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L’enquête glaçante sur “Ghost”, le groupe de snipers qui tue des civils désarmés à Gaza

Une enquête menée par des journalistes d’investigation de plusieurs journaux et collectifs jette une lumière crue sur un groupe de francs-tireurs de l’armée israélienne, baptisé “Ghost”, ayant perpétré des exactions à Gaza et tué des civils désarmés, rapporte le quotidien britannique “The Guardian”. Une “équipe” qui aurait tué environ 120 Palestiniens, revendique l’un de ses membres.

© CAPTURE D’ÉCRAN YOUTUBE/Arab Reporters for Investigative Journalism

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Le Japon confronté à une vague montante de sentiment xénophobe

Rétif à l’immigration, l’Archipel voit la population d’étrangers augmenter rapidement. La tendance nourrit un sentiment d’insécurité abondamment véhiculé sur les réseaux sociaux et repris par des élus qui profitent du moindre fait divers pour attiser la peur et le rejet de l’autre.

© ERIC RECHSTEINER

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Un an après l’attaque aux bipeurs, le Hezbollah met en scène sa résilience

Le 17 septembre 2024, le parti chiite libanais était la cible d’une attaque israélienne inédite aux “pagers” explosifs, faisant près de 3 000 blessés. Un an plus tard, il cherche à prouver qu’il tient encore debout, en mettant en avant la reconstruction des victimes devenues aveugles, comme le montre le quotidien libanais “Al-Akhbar”, proche du “parti de Dieu”.

© AL-AKHBAR

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Russie: l’opposant défunt Alexeï Navalny a été «empoisonné», selon des analyses citées par sa veuve

Ioulia Navalnaya, la veuve du principal opposant russe Alexeï Navalny, a affirmé mercredi 17 septembre que son mari avait été « empoisonné », disant se fonder sur des analyses effectuées par des laboratoires occidentaux. L'opposant russe est mort en prison en février 2024 à 47 ans dans des conditions troubles.

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Iran : trois ans de lutte depuis la mort de Mahsa Amini... Avec Aïda Tavakoli et Chowra Makaremi

Il y a trois ans jour pour jour avaient lieu en Iran les obsèques de Mahsa Amini, tuée pour avoir mal porté son voile. Sa mort, un jour plus tôt, a déclenché un mouvement de contestation inédit contre la théocratie militaire iranienne, qui a vacillé pendant plusieurs mois. Ce 17 septembre 2022, dans le petit cimetière de Saghez, dans le Kurdistan en Iran, les femmes retirent spontanément leur voile et crient, en kurde, ce slogan qui va se muer en hymne : "Femme, Vie, Liberté".

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