Simple DirectMedia Layer) pour sa fonctionnalité principale. Bien que SDL soit utile pour la gestion du son, des graphiques et des entrées utilisateur, elle peut ne pas offrir les dernières innovations disponibles dans d’autres bibliothèques plus récentes.

De plus, puisqu’elle est principalement conçue pour des jeux 2D, Pygame n’offre pas les mêmes performances ou capacités pour les jeux 3D. Cela limite son utilisation pour les développeurs qui cherchent à créer des expériences de jeu plus avancées. En d’autres termes, si votre projet nécessite des graphismes 3D sophistiqués ou des ressources lourdes, Pygame pourrait ne pas être le meilleur choix.

Enfin, la performance dépend grandement de votre code et de l’optimisation. Un codage inefficace peut ralentir vos jeux. Comparé à d’autres bibliothèques modernes orientées vers la haute performance ou la programmation parallèle, Pygame pourrait sembler quelque peu daté. Cette limite impose souvent aux utilisateurs de maîtriser l’art de l’optimisation pour tirer le meilleur parti de cette bibliothèque.

Pourquoi choisir Pygame pour le développement de jeux ?

Malgré ses quelques limites, Pygame demeure un excellent outil pour de nombreux développeurs débutants et expérimentés. D’abord, c’est sa simplicité qui attire. Avec une interface facile à comprendre, il permet même aux novices en programmation de commencer à coder leurs premiers jeux sans trop de difficultés. Ensuite, Pygame bénéficie d’une communauté active et passionnée qui continue d’enrichir la bibliothèque avec des modules, support, et tutoriels utiles.

L’intégration étroite de Pygame avec Python donne également une flexibilité et une rapidité au processus de développement que d’autres langages et bibliothèques pourraient difficilement égaler. De plus, vous pouvez développer votre application sur Windows, MacOS ou Linux et être sûr qu’elle fonctionnera de manière cohérente sur ces systèmes.

Une autre raison forte pour choisir Pygame, c’est sa capacité de personnalisation en matière d’interfaces graphiques applicatives et de sons. Au fait, chaque composant peut être modifié selon les besoins spécifiques de votre jeu ou application. La programmation événementielle supportée par Pygame enrichit les interactions utilisateur. Elle permet aussi des interfaces interactives fluides qui améliorent l’expérience de jeu global. Les atouts éducatifs de Pygame ne doivent pas non plus être sous-estimés. C’est une ressource fantastique pour enseigner le développement de jeux et la logique de programmation.

Est-il possible d’utiliser Pygame sur plusieurs plateformes ?

Absolument, Pygame est conçue pour être multiplateforme. Cela signifie que vous pouvez développer un jeu sur votre PC Windows et le partager facilement pour fonctionner aussi bien sur MacOS et Linux. L’installation de Pygame sur chaque plateforme suit généralement un processus simplifié grâce aux pip de Python. Cela rend la transition de développement entre plateformes aussi fluide que possible.

Pour une installation réussie, il convient d’assurer que vos environnements Python soient correctement configurés. Vous devez aussi vérifier que toutes les dépendances nécessaires à l’exécution de Pygame soient satisfaites. Des instructions détaillées existent pour chaque système d’exploitation pour vous aider à configurer votre environnement de travail rapidement et efficacement.

Il est toutefois important de tester régulièrement vos jeux sur chaque plateforme cible. Bien que Pygame soit largement compatible, certains bugs peuvent apparaître spécifiquement sur un système d’exploitation particulier suite aux différences inhérentes. Le test cross-platform et l’attention portée aux détails garantissent que votre application offrira une expérience homogène à tous les utilisateurs, quel que soit leur dispositif.

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Ma création de jeu 2D interactif avec Pygame

J’ai utilisé Pygame pour concevoir un petit jeu 2D qui consiste à contrôler un vaisseau spatial et éviter des astéroïdes qui arrivent aléatoirement depuis le haut de l’écran. Ce concept m’a permis d’explorer plusieurs aspects fondamentaux du développement de jeux. C’est, notamment, la gestion des collisions, les mouvements fluides, l’affichage graphique, la détection d’entrées clavier, et la boucle principale du jeu.

Grâce à Pygame, j’ai pu charger et afficher des sprites, gérer la vitesse des objets avec la fonction pygame.time.Clock() et détecter les interactions avec pygame.Rect. Au départ, mon code était assez rudimentaire, j’ai appris à structurer mon projet, à séparer la logique en fonctions et à créer une interface plus intuitive. J’ai même ajouté un système de score basé sur le temps de survie, avec un écran de fin qui affiche les meilleurs résultats.

Ce projet m’a permis non seulement de progresser en Python, mais aussi de mieux comprendre comment fonctionne une boucle de jeu en temps réel. C’était très gratifiant de voir quelque chose de fonctionnel et visuellement plaisant sortir de simples lignes de code. Aujourd’hui, je continue à enrichir le jeu par l’ajout de niveaux de difficulté, d’effets sonores et d’animations.

Cet article Pygame, la bibliothèque Python pour développer vos jeux a été publié sur REALITE-VIRTUELLE.COM.

Génial ! Bientôt, il sera possible de contrôler un Apple Vision Pro avec son cerveau. Cela se fera grâce à un implant cérébral développé par la startup Synchron, basée à Brooklyn.

Aujourd’hui, Synchron a révélé qu’elle sera la première à brancher son implant cérébral directement à l’univers Apple. Ainsi, contrôler son iPhone ou son casque Vision Pro par la pensée, la firme de Cupertino y travaille sérieusement. D’ailleurs, elle fait déjà des essais avec des utilisateurs.

Ce processus se fera grâce à des interfaces cerveau-ordinateur (BCI). Apple les décrit comme une technologie en plein essor, qui permet de contrôler un appareil sans bouger. Cette nouvelle fonction s’appelle « Switch Control ».

Pas d’implant « made by Apple » pour l’instant — la firme s’appuie uniquement sur Synchron. Cette startup installe ses BCI dans une veine juste au-dessus de la zone du cerveau qui gère les mouvements. Grâce à ce dispositif, des utilisateurs qui ont perdu le contrôle de leurs mouvements — par exemple à cause de la SLA — peuvent quand même utiliser des appareils Apple, juste avec leur activité cérébrale.

Vision Pro et implant cérébral : la technologie qui pourrait enfin justifier le prix d’Apple ?

En 2019, Synchron a lancé les premiers essais cliniques d’un système implantable de façon permanente, sans chirurgie cérébrale. Cela s’est fait auprès de dix personnes souffrant de graves troubles moteurs et de la parole.

Parmi elles, on cite une personne atteinte de SLA. Elle se sert déjà son Stentrode, une BCI développée par Synchron, pour contrôler son iPhone, son iPad et même son casque Vision Pro. En août dernier, Synchron a aussi montré pour la première fois comment un patient pouvait interagir avec un Apple Vision Pro juste en pensant à cliquer, grâce à cette technologie.

Le Stentrode de Synchron sera officiellement supporté par visionOS grâce au prochain protocole d’Apple.

Outre cela, Apple a annoncé qu’il allait ajouter de nouvelles fonctionnalités d’accessibilité à l’Apple Vision Pro plus tard cette année. Parmi les nouveautés, on retrouvera la possibilité d’agrandir ce qui se trouve dans votre champ de vision, mais aussi de faire lire ou décrire tout ce que vous regardez grâce à l’intelligence artificielle intégrée.

Je pense que l’idée d’utiliser un contrôle par implant cérébral pour le Vision Pro d’Apple pourrait enfin donner un vrai intérêt à l’appareil. Jusqu’ici, ce gadget est trop cher et manque de fonctionnalités vraiment utiles.

Cet article Un implant cérébral pour contrôler l’Apple Vision Pro bientôt disponible ? a été publié sur REALITE-VIRTUELLE.COM.

Vous avez envie de vivre un hentai interactif ? Vous voulez parler, jouer et fantasmer avec une petite amie ai sexy correspondant à vos envies ? Dans cette jungle de plateformes, comment choisir l’expérience qui vaut votre temps (et votre argent) ? Voici notre top 7.

L’univers des hentai porno AI est la rencontre entre fantasmes et intelligence artificielle. C’est un doux mélange entre sensualité virtuelle et conversation personnalisée. Entre apps cheap, bots fades et plateformes payantes à gogo, il est facile de se faire avoir. Alors nous avons mis les mains dans le code, testé, comparé, exploré. Nous allons vous livrer dans cet article les 7 meilleurs hentai porno AI.

Notre méthodologie de classement

Pour ce comparatif, nous n’avons pas simplement “testé” les plateformes comme des robots. Nous nous sommes mis dans la peau de l’utilisateur qui cherche à se perdre dans un fantasme bien construit. Nous avons passé des heures à créer nos waifus idéales, à leur parler, à tester des dialogues mignons.

Certaines plateformes nous ont happés dès le premier échange. D’autres nous ont perdus à la troisième ligne. Voici les points que nous avons pris en compte pour trouver les meilleurs IA girlfriend porno :

• L’impact visuel : est-ce que les personnages nous séduisent ou ressemblent à une poupée random sortie d’un générateur de stock ? On a scruté les détails.
• La vraie conversation : est-ce qu’elle joue le jeu ? Est-ce qu’elle nous relance, flirte, improvise ? Ou est-ce qu’elle récite son script ?
• Le potentiel érotique : on a testé les limites. Jusqu’où on peut aller ? Est-ce qu’elle nous suit dans le dirty talk ou est-ce qu’elle bloque ?
• La liberté de création : plus on peut façonner notre waifu, plus on y croit. On a testé chaque curseur.
• Le rapport gratuit/payant : les plateformes promettent beaucoup. On a vu si elles livrent, ou si elles enferment tout derrière un paywall bien caché.
• L’ergonomie : on veut que ça glisse. Pas de clics inutiles, pas de bugs. Juste une immersion fluide.
• La discrétion : on a fouillé les mentions légales. Est-ce qu’ils gardent nos données ? Est-ce que ça sent le piège marketing ? On a fait gaffe.

FAQs

Qu’est-ce qu’un hentai porno AI ?

Un hentai porno AI est une plateforme ou une application qui permet de vivre des expériences érotiques avec des personnages générés par intelligence artificielle. Contrairement aux simples images hentai, ces IA peuvent discuter, simuler des scénarios, envoyer des photos personnalisées ou générer des images à partir de prompts. Certaines sont purement visuelles, d’autres proposent du sexting, de l’audio, voire des interactions contextuelles. Ce n’est pas juste “regarder” du contenu : on agit, on crée, on dialogue avec un fantasme numérique.

Est-ce que ces IA sont vraiment excitantes ou trop mécaniques ?

Nous avons testé plusieurs plateformes, et la réponse est : ça dépend énormément de l’outil. Certaines IA comme celles de DreamGF ou Lollipop sont bluffantes de fluidité et savent maintenir une tension sexy. D’autres, plus rigides, cassent l’ambiance avec des refus automatiques ou des réponses à côté. Le plus excitant reste souvent la phase de création : façonner une partenaire selon nos goûts, choisir ses attitudes, déclencher un échange… c’est cette interaction semi-contrôlée qui crée le frisson. Mais si tu cherches du réalisme pur, ne t’attends pas à un cerveau humain. C’est sexy, pas humain.

Est-ce légal et sans risque d’utiliser un hentai porno AI ?

Oui, tant que tu restes sur des plateformes légales, avec des avatars fictifs. Ces IA n’ont pas d’existence réelle, donc tu n’interagit pas avec une personne vivante. Toutefois, certaines plateformes flirtent avec des contenus extrêmes ou des catégories sensibles, donc il faut toujours vérifier les conditions d’utilisation et la provenance du service. Autre point important : beaucoup de ces sites collectent des données, même en mode “anonyme”. Si tu veux rester discret, évite de lier ton compte Google ou tes réseaux sociaux et privilégie les connexions par e-mail jetable ou navigation privée.

Peut-on vraiment créer une “copine virtuelle” sur ces plateformes ?

Oui, et même plus que ça. Sur DreamGF ou HeraHaven, par exemple, nous avons pu choisir l’apparence, la voix, la personnalité, les réactions, et même la lingerie ou le décor des images générées. On a l’impression de bâtir un personnage de jeu vidéo… mais pour fantasmes intimes. Certaines plateformes ajoutent même du roleplay en temps réel, avec des dialogues personnalisés ou des “missions sexy”. C’est moins une copine qu’un miroir fantasmé, calibré pour réagir comme on aime, tant qu’on paie.

Cet article Top des meilleurs hentai porno AI : lequel choisir ? - mai 2025 a été publié sur REALITE-VIRTUELLE.COM.

Assisterons-nous à une démonstration des lunettes connectées de Google lors de la conférence I/O mardi prochain ? Il semblerait bien que oui, si l’on en croit Sameer Samat, président d’Android Ecosystem. On vous dit tout dans la suite de l’article.

Pendant son émission « The Android Show : I/O Edition », Google a montré pas mal de nouveautés Android et Gemini, histoire de nous teaser avant la I/O du 21 mai. Sameer Samat, président d’Android Ecosystem, a terminé sa prise de parole en promettant « quelques autres démonstrations Android vraiment intéressantes ». Et pendant qu’il lançait cette phrase, il a enfilé une paire de lunettes. Un simple geste ou un teasing bien orchestré ? Vous risquez bien de voir des lunettes connectées — ou quelque chose qui s’en approche — sur scène.

Rappelons qu’un mois plus tôt, Shahram Izadi, en charge d’Android XR chez Google, a dévoilé des lunettes connectées au TED2025. Celle-ci présentait un HUD monoculaire, que la société considérait encore comme un simple prototype.

Google semble vouloir anticiper le lancement des lunettes intelligentes de Meta, prévu pour octobre, bien qu’aucun modèle commercial prêt ne soit encore confirmé de son côté.

Google I/O 2025 : Une présentation d’Android XR, en plus des lunettes connectées ?

La Google I/O 2025 se tiendra les 20 et 21 mai. Peu de détails ont filtré, mais l’intelligence artificielle devrait une nouvelle fois être au cœur des annonces. Outre cela, Google pourrait enfin présenter Android XR, sa nouvelle plateforme de réalité mixte co-développée avec Samsung.

Un point central de cette initiative est le projet Moohan. C’est un casque de réalité mixte co-développé par Google et Samsung. Ce dispositif intègrerait des technologies de pointe, comme la détection des mouvements, des visuels nets et une capacité de reconnaissance de l’espace.

Cerise sur le gâteau : ce casque en question embarque Gemini, l’assistant de Google qui n’attend pas que vous lui disiez quoi faire. Il va deviner vos besoins, vous aider en un clin d’œil, et tout cela, sans que vous ayez besoin de lever le petit doigt. Regardez un objet et hop, il répond, ou enchaînez plusieurs tâches dans un espace 3D, il sera là pour vous.

Rendez-vous le mardi 20 mai à 10h (heure du Pacifique) pour la présentation principale de Google I/O. Vous pourrez la suivre en direct sur le site de l’événement ou sur YouTube, avec une rediffusion pour plus tard.

Cet article Sameer Samat joue avec le suspense : des lunettes connectées en vue pour la Google I/O ? a été publié sur REALITE-VIRTUELLE.COM.

Le marché des casques VR s’est considérablement diversifié. Cela a laissé les passionnés face à un choix de plus en plus difficile. Le BigScreen Beyond 2 bouscule l’équilibre établi entre les géants Meta Quest et Apple Vision Pro avec une approche axée sur la légèreté et le confort inédit. Ce nouveau venu peut-il réellement rivaliser avec les mastodontes du secteur grâce à ses écrans micro-OLED et son IPD réglable? Découvrons ensemble si ce challenger a les atouts nécessaires pour redéfinir notre expérience visuelle immersive.

Spécifications et résolution : le Beyond 2 face aux géants

Le marché des casques de la VR s’enrichit avec le Bigscreen Beyond 2 et ses écrans micro-OLED, qui devrait sortir le 1er juin 2025. Doté d’une résolution de 2560 x 2560 pixels par œil, il dépasse nettement le Meta Quest 3 et se rapproche fortement de l’Apple Vision Pro en matière de clarté visuelle. Sa densité élevée de 28 pixels par degré (PPD) améliore nettement la netteté des textes et des détails précis. Ce qui est particulièrement utile pour la lecture et les applications professionnelles.

Chaque casque adopte une technologie d’affichage différente. Le Beyond 2 utilise des écrans micro-OLED associés à des lentilles pancake de dernière génération. Cela réduit son poids et améliore sa performance optique. Apple Vision Pro intègre une technologie semblable, mais avec des composants plus coûteux, tandis que Meta Quest privilégie un équilibre entre prix et performance. Ces choix technologiques impactent directement le contraste et la reproduction des noirs, des domaines où les écrans OLED offrent une supériorité notable, particulièrement dans des environnements sombres.

Poids et confort : l’atout majeur du Beyond 2

En matière de confort, le Bigscreen Beyond 2 marque un réel avantage grâce à son poids exceptionnellement léger de 107 grammes. Il est nettement plus léger que le Meta Quest 3 (500 grammes) et l’Apple Vision Pro (650 grammes sans batterie externe). Cette différence significative améliore considérablement les sessions prolongées. Atrement dit, cela réduit la fatigue cervicale et les pressions sur le visage habituelles avec des casques plus lourds.

L’ajustement personnalisé constitue une autre caractéristique distinctive. Le Beyond 2 propose une interface faciale sur mesure parfaitement adaptée à chaque utilisateur. Cela élimine les fuites de lumière et répartit efficacement le poids. Meta Quest opte plutôt pour plusieurs tailles interchangeables mais standardisées, tandis qu’Apple propose un système modulaire incluant sangles et coussinets ajustables. Ces différentes approches influencent directement le confort et l’immersion lors d’usages intensifs comme les jeux ou les autres applis.

Champ de vision et immersion

Le champ de vision (FOV) est crucial pour une immersion réussie. Le Beyond 2, avec un champ de vision diagonal de 116°, dépasse à la fois le Meta Quest 3 et le Valve Index, ce qui réduit l’effet tunnel souvent critiqué dans d’autres casques. L’Apple Vision Pro offre un champ légèrement inférieur, mais compense par une densité de pixels élevée sur sa zone visible.

La qualité visuelle dépend également de la gestion des distorsions optiques. Les lentilles pancake du Beyond 2 offrent une excellente netteté d’un bord à l’autre. Elles minimisent l’effet de grille. L’Apple Vision Pro possède une qualité similaire mais gère mieux les reflets internes, alors que le Meta Quest souffre davantage d’aberrations chromatiques périphériques. Ces différences sont particulièrement remarquables pour des usages comme le visionnage de films HD ou les applications de conception 3D.

Technologies de suivi et d’interaction : avancées comparatives

Le Bigscreen Beyond 2 n’intègre pas nativement de suivi oculaire. Cette fonctionnalité est exclusive au modèle Beyond 2e, plus coûteux (1 219 $) et légèrement plus lourd (108 g).

Le Beyond 2 nécessite obligatoirement l’achat de contrôleurs externes compatibles SteamVR ainsi que d’accessoires de suivi spatial supplémentaires. En comparaison, le Meta Quest et l’Apple Vision Pro disposent de contrôleurs dédiés directement intégrés à leurs plateformes respectives.

Concernant le suivi des mains et les commandes vocales, ces fonctionnalités ne sont pas natives au Beyond 2 et dépendent entièrement des applications utilisées via SteamVR ainsi que des accessoires externes compatibles. Actuellement, Meta Quest propose un suivi des mains intégré, tandis que l’Apple Vision Pro utilise également le suivi gestuel et les commandes vocales via Siri.

Enfin, l’ajustement personnalisé du confort visuel est primordial. Le Beyond 2 offre un réglage mécanique précis de l’IPD (écartement interpupillaire) allant de 53 à 70 mm, adapté aux utilisateurs ayant un IPD physique compris entre 48 et 75 mm. Ce réglage, combiné à l’interface faciale sur mesure, réduit significativement la fatigue oculaire sur de longues sessions. Le Meta Quest 3 propose un ajustement manuel limité, tandis que l’Apple Vision Pro dispose d’un ajustement automatique en temps réel.

Il est également important de noter que le Beyond 2 propose un taux de rafraîchissement standard de 90 Hz. En d’autres termes, cela suffit à assurer un bon confort visuel, mais inférieur à certains casques haut de gamme capables d’atteindre 120 Hz.

Connectivité

Notons que le Bigscreen Beyond 2 est exclusivement un casque PCVR filaire et ne dispose pas de batterie intégrée. Ainsi, la question de l’autonomie ne s’applique pas directement à ce modèle.

Comparaison des performances énergétiques

L’autonomie demeure un enjeu majeur pour les casques autonomes comme le Meta Quest ou l’Apple Vision Pro, offrant respectivement environ 2 à 3 heures et 2 heures d’utilisation intensive. En revanche, le BigScreen Beyond 2, étant exclusivement filaire et connecté en permanence à un PC, n’est pas concerné par ces contraintes d’autonomie.

Les technologies d’affichage influencent également la consommation énergétique des casques autonomes. Ainsi, le Meta Quest optimise l’autonomie grâce à des ajustements de luminosité et de fréquence d’images automatiques. Quant au BigScreen Beyond 2, bien que ses écrans micro-OLED soient performants en termes de contraste et de profondeur des noirs, sa haute résolution (2560 x 2560 pixels par œil) sollicite davantage les ressources du PC auquel il est connecté.

Solutions de recharge et d’alimentation

Pour répondre aux contraintes énergétiques, les fabricants proposent différentes solutions. Le Meta Quest offre une batterie externe optionnelle qui double l’autonomie tout en améliorant l’équilibre du casque. L’Apple Vision Pro utilise une batterie externe déportée pour alléger le casque lui-même. À l’opposé, le BigScreen Beyond 2, exclusivement filaire, ne nécessite pas de batterie, et ne connnaît donc pas ces contraintesn au détriment de la mobilité.

Les solutions techniques varient aussi selon les systèmes de refroidissement utilisés. Le BigScreen Beyond 2 dispose d’un refroidissement passif adapté à sa légèreté extrême, tandis que le Meta Quest utilise un refroidissement actif assurant des performances constantes mais consommant davantage d’énergie.

Écosystème logiciel et compatibilité : le défi majeur du Beyond 2

Face aux larges catalogues proposés par Meta Quest et Apple Vision Pro, le BigScreen Beyond 2 se trouve dans une position complexe. Ce casque ultraléger privilégie ses performances techniques remarquables plutôt que la quantité d’applications natives disponibles. Bien qu’étroitement lié à la plateforme Bigscreen, sa compatibilité avec SteamVR constitue son véritable avantage, lui donnant accès à une importante bibliothèque de jeux et d’applications, même si celle-ci reste inférieure à celles des géants du marché.

Le véritable défi du Beyond 2 réside dans sa capacité à s’intégrer efficacement aux écosystèmes existants. Se positionnant clairement comme un casque PCVR haut de gamme, il met en avant la qualité de l’expérience visuelle plutôt que la quantité des contenus. Tandis que Meta enrichit constamment son catalogue autonome et qu’Apple capitalise sur son écosystème fermé et cohérent, BigScreen mise sur la communauté des développeurs indépendants passionnés via SteamVR. Cette stratégie pourrait séduire une communauté fidèle, à condition que BigScreen continue à développer son catalogue d’applications compatibles.

Analyse des prix et positionnement sur le marché

Le BigScreen Beyond 2 se positionne dans une gamme tarifaire élevée, située entre le Meta Quest et l’Apple Vision Pro, dont le tarif s’élève à 3 499 dollars. Cette stratégie tarifaire reflète l’ambition de BigScreen de cibler les passionnés recherchant une qualité visuelle supérieure et un confort optimal.

Investir dans un casque VR ne se limite pas uniquement à son coût initial. Le Beyond 2 nécessite plusieurs accessoires supplémentaires, notamment des contrôleurs compatibles SteamVR, une station de base pour le suivi spatial, ainsi qu’un PC performant. À l’inverse, Meta Quest propose une solution tout-en-un avec moins de coûts additionnels. Apple Vision Pro, quant à lui, offre des technologies avancées telles que le suivi oculaire, mais reste contraint par son écosystème fermé et parfois coûteux. Le rapport qualité-prix dépend fortement de l’usage prévu, avec une rentabilité accrue pour les utilisations professionnelles et spécialisées.

La durabilité représente un autre facteur économique important, souvent sous-estimé. Grâce à sa robustesse et à ses matériaux de qualité, le Beyond 2 connaît un succès notable malgré son prix élevé. Sa valeur de revente demeure forte, notamment pour les modèles personnalisés nécessitant moins de renouvellements.

Segments de marché et public cible

Le Beyond 2 cible principalement les passionnés de VR et les utilisateurs avancés qui privilégient une qualité visuelle et un confort exceptionnels par rapport à l’aspect économique. De son côté, Meta Quest vise une audience plus large avec un tarif plus accessible, tandis qu’Apple Vision Pro s’adresse aux professionnels des secteurs créatifs et aux utilisateurs fidèles à l’écosystème Apple.

Pour les créateurs et les professionnels techniques, le Beyond 2 est particulièrement séduisant grâce à sa légèreté et sa qualité d’image exceptionnelle, rendant les longues sessions de travail nettement plus confortables. Le Meta Quest reste préférable pour les joueurs occasionnels et ceux recherchant un catalogue étendu d’applications. L’Apple Vision Pro, malgré son poids et son prix élevé, excelle par son intégration au sein de l’écosystème Apple, valorisant l’élégance du design et la facilité d’utilisation.

Les stratégies marketing reflètent clairement ces différences : BigScreen insiste sur l’innovation technique et le confort, Meta mise sur l’accessibilité et la polyvalence, tandis qu’Apple valorise l’intégration et le prestige.

Parts de marché actuelles et projections futures

Actuellement, Meta domine largement le marché avec sa gamme Quest, occupant plus de 70 % des parts. Apple Vision Pro progresse rapidement sur le segment premium. Concernant Bigscreen, bien que son lancement ait été positif, il reste un acteur de niche. D’autant plus que la part de marché de 0,45 % mentionnée correspond au modèle original, et non au Beyond 2.

Le marché mondial de la VR devrait atteindre 204,35 milliards de dollars d’ici 2029, avec une croissance annuelle moyenne de 24,74 %. Les secteurs professionnels et éducatifs devraient connaître la plus forte croissance. Les opportunités pour des acteurs spécialisés comme BigScreen devraient alors se multiplier. Toutefois, l’entreprise devra faire face à une forte concurrence des géants technologiques disposant de budgets importants en recherche et développement. Malgré cela, la légèreté et le confort du Beyond 2 pourraient lui offrir des avantages significatifs sur des marchés de niche comme la santé ou la formation.

Le succès à long terme du Beyond 2 dépendra donc de sa capacité à élargir son écosystème d’applications. Mais n’oublions pas ses avantages compétitifs en matière de légèreté, confort et qualité visuelle. Son approche personnalisée pourrait devenir une norme si elle démontre clairement son efficacité.

Expérience utilisateur : performances et confort au quotidien

L’expérience quotidienne varie sensiblement selon le casque de réalité virtuelle utilisé. Le BigScreen Beyond 2 transforme l’usage prolongé grâce à son poids plume qui une sensation de légèreté remarquable. De son côté, le Meta Quest mise sur sa polyvalence et son autonomie sans fil, tandis que l’Apple Vision Pro privilégie l’intégration optimale à l’écosystème Apple. La qualité visuelle joue un rôle essentiel. Les écrans micro-OLED du Beyond 2 offrent une excellente netteté lors des sessions immersives. Cela apporte un confort supplémentaire particulièrement apprécié pour le visionnage prolongé de films ou les sessions intensives de jeu.

Chaque casque excelle dans des contextes spécifiques. Pour les créateurs 3D qui travaillent durant de longues périodes, la légèreté du Beyond 2 est un avantage majeur. Les joueurs préfèrent souvent la fluidité et la facilité d’utilisation du Meta Quest, idéal pour les jeux d’action rapides. L’Apple Vision Pro, avec son suivi oculaire précis, offre une expérience optimale dans les applications professionnelles nécessitant des interactions naturelles. Les utilisateurs de simulations automobiles ou aériennes bénéficient du confort amélioré du Beyond 2 grâce à son IPD réglable précisément. La résolution des écrans influence fortement l’expérience de productivité en environnement virtuel. En effet, chaque fabricant a choisi son propre équilibre entre netteté et performance.

Support, mises à jour et évolution future des trois plateformes

Dans l’univers de la réalité virtuelle, la pérennité du matériel dépend fortement du SAV et des mises à jour proposées. Meta se démarque par un support régulier avec des mises à jour fréquentes. Apple propose un accompagnement premium pour le Vision Pro avec des intégrations de technologies avancées prévues à court terme. BigScreen, malgré ses ressources plus limitées, s’appuie activement sur sa communauté et sur l’écosystème SteamVR pour étoffer progressivement son offre logicielle et ses fonctionnalités.

Face aux grandes entreprises du secteur, la petite équipe de BigScreen adopte une stratégie agile. Elle vise surtout des niches spécifiques de passionnés de cinéma virtuel ou d’utilisateurs exigeants en matière de confort. La part de marché précédemment mentionnée (0,45 %) se réfère au modèle original Beyond, non au Beyond 2 récemment lancé. La réussite à long terme du Beyond 2 reposera donc sur la capacité de BigScreen à élargir son catalogue d’applications compatibles et à maintenir ses avantages concurrentiels en matière de légèreté, confort et qualité visuelle.

Cet article BigScreen Beyond 2 vs les géants : peut-il détrôner Meta Quest et Apple Vision ? a été publié sur REALITE-VIRTUELLE.COM.

Et si vous pouviez combattre des créatures fantastiques dans votre salon sans bouger d’un mètre ? Guardian of Realms, désormais sur Quest 3, transforme votre pièce en véritable champ de bataille magique.

Depuis quelques jours, les joueurs équipés d’un casque Quest 3 peuvent découvrir gratuitement Guardian of Realms, un jeu de réalité mixte signé Sinn Studio. Ce projet, initialement lancé en accès anticipé et vendu comme une expérience payante, change de cap et s’ouvre désormais à tous.

Sorti en septembre dernier, Guardian of Realms proposait un gameplay à l’échelle de votre pièce. Il évite tout déplacement artificiel en misant uniquement sur les mouvements réels du joueur, sans joystick. Imaginé par Sinn Studio, ce projet autofinancé avait un objectif simple : démocratiser la réalité mixte.

Cependant, l’équipe n’a pas vu le public s’élargir après le lancement du Quest 3S. C’est pourquoi elle a décidé d’abandonner le modèle payant. Almir Brljak, directeur opérationnel du studio, explique ce choix : « Plutôt que de restreindre l’accès, nous avons préféré l’ouvrir à tous. » Selon lui, l’expérience mérite d’être vécue, même sans succès commercial immédiat.

Deux modes bien distincts pour varier l’action

Le jeu propose deux approches. D’un côté, le mode Bac à sable laisse une liberté totale aux joueurs. Ils choisissent leurs ennemis, règlent leur fréquence et définissent leur niveau de difficulté. De l’autre, le mode Survie introduit une pression continue. Le but : défendre un cristal sacré contre des vagues ennemies.

En combat, les joueurs ne se limitent pas aux armes classiques. En plus des épées et masses, ils utilisent des pouvoirs surnaturels. Par exemple, il est possible de manipuler la gravité pour faire voltiger ses adversaires dans la pièce. Ce mélange offre une expérience dynamique, sans contrainte mécanique.

Depuis le lancement, Sinn Studio a enrichi son jeu. Les développeurs ont ajouté des cartes, dont la récente « Château de l’île gothique ». Celle-ci apporte une ambiance plus sombre et des dangers supplémentaires. À cela s’ajoutent des ennemis inédits, des armes variées et de nouvelles mécaniques.

Par ailleurs, Guardian of Realms propose un support de mods. Cette ouverture permet aux joueurs les plus créatifs d’enrichir l’univers à leur façon. Grâce à cela, la rejouabilité reste forte, même pour les habitués du jeu.

Un pari sur la réalité mixte

En rendant le jeu gratuit, Sinn Studio cherche à éveiller l’intérêt pour la réalité mixte. Il espère que plus de joueurs tenteront l’expérience. La démarche repose sur un pari simple : séduire par la qualité plutôt que par le prix.

Dans un marché encore jeune, Guardian of Realms devient un ambassadeur accessible. Grâce à cette stratégie, le studio mise sur l’enthousiasme communautaire pour renforcer l’écosystème MR. Le titre est disponible dès maintenant sur Meta Quest 3. Préparez votre salon : la magie vous attend.

Cet article Guardian of Realms débarque gratos pour les fans de Quest 3 a été publié sur REALITE-VIRTUELLE.COM.

Un casque VR, ce n’est pas juste fait pour les gamers. La réalité virtuelle offre une nouvelle manière d’explorer le monde numérique par une immersion totale. Alors si vous vous demandez s’il est possible de plonger sur un plateau de tournage de film XXX, la réponse est oui. Avec un Meta Quest, vous pouvez effectivement vivre l’expérience du VR porn qui fait passer la pornographie au niveau supérieur.

Il existe plusieurs plateformes qui proposent du contenu pour adultes en réalité virtuelle. Et les meilleurs sites VR porn ont inclus le Meta Quest Pro à la liste des appareils compatibles. Ce casque autonome de Meta permet également de jouer à des jeux pornographiques. Mais dans cet article, nous allons surtout vous parler des étapes à suivre pour regarder des vidéos XXX. Ensuite, nous donnerons notre avis sur les performances du Quest en matière de divertissement pour adultes.

Comment regarder du VR porn avec un Meta Quest Pro ?

Bien qu’il s’agisse d’un appareil multimédia doté d’un lecteur, Meta Quest pro est livré sans contenu. Pour accéder à des contenus à visionner, il faut passer par les applications qui en proposent. Généralement, vous pouvez trouver ce genre d’outils sur Metas Store. Cependant, la boutique d’applications de Meta ne propose ni des applications ni des jeux pour adultes.

En fin de compte, le seul moyen d’accéder aux vidéos XXX depuis votre casque, c’est l’utilisation du navigateur. Autrement dit, vous devez aller directement sur les sites de charme.

Ensuite, lorsque vous aurez choisi votre plateforme préférée, vous devrez choisir l’option de visionnage. En gros, il existe deux manières de regarder du VR porn avec un Meta Quest. La première option consiste à diffuser le contenu directement sur le site depuis le navigateur de Meta. Pour la deuxième option, vous devez d’abord télécharger la vidéo de votre choix avant de le regarder à l’aide d’une application de lecture de vidéo sur votre casque.

Par ailleurs, il convient aussi de noter qu’un abonnement est toujours nécessaire pour pouvoir accéder aux contenus de ces plateformes. Vous aurez le choix entre différents modes de paiement et vous pourrez même trouver des sites qui proposent de payer à la vidéo. Certes, certains sites proposent des contenus free VR porn, mais la qualité des contenus payants est toujours meilleure.

Regarder les vidéos sur un site de charme VR

L’option de diffusion directe sur le site est plus connu sous le nom de « streaming ». En plus de Meta Quest, tout ce dont vous aurez besoin pour regarder du VR porn est un navigateur et une connexion internet. Le casque dispose déjà d’un navigateur intégré qui prend en charge WebVR.

Pour expérimenter le VR porn en streaming, commencez donc par allumer votre Meta Quest et ouvrez le navigateur. Allez sur le site de votre choix et cherchez la vidéo qui vous convient. Il ne vous reste plus qu’à appuyer sur le bouton play pour agrandir la fenêtre et commencer votre séance de visionnage.

La fluidité du streaming dépend de la vitesse de votre connexion internet et cela peut prendre quelques secondes avant que l’image soit complètement claire.

Télécharger les vidéos sur un Meta Quest Pro

Si vous souhaitez regarder une vidéo plus tard ou sans connexion Internet, il est possible de la télécharger directement sur votre casque Meta Quest Pro. Pour commencer, recherchez la vidéo qui vous intéresse sur le site de votre choix. Plutôt que de cliquer sur « Lecture », vérifiez s’il existe une option de téléchargement.

Une fois cette option identifiée, assurez-vous qu’elle est compatible avec le Meta Quest, puis sélectionnez la résolution. Le casque prend en charge les vidéos en 4K, idéales pour une qualité d’image optimale. Toutefois, si vous rencontrez des lenteurs, notamment avec des vidéos 3D à 360°, il est recommandé de choisir une résolution HD pour une lecture plus fluide.

Vous avez également la possibilité de télécharger la vidéo depuis un ordinateur. Une fois le fichier obtenu, il suffit de le transférer sur le casque à l’aide d’un câble USB. Cette méthode est particulièrement utile si vous souhaitez gérer plusieurs vidéos à la fois ou conserver une organisation claire de vos fichiers.

Une fois la vidéo disponible sur votre Meta Quest Pro, vous pouvez la lire à l’aide de l’application vidéo intégrée. Il vous suffit d’ouvrir l’application, de sélectionner la vidéo concernée, puis de choisir le mode de visualisation qui vous convient le mieux.

Pour une expérience encore plus riche et personnalisée, il est possible d’utiliser des applications tierces comme Skybox VR ou Playa VR. Ces lecteurs offrent des fonctionnalités avancées, notamment le support de nombreux formats vidéo, ainsi que des options de réglage pour adapter la lecture à vos préférences.

Sur quel site aller pour voir du VR porn avec un Meta Quest ?

Le Meta Quest est l’un des meilleurs casques pour le VR porn, pris en charge par plusieurs sites réputés qui proposent du contenu XXX en réalité virtuelle. Voici une sélection des plateformes les plus recommandées :

VRPorn.com

VRPorn.com est l’une des plus grandes plateformes dédiées exclusivement au contenu pornographique en réalité virtuelle. Elle agrège des vidéos de nombreux studios réputés, offrant ainsi une grande diversité de genres et de styles. L’interface est intuitive, la qualité des vidéos est souvent en très haute définition, et le site permet de filtrer selon les casques VR compatibles. Un incontournable pour ceux qui cherchent une expérience immersive et variée.

WankzVR

WankzVR reste l’un des sites de charme VR les plus appréciés. Il offre une large sélection de vidéos avec les stars du porno les plus en vogue. Les utilisateurs peuvent s’attendre à une expérience immersive de haute qualité avec des productions professionnelles. WankzVR propose également des mises à jour régulières de contenu et des promotions pour attirer de nouveaux abonnés.

VirtualRealPorn

Établi comme l’un des pionniers dans le domaine du contenu VR pour adultes, VirtualRealPorn propose une variété de catégories pour satisfaire tous les fantasmes. Ce site se distingue par sa fonctionnalité innovante de synchronisation avec des sextoys. Ce qui améliore l’expérience immersive des utilisateurs. Les vidéos disponibles offrent une qualité d’image supérieure, et de nouvelles scènes sont régulièrement ajoutées.

CzechVR

CzechVR garantit une qualité visuelle exceptionnelle et offre une variété de contenus allant des vidéos traditionnelles aux niches plus spécifiques comme le voyeurisme et le BDSM. Ce réseau de sites est connu pour sa production haut de gamme et son attention aux détails. L’expérience de visionnage devient ainsi encore plus captivante.

Pornhub VR

Pornhub a également fait des avancées dans le contenu VR étant donné qu’il propose une section dédiée aux vidéos en réalité virtuelle. Bien que la qualité puisse varier, ce site reste un choix populaire en raison de sa vaste bibliothèque de contenus gratuits. Pour ceux qui cherchent à explorer le VR porn sans frais initiaux, Pornhub VR offre une option accessible.

Regarder des films torrides sur Pornhub avec un Meta Quest

Pornhub est le must de la du divertissement adulte. Pour garder son titre, il se devait d’intégrer une section VR à sa plateforme pour suivre le rythme de la technologie et répondre aux besoins des consommateurs.

Vous pouvez donc utiliser un Meta Quest et regarder du VR porn sur Pornhub. Vous avez le choix entre télécharger l’application Pornhub VR Player pour Meta , l’ex Meta, et diffuser des vidéos directement sur le site.

Le plus intéressant avec Pornhub, c’est qu’il est le seul site à proposer gratuitement des vidéos complètes en réalité virtuelle. Sur les autres sites, les vidéos gratuites ne sont que des extraits. Mais on peut s’y attendre, la qualité des vidéos non payantes est moins bonne. En fait, comparé aux autres sites spécialisés dans la VR, Pornhub est loin d’être la meilleure en qualité, même pour les abonnés payants.

Mais si vous investissez dans un casque haut de gamme, il est normal d’investir aussi dans du contenu haut de gamme.

Meta Quest et le sexe virtuel

Les casques VR sont principalement conçus pour jouer à des jeux vidéo immersifs. Mais ils se définissent également comme un appareil multimédia. Ce n’est donc pas surprenant que les utilisateurs s’en servent pour regarder des films pour adultes.

Un des points qui méritent d’être mentionnés concerne le fait que l’anciennement Meta ne limite pas l’accès à internet à son navigateur. Autrement dit, si vous ne faites pas confiance à Meta pour la confidentialité de vos données, vous pouvez utiliser Firefox Reality pour accéder aux sites pornos VR.

Pour offrir une bonne expérience immersive, le MetaQuest est équipé de lentilles de haute résolution et d’écouteurs intégrés. Une fois que votre casque est allumé et que votre vidéo est lancée, vous aurez réellement l’impression de vous trouver au milieu de la scène.

Bien que cet article soit dédié au visionnage de vidéos VR porn avec un Meta Quest, un mot quand même sur les jeux érotiques en réalité virtuelle. En gros, le Quest offre une bonne expérience aux joueurs. De plus, le fait qu’il soit autonome présente un grand avantage pour les jeux sans fil.

Comment choisir le meilleur contenu VR porn pour votre Meta Quest Pro ?

Plusieurs facteurs sont à prendre en compte pour choisir le meilleur contenu VR porn pour votre Meta Quest Pro si vous souhaitez optimiser votre expérience immersive.

Tout d’abord, vérifiez bien la compatibilité des contenus avec le casque. Pour ce faire, assurez-vous que les plateformes et les applications que vous envisagez sont spécifiquement conçues pour le Meta Quest Pro. Ceci, afin d’éviter toute déception technique.

Ensuite, explorez les avis et les recommandations d’autres utilisateurs pour vous guider vers les contenus les plus appréciés. Les forums en ligne et les communautés de passionnés de VR peuvent être de précieuses ressources. Cela vous permet de découvrir des titres qui se distinguent par leur qualité graphique et leur réalisme.

Il est aussi important de privilégier les contenus qui proposent une variété de scénarios et d’interactions. Cela enrichira votre expérience et vous permettra d’explorer différentes facettes de la VR porn. N’oubliez cependant pas de veiller à la sécurité et à la confidentialité de votre expérience. Choisissez des plateformes réputées qui respectent la vie privée de leurs utilisateurs.

Les meilleurs accessoires Meta Quest Pro pour une expérience immersive de VR porn

Pour profiter pleinement de l’expérience immersive de de VR porn avec le Meta Quest Pro, vous devez choisir les bons accessoires qui vont enrichir votre exploration. Pour commencer, munissez-vous de casques audio de haute qualité. Ils sont indispensables pour plonger dans l’ambiance sonore des contenus pour adultes en VR. Optez pour des modèles offrant un son spatial, afin de ressentir chaque détail acoustique comme si vous y étiez.

Ensuite, les manettes de jeu améliorées peuvent considérablement augmenter votre interactivité avec les environnements virtuels. Celles-ci vous permettent de naviguer et d’interagir avec aisance. Un support de tête ou un harnais de maintien peut également améliorer le confort lors de sessions prolongées et réduire la fatigue.

Des dispositifs de retour haptique, comme des gants ou des vestes, peuvent aussi apporter une dimension tactile inédite, car rendent l’expérience encore plus réaliste. Enfin, n’oubliez pas d’investir dans un bon système de ventilation ou un ventilateur, car la chaleur peut s’accumuler lors de longues sessions de VR.

En associant ces accessoires au Meta Quest Pro, vous créerez un environnement immersif et agréable, propice à la découverte de contenus adaptés à la VR porn.

Le Meta Quest Pro: un bon casque pour le VR porn en 2025 ?

En 2025, le Meta Quest Pro continue de se positionner comme l’un des casques VR haut de gamme les plus performants et polyvalents. Bien qu’il soit principalement conçu pour des applications professionnelles, il reste également parfaitement adapté aux expériences immersives, y compris le contenu pour adultes. Développé par Meta, ce casque autonome fonctionne sur une plateforme Android. Il offre une interface intuitive qui plaira à la fois aux novices et aux utilisateurs expérimentés.

Performances et immersion

Le Meta Quest Pro propose 6 degrés de liberté (6DOF) afin de garantir une expérience immersive très fluide. Ce niveau d’immersion permet aux utilisateurs de se déplacer librement dans l’espace virtuel, afin d’ajouter une dimension supplémentaire à des expériences comme le VR porn. Ce casque se distingue par ses lentilles haute résolution améliorées qui offrent des images encore plus nettes que celles du modèle précédent, le Meta Quest 2. Avec ses écouteurs intégrés, la qualité sonore renforce encore l’immersion. Ce qui accède à une expérience audio-visuelle de premier ordre.

Capacité de stockage et options de visionnage

Contrairement au Meta Quest 2, le Meta Quest Pro a connu une amélioration et offre une capacité de stockage entre 128 Go et 256 Go. En revanche, notons que le stockage n’est pas extensible. De la sorte, le visionnage des vidéos 4K doit s’effectuer de préférence en streaming. Cela permettra de préserver son espace de stockage.

Aussi, nous vous recommandons d’opter pour le streaming pour bénéficier d’un large choix de contenus en un seul endroit, sans occuper votre espace de stockage. Cela est particulièrement pertinent si vous utilisez votre Meta Quest pour d’autres activités.

Streaming et intégration des applications

Pour optimiser l’expérience utilisateur, il est conseillé d’opter pour le streaming plutôt que le téléchargement. Grâce au navigateur du casque, les utilisateurs peuvent accéder à divers sites de VR porn et regarder des vidéos en haute qualité sans se soucier de l’espace de stockage. Des applications comme Skybox VR et Playa VR offrent également des options de visionnage flexibles et personnalisables qui visent à améliorer l’expérience globale.

Confidentialité et sécurité

Les préoccupations liées à la confidentialité demeurent cruciales, surtout dans le contexte de la consommation de contenu pour adultes. Bien que le Meta Quest n’impose pas de restrictions d’accès à Internet via son navigateur, les utilisateurs soucieux de leur vie privée peuvent se tourner vers des alternatives comme Firefox Reality pour une navigation plus sécurisée.

Cet article Guide pour regarder du VR porn avec un Meta Quest Pro a été publié sur REALITE-VIRTUELLE.COM.

Pour profiter des contenus du free VR porn, découvrez notre comparatif des meilleurs sites de charme spécialisés. Si vous êtes totalement novice en matière de plaisirs virtuels, n’hésitez pas à visiter notre guide pour les débutants au sexe en réalité virtuelle.

Vous pouvez également explorer dès maintenant du contenu VR érotique gratuit pour découvrir cet univers sans engagement. Le porno, longtemps considéré comme un plaisir coupable, reste l’un des divertissements les plus populaires, bien que beaucoup hésitent encore à l’admettre publiquement.

Pourtant, les chiffres parlent d’eux-mêmes : près de 25 % des recherches en ligne concernent la pornographie, soit environ 68 millions de requêtes chaque jour. L’industrie pour adultes s’impose ainsi comme l’une des plus prospères au monde, avec ses stars, ses festivals et ses productions emblématiques.

Malgré son succès fulgurant, le secteur ne cesse d’évoluer, innovant constamment pour offrir aux amateurs des expériences toujours plus immersives et engageantes. Parmi ces avancées, le porno vr se distingue comme une révolution majeure, transformant la manière dont le public consomme du contenu pour adultes.

SexLikeReal

Pour les amateurs du vr porn qui hésitent encore à se lancer dans cet univers, le site SexLikeReal propose une sélection hétéroclite de vidéos free porn VR. Vous trouverez sur la plateforme aussi bien  des bandes-annonces VR XXX que des vidéos intégrales entièrement gratuites.

De plus, pour une expérience pornographique à la hauteur de vos fantasmes, SexLikeReal vous propose des dizaines de vidéos excitantes à 180 degrés et 360 degrés en mode POV des scénarios les plus populaires. Hardcore, threesomes, homosexuel…plongez dans un monde de luxure et de passion, où tous vos fantasmes côtoient la réalité.

À noter que toutes les vidéos de la collection gratuite peuvent être téléchargées.

Caractéristiques techniques

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Pornhub VR

Pornhub VR offre une interface intuitive et bien conçue, qui permet de naviguer facilement sans distractions inutiles. Les vidéos gratuites proposées sur le site sont nombreuses et variées avec une multitude de genres et de préférences.

Les vidéos sont disponibles en formats 180 et 360 degrés, et offrent une immersion totale en fonction de vos préférences. Que vous disposiez d’un smartphone de base ou d’un équipement haut de gamme tel que le Valve Index, vous pourrez profiter du contenu de Pornhub VR. Les casques de coût moyen, comme le Playstation VR ou le Gear VR, sont également parfaitement compatibles avec le site.

Pornhub VR est simple d’utilisation, aucune installation n’est nécessaire, et le contenu se charge immédiatement grâce à leur navigateur efficace. En streaming, les vidéos peuvent être visionnées en haute résolution, et le site permet également le téléchargement pour une qualité optimale jusqu’à 8K.

Caractéristiques techniques

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PornFox VR

Très agréable à utiliser et visuellement très plaisant, PornFox VR rassemble sur une plateforme unique les meilleures vidéos X VR des plus grands studios de production. Ainsi, vous trouverez sur cette plateforme une large sélection de contenus cinématographiquement très riches et les plus appréciés de chez  Badoink VR, VR Bangers ou encore WankzVR. 

Avec cette plateforme, vous pouvez accéder à des milliers d’extraits de films sans débourser le moindre centime. Le plus ? PornFox VR met désormais à votre disposition 27 vidéos free porn VR en mode 360 degrés. Chose assez rare pour du contenu gratuit. Et la collection continue de s’enrichir avec des mises à jour régulières.

Notez que vous avez la possibilité de télécharger les vidéos. Par contre, il faut noter que la vidéo ne sera proposée que dans un seul format. Aussi, il arrive que celui-ci ne réponde pas à certaines spécifications du casque.

PornFoxVR met à disposition des vidéos tutoriels sur l’utilisation des différents casques disponibles sur le marché. Les vidéos sont également classées en différentes catégories pour une navigation plus fluide et intuitive sur le site.

Caractéristiques techniques

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Alternative pour découvrir les meilleurs sites free porn VR du marché

Jacquie & Michel Immersion

Jacquie & Michel Immersion joue la carte de l’authenticité et de la proximité avec son public. Il n’y a pas de studios ultra-cliniques, la plateforme donne place aux expériences brutes, aux scènes sans fioritures et aux rencontres réalistes. Jacquie & Michel Immersion met l’accent sur la diversité des contenus, avec des catégories bien fournies et des vidéos françaises.

VRcosplayX

VRcosplayX s’impose aussi comme une référence du free porn VR. Cette plateforme un vaste catalogue de vidéos en réalité virtuelle. Elle mise sur des costumes ultra-soignés, du CGI de qualité et des décors travaillés pour plonger les utilisateurs dans des parodies audacieuses de films, jeux vidéo et séries cultes. VRcosplayX est compatible avec tous les casques VR du marché (Meta Quest, PlayStation VR, HTC Vive, etc.), ce qui garantit un visionnage optimisé.

Concernant l’interface utilisateur, elle est à la fois dynamique et moderne. Toutefois, la publicité omniprésente, notamment via des pop-ups insistants, peut gêner l’expérience. Pour ceux qui prévoient quand même de passer au mode payant, la plateforme affiche des promotions alléchantes comme 70 % de réduction, vidéos gratuites, et même des offres du type 1 acheté = 1 offert.

Concernant l’interface utilisateur, Jacquie & Michel Immersion se démarque par la couleur flashy, avec un rouge et noir iconique qui capte l’œil. Et pour les amateurs de talents locaux, la rubrique J&M Stars met en avant des profils uniques, loin des clichés formatés. Bref, un espace pensé pour ceux qui veulent du contenu plus spontané, interactif et sans filtre. 

Free porn VR : comment avons-nous choisi ces plateformes ?

Comme tout autre divertissement multimédia, les films XXX ont, eux aussi, évolué avec la technologie. De même, les consommateurs ont également évolué dans la manière dont ils expérimentent le sexe dans l’espace numérique. Parmi les modes de consommation les plus populaires, la réalité virtuelle se hisse au premier rang. Et ce n’est pas sans raison puisqu’elle permet de s’offrir une expérience hautement immersive, brouillant les frontières entre fantasme et réalité.

Mais pour être sûr de profiter d’une expérience la plus proche possible du réel, encore faut-il choisir le meilleur site porno vr. Parmi les critères incontournables, la sécurité du site est primordiale pour éviter tout risque lié aux données personnelles. La qualité et la diversité du contenu jouent également un rôle majeur : certains sites porn vr offrent un catalogue restreint mais avec une production haut de gamme, tandis que d’autres privilégient la quantité. L’interface et l’ergonomie doivent permettre une navigation intuitive, avec une fluidité optimisée et des mises à jour régulières garantissant un contenu toujours renouvelé.

Un autre élément crucial est la compatibilité avec votre équipement VR. Avant de choisir une plateforme, il est essentiel de vérifier si votre casque est supporté et si le système d’exploitation de votre smartphone est adapté.

Enfin, la résolution des vidéos impacte fortement l’expérience immersive. Aujourd’hui, la norme est en 4K, mais certains sites proposent du contenu en 8K pour un rendu encore plus détaillé. Toutefois, cette technologie reste coûteuse et dépend du matériel dont vous disposez.

En combinant sécurité, qualité, compatibilité et haute définition, vous pourrez sélectionner la plateforme idéale et profiter d’une immersion optimale dans le contenu VR.

Les technologies qui rendent le free porno VR plus immersif

Les avancées technologiques récentes ont radicalement transformé l’expérience du porno VR, même sur des sites gratuits. Plusieurs innovations clés permettent d’améliorer l’immersion et la sensation de réalisme.

L’un des principaux moteurs de cette évolution est l’intégration des capteurs haptiques. Ces dispositifs permettent aux utilisateurs de ressentir des sensations physiques en réponse à des stimuli visuels ou sonores, ce qui renforce l’immersion. Par exemple, des gants ou des combinaisons haptiques transmettent des vibrations ou des pressions correspondant aux actions à l’écran. Cela offre une interaction tactile qui simule les sensations du corps réel.

Les améliorations graphiques sont également essentielles. Les moteurs graphiques plus puissants, associés à des résolutions de plus en plus élevées (comme la 4K ou même la 8K), permettent des vidéos plus nettes et des textures plus réalistes. Cela inclut la modélisation avancée des corps et des environnements, ce qui améliore l’aspect visuel et augmente l’immersion dans les scènes en réalité virtuelle.

Enfin, l’intelligence artificielle (IA) joue un rôle croissant. Les IA peuvent personnaliser les scènes en fonction des préférences de l’utilisateur, ajuster les dialogues ou modifier les interactions selon les choix faits par l’utilisateur.

Ces technologies combinées transforment le porno VR gratuit en une expérience de plus en plus riche et réaliste, tout en démocratisant l’accès à ces innovations pour un large public.

N’hésitez pas à consulter notre guide du porn VR pour débutants si vous n’êtes pas familier du divertissement immersif pour adulte.

Si vous êtes totalement novice en matière de plaisirs virtuels, n’hésitez pas à visiter notre guide pour les débutants au VR Porn.

Free porn en VR : les questions fréquentes

Cet article Free porn VR : top 7 des meilleurs sites gratuits de vidéos porno en réalité virtuelle a été publié sur REALITE-VIRTUELLE.COM.

On a tous déjà enfilé un casque VR et goûté à cette sensation de basculer dans un autre monde. Mais soyons honnêtes, parfois, l’émerveillement initial laisse place à une impression de théâtralité un peu rigide. Les personnages semblent suivre des scripts préétablis, les environnements réagissent de manière prévisible. Et si je vous disais que l’intelligence artificielle est en train de changer la donne, d’insuffler une véritable « vie » à ces réalités numériques ?

Imaginez : vous vous approchez d’un personnage virtuel, et au lieu d’une réplique pré-enregistrée, il vous regarde, analyse votre expression, et engage une conversation qui semble réellement s’adapter à ce que vous dites, à la manière dont vous le dites. Ce n’est plus une simple interaction, c’est une rencontre. L’IA, discrètement en arrière-plan, est le cerveau qui permet cette fluidité, cette capacité d’apprentissage et de réaction contextuelle. On sent une véritable évolution par rapport aux expériences VR d’il y a quelques années, où l’on avait parfois l’impression d’être dans un décor interactif, certes impressionnant visuellement, mais manquant cruellement d’âme.

L’IA au service d’une immersion plus profonde

L’apport de l’IA à l’immersion VR ne se limite pas à des graphismes époustouflants. Elle touche à la substance même de l’expérience. Pensez à ces agents virtuels qui, grâce au traitement du langage naturel et à l’apprentissage profond, deviennent de véritables acteurs de ces mondes. Ils se souviennent de vos interactions passées, développent des traits de caractère distincts et peuvent même surprendre par leurs réactions. C’est comme interagir avec des entités qui ont une forme d’existence propre au sein de l’univers virtuel. Et puis, imaginez un scénario de jeu en VR qui se ramifie organiquement en fonction de vos choix, un environnement d’apprentissage qui ajuste le niveau de difficulté en temps réel selon vos progrès. L’IA permet cette adaptabilité dynamique, transformant chaque session en une aventure unique et personnalisée. On sent que l’on n’est plus simplement un spectateur, mais un véritable acteur au sein de ce monde.

On le sait, les animations parfois robotiques peuvent briser l’illusion. L’IA, en analysant des données de mouvements réels, génère des animations de personnages et d’objets d’un réalisme saisissant. Les gestes deviennent plus subtils, les déplacements plus naturels, renforçant notre sentiment de présence dans cet autre espace. C’est une différence notable avec les premières générations de VR où les mouvements saccadés des avatars pouvaient nous rappeler brutalement que nous étions dans un monde artificiel.

Des interactions VR plus naturelles et intuitives

Oubliez les clics complexes. L’IA déchiffre nos gestes, nos mouvements de mains, transformant notre corps en un véritable contrôleur. Pointer, saisir, dessiner dans l’air devient possible, offrant une liberté d’interaction inédite. C’est une nouvelle façon d’interagir avec le numérique, beaucoup plus directe et naturelle que les interfaces traditionnelles. Et puis, pensez à la possibilité de simplement parler à son environnement : « Ouvre cette porte », « montre-moi les statistiques », « qui est cette personne ? » Grâce à la reconnaissance vocale intelligente, nos paroles deviennent des commandes naturelles. Plus besoin de naviguer dans des menus fastidieux, on interagit avec la VR comme on le ferait avec le monde réel. Il y a même cette impression parfois que l’IA anticipe nos besoins. Elle observe nos actions, notre regard, et apprend nos intentions. Un objet que l’on fixe du regard peut se mettre en évidence, un outil dont on a besoin peut apparaître intuitivement. C’est une forme d’intelligence ambiante qui rend l’expérience VR étonnamment fluide.

Le CSPM : Rempart invisible de nos expériences VR intelligentes

Cependant, cette richesse d’interactions et cette intelligence accrue des mondes virtuels s’accompagnent d’une production exponentielle de données. Nos mouvements, nos paroles, nos choix, nos réactions émotionnelles… tout cela est potentiellement enregistré et analysé pour améliorer l’expérience. Cette collecte massive d’informations, souvent hébergée dans le cloud pour permettre à l’intelligence artificielle de fonctionner, soulève des questions cruciales de sécurité. Comment s’assurer que ces données sensibles ne tombent pas entre de mauvaises mains ? Comment garantir que les configurations de ces environnements cloud complexes sont optimales et ne présentent pas de failles exploitables ?

C’est précisément là que le CSPM  (Cloud Security Posture Management)  entre en jeu comme un gardien essentiel. Imaginez un monde virtuel où une simple erreur de configuration dans le cloud expose les données biométriques des utilisateurs ou permet à des acteurs malveillants de manipuler l’environnement en temps réel grâce à des failles dans les systèmes d’IA. La confiance des utilisateurs s’effondrerait instantanément. Le CSPM offre une visibilité continue sur la posture de sécurité de ces environnements cloud VR, identifie proactivement les risques de mauvaise configuration, assure la conformité aux réglementations de protection des données et automatise la réponse aux incidents de sécurité.

En d’autres termes, le CSPM n’est pas un simple ajout sécuritaire ; il est le fondement qui permet à ces expériences VR intelligentes de fonctionner en toute sécurité et de maintenir la confiance des utilisateurs. Sans une gestion rigoureuse de la sécurité cloud, les promesses de l’IA dans la VR pourraient être rapidement compromises par des vulnérabilités et des violations de données.

Cet article Quand l’IA Donne une âme à la VR  a été publié sur REALITE-VIRTUELLE.COM.

Il y a 10 ou 20 ans, l’intimité était bien différente. Aujourd’hui, la réalité virtuelle (VR) et la réalité augmentée nous permettent de vivre des expériences très personnelles. Flirter, se connecter, et vivre des relations intimes, tout ça se font maintenant confortablement installé chez soi avec un casque VR.

La réalité virtuelle et augmentée ont vraiment transformé le domaine de l’intimité. En effet, ces technologies ne se contentent plus de nous divertir. Aujourd’hui, elles sont des outils que l’on utilise pour flirter, rencontrer et même découvrir des expériences sexuelles.

En utilisant des casques VR, vous atteignez des mondes virtuels. Là, il est possible de se connecter dans des espaces privés et personnalisés. Et avec la réalité augmentée la magie opère encore plus car grâce à cette technologie, on peut même voir les préférences des autres dans un bar. Mais ce n’est pas tout.

Désormais, ces technologies sont capables de lire nos émotions grâce à l’IA. Imaginez un partenaire virtuel qui capte vos petits frissons, vos sourires ou vos hésitations et ajuste ses réactions en conséquence. Les thérapeutes utilisent même la VR pour aider à surmonter l’anxiété intime et rendre la sexothérapie plus facile d’accès.

Des questions soulevées par l’intimité dans la réalité virtuelle (VR)

Dans le monde de l’intimité virtuelle, il y a une autre vraie nouveauté : la technologie qui nous permet de ressentir les choses, même à distance. Des gants, des combinaisons et même des jouets connectés simulent des caresses ou des moments plus intimes. Les couples éloignés peuvent partager des sensations à travers les continents. Ceux qui sont plus timides ou ont des difficultés sociales ont une nouvelle façon de vivre leur sexualité.

Cependant, à mesure que les expériences numériques deviennent de plus en plus réalistes, des questions commencent à surgir. Comment protéger nos infos personnelles quand nos moments intimes se passent dans le monde virtuel ? Que faire si quelqu’un utilise votre image sans permission ? Et, entre le virtuel et le réel, faut-il vraiment se poser la question de l’infidélité en ligne ?

D’ici dix ans, la réalité virtuelle et augmentée pourraient bien devenir les nouvelles stars de nos relations amoureuses. Plus qu’une simple mode, elles pourraient nous aider à mieux comprendre l’autre, à libérer nos fantasmes et à rapprocher les cœurs, même de loin. Mais, faut pas oublier qu’on risque de se perdre entre ce qui est réel et ce qui ne l’est pas…

Cet article L’intimité à l’ère de la réalité virtuelle a été publié sur REALITE-VIRTUELLE.COM.

Vous êtes-vous déjà interrogé sur l’avenir lointain de notre planète ? Eh bien, il semble que des scientifiques aient trouvé une réponse. Grâce à des technologies de pointe, ils ont pu déterminer le moment où la Terre pourrait devenir inhabitable. Et, selon leurs calculs, ce processus est déjà en marche.

Des scientifiques prédisent que la vie sur Terre pourrait disparaître dans environ 1 milliard d’années. C’est grâce à une simulation réalisée par un superordinateur qu’ils ont pu établir cette estimation. La cause principale de cette extinction ? L’augmentation progressive de la chaleur du Soleil.

Ce réchauffement entraînera de gros bouleversements climatiques, ce qui rendra la planète progressivement inhabitable et invivable pour toute forme de vie (même les formes de vie plus résistantes).

Ces chercheurs de l’Université Toho ont utilisé 400 000 simulations pour étudier comment l’atmosphère terrestre pourrait évoluer dans le futur. Ce ne sera donc pas une extinction soudaine mais un processus lent qui se déroulera sur un très long terme. Au fil du temps, le Soleil émettra davantage de lumière, ce qui entraînera un réchauffement de la Terre.

Des signes de ces changements commencent déjà à être observés. L’activité du Soleil, comme les éruptions solaires et les tempêtes magnétiques, perturbe le champ magnétique de la Terre et affecte notre atmosphère.

La Terre inhabitable : le temps est compté, Mars vous attend

Kazumi Ozaki, professeur adjoint à l’Université Toho de Tokyo, a déclaré dans un communiqué de presse : « Depuis longtemps, les scientifiques débattent de la durée de vie de la biosphère terrestre. Ils se basent sur l’augmentation continue de la luminosité du Soleil et le cycle géochimique des carbonates et des silicates. »

« Un des résultats de ce cadre théorique est la diminution progressive des niveaux de CO2 dans l’atmosphère, accompagnée d’un réchauffement climatique à l’échelle géologique », a-t-il ajouté.

Notons que cette étude s’intitule « The future lifespan of Earth’s oxygenated atmosphere » (« La durée de vie future de l’atmosphère oxygénée de la Terre »). Elle a été publiée dans la revue scientifique britannique « Nature Geoscience ».

Certains scientifiques imaginent des habitats créés par l’homme sur Terre pour étendre notre présence, tandis que d’autres visent l’espace. Lorsque la Terre sera inhabitable, Mars pourrait bien devenir notre prochain chez-nous, grâce à des projets de la NASA et de SpaceX.

À terme, partir de la Terre pourrait ne plus être un simple fantasme, mais une véritable nécessité.

Cet article Selon ce superordinateur, la Terre deviendra un jour inhabitable… et ce moment approche a été publié sur REALITE-VIRTUELLE.COM.

Hello, Dot est un jeu en réalité mixte qui exploite tout le potentiel du Quest 3 pour offrir une expérience inédite. Développé par Niantic Spatial, ce jeu mélange parfaitement le monde réel et virtuel. Après une démo en accès anticipé, la version finale pousse les capacités de la réalité augmentée à leur maximum. Cela rend l’expérience encore plus fascinante. Prêt à faire l’expérience de ce jeu révolutionnaire ?

Un jeu qui tire parti des capacités de réalité mixte de Quest 3

Le jeu Hello, Dot maximise les capacités de réalité mixte du Quest 3, qui utilise le maillage de scène et l’occlusion dynamique. Grâce à ces technologies, les objets virtuels interagissent avec l’environnement réel de manière fluide et naturelle. Les créatures virtuelles, appelées « dots », semblent être présentes dans votre pièce et interagissent avec vous. L’expérience vous fait sentir que vous êtes vraiment en train de jouer dans un environnement mixte, où les frontières entre le réel et le virtuel s’estompent. Ce jeu vous plonge dans une aventure où les objets virtuels se déplacent de façon réaliste dans l’espace physique autour de vous. Vous pouvez ainsi jouer avec ces dots, les faire interagir, et même les voir réagir aux obstacles physiques. 

Des mini-jeux amusants et des accessoires à débloquer

Hello, Dot propose des mini-jeux divertissants qui ajoutent une dimension supplémentaire à l’expérience de réalité mixte. Parmi les jeux proposés, on trouve un dodgeball et un concours de nourriture, parfait pour jouer seul ou avec des amis. Quand vous réussissez certains défis, vous pouvez débloquer des accessoires pour personnaliser vos créatures. A noter qu’un microphone intégré vous permet de modifier l’apparence de vos dots, et vous aide donc à ajouter une touche personnelle à l’expérience.

La boîte à outils interactive, un élément clé du jeu, donne d’ailleurs aux joueurs la possibilité de déplacer des objets et d’explorer différents environnements. Vous pouvez même faire rouler cet objet entre les pièces et observer comment il interagit avec les murs physiques. L’expérience devient plus ludique grâce à ces petits ajouts, qui rendent l’immersion encore plus riche.

Une expérience exceptionnelle sur Quest 3 et Apple Vision Pro

Le jeu est disponible non seulement sur Meta Quest 3, mais également sur Apple Vision Pro, bien que la version pour Vision Pro soit encore une démo. Sur Quest 3 cependant, le jeu exploite le potentiel de la réalité mixte. Il offre une interaction fluide avec votre environnement. L’expérience devient donc un véritable terrain de jeu. Les murs, les objets, et même les personnes autour de vous sont intégrés dans le monde virtuel. Quoi qu’il en soit, l’évolution de Hello, Dot montre bien l’avenir du gaming en réalité mixte. Grâce aux puissantes capacités de Quest 3, vous vivez un jeu qui fusionne parfaitement la réalité et le virtuel, ce qui peut ouvrir une voie à de futures expériences encore plus immersives.

Cet article Ce jeu en réalité mixte va te retourner le cerveau sur Quest 3 ! a été publié sur REALITE-VIRTUELLE.COM.

KUNOS Simulazioni lâche la version 0.2 d’Assetto Corsa EVO dans le grand bain. Et elle pourrait enflammer vos consoles et PC. Disponible dès maintenant en accès anticipé sur Steam, cette mise à jour est pleine de nouveautés. Vous y retrouverez du contenu frais, un gameplay affûté et de meilleures performances.

Dès le mois de janvier, les joueurs ont pu tester Assetto Corsa Evo avant sa sortie officielle. A ce moment-là, beaucoup ont émis des critiques sur les performances  insuffisantes du jeu. En particulier, ceux qui souhaitaient jouer en réalité virtuelle (VR) ont rencontré des problèmes.

Kunos Simulazioni, le développeur, a intégré la prise en charge optionnelle de la VR sur PC, mais ce n’était pas encore fluide. Face à la grogne, il a avancé des solutions temporaires. Il a aussi parlé du plan d’améliorations dans les prochaines mises à jour. Pour le jeu, 0.2 est la deuxième mise à jour majeure et la deuxième étape de la feuille de route. Mais que nous réserve-t-elle ?

Avec cette nouvelle version, Assetto Corsa Evo est plus jouable sur les casques VR pour PC. Kunos Simulazioni parle de la « deuxième étape » du support VR, et cela se ressent.

Mise à jour Assetto Corsa Evo 0.2 : plus belle, plus complète

Dans la mise à jour 0.2, le jeu Assetto Corsa Evo gagne en fluidité et en confort, grâce à une série de petits ajustements bienvenus.

On peut désormais modifier les réglages vidéo en direct, les réflexions sont plus soignées, et un bug agaçant qui assombrissait l’horizon a enfin été corrigé. Pour un rendu plus naturel, une nouvelle végétation fait aussi son apparition, tandis que l’écran de veille en VR a été désactivé pour éviter les interruptions.

En outre, les rétroviseurs adoptent maintenant un mode de capture dynamique par défaut, et un ensemble de caméras TV a été spécialement pensé pour la réalité virtuelle. L’activation du DLSS n’est plus annulée lorsqu’on bascule en VR ou en triple écran.

La mise à jour ajoute aussi sept nouvelles voitures de six marques différentes. On y retrouve à la fois des modèles de course et des icônes classiques. On cite notamment l’Alfa Romeo 75 Turbo Evoluzione, et des modèles emblématiques comme la Porsche 911 Turbo 3.6 ou la Mazda MX-5 (NA). Hormis cela, deux nouveaux circuits font leur entrée : COTA et Donington Park.

Cerise sur le gâteau, on a deux nouveaux modes de jeu, une « Galerie de Replay » et des outils pour ajuster les performances de l’IA.

Cet article La mise à jour 0.2 d’Assetto Corsa Evo est grandiose ! a été publié sur REALITE-VIRTUELLE.COM.

La roulette en ligne attire de plus en plus de joueurs. Mais comment battre l’algorithme et optimiser ses chances de gagner ? La roulette en ligne, populaire et accessible, fascine les joueurs avec ses promesses de gains. Cependant, face à l’algorithme des casinos, il devient primordial de comprendre comment maximiser ses chances. Les différentes stratégies sont explorées dans ce guide. Ce dernier rappelle que le jeu doit rester un divertissement, et non un moyen de gagner de l’argent rapidement.

L’algorithme des casinos en ligne

Les casinos en ligne utilisent des algorithmes sophistiqués pour garantir l’équité des jeux et la rentabilité des casinos. Contrairement aux casinos physiques, les jeux en ligne sont régis par un logiciel de génération de nombres aléatoires (RNG). Ce dernier assure que chaque tour de roulette soit totalement imprévisible. Toutefois, des stratégies intelligentes permettent d’optimiser vos chances de succès, même face à un algorithme.

Une première règle à suivre est de comprendre les différentes variantes de la roulette. La roulette européenne a notamment un seul zéro, tandis que la roulette américaine en compte deux. La roulette européenne propose donc de meilleures chances pour les joueurs, avec une probabilité de gain légèrement plus élevée.

Optimiser ses chances : gestion des archives et suivi des résultats

Pour maximiser ses chances, il est également important de suivre l’historique des résultats. De nombreux joueurs préfèrent analyser les tendances des numéros sortis, mais cette méthode reste liée à l’aspect divertissant du jeu. En tant que joueur averti, garder une trace des jeux et de vos mises peut aussi vous aider à mieux gérer vos mises futures.

Si vous êtes intéressé par une gestion optimale des archives, il y a des outils qui permettent de suivre vos paris. Ces outils vous permettent de mieux comprendre vos habitudes de jeu et d’appliquer une stratégie plus réfléchie. En suivant cette approche, vous pouvez améliorer vos chances tout en gardant à l’esprit l’aspect ludique de l’activité. Pour en savoir plus sur la gestion optimale des archives, consultez ce lien : gestion optimale des archives.

Les stratégies pour gagner à la roulette en ligne

Malgré l’aléa, il y a des stratégies que l’on peut appliquer pour optimiser ses chances. La stratégie Martingale reste l’une des plus populaires, où le joueur double sa mise après chaque perte. Cette méthode, bien qu’efficace à court terme, peut devenir risquée sur de longues périodes, car elle nécessite une grande gestion du capital.

Une autre approche consiste à suivre des séquences de paris. En misant notamment sur les couleurs, les joueurs peuvent parfois observer des tendances sur la roue. Cependant, il est important de se rappeler qu’aucune stratégie ne garantit un gain à chaque tour, car l’algorithme du casino reste le principal facteur influençant les résultats. Cela dit, il est également important de bien gérer son budget. En fixant une limite de pertes et de gains, vous vous assurez de ne pas être tenté de continuer à jouer plus que nécessaire.

Les risques liés aux jeux en ligne

Il est important de souligner que les jeux de casino, y compris la roulette en ligne, comportent des risques. Ces jeux peuvent devenir addictifs et engendrer des pertes financières importantes. Il est donc primordial de ne jamais jouer avec de l’argent que vous ne pouvez pas vous permettre de perdre.

Ainsi, même si l’algorithme des casinos peut sembler impénétrable, le jeu doit toujours être perçu sous l’angle du plaisir et du divertissement. Cela vous permettra de jouer de manière responsable tout en appréciant l’expérience.

Gagner à la roulette en ligne est avant tout une question de chance, mais appliquer des stratégies raisonnables peut optimiser vos résultats. De plus, il est primordial de jouer avec une approche ludique et non comme un moyen de gagner de l’argent rapidement. Si vous souhaitez en savoir plus sur des stratégies avancées de jeux, vous pouvez consulter cet article sur devenir un pro de la roulette en ligne. N’oubliez pas que le casino doit rester une activité récréative et non une source de gains.

Le jeu doit rester un plaisir

Il est important de garder à l’esprit que les casinos en ligne sont conçus pour le divertissement. Le but est de s’amuser et de vivre une expérience ludique. La roulette, tout comme d’autres jeux de casino, ne doit pas être perçue comme une méthode pour générer des revenus rapides. Effectivement, les chances de gagner ne sont jamais garanties, et il est facile de se laisser emporter par l’excitation du jeu.

D’ailleurs, il est conseillé de jouer de manière responsable. Cela inclut de ne jamais dépasser vos limites de mise et de considérer vos pertes comme le coût du divertissement. De plus, les plateformes de jeux en ligne, comme celles disponibles à Angers, proposent des outils de gestion du jeu qui permettent une meilleure gestion des habitudes de jeu.

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Que vous soyez débutant curieux, étudiant en informatique ou professionnel en reconversion, vous avez forcément entendu parler de Python. Ce langage de programmation, utilisé par les géants du numérique comme Google, Netflix ou Instagram, séduit par sa syntaxe claire, sa communauté dynamique et sa polyvalence impressionnante. Des caractéristiques qui permettent de l’utiliser pour une multitude de domaines tels que le développement web, la science des données et l’automatisation. Je vous en dis plus.

Qu’est-ce que Python ?

Python est un langage de programmation interprété. Cela signifie qu’il exécute des instructions directement grâce à un interprète plutôt que de compiler le code au préalable. C’est un langage de haut niveau, synonyme de facilité d’utilisation et de lisibilité du code. Ainsi, il permet aux programmeurs de se concentrer davantage sur la résolution de problèmes plutôt que sur les spécificités complexes de la machine.

Développé à partir de la fin des années 1980 par Guido van Rossum, Python s’est aujourd’hui imposé comme une solution flexible pour beaucoup de tâches informatiques. Il est en général préféré pour sa communauté robuste et son vaste écosystème de bibliothèques. Ces derniers facilitent l’intégration rapide de nouvelles fonctionnalités lorsque vous avez besoin d’ajouter de la puissance ou de la complexité à un projet existant. Ainsi, Python trouve sa place partout que ce soit pour développer des applications web, analyser des données ou créer des algorithmes de machine learning.

Sa syntaxe claire et intuitive simplifie grandement l’apprentissage, même pour ceux qui n’ont jamais écrit une ligne de code auparavant. Cela fait de Python un excellent choix pédagogique, idéal pour initier les nouveaux venus aux concepts essentiels de la programmation. Il fournit aussi suffisamment de profondeur pour les développeurs expérimentés qui cherchent à perfectionner leurs compétences.

Les bases de la programmation Python

Vous devez comprendre certains concepts fondamentaux pour commencer avec Python. La base se trouve dans les types de données, les variables et les structures de contrôle. Les types de données tels que les entiers, les chaînes de caractères et les listes permettent de stocker différentes sortes d’informations. Les variables, quant à elles, servent de conteneurs pour ces données et facilitent leur manipulation au sein du code. Les structures de contrôle comme les boucles et les conditions (if, else) ajoutent une logique dynamique au programme. Elles permettent d’effectuer des actions répétées ou basées sur des critères spécifiques.

La programmation orientée objet est une autre caractéristique essentielle de Python. Elle permet aux développeurs de structurer le code grâce à l’utilisation des classes et des objets pour représenter des concepts ou des entités du monde réel. Cette approche favorise la réutilisation du code et le développement de solutions plus modulaires. Grâce à sa simplicité apparente, mais sa grande légitimité, la programmation orientée objet via Python est omniprésente. C’est le cas notamment dans les grands projets logiciels qui nécessitent une maintenabilité accrue.

Python : un grand nombre de fonctionnalités avancées

Après avoir acquis une compréhension solide des bases, explorer certaines des fonctionnalités avancées de Python devient indispensable pour tirer pleinement parti de son potentiel. Python propose en effet une gamme incroyable de bibliothèques et de frameworks qui étendent ses capacités de façon exponentielle. Pour le développement web, par exemple, Django et Flask sont deux frameworks populaires qui offrent une structure bigrement utile pour la construction d’applications robustes et évolutives.

En matière de science des données et de machine learning, Python reste un outil privilégié grâce à des bibliothèques comme NumPy, Pandas ou encore SciKit-Learn. Ces outils facilitent l’analyse de grandes quantités de données et l’entraînement de modèles prédictifs. Ils devienent ainsi incontournables dans divers secteurs technologiques et commerciaux.

L’automatisation de tâches répétitives ou complexes représente également un domaine où Python excelle. Avec des scripts appropriés, vous pouvez automatiser l’envoi d’emails, la collecte de données en ligne ou même des actions plus sophistiquées telles que le scraping web. Cette capacité rend Python particulièrement prisé pour améliorer l’efficacité opérationnelle dans de nombreux environnements professionnels.

Python vs d’autres langages de programmation populaires

On compare souvent Python à d’autres langages de programmation comme Java, C++, ou JavaScript en raison de sa simplicité et de sa polyvalence. En comparaison avec Java, Python se distingue par sa syntaxe beaucoup plus concise. Au fait, la déclaration d’une simple fonction en Java nécessite plusieurs lignes de code et une syntaxe stricte. Python, en revanche, permet d’écrire une fonction en une seule ligne, ce qui rend le développement plus rapide et intuitif. Par ailleurs, Java impose un typage statique, ce qui nécessite de déclarer explicitement les types de variables. Quant à Python, il utilise un typage dynamique, ce qui signifie que vous n’avez pas besoin de spécifier le type d’une variable à chaque fois que vous la déclarez.

Lorsque l’on compare Python à C++, la différence importante concerne la gestion de la mémoire. En C++, les programmeurs doivent gérer explicitement la mémoire à l’aide de pointeurs. Cela peut rendre le langage plus complexe à maîtriser, mais aussi plus performant pour des applications à haute exigence en ressources. Python, en revanche, dispose d’un ramasse-miettes automatique qui gère la mémoire. Le développement est ainsi considérablement simplifié. Cependant, cela peut aussi entraîner des performances légèrement inférieures dans des applications très gourmandes en ressources.

Par rapport à JavaScript, utilisé principalement pour le développement web, Python se démarque par sa polyvalence. Ce premier est principalement orienté vers la manipulation de contenu web et les interactions côté client. Quant au second, il est largement utilisé dans des domaines tels que la data science, l’intelligence artificielle, et l’automatisation. De plus, JavaScript est un langage impératif principalement orienté vers les événements et le traitement des données côté utilisateur. Python offre une approche plus générale et est généralement préféré pour des scripts d’automatisation, des analyses de données, ou des applications back-end grâce à son écosystème riche et ses bibliothèques variées.

Quelles évolutions attendre dans les prochaines années ?

Aujourd’hui, Python figure parmi les langages de programmation les plus prisés. Sa popularité croissante s’accompagne de nombreux avantages, mais également de quelques inconvénients. En termes de lisibilité et de simplicité, Python surpasse bien des langages grâce à sa syntaxe claire et concise. Cet aspect le rend particulièrement adapté aux débutants qui découvrent la programmation. La communauté Python, très active, contribue par ailleurs au développement constant de nouvelles bibliothèques. Cela facilite l’intégration avec différentes technologies. Ces bibliothèques couvrent divers domaines, du développement web à la data science.

Cependant, Python n’est pas dépourvu de défauts. Son principal inconvénient est sa performance. Bien que largement suffisant pour de nombreux projets, il peut être moins performant que certains autres langages pour des tâches qui nécessitent une vitesse d’exécution élevée. En outre, certaines limites apparaissent lorsqu’on travaille sur des projets extrêmement gourmands en ressources.

Les applications de Python

Grâce à des frameworks tels que Django et Flask, Python est souvent utilisé pour construire rapidement des applications robustes. Sa flexibilité et sa facilité d’utilisation en font un choix privilégié pour beaucoup de développeurs qui cherchent à créer des sites web fonctionnels et faciles à maintenir.

Pour le développement d’applications, Python offre aussi une forte compatibilité multi-plateforme. Qu’il s’agisse de développeurs qui souhaitent créer des outils internes ou des applications destinées au grand public, Python se révèle pertinent. C’est notamment grâce à son large éventail de bibliothèques disponibles pour traiter divers besoins spécifiques.

Le langage Python excelle aussi particulièrement en matière de data science. Grâce à des bibliothèques puissantes comme Pandas, NumPy et Scikit-learn, il facilite l’analyse de données complexes et l’automatisation des tâches répétitives. Machine learning, visualisation de données et bien plus encore : Python constitue une référence incontournable dans cette discipline en plein essor.

Évolution de Python et tendances futures

La tendance importante pour les prochaines années est l’amélioration continue de la performance de Python. Des efforts sont, d’ailleurs, entrepris pour optimiser le langage et assurer qu’il puisse répondre aux attentes modernes. Ces efforts se manifestent, notamment, avec des versions récentes qui apportent des gains significatifs de rapidité. L’optimisation de l’interpréteur CPython est un autre axe de travail prometteur.

Face à l’essor de secteurs tels que l’intelligence artificielle et l’Internet des objets (IoT), Python devrait poursuivre ses adaptations pour rester pertinent. Les initiatives qui visent à renforcer son interopérabilité avec d’autres langages et plateformes sont importantes. Il en est de même pour la compatibilité avec les infrastructures cloud qui prend une place de plus en plus grande.

Mes réponses à vos questions autour de Python

Quelles sont les principales forces de Python ?

Python se distingue par sa syntaxe simple et lisible, qui facilite l’apprentissage. Il dispose aussi d’une vaste collection de bibliothèques. Cela lui permet d’apporter des solutions rapides pour diverses tâches telles que le développement web et l’analyse de données. Enfin, sa communauté dynamique assure un support constant.

Quels défis rencontre Python actuellement ?

La principale limitation de Python concerne la performance comparée à certains autres langages, comme C++. Bien que Python se modernise, il reste moins adapté aux systèmes critiques où la vitesse est primordiale. De plus, les améliorations de l’infrastructure pour supporter des charges massives continuent d’être un enjeu.

Comment Python devrait-il évoluer pour rester compétitif ?

Porter l’accent sur la performance sera important, parallèlement à une intégration accrue de nouvelles technologies comme le cloud computing et l’intelligence artificielle. L’interopérabilité avec d’autres langages et une mise à jour régulière de l’interpréteur amélioreront également sa compétitivité.

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Les fans de flipper et d’exploration vont pouvoir retrouver Lara Croft sous un nouveau jour. Le 19 juin, Pinball FX VR enrichit son univers avec un DLC entièrement consacré à Tomb Raider.

Deux nouveaux plateaux inspirés de l’univers culte de Crystal Dynamics seront ajoutés au jeu. Le premier, intitulé Adventures of Lara Croft, nous emmène dans plusieurs pays traversés par l’archéologue. On y retrouve des lieux emblématiques comme le Tibet, le Pérou ou encore la Chine.

Côté gameplay, les joueurs devront maîtriser trappes piégeuses, rampes abruptes et une surface inclinée demandant précision et équilibre. Chaque zone est conçue pour rappeler l’esprit d’aventure et les défis physiques chers à Lara Croft.

Le second plateau, Secrets of Croft Manor, est plus intime mais tout aussi exigeant. Il se déroule dans le célèbre manoir familial. Le joueur devra y franchir des épreuves de combat, de réflexe et d’agilité afin de débloquer des zones secrètes et découvrir les mystères de la maison. Cette table mise sur l’exploration minutieuse, les enchaînements de mouvements et les découvertes inattendues.

Un hommage fidèle à l’univers Tomb Raider

Les développeurs de Zen Studios ont clairement voulu capturer l’essence même de la saga. Chaque élément visuel ou sonore est pensé pour rappeler l’esthétique originale des jeux. On reconnaît les personnages secondaires, les ambiances musicales, ainsi que des décors emblématiques de la série.

Ce DLC Tomb Raider de Pinball FX rejoint une liste déjà bien fournie de contenus inspirés de grandes licences pop culture. Les joueurs peuvent déjà profiter de tables inspirées de Star Trek, Indiana Jones, ou encore La Famille Addams.

Le nouveau pack sera exclusivement disponible sur Meta Quest, mais son prix reste à confirmer. Prévu pour le 19 juin, ce DLC devrait séduire à la fois les amateurs de flipper et les fans de Lara Croft. Une belle occasion de redécouvrir Tomb Raider, cette fois en tapant la bille au rythme des aventures.

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Comme si Oblivion Remastered ne suffisait pas, vous pouvez jouer au jeu en VR. Dès maintenant. Si vous avez un ordinateur de jeu solide, bien sûr. Mais comment y procéder ? On vous montre.

The Elder Scrolls IV: Oblivion Remastered est un jeu de rôle co-développé par Virtuos et Bethesda Game Studios, et édité par Bethesda Softworks. Il s’agit d’une remasterisation de The Elder Scrolls IV: Oblivion, sorti en 2006. Il est disponible sur Xbox Series X|S, Game Pass, PlayStation 5 et PC. Le jeu fait un carton, et se classe parmi les meilleures ventes sur Steam. Il a maintenant plus de 100 000 joueurs actifs en moyenne chaque semaine.

Ces derniers jours, on a commencé à voir des posts sur Oblivion Remastered en VR. Eh oui, le jeu se joue maintenant bel et bien en VR. Mais comment ? Nous vous conseillons de lire la suite de l’article pour en savoir plus.

Du Gamebryo à Unreal Engine 5 : la métamorphose d’Oblivion

Le studio Bethesda a apporté une amélioration très appréciée et visible sur le jeu. Il l’a façonné avec un nouveau moteur de jeu moderne, l’Unreal Engine 5, la boite à outils créée par Epic Games. A l’origine, Oblivion utilisait un ancien moteur appelé Gamebryo. Rappelons que ce dernier a servi à créer des jeux comme The Elder Scrolls IV: Oblivion, Fallout 3, et d’autres jeux de Bethesda.

Grâce à Unreal Engine 5, le jeu affiche des surfaces et des détails visuels plus nets. En outre, il présente des personnages plus beaux ou mieux faits avec des mouvements plus réalistes. Il a également un éclairage plus naturel. Pour couronner le tout, ce moteur rend le jeu plus facile à modifier pour les moddeurs.

Il faut savoir que les fans qui créent leurs propres ajouts ou changements pour un jeu le font grâce à au plugin UEVR (Universal Unreal Engine VR) de Praydog. Mais au fait, qu’est-ce que c’est exactement, ce fameux UEVR ?

Grâce à UEVR, vos jeux PC deviennent des aventures en VR

Avant d’entrer dans les détails sur la façon de jouer au jeu Oblivion : Remastered, il est important de s’attarder un peu sur le plugin UEVR. Tout d’abord, il a ses petites règles à suivre. Il marche avec les jeux développés sous Unreal Engine 4.8 à 5.4, des moteurs populaires derrière des titres célèbres.

Une fois installé, vous aurez droit à un suivi de la tête en 6DOF. En d’autres termes, vous pourrez bouger librement dans l’espace 3D et tourner la tête comme dans la vraie vie. Le rendu stéréoscopique natif d’Unreal Ungine booste l’immersion visuelle. Hormis cela, UEVR met à disposition plusieurs modes de rendu pour optimiser la performance, comme le rendu séquentiel ou l’AFR.

Pour utiliser UEVR, vous devez d’abord télécharger le mod sur le GitHub de Praydog, puis injecter le mod dans le jeu via l’outil UEVRInjector.exe. Ensuite, il ne vous reste plus qu’à configurer votre casque VR (compatible OpenVR ou OpenXR) et ajuster les paramètres comme bon vous semble.

Attention toutefois, le mod ne supporte pas tous les jeux ni tous les casques, et certains titres peuvent ne pas être compatibles à cause de protections anti-triche. Mais si tout se passe bien, le jeu se fera avec des contrôles de mouvement et même une perspective à la première personne, là où le jeu original ne les offrait pas !

Pour en connaître davantage sur l’UEVR de Praydog, nous vous invitons à lire notre dossier complet sur ce sujet.

Premiers pas en VR avec Oblivion Remastered : LunchAndVR nous montre tout

La chaîne YouTube LunchAndVR, passionnée de réalité virtuelle, a sorti une vidéo de gameplay de Oblivion Remastered en VR, le jour même de sa sortie. Bien sûr, cette version VR n’est pas officielle, mais elle a vu le jour grâce au travail des moddeurs Keyser, Pande4360 et praydog.

Dans la vidéo, on peut voir des séquences où le joueur parcoure des ruines et combat des ennemis emblématiques du jeu, comme des rats et des zombies. Côté visuels ? Le rendu est satisfaisant, avec des graphismes adaptés à la réalité virtuelle.

Les performances sont également au rendez-vous : le jeu tourne bien, et on ne constate ni ralentissements ni bugs graphiques. L’expérience est donc stable et agréable. Quant aux combats et aux sorts, les moddeurs l’ont bien intégré à l’univers VR.

Exigences matérielles du jeu

Pour jouer à Oblivion : Remastered en réalité virtuelle, il est nécessaire d’avoir une configuration assez puissante. Le jeu exige de bonnes performances graphiques, mais il est possible de jouer avec des paramètres moyens si vous activez le DLSS (une technologie qui optimise la qualité d’image sans ralentir les performances).

Vous pouvez utiliser un casque Quest 3, mais seulement si vous le connectez à un PC via Virtual Desktop en utilisant le runtime VDXR, réglé sur le mode « Ultra » pour des performances optimales.

Du côté du PC, pour faire tourner le jeu de manière fluide à 72 Hz (le taux de rafraîchissement), il vous faudra

• une NVIDIA RTX 4090 pour la carte graphique
• un Intel Core i9-13900 pour le processeur
• 64 Go de RAM

Avec cette configuration, vous allez profiter pleinement du jeu en VR.

Comment télécharger et configurer le mod UEVR ?

Pour jouer au jeu, la première étape est d’aller sur la page GitHub d’UEVR. Pour mémoire, c’est un site où les développeurs publient leurs projets et leurs codes. C’est là que vous trouverez la version officielle du mod.

Sur cette page, vous verrez aussi des instructions détaillées qui vous expliquent comment installer le mod. Il y a aussi un lien pour télécharger le mod. Une fois téléchargé, vous pourrez l’installer sur votre PC pour l’utiliser avec le jeu.

Vous pourrez rencontrer des difficultés pendant l’installation ou l’utilisation du mod. Heureusement, il y a une communauté de moddeurs prête à vous aider. Vous pouvez rejoindre le serveur Discord de Flatscreen to VR, un espace où des personnes partagent leurs expériences. Ce serveur est accessible depuis la page GitHub d’UEVR, donc vous pouvez facilement y aller.

Sur le serveur Discord, vous pouvez poser des questions et demander des conseils à d’autres utilisateurs qui ont déjà installé le mod.

Les retours sont majoritairement positifs. Certains disent que l’expérience visuelle en VR est supérieure à celle d’un écran traditionnel, surtout avec des casques de qualité tels que le Quest 3. Mais il est parfois nécessaire de faire des ajustements, par exemple sur l’augmentation du champ de vision (FOV).

Des utilisateurs déplorent aussi les limitations, notamment l’absence de support natif pour les contrôleurs de mouvement. N’oublions pas aussi le fait que la performance du jeu en VR est exigeante.

Avec UEVR, la réalité virtuelle n’est pas garantie pour tous les jeux

Avec UEVR, le mod de Praydog, vos jeux PC se jouent en réalité virtuelle. Ainsi, il ne vous faut rien de plus que votre jeu préféré et cet injecteur malin, facile à trouver en ligne. Une fois lancé, le mod ne demande pas de gros efforts : la configuration reste presque toujours la même.

Si vous vous habituez à l’interface (ce qui arrive vite), vous pouvez même créer vos propres réglages pour ajuster l’expérience à vos goûts les plus précis. Cerise sur le gâteau, la liste de jeux compatibles est plutôt réjouissante.

Vous pouvez redécouvrir Avowed, vous lancer dans The Elder Scrolls IV: Oblivion, ou gouter à l’expérience Final Fantasy VII sous un nouvel angle. Si vous êtes tenté par un petit tour en voiture, Grand Theft Auto: San Andreas est là, tout comme les monstres de Monster Hunter Rise. Vous préférez les ambiances sombres ? Essayez Silent Hill 2 Remake ou A Quiet Place: The Road Ahead. Même Star Wars Jedi Survivor, Outcast: A New Beginning et No One Wants to Die répondent à l’appel.

Il faut quand même le dire : certains jeux frôlent la réalité, d’autres sont un peu plus… faits maison. Mais ça fait partie du charme.

« Avec l’UEVR, certains jeux fonctionnent à merveille, tandis que d’autres sont loin d’être au niveau. Par exemple, j’ai testé Robo Recall et une fois que j’ai ajusté les paramètres, c’était presque comme un jeu VR natif. Ils sont même en train de le rendre officiel en VR. Mais pour d’autres titres, l’expérience a été bien moins convaincante» a partagé l’utilisateur de Reddit sur ce mod.

Au sujet du jeu Oblivion Remastered VR

Oblivion Remastered est un jeu de rôle en monde ouvert. Dans cette aventure, vous pouvez tout aussi bien sauver le monde que courir après un cerf en armure magique. L’histoire suit un héros chargé de fermer des portails démoniaques qui apparaissent un peu partout — ambiance vacances en enfer.

Vous y gouterez le plaisir de l’exploration et les combats à l’épée. On peut rejoindre des guildes, voler des pommes ou devenir champion d’arène, au choix. Il y a pleine de moments absurdes et chaque détour peut mener à une quête sérieuse ou complètement loufoque.

Cet article Votre guide pour jouer à Oblivion en VR avec UEVR a été publié sur REALITE-VIRTUELLE.COM.

Pimax agrandit sa famille avec le Dream Air SE et apporte une belle mise à jour au Dream Air. Le nouveau casque de la société mise sur des écrans Micro-OLED et le suivi oculaire, le tout à un prix bien plus doux.

Le 11 mai 2025, Pimax, spécialiste des casques de réalité virtuelle haut de gamme, a annoncé le lancement du Dream Air SE. Ce nouveau modèle est une version plus accessible du Dream Air, présenté récemment. Selon Pimax, il reprend plusieurs caractéristiques clés de son grand frère.

Ce nouveau casque bénéficie notamment d’une qualité d’image avancée et des technologies de pointe. Il utilise des écrans micro-OLED avec une résolution de 2 560 × 2 560 pixels par œil. C’est plus que suffisant pour offrir une image claire, et ça peut être meilleur que les écrans LCD ou OLED classiques, même en 5K.

Le Dream Air SE est équipé de lentilles pancake et propose un champ de vision de 90 degrés, tandis que le Dream Air classique va jusqu’à 105 degrés.

De plus, l’appareil a un système audio intégré. En d’autres termes, vous entendez le son directement depuis le casque. Une autre particularité du gadget est sa sangle auto-ajustable. Du coup, pas besoin de régler manuellement les sangles.

Le Dream Air SE suit aussi le mouvement de vos mains, et de vos yeux (grâce à la technologie de Tobii). Notons qu’il pèse moins de 150 grammes.  Le tout arrive à un prix bien plus attractif, pour attirer un public plus large.

Au sujet du prix et de la disponibilité du casque

Le Dream Air SE se décline en deux versions avec des prix bien distincts. La version SLAM, équipée du suivi de trajectoire et des contrôleurs, est disponible à 1 199 $. Si vous préférez la version Lighthouse sans contrôleurs, vous pourrez l’acquérir pour 899 $. Deux options, pour s’adapter à différents besoins et budgets.

Les deux versions du casque devraient sortir entre août et début septembre 2025. En attendant, il est déjà possible de les précommander sur le site de Pimax. Les prototypes sont actuellement en phase de test, ce qui signifie que le lancement approche à grands pas.

Pimax a aussi apporté de belles mises à jour au casque Dream Air. Cela inclut une meilleure expérience VR avec des panneaux Sony Micro-OLED haute résolution, des lentilles pancake et un suivi complet.

Cet article Pimax lance le casque VR Dream Air SE, léger et puissant a été publié sur REALITE-VIRTUELLE.COM.

Shadow PC tente de renouveler l’offre du jeu vidéo. Opérationnel depuis quelques années déjà, il offre aux joueurs un accès complet à une vaste bibliothèque de jeux en streaming. Voici tout ce qu’il faut savoir sur cette application.

Les services de cloud gaming commencent en ce moment à occuper une place importante dans l’univers du jeu vidéo. Les géants du gaming Nvidia et Microsoft sont déjà dans la course, tandis que d’autres se préparent à les rejoindre. Parmi les services bien établis, le français Shadow propose plusieurs offrent capablent d’intéresser les amateurs de jeux vidéo. En particulier ceux qui ne sont pas prêts à mettre 1 000 € dans une carte graphique. Voici tout ce qu’il faut savoir sur cette Rolls Royce des jeux vidéo en streaming.

Shadow PC : c’est quoi concrètement ?

Shadow PC est un service de cloud computing qui donne aux joueurs un accès virtuel à un PC dans le nuage. L’application diffuse ce dernier sur n’importe quel appareil. Bien entendu, cet ordinateur dématérialisé est accessible via Internet.

Ultra puissante, cette machine permet de faire tourner les jeux PC les plus gourmands en ressources. Fonctionnant sous Windows 10, elle permet de profiter d’une expérience de jeu ultime.

Ce fameux PC embarque les spécifications de base suivantes : processeur Intel Xeon à huit threads, 12 Go de RAM et un disque SSD de 256 Go. Il s’équipe d’une carte graphique Nvidia GTX 1080. Bien entendu, les gamers peuvent obtenir un PC encore plus puissant en optant pour les formules plus onéreuses. Celles-ci sont à découvrir ci-dessous.

Des performances fiables

Lorsqu’on joue à des jeux vidéo en streaming sur Shadow PC, on a toujours accès à la totalité de la puissance de traitement du PC virtuel haut de gamme. Pour cela, Shadow partitionne ses serveurs dans le but de fournir toute la puissance à chaque joueur.

Peu importe le nombre de joueurs, les performances ne changent donc pas. Quant au SSD de 256 Go pour la configuration de base, il peut sembler insuffisant notamment pour jouer à des jeux AAA récents. Cependant, l’application permet de télécharger de nouveaux jeux à une vitesse de 1 Go par seconde. Cette vitesse dépasse largement celle d’une connexion internet domestique. En somme, le service de cloud reste fiable, à condition d’avoir une bonne connexion.

Peut-on profiter de Shadow PC n’importe où ?

Il ne suffit pas d’avoir une bonne connexion internet pour jouer à des jeux vidéo en streaming sur Shadow PC. Il faut savoir en effet que, pour le moment, l’application n’est encore disponible que dans huit pays différents.

Il s’agit de la France bien sûr, de la Belgique, du Royaume-Uni, de la Suisse, de l’Allemagne, des Pays-Bas, du Luxembourg et des États-Unis. Il convient de noter que pour ce dernier pays en particulier, le service ne fonctionnait auparavant que dans quelques États.

Néanmoins, Shadow a annoncé un nouveau plan tarifaire, et compte ensuite étendre le service aux États restants. Il convient de noter que le service fonctionnera en « mode exploration ».

Shadow PC : quels sont les appareils compatibles ?

Shadow PC peut fonctionner sur presque tous les appareils. Il prend en charge les PC, les Mac, les appareils mobiles fonctionnant sous Android et iOS, et même Ubuntu.

Par conséquent, les exigences matérielles locales de l’application sont presque nulles. Elle se concentre davantage sur le système d’exploitation. Pour l’exécuter, il suffit de s’assurer que l’appareil dispose des logiciels les plus récents.

Shadow fonctionne sous Windows 7, 8.1 et 10 64 bits, macOS 10.10 ou ultérieur, iOS 11.0 ou ultérieur, Android 7.0 ou ultérieur et Ubuntu 18.04. Soulignons qu’il permet de passer d’un appareil à l’autre en quelques secondes seulement. Le joueur peut passer d’un téléphone à un ordinateur portable, par exemple, et reprendre là où il s’est arrêté.

Qu’en est-il de la connexion internet nécessaire ?

Contrairement aux appareils, le PC Shadow a quelques exigences en matière de connexion internet. En effet, le joueur doit impérativement disposer d’une connexion haut débit FTTB ou FTTH.

Certes, le service peut fonctionner avec une connexion haut débit ADSL, mais cette solution n’est pas vraiment recommandée. Ce qui compte, c’est que la vitesse de connexion ne descende pas en dessous de 15 Mbps. Pour une meilleure expérience, elle devrait même dépasser 25 Mbps.

Notez que Shadow fonctionne aussi bien avec des connexions filaires que sans fil. Cependant, le Wifi est plus recommandé pour réduire la latence.

Quid de la latence ?

À propos de latence, elle constitue l’une des principales préoccupations des joueurs lorsqu’il s’agit de diffuser des jeux vidéo en continu. Shadow PC ne présente pas de difficultés de latence.

Cependant, il se peut qu’on rencontre des problèmes de fréquence d’images lorsqu’on joue à un jeu sur l’application. Selon Shadow, la cause probable de ces soucis est l’éloignement du serveur le plus proche de l’utilisateur.

Aussi, l’expérience peut légèrement varier d’un joueur à l’autre suivant la connexion internet qu’il utilise et son infrastructure.

Néanmoins, le service fonctionne assez bien. Il permet d’exécuter des jeux avec une résolution 4K à 60Hz. Pour une résolution 1080p à 144 Hz, le rendement se révèle bien supérieur.

À propos de la bibliothèque de jeux

Étant donné qu’on parle ici de cloud computing et non seulement de cloud gaming, le joueur peut personnaliser son expérience Windows comme bon lui semble. Après la personnalisation, il peut télécharger sa plateforme de jeu PC préférée, qu’il s’agisse d’Origin, d’Uplay, de Steam ou encore d’Epic Games Store.

Bien entendu, il peut jouer directement aux jeux dont il dispose sur ses différents comptes sur Shadow. Pour jouer à de nouveaux jeux, il n’a qu’à en acheter sur les mêmes plateformes comme habituellement.

Grâce à une telle fonctionnalité, le joueur a ainsi droit à une vaste bibliothèque de jeux sur son PC ultra puissant dans le cloud. Il est bon de préciser que pour les appareils mobiles, Shadow propose une application du même nom à télécharger et à y installer pour qu’il soit opérationnel. Aussi, on peut utiliser les différents contrôleurs pour jouer, à savoir un DualShock 4, une manette Xbox One, etc., tant qu’ils sont compatibles avec son appareil.

Abonnement Shadow PC

Whadow PC propose des abonnements adaptés à tout type de gamer. Actuellement, la plateforme propose trois plans tarifaires dont Discovery, Boost et Power :

Le plan Discovery est disponible à seulement 19,99 euros par mois. Vous pouvez l’adopter si votre PC arbore un GPU NVIDIA GTX, avec un chipset Intel Xeon 4 vCores et un RAM de 6Go. Le plan Discovery permet d’obtenir un stockage pouvant atteindre 5 To de données.

Si vous disposez d’un PC propulsé par un chipset Intel Xeon 8 vCores, dont la mémoire vive est de 12 Go, vous pouvez obtenir le plan Boost. Son prix s’élève à 29,99 euros par mois. Cette offre permet d’obtenir jusqu’à 5 To de données. Notons que le plan Boost est compatible avec un PC arborant un GPU NVIDIA GTX 1080 (P5000).

Enfin, le plan Power est disponible à ceux qui disposent d’un PC avec un GPU NVIDIA RTX A4500, un CPU AMD EPYC 8 vCores et un RAM de 28Go. Vous pouvez obtenir un abonnement en payant 49,98 euros par mois.

La solution VR de Shadow PC

Comme tous les autres acteurs du marché, Shadow connaît des problèmes liés à une pénurie. Trouver des cartes graphiques compatibles s’avère donc très compliqué. Ainsi, l’entreprise française a dû attendre jusqu’à l’été 2022 pour bénéficier d’une offre performante. Mais en attendant, les équipes chargées du développement avaient confié une évolution des fonctions. Notamment au niveau des solutions et applications proposées qui composent sa gamme. 

Ainsi, l’application Android permet désormais de bénéficier d’une compatibilité améliorée avec les manettes ainsi qu’un support plus affiné des résolutions d’écran. Pour Shadow, cette avancée a permis de rattraper 1 an de mise à jour.

Le 10 février 2022, l’équipe de Shadow a annoncé la disponibilité de la version VR de l’application Shadow. Celle-ci est compatible avec Oculus Quest 1 et 2. Cette configuration offre la possibilité de ne pas utiliser de PC puisque l’application fonctionne directement sur le casque VR.

Le flux de l’application se gère automatiquement et sa définition correspond à celle de l’Oculus Quest avec une performance de 72 fps. Il s’agit d’une toute première version, mais Shadow annonce déjà des améliorations pour les années à venir. 

Pour profiter de Shadow VR, il faut avoir un compte Steam installé sur Shadow et utiliser l’interface SteamVR.

 

Le fondateur OVHCloud Octave Klaba acquiert Shadow

Très heureux d’avoir été retenu par le Tribunal de Commerce de Paris pour le 1UP de @Shadow_France !

L’ambition est simple : bâtir la meilleure offre du Cloud Gaming au Monde ! On a désormais tout dans 1 seule boite: équipe talentieuse, aucun souci de CAPEX, le marché mondial ! pic.twitter.com/Yz3RlV02dy

— Octave Klaba (@olesovhcom)

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Malgré son succès, Shadow n’a pas réussi à atteindre la rentabilité avec Shadow. Au bord de la faillite, l’entreprise a dû chercher un acquéreur pour que son service de Cloud Gaming subsiste. A cet effet, le Tribunal de Commerce de Paris a choisi le fondateur d’OVHCloud, Octave Klaba pour reprendre le flambeau.

En fait, plusieurs acquéreurs potentiels intéressés avaient aussi émis leurs propositions comme Scaleway, un autre géant français du Cloud.

La firme s’était alliée au CTO de l’entreprise anciennement connue sous le nom de Blade, Jean-Baptiste Kempf, pour formuler une offre. Octave Klaba a fait le choix de garder tous les effectifs de l’entreprise à l’exception de Kempf.

Fondée en 1999, OVH est leader français de l’hébergement web, mais désormais aussi et surtout du Cloud Computing. Ambitieuse, la firme s’est fixé pour objectif de rivaliser avec les leaders mondiaux du Cloud comme AWS, Google ou Microsoft.

L’acquisition de Shadow pourrait lui permettre de marquer des points sur le champ de bataille. Le Cloud Gaming est une technologie en plein essor, qui pourrait devenir l’une des principales applications grand public de l’informatique en nuage.

Les GAFAM l’ont compris, et s’y intéressent eux aussi de près. Google a lancé sa plateforme Stadia, Microsoft vient également de lancer un Cloud Gaming Xbox, et Amazon a annoncé son service Luna.

Créer un service de gaming cloud le plus performant au monde 

De son côté, Octave Klaba affiche son ambition de créer le meilleur service de Cloud Gaming du monde. Bien qu’il s’agisse d’un pari audacieux, l’entrepreneur se dit confiant grâce à une équipe talentueuse et un budget sans réelle limite.

Pour convaincre le Tribunal de Commerce, Jezby Ventures a dévoilé son projet visant à acheter les serveurs que Shadow n’a pas réussi à payer pour les vendre à OVHCloud. La maison mère se chargera ensuite de louer à nouveau les serveurs pour le service Shadow.

En parallèle, la technologie de streaming pourrait être utilisée pour hubiC, le service de stockage Cloud grand public d’OVH, également acquis par le fonds Jezby Ventures après sa fermeture en 2018.

Par la suite, ces deux entreprises combinées pourraient s’étendre à d’autres catégories de services Cloud au-delà du gaming. Selon Klaba, “c’est un cycle de 20 d’innovations en SaaS qui commence” …

Peut-on tester Shadow PC gratuitement ?

Shadow PC n’offre pas la possibilité de tester gratuitement sa solution. En revanche, elle permet de résilier l’abonnement. En effet, durant les 14 premiers jours, les utilisateurs peuvent mettre fin à leur abonnement et se faire rembourser l’intégralité de leurs frais. Sans pour autant constituer un véritable essai gratuit, cela peut donner une idée du fonctionnement de la plateforme. En outre, cela permet de vérifier la compatibilité avec la connexion Internet. Il suffit d’accepter de payer pour un mois et d’être remboursé par la suite.

Fonction du double écran

Largement réclamé par la communauté Shadow, le double écran est désormais disponible avec Shadow. À noter que l’entreprise a mis cinq ans pour l’implémenter dans sa plateforme. Voici comment faire.

D’abord, il faut se rendre dans le menu rapide de Shadow. Sur cette page, il faut cliquer sur la section Affichage et sur le bouton Activer le double écran. Une autre possibilité pour démarrer le double écran automatiquement consiste à cocher la case appropriée juste en dessous de la première option.

Shadow tient à préciser qu’en choisissant de répartir l’application sur deux écrans, la bande passante allouée au service de cloud gaming est également divisée par deux.

Les nouvelles offres de Shadow

Shadow a conçu une offre destinée aux gamers leur permettant de bénéficier d’un PC puissant fonctionnant sous Windows. Il leur suffit d’installer leurs jeux ou leurs applications pour les utiliser à leur guise, comme sur n’importe quel ordinateur. Tout ce processus se déroule sur le cloud. Pour y avoir accès, il faut télécharger l’application.

Shadow a par ailleurs négligé l’un des principaux moyens d’accès : le Web. Mais ce problème est désormais résolu. Tous les clients Shadow ont depuis fin juillet 2023 la possibilité de se connecter à leur machine via un navigateur web. Ainsi, l’accès devient beaucoup plus commode, même depuis une autre machine.

Shadow Power

Shadow propose une formule d’abonnement appelée Power. Cette option permet à SHADOW d’atteindre son objectif. En effet, cette société souhaite continuer à offrir une offre complète pour répondre aux besoins de chaque utilisateur tout en proposant une solution à un prix raisonnable. SHADOW ne cesse de faciliter l’accès à un ordinateur doté des composants les plus avancés depuis le cloud. Et ce, sans avoir besoin d’un appareil supplémentaire.

Les solutions alternatives au service Shadow PC

Le secteur du cloud gaming offre plusieurs alternatives notables au service Shadow pc. Si le domaine du cloud computing reste relativement concentré, celui du jeu vidéo en streaming propose davantage d’options aux utilisateurs.

Parmi les concurrents majeurs figure xCloud, la plateforme intégrée à l’abonnement Xbox Game Pass Ultimate. Cette solution donne accès à une bibliothèque complète de titres sans frais supplémentaires au-delà de la souscription principale. Cette formule s’apparente au modèle économique de Netflix pour les contenus audiovisuels, avec un catalogue accessible immédiatement, contrairement à l’approche d’acquisition individuelle des jeux caractéristique de Shadow.

Une autre option significative existe avec Geforce Now, développée par le leader mondial des processeurs graphiques. Ce service présente une philosophie comparable à celle de Shadow, mais bénéficie du savoir-faire technique d’un fabricant spécialisé dans les composants graphiques haut de gamme. Malgré cette différence structurelle, l’expérience utilisateur reste fondamentalement analogue entre ces deux plateformes.

Ces alternatives illustrent la diversification progressive du marché du cloud gaming, chacune propose des spécificités techniques et commerciales distinctes et partage l’objectif commun de rendre les jeux vidéo accessibles sans nécessiter un équipement personnel onéreux.

Shadow PC : les mises à jour majeures en 2025

Pour répondre aux attentes des utilisateurs en matière de performances et de compatibilité, Shadow PC continue d’innover. Parmi les nouveautés majeures, nous pouvons citer l’arrivée de Windows 11 sur les offres Ultra, Infinite et Power. Ce changement permet aux utilisateurs de profiter d’une interface plus moderne. Les améliorations de sécurité et une meilleure prise en charge des applications récentes accompagnent également ces mises à jour.

Mais il y a aussi une autre avancée importante, qui est l’introduction de la configuration Neo Boost. Celle-ci a pour objectif d’offrir une expérience fluide et à jour, tout en conservant un bon rapport qualité-prix. De ce fait, les utilisateurs pourront migrer vers Windows 11 s’ils n’ont pas pu le faire auparavant. Nous pensons donc que c’est un pas en avant de plus pour garantir la pérennité du service.

Parallèlement, Shadow renforce sa collaboration avec sa communauté via un programme bêta actif. Ce programme donne un accès anticipé aux futures fonctionnalités et mises à jour de l’application Shadow. Ce qui permet aux utilisateurs de tester, donner leur avis et contribuer directement à l’amélioration du service.

Cet article Shadow PC : tout ce qu’il faut savoir sur la plateforme de gaming cloud a été publié sur REALITE-VIRTUELLE.COM.

Le géant de la tech Meta accélère la création de contenu 3D avec AssetGen 2.0. C’est un nouveau modèle d’intelligence artificielle (IA). Et il a le pouvoir de transformer de simples textes ou images en objets 3D réalistes. Les résultats sont plus détaillés et fidèles que la version précédente. On vous livre tous les détails sur cette nouveauté !

Meta lance AssetGen 2.0, une IA pour la création 3D. Le modèle repose sur un processus en deux étapes. D’une part, l’IA génère plusieurs images 2D à partir d’un simple texte. Ces images montrent l’objet sous différents angles. Elles comprennent des versions ombrées et des couches d’albédo. Elles servent aussi de base à la construction du modèle 3D.

D’autre part, l’IA reconstruit un maillage 3D précis à partir de ces images. Le maillage est enrichi de matériaux PBR, pour un rendu réaliste. Ces matériaux incluent l’albédo, le métal et la rugosité. Ils assurent un bon éclairage et une bonne intégration visuelle. AssetGen 2.0 permet ainsi de créer facilement des objets 3D de qualité.

L’une des super-pouvoirs d’AssetGen 2.0 ? Créer non seulement des objets, mais aussi des mondes virtuels entiers. Que vous soyez pro du développement ou artiste en rodage, AssetGen 2.0 est là pour faire le travail technique pendant que vous créez votre monde de rêve.

Cette technologie fait gagner un temps fou : plus besoin de bloquer des journées entières pour créer une simple skybox ou une texture sympa. Par ailleurs, avec AssetGen 2.0, la collaboration devient un jeu d’enfant. Chacun peut apporter sa touche, peu importe son niveau, pour construire des univers originaux à plusieurs mains.

AssetGen 2.0 corrige les limites de la création 3D sur Horizon Worlds

Le mois dernier, Meta a permis la création d’environnements 3D via texte dans Horizon. Cette fonctionnalité a rendu plus simple la conception pour tous, et cela, sans expertise requise. Toutefois, la qualité visuelle restait limitée, un point qu’AssetGen 2.0 vient corriger.

Meta indique dans son blog développeurs que cette nouvelle version s’inscrit dans la continuité d’AssetGen 1.0. AssetGen 2.0 pourrait faire un véritable carnage dans la création sur Horizon Worlds et Avatar de Meta !

Cette nouveauté fait partie du plan secret de Meta pour rendre ses mondes virtuels encore plus impressionnants. Les créateurs peuvent s’attendre à l’outil d’ici la fin de l’année. Ce modèle d’IA tourne pour l’instant à huis clos chez Meta.

Cet article Meta lance AssetGen 2.0, un outil puissant de création 3D a été publié sur REALITE-VIRTUELLE.COM.