Le Cern a testé avec succès les nouveaux faisceaux surpuissants du successeur du LHC


Ce soir, TMC diffuse en prime time la comédie Pourris gâtés de Nicolas Cuche, sortie en 2021. Gérard Jugnot y incarne Francis Bartek, un homme d’affaires fortuné qui n’a jamais vraiment su imposer de limites à ses enfants, interprétés par Artus, Camille Lou et Louka Meliava.
Désormais…
Article original publié sur AlloCiné
Camille Lou est à l'affiche du film Pourris gâtés diffusé ce jeudi 30 octobre 2025 en prime time sur TMC. L'actrice a fait de grandes révélations sur le réalisateur du film, Nicolas Cuche.
L'affaire de Charles va faire exploser la famille Julliard dans la suite de la série Demain nous appartient. Du lundi 3 au vendredi 21 novembre 2025 sur TF1, un vol de bijoux va transformer Judith et Jordan en enquêteurs.
Du Vietnam à la Corée du Sud en passant par Tokyo : en tournée en Asie depuis dimanche, Donald Trump a multiplié les accords commerciaux, assortis de promesses à coopérer sur la question-clé des minéraux critiques. Des accords qui confèrent aux Etats-Unis une longueur d'avance sur le Sud-Est asiatique, analyse l'agence de presse Bloomberg News. Retour en détail sur les différents partenariats conclus ces derniers jours.
Séoul et Washington ont annoncé mercredi 29 octobre avoir finalisé l'accord commercial esquissé fin juillet. Selon un responsable sud-coréen, il prévoit une réduction à 15 % des taxes douanières réciproques sur l'automobile entre les deux pays - crucial pour Séoul puisque le marché américain absorbe la moitié des exportations de voitures sud-coréennes.
Il inclut également un plan d'investissements sud-coréens pour 350 milliards de dollars aux Etats-Unis "dont 200 milliards en numéraire et 150 milliards pour la coopération dans le secteur de la construction navale". Washington entend s'appuyer sur Séoul, deuxième plus gros constructeur de navires au monde, face à la domination chinoise sur cette industrie.
A l'heure où Pékin durcit ses restrictions sur ses exportations de terres rares - matériaux essentiels dont la Chine a le quasi-monopole -, Washington est en quête d'approvisionnements alternatifs. Le président américain a conclu dimanche deux protocoles d'accord avec Kuala Lumpur et Bangkok pour "renforcer la coopération" sur les "minéraux critiques", promouvant "le commerce et l'investissement dans l'exploration, l'extraction (...) le raffinage". La Malaisie avait déclaré en 2023 détenir environ 16,2 millions de tonnes de réserves inexploitées de terres rares.
Les Etats-Unis et le Japon ont, eux, signé mardi un accord-cadre pour "sécuriser" leurs approvisionnements de terres rares et minéraux critiques, avec une mobilisation de capitaux pour soutenir conjointement des projets prioritaires.
Les Etats-Unis ont également signé mardi avec Tokyo un protocole d'accord pour doper leur coopération sur la construction navale, sur lequel se penchera un groupe de travail conjoint. A été également publiée mardi une liste d'investissements "envisagés" par des firmes nippones, pour remplir l'engagement de 550 milliards de dollars d'investissements aux Etats-Unis promis par Tokyo dans le cadre de l'accord commercial nippo-américain conclu en juillet : nucléaire et intelligence artificielle y prédominent.
Selon l'accord commercial signé dimanche, les taxes douanières américaines de 19 % visant la Malaisie seront maintenues, mais Washington accordera certaines exemptions, notamment à de nombreux produits agricoles. En échange, Kuala Lumpur devra offrir "un accès préférentiel" aux produits industriels, automobiles, biens agricoles, des Etats-Unis.
La Malaisie a également promis de commander 30 avions Boeing (avec une option pour 30 supplémentaires) et d'acheter pour 150 milliards de dollars de puces, composants aérospatiaux et équipements de centres de données. Enfin, le pays devra investir 70 milliards de dollars aux Etats-Unis sur la prochaine décennie, et gonfler ses achats d'hydrocarbures américains. Reste en suspens la questions des semi-conducteurs, dont la Malaisie est le sixième exportateur mondial et que l'administration Trump envisage de taxer lourdement.
Selon l'accord conclu dimanche, des droits américains "réciproques" de 19 % sont maintenus sur les exportations cambodgiennes, mais des exemptions sont ménagées. Le Cambodge s'engage à maintenir des droits de douane nuls sur les produits américains, mais aussi à "autoriser et faciliter les investissements pour explorer, extraire, raffiner (...) minéraux critiques et ressources énergétiques".
Le Vietnam avait conclu en juillet un compromis ramenant les surtaxes américaines douanières le visant à 20 %, bien en deçà des 46 % qu'il risquait. Selon l'accord-cadre conclu ce week-end, Washington maintient ces 20 % mais accordera des droits nuls sur certains produits dont la liste reste ouverte. En contrepartie, le Vietnam donnera "un accès préférentiel" aux exportations industrielles et agricoles américaines et réduira ses barrières réglementaires. Vietnam Airlines a accepté de finaliser sa commande de 50 Boeing, pour quelque 8 milliards de dollars selon la Maison blanche, qui fait aussi état d'achats importants de produits agricoles. Les deux parties travailleront à finaliser l'accord "dans les prochaines semaines".
En revanche, l'accord de juillet prévoyait que les Etats-Unis surtaxent à 40 % les produits conçus ailleurs et ne faisant que transiter par le Vietnam, notamment en vue d'échapper aux taxes américaines contre la Chine. Aucune définition précise n'est encore donnée, au grande dam des industriels vietnamiens, très intégrés aux chaînes de production chinoises.
Donald Trump a conclu dimanche avec Bangkok un accord-cadre à finaliser "dans les prochaines semaines", qui assortit la surtaxe douanières actuelle (19 %) d'exemptions -en échange de l'élimination des barrières douanières thaïlandaises. Le texte prévoit aussi la commande de 80 avions américains pour 18,8 milliards de dollars, et des achats accrus de biens agricoles et hydrocarbures américains.

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