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M4 : le Mac Studio et le Mac Pro attendront

Le Mac Studio et le Mac Pro sont-ils moins « pro » que l’iPad Pro ? Alors que la tablette inaugure la puce M4, qui intègre le contrôleur indispensable au fonctionnement de son écran Tandem OLED, les stations de travail professionnelles vont devoir attendre patiemment leur tour. Selon Mark Gurman, journaliste chez Bloomberg, le Mac Studio et le Mac Pro ne seront pas revus avant le milieu de l’année prochaine.

Image MacGeneration.

Le Mac Pro avait conclu la transition vers les puces Apple en juin 2023, avec la même puce M2 Ultra que le Mac Studio. Autrement dit : les stations de travail professionnelles garderont la même puce pendant deux ans et seront servies après le reste de la gamme, qui doit progressivement adopter les puces M4 dans les prochains mois, à l’exception du MacBook Air qui attendra le printemps 2025.

La logique est imparable, puisque le Mac Studio et le Mac Pro ne s’écoulent qu’à quelques dizaines de milliers d’exemplaires chaque année. Le symbole est préjudiciable, puisque la clientèle capable de débourser plusieurs (dizaines de) milliers d’euros pour s’offrir ce genre de machine est en droit d’exiger la primeur sur les puces les plus puissantes. Mais Apple n’est pas devenue l’entreprise la plus riche du monde en vendant des symboles.

iOS 18 : de l’IA partout, dans les notifications, la transcription des mémos vocaux, les photos, etc.

Apple suivra donc les pas de Google concernant l’IA intégrée à iOS 18. Si l’on en croit des fuites récentes et désormais les indiscrétions de Mark Gurman dans sa newsletter « Power On », l’IA s’immiscerait dans de nombreuses fonctions du futur système d’exploitation : « Dans le cadre de ces changements, la société améliorera les capacités […]

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Du titane rose pour l’iPhone 16 Pro

Après le bleu, le rose. Selon Ming-Chi Kuo, l’iPhone 16 Pro et l’iPhone 16 Pro Max abandonneront le coloris bleuté de leurs prédécesseurs au profit d’un nouveau titane rosé. L’analyste de TF International Securities, généralement bien informé, confirme ainsi une rumeur qui circule depuis plusieurs semaines sur les réseaux sociaux chinois.

LʼiPhone 6s « or rose ». Image Freestocks (Unsplash).

Apple devrait resserrer la palette de l’iPhone 16 et de l’iPhone 16 Plus, qui ne seraient pas déclinés en jaune, mais seulement en bleu, rose et vert. En contrepartie, un coloris plus franchement blanc rejoindra le traditionnel noir. Reste à savoir si Apple continuera d’alterner entre des années pastel et des années saturées pour offrir des couleurs plus vives.

La palette des modèles « pro » a toujours été sobre, mais ces dernières années, la firme de Cupertino n’a pas hésité à faire varier les plaisirs. Le rose de l’iPhone 16 Pro, qui pourrait tirer vers le doré, suit le bleu de l’iPhone 15 Pro et le violet de l’iPhone 14 Pro. Les coloris blanc, noir et naturel devraient être reconduits à l’identique.

Apple Vision Pro : en plus de la France, le lancement se prépare au Canada et ailleurs

Plusieurs pays, dont la France, vont avoir le droit à l’Apple Vision Pro. Mais d’autres sont révélés et il y a le Canada dans le lot, tout comme le Royaume-Uni et Singapour, selon Mark Gurman de Bloomberg. Au mois de mars, un bout de code dans visionOS, le système d’exploitation du Vision Pro, avait indiqué […]

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L’iPad Pro M4 passe sous le bistouri d’iFixit

Fidèle à ses habitudes, iFixit s’est livré au teardown de l’iPad Pro M4 et de l’Apple Pencil Pro. La tablette d’Apple n’a jamais été très difficile à démonter, quoiqu’il faille un peu d’adresse pour décoller son écran sans le casser, mais cela ne veut pas dire qu’elle ait toujours été très réparable. L’iPad Pro M4 représente un réel progrès en la matière, puisque les languettes des bandes adhésives maintenant les batteries peuvent être (re)tirées sans que l’on doive d’abord démonter la moitié des composants.

C’est une autre histoire pour l’Apple Pencil Pro, qui ne peut tout simplement pas être démonté. iFixit a sorti son cutter ultrasonique pour révéler la jauge de déformation captant la pression des doigts, le Taptic Engine donnant l’impression qu’un bouton clique sur le corps du stylet et la minuscule batterie condamnant lentement le Pencil à la déchetterie.

Kernel Panic : l’iPad, stop ou encore ?

‌Kernel Panic, c’est le podcast long format de MacGeneration réservé aux abonnés du Club iGen. Publié deux fois par mois, il entre en détail sur un sujet lié à Apple ou au monde de la tech.

Après une année 2023 sans aucune tablette, Apple est revenue à la charge avec de nouveaux iPad Pro et iPad Air. Les nouvelles machines haut de gamme introduisent plusieurs nouveautés, avec entre autres une puce M4, un écran OLED ou encore un design plus fin. De son côté, la gamme iPad Air se base désormais sur la puce M2 et gagne un nouveau format 13".

Comme d’habitude, ces tablettes embarquent du matériel de haute volée qui laisse sur le carreau bon nombre d’ordinateurs portables. Cette débauche de moyen ne manque pas de soulever quelques interrogations : Apple doit-elle continuer à livrer des tablettes plus puissantes et plus fines, ou faudrait-il plutôt penser à changer de formule ? Quid du futur d’iPadOS ? Faut-il greffer macOS aux tablettes ? Autant de questions abordées dans ce nouvel épisode de Kernel Panic en compagnie de Pierre et Florian.

Bonne écoute !

Pour aller plus loin

Pourquoi mettre macOS sur un iPad, alors que les Mac-users utilisent tous iPadOS ?

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Prise en main des Magic Keyboard pour iPad Pro M4

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Aperçu des nouveaux iPad Pro M4 : tout en finesse

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iPhone 16 et 16 Pro : les nouveaux coloris se confirment

Ça se précise un peu plus pour les différents coloris des iPhone 16 et 16 Pro. L’analyste Ming-Chi Kuo, généralement bien renseigné au sujet d’Apple, fait savoir qu’il y aura des changements par rapport aux iPhone 15. Les iPhone 16 Pro et Pro Max seraient disponibles en noir, blanc ou argent, gris et rose. Ainsi, […]

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Les nouveaux Mac Studio et Mac Pro n’arriveraient pas avant la mi-2025

Il va falloir patienter pour découvrir les nouveaux Mac Studio et Mac Pro, puisque leur sortie n’interviendrait pas avant la mi-2025 selon les informations de Mark Gurman de Bloomberg. La dernière mise à jour des Mac Studio et Mac Pro avec des puces M2 a eu lieu lors de la conférence WWDC en 2023, ce […]

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Apple prévoit l’AirTag 2 pour la mi-2025 avec une meilleure localisation

L’AirTag 2 se prépare chez Apple, avec la sortie qui interviendrait à la mi-2025 selon les informations de Mark Gurman de Bloomberg. Le modèle actuel a vu le jour 2021. Le nouveau AirTag a pour nom de code B589. Apple fait d’ores et déjà des tests avec certains partenaires de production en Asie. C’est un […]

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http://macbidouille.com/news/2024/05/19/les-cpu-des-mac-rosetta-2-arm-apple-silicon

Un épisode hors-série, entre les années 1994 marquant le passage au PowerPC et l'année 1995 qui verra arriver les premiers clones qui sont d'une certaine façon des "hackintosh", pour décrire ce que fait Rosetta 2 en liaison avec les CPU des Apple Silicon, et pourquoi elles sont conçues pour Rosetta 2 et vice-versa...

Dans le dernier chapitre, je vais pouvoir conclure sur les limites de l'exécution x86 sur ARM contenu dans Windows on ARM, ce qui explique pourquoi les PC ARM étaient très lents, sont encore très lents et pourraient le rester pour les logiciels x86.

Transpilation Quésako?

Il y a différentes façon d'exécuter du code créé pour une autre architecture, et si l'émulation instruction par instruction a été choisi pour le passage du 68k au PowerPC, c'est la transpilation qui a servi lors du passage du x86 à ARM pour Rosetta 2.

La transpilation dans Rosetta 2 consiste à prendre des segments de code x86 d'un logiciel, et d'en transformer chaque instruction en code ARM natif à la première exécution pour recréer de nouveaux segments de code qui sont alors conservés pour ne pas refaire l'opération à chaque lancement du logiciel.

Certaines instructions sont directement transformables, d'autres nécessitent plusieurs instructions ARM pour une instruction x86, mais il peut aussi arriver que plusieurs instructions x86 puissent être regroupées en une instruction ARM.

L'idée étant qu'après la transpilation via Rosetta 2, un logiciel x86 possède le code ARM effectuant les mêmes actions et soit directement exécutable par les SoC Apple Silicon.

L'ordre des octets dans les mots (Endianness)

Dès qu'un microprocesseur manipule des données dépassant la longueur du Byte, l'unité qui est maintenant souvent un octet de 8 bits, il faut décider comment on ranges ses informations en mémoire.

Pour un nombre 16 bits sur un bus mémoire 8 bits, il faut stocker celui-ci sur 2 octets consécutifs, mais quand certains concepteurs ont choisi de mettre d'abord la partie basse (petite ou little) puis la partie haute (grande ou big) dans l'adresse mémoire suivante, d'autres ont fait le choix inverse.

Le problème est que le x86 fonctionne sur ce point à l'inverse des ARM, nécessitant alors lors de l'émulation ou de l'exécution de code transpilé, de lire l'ensemble des données dès qu'elles font plus de 8 bits et d'inverser alors leur ordre dans le registre d'accueil, et pareil lorsqu'on écrit ces données.

Las, il n'y a pas d'instruction permettant de faire cela dans l'architecture ARM 64 bits, mais une suite d'instructions de référence certes optimisée mais coûteuse en latence par leurs chaînes de dépendance.

Apple a résolu le problème en introduisant des instructions propriétaires de lecture et écriture mémoire dans son silicium pour Rosetta 2 qui renversent l'ordre des octets dans les mots de 16 bits ,32 bits et 64 bits.

Du coté de l'émulateur de Microsoft intégré dans WoA, il semble qu'il y ai des optimisations pour éviter cette série d'instruction autant que possible, mais il n'y a pas de miracle, il y a de fortes pénalités sur les accès mémoires surtout sur des segments de code générique sans contexte.

Drapeau Parité & sauts indirects

La parité parlera aux plus anciens d'entre vous: c'est le compte de bits à 1 dans un résultat d'opération sur le x86, qui peut être pair ou impair, et qui est stocké dans les drapeaux (Flags).

Pour des raisons historiques en lien avec les liaisons séries, le x86 intègre cela dans son registre d'état, mais pas l'architecture ARMv8.

En théorie, après quasiment chaque opération modifiant le registre d'état, il faudrait regénérer l'état de ce bit dans l'émulateur ou le code transpilé, et le stocker séparément dans un registre, ce qui est très couteux, plus encore que les accès mémoires.

Apple a résolu le problème en ajoutant un mode d'exécution propriétaire et le calcul de ce bit dit P dans un bit inutilisé des drapeaux de ses Apple Silicon, de manière transparente.

Là aussi la transpilation de code x86 nécessite de rajouter du code qui ralentit le fonctionnement, dans le cas ou les drapeaux seraient lus, stockés, etc.

Un exemple typique de code s'amusant (sic) avec les drapeaux (MS-DOS 4.0 devenu open-source).

Instructions vectorielles AVX, AVX-2 & AVX-512

Là c'est simple, Intel a breveté et verrouille l'usage de ses sous-ensembles d'instructions en refusant toute émulation, quelque soit le moyen technique utilisé. Nada!

Heureusement, si les logiciels peuvent intégrer des instructions AVX, AVX-2 ou AVX-512, ils testent la présence de ces fonctionnalités et aiguillent l'exécution sur du code utilisant des instructions vectorielles plus simples et limitées (SSE 128 bits), ou du code classique non-vectoriel.

Il y a dans ce cas une perte de performance face au code vectoriel, mais l'émulation fonctionne bien, et ces cas sont plutôt rares.

L'efficacité de Rosetta 2

Ici le graphique présentant les performances du MacBook Air M1 fin-2020 avec celles des MacBook Air Intel début-2020, la première ligne est du code ARM natif, tout le reste est du code x86!

Contrat respecté!

Grâce au gain en performance du M1 face à la CPU Intel qu'il remplace et à l'efficacité de Rosetta 2, le code x86 ne tourne pas aussi vite que sur un Mac Intel sorti 6 mois plus tôt, mais deux fois plus vite!

Tout l'inverse de ce qui avait été observé sur les PC ARM à base de SoC Qualcomm. Mais pourquoi?

Les logiciels x86 sur CPU ARM & Snapdragon X

C'est là tout le problème rencontré par Microsoft avec Windows on ARM WoA, faire tourner les logiciels Windows x86 mais surtout les faire tourner assez rapidement pour contenter la clientèle pendant la transition, alors que nombre d'applications ne sont toujours pas natives, et qu'il restera toujours d'anciens logiciels très utiles qui ne sont plus suivis ni mis-à-jours.

L'exécution x86 au sein de WoA se heurte aux même limites que sous macOS avec les Apple Silicon, limites contournées via des cœurs propriétaires avec des extensions Apple associé à Rosetta 2 tout aussi propriétaire.

Las, les plateformes ARM n'intègrent ni les instructions nécessaires pour accélérer cette exécution x86, ni même le nouveau mode d'exécution propriétaire à Apple, et donc les performances réelles en sont grandement affectées, là où Rosetta 2 délivre maintenant près de 90% des performances natives, WoA semble être en-dessous des 50%.

Ce qui a été un échec avec les premières plateformes PC Qualcomm, nativement très lents, et encore plus pour les logiciels x86 qui constituaient la presque de la logithèque Windows.

On ne sait pas si Qualcomm a introduit des fonctionnalités qui permettraient ultérieurement d'accélérer cette exécution, ce qui serait fait au mépris des règles d'ARM et sans son consentement, brisant la licence concédée.

En revanche il est certain qu'actuellement WoA n'utilise pas d'instructions ou modes propriétaires Qualcomm pour accélérer cette exécution, ce qui explique les déconvenues avec les nouveaux Snapdragon X benchamrkés par des OEM et un grand constructeur.

Il faut relativiser, car de plus en plus de logiciels Windows sont disponibles nativement pour ARM dont Chrome récemment, l'exécution des applications x86 fonctionne très bien, juste plus lentement, et avec la puissance correcte du Snapdragon X cela ne devrait pas poser de problème hors logiciels particulièrement gourmand.

En conclusion

Rosetta 2 est très performant, il l'était dès les pré-versions de macOS ARM sur le Mac mini DTK à base de A12z destiné aux développeurs.

Ces performances s'expliquent non pas par du génie logiciel, mais par du matériel créé pour cela, les extensions de modes de fonctionnement et d'instructions propriétaires ajoutés par Apple dans ses Apple Silicon.

Alors qu'on avait observé des performances très médiocres sur l'émulation x86 sur les PC ARM à base de SoC Qualcomm, et que cela semble être toujours le cas avec le Snapdragon X, par absence de support matériel et/ou logiciel, sur nos Mac les performances ont été largement préservées.

Ce coup-ci, via le contrôle absolu sur le matériel et le logiciel, Apple a totalement réussi le passage d'une architecture (x86) vers la suivante (ARM). Indolore.

Premières impressions de l’iPad Pro 2024 13 pouces

Comme vous l’avez lu dans ma dernière contribution, mon iPad Pro 2018 a lâché alors que j’avais décidé de le garder un an ou deux de plus. La bête refuse de recharger, après d’innombrables tentatives de procédures diverses, le port USB-C est défectueux. J’ai fait mon deuil, et j’ai passé commande d’un modèle Pro 13 pouces 2024 Wi-fi Cellular doté de 512 Gb de stockage, d’un processeur M4, d’un étui Smart Folio, ... Continuer la lecture

8 raisons de passer à UPDF sur Mac, avec la chance de gagner un iPad

À l'occasion de son deuxième anniversaire, UPDF ne se contente pas de célébrer : la société lance une grande campagne où les participants peuvent gagner un iPad flambant neuf.

L'univers des outils numériques est vaste, très vaste, mais tous ne se valent pas, surtout lorsqu'il s'agit de traiter des documents PDF sur des appareils Apple. UPDF, développé sous la houlette de Roc Lan, co-fondateur et PDG, se distingue par sa simplicité et son efficacité.

Et pour marquer le coup de son deuxième anniversaire, UPDF frappe fort avec une campagne séduisante : gagnez un iPad tout neuf en découvrant les avantages d'UPDF.

Pourquoi choisir UPDF plutôt qu'un autre

UPDF se distingue nettement dans le paysage des éditeurs de PDF par sa combinaison de performance, d'accessibilité et de coût. Alors que d'autres programmes peuvent offrir des outils similaires, ils peinent souvent à maintenir une performance fluide, ralentissant votre flux de travail.

Adobe, connu pour ses fonctionnalités avancées, impose un tarif prohibitif qui le rend moins attractif pour les non-professionnels. En revanche, UPDF maintient une vitesse de performance rapide et propose toutes ses fonctionnalités de base gratuitement, ce qui en fait un choix judicieux pour tous les utilisateurs.

Le logiciel brille particulièrement grâce à sa technologie de reconnaissance optique de caractères (OCR), qui permet de convertir les documents scannés en fichiers PDF éditables. Cette fonctionnalité, souvent absente chez les concurrents ou disponible à un coût supplémentaire, est accessible chez UPDF sans frais additionnels.

Pour ceux qui ont besoin de remplir ou signer des PDF, UPDF simplifie le processus, rendant la gestion documentaire rapide et sans effort.

Avec UPDF Cloud, les utilisateurs peuvent non seulement stocker mais aussi accéder et gérer leurs documents n'importe où, ce qui est parfait pour les professionnels en déplacement. Ajoutez à cela une interface utilisateur claire et minimaliste, parfaitement adaptée aux standards esthétiques d'Apple, et vous avez un environnement de travail amélioré qui augmente la productivité sans le stress des interfaces encombrées.

La technologie UPDF AI améliore encore cette expérience en offrant des résumés précis de documents volumineux en quelques secondes, la traduction rapide de PDF dans plus de 38 langues, et la capacité d'interroger des documents stockés pour en extraire rapidement les idées principales.

La suite UPDF est également pensée pour les budgets. Alors qu'une licence Adobe peut coûter jusqu'à plusieurs centaines de dollars par an, UPDF offre une alternative à une fraction de ce prix, sans compromettre sur la qualité ni sur la gamme de services. Et contrairement à de nombreux autres éditeurs qui limitent l'accès à certaines plateformes, UPDF est disponible de manière égale sur macOS, iOS, Windows et Android.

Le service clientèle de UPDF mérite également d'être mentionné. Disponible 24/7 avec une garantie de remboursement de 30 jours, il offre une tranquillité d'esprit supplémentaire, assurant aux utilisateurs qu'ils font un investissement sans risque.

Avec un prix abordable, une compatibilité multiplateforme, et un service client disponible à tout moment, UPDF est clairement le choix à privilégier pour ceux qui valorisent la performance et la simplicité.

Profitez de l'offre exclusive pour obtenir UPDF Pro avec AI et tentez votre chance de gagner un iPad en visitant leur page promotionnelle !

Apple conserve vos photos "effacées"

[MàJ par Philippe]

MacRumors rapporte qu'un usager de Reddit aurait eu le problème suivant: des photos "effacées" sur un iPad, puis celui-ci correctement réinitialisé en suivant la procédure Apple pour être revendu avec déconnexion du compte iCloud, aurait vu les photos réapparaître sans être reconnecté au compte iCloud.

Le message a été effacé sur Reddit, on espère que cela soit une erreur, le problème relevé serait alors d'un autre ordre bien que celui existant sur les iPhone et iPad soit déjà extrêmement grave.

Dans tous les cas, hors effacement de l'appareil qui recrée le volume Data de l'utilisateur avec une autre clé de chiffrement et rend les données existantes indéchiffrables avec déconnexion du compte iCloud, ceux-ci ou iCloud stockent pendant une longue période ou à jamais des photos pourtant théoriquement "effacées".
Ce que la bug de iOS 17.5 a permis de révéler.

[Sujet initial]

Comme pour d'autres problèmes de sécurité, une simple bug permet de mettre en évidence des failles, des manquements ou tout encore des volontés.
Et avec la béta de iOS 17.5, Apple vient de se faire prendre la main dans le bocal de confiture...

Depuis que iOS 17.5 béta est essayé, de nombreux utilisateurs rapportent le retour de nombre de photos ou images "effacées" sur leur iPhone, dans certains cas indiquées comme ayant été ajoutées depuis iCloud le jour-même, et les plus anciennes datant de 2010.

Normalement toute image "effacée" sur un iPhone est conservée 30 jours, toujours accessible et restaurable, puis définitivement purgée de l'appareil. Idem pour iCloud.
C'est du moins la théorie, ou plutôt ce qu'allègue Apple.

Bien qu'il soit possible que ces images aient été transmises d'appareils en appareils via les sauvegardes et restaurations, le point commun semble être iCloud qui conserverait des archives très très anciennes de nos photos, mêmes celles dont nous avons demandé l'effacement.

C'est extrêmement ennuyeux car les usagers n'ont aucun contrôle sur leurs photos, images et données en général une fois envoyés dans le cloud, et doivent prendre pour argent comptant les déclarations d'acteurs qui ne semblent pas respecter le contrat moral et conserver des données qui auraient du être effacées depuis des lustres.

Et vous, utilisez-vous iCloud?

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