Les 10 désastres climatiques les plus coûteux en 2025


© Stephanie Lecocq/REUTERS
Lire Le troisième volet de la saga Tron sera bientôt visible sur Disney+ sur www.cineserie.com
La franchise Tron s’est enrichie d’un troisième volet cette année. Intitulé Ares, celui-ci aborde une nouvelle fois le thème de nos rapports avec les progrès technologiques. Il raconte la rencontre entre des humains et un être doté d’intelligence artificielle après que ce dernier a été envoyé dans notre monde afin d’y remplir une dangereuse mission.
Tron : Ares est sorti le 8 octobre dernier dans les salles. Il a été un très gros échec pour Disney. Pour rappel, le long-métrage a engendré une énorme perte pour le studio aux grandes oreilles. Mais il fera peut-être partie de ceux s’offrant une seconde jeunesse suite à sa sortie en streaming.
Via un post sur son compte X, le célèbre studio vient d’annoncer que Tron : Ares arriverait sur Disney+ le mercredi 7 janvier 2026. Les abonnés de la plateforme de streaming pourront donc le voir dans une semaine. S’il n’a pas attiré assez de spectateurs dans les salles pour être considéré comme une réussite au box-office, il rencontrera peut-être plus de succès sur la plateforme de streaming.
The future is here. Watch Tron: Ares on Disney+ streaming January 7. pic.twitter.com/faiRd0XhPN
— Walt Disney Studios (@DisneyStudios) December 30, 2025
Ares s’ajoutera ainsi aux deux premiers films Tron, qui sont déjà disponibles sur Disney+. La franchise dure depuis plus de 40 ans puisqu’à l’origine, le premier est sorti dans les cinémas en 1982 et le second en 2010.
Concernant l’avenir de la franchise Tron, Disney aurait déjà pris sa décision sur le sujet. Comme indiqué mi-octobre, le studio aurait choisi d'enterrer la saga après l’échec d’Ares dans les salles. Étant donné son énorme budget, le film aurait eu besoin de faire un carton afin de générer des bénéfices pour le studio. Ce qui n’a pas été le cas.
Mais rien n’est jamais figé à Hollywood lorsqu’il s’agit du futur d’une saga. D’autant que dans le cas de Tron, les trois films sont sortis à de nombreuses années d’intervalle. Il est donc tout à fait possible que le studio revienne sur sa décision et décide de produire un quatrième volet lorsque l’échec du troisième aura été digéré. Un nouveau film pourrait voir le jour dans les années 2030 ou même au-delà.

Lire James Cameron révèle ce qu’il aurait fait pour survivre au naufrage du Titanic sur www.cineserie.com
Mêlant des éléments fictifs et historiques, Titanic raconte le premier et dernier voyage d’un paquebot réputé insubmersible et qui sombre pourtant après avoir heurté un iceberg. Le long-métrage s’intéresse à une bourgeoise et un artiste pauvre qui se rencontrent lors de la traversée et tombent amoureux avant de connaître un destin tragique.
Depuis la sortie de Titanic en 1997, un débat fait rage autour du film. Beaucoup se demandent si Jack aurait eu la place de rester avec Rose sur la planche ayant permis à la jeune femme de survivre au naufrage. Le réalisateur du long-métrage, James Cameron, a affirmé par le passé que la planche n’était pas assez grande. Mais de son côté, qu’aurait-il fait pour survivre à une telle catastrophe ? Il a justement répondu à la question.
The Hollywood Reporter a demandé à James Cameron ce qu’il aurait fait s’il s’était trouvé en deuxième classe du Titanic au moment de l’impact avec l’iceberg. Le média a choisi la deuxième classe car certains passagers de la troisième étaient quasiment condamnés après avoir été piégés sous le pont. Et ceux de la première avaient la meilleure chance de prendre une place sur l’un des canots de sauvetage.
James Cameron Breaks Down How You Can Actually Survive the Titanic Sinking https://t.co/qsqHvGh7rX
— The Hollywood Reporter (@THR) December 31, 2025
Selon le cinéaste, la meilleure façon de s’en sortir dans ce scénario aurait été de se tenir sur le côté du Titanic et d’attendre qu’un canot de sauvetage soit lancé à l’eau, au début de l’évacuation. Il se serait ensuite jeté à l’eau et aurait nagé vers le canot le plus proche. Tant que celui-ci n’était pas trop loin, il aurait résisté à l’eau glaciale et les passagers présents dans le canot l’auraient très certainement secouru. James Cameron pense même précisément que le quatrième canot aurait été un choix idéal.
Dans le film, Jack choisit une tactique différente. Il pense que la meilleure décision à prendre est de rester sur le navire aussi longtemps que possible, en espérant qu’un autre navire viendra secourir les passagers à temps. Ce qui n’arrive malheureusement pas.
The Hollywood Reporter note que l’un des attraits du long-métrage est justement le fait que chaque spectateur peut se demander ce qu’il aurait fait dans une telle situation. Ce qui a peut-être contribué à l’immense succès de Titanic, devenu un film mythique.


© JACQUES DEMARTHON / AFP
Nos amis à quatre pattes raffolent de caresses et de câlins. Mais à condition de le faire au bon moment et au bon endroit. Alors, quel est l’endroit où votre chien préfère être caressé ?



Donald Trump et Volodymyr Zelensky se sont entretenus autour d’un déjeuner à Palm Beach (Floride), dimanche 28 décembre. Devant un parterre de journalistes, les deux chefs d’Etat se félicitent d’un accord "presque conclu à 95 %". Washington applaudit de "nombreux progrès" et Kiev se réjouit d’une "très bonne rencontre". Car le président des Etats-Unis persiste et signe : il mettra très prochainement fin à la guerre menée par la Russie en Ukraine. Pourtant, les présages réels de cette paix ne se manifestent pas. Dans un entretien mardi 30 décembre accordé au Telegraph, la présidente de la Moldavie, Maia Sandu, tranche : "Vladimir Poutine n’a aucun intérêt à faire la paix avec l’Ukraine."
Dans les colonnes du quotidien britannique, la cheffe d’Etat voisine de l’Ukraine alerte sur l’ambition moscovite de semer le chaos en Europe, à coups d’ingérences électorales.
Le Kremlin a bien besoin d’une pause. Après quatre ans de guerre, l’industrie militaire du pays est à bout de souffle. En décembre 2024, Moscou a annoncé allouer environ 126 milliards de dollars à la défense nationale, soit plus d’un tiers des dépenses publiques en 2025. Un record depuis la fin de la guerre froide.
Aussi, un accord de paix asymétrique ne pourrait garantir une paix durable. Au contraire, Maia Sandu y perçoit une occasion pour la Russie de reprendre son souffle avant de frapper de plus belle, et ce en l’espace de quelques mois. Et une telle issue ne mettrait pas que l’Ukraine en péril mais aussi les autres États post-soviétiques, et par ricochet, le reste de l’Europe, assure la Moldave. "Je crois que le président Trump veut la paix, et nous l’apprécions beaucoup", a-t-elle déclaré au Telegraph. Et la présidente de regretter : "Je ne crois simplement pas qu’il y ait aujourd’hui suffisamment de pression sur la Russie pour les amener à accepter de mettre fin à la guerre en Ukraine."
Et lorsqu’il est question des capacités de Vladimir Poutine à ébranler l’Europe, Maia Sandu a acquis une expertise de terrain. En septembre, se tenaient les élections législatives moldaves, échéance dans laquelle le Kremlin a investi quelque 115 millions d’euros. Selon Ksenia Iliuk, cofondatrice de LetsData, entreprise ukrainienne spécialisée dans le renseignement sur les opérations informationnelles, "plus de 700 opérations d’influence ont été détectées à l’approche de l’élection, dont beaucoup visaient à discréditer personnellement Maia Sandu", rapportait à l’époque le média en ligne Politico.
Le but de cette ingérence ? Renverser le parti pro-européen, au pouvoir depuis 2021, de la cheffe d’Etat moldave. Raté : son mouvement, le PAS a rassemblé 50,03 % des voix, contre 24,26 % pour le Bloc électoral patriotique, pro-Kremlin. Malgré cet échec, la tentative russe a été décrite par des "diplomates occidentaux chevronnés […] comme l’attaque la plus soutenue contre un processus démocratique qu’ils aient jamais observée" selon le Telegraph.
Moscou ne relâche pas pour autant sa pression. Sur les 14 derniers mois, le Kremlin a orchestré deux autres ingérences en Moldavie : un référendum entérinant la volonté de la Moldavie d’adhérer à l’Union européenne ainsi que la (ré) élection présidentielle de Maia Sandu.
Et la Moldave d'avertir : les ambitions de Vladimir Poutine dépassent largement son pays, "il veut contrôler le continent". Un projet qu’elle n’imagine pas seulement par la force armée mais aussi par une campagne massive d’ingérences électorales.
Dans les colonnes du Telegraph, Maia Sandu décrit son pays comme un "terrain d’essai" où Moscou a testé la mise en pratique de ses capacités à structurer une guerre électronique et des campagnes de désinformation, le tout pour influencer les électeurs. La présidente perçoit un avenir sombre pour le continent : "La cible, c’est l’Europe […] qui devrait s’inspirer des pays qui sont en première ligne dans la lutte pour la démocratie."
Et à l’approche de plusieurs scrutins européens, la présidente met en garde : "La démocratie sur le continent est en danger." Si l'élection présidentielle française se tient en 2027, notre pays n’est pas le seul à voir le rassemblement national, populiste et proche du Kremlin caracoler dangereusement en tête des sondages. Les Allemands, qui se rendront aux urnes en 2029, se confrontent à l’ascension fulgurante de l’AfD, accusé d’espionnage pour Moscou.

© COSTAS BALTAS / Anadolu via AFP

Entre Elon Musk et Donald Trump, on le sait, la relation battait de l’aile après les déboires du premier à la tête du Département de l’Efficacité Gouvernementale (DOGE). Mais en réalité, ce sont les actions d’un proche d’Elon Musk, Jared Isaacman, qui ont mis le feu aux poudres, raconte cette semaine le Washington Post. Nommé à la tête de la Nasa en janvier sur proposition du patron de Tesla, ce dernier s’est trouvé au coeur d’une controverse au mois de mai. Un rapport gouvernemental a révélé qu’il avait fait des dons conséquents à plusieurs élus démocrates. De quoi horripiler le président américain, qui a immédiatement suspendu Isaacman de ses fonctions.
La même semaine, Elon Musk, qui venait de démissionner du DOGE, ne digère pas la mise à l’écart de son allié de la Nasa - qui finance l’entreprise d’exploration spatiale de Musk Space X. Il multiplie alors les reproches envers le président américain sur les réseaux sociaux, fustigeant d’une part sa loi fiscale (dite "One Big Beautiful Bill"), lançant de l’autre la piste d’une implication de Donald Trump dans le dossier Epstein. Et annonce même créer son propre parti, en concurrence directe, donc, avec le parti républicain (GOP). Ce dernier élément alarme aussitôt le vice-président américain J.D. Vance, inquiet de voir les républicains perdre la majorité aux midterms de 2026.
Ni une ni deux, J.D. Vance s’improvise alors comme médiateur entre le président américain et son ex-soutien financier. Une opération de réconciliation qui va prendre plusieurs mois, et impliquer plusieurs proches d’Elon Musk, pour parvenir à ses fins, relate le Washington Post, qui a interrogé plus d’une dizaine de personnes familières de la relation entre les deux hommes.
Au fil des mois, les conseillers de Trump et Vance arrivent à la conclusion suivante : le soutien d’Elon Musk implique des exigences plus élevées que celles habituellement fixées par les donateurs riches. Le patron de Tesla étant parfois désireux de capter l’attention des médias — et d’orienter la politique selon sa propre vision du monde. "Il aime ce rôle de faiseur de rois", explique au Washington Post un proche du milliardaire. De son côté, Elon Musk accepte de rester éloigné de la politique et de laisser la place à ses alliés. Il ose même une audacieuse comparaison : "Le Bouddha est-il nécessaire au bouddhisme ? N’était-il pas plus fort après sa disparition ?".
L’opération rabibochage menée par J.D. Vance se solde finalement par une réussite, du moins en apparence : Jared Isaacman retrouve ses fonctions à la tête de la Nasa et Elon Musk sera même invité à la Maison-Blanche en novembre pour un dîner avec le prince héritier d’Arabie saoudite Mohammed ben Salmane. Mais un autre événement, tout à fait extérieur à J.D. Vance, contribue également à l’abandon par Elon Musk de son projet de troisième parti : l’assassinat de l’activiste conservateur Charlie Kirk. Assassinat à la suite duquel le milliardaire aurait décidé d’injecter ses fonds dans des groupes conservateurs existants plutôt que de fonder son propre parti.
Le jeu s’est calmé entre les deux hommes, et J.D. Vance y est pour beaucoup. Mais à en croire plusieurs proches de Trump et Musk, la trêve reste toutefois fragile. Et pourrait avoir des impacts sur la suite de la carrière de Vance, qui loin d’être un médiateur désintéressé, compte bien sûr le soutien de Musk s’il officialisait sa candidature à la prochaine présidentielle…

© afp.com/Kevin Dietsch
Entendre la formule "bon appétit" est presque devenu une habitude avant chaque repas. Écrire l’expression est une autre affaire. Il est parfois possible de retrouver les formules "bon appétit", "bonne appétit", "bon appéti" ou encore "bon apétit". Mais alors, quelle est la bonne orthographe ?

© PAT BATARD / Hans Lucas via AFP