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MSI tease du gros pour le CES : le retour des GeForce RTX « Lightning » est imminent

MSI aime décidément jouer avec les symboles. À quelques jours du CES 2026, le constructeur vient de publier un teaser énigmatique qui ne laisse pourtant que peu de place au doute : la mythique gamme « Lightning » s’apprête à faire son grand retour. Une annonce qui ravive immédiatement l’intérêt des passionnés d’overclocking et de […]

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Comment j'ai viré Algolia et recréé le Google de 1998 sur mon site

Bon, faut qu'on parle un peu du moteur de recherche de mon site. Ceux qui l'ont déjà utilisé savent de quoi je parle : c'était pas terrible. Enfin, « pas terrible » j'suis gentil. C'est un espèce d'overlay avec des résultats certes fiables mais c'était vraiment pas pratique.

Et en plus de ça, comme j'ai un site statique généré avec Hugo, je passais par Algolia pour la recherche. Si vous ne connaissez pas, Algolia c'est un service cloud qui indexe votre contenu et vous fournit une API de recherche ultra-rapide. Sur le papier c'est génial et dans la pratique aussi d'ailleurs sauf que voilà, ça coûte des sous. Et mon site rencontre un franc succès ces derniers temps (merci à vous !), donc j'ai de plus en plus de visiteurs, donc de plus en plus de recherches, donc une facture Algolia qui grimpe gentiment chaque mois.

Du coup je me suis dit : « Et si je trouvais une solution de recherche pour sites statiques ? » Parce que oui, ça existe et c'est comme ça que j'ai découvert Pagefind.

Pagefind c'est donc un moteur de recherche statique open source développé par CloudCannon qui fonctionne comme ceci : Au moment du build de votre site, Pagefind parcourt tout votre HTML généré et crée un index de recherche qu'on peut interroger avec un peu de JS. Y'a donc plus d'API, et tout se fait localement sur le navigateur des internautes.

Bref, ça avait l'air très cool alors évidemment, je me suis lancé dans l'aventure et comme j'aime bien me compliquer la vie, j'ai décidé de pas juste intégrer Pagefind tel quel. Non non. J'ai voulu recréer l'interface du Google de 1998 parce que à quoi bon avoir son propre site web si on peut pas s'amuser un peu ^^.

Laissez-moi donc vous raconter cette aventure.

Le problème avec Algolia

Leur service est excellent, je dis pas le contraire, la recherche est rapide, les résultats sont pertinents, l'API est bien foutue mais voilà, y'a le modèle de pricing puisque Algolia facture au nombre de requêtes de recherche.

Plus les gens cherchent sur votre site, plus vous payez et quand vous avez un site qui fait plusieurs millions de pages vues par mois, bah... ça chiffre vite. En gros je dépasse très vite les 10 000 recherches offertes chaque semaine et ensuite ça chiffre. C'est pas la mort, mais c'est un coût récurrent débile pour un truc qui pourrait être gratuit.

En plus de ça, y'a la dépendance à un service externe. Si Algolia tombe, ma recherche tombe. Et si Algolia change ses prix, je vais devoir subir. Même chose si Algolia décide de modifier son API... il faudra que j'adapte mon code. Bref, c'est le cloud dans toute sa splendeur... C'est pratique mais on n'est jamais vraiment chez nous.

Pagefind à la rescousse

Pagefind résout donc tous ces problèmes d'un coup. C'est un outil en ligne de commande qui s'exécute après votre générateur de site statique (Hugo dans mon cas, mais ça marche avec Jekyll, Eleventy, Astro, ou n'importe quoi d'autre).

Concrètement, vous lancez :

npx pagefind --site public

Et Pagefind va :

    1. Scanner tous vos fichiers HTML dans le dossier public/
    1. Extraire le contenu textuel (en ignorant la nav, le footer, les pubs si vous lui dites)
    1. Créer un index de recherche optimisé
    1. Générer des fichiers JavaScript pour interroger cet index côté client

Et le résultat c'est un dossier pagefind/ qui contient tout ce qu'il faut. Ensuite; à vous de servir ces fichiers statiquement avec le reste de votre site, et la magie pourra opérer !

L'index pour mes 18 000 articles fait environ 1,5 Go. Ça peut paraître beaucoup, mais Pagefind est malin car il découpe l'index en fragments et ne charge que ce qui est nécessaire pour la recherche en cours. Du coup en pratique, une recherche typique télécharge quelques centaines de Ko, et pas plus.

L'intégration technique

Pour intégrer Pagefind dans mon workflow Hugo, j'ai donc été cherché le binaire, je l'ai mis sur mon serveur et je l'ai appelé dans un cron comme ça, je rafraichi l'index de recherche 1 fois par jour (et pas à chaque génération du site).

0 4 * * * /home/manu/pagefind/pagefind --site /home/manu/public_html --output-path /home/manu/public_html/pagefind >> /var/log/pagefind.log 2>&1

J'ai aussi créé un fichier de configuration pagefind.yml pour affiner le comportement :

root_selector: "[data-pagefind-body]"
exclude_selectors:
 - "header"
 - ".site-header"
 - "footer"
 - ".sidebar"

L'astuce ici c'est d'indexer uniquement les div ayant la class data-pagefind-body='true' et d'exclure les éléments qui ne font pas partie du contenu éditorial afin de ne pas indexer ce qui se trouve dans le header, les natives, le footer...etc.

Côté JavaScript, Pagefind utilise les imports ES6 dynamiques. Ça veut dire que le moteur de recherche n'est chargé que quand l'utilisateur lance effectivement une recherche :

async function initPagefind() {
pagefind = await import('/pagefind/pagefind.js');
await pagefind.init();
}

Et pour faire une recherche :

const search = await pagefind.search("linux");
// search.results contient les IDs des résultats
// On charge le contenu de chaque résultat à la demande
for (const result of search.results) {
 const data = await result.data();
 console.log(data.url, data.meta.title, data.excerpt);
}

C'est bien fichu parce que search.results retourne immédiatement les références des résultats, mais le contenu réel (titre, extrait, URL) n'est chargé que quand vous appelez result.data(). Du coup vous pouvez implémenter une pagination propre sans télécharger les données de milliers de résultats d'un coup.

Le délire rétro - Recréer Google 1998

Maintenant que j'avais un moteur de recherche fonctionnel, fallait l'habiller. Et c'est là que j'ai eu cette idée un peu débile : Pourquoi pas recréer l'interface du Google de 1998 ?

Pour les plus jeunes qui lisent ça, Google en 1998 c'était une page blanche avec un logo, un champ de recherche, et deux boutons : « Google Search » et « I'm Feeling Lucky« . Pas de suggestions, pas de carrousels, pas de pubs... Juste un champs de recherche. C'était la belle époque !

J'ai donc créé une page de recherche avec deux vues distinctes. La page d'accueil avec le logo centré et le champ de recherche au milieu, exactement comme le Google originel.

Et la page de résultats avec le logo en petit en haut à gauche et les résultats en dessous.

Pour le code CSS, j'ai voulu être fidèle à l'époque. Times New Roman comme police par défaut, les liens en bleu souligné qui deviennent violet une fois visités. Et surtout, les boutons avec l'effet 3D des interfaces Windows 95 :

.search-button:active { border-style: inset; }

Ce border: outset et border-style: inset au clic, c'est exactement ce qui donnait cet effet de bouton en relief qu'on avait partout dans les années 90. Pour moi, ça fait toute la différence pour l'authenticité. Même le logo, je l'ai volontairement « dégradé » pour qu'il soit de la même qualité que le logo Google d'origine.

La pagination « Koooooorben »

Vous vous souvenez de la pagination de Google avec « Goooooogle » en bas de page ? Le nombre de « o » correspondait au nombre de pages de résultats. J'ai fait pareil, mais avec « Koooooorben ».

let logo = 'K'; for (let i = 0; i < oCount; i++)
{
logo += o;
} logo += 'rben'; }

Plus il y a de résultats, plus il y a de « o ». C'est complètement inutile mais ça me fait marrer à chaque fois que je le vois.

Le bouton « J'ai de la chance »

Ah, le fameux « I'm Feeling Lucky » de Google, j'ai voulu l'implémenter comme à l'époque ! Si vous tapez une recherche et cliquez sur « J'ai de la chance », vous êtes envoyé sur le premier résultat. Classique. Mais si vous cliquez sur le bouton avec le champ vide sur la home de la recherche, vous êtes envoyé sur un article aléatoire parmi les +18 000 du site.

Pour ça, j'ai utilisé une astuce : le sitemap. Mon Hugo génère un fichier sitemap.xml qui contient toutes les URLs du site et je peux aller piocher dedans en JS :

const articles = [...xml.querySelectorAll('loc')] .map(loc => loc.textContent) .filter(url => {
// Exclure les pages qui ne sont pas des articles
const path = new URL(url).pathname;
return !path.startsWith('/categories/') && !path.startsWith('/page/') && path !== '/';
});
const randomUrl = articles[Math.floor(Math.random() * articles.length)];
window.location.href = randomUrl;
} }

Un seul fetch, un peu de parsing XML natif, et hop c'est le grand retour de la fonctionnalité « article aléatoire » qui vous manquait, je le sais !

Tri et nombre de résultats

Je vous ai aussi mis une listbox qui vous permet d'afficher 10, 25 ou 50 résultats ainsi qu'un tri par pertinence ou data. Et ça aussi Pagefind sait parfaitement le navigateur.

Mode sombre et accessibilité

Même si l'interface est rétro, j'ai quand même ajouté quelques fonctionnalités modernes. Le mode sombre respecte les préférences système, et j'ai intégré la police OpenDyslexic pour les personnes dyslexiques.

Le truc important c'est de charger ces préférences avant le rendu de la page pour éviter le fameux flash. J'ai donc un petit script qui lit les préférences dans le localStorage et applique les classes CSS immédiatement :

function() {
 if (localStorage.getItem('theme') === 'dark') {
 document.documentElement.classList.add('dark-mode');
 }
 if (localStorage.getItem('dyslexic-font') === 'true') {
 document.documentElement.classList.add('dyslexic-mode');
 }
});

Gestion de l'historique navigateur

Un détail qui peut sembler anodin mais qui est super important pour l'expérience utilisateur c'est la gestion du bouton retour du navigateur.

Quand vous faites une recherche, l'URL change selon votre requête du genre /recherche/?q=linux&p=2. Du coup si vous partagez cette URL à un collègue, la personne arrivera directement sur les résultats de recherche. Et si vous utilisez le bouton retour, vous reviendrez alors à la recherche précédente.

window.addEventListener('popstate', () => {
const query = new URLSearchParams(location.search).get('q');
if (query) doSearch(query);
else showHomePage();
});

Liens vers d'autres moteurs

Et si vous ne trouvez pas votre bonheur dans mes +18 000 articles (ce qui serait quand même étonnant ^^), j'ai ajouté des liens pour relancer la même recherche sur Google, DuckDuckGo, Qwant, Brave et Ecosia. Bref, un petit service bonus pour mes visiteurs, exactement comme le proposait Google à l'époque.

Le bilan - Algolia vs Pagefind

Après 1 semaine d'utilisation, voici donc mon verdict ! Côté portefeuille d'abord, Algolia me coûtait entre 60 et +100 euros par mois et maintenant pour Pagefind, c'est zéro euros ! Et les performances sont également au rendez-vous. Algolia c'était rapide et bien là, ça l'est encore plus. Seul compromis à noter, l'index Algolia se mettait à jour en temps réel, alors que Pagefind nécessite une reconstruction au moment du build.

La conclusion

Voilà, j'ai maintenant une recherche qui marche vraiment bien, qui me coûte 0€ par mois, et qui a un look rétro qui va en surprendre plus d'un...

Alors est-ce que c'était nécessaire de passer autant de temps sur le design rétro ? Hé bien absolument pas. Mais est-ce que ça valait le coup ?

Franchement, oui !! C'est mon site, je fais ce que je veux, et si ça peut faire sourire quelques visiteurs nostalgiques des débuts du web, c'est du bonus. D'ailleurs un grand merci aux Patreons qui me soutiennent car sans eux, je n'aurais pas pu passer mon dimanche là dessus ^^

Et puis surtout, ça m'a permis de découvrir Pagefind qui est vraiment un excellent outil. Donc si vous avez un site statique (ou n'importe quel type de contenu textuel) et que vous cherchez une solution de recherche gratuite et performante, je vous le recommande chaudement. La documentation est claire, l'intégration est simple, et le résultat est top !

Allez, maintenant vous pouvez aller tester la nouvelle recherche sur le site . Et si vous cliquez sur « J'ai de la chance » sans rien taper... bonne découverte !

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Quand je pense que Win32 est devenu la couche de compatibilité la plus stable sur Linux...

Vous avez déjà essayé de faire tourner un vieux logiciel Linux sur une distrib récente, du genre un truc compilé il y a 5 ans ? Bah bon courage, parce que y'a de grandes chances que ça plante lamentablement à cause d'une dépendance qui aura changé entre-temps.

Maintenant, prenez un .exe Windows de 1998, genre un vieux jeu ou une appli Win32 classique. Lancez-le sous Wine et là, ô surprise... y'a de bonnes chances que ça tourne ! Bon, ça dépend des applis évidemment, mais le taux de réussite est souvent meilleur qu'avec les vieux binaires Linux...

C'est précisément ce paradoxe que pointe le projet loss32 , une distro Linux expérimentale dont l'idée complètement dingue serait de faire tourner TOUT l'environnement de bureau en Win32 via Wine. Leur slogan c'est "Win32 is the stable Linux ABI!" ce qui veut dire en gros que l'interface binaire la plus fiable pour faire tourner des applications sur Linux à long terme, c'est celle de Windows. Ahaha, je suis mort de rire en écrivant ça car j'imagine votre tête énervée de barbu ! Pourtant, vous allez voir, c'est difficile de leur donner tort...

Alors c'est quoi le problème avec Linux exactement ?

Hé bien en août 2022, un changement dans la toolchain a fait des dégâts. Beaucoup de distributions ont basculé vers l'option --hash-style=gnu au lieu de --hash-style=both, ce qui génère des binaires sans la section DT_HASH classique. L'idée c'était de gagner quelques kilobytes par binaire avec DT_GNU_HASH, qui est plus moderne et plus performant.

Ça n'a l'air de rien comme ça... sauf que ça a cassé pas mal de trucs. Des jeux utilisant Easy Anti-Cheat d'Epic se sont retrouvés en vrac, par exemple Shovel Knight a eu des soucis, ou encore le limiteur de framerate libstrangle . Bref, des logiciels qui marchaient très bien la veille se sont retrouvés dans les choux du jour au lendemain.

Et c'est là qu'on touche au cœur du problème car sous Windows, Microsoft maintient une compatibilité binaire quasi-religieuse pour les applis Win32 classiques. Un programme compilé pour Windows 95, s'il n'utilise pas de drivers ou d'APIs obsolètes, a de bonnes chances de tourner sur Windows 11. C'est un contrat tacite entre Microsoft et les développeurs qui a tenu pendant trois décennies.

Et même si sous Linux, le kernel et glibc sont plutôt stables, c'est vrai, dès qu'on parle de binaires tiers liés à des bibliothèques user, c'est une autre histoire. Et comme c'est le bordel et que chaque distribution fait un peu ce qu'elle veut, et les dépendances évoluen forcement. Du coup, si votre binaire précompilé casse, c'est votre problème. La philosophie c'est donc plutôt "recompile ton truc et arrête de te chialer 'spèce de fragile".

Et c'est pour ça que Valve a misé gros sur Proton. Officiellement, ils n'ont pas de préférence entre ports natifs et Windows via Proton, mais dans les faits, Proton fonctionne tellement bien que pas mal de studios ne se cassent plus la tête à faire des ports Linux natifs. Et parfois, les jeux Windows via Proton tournent même mieux que les ports natifs ... c'est dire.

Et le projet loss32 pousse cette logique jusqu'au bout car pourquoi se battre contre les moulins à vent de la fragmentation Linux quand on peut simplement tout faire tourner en Win32 ?

Alors perso, j'ai hâte de voir ça et visiblement un PoC devrait sortir en janvier 2026 avec un paquet APT pour qu'on puisse tous tester ça chez nous. Et si ça fonctionne bien, ça veut dire que si vous créez une application desktop simple et que vous voulez qu'elle tourne sur Linux encore dans 10 ans, cibler Win32 et distribuer un .exe via Wine/Proton est une option à considérer sérieusement.

Ça semble contre-intuitif, mais pour certains cas d'usage, c'est une stratégie pragmatique...

Pour les utilisateurs, ça veut dire aussi que Wine et Proton ne sont pas des rustines en attendant mieux mais des des solutions de première classe pour faire tourner des logiciels de manière stable sur Linux. Le Steam Deck l'a prouvé avec des milliers de jeux Windows qui tournent nickel.

Bref, on en est là... Win32, l'API de Microsoft, est devenue paradoxalement une des couches de compatibilité les plus stables pour faire tourner des logiciels sur Linux. C'est fou non ? Ça va faire grincer des dents de barbus c'est sûr mais c'est aussi la preuve que parfois, les solutions terre à terre l'emportent sur l'idéologie.

Source

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[Bon plan] Une application pour créer des Post-it (v9.8)

Merci à vous de suivre le flux Rss de www.sospc.name.

Voici un logiciel en français, compatible de Windows 7 à Windows 11, qui permet de créer des post-it virtuels personnalisables. 

Je vous avais proposé en 2024 la version 9.3, ce sera la 9.8 aujourd'hui avec une licence à vie. 😉

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Sauvegardez et restaurez facilement vos navigateurs (v1.0)

Merci à vous de suivre le flux Rss de www.sospc.name.

Toute notre vie numérique tourne autour des navigateurs et cela pour une raison évidente : c'est la porte d'entrée pour accéder à l'Internet.

Le problème c'est que si nous perdions nos favoris, nos données et nos personnalisations, nous serions tout penauds devant nos ordinateurs.

Oui, suite à un plantage de votre navigateur, il suffit d'effectuer une réinstallation, ce qui prend une poignée de secondes, certes, et tout rentre dans l'ordre.

Mais malheureusement, il arrive que le profil soit compromis, soit à cause d'un disque vieillissant ou d'une infection par exemple et dans ces cas il est impossible de récupérer les précieuses données qui y étaient rattachées !

Je vous propose un logiciel qui va vous permettre de sauvegarder les profils de TOUS vos navigateurs.

En cas de problème il suffit de restaurer les sauvegardes dédiées ! 

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MSI RTX 5090 LIGHTNING : Le retour de la foudre pour le CES 2026 ?

La MSI RTX 5090 LIGHTNING surgit dans les airs. Pour le 5 janvier 2026, MSI mise sur une météo électrique et un teasing sans ambiguïté : la gamme LIGHTNING semble prête à signer son grand retour, un an après une première annonce furtive au CES 2025. À la veille de l’ouverture officielle du CES 2026, MSI semble ainsi orchestrer la montée en tension autour de ce qui pourrait incarner la carte graphique la plus radicale de cette génération.

Un teasing qui ne trompe pas

L’éclair affiché à l’écran renvoie directement à l’ADN LIGHTNING, historiquement réservé aux modèles GeForce ultra haut de gamme chez MSI. La date du 5 janvier n’est pas choisie au hasard : elle correspond au Media Day 2, soit vingt-quatre heures avant l’ouverture officielle du salon, prévue du 6 au 9 janvier.

Visuel du compte MSI Gaming montrant le teaser de la carte graphique MSI RTX 5090 LIGHTNING en préparation pour le CES 2026

Le constructeur reprend les codes historiques qui ont fait le succès de ses modèles « Extreme Overclocking » :

  • Visuel : Des éclairs déchirant l’écran, signature indissociable de la marque LIGHTNING.
  • Calendrier : Une annonce calée sur le « Media Day 2 » du CES, soit 24 heures avant l’ouverture du salon (du 6 au 9 janvier).
  • Héritage : Inactive depuis la RTX 2080 Ti, la griffe LIGHTNING représente le summum du savoir-faire de MSI.

MSI RTX 5090 LIGHTNING : cap sur une annonce le 5 janvier

D’après ce qui a été montré auparavant, MSI prépare deux « Special Edition » autour de la GeForce RTX 5090 : une version AIO avec double radiateur 120 mm et un soin particulier au refroidissement de la mémoire, et une version à air reposant sur cinq ventilateurs STORMFORCE et l’empilement thermique FiveFrozr. Le constructeur a déjà exposé des « concepts GPU » en salon, il semblerait donc que le CES 2026 serve de rampe de lancement à une version finalisée.

bannière Cartes graphiques MSI RTX 5090 LIGHTNING en prototype aio et aircooling

MSI ne confirme ni le nom exact, ni les spécifications, ni le calendrier de sortie pour une carte LIGHTNING liée à ce teasing. Comme le résume le message, « spécial edition » et météo à l’orage convergent vers un retour de la griffe LIGHTNING. Le contexte n’est toutefois pas idéal : NVIDIA pourrait affronter une pénurie de DRAM comme le reste du marché, et tout lancement de carte avec 16 Go de mémoire pourrait se compliquer plus tard.

Un duel de titans : MSI vs ASUS

L’objectif est clair : détrôner la ROG MATRIX d’ASUS sur le segment des flagships de prestige. Cependant, ce duel se jouera à prix d’or. Pour rappel, la carte d’ASUS s’affiche déjà aux alentours de 4400 € et reste quasiment introuvable.

Les défis à venir

Malgré l’excitation, le lancement pourrait être assombri par le contexte économique :

  • Pénurie de DRAM : NVIDIA et ses partenaires font face à des tensions sur la mémoire vive, ce qui pourrait limiter les stocks.
  • Disponibilité : Les modèles « Special Edition » pourraient être produits en quantités ultra-limitées.

Verdict le 5 janvier. Nous saurons alors si MSI compte transformer ce concept météo en une réalité commerciale pour les gamers les plus exigeants.

Lire aussi : RTX 50 Extreme OC : MSI prépare son retour avec un Afterburner survitaminé

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MAME 0.284

Emulateur pour retrouver sur votre ordinateur les vieux jeux des salles d'arcade et des cafés...
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AutoHideMouseCursor 5.99

Utilitaire léger, gratuit, en français et portable permettant de masquer automatiquement le curseur de votre souris au bout de quelques secondes lorsque vous n'utilisez pas celle-ci...
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AutoHideDesktopIcons 6.61

Utilitaire léger, gratuit, en français et portable permettant de masquer automatiquement les icônes de votre Bureau pour les afficher uniquement lorsque vous en avez besoin, via un simple clic...
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WinScan2PDF 9.51

Utilitaire gratuit, en français et portable permettant de scanner tous vos documents et de les convertir directement en fichiers PDF...
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Droit d’auteur et IA générative : 2025, l’année où la ligne de front s’est déplacée vers les tribunaux

Droit d'auteur et IA : retour sur les évènements majeurs en 2025Depuis l’essor fulgurant des IA génératives, la question du droit d’auteur s’est imposée comme l’un des grands points de friction entre innovation technologique et création culturelle. En 2025, ce débat s’est installé durablement sur le terrain politique, judiciaire et économique. Entre les propositions de loi en France, les procédures judiciaires internationales et les accords financiers […]
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Pourquoi l’explosion du trafic internet en 2025 n’est plus vraiment humaine

Etude Cloudflare 2025 : un web plus vaste, plus automatisé, et plus fragileL’édition 2025 de Cloudflare ne se contente pas de confirmer des tendances connues, mais montre un réseau profondément transformé par l’automatisation et l’IA, et une dépendance accrue à quelques acteurs clés. Derrière la croissance continue du trafic se dessine un internet plus dense, mais aussi plus exposé aux tensions techniques, politiques et sécuritaires… Une explosion […]
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Shadow IT : l’informatique fantôme qui fragilise les entreprises

Shadow IT : l'informatique fantôme qui fragilise les entreprisesÀ mesure que les entreprises accélèrent leur transformation numérique, un phénomène discret mais massif s’installe dans les organisations. Derrière des usages parfois anodins, une informatique parallèle se développe, souvent sans validation ni supervision. Ce décalage entre les besoins métiers et la gouvernance IT alimente aujourd’hui de nouvelles tensions autour de la sécurité, de la conformité […]
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Speeder NEO : le fauteuil ergonomique qui injecte l’ADN des supercars dans votre setup

Le Speeder NEO de COUGAR Gaming propulse la série Speeder à un nouveau niveau en fusionnant esthétique automobile de haute performance et ergonomie avancée. Inspiré par l’univers des supercars et de la course, son design dynamique évoque un châssis sportif, tandis que sa conception orientée posture accompagne aussi bien les longues sessions de travail que les marathons gaming les plus intenses.

Un design racing pensé pour la performance et le confort

Le fauteuil ergonomique Speeder NEO adopte une architecture inspirée des châssis automobiles, avec une structure arrière en X à la fois robuste et élégante. Les finitions rappellent les revêtements premium du monde automobile, apportant une présence visuelle forte dans un bureau ou un espace gaming.

Speeder Neo structure X

Le dossier épouse naturellement la courbure du bas du dos, tandis que l’assise en cascade réduit la pression sous les cuisses. Cette conception améliore la circulation sanguine et répartit le poids de manière homogène, limitant la fatigue sur de longues périodes.

Mesh chenille et confort réactif longue durée

Le dossier utilise un mesh en fil chenille premium, combinant respirabilité, élasticité et durabilité. Ce tissu offre un soutien réactif qui s’adapte aux mouvements du corps, idéal pour les longues heures passées devant un écran.

Le Speeder NEO se distingue par son amorti multicouche intégré au siège et à l’appuie-tête, procurant une sensation de confort proche d’un canapé, sans compromettre le maintien nécessaire à une posture saine.

Speeder Neo mesh

Amorti multicouche : équilibre entre douceur et maintien

La structure interne du Speeder NEO repose sur trois couches complémentaires. La couche supérieure en AquaShieldTex™ est douce au toucher et résistante à l’usure. La couche intermédiaire en mousse haute densité assure un soutien ferme et homogène, tandis que la base en mesh respirant apporte élasticité et stabilité. Cet ensemble garantit un confort durable, même lors d’une utilisation intensive.

Accoudoirs 3D à hyperrotation et réglages précis

Les accoudoirs 3D à hyperrotation sur 225° permettent une liberté de position exceptionnelle, que vous jouiez sur mobile, console ou clavier-souris. Ils offrent un réglage en hauteur sur 10 cm et un coulissement avant/arrière de 5 cm pour s’adapter à toutes les morphologies et positions.

L’appuie-tête réglable en 3D, la hauteur du dossier, le soutien lombaire et la profondeur d’assise entièrement ajustables permettent un réglage millimétré selon votre morphologie, garantissant un alignement optimal de la colonne vertébrale.

Repose-pieds rétractable et inclinaison intelligente

Le repose-pieds intégré et rétractable apporte un soutien supplémentaire aux jambes, particulièrement appréciable lors des phases de repos ou de visionnage. Le mécanisme d’inclinaison à amortissement adaptatif ajuste automatiquement la résistance en fonction du poids de l’utilisateur, absorbant les mouvements brusques pour une inclinaison fluide et contrôlée.

Speeder Neo repose pieds

Trois positions principales sont possibles, allant d’une posture de travail concentrée à une inclinaison plus détendue, jusqu’à une position idéale pour la récupération.

Sécurité certifiée et mobilité silencieuse

Le Speeder NEO est certifié TÜV et conforme aux normes BIFMA, garantissant sécurité, durabilité et fiabilité. Il repose sur un vérin à gaz de classe 4, assurant un réglage de hauteur fluide et sécurisé.

Les roulettes de 75 mm, dotées d’un manchon antibruit, permettent des déplacements silencieux sur tous types de sols, tout en améliorant la stabilité globale du fauteuil.

Un fauteuil pensé pour les longues distances

Avec le Speeder NEO, l’approche ergonomique rencontre l’esthétique racing. Ce fauteuil s’adresse aux joueurs, créateurs et professionnels recherchant un maintien précis, un confort longue durée et un design affirmé, capable de transformer un espace de travail ou de jeu en véritable cockpit moderne.

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ASRock frappe fort au CES 2026 avec une gamme de produits PC élargie et son premier refroidissement liquide AIO

À l’occasion du CES 2026, ASRock dévoile l’une de ses présentations les plus ambitieuses à ce jour. Le constructeur expose une gamme complète de nouveautés couvrant cartes mères, cartes graphiques, moniteurs OLED, Mini PC prêts pour l’IA, alimentations haut rendement et, pour la première fois, une solution de refroidissement liquide AIO maison. Une démonstration claire de la montée en puissance d’ASRock sur l’ensemble de l’écosystème PC.

Une nouvelle génération de refroidisseurs liquides AIO ASRock

ASRock fait ses débuts sur le marché du watercooling avec une gamme complète de refroidisseurs AIO déclinée sur les séries Taichi, Phantom Gaming, Steel Legend, Challenger, Pro et WS. Basés sur une architecture de pompe optimisée et un circuit de flux thermique retravaillé, ces AIO visent les processeurs multi-cœurs de nouvelle génération.

ASRock CES 2026 AIO

Les modèles haut de gamme intègrent un grand écran LCD couleur pour la surveillance système et la personnalisation visuelle. Certaines versions adoptent des pales de ventilateurs LCP de qualité aérospatiale et des roulements à billes doubles industriels, garantissant stabilité, pression statique élevée et longévité. L’ensemble est couvert par une garantie de 6 ans, soulignant l’ambition d’ASRock sur ce nouveau segment.

CES 2026 : nouvelles cartes mères Rock Series et extension de la gamme Challenger

ASRock introduit la nouvelle de cartes mères Rock Series, pensée pour le DIY accessible, avec les modèles B850 Rock WiFi 7 et B860 Rock WiFi 7 en ATX, ainsi que leurs déclinaisons mATX. Ces cartes misent sur un équilibre entre performances, connectivité moderne et design épuré à prix maîtrisé.

ASRock CES 2026 Rock

La série Challenger s’élargit également avec de nouveaux chipsets AMD et Intel (allant de l’AMD X870E, X870 et B850 à la plateforme Intel B860), désormais disponibles en formats ATX et mATX, y compris des versions blanches. Destinée aux joueurs, elle conserve son identité visuelle distinctive tout en proposant des spécifications renforcées.

Premiers écrans OLED Taichi : performance et prestige

ASRock entre sur le marché des moniteurs OLED haut de gamme avec la série Taichi OLED en 27 pouces. Les modèles présentés au CES 2026 combinent dalles WOLED et QD-OLED, résolutions 2K et 4K, taux de rafraîchissement jusqu’à 540 Hz, Dual Mode, certification VESA DisplayHDR True Black et une précision colorimétrique Delta E < 2.

ASRock CES 2026 écran

La gamme Phantom Gaming OLED complète l’offre avec des écrans QD-OLED 2K 240 Hz, intégrant USB-C DP Alt Mode avec alimentation 65 W et supports ergonomiques complets.

Radeon RX 9070 XT Taichi White : puissance et esthétique premium

ASRock CES 2026 RX 9070 XT

Au CES 2026, ASRock dévoile la Radeon RX 9070 XT Taichi White 16 Go OC, une carte graphique haut de gamme combinant PCB blanc, éclairage ARGB étendu et écran LCD intégré. Via le logiciel Polychrome, cet écran peut afficher données système, animations, météo ou horloge, faisant de cette carte un véritable élément central des configurations showcase.

Alimentations Platinum Phantom Gaming et Steel Legend

ASRock CES 2026 alimentation

ASRock présente également ses nouvelles alimentations Phantom Gaming SFX et Steel Legend Platinum, allant de 850 W à 1200 W. Certifiées 80 PLUS Platinum et Cybenetics PLATINUM / LAMBDA A, elles intègrent des câbles natifs 12V-2×6 à connecteurs bicolores, des capteurs thermiques NTC côté GPU, des condensateurs japonais et une gestion thermique intelligente iCOOL. Une garantie de 10 ans accompagne ces modèles orientés fiabilité et silence.

Mini PC DeskSlim : compacité et IA au programme

La nouvelle série DeskSlim marque un tournant pour les Mini PC ASRock. Avec un volume de seulement 4,9 litres, les DeskSlim B760 et X600 acceptent des CPU jusqu’à 120 W, des GPU discrets PCIe 5.0 low-profile, quatre slots DDR5 et respectent les principales normes d’efficacité énergétique mondiales. ASRock cible ici l’IA légère, la création de contenu, la CAO et les environnements multi-écrans.

ASRock CES 2026 miniPC

Les DeskMini B860 et la carte H810TM-ITX complètent l’offre pour les usages professionnels, éducatifs et commerciaux.

ASRock affirme sa vision globale du PC de demain

Avec cette présence massive au CES 2026, ASRock démontre une stratégie claire : maîtriser l’ensemble de la chaîne matérielle PC, du refroidissement au calcul compact en passant par l’affichage OLED et l’alimentation haut rendement. Une montée en gamme assumée, portée par l’innovation, la cohérence produit et une volonté affirmée de concurrencer les acteurs historiques sur tous les fronts.

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Tofu60 3.0 : le clavier KBDfans multiplie les options, du Hall‑effect au sans‑fil

Tofu60 3.0 : KBDfans relance son clavier 60 % culte avec un catalogue d’options rarement aussi large, du PCB mécanique câblé ou hot‑swap jusqu’au Hall‑effect, en passant par le sans‑fil ZMK.

Tofu60 3.0 KBDfans : formats, finitions et connexions

Clavier mécanique Tofu60 3.0 KBDfans, boîtier compact 60%, switches Hall‑effect, options sans‑fil et keycaps personnalisables

Comme son nom l’indique, le Tofu60 3.0 reste un 60 % : pas de rangée de fonctions dédiée, ni pavé numérique, ni cluster flèches et navigation. Le châssis est entièrement usiné CNC en aluminium anodisé, avec au choix un montage top mount ou un PCB gasket mount. La base est proposée en finition mate ou texturée, et l’ensemble peut recevoir une barre de lest en aluminium, acier inoxydable ou cuivre.

Côté connexions, les versions mécaniques dual‑mode offrent USB et Bluetooth. KBDfans décline ses PCB en mécanique soudé, mécanique hot‑swap, sans‑fil mécanique, et en PCB Hall‑effect filaire. Le firmware ZMK pilote de nouveau le sans‑fil, réputé économe, même si aucune autonomie n’est annoncée pour l’instant.

Les dispositions ne sont pas oubliées : WK (avec touche Windows), WKL (sans touche Windows) et le très recherché HHKB. Les variantes mécaniques prennent en charge ANSI et ISO. Pour la plaque, large éventail de matériaux : FR4, PEI, PC, aluminium ou fibre de carbone, avec possibilité de montage sans plaque, surtout pertinent pour la version mécanique soudée.

Prix, précommandes et personnalisation

Clavier mécanique Tofu60 3.0 KBDfans vue de dessus, boîtier compact 60%, switches Hall-effect, options sans fil et câblé USB-C

Le kit barebone démarre à 130 $ (environ 120 € à titre indicatif), sans switches, stabilisateurs ni keycaps, mais avec une housse de transport. Le PCB hot‑swap sans‑fil avec ZMK et mousses internes grimpe à 159,01 $ (environ 145 €). Les barres de lest sont facturées 15 $ en aluminium, 35 $ en acier inoxydable et 51 $ en cuivre. La base Hall‑effect est annoncée à 165,01 $ (environ 150 €) sans poids.

Pour les couleurs, KBDfans propose un vaste configurateur en ligne permettant d’apercevoir combinaisons et finitions, puis d’acheter sur la boutique. Une édition Custom Colors affiche des coloris plus exotiques, « à un prix plus élevé » selon la page produit. Les précommandes du Tofu60 3.0 s’ouvrent du 30 décembre 2025 au 30 janvier 2026, avec des expéditions prévues au T2 2026.

Source : TechPowerUp

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ASUS AM4 : hausse de production de cartes mères DDR4 dès 2026

Le socket AM4 revient sur le devant de la scène chez ASUS : selon des fuites, le constructeur préparerait une hausse de production de cartes mères DDR4 pour contrer la pénurie et les prix grimpants de la DDR5. D’après Board Channels, relayé par Videocardz, ces ajustements interviendraient au premier trimestre 2026, avec une chaîne d’approvisionnement réorientée vers plus de DDR4.

ASUS AM4 et Intel LGA1700 : cap sur plus de DDR4

Carte mère ASUS AM4 DDR4 vue rapprochée avec sockets AM4, phases d'alimentation et slots DIMM, production accrue dès 2026

Le plan évoqué couvrirait des modèles AMD B550 et A520 sur socket AM4, ainsi que des références Intel B760M et H610M-G. Objectif annoncé : alimenter prioritairement les canaux e-commerce, plutôt que les détaillants physiques. Une stratégie qui suggère que l’accalmie sur la DDR5 ne serait pas pour tout de suite. TechPowerUp rappelle que l’inflation récente de la DRAM a déjà agité l’écosystème et que « certains fabricants de consoles envisageraient de décaler leurs lancements » en attendant un retour à l’équilibre de l’offre.

Sur le plan compatibilité, les cartes mères concernées prendraient en charge jusqu’aux AMD Ryzen 5000 côté AM4 et jusqu’aux Intel 14e génération (Raptor Lake-R) côté LGA1700. Un signal de plus en faveur de la longévité d’AM4, plate-forme toujours entretenue par AMD. Le dernier exemple en date : le Ryzen 5 5600F, lancé en septembre 2025.

DDR5 sous tension, DDR4 en renfort

Si rien n’a été confirmé officiellement par ASUS, la rumeur cadre avec la séquence actuelle : forte demande en DDR5, flambée tarifaire des composants mémoire et arbitrage pragmatique des fabricants pour maintenir des configurations abordables via la DDR4. Le repositionnement vers l’e-commerce laisse entrevoir des disponibilités plus lisibles en ligne, au moins le temps que la chaîne DRAM se normalise.

Source : TechPowerUp

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