↩ Accueil

Vue lecture

Thermaltake CaseMOD Invitational 2026 : Nico_CPK sélectionné !

Le thermaltake vient d’annoncer l’édition 2026 de son événement vedette, le Thermaltake CaseMOD Invitational 2026. Avec une conclusion à Taïwan durant le Computex, la compétition rassemblera huit moddeurs de renommée mondiale. Cette année, l’objectif est limpide : chaque compétiteur devra réinventer le boîtier Tower View 600 TG. Si vous nous suivez, vous apprendrez avec plaisir […]

L’article Thermaltake CaseMOD Invitational 2026 : Nico_CPK sélectionné ! est apparu en premier sur Overclocking.com.

  •  

SK hynix et NVIDIA progressent sur la HBF et visent des SSD pour l'IA à 100 millions de IOPS en 2027

En ce mois de décembre 2025, la pénurie DRAM bat son plein et que celle de NAND commence à avoir ses premiers effets sensibles. Derrière tout cela, on retrouve "l'ogre", le marché de l'IA qui avale tous les stocks sur son passage. Les producteurs de DRAM préfèrent tourner leur production vers la HBM...

  •  

NVIDIA s'apprête à réduire la production des RTX 50 de 40% en 2026

Nvidia GeForce RTX 5090 Blackwell 04

NVIDIA envisage de réduire drastiquement la production de ses futures cartes graphiques GeForce RTX 50 en 2026. Une baisse de 30 à 40% est évoquée, conséquence directe d'une pénurie mondiale de mémoire qui frappe l'ensemble du secteur. Les modèles de milieu de gamme, comme les RTX 5070 Ti et 5060 Ti, seraient les premiers touchés par cette décision stratégique.

  •  

James Webb : une exoplanète en forme de citron intrigue les astronomes

L’Univers continue de surprendre les scientifiques… et nous autres pauvres mortels. Grâce au télescope spatial James Webb de la NASA, une équipe internationale d’astronomes a identifié une exoplanète totalement atypique, dont la forme et la composition défient les modèles actuels de formation planétaire. Une planète extrême autour d’un …

Lire la suite

Aimez KultureGeek sur Facebook, et suivez-nous sur Twitter

N'oubliez pas de télécharger notre Application gratuite iAddict pour iPhone et iPad (lien App Store)


L’article James Webb : une exoplanète en forme de citron intrigue les astronomes est apparu en premier sur KultureGeek.

  •  

☕️ Emmanuel Macron outré par un deepfake suggérant un coup d’État en France

Emmanuel Macron est mécontent : ce week-end, un de ses homologues africains l’a appelé pour vérifier ce qu’il se passait en France. Le pays était-il en plein coup d’état ?

En cause : une vidéo générée par IA, dans laquelle un journaliste placé devant ce qui semble être l’Élysée annonce la (fausse) chute du président de la République, remplacé par un colonel.

« Douze millions de vues ! » racontait-il en début de semaine lors d’un échange avec les lecteurs de La Provence (depuis le 12 novembre, avec le public de La Dépêche du Midi, Emmanuel Macron multiplie les rencontres de citoyennes et citoyens pour échanger avec eux sur « la démocratie face aux réseaux sociaux »).

Le président indique avoir demandé à Meta, par l’intermédiaire de Pharos, de supprimer le contenu, et s’être entendu répondre que celle-ci ne contrevenait pas aux règles d’utilisation de la plateforme.

Et d’ironiser : « J’ai tendance à penser que j’ai plus de moyens de pression que qui que ce soit. » Le président a regretté de se découvrir désarmé. « Ces gens-là se moquent de nous », a-t-il lancé, en référence aux propriétaires de réseaux sociaux.

En exposant cette affaire, il a par ailleurs démultiplié la visibilité du deepfake, passé de 12 à 20 millions de vues en 24 heures à peine.

Auprès du Figaro, Meta indique avoir affiché des étiquettes pour aider les utilisateurs à repérer les contenus créés par IA.

Libération a de son côté remonté la trace de son créateur pour tomber sur un jeune Burkinabé, Rachid B., originaire de Ouagadougou. Ce dernier indique avoir supprimé la vidéo le 17 décembre (alors qu’elle avait atteint les 23 millions de vues) « pour ne pas avoir de problèmes juridiques ou des trucs comme ça ».

Dans d’autres contextes, le président de la République est lui-même usager des technologies de génération d’images relativement réalistes : il s’en était notamment servi pour faire la promotion du Sommet sur l’intelligence artificielle, en février 2025, et « lancer le débat », selon ses propres termes.

  •  

[Offert] Notes de la communauté : un rempart efficace mais très imparfait contre la désinformation

leS NoTEs sAy La lIBErTé
[Offert] Notes de la communauté : un rempart efficace mais très imparfait contre la désinformation

L’éditeur de Facebook et Instagram a démarré hier une phase de test pour ses notes de la communauté. Largement calquées sur celles de X, elles permettent d’épingler nombre de contenus erronés, voire mensongers. De quoi résoudre tous les problèmes ? Non, selon Bloomberg, qui a publié une vaste étude sur le sujet.

Pour les fêtes de fin d’année, Next vous offre cet article initialement paru le 21 mars 2025 et réservé aux abonnés. Pour lire les prochains entretiens dès leur publication, abonnez-vous !


Les notes de la communauté sont un mécanisme simple : à la lecture d’une publication, on peut décider d’ajouter un contexte, en général un commentaire suivi d’un ou plusieurs liens. Le système avait été initié sur Twitter, avec son rachat par Elon Musk et sa transformation en X, en complément des entreprises et médias effectuant une vérification professionnelle.

Depuis quelques mois, les projecteurs sont braqués sur ces notes. Elon Musk s’est débarrassé de tous les vérificateurs professionnels, louant les mérites d’un système alimenté par les internautes. Dans l’esprit du milliardaire, le réseau social s’équilibre de lui-même. Une idée séduisante, d’autant plus que le mécanisme a l’immense avantage d’être parfaitement gratuit pour celui qui, après avoir dépensé des dizaines de milliards de dollars pour racheter Twitter, lie actuellement ses entreprises à la Maison-Blanche.

Les notes de la communauté ont plusieurs mérites

Bloomberg Opinion s’est lancé dans un vaste travail : analyser 1,1 million de notes de la communauté, publiées entre début 2023 et février 2025. Une montagne de données, qui permet d’en tirer nombre de conclusion ou, en tout cas, de faisceaux et corrélations. Les éléments mis en lumière pointent leur dualité, entre un système fréquemment encensé par Elon Musk et ses attaques contre les médias classiques.

Premier constat, sans doute l’un des plus importants : les notes de la communauté ne sont pas une arnaque. Qu’il s’agisse de constats par Bloomberg ou d’autres études pointées par nos confrères, le système fonctionne. Les messages épinglés par la communauté reçoivent ainsi moins d’engagement du reste des internautes, en likes comme en retweets. Ils sont également plus susceptibles d’être supprimés. De manière générale, le processus est considéré comme plus fiable et transparent que la vérification par des professionnels. Bloomberg relève également une limitation de la viralité de certains canulars pendant les grands incendies de Los Angeles.

Le fonctionnement de ces notes est assez simple. Si vous voyez passer un message qui vous parait faux, vous pouvez passer par le menu « … » pour demander à en ajouter une. Il faut fournir un message explicatif ainsi qu’un ou plusieurs liens pour appuyer le propos. Elle n’est pas automatiquement publiée : elle doit rassembler suffisamment de voix. Les autres personnes contribuant aux notes sont en effet invitées à voter. Quand un nombre suffisant de personnes donnent leur aval, la note apparait chez tout le monde.

Ce système, souligne Bloomberg, fonctionne généralement bien, et même mieux qu’avant. En janvier 2023, le temps médian nécessaire pour ajouter une note et la faire valider était d’environ 30 heures. Le mois dernier, ce temps était de 14 heures. On comprend donc pourquoi le système intéresse doublement Meta : non seulement il ne coute rien (en dehors de la mise en place du système et de sa maintenance), mais il est plus rapide que le travail des vérificateurs professionnels, qui peuvent prendre jusqu’à une semaine pour répondre.

Un outil parmi d’autres

Si les notes de la communauté donnent de bons résultats, elles ne représentent pas pour autant l’alpha et l’oméga de la modération et de la vérification des faits. Avoir divisé par deux le temps d’apparition d’une note montre un plus fort engagement des internautes et un processus mieux intégré dans les habitudes, mais l’efficacité du mécanisme est soumise au consensus. Qui prend du temps.

C’est la première limite du système selon Bloomberg : les 14 heures ont beau représenter une forte amélioration, les notes arrivent le plus souvent bien après la bataille de la viralité, le mal étant déjà fait.

Surtout, les données analysées par Bloomberg montreraient qu’après un pic, le système pourrait perdre en efficacité. Cette dernière dépend étroitement du consensus. Or, sur les sujets les plus clivants, il a du mal à être atteint. Selon les informations recueillies, moins de 10 % des notes de la communauté seraient réellement publiées, faute d’un accord. Parmi celles publiées, 26 % sont même supprimées, suite à un désaccord. Ce n’est qu’une moyenne, car plus le sujet divise, plus le score augmente. Sur un échantillon de 2 674 notes portant sur la Russie et l’Ukraine l’année dernière, plus de 40 % des notes ont ainsi été supprimées.

De plus, ce système de quorum peut être manipulé. « Il n’est pas rare de voir des instances de voix pro-russes rassemblant leurs partisans pour qu’ils votent collectivement contre une note proposée ou publiée », indique ainsi Bloomberg.

Même chose pour Elon Musk : sur les 167 notes accolées à ses tweets, seules 88 étaient encore en ligne au moment de la publication de l’article. Pour nos confrères, le milliardaire n’a besoin de rien faire : « ses partisans s’en chargent souvent à sa place ». En outre, il y a un mois, le patron de X s’est tout à coup mis en colère. Affirmant que Volodymyr Zelensky était malaimé de ses concitoyens ukrainiens, une note est venue le contredire. Plus récemment, The Economist a mis à jour ces chiffres, montrant une forte cote de popularité.

Sources fiables : la grande ambivalence

Bloomberg pointe également l’ambivalence d’Elon Musk au sujet des médias traditionnels, qu’il accuse régulièrement d’avoir leur propre agenda politique et de répandre le « virus woke ». À cet ancien monde, il oppose justement les notes de la communauté, système qu’il présente comme l’aboutissement d’une démocratie libre, où chacun peut donner son avis, le tout s’équilibrant de lui-même.

Pour autant, ce système de notes repose sur la fiabilité des sources pour fonctionner. De quoi parle-t-on ? Des médias traditionnels, qui représentent « la principale source d’information ». Plus précisément, 31 % des liens cités, suivis par 20 % de liens vers des réseaux sociaux (qui peuvent renvoyer eux-mêmes vers des médias) et 11 % vers des sites éducatifs. Parmi les sources les plus fréquemment citées, on trouve Reuters (« l’organisation d’information la plus trompeuse au monde », selon Elon Musk), la BBC (« British Pravda ») et NPR (« gérée par la Stasi wok»).

Même problème avec Wikipédia, source la plus souvent citée dans les notes de la communauté. Elon Musk ne cache pas sa détestation profonde de l’encyclopédie collaborative. Il a appelé par exemple en décembre dernier à couper les dons à la fondation Wikimedia.

Sur ce point, Bloomberg note « une curieuse bizarrerie de la nature humaine » : « Les utilisateurs semblent croire plus facilement un inconnu sur internet qui renvoie à un article du New York Times, par exemple, qu’ils ne croient le New York Times lui-même lorsqu’il propose directement une vérification des faits ». Pour nos confrères, c’est l’équivalent « d’un ami qui sort Wikipédia pour trancher un débat dans un bar ».

Avec Meta, les notes vont changer d’échelle

Bloomberg a fait coïncider les résultats de son enquête avec le début des tests pour les notes de communauté sur les services de Meta. Comme nous l’indiquions la semaine dernière, Meta s’est lancée le 18 mars dans une phase d’essai aux États-Unis. Et tout portait à croire que le système allait rapidement trouver son public, avec plus de 200 000 inscriptions.

Dans un billet, la société disait s’attendre « à ce que les notes de communauté soient moins biaisées que le programme tiers de vérification des faits qu’elles remplacent, car elles permettent à davantage de personnes ayant plus de perspectives d’ajouter du contexte aux publications ». Un axe de communication reprenant le discours de Mark Zuckerberg en janvier, dans lequel il déclarait que « les fact-checkers sont devenus trop biaisés politiquement, et ils ont détruit plus de confiance qu’ils n’en ont créée, particulièrement aux États-Unis ».

Or, avec l’arrivée des notes chez Meta, le changement d’échelle est manifeste : d’environ 220 millions d’utilisateurs sur X à environ 3,3 milliards sur les plateformes Facebook, Instagram et Threads cumulées. L’efficacité des notes sur une si large population reste à démontrer, mais il est probable qu’elles aient un certain impact, comme sur X.

En revanche, pour Bloomberg, elles ne sauraient être la défense ultime contre la propagation des fake news ou simplement des erreurs. Dans une approche « prévenir plutôt que guérir », le média indique que le fonctionnement même de X aujourd’hui alimente en bonne partie le problème : la course à la viralité. Elon Musk a modifié la manière dont les détenteurs d’un compte Premium peuvent gagner de l’argent sur sa plateforme, en misant sur l’engagement, incitant à faire réagir autant que possible.

En même temps que Facebook a annoncé cette grande bascule, plusieurs autres changements importants ont été présentés. Par exemple, les notes de la communauté n’auront aucun impact sur la visibilité des publications, contrairement au système actuel. En outre, l’incitation financière pour les créateurs de contenus sera plus importante, là encore un encouragement à la viralité.

En somme, les notes de la communauté fonctionnent dans une certaine mesure, mais perdent nettement en efficacité dès que les sujets deviennent plus clivants. Mais selon nos confrères, la conclusion la plus évidente est que si les plateformes de réseaux sociaux voulaient vraiment lutter contre la désinformation, elles commenceraient par ne plus inciter à la viralité.

  •  

Sapin synthétique ou vrai sapin de Noël naturel : lequel est le plus écologique ?

En 2025, on espère que vous ne vous contenterez pas d'un sapin généré par Sora et qu'un beau sapin, roi des forêts ou des usines, trônera dans votre salon. Ces dernières années, grâce à des données fiables qui sont désormais disponibles, nous pouvons évaluer l'impact environnemental réel des sapins de Noël, qu'ils soient artificiels ou naturels.

  •  

Google Maps relance une fonctionnalité regrettée, les usagers ont été entendus

Il y a un an, Google Maps avait supprimé les stations de ski, les pistes et les remontées mécaniques. De quoi provoquer une véritable levée de bouclier. Pour calmer la grogne, le géant de la cartographie a finalement réinjecté ces informations dans son application.

L’article Google Maps relance une fonctionnalité regrettée, les usagers ont été entendus est apparu en premier sur Toms Guide.

full

thumbnail
  •  

Piratage du ministère de l’Intérieur : un suspect interpelé

Des données oui, mais...
Piratage du ministère de l’Intérieur : un suspect interpelé

Le parquet de Paris a annoncé qu’un suspect avait été arrêté dans le cadre du piratage du ministère de l’Intérieur. Parallèlement, les pirates ont diffusé des informations en lien avec la Caisse d’allocations familiales, mais il n’y a rien de neuf sur les fichiers TAJ et FPR.

« Une personne a été interpelée le 17 décembre dans le cadre de l’enquête ouverte par la section de lutte contre la cybercriminalité du parquet de Paris, des chefs notamment d’atteinte à un système de traitement automatisé de données à caractère personnel mis en œuvre par l’État en bande organisée, à la suite de la cyberattaque au préjudice du ministère de l’Intérieur », a indiqué le parquet dans un communiqué, retransmis sur X et signé Laure Beccuau, procureur de la République.

Le communiqué donne d’autres informations, notamment que le suspect est né en 2003 et qu’il était déjà « connu des services de justice pour avoir été condamné pour des faits similaires en 2025 ». Le parquet rappelle que ce délit fait encourir une peine de 10 ans d’emprisonnement. On apprend également que les « investigations diligentées par l’OFAC [Office anti-cybercriminalité, ndlr] se poursuivent » et qu’une « nouvelle communication interviendra à l’issue de la garde à vue, qui peut durer jusqu’à 48 heures ».

Fuite d’informations provenant de la CAF

Indra, qui se présente comme un des pirates derrière l’attaque du ministère de l’Intérieur, a publié de nouveau un message BreachForums hier soir, à nouveau ressuscité l’espace d’un instant. « Bonjour la communauté BreachForums, Je vous annonce aujourd’hui un cadeau de Noël pour la France. Dites merci à « SaxX », c’est vraiment un bon menteur : la compromission d’une base de données de la CAF », a écrit Indra, en référence à celui qui se décrit comme « Gentil hacker », pour avoir minimisé l’ampleur de la fuite dans un tweet hier soir. Il y évoquait un « gros bluff » et traitait le groupe de pirates de « bande de clowns ».

« Voilà l’envers du décor ! Des jeunes cybercriminels français avec une émulation néfaste qui jouent à qui aura la plus grosse et défoncent néanmoins nos systèmes d’information en France. On est bien loin de l’ingérence étrangère comme j’ai pu l’évoquer depuis quelques jours », clamait ainsi SaxX hier soir vers 21 h.

La fuite d’informations de la CAF a bien été identifiée comme telle par plusieurs personnes, dont Christophe Boutry (anciennement de la DGSI). Il indique dans un tweet que la base n’est pas « classique », dans le sens où il « agrège des bénéficiaires CAF, MSA (agricole) et CNOUS (étudiants) ». Selon lui, le seul dispositif croisant ces trois bases est le Pass’Sport. En outre, il pointe un chiffre « trompeur », car les 22 millions annoncés se réduisent à 3,5 millions de foyers uniques « après dédoublonnage intégral ».

La situation serait particulièrement sensible pour les jeunes adultes : « Le fichier permet de suivre l’évolution précise du bénéficiaire. De simple ayant-droit associé au mail de ses parents, il devient une cible directe à sa majorité, avec l’apparition de ses propres coordonnées (téléphone, email personnel) et de sa situation sociale », indique Christophe Boutry. La fuite reste grave dans tous les cas, d’autant que les informations y sont fraiches, les dernières datant de novembre. « Encore une faille majeure dans la chaîne de sous-traitance de l’État », ajoute Christophe Boutry.

Le ou les pirates ont annoncé il y a quelques heures détenir également 2,1 millions de dossiers patients provenant de l’AP-HP (Assistance Publique – Hôpitaux de Paris).

  •  

Android 16 QPR3 Beta présente en avant-première les fonctionnalités à venir

Google a publié la première version d' Android 16 QPR3 , plus précisément la bêta 1 , qui ouvre la voie à la mise à jour stable qui arrivera en mars 2026 dédiée aux appareils Pixel . La version bêta ne fournit pas de liste officielle des modifications, mais l'analyse du système révèle des interventions concrètes sur l'interface et sur les outils dédiés aux utilisateurs plus techniques . Le changement le plus immédiat concerne le contrôle de la lampe torche . La case dans les paramètres rapides ne sert plus à basculer, mais introduit un curseur vertical pour régler l'intensité lumineuse . L'interface affiche un faisceau stylisé qui s'élargit lorsqu'on déplace le curseur vers le haut, avec une barre supplémentaire indiquant plus clairement le niveau maximal. Nous avions déjà aperçu cette fonctionnalité il y a quelques mois . À cela s'ajoute la possibilité d' inverser l'ordre des touches de navigation dans la barre à trois boutons. Cette nouvelle fonctionnalité permet d'inverser la position des boutons Retour et Applications récentes, une disposition que certains utilisateurs connaissent déjà grâce à d'autres fabricants (voir Samsung ). Elle se trouve dans Paramètres > Système > Mode de navigation. L' indicateur de localisation dans la barre d'état a également été modifié. L'icône est désormais extensible et permet de voir directement quelles applications accèdent à votre position, grâce à une fenêtre affichant le microphone, la caméra et la géolocalisation. Les utilisateurs d' ADB sans fil apprécieront une amélioration notable : la version bêta active automatiquement le débogage sans fil dès que l'appareil se connecte à un réseau de confiance . Auparavant, le système désactivait cette fonctionnalité après une période d'inactivité, obligeant à la réactiver manuellement. Le travail se poursuit également sur la prise en charge des écrans externes . Après la possibilité d'enregistrer l'écran d'un moniteur connecté, introduite avec la version initiale d'Android 16, la nouvelle version bêta permet également la transmission (via le bouton « cast ») de contenu vers un écran externe. En bref, nous attendons le lancement effectif du mode bureau d'Android , qui aura probablement lieu l'année prochaine, coïncidant avec la sortie des premiers ordinateurs portables sous Android . Cette liste ne présente pas nécessairement toutes les nouveautés d'Android 16 QPR3 , mais voici ce qui est visible pour le moment. (Lire la suite)
  •