↩ Accueil

Vue lecture

Il y a de nouveaux articles disponibles, cliquez pour rafraîchir la page.

Il y a 16 ans, elle débutait à l'écran, aujourd'hui tout le monde la connaît. Avez-vous reconnu cette jeune actrice dans son tout premier rôle ?

Elle est la star de Barbie, a été découverte dans Le Loup de Wall Street, a livré de superbes performances dans Moi, Tonya, en Harley Quinn ou dans Babylon de Damien Chazelle : faut-il encore présenter Margot Robbie, déjà nommé à trois Oscars en dix ans de carrière ?

Mais l'actri…

Lire la suite sur AlloCiné

Netflix : dernière chance pour voir ce thriller trash et violent, échec au box-office en 2018

Assassination Nation : le thriller satirique de l'auteur d'Euphoria

Avant de connaître le succès avec la série Euphoria (depuis 2019), Sam Levinson se lança déjà dans une critique de l'Amérique d'aujourd'hui par le prisme de la jeunesse avec Assassination Nation (2018). Dans ce thriller, qui n'est pas dénué d'humour noir, la ville de Salem dans le Massachusetts plonge dans le chaos lorsque des données personnelles des habitants sont révélées au grand jour. La violence grandit alors que chacun commence à porter un masque pour cacher son identité. Mais les agressions de plus en plus nombreuses vont prendre une autre tournure lorsqu'un adolescent accuse Lilly, une lycéenne, d'être à l'origine du piratage massif. La jeune fille et son groupe d'amies vont alors s'armer pour survivre à une nuit sanglante.

Assassination Nation ©NEON
Assassination Nation ©NEON

Avec ce film, Sam Levinson a voulu pointer du doigt les problèmes des réseaux sociaux sur lesquelles on peut partager trop d'informations sans penser aux conséquences. Le réalisateur présente également une société problématique, misogyne et toxique, mais aussi sur-armée et qui peut perdre ses valeurs en un instant. Lily (Odessa Young), Em (Abra), Sarah (Suki Waterhouse) et Bex (Hari Nef) deviennent alors des héroïnes prêtent à lutter contre cette folie.

Par cette représentation d'une Amérique en plein chaos et de la violence, Assassination Nation rappelle la saga American Nightmare. Seulement, Sam Levinson se montre plus satirique et trouve le bon équilibre entre l'horreur et l'amusement que provoquent des situations extrêmes. On y trouve aussi déjà une stylisation colorée réutilisée ensuite pour Euphoria.

Un échec à rattraper sur Netflix

À sa sortie, Assassination Nation n'a pas attiré les foules. La presse n'a pas été entièrement convaincue, mais plusieurs retours positifs sont à noter. Comme l'avis de Positif qui mettait en avant dans sa critique l'aspect militant du film qui met en scène "les bonnes gens" masqués prêts à dénoncer ce qui sort de la norme et à faire des jeunes filles les coupables idéales. "Le film évite le pamphlet moralisateur grâce à un humour satirique, une narration qui retient constamment l’attention et la justesse de ses interprètes".

Sur Rotten Tomatoes, le film a obtenu 77% d'avis positifs de la part de la presse, mais seulement 55% de la part du public. En salles en 2018, le long-métrage a été un échec avec seulement 2,5 millions de dollars de recettes dans le monde. Malgré un "petit" budget, estimé à 7 millions de dollars, cette sortie n'a pas été une réussite. Une séance de rattrapage s'impose donc. Pour cela, rendez-vous sur Netflix. Assassination Nation est encore dans le catalogue de la plateforme de streaming, mais le quittera à partir du 15 octobre 2024.

Vous ne verrez plus cette série de la même façon : Tom Selleck utilise toujours la même astuce pour les scènes de dîner de Blue Bloods

Comme Tom Selleck l’a révélé auparavant, les célèbres scènes de dîner de famille dans Blue Bloods ne sont pas une mince affaire et sont plutôt intenses à tourner. Celui qui incarne le patriarche de la famille et commissaire de police Frank Reagan, a une astuce très particulière pour rendre l…

Lire la suite sur AlloCiné

❌