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Et voici les premiers pilotes AMD Software qui introduisent FSR Redstone, mais pas que !

Nous vous avons fait une présentation de FSR Redstone, qui a du potentiel clairement, mais qui n'est pas terminé, et qui ne permet pas pour le moment de révolutionner l'expérience gaming sur les RX 9000. Trop peu de jeux, ou des jeux vitrine mal choisis, il y avait mieux pour mettre en avant les ava...

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La Chine impose ses conditions pour l'accès aux puces Nvidia H200

Great Firewall Chine

Malgré le feu vert de Donald Trump pour l'exportation des puces H200 de Nvidia vers la Chine, Pékin prépare des mesures pour en limiter l'accès. Cette décision s'inscrit dans une stratégie visant à favoriser les solutions domestiques et à atteindre l'autosuffisance en matière de semi-conducteurs, créant un nouvel obstacle pour le géant américain sur ce marché clé.

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Secteur solaire français : Okwind sacrifie son usine neuve et 89 emplois pour survivre

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Face à un marché de l'énergie solaire en difficulté, le spécialiste breton des trackers Okwind lance une restructuration majeure. Le plan inclut la suppression potentielle de 89 postes, soit 43% de ses effectifs, et la mise en vente de son usine flambant neuve près de Vitré, dont la construction venait à peine de commencer. Un ajustement stratégique drastique pour assurer sa compétitivité future.

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Samsung cesserait la commercialisation mondiale des processeurs Exynos, ne laissant que les processeurs Snapdragon.

Selon un récent rapport de DigiTimes, Samsung s'apprête à un changement majeur dans sa stratégie concernant les processeurs mobiles. L'Exynos 2600, initialement présenté comme la base de ses futurs fleurons, sera finalement disponible exclusivement en Corée du Sud. Les modèles destinés au marché international utiliseront des solutions fournies par Qualcomm. Cette information survient peu après la confirmation officielle de l'Exynos 2600 comme l'un des processeurs clés de la gamme Galaxy S26. Pendant des années, les smartphones Galaxy S ont été commercialisés selon les régions : l'Exynos dominait de nombreux pays tandis que des marchés comme les États-Unis et le Japon bénéficiaient de modèles équipés de Snapdragon. Les dernières fuites indiquent un renversement de situation significatif. D'après Digitimes, cette décision est liée aux faibles rendements et à la rentabilité d'Exynos, ainsi qu'aux contrats existants avec Qualcomm pour la fourniture de puces Snapdragon. Des documents préparés par le fabricant coréen confirment que le Galaxy S26 Ultra sera lancé mondialement avec le processeur Snapdragon 8 Elite Gen 5. Cela limite la possibilité d'intégrer Exynos dans des versions plus haut de gamme et concentre l'attention sur les modèles d'entrée de gamme de la série. L'efficacité demeure un autre point à considérer. Des analyses indépendantes indiquent que le procédé SF2 utilisé pour fabriquer l'Exynos 2600 atteint un rendement de production d'environ 60 %. Ce niveau permet une production en série, mais comporte également un risque de gaspillage de matériaux coûteux. Les premiers résultats des tests Geekbench indiquent que l'Exynos 2600 surpasse le Snapdragon 8 Elite Gen 5 dans les tests multicœurs, mais reste en retrait dans les tâches monocœur. Ce dernier point est particulièrement important pour une utilisation quotidienne d'un smartphone, où la réactivité monocœur est cruciale. Si l'information de Digitimes est confirmée, les modèles mondiaux Galaxy S26 et Galaxy S26 Plus seront équipés du processeur Snapdragon, tandis que l'Exynos 2600 restera une exclusivité pour les clients sud-coréens. La série Galaxy S26 devrait être lancée début 2026. Si le processeur Exynos 2600 reste exclusif à un seul pays, cela pourrait représenter la distribution la plus restreinte du processeur propriétaire de Samsung depuis plus de dix ans (hors S25 qui, à l'exception de la version FE , n'utilise pas d'Exynos). Les décisions dictées par le marché pourraient impacter l'avenir de toute la gamme Exynos, qui a connu des problèmes de performances et d'efficacité énergétique ces dernières années. (Lire la suite)
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Australie : Des millions d'enfants et d'adolescents perdent l'accès à leurs comptes suite à l'entrée en vigueur d'une interdiction des réseaux sociaux inédite au monde

Facebook, Instagram, Threads, X, YouTube, Snapchat, Reddit, Kick, Twitch et TikTok devraient avoir pris des mesures à partir de mercredi pour supprimer les comptes des utilisateurs de moins de 16 ans en Australie et empêcher ces adolescents de créer de nouveaux comptes. Les plateformes qui ne se conforment pas à ces mesures s'exposent à des amendes pouvant atteindre 49,5 millions de dollars. Les parents d'enfants concernés par l'interdiction ont exprimé des avis très partagés sur cette mesure. L'un d'eux a confié au Guardian que sa fille de 15 ans était « très perturbée » car « tous ses amis de 14 à 15 ans ont été identifiés comme ayant 18 ans par Snapchat ». Étant donné qu'elle a été identifiée comme ayant moins de 16 ans, ils craignent que « ses amis continuent d'utiliser Snapchat pour discuter et organiser des sorties, et qu'elle soit mise à l'écart ». D'autres ont déclaré que l'interdiction « ne saurait tarder ». Un parent a confié que sa fille était « complètement accro » aux réseaux sociaux et que l'interdiction « nous offre un cadre de soutien pour l'éloigner de ces plateformes ». Les sondages ont constamment montré que les deux tiers des électeurs sont favorables à un relèvement de l'âge minimum d'utilisation des réseaux sociaux à 16 ans. (Lire la suite)
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C’était inattendu, Twitter (celui avec l’oiseau bleu et sans Elon Musk) pourrait bientôt faire son retour

Une start-up a engagé l’une des démarches administratives les plus ambitieuses de l’histoire récente de la tech. Récupérer le nom, la marque et l’iconographie de l’ancien Twitter pour lancer un nouveau réseau social, assumé comme une alternative à X, désormais contrôlé par Elon Musk.

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Voitures, datacenters : RTE appelle à accélérer l’électrification des usages

Electric feel
Voitures, datacenters : RTE appelle à accélérer l’électrification des usages

Dans son son bilan prévisionnel annuel, RTE se fait l’avocat de l’accélération de l’électrification des usages pour assurer un meilleur équilibre entre consommation et production d’électricité.

Il faut accélérer l’électrification de la société française. C’est le constat principal que dresse RTE, le réseau public de transport d’électricité, dans son bilan prévisionnel 2025 – 2035.

Parmi ses missions, le gestionnaire doit anticiper l’équilibre entre l’offre et la demande d’électricité. Dans cet exercice annuel, RTE s’était penché en 2023 sur les stratégies permettant d’atteindre la neutralité carbone en 2050, scénarios qui permettraient d’obtenir des « bénéfices stratégiques et climatiques considérables », à commencer par une moindre dépendance aux sources d’énergie fossile et la réduction des pollutions associées à leur usage.

En cette fin 2025, RTE constate que la consommation électrique est « demeurée atone » depuis la pandémie de Covid-19 (elle reste inférieure de 6 % à son niveau de 2019), quand la production d’énergies renouvelables (hydraulique comprise) et nucléaire ont progressé. Le gestionnaire actualise donc ses prévisions, tout en détaillant les enjeux posés par l’actuelle surcapacité électrique de la France.

Si cette dernière n’est pas neuve – « dès la seconde partie des années 1980, la production d’électricité française est devenue structurellement excédentaire par rapport à la consommation » –, l’épisode de surcapacité actuel pourrait devenir préoccupant, notamment pour le poids qu’il créerait sur les dépenses publiques. Étudiant divers scénarios de décarbonation, RTE plaide pour une accélération de l’électrification des usages et pour la concrétisation de la majorité des projets industriels prévus, notamment dans l’industrie des centres de données.

Promotion de la décarbonation rapide

La stratégie de décarbonation de la France est autant un enjeu climatique que géostratégique, rappelle le document. À l’heure actuelle, l’import d’énergies fossiles (pétrole, gaz et charbon) constitue toujours près de 60 % de l’énergie finale consommée en France. Elles pèsent pour 50 à 70 milliards d’euros dans les factures nationales annuelles. Du côté de l’électricité, la France a battu son record historique d’exportations avec 89 TWh en 2024.

Pour répondre à ces enjeux, RTE a développé ses capacités de production électrique en rétablissant les capacités nucléaires à la suite de la pandémie, mais aussi en accélérant celles de production d’énergies renouvelables. Et de souligner : vu l’état du réseau comme de la production, « les risques de conflits d’usage entre filières à électrifier sont écartés ». À court terme, le problème réside plutôt dans la relative stabilité de la consommation électrique.

RTE se penche donc sur deux scénarios : un de décarbonation rapide, qui conduirait à une augmentation toute aussi rapide de la consommation électrique, pour parvenir à 510 térawattheures (TWh) en 2030 et 580 TWh en 2035. Un autre, de « décarbonation lente », prévoit tout de même une augmentation de la consommation électrique, mais de 25 TWh seulement par rapport à la consommation actuelle, pour n’atteindre que 470 TWh en 2030 et 505 TWh en 2035. En 2024, la consommation française (corrigée des aléas météorologiques) était de 449 TWh, en hausse de 3 TWh (+ 0,7 %) sur un an.

En pratique, RTE appelle à la concrétisation, d’ici 2030, de 60 % des projets prévus en termes de production d’hydrogène, de développement de centres de données et d’autres projets industriels, ce qui permettrait d’augmenter leur consommation à 15 TWh par an pour le premier secteur, 15 TWh par an pour le deuxième (contre 5 TWh aujourd’hui) et 113 TWh par an pour les derniers.

Comme les deux derniers consomment de l’électricité mais ne réduisent pas pour autant les émissions de CO₂ (tandis que l’hydrogène produit électriquement remplacerait, lui, l’hydrogène produit par extraction chimique de combustibles fossiles), cette évolution ne peut se faire sans une évolution des usages d’énergie fossile, notamment du côté des transports. En la matière, RTE appelle à une augmentation de 17 TWh de la consommation électrique associée aux voitures électriques (contre 15 TWh en 2024), ce qui reviendrait à atteindre 8 millions de véhicules d’ici 2030 (contre 2 millions l’an dernier).

Un tel scénario permettrait de résorber la surcapacité tout en mettant la France sur la voie de ses objectifs de décarbonation. Autrement dit, répète le gestionnaire public au fil de son rapport, la situation actuelle est « très avantageuse pour décarboner rapidement ».

Les coûts de la décarbonation lente

Le gestionnaire constate néanmoins que « la consommation d’électricité n’est pas, pour le moment, alignée sur les objectifs de décarbonation et de réindustrialisation de la France ». Il l’explique de deux manières : par la sous-estimation des progrès effectivement réalisés, le seul passage à des éclairages LED ayant par exemple permis de réduire la consommation électrique de 10 TWh entre 2010 et 2020, et par les effets non anticipés des crises sanitaires et énergétiques, depuis lesquelles la consommation électrique stagne.

Or, « si la hausse de la consommation ne peut être considérée comme un but en soi », seule une « augmentation nette de la consommation d’électricité nationale » permettra la décarbonation du pays, insiste RTE. Dans un scénario de décarbonation lente (dans lequel seulement 15 % des projets liés à l’hydrogène, 10 % des projets industriels et 30 % des projets de datacenters seraient concrétisés), comme nous ne savons pas stocker massivement l’électricité excédentaire, il faudrait limiter la production.

Côté nucléaire, RTE esquisse la possibilité de réduire la production du parc nucléaire de l’ordre de 50 TWh, « pour absence de débouché économique ». L’export vers d’autres nations européennes ne représente qu’une faible possibilité, puisque nos voisins subissent des trop-pleins similaires, en particulier du côté des énergies solaires et éoliennes. En la matière, RTE préconise de limiter la production de renouvelable, en particulier en milieu de journée, dans les moments les plus ensoleillés. Elle prévoit pouvoir économiser 30 gigawatts (GW) de cette manière.

Le gestionnaire public alerte néanmoins sur le fait qu’une telle réduction aurait un coût. Elle entraînerait « une forte érosion des revenus des producteurs sur les marchés, de l’ordre de - 20 Md€/an », réduction qui serait « partiellement compensée par les dispositifs de soutien public », mais qui créerait donc une « hausse des charges budgétaires associées ».

Elle s’inquiète aussi des effets de logiques de « stop and go » sur les filières industrielles, susceptibles de « brider les efforts des filières renouvelables pour relocaliser une partie de leur industrie manufacturière en France et en Europe ». À moyen terme, une telle logique pourrait par ailleurs mettre en péril la possibilité de maintenir ou d’accélérer l’électrification en 2035.

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Navigateurs IA : pourquoi Gartner recommande de les bloquer immédiatement

Les navigateurs qui intègrent des agents d’intelligence artificielle suscitent actuellement un engouement important, mais cette popularité s’accompagne d’inquiétudes croissantes du côté des spécialistes de la sécurité.

L’article Navigateurs IA : pourquoi Gartner recommande de les bloquer immédiatement est apparu en premier sur Toms Guide.

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Quels sont les meilleurs jeux sur PS5 ? Notre top des classiques

La PS5 a cinq ans. Au fil des années, la console a su accumuler ses propres classiques dans un océan de sorties partagé entre survival horror, FPS nerveux, RPG, MMO… Si l'on devait ne retenir que 20 jeux , voici les titres que l'on considère comme les meilleurs jeux sortis sur la PS5.

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