L'année dernière, Apple avait lancé une ambitieuse stratégie impliquant la sortie de ses films au cinéma, à la fois dans un objectif de rentabilité et dans une volonté de créer des événements culturels suscitant le buzz autour de ses créations originales. Ce changement d'approche...
Perplexity a créé une app pour le Mac et vous pouvez la précommander sur le Mac App Store, où la date de sortie est programmée au 15 octobre. Après ChatGPT, c’est le deuxième service d’intelligence artificielle générative à suivre cette route et d’après ce que l’on peut en juger sur la fiche de la boutique d’Apple, cette nouvelle app servira à accéder au service depuis macOS, sous une forme qui rappelle un petit peu les lanceurs multitâches comme Alfred ou Raycast. On pourra interroger l’IA une première fois, puis continuer à échanger avec l’outil pour préciser sa requête ou obtenir des réponses à d’autres questions adjacentes à la première.
Si vous ne connaissez pas Perplexity, sachez que cette IA générative ambitionne de remplacer les moteurs de recherche traditionnels en répondant à des requêtes à partir d’informations piochées sur le web. C’est l’outil qui ressemble le plus à un Google nouvelle génération et comme avec toutes les IA génératives, il est possible de poser des questions suite à la première pour affiner ses résultats. L’app macOS devrait le faire aussi si l’on en croit la description, tout en offrant une manière plus rapide d’accéder au service et surtout en le sortant de son navigateur habituel.
Pour les plus gros utilisateurs de Perplexity, une app macOS sera sans doute un argument intéressant. En tout cas, c’est une piste que ces services nés sur le web semblent vouloir suivre, même s’ils n’atteindront jamais le niveau d’intégration qu’Apple pourra offrir avec Apple Intelligence. En contrepartie, Perplexity devrait toutefois être disponible dans deux semaines un peu partout dans le monde, y compris en France.
L’app sera gratuite, mais sa fiche sur le Mac App Store évoque des achats in-app, sans doute pour s’abonner à Perplexity Pro, formule facturée 20 $ (18 €) par mois sur le site officiel. L’app nécessitera macOS 13 et la traduction en français est annoncé dès la première version.
Apple propose aujourd’hui la 204e version de Safari Technology Preview. Il s’agit de la version expérimentale de Safari pour permettre aux développeurs d’avoir un aperçu des nouveautés à venir dans le navigateur. Disponibilité de Safari Technology Preview 204 Pour cette version, Apple dit s’être focalisé sur l’accessibilité, le CSS, les formulaires, le JavaScript, les Service […]
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Le mois dernier, un dépôt légal d'Apple nous montrait que ses quatre modèles d'iPhone 16 étaient compatibles avec les chargeurs de 45 watts (15 volts par 3 ampères). Le site ChargerLAB s'est intéressé à la vitesse de charge maximale de l'iPhone 16 Pro Max et a pu constater que ce modèle...
Un autre son de cloche. Le président de Pegatron, Tong Zixian, a récemment exprimé son optimisme concernant les livraisons de l’iPhone 16 lors d’un événement de l’entreprise, exhortant même les journalistes à ne pas se focaliser sur les fluctuations de performance à court terme. Malgré les « retours » sur de possibles ventes plus faibles que prévues, […]
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Grâce aux iPhone 16 et 16 Pro c'est toute la gamme des nouveaux iPhone cette année qui peut capturer des photos et vidéos en mode « spatial », et plus seulement les précédents 15 Pro. Avec comme résultat un rendu qui leur donne un effet de profondeur parfois saisissant lorsqu'on les ouvre dans son Vision Pro. Malheureusement ce type de contenu n'est pas encore pris en charge par les albums partagés de Photos. On peut y glisser toutes sortes de formats d'images et de films : JPEG, GIF, RAW, QuickTime, H.264, MP4, etc mais pas le dernier format à la mode d'Apple.
C'est ce qu'indique une page d'assistance récemment mise à jour dans sa version anglaise : « Shared Albums do not support spatial photo or video ». Cela évoluera peut-être, mais tant pis pour les familles ou les bandes de copains richement équipées en Vision Pro.
Cependant, visionOS 2 pallie pour partie cette limite en permettant de convertir une photo « 2D » déjà existante — et donc une photo partagée par exemple — en une version 3D. Cela ne prend que quelques secondes avec un résultat satisfaisant.
Acrobat et Reader ont droit eux aussi a leur IA, Adobe a intégré ce système d'assistance dans ses lecteurs de PDF. Cette fonction — Assistant AI — est maintenant disponible en langue française, permettant ainsi d'interagir avec des requêtes textuelles en langage naturel.
L'idée est de fournir une assistance à l'utilisateur qui se retrouve face à une somme d'informations dans un énorme PDF ou qui va chercher à synthétiser des informations réparties sur plusieurs documents (vidéo), même de formats différents.
Il peut demander des choses standards comme obtenir un résumé des points les plus saillants d'un long document (vidéo) ou interroger l'IA sur une thématique particulière développée dans ce(s) document(s). L'éditeur donne en exemple des requêtes possibles telles que :
À partir des informations dégagées par l'IA, l'utilisateur peut lui demander de générer le texte d'un courrier, d'élaborer une fiche de points clefs, etc (vidéo).
Cet Assistant IA qui utilise les modèles d'Adobe ne bûche pas à l'œil. Que l'on utilise l'application gratuite Reader ou la payante Acrobat, il en coûte 8,05 € par mois pour recevoir ces coups de main ou 6,04 € après un engagement annuel. Ce tarif est provisoire, valable jusqu'au 14 janvier prochain.
L’acquisition de Beddit par Apple en 2017 n’a pas donné grand-chose dans le monde des accessoires dédiés au suivi du sommeil. La Pomme a bien tenté de vendre ce capteur à placer sur un matelas avec une nouvelle génération en 2019, mais les retours catastrophiques ont eu raison du produit, retiré à la vente en janvier 2022. À peine trois ans après, c’est au tour de l’app de Beddit de disparaître de l’App Store, comme l’a noté MacRumors.
Ce retrait ne signifie pas mécaniquement que les derniers utilisateurs du produit ne peuvent plus bénéficier de ses fonctionnalités. Au minimum, cela signifie quand même qu’Apple cesse entièrement son investissement dans l’écosystème et ne proposera plus aucune mise à jour du capteur. On peut espérer qu’il continue de fonctionner normalement tant qu’une mise à jour d’iOS ne casse pas la connexion avec l’appareil. Malgré tout, c’est un bon signe qu’il va falloir trouver un plan B si vous utilisiez encore le produit.
Chez Apple, ce plan B est évidemment l’Apple Watch, qui s’enrichit au fil des années d’un suivi du sommeil plus perfectionné. Ce n’est pas le même prix toutefois : là où le Beddit était vendu 149 €, il faut compter au minimum 249 € pour une Apple Watch SE. Et si elle en fera bien plus en journée, elle implique de porter quelque chose sur soi la nuit, là où un appareil dédié peut se faire oublier, puisqu’il est positionné sur le matelas et permet de dormir sans rien porter du tout.
Au revoir Paylib, bonjour Wero. Ce 30 septembre marque le lancement officiel du nouveau service de paiement lancé par 14 groupes bancaires européens, dont les banques françaises. L’objectif est de proposer un système de paiement moderne et de s’attaquer à des plateformes comme Apple Pay, PayPal et d’autres. Wero remplace Paylib Les banques partenaires pour […]
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Un organisme en Chine avait autorisé une demande pour la charge filiare à 45 W concernant les iPhone 16. Mais il se trouve que les nouveaux smartphones d’Apple n’atteignent pas ce niveau lors de l’usage au quotidien, comme le montre un test. ChargerLAB a utilisé de nombreux chargeurs, que ce soit ceux d’Apple ou de […]
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L’ouragan Hélène fait beaucoup de dégâts en ce moment en Floride et dans l’est des États-Unis, et Apple a décidé de faire un don pour les secours présents sur place qui viennent en aide à la population. Comme à chaque fois lorsqu’il s’agit de faire un don, c’est Tim Cook, le patron d’Apple, qui prend […]
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Limiter artificiellement l’autonomie de son iPhone, c’est la drôle de possibilité offerte par Apple sur les iPhone 15 et les iPhone 16. Plutôt que de recharger votre iPhone à 100 %, vous pouvez décider de le limiter à 95 %, 90 %, 85 % ou même 80 %. Non seulement le fabricant propose ce bridage, mais il le recommande même.
Pourquoi se restreindre ainsi ? Pour freiner le vieillissement de la batterie. En la remplissant intégralement, on use en effet plus vite ses cellules, ce qui lui fait perdre sa capacité maximale plus rapidement. En faisant preuve de retenue aujourd’hui, on peut donc prolonger l’efficacité de sa batterie pour demain.
Mais ne vaut-il pas mieux profiter de toute l’autonomie de son iPhone et s’éviter quelques complications dans la vie de tous les jours, quitte à remplacer l’accumulateur dans quelques années ? On vous laisse en débattre dans les commentaires après avoir répondu au sondage du jour, qui donnera une première indication de votre préférence.
Quelle limite de recharge avez-vous choisie pour votre iPhone 15 ou votre iPhone 16 ?
iA Writer a été retirée de Google Play et l’app n’est plus commercialisée sous Android jusqu’à nouvel ordre. Cet éditeur de texte spécialisé dans le Markdown reste bien entendu disponible sur iOS, macOS et Windows, le changement ne concerne que la plateforme mobile de Google. Comme ses concepteurs le détaillent dans un article de blog, cette décision n’a pas été prise à la légère, même si c’est la seule qui semble viable face à une situation critique dans l’univers Android. La goutte d’eau qui a fait déborder le vase est venue d’un changement de politique de Google, qui demande désormais des autorisations spécifiques pour un accès complet à Google Drive.
Pour faire simple, une app sous Android ne peut plus écrire de fichiers dans Google Drive sans recevoir une certification payante fournie par un organisme privé. Un développeur doit recevoir la CASA, pour Cloud Application Security Assessment, un audit de sécurité qui est censé indiquer à Google qu’il ne fera rien de malveillant avec ces fichiers. Cette autorisation doit être renouvelée tous les ans et seule quelques entreprises peuvent la donner, avec un processus manifestement lent et coûteux.
Les développeurs d’iA Writer expliquent ainsi qu’ils devraient perdre un à deux mois de revenus rien que pour obtenir cette certification. Ils citent également un confrère qui l’a obtenue après un processus qui lui a bloqué entre 60 et 80 heures de travail sur plus de trois mois et qui a demandé une trentaine d’allers et retours avec l’entreprise en charge de la certification. Cette procédure lourde et complexe doit être répétée chaque année, ce qui permet de comprendre pourquoi les créateurs d’apps ne sont pas enchantés à l’idée de respecter cette nouvelle contrainte imposée par Google.
D’autant que le géant de la recherche fait preuve d’inconstance dans ce domaine, en changeant les conditions d’utilisation de sa plateforme de manière répétée et sans prévenir. Comme le détaille iA dans son article, il a fallu d’abord apporter plusieurs preuves d’une utilisation correcte de Google Drive, avant de basculer sur l’exigence de la CASA à la dernière minute, sous peine de rester sur un accès en lecture seule aux fichiers. Ce qui est logiquement inutile pour un éditeur de texte, mais Google n’a pas entendu l’argument et exige désormais la certification pour iA Writer, comme pour toutes les autres apps Android.
Ne plus proposer d’accès à Google Drive n’est pas un choix envisageable dès lors que le système de synchronisation des fichiers de Google est celui présent par défaut. Ce serait comme proposer une app sans accès à iCloud Drive sur iOS et c’est la raison qui a finalement convaincu iA de retirer son app Android, même si c’est loin d’être la seule. Développer une app pour le système mobile de Google est compliqué, notamment parce qu’il faut gérer de nombreux cas de figure, ce qui implique le plus souvent d’acheter du matériel. Il y a des particularités sur des smartphones d’une certaine marque et il y a des incompatibilités entre du matériel et une certaine version d’Android, si bien que cela peut devenir compliqué de tout gérer, surtout pour une petite équipe de développement.
Pour ne rien arranger, les développeurs d’iA Writer pointent du doigt le problème du piratage, apparemment bien trop simple à mettre en œuvre sur Android. D’après eux, c’est un phénomène d’une telle ampleur que 90 % des utilisateurs de leur app n’ont rien payé. Alors même que ce sont pas des clients légitimes, ils peuvent quand même noter l’app sur la boutique de Google, ce qu’ils ne se privent pas de faire quand il y a un bug. Et tant pis si le bug en question est lié à leur piratage, si bien que les développeurs ne peuvent rien faire pour le corriger.
Ce témoignage donne une perspective intéressante sur le développement mobile sous iOS et Android. Même si l’App Store souffre de nombreux défauts, créer des apps pour les iPhone et iPad est relativement simple et sûr en comparaison. Il y a moins de matériel spécifique à gérer, le piratage n’est pas aussi généralisé et Apple fournit des API que n’importe quelle app peut exploiter pour accéder aux données de l’app Fichiers. Si les plus gros acteurs ont les moyens nécessaires pour gérer chaque plateforme et ses spécificités, c’est plus compliqué pour une petite équipe comme celle d’iA et cela explique sans doute pourquoi tant d’apps n’existent que sur iOS et pas sur Android.
Quoi qu’il en soit, cette difficulté a motivé la décision de l’entreprise d’abandonner iA Writer pour Android et de se concentrer sur les autres versions de l’app. Pour les utilisateurs actuels de l’app Android, tout fonctionnera comme avant pour le moment, même si faute de nouvelles mises à jour, il faudra s’attendre à terme à des problèmes de compatibilité.
Une barrière vient de tomber entre les écosystèmes d’Apple et de Google. Le site mypixelbuds.google.com, qui permet de contrôler les écouteurs de Google, est maintenant compatible avec macOS (Sonoma au minimum) et Windows 11. On pouvait déjà jumeler des Pixel Buds à un Mac comme n’importe quels écouteurs Bluetooth, mais on ne pouvait pas les gérer finement. Pourvu qu’on utilise Chrome, le site de Google règle ce problème.
Après avoir connecté son compte Google et sélectionné les Pixel Buds, les réglages avancés de ceux-ci apparaissent dans le navigateur. On peut choisir le mode des écouteurs (suppression de bruit, standard ou transparence pour les Pixel Buds Pro), régler l’égaliseur à sa guise, ainsi que contrôler d’autres options, comme la connectivité multipoint et la mise en pause automatique. On peut aussi se servir de ce site web pour mettre à jour les écouteurs.
Google propose d’installer une application autonome pour contrôler les Pixel Buds, mais il s’agit simplement d’une web app débarrassée de la barre d’adresse.
En bref, si pour une raison ou une autre vous avez un Mac et des écouteurs Google, vous pouvez contrôler ces derniers sans avoir besoin d’un smartphone Android. Quelques options restent exclusives à Android, mais ce ne sont pas les plus importantes (bien-être auditif, son spatial…). À quand un tel contrôle des AirPods depuis Windows ?
Test des Pixel Buds Pro : les AirPods Pro de Google
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