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Lords of the Fallen II dévoile son premier gameplay musclé aux Game Awards

Lords of the Fallen II entre enfin en scène. Premier aperçu de gameplay, bosses colossaux, et une sortie calée pour 2026 : CI Games pose les bases d’une suite plus nerveuse et plus cruelle.

Lords of the Fallen II : premier gameplay, sortie en 2026

Séquence gameplay musclée de Lords of the Fallen II montrant graphismes haute fidélité, rendu HDR, textures détaillées et effets d'éclairage RTX

Présentée aux Game Awards, la bande-annonce montre un soulslike radicalisé, porté par l’Unreal Engine 5 et une esthétique à double royaume fidèle à la série. Le jeu sortira en 2026 sur PlayStation 5, Xbox Series X|S et PC via l’Epic Games Store, avec liste de souhaits déjà ouverte. Le trailer, rythmé par une reprise de « It’s a Sin » par Ghost, met en avant un système de combat plus rapide et la désarticulation des ennemis grâce à un nouveau mécanisme de démembrement, ainsi que des exécutions inédites.

Séquence gameplay Lords of the Fallen II montrant combats intenses, rendu GPU détaillé, textures haute résolution et effets d'éclairage RTX

L’histoire reprend 1 000 ans après la chute du dieu sombre Adyr. Un dernier royaume résiste à l’invasion d’Umbral, le royaume des morts dirigé par un maître eldritch. En solo ou en coopération à progression partagée, avec un PvP optionnel, l’aventure promet davantage de types d’ennemis et des affrontements de boss plus spectaculaires.

Séquence de gameplay PC haute fidélité de Lords of the Fallen II montrant combat intense, effets de particules, textures 4K et rendu GPU

Trois boss apparaissent déjà à l’écran : le Heartroot Warden cuirassé et sa grande épée enchaînée, le volant Koydreth frappant depuis un miroir gravé de runes, et Lingao the Souring Storm, dragon gigantesque maniant vent et foudre. D’après le directeur du jeu James Lowe, « nous avons hâte de voir la réaction à ce combat plus rapide et plus brutal ».

Mise à jour 2.5 pour Lords of the Fallen (2023)

Pour patienter, CI Games diffuse la version 2.5, ultime mise à jour majeure du volet 2023. Au programme : refontes étendues des comportements d’ennemis et de boss en modes Legacy et Veteran, rendant les combats plus rapides, serrés et agressifs. Des exemples précis sont cités, comme des combos affinés et une variation accrue pour Pieta, ou un rythme resserré et moins d’interruptions pour le Congregator of Flesh. Les mini-boss accélèrent, se positionnent mieux, gèrent leurs délais avec plus d’intelligence, tandis que les ennemis standards gagnent un système de cooldown global, une récupération de sorts plus rapide et une portée d’attaque réduite.

Veteran Mode pousse l’exigence plus loin avec transitions accélérées, nouveaux patterns et agressivité renforcée pour de nombreux boss de Mournstead. Récompense à la clé pour les vainqueurs : la cuirasse Veteran of the Veil avec bonus unique de butin. Plusieurs armes de boss reçoivent aussi des animations d’attaque signature revisitées.

Cette 2.5 conclut plus de 70 mises à jour façonnées grâce aux retours de plus de 6 millions de joueurs. Le PDG Marek Tyminski résume l’approche studio : « nous écoutons activement notre communauté depuis le lancement ».

CI Games promet de nouveaux détails en 2026 avant le lancement mondial de Lords of the Fallen II. En attendant, une remise limitée de 50 % est proposée aux nouveaux joueurs de Lords of the Fallen (2023) sur PC (Steam et Epic Games Store), PlayStation 5 et Xbox Series X|S, soit 14,99 dollars, 14,99 euros ou 12,49 livres.

Source : CI Games

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Terminator 2D NO FATE débarque sur PC et consoles, plateformes rétro plus tard

Terminator 2D NO FATE arrive partout et joue la carte arcade. Reef Entertainment confirme la disponibilité immédiate sur PS5, PS4, Nintendo Switch, Xbox Series X|S, Xbox One et PC via Steam et Epic Games Store. Développé par Bitmap Bureau, le studio promet un défilement latéral en 2D au rythme soutenu et un pixel art léché, le tout dans une expérience arcade complète.

Terminator 2D NO FATE s’aligne sur PC et consoles

Le nouveau trailer donne le ton : Sarah Connor et le T-800 s’échappent face au T-1000, présenté comme « l’un des tueurs les plus redoutables du cinéma », tandis que des missions Future War confient au joueur le contrôle de John Connor, chef de la Résistance, pour frapper Skynet au cœur de la Guerre contre les Machines. Le jeu mêle des séquences emblématiques de Terminator 2: Judgment Day avec des scènes inédites et plusieurs fins.

Capture du jeu Terminator 2D NO FATE sur PC et consoles montrant sprites, HUD, effets de particules et rendu pixel art optimisé pour GPU

Selon l’éditeur, l’ensemble conserve la patte Bitmap Bureau, orientée gameplay à adrénaline et lisibilité arcade. L’univers est officiellement licencié, un point notable pour qui veut retrouver les repères de T2 sans compromis. Les versions PC sont disponibles sur Steam et Epic Games Store, avec pages dédiées déjà en ligne.

Capture d'écran jeu Terminator 2D NO FATE sur PC et consoles montrant rendu 2D, sprites, effets pixel art, optimisation GPU et compatibilité hardware

Pixel art, scènes inédites et multiples fins

Bitmap Bureau promet une direction artistique en pixel art détaillé et des combats explosifs en side-scroller. Le studio met l’accent sur la variété des situations, entre fuite, affrontements et missions de guerre totale. D’après Reef Entertainment, le scénario original fait converger nostalgie et nouveautés, avec une conclusion laissée aux choix du joueur.

Visuel du jeu Terminator 2D NO FATE sur PC et consoles montrant pixel art, HUD rétro, effets lumineux et interface hardware compatible manette

Dernier détail communiqué : des portages destinés à des plateformes rétro sont prévus, mais seront précisés ultérieurement. Aucun calendrier n’est donné pour l’instant.

Source : TechPowerUp

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Zenbook Duo double batterie : ASUS tease une autonomie « next level » avant le CES 2026

Le Zenbook Duo s’oriente vers une double batterie, et ASUS le montre sans détour dans un teaser de 22 secondes qui martèle « next level durability » et « next level power that lasts ».

Zenbook Duo : vers une architecture à deux batteries

La vidéo publiée par le compte global d’ASUS s’attarde sur des charnières renforcées avant d’afficher deux cellules lumineuses, l’une par moitié de châssis. Le rendu CGI laisse entendre une configuration à deux batteries embarquées, une approche déjà aperçue ailleurs : d’après Wccftech, le ThinkPad T580 15 pouces de Lenovo adopte un montage comparable, sans double écran, avec une autonomie annoncée de 27 heures.

ASUS Zenbook Duo prototype double batterie écran secondaire clavier, concept ultrafin autonomie améliorée CES 2026

ASUS confirme une présentation du Zenbook DUO nouvelle génération au CES 2026, lors d’un événement en ligne le 6 janvier à 9 h 00 (PST). Dans la description YouTube, la marque prévient : « A new chapter is unfolding. Are you ready to witness the future of ASUS Zenbook DUO ? », avant d’inviter à suivre le livestream #CES2026.

Ordinateur portable ASUS Zenbook Duo ouvert montrant double écran et châssis fin, concept double batterie pour longue autonomie

Côté base technique actuelle, le Zenbook DUO (UX8406) propose deux écrans OLED tactiles 14 pouces 3K à 120 Hz. La configuration la plus musclée s’appuie sur un Core Ultra 9 285H, APU « Arrow Lake-H », accompagné d’un iGPU Arc Graphics 140T (Xe-LPG+). Le millésime 2026 pourrait basculer sur du matériel de nouvelle génération : il semblerait que « Panther Lake-H » soit au programme, avec des fuites évoquant un Core Ultra X9 388H doté d’un iGPU 12 cœurs Xe3, plus à l’aise pour entraîner deux dalles haute définition et haut rafraîchissement.

Asus Zenbook Duo vue de face écran double charnière clavier secondaire portables ultralégers double batterie

Clavier détachable revu, autonomie en ligne de mire

Le court teaser laisse aussi entrevoir un clavier détachable redessiné : pavé tactile élargi, touches plus encastrées et profil aminci par rapport à l’accessoire actuel. Le tout s’inscrit dans une stratégie franche autour de l’endurance et de la robustesse, portée par cette possible architecture à deux batteries, réparties entre les deux moitiés de l’appareil.

Rendez-vous le 6 janvier pour les spécifications complètes et la confirmation de cette conception. ASUS renvoie vers son site dédié au CES pour suivre la diffusion.

Source : TechPowerUp

Lire aussi : ASUS rafle 15 Good Design Awards 2025 : la marque taïwanaise la plus primée

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Monster Hunter Wilds PC : Capcom détaille les boosts de perfs et le patch Steam

Monster Hunter Wilds PC passe à la vitesse supérieure. Capcom déploie des optimisations CPU/GPU avec la mise à jour 4 du 16 décembre 2025, puis enchaîne avec un patch exclusif Steam fin janvier 2026 et la version 1.041 en février. « Nous sommes engagés à améliorer stabilité et performances » affirme l’éditeur.

Monster Hunter Wilds PC : optimisation globale et nouveaux contenus

La Title Update 4 ajoute le Gogmazios, premier Dragon ancien de Wilds, élargit l’endgame avec les armes Gogma Artian et introduit des améliorations de stabilité/performance sur PS5, Xbox Series X|S et Steam. Côté technique, Capcom distribue les traitements lourds sur plusieurs frames pour les joueurs, monstres et interfaces (HUD, cartes), réduit le nombre d’effets simultanés, affine la détection de collisions pour Palico et Seikret, et optimise l’usage mémoire.

Capture d'écran Monster Hunter Wilds PC montrant options graphiques, réglages performance, GPU et CPU, optimisation Steam

Des comparatifs internes entre TU3 et TU4 sur PC montrent, à paramètres identiques, des gains mesurés sur la configuration recommandée. Exemple Intel/NVIDIA : Core i5‑10400, GeForce RTX 2060 Super 8 Go, 1080p upscalé via DLSS Performance, réglages graphiques Medium. Exemple AMD/AMD : Ryzen 5 5600X, Radeon RX 6600 8 Go, 1080p upscalé via FSR Performance, Medium. Les tests, avec la génération d’images désactivée, s’appuient sur l’overlay Steam et restent indicatifs selon les PC.

Dans la zone Windward Plains, réputée gourmande lors des événements Inclemency, le framerate tournait autour de 40 FPS avant TU4 sur ces configs types. Capcom indique que la plupart des cas passent au‑dessus de 40 FPS après mise à jour, avec environ +5 % ou plus dans Scarlet Forest et Oilwell Basin. Les machines au minimum requis semblent moins profiter des hausses que celles au recommandé. Le contenu reste susceptible d’évoluer.

Autre changement : le benchmark Monster Hunter Wilds sera retiré de Steam après TU4, l’outil ne reflétant plus fidèlement les performances de la version commerciale.

Patch exclusif Steam fin janvier 2026

Capture d'écran Monster Hunter Wilds sur PC montrant options graphiques, optimisation CPU/GPU, réglages Ray Tracing et HDR

Capcom prépare un patch ciblant les processus spécifiques à Steam et une révision des préréglages. Un nouvel onglet CPU arrive dans Options, avec des curseurs pour diminuer la charge processeur : Endemic Life Display Count, Players Displayed in Lobby, Small Monster Quality, Effect Quality, Animation Quality. Côté GPU, de nouvelles options comme Foliage Density et des niveaux pour le Volumetric Fog permettront d’ajuster précisément la charge selon la configuration et les préférences.

Capture d'écran Monster Hunter Wilds PC montrant options graphiques, FPS et réglages GPU, optimisation performance Steam

Le studio annonce aussi des optimisations de VRAM, une meilleure intégration du texture pack haute définition, une accélération du texture streaming et la réduction des attentes liées à la compilation des shaders au lancement. Sur certaines versions de pilotes graphiques et logiciels concurrents, des problèmes peuvent survenir : Capcom recommande de vérifier les configurations requises avant TU4.

En février 2026, la version 1.041 ajoutera Arch‑Tempered Arkveld et d’autres contenus, ainsi que de nouvelles optimisations. Au menu : poursuite des gains CPU/GPU et ajout de niveaux de qualité LOD au maillage polygonal pour réduire la charge en remplaçant les objets éloignés par des modèles plus légers. Les processus liés à la mémoire seront réexaminés pour dénicher d’autres marges.

Source : TechPowerUp

Lire aussi : Spécifications PC pour Monster Hunter Wilds : SSD requis, support DirectStorage recommandé

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CORSAIR décline l’écran tactile XENEON EDGE 14,5″ en Atomic Purple et blanc

CORSAIR enrichit sa gamme d’écrans secondaires XENEON EDGE avec deux nouvelles finitions très attendues : Atomic Purple et White. Ces nouvelles versions conservent le format compact et polyvalent de l’écran tactile LCD 14,5 pouces tout en offrant davantage de liberté esthétique aux constructeurs, créateurs de contenu et passionnés de PC.

corsair xenon edge box unboxing 01

La version Atomic Purple adopte une finition translucide rétro, évoquant l’esthétique des périphériques iconiques des années 90, tout en ajoutant de la profondeur visuelle à la configuration. À l’opposé, la version blanche mise sur une apparence épurée et minimaliste, parfaitement adaptée aux setups modernes et aux stations de travail haut de gamme. Les deux coloris s’étendent également au support de bureau inclus afin de garantir une cohérence visuelle, que l’écran soit monté dans un boîtier ou posé sur un bureau.

Un écran secondaire polyvalent pour la surveillance et la productivité

Le XENEON EDGE repose sur une dalle AHVA de 14,5 pouces affichant une résolution native de 2560 × 720 pixels à 60 Hz. Ce format allongé est idéal pour afficher des widgets, des statistiques système ou des applications secondaires sans encombrer l’écran principal. Les larges angles de vision assurent une excellente lisibilité, quelle que soit la position de l’écran dans le boîtier ou sur le bureau.

L’écran tactile capacitif multipoint à cinq points permet une interaction fluide et intuitive, qu’il s’agisse de surveiller les températures CPU et GPU, de contrôler la lecture multimédia ou de gérer des outils de productivité. CORSAIR accompagne ces nouveautés d’une garantie étendue à trois ans et introduit une garantie zéro pixel mort sur l’ensemble de la gamme XENEON EDGE, renforçant la tranquillité d’esprit des utilisateurs.

Intégration logicielle et écosystème CORSAIR

XENEON EDGE s’intègre étroitement à l’écosystème logiciel CORSAIR. Il est compatible avec iCUE pour l’affichage de données système personnalisées, Virtual Stream Deck pour l’exécution rapide de commandes, ainsi qu’avec des outils tiers comme SimHub pour la télémétrie de simulation automobile. Les utilisateurs peuvent afficher en temps réel des informations telles que la météo, les calendriers, les notifications ou encore des dashboards de performance, le tout sur un écran dédié.

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Sous Windows, l’écran est reconnu comme un second affichage entièrement fonctionnel, utilisable en orientation paysage ou portrait, avec prise en charge complète du tactile. Cette polyvalence en fait un atout aussi bien pour le gaming que pour le streaming ou les flux de travail créatifs.

Options de montage flexibles pour toutes les configurations

CORSAIR mise sur une grande flexibilité d’installation. Le XENEON EDGE peut être monté à l’intérieur d’un boîtier via un support de ventilateur 360 mm, fixé à un panneau ou à toute surface métallique grâce aux aimants intégrés, ou simplement posé sur un bureau à l’aide du support fourni. Deux filetages standard 1/4″-20 assurent la compatibilité avec les bras Elgato Multi Mount et autres supports utilisés par les créateurs de contenu.

Côté connectique, l’écran dispose d’un port USB Type-C avec mode DisplayPort Alt ainsi que d’un port HDMI pleine taille, permettant une utilisation aussi bien avec une carte graphique de PC fixe qu’avec un ordinateur portable.

Disponibilité et garantie

Les versions Atomic Purple et White de l’écran tactile LCD CORSAIR XENEON EDGE 14,5″ sont disponibles dès maintenant sur la boutique en ligne CORSAIR à 259,90 euros. La version blanche sera également distribuée via le réseau mondial de revendeurs agréés à partir du premier trimestre 2026 au même tarif.

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DeepCool CL600 : le boîtier dérivé du CL6600 pensé exclusivement pour le refroidissement par air

Après avoir introduit le CL6600, un boîtier innovant doté d’un compartiment supérieur dédié au watercooling avec conduit d’air indépendant, DeepCool décline aujourd’hui ce concept sous une forme plus simple et plus accessible avec le DeepCool CL600.

En supprimant le module supérieur réservé au refroidissement liquide, DeepCool propose un boîtier entièrement pensé pour les configurations à refroidissement par air, tout en conservant l’esthétique et la qualité de fabrication qui ont fait le succès du modèle original.

Le DeepCool CL600 est désormais disponible sur le marché national en noir et blanc, avec un prix de départ fixé à 599 yuans.

DeepCool CL600 face

Un format plus compact sans compromis sur le design

L’abandon de la chambre supérieure dédiée au watercooling permet au DeepCool CL600 de réduire considérablement sa hauteur, passant de 533,5 mm sur le CL6600 à 422,5 mm. Malgré cette réduction, le boîtier conserve l’essentiel de son identité visuelle :

  • Panneaux avant, latéral et supérieur avec déverrouillage rapide sans outil,
  • Façade avant intégrant des éléments décoratifs en bois et des entrées d’air verticales,
  • Deux ventilateurs ARGB à pales inversées de 120 mm positionnés en bas pour l’admission d’air,
  • Panneau d’E/S frontal placé dans la partie inférieure avant pour un accès facile.

Le panneau supérieur, autrefois fermé pour créer un conduit d’air indépendant, adopte désormais une large surface en mesh, favorisant la ventilation naturelle du châssis.

Un boîtier exclusivement optimisé pour le refroidissement par air

Contrairement au CL6600, le DeepCool CL600 ne prend plus en charge l’installation de radiateurs de watercooling. Tous les emplacements sont réservés aux ventilateurs, ce qui en fait un partenaire naturel pour les refroidisseurs CPU à air hautes performances.

Les possibilités de ventilation sont généreuses :

  • Haut : jusqu’à 3 ventilateurs de 120 mm ou 2 de 140 mm,
  • Avant : 2 ventilateurs de 140 mm,
  • Arrière : 1 ventilateur de 120 ou 140 mm,
  • Bas : 2 ventilateurs de 120 mm (inclus de série).

Cette configuration favorise un flux d’air vertical efficace, parfaitement adapté aux configurations gaming ou professionnelles misant sur des ventirads imposants.

Compatibilité matérielle et connectique moderne

Malgré son positionnement tarifaire accessible, le DeepCool CL600 reste très polyvalent. Il prend en charge :

  • Cartes mères Mini-ITX, Micro-ATX et ATX, y compris les modèles à connectique arrière (BTF),
  • Cartes graphiques jusqu’à 413 mm de longueur (sans ventilateur avant),
  • Refroidisseurs CPU jusqu’à 175 mm de hauteur,
  • Alimentations ATX jusqu’à 160 mm.

La connectique frontale comprend :

  • 2 ports USB Type-A 5 Gbps,
  • 1 port USB Type-C 10 Gbps,
  • 1 prise audio jack 3,5 mm.

Des filtres à poussière sont présents à l’avant, en haut et en bas pour faciliter l’entretien.

Caractéristiques techniques du DeepCool CL600

  • Matériaux : acier SPCC, ABS et verre trempé,
  • Dimensions : 457,5 × 235 × 422,5 mm,
  • Emplacements PCI : 7,
  • Stockage : jusqu’à 3 HDD 3,5″ et 1 SSD 2,5″ ou configurations mixtes,
  • Ventilateurs inclus : 2 × 120 mm au bas du boîtier,
  • Garantie : 1 an.

Prix et disponibilité

Le DeepCool CL600 est désormais disponible :

  • Version noire à partir de 599 yuans,
  • Version blanche à partir de 699 yuans.

Avec ce modèle, DeepCool propose une alternative plus compacte et plus simple au CL6600, idéale pour les utilisateurs souhaitant un boîtier élégant, bien ventilé et exclusivement orienté refroidissement par air, sans les contraintes du watercooling.

Source : Expreview

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THEQUICKSHOT II : le joystick rétro légendaire fait son grand retour en version USB moderne

Retro Games Ltd. (RGL), en partenariat avec PLAION REPLAI, annonce THEQUICKSHOT II, une réinterprétation moderne de l’un des joysticks les plus iconiques de l’histoire du jeu vidéo sur micro-ordinateurs. Fidèle à la silhouette, à la prise en main et à l’ADN arcade du Quickshot II original, cette nouvelle version apporte une compatibilité moderne tout en respectant l’héritage d’un périphérique devenu légendaire.

THEQUICKSHOT II 1

Pour toute une génération de joueurs des années 1980 et du début des années 1990, le Quickshot II n’était pas une option parmi d’autres : c’était la référence absolue. Sa gâchette rouge emblématique, son manche inspiré des bornes d’arcade et sa robustesse en ont fait un accessoire immédiatement reconnaissable, encore aujourd’hui chargé de nostalgie.

Une conception fidèle, modernisée pour le jeu rétro actuel

THEQUICKSHOT II conserve la sensation historique du joystick d’origine, tout en l’adaptant aux exigences actuelles grâce à une connexion USB plug-and-play et une électronique moderne plus fiable. Il est pensé aussi bien pour les machines Retro Games Ltd. que pour la majorité des systèmes informatiques et plateformes de jeu rétro compatibles USB.

THEQUICKSHOT II switches

Parmi les caractéristiques clés, on retrouve :

  • Huit boutons au total, dont deux boutons de tir et six boutons de fonction,
  • Un mécanisme à rotule flottante offrant un mouvement circulaire fluide en huit directions,
  • Une construction 100 % microswitch pour toutes les directions et boutons, signature de Retro Games Ltd.,
  • Un commutateur automatique pour les tentatives de score rapide, héritage direct du modèle original,
  • Une poignée ergonomique pensée pour le confort lors des longues sessions,
  • Des ventouses stabilisatrices pour un maintien optimal sur surface plane,
  • Un câble USB-A de 1,8 m adapté aux setups modernes.

Un héritage profondément ancré dans l’histoire du jeu vidéo

Le THEQUICKSHOT II original s’est imposé comme une véritable référence culturelle car il n’était pas lié à une seule plateforme. Sur Commodore 64, il a accompagné des classiques intemporels comme Summer Games, International Karate, Impossible Mission ou Uridium, devenant pour beaucoup l’expérience Commodore par excellence.

Les joueurs ZX Spectrum l’ont adopté comme une alternative plus précise et durable aux sticks d’origine, notamment pour des titres emblématiques tels que Jet Set Willy ou Saboteur. Son influence s’est également étendue à l’Amstrad CPC, l’Atari ST et surtout au Commodore Amiga, où sa précision et sa solidité répondaient parfaitement à l’évolution des jeux vers des mécaniques plus rapides et exigeantes.

THEQUICKSHOT II boite

Sur toutes ces machines, le THEQUICKSHOT II n’était pas simplement populaire : il a façonné la manière dont une génération entière a appris à jouer.

Un hommage assumé à une légende du gaming

Paul Andrews, directeur général de Retro Games Ltd., résume parfaitement l’esprit du projet :

« Le Quickshot II original est l’un des contrôleurs les plus reconnaissables de l’ère des ordinateurs domestiques. Avec THEQUICKSHOT II, nous voulions honorer cet héritage tout en l’adaptant aux attentes modernes, sans trahir son ergonomie ni son esprit arcade. C’est un morceau d’histoire du jeu vidéo qui renaît. »

Disponibilité et prix

THEQUICKSHOT II est disponible en précommande dès maintenant au prix de 29,99 £.
La sortie officielle du joystick est prévue pour le 30 janvier 2026.

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Star Wars Galactic Racer : le jeu de course high-stakes attendu en 2026

Star Wars Galactic Racer fait rugir ses réacteurs : la nouvelle licence de course sortira en 2026 sur PS5, Xbox Series X|S et PC. Développé par Fuse Games, le studio AAA mené par l’ex-Criterion Matt Webster, en collaboration avec Lucasfilm Games et édité par Secret Mode, le titre promet une approche « runs-based » où chaque tentative compte.

Star Wars Galactic Racer : ligue clandestine, runs et prises de risque

Capture du jeu Star Wars Galactic Racer montrant vaisseau futuriste en haute résolution, éclairage dynamique, textures détaillées GPU, rendu 3D temps réel

Bienvenue dans la Galactic League, un circuit non homologué né dans la Bordure extérieure. Les meilleurs pilotes s’y affrontent dans des courses violentes où seuls les plus audacieux survivent. Au programme : percuter, déporter, éliminer. Plusieurs classes de véhicules à répulseurs, chacune avec sa physique et son style de pilotage, et des tracés à embranchements sur des planètes inédites ou iconiques de Star Wars pour que deux courses ne se ressemblent jamais.

Le studio veut un jeu de course aventureux, spectaculaire, fondé sur des choix risque-récompense à chaque instant. D’après Matt Webster, PDG de Fuse Games, « nous voulions réinventer ce que peut être un jeu de course ».

Campagne scénarisée, PvP stratégique et personnalisation

Capture du jeu Star Wars Galactic Racer montrant vaisseaux en course, graphismes haute fidélité, textures 4K, rendu GPU, faible latence

Au centre de Star Wars Galactic Racer, Shade, pilote solitaire en quête de gloire et de vengeance, se heurte à Kestar, rival impitoyable aux ambitions dévorantes pour la League. Solo, la campagne impose alliances, dépassements impeccables et survie pour atteindre l’élite. Côté multi, des affrontements compétitifs misent sur des duels de rancune en PvP où la réputation suit le joueur. Chaque run débloque des aptitudes, la construction du bolide se personnalise, et les takedowns brutaux deviennent une signature. Pas de Force ni de prophétie : uniquement du talent, de la stratégie et de la volonté de s’élever.

Lucasfilm Games salue l’ADN course de Star Wars Galactic Racer, des podracers aux poursuites, tandis que Secret Mode parle d’une expérience audacieuse à l’identité marquée. « Le jeu saisit cet esprit et l’élève en une nouvelle forme d’aventure de course », résume Douglas Reilly, VP et GM chez Lucasfilm Games.

Cockpit d'hyperpod Star Wars en rendu 3D haute résolution, textures PBR, éclairage HDR, GPU ray tracing, 4K

Source : TechPowerUp

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Control Resonant annoncé pour 2026 : Manhattan déformée, Dylan Faden en première ligne

Control Resonant change de protagoniste et de terrain de jeu : Manhattan se tord, Dylan Faden mène l’offensive contre une menace cosmique. Remedy Entertainment vise 2026, avec Annapurna en coproducteur.

Control Resonant en 2026 : nouveau héros, même univers tordu

Capture de Control Resonant 2026 montrant Manhattan déformée, effets de particules, éclairage avancé et textures haute résolution, protagoniste Dylan Faden

Remedy Entertainment a levé le voile sur Control Resonant, suite du jeu Control multi-récompensé. Le jeu d’action-aventure aux accents RPG arrive en 2026 sur PlayStation 5, Xbox Series X/S, PC via Steam et Epic Games Store, ainsi que sur Mac via Steam et l’App Store. L’éditeur sera Remedy lui-même, avec un cofinancement et une coproduction assurés par Annapurna Pictures dans le cadre d’un partenariat stratégique.

Le récit propulse Dylan Faden hors des murs de la FBC après des années de confinement. Ses anciens geôliers l’envoient au cœur d’une crise surnaturelle où une entité cosmique altère des pans entiers de la réalité. Objectif : canaliser des pouvoirs inédits, contenir l’invasion et survivre dans un Manhattan recomposé, tout en cherchant sa sœur, Jesse Faden, directrice de la FBC.

Selon Mikael Kasurinen, directeur créatif, « Control Resonant élargit notre terrain de jeu vers un monde déformé par la réalité » et se veut « facile à prendre en main et difficile à lâcher ». Remedy promet une échelle supérieure à tout ce que le studio a proposé jusqu’ici, avec une montée en puissance du combat, de l’exploration et de la narration.

Manhattan fracturée, progression profonde, arme métamorphe

Capture de Control Resonant 2026 : Manhattan distortée, effets physiques, Ray tracing, textures haute résolution, personnage Dylan Faden en action

Le terrain de jeu couvre plusieurs zones de Manhattan, remodelées par une force étrangère qui défie les lois naturelles et distord la gravité. Les joueurs naviguent dans des lieux à la perception instable et franchissent la matière pour explorer un espace métaphysique reflétant la psyché tourmentée de Dylan.

La progression s’annonce plus dense : pouvoirs à maîtriser et à façonner via des choix, capacités qui évoluent, et utilisation stratégique de l’environnement. Le combat met en avant des menaces changeantes et l’arme de mêlée de Dylan, l’Aberrant, capable de se transformer, en plus d’aptitudes élémentaires à déchaîner.

Capture du gameplay de Control Resonant montrant Manhattan déformée, effets physiques, ray tracing et personnages en combat (Dylan Faden)

Source : TechPowerUp

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Exodus dévoile « The Rise of Jun Aslan » et vise un lancement début 2027

Exodus relève le voile sur son nouveau trailer, et confirme une fenêtre de sortie ambitieuse : début 2027. Archetype Entertainment esquisse une aventure SF qui fait de Jun Aslan un joueur pris entre insignifiance et destin hors norme.

Exodus : « The Rise of Jun Aslan » précise la vision du RPG SF

Prototype carte mère et processeur Exodos 'The Rise of Jun Aslan' concept, composants hardware, connecteurs PCIe et VRM

Le studio fondé pour « pousser les limites du RPG » dévoile un nouvel aperçu de son jeu centré sur Jun, protagoniste créé pour incarner une ascension vécue manette en main. Dans Exodus, Jun débute comme simple ferrailleur sur Lidon, une lune mourante oubliée par une galaxie passée à autre chose, à fouiller « quarante mille ans d’épaves ». L’univers se situe des dizaines de millénaires après l’effondrement de la Terre, au cœur de l’amas du Centaure, où les premiers colons ont évolué en Celestials, entités ultra-puissantes dirigeant des systèmes stellaires et méprisant l’humanité.

Exodus The Rise of Jun Aslan capture

Dans ce contexte, le personnage porte un secret biologique que les Celestials craignent. Archetype insiste sur une progression méritée : pas de héros tout-puissant dès l’intro, mais un apprentissage jusqu’au statut de Traveler, ces explorateurs capables de traverser temps et espace pour subtiliser des technologies alien. D’après le studio, le doute, l’« imposteur », puis la confiance doivent rythmer la montée en puissance et définir qui Jun choisira de devenir.

Le message est clair : « vous ne perdez jamais votre humanité », affirme la communication officielle, rappelant que choix, regrets et dilemmes sans bonne réponse façonneront la trajectoire du héros.

Compagnons, sacrifices et héritage à travers le temps

Prototype PC gamer Exodus

Le studio met en avant le coût réel d’être Traveler : naviguer à la frontière de la vitesse de la lumière, laisser les proches derrière soi, et se heurter aux effets du temps. L’équipage devient un socle : Tom, soldat marqué par trop de combats ; Elise, optimiste rugueuse aux cicatrices profondes ; et Salt, pieuvre éveillée dans un mécha, apportent des compétences et des ancrages émotionnels. Les décisions concernant la confiance, la technologie Remnant maîtrisée et les sacrifices consentis résonneront sur plusieurs générations.

Visuel conceptuel Exodus The Rise of Jun Aslan carte graphique prototype GPU architecture refroidissement RGB

Archetype Entertainment promet d’autres détails dans l’année à venir : compagnons, planètes hostiles et extraits de gameplay illustrant la progression de Jun au fil des missions. La bande-annonce Exodus « The Rise of Jun Aslan » est présentée comme un aperçu du héros et du futur que les joueurs pourront façonner. Sortie prévue début 2027.

Source : TechPowerUp

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GPTPets - Des animaux virtuels pour égayer vos sessions ChatGPT et Claude

Vous bossez toute la journée sur ChatGPT ou Claude et vous commencez à trouver ça un peu tristounet ? Youpi, y’a une extension Chrome qui va égayer tout ça avec des petits animaux virtuels qui se baladent sur votre interface comme quand on était en 1999.

Ça s’appelle GPTPets et c’est le genre de truc complètement inutile donc forcément indispensable comme disait Jérôme Bonaldi. Le principe c’est d’avoir un petit compagnon animé qui vit sa vie sur la barre de saisie de votre IA préférée, genre un chat qui fait la sieste, un chien qui remue la queue, un panda qui mange du bambou, une brigitte qui insulte ses paires… bref vous voyez le genre.

L’extension propose 8 animaux différents avec des petites animations bien mignonnes et ça marche pas que sur ChatGPT, non non. Claude, Gemini, Grok… tous les grands noms de l’IA générative sont supportés, donc peu importe votre dealer habituel, vous pouvez avoir votre petit compagnon.

Le truc c’est que ça reste discret. Les bestioles se posent sur la barre d’input et font leur vie sans vous gêner. C’est juste là pour mettre un peu de vie dans ces interfaces qui sont quand même assez austères de base.

Derrière ce projet, y’a Tanmay Hinge, un artiste et développeur de jeux qui s’est dit que nos sessions de prompt méritaient un peu plus de fantaisie et après des heures passées à causer avec une IA, avoir un petit chat de soutien émotionnel pixelisé qui roupille à côté du curseur, ça fait du bien.

C’est gratuit, c’est léger, et ça s’installe en deux clics depuis le Chrome Web Store . Voilà, si vous cherchez à rendre vos sessions d’IA un poil plus sympathiques, c’est par ici que ça se passe .

Merci à Lorenper pour le partage !

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Suprise ! Un micro caché dans un petit KVM chinois à 30 balles

Je ne connaissais pas le NanoKVM mais c’est un petit boîtier KVM chinois vendu entre 30 et 70€ qui permet de contrôler un PC à distance. Sauf qu’un chercheur en sécurité slovène a découvert qu’il embarquait un micro planqué capable d’enregistrer tout ce qui se dit autour. Ça craint !

En effet, Matej Kovačič a ouvert son NanoKVM et y a trouvé un minuscule composant de 2x1 mm dissimulé sous le connecteur. Un truc tellement petit qu’il faut une loupe ou un microscope pour le dessouder proprement. Et pourtant, ce micro MEMS est capable d’enregistrer de l’audio de “qualité surprenamment élevée” comme il le dit et le pire c’est que l’appareil est fourni avec tous les outils nécessaires (amixer, arecord) pour l’activer via SSH et même streamer le son en temps réel sur le réseau.

Alors comment c’est arrivé là ?

En fait le NanoKVM est basé sur un module LicheeRV Nano qui est prévu pour plein d’usages embarqués différents, dont certains nécessitent de l’audio. Quand Sipeed l’a transformé en KVM grand public, ils ont juste… gardé le micro. Sans le documenter. Sans le désactiver. Sympa hein ?

Et le chercheur a aussi trouvé que les premières versions arrivaient avec un mot de passe par défaut et SSH grand ouvert. L’interface web n’avait aucune protection CSRF, et la clé de chiffrement des mots de passe était codée en dur et identique sur TOUS les appareils vendus. En bonus, le bidule communiquait avec des serveurs chinois pour les mises à jour, sans aucune vérification d’intégrité du firmware téléchargé. Et cerise sur le gâteau, y’avait des outils de hacking préinstallés comme tcpdump et aircrack. Aïe aïe aïe…

Depuis la publication du rapport, Sipeed a quand même bougé et ils ont corrigé pas mal de failles, mis à jour la documentation pour mentionner (enfin) la présence du micro, et annoncé que les futures versions n’auraient plus ces composants audio. Les firmwares récents désactivent aussi les drivers correspondants.

Et comme le projet est à la base open source, des membres de la communauté ont commencé à porter dessus des distributions Linux alternatives (Debian, Ubuntu). Faut ouvrir le boîtier et reflasher la carte microSD, mais au moins vous savez exactement ce qui tourne dessus…

Bref, comme quoi ça vaut toujours le coup de démonter ses appareils et de jeter un œil à ce qu’il y a dedans. Merci à Letsar pour l’info !

Source

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MediaBunny - L'avenir du traitement vidéo dans le navigateur

Vous avez déjà essayé de faire du traitement vidéo dans le navigateur

Bienvenue en enfer ! Et dire que pendant 20 ans, la seule solution viable c’était de compiler FFmpeg en WebAssembly, attendre 10 secondes que 40 Mo de code se chargent, puis regarder votre RAM fondre comme neige au soleil.

Heureusement, MediaBunny débarque et compte bien changer les choses !

En effet, cette bibliothèque TypeScript vous permet de lire, écrire et convertir des fichiers vidéo et audio directement dans le navigateur. MP4, WebM, MKV, MP3, WAV, Ogg, FLAC, vous nommez simplement le format, et MediaBunny le gère. Et la bibliothèque ne pèse que 5 Ko en version minifiée. Ça semble peu mais en fait, au lieu d’essayer de porter un outil desktop vers le web, Vanilagy (le créateur) a construit MediaBunny from scratch pour exploiter ce que le navigateur savait déjà faire.

La clé, c’est donc l’API WebCodecs qui existe depuis Chrome 94 sorti en 2021, mais que presque personne n’utilise. Cette API donne accès direct à Javascript à l’accélération matérielle de votre GPU pour encoder et décoder la vidéo que ce soit du H.264, H.265, VP8, VP9 et tout ça en temps réel. Et MediaBunny se branche dessus et vous donne une interface propre pour manipuler vos médias.

Vous voulez extraire les métadonnées d’une vidéo MP4, convertir un WebM en MP4 ou encore extraire une piste audio d’une vidéo ? En 3 lignes de code c’est plié, et tout ça en local dans votre navigateur.

MediaBunny supporte plus de 25 codecs vidéo, audio et sous-titres. H.264, H.265, VP8, VP9, AV1 pour la vidéo. AAC, Opus, Vorbis, MP3, FLAC pour l’audio. WebVTT pour les sous-titres…etc.

Et l’outil étant pensé avec un design modulaire qui permet de faire du tree-shaking , vous pouvez embarquer uniquement le code dont vous avez besoin, ce qui allège encore plus le bouzin. MediaBunny est d’aillerus l’évolution technique de deux projets du même auteur : mp4-muxer et webm-muxer. Ces bibliothèques faisaient déjà du bon boulot pour écrire des vidéos MP4 et WebM côté client, mais MediaBunny va beaucoup plus loin en supportant la lecture, l’écriture et la conversion pour tous les formats courants.

Si ça vous chauffe, pour installer MediaBunny, c’est du classique :

npm install mediabunny

Et voici un exemple d’utilisation basique pour lire un fichier vidéo :

const input = new Input({
 source: new UrlSource('./bigbuckbunny.mp4'),
 formats: ALL_FORMATS, // .mp4, .webm, .wav, ...
});

const duration = await input.computeDuration();

const videoTrack = await input.getPrimaryVideoTrack();
const { displayWidth, displayHeight, rotation } = videoTrack;

const audioTrack = await input.getPrimaryAudioTrack();
const { sampleRate, numberOfChannels } = audioTrack;

// Get the frame halfway through the video
const sink = new VideoSampleSink(videoTrack);
const frame = await sink.getSample(duration / 2);

// Loop over all frames of the video
for await (const frame of sink.samples()) {
 // ...
}

D’autres exemples sont disponibles ici.

Le code est dispo sur GitHub sous licence MPL-2.0, ce qui vous permet de l’utiliser dans des projets commerciaux sans problème et la documentation complète est sur mediabunny.dev avec des guides pour tous les cas d’usage.

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HTTP Breakout Proxy - Le reverse engineering sans prise de tête

Pendant que Burp Suite avale 500 Mo de RAM au démarrage, HTTP Breakout Proxy lui, tient dans un binaire de quelques Mo qui disparaît dès que vous fermez le terminal.

Alors HTTP Breakout Proxy c’est quoi ?

Hé bien les amis, c’est un proxy HTTP/HTTPS écrit en Go qui intercepte le trafic réseau en temps réel et vous propose une interface web pour analyser tout ce qui passe. Requêtes, réponses, headers, body, timing… Tout est capturé et affiché proprement dans votre navigateur.

Vous le lancez avec ./http-breakout-proxy, il écoute sur 127.0.0.1:8080, et vous ouvrez l’interface dans votre browser. Ensuite, si vous voulez débugger une API par exemple, vous lancez le proxy, vous configurez votre client HTTP pour passer par localhost:8080, et vous voyez tout passer en direct.

C’est vrai que Burp est devenu un monstre à tout faire avec scanner de vulnérabilités, fuzzer, crawler, extensions… Y’a aussi Charles Proxy que j’aime bien mais qui pèse dans les 100 Mo et nécessite une JVM complète. Et même mitmproxy , pourtant réputé léger, a accumulé tellement de fonctionnalités qu’il faut lire 50 pages de doc pour comprendre comment l’utiliser.

Avec HTTP Breakout Proxy, il y a moins de features c’est vrai mais ça va plus vite et c’est gratuit. Maintenant, au niveau technique, le projet utilise l’interception MITM classique. Vous installez le certificat racine fourni par le proxy, et il peut déchiffrer le trafic HTTPS qui passe par lui. Ensuite, l’interface web affiche tout en temps réel via Server-Sent Events. Vous avez du filtrage par regex, du color-coding configurable pour repérer visuellement les requêtes importantes, et même des charts Gantt pour visualiser le timing des connexions…etc.

Que demande le peuple ? Ah oui, y’a aussi l’export vers curl ou Python requests, ce qui est pratique quand vous voulez rejouer une requête dans un script. Et bien sûr la possibilité de mettre la capture en pause pour analyser tranquillement ce qui s’est passé.

Voilà, c’est minimaliste mais ça marche hyper bien et quand on est pas un pro de la sécurité, c’est bien d’avoir des outils de ce style pour explorer un truc vite fait. Et merci à Lorenper pour le partage !

A découvrir ici !

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Transformez n'importe quel lien en QR code LEGO fonctionnel

Vous avez des LEGO qui traînent chez vous et vous cherchez un projet un peu original à faire avec ? Hé bien j’ai trouvé un truc sympa pour vous occuper ce week-end : Construire un QR code fonctionnel en briques LEGO.

Ça s’appelle Brick QR Code et c’est un générateur en ligne qui transforme n’importe quelle URL en instructions de montage LEGO. Vous entrez votre lien, le site génère le pattern, et hop vous avez tout ce qu’il faut pour construire un QR code scannable avec vos petites briques colorées.

Un QR code c’est juste une grille de carrés noirs et blancs, et ça tombe bien parce que les LEGO 1x1, c’est totalement ça. Le site vous donne les instructions étape par étape, un modèle 3D pour visualiser le truc, et surtout une liste de pièces compatible BrickLink pour commander exactement ce qu’il vous manque.

Pour que ça marche, il faut respecter quand même quelques règles de base. D’abord, la taille minimum d’un QR code c’est 21x21 studs, mais ça peut monter plus haut selon la longueur de votre URL. Ensuite, et c’est super important, il faut absolument une bordure blanche autour du code sinon votre téléphone n’arrivera pas à le scanner. C’est le piège classique dans lequel tout le monde tombe au début.

D’ailleurs, le fait que ça soit en LEGO ne pose aucun problème de lecture. Malgré la surface un peu irrégulière des briques avec les studs qui dépassent, les smartphones modernes scannent ça sans broncher. Y’a même des gens qui font ça depuis 2009 et qui confirment que ça fonctionne nickel.

Après, c’est surtout un projet fun à faire pour le délire. Vous pouvez coller ça sur la fenêtre de votre bureau pour impressionner vos collègues, l’offrir à quelqu’un avec un lien vers une playlist ou un message perso, ou juste le faire parce que c’est cool de construire un code qui marche vraiment. Et puis c’est quand même plus classe qu’un QR code imprimé sur du papier, non ?

Voilà, si vous voulez vous lancer, prévoyez une baseplate d’au moins 32x32 studs pour avoir de la marge avec la bordure, et assurez-vous d’avoir assez de pièces 1x1 dans deux couleurs bien contrastées. Le noir et blanc c’est le plus fiable, mais techniquement n’importe quel combo de couleurs avec un bon contraste devrait passer.

A découvrir ici : Brick QR Code

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Harden Windows Security - Blindez votre Windows sans installer un seul logiciel tiers !

Vous vous souvenez de toutes ces fois où je vous ai expliqué comment renforcer la sécurité de Windows avec telle ou telle petite astuce ? Hé bien y’a un projet GitHub qui va vous faire plaisir si vous êtes du genre à vouloir blinder votre machine sans installer 50 logiciels tiers.

Ça s’appelle Harden Windows Security , et c’est signé par un dev qui se fait appeler HotCakeX. Son idée c’est de sécuriser Windows en utilisant uniquement les méthodes officielles de Microsoft. Pas de bidouilles, pas de composants externes qui pourraient eux-mêmes devenir une faille mais juste les outils natifs de Windows, configurés aux petits oignons.

Le projet se compose de deux applis disponibles sur le Microsoft Store. La première, c’est “Harden System Security” qui va “durcir” votre système, virer les trucs inutiles et vous donner une note de sécurité globale. La seconde s’appelle “AppControl Manager” et elle gère le WDAC, c’est-à-dire le contrôle des applications via Windows Defender. Vous pouvez ainsi décider quelles apps ont le droit de tourner sur votre bécane et tout le reste est bloqué automatiquement.

Et ce qui est top c’est qu’une fois configuré, vous n’avez plus besoin de courir après chaque nouveau malware. Vous définissez ce qui a le droit de s’exécuter, et tout le reste dégage. Fini le jeu du chat et de la souris avec les antivirus.

Le truc supporte plusieurs niveaux de sécurité, du perso jusqu’au militaire. Et si vous êtes parano (j’avoue y’a de bonnes raisons de l’être en ce moment), vous pouvez déployer des politiques signées avec AppControl Manager. Une fois en place, même un admin ne pourra pas les modifier sans avoir accès aux clés privées du certificat. Bref, c’est du sérieux.

Et en cadeau bonux, y’a même une intégration Intune pour déployer ça sur toute une flotte et vérifier la conformité de chaque machine. Pratique quand vous devez gérer des parcs entiers.

Niveau techno, c’est du .NET 9 avec une interface WinUI moderne sans dépendances tierces, puisque tout tourne via les APIs bas niveau de Windows. Le projet est d’ailleurs SLSA Level 3, ce qui veut dire que le processus de build est sécurisé et vérifiable et le code est scanné par CodeQL et le package final est envoyé sur VirusTotal automatiquement.

Pour l’installer, vous avez plusieurs options. Le plus simple c’est le Microsoft Store, mais vous pouvez aussi passer par Winget :

winget install --id 9p7ggfl7dx57 --exact --source msstore

Pour AppControl Manager, c’est :

winget install --id 9PNG1JDDTGP8 --exact --source msstore

L’app nécessite Windows 11 avec les fonctions de sécurité basées sur la virtualisation (VBS) activées donc TPM 2.0, Secure Boot, et une édition Pro ou supérieure. Donc si vous êtes encore sur Windows 10, c’est mort de chez mort.

Le dev recommande d’utiliser Harden System Security en premier pour blinder le système, puis de déployer ensuite AppControl Manager pour le contrôle des applications. Et y’a une doc complète sur le wiki GitHub si vous voulez creuser les détails.

Bref, si vous cherchez à blinder Windows sans installer des logiciels tiers, c’est open source et gratuit et ça utilise juste ce que Microsoft a mis dans Windows depuis toutes ces années, mais de manière simple et accessible.

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Privacy Firewall - Le garde fou de vos IA

Vous vous souvenez des histoires d’employés Samsung qui ont balancé du code source confidentiel dans ChatGPT en 2023 ? Hé bien ce genre de bourde n’a pas disparu, bien au contraire. Un rapport d’ Harmonic Security sorti en fin d’année dernière estimait que près de 80% des données exposées via les IA génératives passent par ChatGPT et plus de 40% des fichiers envoyés contiennent des infos sensibles. Email du boss, clé API, numéro de carte… on balance tout ça sans réfléchir dans nos prompts.

Du coup, y’a un super projet open source qui vient de sortir sur GitHub pour mettre un garde-fou entre vos doigts et vos conneries potentielles. Ça s’appelle PrivacyFirewall et c’est une extension Chrome qui intercepte ce que vous tapez ou collez dans ChatGPT, Claude ou Gemini avant que ça parte chez eux.

L’extension scanne en temps réel ce que vous écrivez et si elle détecte un email, un numéro de téléphone, une clé AWS, un token JWT ou n’importe quel pattern qui ressemble à une donnée sensible, elle bloque le collage et affiche une alerte. Vous pouvez bien sûr forcer l’envoi si vous êtes sûr de vous, mais au moins vous êtes prévenu.

Y’a deux modes de fonctionnement. Le mode “Lite” utilise des regex et tourne directement dans l’extension sans rien installer. C’est instantané et ça attrape déjà pas mal de trucs comme les emails, les numéros de cartes bancaires, les adresses IP, les clés privées et les patterns d’API. Et sinon, le mode “IA” est plus costaud puisqu’il fait tourner un modèle BERT en local sur votre machine via FastAPI mais là ça détecte aussi les noms de personnes, les organisations, les lieux… bref tout ce qui pourrait identifier quelqu’un dans vos données.

Et le truc important, vous l’aurez compris, c’est que tout se passe en local. Aucune données transmises à l’extérieur, zéro télémétrie, pas de tracking. Vous pouvez même vérifier dans les DevTools de Chrome que rien ne sort de votre machine.

Pour l’installation, vous clonez le repo GitHub , vous chargez l’extension en mode développeur dans Chrome, et c’est parti. Si vous voulez le mode IA, faut lancer un petit serveur Python en local qui va télécharger le modèle BERT la première fois (environ 400 Mo). Après ça, le serveur tourne sur localhost et l’extension communique avec lui.

Le projet est encore en beta mais il est déjà utilisable. Y’a aussi un concurrent qui s’appelle Prompt Firewall sur le Chrome Web Store si vous voulez comparer les approches mais PrivacyFirewall a l’avantage d’être totalement transparent niveau code et de proposer la détection NER en plus des regex.

Bref, c’est pas forcément pour tout le monde mais si vous manipulez des données sensibles au boulot et que vous utilisez des IA au quotidien, ça peut vous éviter de belles boulettes. Surtout que maintenant avec la mémoire persistante de ChatGPT, les infos que vous balancez par erreur peuvent rester stockées bien plus longtemps qu’avant.

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Yakuza 0 director’s cut suscite la controverse malgré ses ambitions

La publication de Yakuza 0: Director’s Cut devait célébrer l’arrivée d’un classique sur de nouvelles plateformes. L’œuvre originale reste considérée comme un monument de la série Like a Dragon grâce à son atmosphère des années 1980, son immersion dans les rues de Kamurocho et la puissance narrative du parcours de Kazuma Kiryu. Pourtant, la réédition ... Lire plus

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