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Nintendo publie une mise à jour de la Switch 2 et les accessoires non officiels cessent de fonctionner

Après des signalements antérieurs concernant des solutions inhabituelles pour la prise en charge des accessoires externes via USB-C, la dernière mise à jour logicielle de la Nintendo Switch 2 a introduit de nouvelles restrictions. De nombreux possesseurs de consoles constatent que leur appareil ne fonctionne plus avec les stations d'accueil tierces. Le problème s'est largement répandu sur les réseaux sociaux, et le subreddit r/Switch regorge de plaintes. Ce n'est pas la première fois que Nintendo bloque les accessoires externes . Nintendo dément bloquer intentionnellement les accessoires externes, mais certains membres de la communauté doutent de ces affirmations. Des utilisateurs soulignent que la Switch 2 utilise non seulement un signal USB inhabituel, mais aussi un mécanisme s'apparentant à une authentification matérielle. L'analyse du comportement antérieur de la console suggère que l'appareil reconnaît les signaux spécifiques aux périphériques officiels Nintendo et y répond parfaitement, tandis que les stations d'accueil externes ne les activent souvent que partiellement, voire les bloquent complètement. La différence de prix entre les stations d'accueil officielles et celles de marques tierces alimente les doutes. La station d'accueil officielle de la Nintendo Switch 2 coûte 124,99 $ et est difficile à trouver. Parallèlement, les alternatives les plus populaires disponibles sur Amazon sont quatre fois moins chères. De nombreux joueurs soupçonnent Nintendo de chercher à conserver sa position dominante sur le marché des accessoires en limitant la disponibilité d'alternatives bon marché. Ils soulignent également que de tels problèmes ne se posaient pas avec la Switch de première génération, qui était bien plus compatible avec les périphériques tiers. Malgré la confusion, des signes d'espoir apparaissent. Le fabricant de la station d'accueil Siwiqu, très populaire, a publié une mise à jour du firmware qui rétablit toutes ses fonctionnalités. NEXT a également annoncé préparer son propre correctif. Les utilisateurs ayant acheté des stations d'accueil sans la marque ni le support du fabricant se trouvent dans une situation encore plus délicate. Faute de documentation et de communication, leurs appareils resteront probablement inutilisables. (Lire la suite)
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Test King of Ping Pong : MEGAMIX (PS5) - Quand le ping pong rencontre Punch-Out

Développé par Suspicious Jam, King of Ping Pong: MEGAMIX est un jeu de ping-pong original qui utilise la vue à la première personne pour proposer une série de défis 3D légers. Vous vous souvenez de Punch Out ? Eh bien, King of Ping Pong: MEGAMIX en est le reflet, sauf qu'au lieu de boxer, on y joue au ping-pong. En résumé, le titre propose une série de tournois de difficulté croissante où nos adversaires se distinguent. Ils constituent d'ailleurs l'élément le plus soigné du jeu et, bien que potentiellement discrets, ils se distinguent par leur esthétique et leur talent. De plus, ils ont des « pouvoirs » alors que nous… n'en avons pas. Ou plutôt, nos possibilités sont considérablement réduites par rapport à eux, et c'est tout l'intérêt du défi arcade du jeu . Hormis la voix répétitive du présentateur et les biographies courtes et fugaces de nos adversaires uniques, King of Ping Pong: MEGAMIX ne propose aucune narration. Et c'est un peu dommage, car les joueurs auraient pu donner plus de vie aux combats, rendant les combats plus palpitants. En l'état actuel des choses, le titre brille uniquement par son style et le caractère unique des ennemis , malheureusement en nombre limité : cinq . Eh oui, il n'y en a que cinq, et malgré plusieurs tournois disponibles, les adversaires seront toujours les mêmes, avec une difficulté croissante. Et en parlant de difficulté , sachez que King of Ping Pong: MEGAMIX ne lésine pas sur les moyens. C'est un jeu d'arcade à l'ancienne, résolument stimulant, qui exige une réflexion rapide et une précision extrême, ainsi qu'une adaptation rapide à la physique imprévisible du jeu. Inutile de préciser que, comme nous le verrons dans la section suivante, les ennemis que nous affronterons se démarquent une fois de plus du reste du jeu, offrant une bonne variété de gameplay ! (Lire la suite)
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Ubuntu bénéficiera de 15 ans de mises à jour. Il s'agit du support Linux le plus long jamais proposé.

Canonical franchit une nouvelle étape vers une longévité exceptionnelle pour les systèmes Linux d'entreprise. Un an seulement après avoir étendu le support technique d'Ubuntu LTS à 12 ans, l'éditeur annonce une nouvelle extension. Le nouveau paquet Legacy porte la durée de vie totale de la distribution Ubuntu à un record de 15 ans. L'annonce de Canonical ne laisse place à aucune interprétation. Ubuntu LTS bénéficiera de correctifs de sécurité pendant quinze ans à compter de sa sortie, à condition que l'utilisateur utilise le programme payant Ubuntu Pro et l'extension Legacy. L'entreprise présente cela comme une extension du modèle introduit en 2024, lorsque la durée du support a été étendue de dix à douze ans. Désormais, chaque version LTS pourra rester en circulation encore plus longtemps, y compris Ubuntu 14.04 Trusty Tahr qui, au lieu d'atteindre sa fin de vie prévue en 2026, recevra des mises à jour jusqu'en 2029. Extended Care inclut un forfait de maintenance de sécurité étendu. Les clients associent certains appareils à leur compte Ubuntu Pro et peuvent ainsi maintenir même les installations les plus anciennes sans risquer qu'elles deviennent une porte d'entrée pour les cyberattaques. Canonical compare ouvertement son nouveau modèle à ceux de ses principaux concurrents. Red Hat Enterprise Linux est fourni avec cinq ans de mises à jour complètes, suivis de cinq années de support limité, puis de trois années supplémentaires de support étendu (sans mises à jour). Les clients peuvent toutefois acquérir deux années de mises à jour supplémentaires grâce à l'option Extended Update Support. Dans le meilleur des cas, Red Hat assure la maintenance du système pendant douze ans. SUSE offre treize ans de support, incluant le programme LTSS qui permet d'utiliser un même Service Pack SLES pendant trois années supplémentaires après sa durée de vie initiale. Canonical fait encore mieux avec quinze ans de support, ce qui en fait le fournisseur Linux commercial offrant la plus longue durée de support sur le marché. Concrètement, le support étendu signifie la capacité de maintenir les systèmes de production en fonctionnement sans modification pendant quinze ans. Dans le monde des installations industrielles, des systèmes embarqués, des infrastructures gouvernementales et financières, et des équipements médicaux, c'est crucial. Les organisations peuvent ainsi planifier des migrations moins fréquentes et la gestion des environnements complexes devient plus prévisible. Canonical souligne que le nouveau cycle inclura également la future version 26.04 LTS qui, si le package complet est acheté, sera théoriquement prise en charge jusqu'en 2041. (Lire la suite)
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Le RGPD sera affaibli. L'Union européenne cède aux géants du numérique.

L'Union européenne s'apprête à vivre une semaine charnière pour sa politique numérique. Bruxelles prévoit d'annoncer une série de modifications réglementaires concernant l'intelligence artificielle et la protection des données, et l'ampleur de cette annonce suscite déjà de violentes manifestations. Il s'agit du premier recul aussi important de la réglementation en vigueur depuis l'entrée en vigueur du RGPD. Ces changements ont été présentés comme une tentative de réduire les lourdeurs bureaucratiques que les entreprises européennes dénoncent comme un grief majeur. Ces dernières affirment que, face à la concurrence des États-Unis et de la Chine, leur croissance est freinée. Cependant, les critiques y voient un risque sérieux et le signe que la compétitivité prime désormais sur la protection des citoyens. Bruxelles réfute toute accusation d'influence de l'administration américaine, bien que sa politique ait suscité l'ire de la Maison-Blanche et des géants technologiques américains. Les autorités insistent sur le fait que les demandes émanent principalement d'entreprises européennes qui réclament un accès facilité aux données nécessaires à l'entraînement des modèles d'intelligence artificielle. La réalité politique est cependant plus complexe. Ces changements interviennent dans un contexte de tensions diplomatiques croissantes et de pressions grandissantes de la part du secteur technologique, tant en Europe qu'aux États-Unis. À cela s'ajoutent les mises en garde du président Donald Trump concernant une « réglementation européenne excessive et néfaste ». Le projet de modifications comprend un élément susceptible de séduire l'Europe. La Commission prévoit de supprimer l'obligation d'afficher les bannières de cookies, qui agacent les utilisateurs depuis des années. Elles seront remplacées par un modèle de gestion du consentement plus discret. Cependant, il ne s'agit là que d'un fragment d'une réforme plus vaste. La proposition la plus controversée consiste à restreindre la définition des données personnelles et à autoriser leur traitement à des fins d'intérêts commerciaux légitimes, notamment pour l'entraînement des modèles d'IA. Pour le secteur technologique, cela ouvre la voie à d'immenses entrepôts de données. Pour les défenseurs des droits numériques, c'est un signal d'alarme. Suite à la publication du projet de texte, la Commission a reçu une lettre signée par 127 organisations sociales et syndicales. Les signataires le qualifient de « plus grande restriction des droits numériques de l'histoire de l'UE ». Max Schrems, l'un des militants européens les plus influents en matière de protection de la vie privée, met en garde contre une « violation sans précédent des principes fondamentaux de la protection des données ». Les autorités affirment que ces changements ne réduiront pas le respect de la vie privée, mais les inquiétudes croissantes indiquent que la bataille concernant la version finale de la loi ne fait que commencer. Le projet de loi propose également un report d'un an de l'application de certaines réglementations relatives à l'IA. Il s'agit notamment des systèmes à haut risque, tels que les modèles ayant un impact sur la sécurité, la santé et les droits fondamentaux. Au lieu d'entrer en vigueur l'année prochaine, ces réglementations devraient être mises en œuvre en 2027. Cette décision reflète les pressions exercées par des entreprises telles qu'Airbus, Lufthansa et Mercedes-Benz, qui avaient averti cet été que la forme actuelle de la loi sur l'IA nuirait à l'innovation et prolongerait les processus de développement. La présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, est désormais confrontée à une tâche ardue. Pour entrer en vigueur, les réformes doivent être approuvées par le Parlement européen et les États membres. Les premières dissensions apparaissent au sein même de son camp. Les socialistes rejettent tout report, tandis que les centristes mettent en garde contre toute ingérence susceptible d'affaiblir les normes européennes en matière de protection de la vie privée. L'organisation noyb a publié une analyse approfondie décrivant l'impact potentiel de ces changements. Selon ses auteurs, les réformes ouvriront la voie à une plus large « absorption des données européennes » par les entreprises américaines. Bruxelles affirme qu'il ne s'agit pas de déréglementation, mais de « simplification ». Cependant, la pression extérieure sur l'Europe s'accroît. L'administration américaine critique la réglementation européenne en matière d'IA depuis le début de l'année. Parallèlement, l'Europe commence à analyser ses propres obstacles. Un rapport préparé par l'ancien Premier ministre italien Mario Draghi indique que la réglementation actuelle sur les données pourrait freiner le développement des entreprises locales spécialisées dans l'IA. (Lire la suite)
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YouTube et TikTok pourraient disparaître d'Australie. L'Union européenne se félicite de la nouvelle loi.

Les utilisateurs australiens des réseaux sociaux sont confrontés à la perspective de changements extrêmement restrictifs. À compter du 10 décembre 2025, certains des sites les plus populaires, dont YouTube et Reddit, risquent d'être bloqués à l'échelle nationale. Tout dépendra de la rapidité avec laquelle les entreprises technologiques mettront en place des systèmes de vérification de l'âge, considérés par le gouvernement comme le seul moyen acceptable de limiter l'accès des mineurs aux contenus en ligne. Ces modifications sont introduites par la loi australienne de 2024 sur la sécurité en ligne (âge minimum pour les réseaux sociaux), qui étend la réglementation en vigueur depuis 2021. L'objectif est de limiter l'accès des personnes de moins de 16 ans aux contenus que le gouvernement juge potentiellement dangereux. Contrairement à la loi britannique sur la sécurité en ligne, la loi australienne fait peser la responsabilité directement sur les plateformes, et non sur les utilisateurs ou les parents. Les entreprises doivent mettre en place des systèmes de vérification d'âge extrêmement précis. Le gouvernement n'acceptera ni les déclarations des utilisateurs, ni les formulaires simplifiés, ni les solutions facilement contournables. Si les fournisseurs de services ne respectent pas les délais, l'accès aux services sera suspendu à l'échelle nationale. Les utilisateurs ne disposant pas de VPN pourraient alors se retrouver dans l'impossibilité d'utiliser des services devenus indispensables à leur communication quotidienne. Actuellement, l'interdiction concerne YouTube, Reddit, Facebook, Instagram, Snapchat, Threads, TikTok et X. Discord et WhatsApp n'y figurent pas, même si le gouvernement n'exclut pas d'étendre la réglementation. Concrètement, cela signifie que la grande majorité des réseaux sociaux les plus populaires doivent développer de nouveaux systèmes d'identification des utilisateurs. La ministre des Communications, Anika Wells, a décrit la situation comme une épreuve pour la détermination des entreprises technologiques. Elle a souligné que les mêmes outils qu'elles utilisent pour profiler les audiences peuvent servir à vérifier l'âge et à restreindre l'accès des mineurs. Les réactions internationales sont mitigées. Ursula von der Leyen a exprimé un avis très favorable sur l'approche australienne, ce qui a alimenté les spéculations quant à d'éventuelles modifications du droit européen. Cependant, les experts soulignent que les plateformes mondiales devront repenser leurs services afin de permettre une mise en œuvre simultanée dans de nombreuses régions du monde. Un tel scénario pourrait transformer en profondeur le fonctionnement des réseaux sociaux à l'échelle planétaire. Les Australiens se tournent de plus en plus vers les VPN, qui servaient jusqu'à présent principalement à contourner les restrictions géographiques des services de streaming. Désormais, ils pourraient devenir le seul moyen d'accéder au contenu de certaines plateformes. Cette tendance alimente le débat sur l'efficacité même de la loi, car le gouvernement prévoit de bloquer directement les services, et non le trafic réseau chiffré. (Lire la suite)
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Les copies piratées de Windows cessent de fonctionner. Microsoft sort l'artillerie lourde.

Microsoft a corrigé une faille de sécurité dans Windows qui permettait l'activation de copies piratées du système d'exploitation et d'Office. Cette correction s'inscrit dans le cadre de la lutte menée depuis des années par l'entreprise de Redmond contre le piratage, un fléau qui représente un défi non seulement pour le fabricant, mais aussi pour les autres développeurs de logiciels . L'outil KMS38, développé par le groupe Massgrave, permettait d'activer Windows et la suite Office sans licence légale. Ce programme était disponible au téléchargement sur GitHub et Azure DevOps. Les utilisateurs pouvaient ainsi contourner facilement les mesures de sécurité, activer illégalement les logiciels Microsoft et même utiliser les dernières mises à jour. Ce service n'est plus accessible depuis. La dernière mise à jour, publiée lors du Patch Tuesday de novembre 2025, corrige une faille de sécurité de Windows qui permettait l'utilisation de l'outil. Les utilisateurs ayant activé le logiciel de cette manière ont commencé à recevoir un message leur demandant d'acheter une licence légale. D'après les informations disponibles, KMS38 a été bloqué et les copies piratées ont été désactivées. Malgré cela, Massgrave ne baisse pas les bras. Dans un récent journal des modifications, les développeurs ont indiqué que les utilisateurs peuvent toujours recourir à d'autres méthodes d'activation, telles que HWID (Hardware ID) ou TSforge. Bien que l'outil KMS38 soit actuellement bloqué, les développeurs sont confiants de trouver une solution pour contourner ce blocage à l'avenir. Le logiciel KMS38 était lui-même controversé car il pouvait infecter les ordinateurs avec un logiciel malveillant. Cependant, les utilisateurs pouvaient vérifier eux-mêmes le code source et s'assurer qu'il était exempt de virus. Nombreux sont ceux qui affirment que Microsoft, confronté au problème du piratage, s'est montré trop indulgent envers les copies illégales de ses systèmes d'exploitation. Bill Gates a même admis que le piratage avait contribué à populariser Windows et à asseoir sa domination sur le marché. Cependant, la situation évolue, comme en témoignent la correction de la faille de sécurité et le renforcement du processus d'installation de Windows 11. Il est intéressant de noter que les créateurs de KMS38 ont également publié un ensemble de scripts PowerShell permettant d'activer Windows 10, 11 et Office sans avoir à payer de licence. Ces outils activent non seulement Windows, mais fournissent également des mises à jour de sécurité gratuites pour Windows 10 après la fin du support. Bien que Massgrace admette ouvertement pratiquer le piratage, des interrogations subsistent quant à la sécurité de l'utilisation de ses solutions. Les entreprises et les organisations, particulièrement vulnérables, pourraient s'exposer à de graves conséquences juridiques. Microsoft a revu sa stratégie de lutte contre le piratage et ne reculera devant rien pour combattre les créateurs d'outils de contournement d'activation ni les utilisateurs exploitant ces failles de sécurité. D'autres mesures visant à endiguer le piratage sont probables. Ce n'est guère surprenant, car l'entreprise de Redmond subit des pertes financières considérables. (Lire la suite)
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L'iPhone Fold sera plus épais et plus lourd que ses concurrents.

Les fabricants de smartphones pliables, présents sur ce segment depuis plusieurs années, cherchent actuellement à réduire le poids et l'épaisseur de leurs appareils pour une utilisation plus pratique. Le principal problème de cette approche réside dans le manque d'espace à l'intérieur du boîtier pour une batterie plus performante. Cependant, les entreprises contournent cette limitation en utilisant des batteries silicium-carbone. Apple, en revanche, n'envisage pas d'adopter ce type de batteries et, selon certaines rumeurs, équiperait l'iPhone Fold d'une batterie plus grande que celle de l'iPhone 17 Pro Max. Ce choix se traduira par une augmentation de l'épaisseur et du poids. L'iPhone 17 Pro Max avec eSIM possède une batterie de 5 088 mAh et, d'après des sources internes, l'iPhone Fold est actuellement testé avec une batterie d'une capacité de 5 400 à 5 800 mAh. Même si Apple opte pour la capacité la plus basse de cette gamme, la batterie restera plus grande que celle de modèles haut de gamme comme le Galaxy S25 Ultra et le Galaxy Z Fold 7. Apple a déjà prouvé sa capacité à miniaturiser la carte mère de l'iPhone Air sans compromettre ses performances, tout en intégrant une batterie de 3 149 mAh. Il ne fait donc aucun doute que les mêmes solutions techniques pourraient être appliquées au modèle pliable. Cependant, comme mentionné précédemment, cela augmentera l'épaisseur et le poids. En revanche, ces quelques millimètres supplémentaires seront un atout pour l'iPhone Fold : ils permettront non seulement d'accroître la capacité de la batterie et d'allonger son autonomie, mais aussi d'intégrer une chambre à vapeur. (Lire la suite)
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Samsung prévoit d'augmenter les prix de la RAM

Selon certaines rumeurs, Samsung s'apprêterait à augmenter fortement ses prix de mémoire, une hausse parmi les plus importantes jamais enregistrées. D'après Reuters, le géant coréen envisagerait une augmentation d'environ 60 % afin de répondre à la demande du secteur de l'intelligence artificielle et de garantir la stabilité de sa chaîne d'approvisionnement. Par ailleurs, le prix contractuel d'un module DDR5 de 32 Go a déjà atteint 230 dollars, soit une augmentation de près de 50 % en un mois – un chiffre pour le moins alarmant. À ce rythme, le prix des modules grand public continuera d'augmenter. De plus, les modules DDR5 de 16 Go et 128 Go ont également vu leur prix grimper d'environ 50 %, confirmant une tendance haussière des prix de la mémoire qui se poursuit depuis plusieurs semaines. Samsung est l'un des plus grands fournisseurs de DRAM au monde, et comme l'entreprise augmente ses prix, il est presque certain que d'autres fabricants suivront le mouvement. C'est une très mauvaise nouvelle pour les joueurs, car les mises à niveau de PC vont devenir nettement plus chères. Il est possible que, alors que la carte graphique était auparavant le composant le plus onéreux, le plus gros investissement soit désormais la RAM. C'est particulièrement vrai pour ceux qui souhaitent 32 Go de mémoire DDR5 haute qualité et haute fréquence : à ce rythme, les kits coûteront entre 300 et 350 $ d'ici la fin de l'année. C'est tout simplement aberrant, quand on sait que ce même kit coûtait entre 120 et 150 $ cet été, dans le pire des cas. Il semble que nous devrons attendre une baisse des prix de la RAM. (Lire la suite)
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Le processeur Intel Core Ultra X7 358H repéré dans les benchmarks

Aujourd'hui, de nouveaux résultats de benchmarks pour le Core Ultra X7 358H, l'un des prochains processeurs Panther Lake d'Intel, ont été publiés. Il est à noter que ce modèle est celui qui a fait l'objet des plus nombreuses fuites de la part de divers initiés. Le Core Ultra X7 358H, une puce mobile de milieu de gamme, a été testé avec PassMark et s'est révélé sensiblement moins performant que les processeurs Arrow Lake-H actuels. Il a obtenu un score de 4 282 points en mode monocœur et de 29 426 points en mode multicœur. La page de résultats confirme la configuration à 16 cœurs (4+8+4) et les 18 Mo de cache L3 déjà annoncés. Les fréquences d'horloge ne sont pas encore disponibles, mais les benchmarks montrent qu'en mode monocœur, il est légèrement moins performant que les Core Ultra 7 255H et 265H, qui obtiennent respectivement 4 347 et 4 433 points. Lors du test multicœur, le Core Ultra X7 358H est 4 % moins performant que le 255H et environ 15 % moins performant que le Core Ultra 7 265H, soit une différence significative. Il est important de rappeler qu'il s'agit d'un prototype et que les résultats définitifs sont susceptibles d'évoluer. Par ailleurs, il convient de noter qu'Intel a délaissé la course aux gains de performance ces dernières années. L'entreprise privilégie désormais l'amélioration de l'efficacité énergétique, un critère bien plus important pour les processeurs mobiles. De plus, un processeur de réseau neuronal puissant est aujourd'hui indispensable pour l'utilisation d'outils d'IA, notamment sur les ordinateurs portables exécutant localement différents types de systèmes de traitement du langage naturel (LLM). En conséquence, il est illusoire d'espérer des gains significatifs en termes de performances pures. (Lire la suite)
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Sept failles critiques transforment ChatGPT en un outil d'espionnage

✇GNT
Par :Sirius
oeil-espion

L'entreprise de cybersécurité Tenable a découvert sept vulnérabilités critiques dans ChatGPT. Ces failles permettent de voler des conversations, de manipuler les réponses de l'IA et même d'exécuter du code malveillant. Bien qu'OpenAI ait corrigé certaines d'entre elles, plusieurs restent actives, même dans les dernières versions, posant un risque majeur pour ses utilisateurs.

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Thales Alenia Space dessine le "train spatial" pour Mars

Gateway 03

Thales Alenia Space, pour le compte de l'Agence Spatiale Européenne (ESA), étudie un concept de véhicule martien modulaire. Ce "train spatial" serait assemblé et ravitaillé à la future station cislunaire Gateway. Il vise un premier vol vers 2040, emportant 4 à 6 astronautes pour un voyage de trois ans. Le défi est immense : autonomie, propulsion hybride et support vie en circuit fermé.

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Les deux cartes mères MoDT AOOSTAR sont en stock, précisions techniques et gare au prix !

Il y a deux mois, on vous présentait deux cartes mères AOOSTAR au format µATX, l'une embarquant le Ryzen 99955HX et l'autre le Ryzen 9 9955HX3D, tous deux étant soudés comme le veut le format MoDT (Mobile on Desktop)  qu'on vous avait présenté via deux dossiers au sujet de Minisforum. Quelques deux...

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