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Un bracelet qui mesure la tension artérielle chez Asus

Si Asus n'est pas la marque à laquelle on pense en priorité quand on parle de bracelets de santé ou de montres, la marque taïwanaise dispose tout de même d'une gamme assez large dans ce domaine avec les VivoWatch. La dernière version en date, annoncée il y a quelques jours, amène une fonction intéressante : la mesure de la tension artérielle.

Le bracelet Asus VivoWatch 6 Aero. Image Asus.

L'Asus VivoWatch 6 Aero est un bracelet doté d'un petit écran OLED (1,1 pouce) qui offre de nombreux capteurs. Il intègre des capteurs classiques, comme un capteur de fréquence cardiaque, mais peut aussi mesurer la saturation en oxygène (SpO2) et intègre la possibilité d'effectuer un électrocardiogramme — comme les Apple Watch depuis la Series 4 — et (surtout) celle de mesurer la tension artérielle. C'est une fonction intéressante pour certaines maladies, mais Asus ne donne pas beaucoup de détails sur sa mise en œuvre : les rares appareils compacts qui intègrent cette fonction nécessitent généralement une calibration avec un tensiomètre classique (plus imposant) ou se limitent à indiquer une variation de la tension artérielle, sans donner de valeurs précises.

Les différentes fonctions. Image Asus.

Le bracelet d'Asus n'a pas encore été annoncé pour la France (et n'a pas de prix officiel) mais la page de présentation est disponible dans la langue de Molière, donc il devrait être disponible dans nos contrées de la même façon que le bracelet VivoWatch 5 Aero (vendu environ 130 €). Un des points mis en avant par Asus vient du poids (27 grammes) mais aussi de l'autonomie : Asus annonce jusqu'à 7 jours (5 jours dans un usage normal). C'est un périphérique qui cible surtout les personnes qui s'intéressent uniquement à la santé, avec l'intégration des suivis classiques (comme le sommeil) en plus des données issues des capteurs. Pour ceux qui veulent un périphérique plus complet, Asus propose d'ailleurs de montres connectées.

Pour terminer, il faut noter que le capteur pour les ECG et celui pour la tension artérielle ne sont pas nécessairement disponibles dans tous les pays. Les deux nécessitent une validation par les autorités, ce qui peut prendre parfois quelques mois.

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Un SSD usé n'est pas une bonne solution pour préserver des données

Quand les défauts des SSD sont mis en avant, un problème est généralement mis sur le tapis : l'usure. En effet, les cellules de mémoire flash ont une durée de vie finie, qui dépend de la technologie des puces et des mécanismes de gestion de l'usure. Mais un autre souci, plus insidieux, est rarement mis en avant : celui de la rétention, c'est-à-dire le temps pendant lequel un SSD peut garder vos données sans qu'elles soient corrompues. HTWingNut, un Youtubeur, a tenté de vérifier de façon empirique, si les SSD résistaient bien dans le temps.

Quatre SSD pour un test au long cours.

Dans la majorité des cas, les SSD sont donnés pour une rétention des données de l'ordre de 10 ans, avec parfois une valeur doublée pour certains types de mémoire flash. De façon très concrète, les fabricants considèrent donc qu'un SSD neuf (c'est important) devrait garder les données une dizaine d'années au moins sans que le SSD soit alimenté. Au-delà de cette durée, il est possible (ce n'est pas systématique) que les données soient corrompues. Ce problème de rétention n'en est normalement pas un, sauf si vous avez décidé de préserver des données sur un SSD rangé dans un tiroir… spécialement sur un SSD usé. Soyons clairs sur un point avant de continuer : quelle que soit la technologie, espérer qu'un média fonctionne correctement après une dizaine d'années sans être utilisé est un pari. Les disques optiques, les disques durs ou les SSD peuvent tomber en panne, et les professionnels tendent à employer des solutions pérennes (mais peu pratiques) comme les bandes magnétiques. Dans tous les cas, une vérification régulière des sauvegardes n'est pas à négliger.

L'usure réduit la rétention

Le problème mis en avant par HTWingNut, c'est que l'usure réduit la rétention des données, tout comme la chaleur, par exemple. Un SSD rangé dans un endroit surchauffé gardera ses données moins longtemps qu'un modèle placé au frais. Pour le vérifier, il a choisi quatre SSD Leven JS-600 de 128 Go, des modèles noname comme il est possible d'en trouver par paquet sur Amazon, par exemple. Ils emploient de la mémoire TLC (trois bits par cellule), une technologie avec une résistance dans le temps moyenne.

La vidéo montre le résultat sur deux des quatre SSD, après deux ans. Une première vidéo montrait le résultat après un an. Dans chaque cas, un des SSD a reçu 100 Go de données (et c'est tout) et le second a été usé avant d'écrire les mêmes 100 Go. L'usure en question est assez importante, avec 280 To écrits. C'est largement plus que la valeur garantie sur ce type de SSD, qui est de 60 To. Les fabricants indiquent en effet généralement une valeur1 (le TBW) qui est la limite (pessimiste) au-delà de laquelle le SSD peut amener des erreurs. Elle dépend en partie de la technologie — un SSD en TLC sera meilleur qu'un SSD en QLC, avec quatre bits par cellule — mais aussi de la capacité. Un SSD de 2 To peut mécaniquement encaisser plus de données écrites qu'un SSD de 128 Go.

Le nombre d'erreurs est élevé.

Le test empirique, qui doit être pris pour ce qu'il est, montre que les deux SSD considérés comme neufs n'ont pas posé de soucis de rétention des données après un et deux ans (respectivement). Le modèle qui a été éteint deux ans a tout de même montré un petit signe de faiblesse, avec quelques erreurs ECC corrigées directement par le contrôleur. Par contre, le SSD usé, lui, montre des erreurs. Il y a quatre fichiers corrompus sur le SSD après deux ans sans alimentation et des secteurs réalloués, ce qui indique que le contrôleur a dû aller piocher dans la réserve de cellules de la mémoire flash. De plus, le nombre d'erreurs ECC corrigées est très élevé (plusieurs centaines de milliers). Enfin, le temps de calcul pour la vérification des données a pris significativement plus de temps : 42 minutes environ, contre à peu près 10 dans les autres cas.

Faut-il avoir peur ?

La question de la sécurité de nos données se pose évidemment après de tels résultats. Mais il faut bien nuancer les choses. Premièrement, garder des données importantes sur un SSD bas de gamme éteint et usé est une mauvaise idée au départ, et il n'y avait pas réellement besoin d'un test empirique pour le prouver. Deuxièmement, c'est un problème qui ne peut toucher que des SSD éteints. Le SSD de votre Mac, normalement, ne devrait pas se trouver dans ce cas de figure, tout comme un SSD externe utilisé régulièrement. Et dans tous les cas, nous en revenons aux bases : une sauvegarde régulière est importante, sur un volume vérifié lui aussi de façon régulière. La vidéo, dans un sens, démontre presque par l'absurde ce qu'il ne faut pas faire.

Terminons par un point, lui aussi important : c'est un peu contre-intuitif, mais un vieux média à base de mémoire flash a probablement une rétention plus élevée qu'un périphérique récent. Une vieille clé USB ou une carte mémoire de la fin des années 90 va probablement encore contenir vos photos, alors qu'une microSD noname achetée en 2020 peut les avoir perdues.


  1. Ce n'est pas le cas d'Apple, mais le TBW estimé des SSD des Mac M1, par exemple, est estimé à 700 TBW pour les modèles de 256 Go.  ↩︎

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Les câbles de charge Beats sont maintenant disponibles en Apple Store

Comme prévu, les nouveaux câbles de charge Beats sont maintenant disponibles à l’achat dans les Apple Store physiques. Il était déjà possible de les acheter sur l’Apple Store en ligne depuis quelques jours. Les câbles Beats sont recouverts d’un matériau tissé anti-nœuds plus durable et résistant à l’usure. Ces câbles sont proposés en deux longueurs […]

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Condamné pour abus de position dominante, Google va-t-il être forcé à la scission ?

Coup dur pour Google ! Ce jeudi 17 avril, la juge Leonie Brinkema a rendu sa décision dans l’un des plus importants procès antitrust intentés contre la firme de Mountain View, estimant que l’entreprise avait bel et bien abusé de sa position dominante sur le marché de la publicité numérique. Un jugement historique, qui pourrait profondément rebattre les cartes du secteur.
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Quel iPhone adoptera une puce gravée en 2 nm ? (et à quel prix...)

Apple semble prête à inaugurer une nouvelle génération de performances avec l’iPhone 18, attendu en 2026. Selon plusieurs sources concordantes dans la chaîne d’approvisionnement asiatique, dont le leaker Digital Chat Station, les prochains modèles haut de gamme embarqueront une toute nouvelle puce A20 gravée en 2 nm par TSMC. Mais cette première mondiale pourrait aussi alourdir la facture.
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Promo : -280 € sur l'iMac M4 avec écran nano-texturé

Amazon fait une bonne réduction sur une configuration du nouvel iMac M4 sorti en novembre. Le modèle de milieu de gamme avec l'option de l'écran nano-texturé (pour atténuer grandement les reflets) est vendu 1 715 €. C'est 284 € de moins que sur l'Apple Store. Il est doté de 16 Go de RAM et de 256 Go de SSD (ce qui peut s'avérer court). Il n'y a que la version en finition argent à ce prix.

Image Apple.

L'iMac de milieu de gamme est mieux équipé en ports que le modèle en dessous puisqu'il a l'Ethernet et quatre ports Thunderbolt 4 au lieu de 2. Sa déclinaison de M4 est un cran plus rapide que celle de l'entrée de gamme. En outre son clavier dispose du bouton Touch ID avec son capteur d'empreinte.

Cette version de l'iMac a apporté une meilleure webcam et des claviers et souris rechargeables par USB-C au lieu du Lightning. Quant au processeur M4, il est tout simplement puissant pour cette machine.

Test de l’iMac 24" M4 : haut en couleur

Test de l’iMac 24" M4 : haut en couleur

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AmigaOS 3 continue à être mis à jour, près de 30 ans plus tard

Hyperion Entertainment vient de mettre à jour un système d'exploitation antédiluvien : AmigaOS passe en version 3.2.3. Cette version succède à la version 3.2.2 de 2023 et c'est surtout un descendant direct de l'AmigaOS 3.x des années 90. La mise à jour elle-même peut étonner, mais ce n'est pas une nouveauté : Hyperion Entertainment dispose des droits de la branche 3.1 d'AmigaOS et elle met à jour de façon régulière le système d'exploitation pour les quelques aficionados des machines de Commodore.

AmigaOS 3.2, la branche originale.

Mais le point intéressant, c'est qu'il existe d'autres branches d'AmigaOS. Attention, c'est un peu compliqué. Les versions 3.1.x et 3.2.x, portées par Hyperion, dérivent donc du code source de la version développée par Commodore. Pour la comparaison, il faut imaginer (par exemple) une faillite d'Apple dans les années 90 et une société qui continuerait à développer le System 7, plus de trente ans plus tard.

AmigaOS 3.5, 3.9, 4.0 et 4.1, plus anciens

Ensuite, comme le rappelle Next, il y a les branches 3.5 et 3.9. Ces deux versions sont sorties à la fin du siècle dernier et dérivent de la version 3.1 de Commodore (vous suivez ?). La société allemande Haage & Partner (l'Amiga avait beaucoup de succès outre-Rhin) avait obtenu le nécessaire pour le développer sous licence de la part des ayants droit de Commodore à l'époque. Cette branche, abandonnée depuis, est donc plus ancienne que l'AmigaOS 3.2.3 qui vient d'être annoncé, et elle ne fonctionne pas sur tous les modèles. Les Amiga — comme les Macintosh des années 80 — reposent sur des processeurs de la famille 68000 et si AmigaOS 3.2.x prend encore en charge le 68000 original, ce n'est pas le cas d'AmigaOS 3.5 et 3.9, qui nécessitent un 68020.

La dernière branche officielle est AmigaOS 4.0 et 4.1, eux aussi développés par Hyperion. Cette branche est différente des deux autres, car elle nécessite un Amiga équipé d'une puce PowerPC. En effet, dans les années 90 et 2000, les tentatives d'évolution des Amiga sont passées par le processeur 68060 (qu'Apple n'a jamais employé) mais aussi par des puces PowerPC, comme les Mac. AmigaOS 4.x est donc une version nativement compatible avec les PowerPC, qui abandonne la compatibilité 68000. En parallèle de ces versions, il existe aussi des systèmes d'exploitation compatibles, qui implémentent les API d'AmigaOS,et les deux plus connus sont AROS (qui est open source et fonctionne sur de nombreuses architectures) et MorphOS. Ce dernier est un système compatible fermé, qui nécessite un ordinateur à base de PowerPC. Il peut s'agir d'un Mac mais il en existe d'autres.

Il est possible d'acheter des puces programmées.

Notons enfin qu'Hyperion propose une version adaptée du Kickstart, en version 3.2.3. le Kickstart peut être vu comme l'équivalent (encore une fois) de la ROM des anciens Macintosh. Cette puce de ROM contient une partie d'AmigaOS, ce qui améliore les performances dans certains cas. Si vous avez une ROM Kickstart d'une ancienne version avec une version moderne d'AmigaOS, le système d'exploitation doit copier une partie des données en RAM pour les patcher, et donc une ROM Kickstart à jour réduit l'empreinte mémoire du système.

Enfin, attention : AmigaOS 3.2 est un système payant, vendu généralement une quarantaine d'euros. Votre vieille Amiga mérite bien ça.

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Apple avait déjà un plan B pour l'iPhone, afin de contourner les taxes Trump

Alors que la guerre commerciale entre les États-Unis et la Chine continue de peser sur l’industrie tech, Apple redouble d’efforts pour diversifier sa chaîne d’approvisionnement. Et parmi les alternatives, le Brésil joue désormais un rôle stratégique... et même davantage qu'on pourrait le croire. En effet la firme de Cupertino y assemble déjà l’iPhone 16e, et ce, depuis son lancement.
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Apple « Vision Air » : des photos dévoilent le câble d’alimentation

Le leaker Kosutami, connu pour ses révélations sur les prototypes Apple, a partagé de nouvelles images d’un câble d’alimentation qui serait destiné à un futur casque « Vision Air ». Ce modèle représenterait une version allégée du Vision Pro, probablement avec un prix moins élevé. Selon le leaker, le casque adopterait un design plus fin et intégrerait […]

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L’enseigne Alain Afflelou, victime d’une folle cyberattaque

L’enseigne d’opticiens Alain Afflelou rejoint la longue liste des entreprises françaises ciblées par des cyberattaques. Dans un mail adressé à ses clients, le groupe confirme avoir été confronté à un « incident de cybersécurité » ayant permis l’accès non autorisé à certaines données personnelles.
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Apple a commencé la production de l’iPhone 16e au Brésil

C’était dans l’air depuis les annonces tonitruantes de la Maison Blanche : dans le cadre de la guerre commerciale en cours entre les États-Unis et la Chine, Apple a déjà pris certaines mesures pour éviter les lourdes taxes douanières imposées sur les importations chinoises par le président américain Donald Trump, notamment en étendant ses opérations […]

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Les caméras de Reolink certifiées pour leur bon fonctionnement avec Home Assistant

Les caméras conçues par Reolink sont les premières à recevoir la certification Works with Home Assistant. Lancée l’an dernier, elle identifie des produits qui fonctionnent parfaitement avec la domotique open-source et surtout qu’ils respectent quelques-uns de ses principes fondamentaux, à commencer par un fonctionnement entièrement en local. C’est bien le cas pour les produits Reolink, qui peuvent être associés aux serveurs du fabricant, mais qui favorisent par défaut un fonctionnement local, pour le stockage et même l’analyse des images.

La Duo 3 PoE de Reolink sur le mur de ma maison bretonne (d’où les escargots) est désormais certifiée pour fonctionner parfaitement avec Home Assistant. Image iGeneration.

Même si tous les produits conçus par Reolink fonctionneront avec Home Assistant, seule une petite partie de son énorme catalogue est certifiée. Cela concerne notamment ses deux sonnettes vidéos, en Wi-Fi (130 €) comme en Ethernet PoE (116 €), ainsi que le Home Hub (100 €). Cet enregistreur réseau peut gérer jusqu’à huit caméras pour stocker leurs enregistrements et il fait aussi office d’alarme.

Voici les caméras « classiques » qui sont certifiées à ce jour :

  • Argus Track (130 €) : caméra 4K connectée Wi-Fi avec deux objectifs (grand-angle et zoom) avec motorisation et projecteur ;
  • Duo 3 PoE (200 €) : caméra 4K Ethernet composée de deux objectifs pour une vision panoramique (180°) et projecteurs ;
  • TrackMix PoE (200 €) : caméra 4K Ethernet avec deux objectifs (grand angle et zoom) avec motorisation et projecteur ;
  • RLC-823S2 (370 €) : caméra 4K Ethernet avec un objectif associé à zoom optique, un projecteur et un moteur ;
  • RLC-1224A (120 €) : caméra 4K Ethernet au format tour, avec un objectif standard et un projecteur.

D’autres produits conçus par Reolink devraient rejoindre le programme au fil du temps, tandis que toutes celles actuellement en circulation continueront de fonctionner grâce à l’intégration officielle. Celle-ci est gérée par un utilisateur et non le fabricant, ce qui est courant dans l’univers Home Assistant, même si la certification assure que le constructeur est non seulement d’accord, il pourra même donner un coup de main.

La caméra Duo 3 PoE vue depuis Home Assistant. On ne le voit pas sur la capture d’écran, mais tous les paramètres pour la détection intelligente sont accessibles par ce biais. Image MacGeneration.

Les produits Reolink ne sont pas directement compatibles avec l’app Maison d’Apple, même si on peut les y ajouter avec Scrypted… ou par le biais de Home Assistant bien sûr, puisque le système de domotique peut faire office de pont HomeKit pour tous ses accessoires. Ces appareils sont aussi compatibles avec tous les systèmes qui gèrent les caméras réseau, grâce aux standards ONVIF et RTSP.

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iPhone 18 : le processeur A20 sera gravé en 2 nm

Ce n’est pas vraiment une surprise : les futurs modèles iPhone 18  devraient disposer de processeur A20 gravés avec le processus de fabrication 2 nm de TSMC, ce qui promet des améliorations significatives en termes de performance et d’efficacité énergétique. Ce serait aussi une nette amélioration par rapport aux puces 3 nm qui seront utilisées […]

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Le connecteur de l'Apple Vision apparaît en noir

Le connecteur propriétaire utilisé pour relier la batterie de l'Apple Vision Pro au casque n'existe aujourd'hui que dans le coloris argenté. Apple travaille sur une version noire et Kosutami en a partagé les images ci-dessous. C'est la même source qui clamait hier qu'Apple travaillait sur une...

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A quoi pourrait ressembler l'iPhone 17 Pro avec sa barre ?

Alors que la présentation officielle de l’iPhone 17 n’est attendue qu’à l’automne, les fuites continuent d’alimenter les spéculations sur les changements de design à venir. Au menu de ce jour, on trouve un nouveau rendu partagé par kanedacane. Celui-ci met en lumière une évolution discrète mais notable : un dos unibody avec un système photo entièrement intégré, sans finition bicolore.
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Conduite autonome en Chine : la fête est finie



Le ministère chinois de l’Industrie vient de décider de renforcer drastiquement la réglementation autour de la conduite autonome. Tests publics interdits, fonctions sans supervision bannies et encadrement du marketing : la Chine recentre le développement technologique sur la sécurité, après l’accident fatal impliquant un véhicule Xiaomi.
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245 % de taxe ? Ce que Donald Trump a décidé pour les produis techs chinois

Malgré les titres alarmistes relayés cette semaine les nouvelles sanctions douanières évoquées par Donald Trump ne concernent ni Apple, ni les géants de la tech américaine. Le chiffre choc des 245 % de droits de douane annoncé par la Maison-Blanche ne s’applique qu’à une poignée de produits ciblés, dont aucun n’est lié à l’écosystème Apple
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Mettez à jour vos appareils Apple !

macOS Sequoia 15.4.1 Pour Mac, iOS 18.4.1 pour iPhone, iPadOS 18.4.1 pour iPad ainsi que VisionOS 2.4.1 ou tvOS 18.4.1 comblent tous des failles de sécurité importantes et activement exploitées!

Mettez donc à jour vos Mac, iPhone, iPad, TV ou Vision Pro.
Comme toujours, pensez à faire une sauvegarde avant...

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Procès antitrust : les avocats d’Apple accusent Meta de ne pas bien gérer certains documents sensibles

Meta cherche toujours une voie de sortie lors du procès antitrust intenté par la FTC. Les premiers débats suscitent cependant (déjà) leur lot de critiques. Non content en effet de rameuter les services concurrents au profit de son narratif, les avocats de Meta ne feraient pas suffisamment attention à la présentation de certaines données dites […]

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Severance : un clavier inspiré de l’ordinateur Lumon sera bientôt commercialisé

Dans la foulée de la fin de la saison 2 de Severance, Apple s’est amusé à référencer un faux “Lumon Terminal Pro” sur son site. Si cet appareil reste fictif, un de ses éléments emblématiques deviendra bel et bien réel : le clavier utilisé par l’équipe MDR dans la série est en effet en cours […]

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X va lancer XChat, mais qu’est-ce que c’est ?

Sur X, les messages privés pourraient bientôt disparaître au profit d’une nouvelle plateforme baptisée XChat. Un ingénieur de la société a confirmé que les DMs allaient être supprimés, sans préciser exactement quand ni comment la transition se fera.
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Incogni lance un plan Unlimited (et c’est une petite révolution dans la protection des données)

Soyons honnêtes : la plupart des services qui promettent de « vous rendre le contrôle de vos données » le font à moitié. Parce que l’essentiel, aujourd’hui, n’est pas seulement d’être effacé des courtiers en données bien identifiés (même si c’est un excellent début), mais de pouvoir agir contre n’importe quel site qui publie vos informations personnelles sans votre consentement.

Nom, adresse, numéro de téléphone, profil professionnel... Ce patchwork numérique qui vous suit et vous trahit, parfois même à votre insu.

Avec son nouvel abonnement Unlimited, lancé ce lundi 7 avril, Incogni passe un cap décisif — et pourrait bien devenir la référence incontournable du secteur.

Supprimer ses données, mais partout

Jusqu’ici, Incogni brillait déjà par son efficacité à contacter les courtiers en données, ces boîtes grises qui revendent vos infos à qui veut bien payer. En quelques clics, le service engageait à votre place des dizaines de demandes légales de suppression, avec des résultats concrets. Simple, automatique, légal.

Mais voilà que le plan Unlimited élargit massivement le champ d’action : désormais, les abonnés peuvent pointer du doigt n’importe quel site (hors réseaux sociaux, registres gouvernementaux, blogs et forums) qui expose leurs données personnelles. Le tout via une interface aussi limpide que redoutable, et géré ensuite par les agents Incogni eux-mêmes, sans que vous n’ayez à lever le petit doigt.

Vous tombez sur un site obscur qui liste votre adresse pro ? Une plateforme douteuse qui a recopié votre profil LinkedIn ? Un agrégateur de CVs qui vous avait échappé ? Vous l’indiquez à Incogni. Et ils s’en occupent. Ce niveau de contrôle, jusqu’ici, n’existait tout simplement pas ailleurs. C’est ce qui fait toute la différence de ce nouveau plan.

Combien ça coûte ?

Avec l’arrivée de cette nouveauté, Incogni ajuste aussi légèrement ses tarifs. À partir du 7 avril, l’abonnement annuel passe à 7,29 € par mois (facturé en une fois), tandis que la formule mensuelle reste à 12,99 €, sans engagement.

Un tarif qui reste très compétitif si l’on considère :

  • la couverture du service (plus de 180 courtiers de données pris en charge par défaut),
  • la prise en main ultra-intuitive (quelques clics pour lancer le processus),
  • et maintenant, la possibilité d’agir contre des sites tiers ciblés, avec un accompagnement humain à la clé.

Et contrairement à d’autres acteurs du marché, Incogni ne fait pas dans le blabla : ici, chaque demande est réellement envoyée, suivie, et documentée. Le tout dans le respect du RGPD, bien sûr.

Une ère post-« j’efface mes cookies »

Le plan Unlimited ne change pas seulement la vie de ceux qui veulent disparaître du web. Il rebat aussi les cartes du secteur tout entier. Car jusqu’ici, les outils de privacy se contentaient souvent de ce que les API et les registres voulaient bien leur donner. Avec cette nouvelle approche proactive, Incogni redonne l’avantage aux individus. Enfin.

Et soyons clairs : on n’attendait pas vraiment d’Incogni qu’il révolutionne son propre modèle. C’est pourtant exactement ce qui se passe ici.

À l’heure où vos données sont une monnaie d’échange aussi banale que votre carte de fidélité, ne rien faire revient à dire « je suis d’accord ». Avec Incogni, on passe de la résignation au réflexe.

Abonnez-vous dès aujourd'hui à Incogni

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Strava se paye Runna, l'app de course à pied spécialisée dans le coaching par IA

Strava vient de se payer Runna, une autre application dédiée aux amateurs de sport, spécialisée dans la course à pied. Runna est une application britannique surtout connue pour ses mécanismes d'entraînement : elle propose un système de coach assisté par IA, capable de personnaliser les objectifs en fonction de vos performances et vos objectifs. L'achat par Strava ne devrait par ailleurs rien changer pour les utilisateurs de Runna à court terme. C'est un investissement intéressant pour Strava, car l'app est un peu plus généraliste et Runna devrait donc combler certaines de ses faiblesses.

Le logo de Runna dans une carte Strava.

Il faut noter que Runna dépend déjà en partie de Strava, car l'app utilise les API de Strava, et que les deux applications reposent sur un abonnement. Runna est facturé 20 $/mois (ou 120 $/an), alors que les fonctions payantes de Strava valent 10 €/mois (ou 60 € à l'année). Il est évidemment possible d'imaginer que les deux fusionneront à moyen terme, même si le CEO de Runna indique que rien ne change pour le moment. Une des forces de Runna vient aussi de son intégration, c'est par exemple une des rares applications capables de profiter du capteur de fréquence cardiaque des récents Powerbeats Pro 2. Notons enfin que les modalités de la transaction (comme le prix d'achat) n'ont pas été dévoilées.

Test des Powerbeats Pro 2 : réduction de bruit sur fond de rythme cardiaque

Test des Powerbeats Pro 2 : réduction de bruit sur fond de rythme cardiaque

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La France revoit à la baisse, sa stratégie sur l'hydrogène

Après de longs mois d’attente, le gouvernement a enfin publié sa nouvelle stratégie nationale pour l’hydrogène, réclamée de toutes parts par les industriels du secteur. Plus ciblée, moins ambitieuse que prévu, elle pose tout de même les jalons d’un soutien public renforcé pour faire émerger une filière française compétitive à l’échelle européenne
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Le Snapdragon X 2 Elite sur les rails, jusqu'à 22 % plus rapide

Même si la vague attendue des PC sous Windows avec une puce ARM n'a pas déferlé, Qualcomm continue à travailler sur ses puces Snapdragon X. Une rumeur issue d'un blogueur chinois indique que la seconde génération — qui portera le nom Snapdragon X 2 selon la nomenclature de Qualcomm — devrait offrir un gain de performances de l'ordre de 20 % (18 à 22 %).

La rumeur. Image X.

C'est une valeur dans la moyenne des puces modernes, qui atteignent généralement cette valeur dans un cas bien choisi (par exemple si le test se base sur les unités améliorées de façon significative). Il indique aussi que la fréquence devrait atteindre 4,4 GHz, une valeur plus élevée que celle des variantes actuelles. Si 4,4 GHz est la fréquence de base, une grande partie du gain proviendrait de cette fréquence : elle est de 3,8 GHz au mieux actuellement, et le passage à 4,4 GHz amène mécaniquement environ 15 % de gain. Si c'est la fréquence maximale de la puce (le Turbo), le gain proviendrait par contre d'optimisations : le Snapdragon X Elite le plus rapide atteint 4,3 GHz en pointe et 4,4 GHz serait donc une montée en fréquence faible (environ 2,5 %).

Qualcomm va pouvoir remplacer le 1 par un 2.

Dans les deux cas, il ne faut pas oublier que la partie CPU n'est pas le principal problème des Snapdragon X. Le cœur Oryon issu des travaux de Nuvia est convaincant dès sa première révision, avec des performances du même ordre que les puces M2 ou les puces x86 du même segment. Par contre, la partie GPU demeure assez faible et les problèmes liés à la partie logicielle (Windows 11 ARM) bien présents.

Test de l

Test de l'Asus Vivobook S15 : enfin un PC Windows ARM qui tient la route grâce au Snapdragon X

Notons enfin que les Snapdragon X2 devraient (enfin) avoir de la concurrence : le contrat d'exclusivité entre Microsoft et Qualcomm se termine officieusement cette année et Nvidia et Mediatek devraient entrer dans la danse pour — peut-être — enfin démocratiser les PC sous Windows ARM.

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B&You réduit le prix de son forfait avec 200 Go de 5G pour les abonnés B&You Pure fibre

B&You réduit encore le prix de son forfait avec 200 Go de 5G, mais uniquement pour ceux qui sont également abonnés à la fibre optique avec l’offre B&You Pure fibre. Si c’est votre cas, alors ce généreux forfait mobile sera facturé 6,99 € par mois seulement, c’est 3 € de moins que le prix de base en ce moment pour les nouveaux abonnés et indéniablement une des meilleures affaires pour qui a besoin d’un gros volume de données mobiles.

Image B&You.

En tout, Bouygues Telecom demande 30,98 € par mois pour les connexions à internet mobile et fixe. Côté forfait mobile, outre les 200 Go de données en 5G, vous aurez les appels et SMS/MMS illimités en France métropolitaine, c’est classique, ainsi que 30 Go de data par mois depuis l’Union européenne et les DOM. Côté internet fixe, l’offre Pure fibre propose des débits très importants avec 8 Gbit/s en téléchargement et 1 Gbit/s en envoi de données, une box Wi-Fi 6E et c’est tout, il n’y a pas d’offre de télévision. Ce qui n’est pas un problème si vous possédez une Apple TV, ce ne sont pas les options qui manquent en direct.

Comment regarder les chaînes de télé sur l’Apple TV : toutes les apps et offres disponibles

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Précisons que la promotion ne vaut que pour les nouveaux clients, tant en mobile qu’en fixe, puisqu’elle ne sera appliquée que lors de la souscription simultanée aux deux offres. La remise sur le forfait mobile sera active tant que vous resterez abonné à la fibre optique, sinon le prix reviendra à 9,99 € par mois.

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Synology espère rendre ses propres disques durs obligatoires dans ses nouveaux NAS

Synology a annoncé, uniquement sur son site allemand bizarrement, un changement de politique pour ses futurs NAS de la gamme « 25+ » attendus dans le courant de l’année. Ces nouveaux produits exigeront un disque dur vendu ou certifié par Synology pour fonctionner correctement. Si vous insérez un support de stockage d’une autre marque et qui n’a pas reçu la certification exigée par le fabricant, vous perdrez une partie des fonctionnalités, dont le suivi de l’état des disques durs (SMART) qui sera réservé aux modèles pris en charge officiellement.

Le successeur de ce DS723+ n’acceptera plus n’importe quel disque dur, comme c’était le cas jusque-là. Image MacGeneration.

Cette politique est nouvelle dans la gamme « grand public », même si Synology l’avait déjà mise en œuvre dans certains modèles professionnels. Contrairement à ces derniers qui n’acceptent que les modèles maison, les nouveaux NAS toléreront des disques durs certifiés par le fabricant, dont la liste n’est pas encore connue. Quoi qu’il en soit, c’est une limitation importante des possibilités offertes aux utilisateurs, qui devront se passer d’une partie des fonctionnalités ou accepter de rester sur les disques durs officiels. Si les tarifs restent raisonnables face à la concurrence (environ 105 € pour 2 To, contre 103 € pour un WD Red de même capacité par exemple), cela reste un bridage logiciel sur un marché qui était jusque-là totalement libre.

Synology précise bien que le changement ne concerne que les nouveaux modèles attendus dans les prochains mois, les NAS actuels continueront d’accepter n’importe quel disque dur sans discuter. Autre concession, les disques durs utilisés dans un ancien NAS de la marque et transférés dans les dernières générations seront acceptés sans problème et offriront toutes les fonctions. Ce n’est qu’en partant de disques durs vierges insérés dans un nouveau NAS que la limitation interviendra. À noter que les SSD semblent épargnés par cette nouvelle politique pour le moment.

En contrepartie, Synology promet une nouveauté sur cette gamme de NAS : à condition d’utiliser des disques dur approuvés, on pourra activer la déduplication à l’échelle du volume, une technique avancée qui permet de récupérer de l’espace libre en supprimant les copies identiques des fichiers. Est-ce que ce sera suffisant pour faire passer la pilule ? Synology semble un petit peu à la traine depuis quelques années face à des concurrents plus réactifs, à l’image de la connectique réseau qui est encore en Ethernet gigabit sur la génération 2024. Certes, cela devrait enfin changer en 2025 avec la généralisation du 2.5G, mais cela fait longtemps que les autres constructeurs y étaient passés et on peut toujours utiliser n’importe quel disque dur dans leurs produits.

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Apple va définitivement fermer l’Apple Store de Bristol en Angleterre

C’est une chose suffisamment rare pour être notifiée : Apple a officiellement annoncé la fermeture définitive de son Apple Store situé à Bristol, en Angleterre. La boutique pommée fermera ses portes le 9 août 2025, en raison de projets de réaménagement du centre commercial Cabot Circus et du Bristol Shopping Quarter adjacent. Le propriétaire des […]

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TikTok pique une fonctionnalité de X très appréciée

TikTok teste une nouvelle fonctionnalité baptisée Footnotes, qui permet aux utilisateurs d’ajouter des informations contextuelles aux vidéos. Inspirée de Community Notes sur X, cette option a pour objectif de renforcer la fiabilité des contenus, sans remplacer pour autant les vérifications effectuées par des professionnels.
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Instagram aurait-il percé sans Facebook ? Ce qu'en pense Mark Zuckerberg

Mark Zuckerberg, a comparu mercredi pour la troisième journée consécutive devant un tribunal fédéral à Washington, dans le cadre d’un procès antitrust décisif pour l’avenir de son empire. Il est en effet questionné depuis lundi pour ustifier le rachat d’Instagram (2012) et WhatsApp (2014), deux opérations aujourd’hui dans le collimateur de la Federal Trade Commission. En effet, cette dernière accu
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