Apple purge assez fréquemment les différentes versions qui sont installables sur les iPhone, afin d’éviter que les utilisateurs se retrouvent avec une version qui ne contient pas tous les correctifs. Cette fois-ci, elle n’aura pas attendu très longtemps avant de faire tomber le couperet : iOS 26.1 (et tous ses camarades iPadOS 26.1, tvOS 26.1 et homeOS 26.1) n’est plus signé par Apple, empêchant par la même son installation.
Pour tous ceux qui veulent utiliser une version 26.x, il ne reste donc plus que deux solutions disponibles : iOS 26.2, ou la beta d’iOS 26.3.
Si le fait de ne pas laisser le choix peut paraître frustrant à première vue, il faut se rappeler que ces suppression d’anciennes version permettent d’éviter les failles béantes dans les appareils des utilisateurs, même si certains power-users aimeraient parfois un peu plus de liberté.
L’arrivée de l’iPhone Fold se précise avec des schémas montrant les dimensions du smartphone pliable d’Apple. Prévu pour septembre 2026, l’appareil qui a pour nom de code V68 doit permettre à Apple de concurrencer les acteurs déjà établis sur ce marché, notamment Samsung. Des informations d’iPhone-Ticker provenant des fabricants d’accessoires révèlent aujourd’hui les mensurations de […]
Apple a déployé la semaine dernière des correctifs de sécurité importants pour l’iPhone avec iOS 26.2 et iOS 18.7.3, mais le fabricant fait le nécessaire pour cacher la seconde mise à jour. Les propriétaires d’iPhone compatibles refusant de migrer vers iOS 26.2 se voient privés de cette mise à jour de sécurité, Apple semblant forcer […]
OpenAI ajoute une nouvelle couche de garde‑fous à son « Model Spec », le document qui décrit comment les modèles doivent se comporter, avec un ciblage explicite des 13‑17 ans. En toile de fond, la promesse générique de « no topic is off limits » se heurte à une réalité plus contraignante dès que le système pense avoir un mineur en face.
N’ayant pas d’ado sous la main, image créée par IA.
Le texte s’articule autour de principes « U18 » qui encadrent désormais la manière dont ChatGPT doit parler aux ados, avec une priorité assumée donnée à la sécurité dès qu’il y a conflit entre liberté de discussion et risque potentiel. L’assistant est encouragé à rediriger vers le monde réel – famille, amis, professionnels et services d’urgence – dès que la conversation touche à la détresse psychologique, aux conduites à risque ou à l’automutilation. Le ton attendu est chaleureux et non condescendant, mais il ne doit pas faire comme si les adolescents étaient des adultes pleinement autonomes, ni entretenir l’illusion d’une relation quasi humaine.
Quatre axes clés
Les quatre axes clés sont désormais explicités comme une sorte de boussole interne pour les interactions avec les mineurs :
Priorité systématique à la sécurité quand elle entre en tension avec la liberté de discussion.
Promotion active du support hors ligne (parents, proches, professionnels, services d’urgence) en cas de sujets sensibles.
Traitement explicite de l’utilisateur comme adolescent, avec un ton adapté, ni enfantin ni purement adulte.
Transparence renforcée sur la nature de l’IA, ses limites, et l’absence de relation « humaine ».
Là où la mise à jour devient plus intéressante, c’est dans la façon dont elle resserre les vis sur trois zones sensibles : romantisme, sexualité et santé mentale. Les roleplays romantiques ou pseudo‑intimes avec des mineurs, même édulcorés, sont mis à l’index, et les contenus sexuels impliquant des ados restent strictement bannis, avec une insistance particulière sur les zones grises comme les échanges suggestifs ou trop détaillés. Sur les sujets de suicide, de troubles alimentaires ou de mutilation, le modèle est sommé de quitter le registre de la conversation neutre pour passer en mode filet de sécurité, sans banalisation ni glamorisation, et avec des renvois explicites vers des ressources d’aide.
Techniquement, tout cela s’appuie sur un mécanisme clé : la prédiction d’âge, censée déterminer si un compte appartient probablement à un mineur pour déclencher automatiquement ce régime U18. En cas de doute, la consigne est de traiter l’utilisateur comme adolescent plutôt que de lui laisser le bénéfice du « profil adulte », au risque assumé de multiplier les faux positifs. Dans certains marchés, OpenAI évoque même la possibilité de contrôles d’identité plus robustes, ce qui déplace le problème vers un terrain très chargé : comment protéger les mineurs sans transformer la vérification d’âge en cheval de Troie contre la vie privée.
Le timing de cette évolution n’est pas anodin, alors que l’entreprise est dans le viseur de régulateurs et de législateurs qui planchent sur des standards spécifiques pour les mineurs face aux systèmes d’IA. Des textes comme les lois américaines encadrant les « chatbots compagnons » pour jeunes ou les discussions autour d’un devoir de diligence renforcé créent un environnement où l’inaction réglementaire n’est plus tenable. La mise à jour publique du Model Spec fonctionne alors comme une pièce à conviction : OpenAI affiche ses intentions de design responsable, documentation à l’appui, pour montrer patte blanche aux autorités et aux parents.
Reste la zone de frottement la plus inconfortable : ce type de charte peut cadrer les intentions, mais ne garantit jamais la qualité de la réponse donnée à un ado en crise à trois heures du matin. L’entreprise mise sur une combinaison de règles, de filtrage et de signaux d’alerte, mais la réalité restera faite de cas limites, de contextes mal compris et de modèles qui n’attrapent pas tous les signaux faibles. Entre la volonté affichée de « protéger sans infantiliser » et le risque d’un sur‑blocage qui transforme l’outil en machine à phrases creuses dès que la conversation devient sérieuse, la marge de manœuvre est étroite, et elle se jouera autant dans l’implémentation que dans les principes.
Pendant que la RAM et les SSD voient leurs prix grimper en flèche, heureusement, les bons vieux disques durs restent à des tarifs raisonnables pour qui veut faire ses sauvegardes tranquilles. Mieux, on trouve quelques bonnes opérations à faire sur Amazon pour la fin d’année.
Le My Passport est souvent une valeur sûre, et en 5 To, il offre de quoi voir venir. Image Western Digital.
Alors qu’un SSD externe de 4 To se négocie au minimum 239,99 € pour une fin de série chez Crucial qui plie bagages dans le domaine, et que les autres se trouvent tous au minimum à plus de 300 €, Western Digital propose avec son éternelle série « My Passport » un disque dur externe 2,5 pouces de 5 To, pour la modique somme de 138,99 €.
C’est massif, c’est lourd, mais avec 16 To de stockage, ça reste compact. Image Seagate.
Vous en voulez plus ? Seagate est là pour venir à votre secours, avec sa série « Expansion Desktop » dont la version 16 To est proposée sous les 300 €, à 299,99 € exactement, soit un prix au To de 18,75 €. Le To n’a jamais été aussi bas sur les disques mécaniques !
Un boîtier externe, bien pratique pour recycler ses disques durs internes. Image Orico.
Reste le cas particulier de celui qui a un nombre conséquent de disques durs internes, et souhaite les recycler pour un tarif raisonnable. S’ils se font de plus en plus rares, les boîtiers pouvant accueillir des disques durs internes jusqu’au format 3,5 pouces que l’on trouvait encore récemment dans les ordinateurs de bureau existent toujours. Et l’une des meilleures affaires actuelles reste le boîtier proposé par Orico, avec son interface USB 3.0 largement suffisante pour la vitesse d’un disque dur à plateaux. À 22,57 €, il sera difficile de trouver plus bas.
Si la RAM et les SSD montent en flèche, il reste possible de trouver du stockage, même s’il gratte un peu à l’oreille et n’est pas aussi rapide que de la mémoire flash. Il a au moins l’énorme avantage d’avoir une capacité d’emport encore sans égale !
Alors que les mois s’égrènent et que la date de sortie de l’iPhone Fold s’approche petit à petit, comme souvent, des fuites de plus en plus nombreuses se font jour. Et comme souvent encore une fois, c’est du côté des fabricants de coques que les premières apparaissent concernant le design du nouvel appareil, comme le rapporte iPhone-ticker.
L’iPhone Fold de dos et déplié, selon les fuites trouvées par iPhone-ticker.
Et de manière surprenante, si la rumeur s’avère exacte, le premier iPhone pliable de la marque aurait une forme s’éloignant de l’habituel smartphone fermé pour se rapprocher de celle d’un iPad, avec un « petit » écran bien plus large que haut. Ainsi, l’appareil surnommé V68 en interne devrait faire 120 mm de haut sur 83,8 mm de large fermé, pour une épaisseur de 9,6 mm. Il arborerait donc un écran externe de 5,49 pouces, dans une définition de 2088x1422 pixels.
Et une fois ouvert ? Avec un écran de 7,76 pouces en 2713x1920 pixels, il se rapproche encore plus d’un format iPad, et aurait des mensurations de 167,6 mm de large pour 120,6 mm de haut. L’épaisseur ? Seulement 4,8 mm (hors bosse des objectifs, bien entendu).
Bien entendu, toutes ces mesures aussi précises soient-elles restent à prendre avec des pincettes : elles proviendraient d’un fichier CAD envoyé aux fabricants d’accessoires, sans précisions sur la source originale de celui-ci. Si bien souvent les fabricants d’accessoires sont tenus au courant en avance des spécifications d’un appareil pour produire les coques et autres éléments à l’avance, il est déjà arrivé que ceux-ci se fassent berner par un faux fichier. Dans tous les cas, la réponse devrait arriver d’ici moins d’un an maintenant.
Apple a cessé de signer iOS 26.1 au niveau de ses serveurs. Cela signifie qu’il n’est plus possible d’installer cette version sur son iPhone ou iPad, que ce soit en tant que mise à jour ou restauration. Il n’est plus possible d’installer iOS 26.1 Apple a proposé la version finale d’iOS 26.1 le 3 novembre […]
Entre les vidéos filmées à l’iPhone, les anciens souvenirs familiaux stockés sur des disques durs, les clips téléchargés ici et là, ou encore les photos imparfaites la tâche peut vite devenir ingérable. Pour les utilisateurs de Mac, Macxvideo AI se présente justement une solution tout-en-un pensée pour remettre de l’ordre, rapidement et sans multiplier les logiciels.
Une équipe de chercheurs d’Apple présente UniGen-1.5, un système d’intelligence artificielle conçu pour centraliser la compréhension, la génération et la retouche d’images au sein d’une architecture unique. Cette évolution du modèle initial UniGen vise à surmonter la complexité de traiter ces tâches distinctes dans un seul modèle unifié, en améliorant spécifiquement la précision des modifications […]
La Therapeutic Goods Administration, à savoir l’autorité gouvernementale en Australie qui réglemente la sécurité, la qualité et l’autorisation de mise sur le marché des médicaments, vaccins, dispositifs médicaux et autres produits thérapeutiques, a donné son feu vert pour qu’Apple propose les alertes d’hypertension sur Apple Watch. Apple peut activer les alertes d’hypertension en Australie L’Apple […]
Samsung vient d’annoncer l’Exynos 2600, la première puce mobile au monde gravée en 2 nm. Destiné à équiper les futurs fleurons de la marque, dont les Galaxy S26, ce processeur repose sur le procédé de fabrication Gate-All-Around (GAA) de Samsung. Cette annonce marque une avancée technologique face à Apple qui va également passer à la […]
Apple a déployé la semaine dernière iOS 26.2, une mise à jour importante intégrant plusieurs correctifs de sécurité majeurs. En parallèle, la firme a également publié iOS 18.7.3, destiné aux utilisateurs n’ayant pas encore franchi le pas vers iOS 26. Tout du moins en théorie. En pratique, certains propriétaires d’iPhone se retrouvent dans une situation pour le moins déroutante.
Avec le Quest 3S, Meta poursuit sa grande croisade pour démocratiser la réalité virtuelle — et, soyons honnêtes, pour s’assurer une petite place dans votre salon aux côtés de la console, de la box TV et du chat qui juge votre passion pour les gadgets. Ce nouveau casque, évolution plus accessible que révolutionnaire, se présente comme la porte d’entrée vers la VR façon Meta
Pendant le Black Friday, Amazon avait proposé de très grosses promotions sur les casques de Beats, avec des réductions qui dépassaient 50 %. Et les promotions reviennent aujourd'hui, avec (presque) les mêmes prix.
Le premier est le casque Beats Studio Pro. Il est à 170 € au lieu de 400 €, une très belle réduction. Ce casque haut de gamme avec réduction de bruit est très efficace, peut fonctionner en filaire en USB-C et existe en de nombreuses couleurs. La version noire, la Moka, la Bleu nuit et la Sable sont à ce prix, les autres sont à 200 €. Amazon indique qu'ils arriveront avant Noël.
Pour un tarif beaucoup plus doux — 107 € au lieu de 230 € —, le Solo 4 est un bon casque audio sans fil. Il n'a pas de réduction de bruit active, mais bien les intégrations intéressantes des produits Beats dans la plateforme Apple, tout en gardant une compatibilité Android. Il a perdu 13 € depuis le début du mois et Amazon indique que le casque peut être livré avant Noël.
Pour le sport et les petits budgets, les Beats Flex sont à 40 € au lieu de 90 € (une diminution de 5 €). Ils ont un fil qui relie les deux écouteurs, mais se connectent tout de même en Bluetooth.
Si vous préférez les écouteurs, il y a de nombreux modèles en promotion. Les Studio Buds+ sont à moitié prix : 100 € au lieu de 200 €. La version transparente n'est malheureusement pas en promotion.
Enfin, l'enceinte Beats Pill (USB-C) est à 90 € au lieu de 170 € (encore 10 € de moins). C'est une enceinte efficace en Bluetooth, avec une excellente autonomie.
Avec macOS 26.2, Apple a activé une fonction intéressante pour les amateurs de calculs : le RDMA (Remote Direct Memory Access). L'idée, c'est de permettre aux apps d'accéder à la mémoire de plusieurs appareils Apple s'ils sont reliés en Thunderbolt 5. La technologie permet d'obtenir une latence acceptable pour ce type d'usage — moins de 50 microsecondes — avec une grande quantité de RAM. Jeff Geerling a par exemple relié quatre Mac Studio, ce qui a permis d'obtenir 1,5 To de RAM1 (il a deux modèles avec 256 Go de RAM et deux autres avec 512 Go).
Dans son post (résumé de sa vidéo), il explique que le Mac Studio M3 Ultra seul offre déjà d'excellentes performances pour les calculs liés à l'IA, avec une efficience bien meilleure que des appareils basés sur les puces de Nvidia et d'AMD dans cette gamme. En reliant les quatre Mac Studio en Ethernet à 2,5 Gb/s puis en IP over Thunderbolt, le cluster de Mac Studio offre des gains intéressants, et le Thunderbolt montre des avantages évidents par rapport à l'Ethernet, grâce à une latence plus faible (qui est de l'ordre de 300 microsecondes selon lui).
Avec l'activation du RDMA (qui nécessite un passage dans la partition de restauration, en ligne de commande), les gains peuvent être importants, comme il le montre. Avec des modèles de langage qui nécessitent plus que les 512 Go de RAM d'un Mac (il utilise Exo, un outil open source qui prend justement cette fonction en charge), c'est une solution pratique pour récupérer plus de mémoire. Bien évidemment, les logiciels doivent prendre en charge la possibilité de travailler en cluster. Sur un modèle avec 671 milliards de paramètres (DeepSeek V3.1), il est par exemple possible de passer de 21 à 32 tokens/s. C'est un gain qui n'est pas aussi élevé que l'investissement nécessaire pour quatre Mac Studio, mais qui reste assez intéressant.
Des gains intéressants. Image Jeff Geerling.
Dans tous les cas, la solution d'Apple est intéressante pour ce type de calcul, et elle montre que la marque s'intéresse encore (bizarrement) aux serveurs et autres stations de travail pour des calculs. Et comme Jeff Geerling l'espère, il serait intéressant de voir une solution de ce type avec un Mac Pro équipé d'emplacements PCI-Express et de technologies dédiées plus rapides que le Thunderbolt pour la liaison.
Avec quatre modèles M3 Ultra poussés au maximum, il est même possible d'atteindre 2 To. Comptez tout de même 20 000 € uniquement pour la RAM dans ce cas. ↩︎
Le tribunal judiciaire de Paris a rejeté, ce vendredi 19 décembre, la demande de l’État visant à bloquer provisoirement le site Shein en France. Cette requête faisait suite à la découverte de produits illicites sur la plateforme début novembre, quelques jours avant l’ouverture de son premier magasin physique en France. Des poupées pédopornographiques, des armes de catégorie A ou encore des médicaments interdits étaient commercialisés par des vendeurs tiers sur sa place de marché.
Le tribunal a reconnu l’existence d’un « dommage grave à l’ordre public », mais a estimé que la mesure demandée était « disproportionnée ». Il a notamment relevé le caractère « ponctuel » de ces ventes et constaté que la plateforme avait retiré les produits en cause. La justice a toutefois adressé une injonction à Shein, lui interdisant de remettre en vente des « produits sexuels pouvant caractériser un contenu à caractère pornographique » sans mise en place préalable de dispositifs de vérification de l’âge.
L’État demandait que Shein soit contraint de maintenir la suspension de sa marketplace et plus largement l’arrêt de toutes les ventes ne relevant pas de l’habillement. Depuis le 5 novembre, Shein limite en effet son activité à la vente de vêtements issus de ses collections, le temps de corriger les « failles » identifiées sur son site.
La marketplace de Shein n’était toutefois pas la seule concernée par la présence de produits interdits. Le gouvernement s’est ensuite rendu compte que celles de Temu, AliExpress, Wish, eBay et Joom proposaient également des articles prohibés. Amazon a aussi été pointé du doigt, aux côtés de Wish et Temu, pour ne pas avoir « respecté [ses] obligations de filtrage des mineurs face aux images à caractère pornographique ». De là à considérer qu'il y a un problème généralisé de contrôle sur les marketplaces, il n’y a qu’un pas.
« Toute plateforme qui aura commercialisé des articles illicites aura le même traitement [que Shein] », avait assuré en novembre le ministre des PME, Serge Papin. Au vu de l’issue de la procédure visant Shein, les autres acteurs du secteur ne doivent pas être particulièrement inquiets.
Mise à jour à 18 h 49 : le gouvernement annonce qu'il fera appel de la décision du tribunal judiciaire dans les prochains jours.
Samsung vient officiellement de dévoiler l’Exynos 2600, présenté comme la première puce pour mobile, gravée en 2 nanomètres. Cette annonce se veut des plus stratégiques, à la fois technologique et symbolique, alors qu’Apple est attendue sur ce terrain mais seulement en 2026.
En décembre 2024, iOS 18.2 inaugurait le partage de la position des AirTags avec les compagnies aériennes afin de faciliter la localisation des bagages égarés. Un an plus tard, SITA, société spécialisée dans les solutions de communication pour le transport aérien et partenaire d’Apple sur cette fonctionnalité, dresse un premier bilan.
Un AirTag accroché à une valise. Image iGeneration
D’après les statistiques de SITA, si la majorité des bagages perdus finissent par être restitués à leurs propriétaires, un « petit pourcentage » d’entre eux ne sont toutefois jamais retrouvés et sont alors considérés comme définitivement perdus. Pour les bagages équipés d'un AirTag ou d'un autre traceur compatible avec le réseau Localiser d’Apple, le nombre de pertes définitives a chuté de 90 % lorsque le partage de localisation est activé via WorldTracer, le système de gestion de l’entreprise.
De plus, les compagnies aériennes qui exploitent le réseau Localiser d’Apple ont observé une réduction de 26 % du temps nécessaire à la récupération des bagages retardés. « Lorsque les technologies grand public et les infrastructures aéronautiques sont connectées de manière optimale, les résultats peuvent être révolutionnaires », souligne Nicole Hogg, directrice du portefeuille Bagages chez SITA, dans un communiqué.
Partage de la position d’un AirTag avec une compagnie aérienne. Image Apple.
À ce jour, 29 compagnies aériennes tirent parti de l’intégration du réseau Localiser dans WorldTracer. C’est notamment le cas d’Aer Lingus, British Airways, Brussels Airlines, Delta Air Lines, Eurowings, Iberia, KLM Royal Dutch Airlines, Lufthansa, Qantas, Swiss International Air Lines, Turkish Airlines, United, Virgin Atlantic ou encore Vueling. D’autres transporteurs devraient suivre dans les mois à venir. Selon nos informations, Air France expérimente actuellement ce dispositif et prévoit un déploiement en 2026.
À l’échelle mondiale, le taux de bagages égarés est de 6,3 pour 1 000 passagers. Parmi eux, 66 % sont restitués à leurs propriétaires dans un délai de 48 heures, précise la société spécialisée.
Le gouvernement français n’a pas obtenu gain de cause. Ce vendredi 19 décembre, le tribunal judiciaire de Paris a rejeté la demande de suspension de la plateforme de vente en ligne Shein, pourtant accusée d’avoir commercialisé des produits illégaux sur sa marketplace. L’exécutif réclamait un blocage d’au moins trois mois, à quelques jours seulement des fêtes de Noël.
Si certains utilisateurs s'appuient sur le stockage dans le cloud, d'autres ont toujours besoin de plus de stockage rapide et local, d'autant plus sur Mac où les machines d'entrée de gamme disposent encore d'une capacité limitée. Alors que Crucial va arrêter sa gamme grand public pour se concentrer sur le B2B et l'IA, des promotions permettent aujourd'hui de s'offrir les derniers SSD de Crucial à
Les abonnés à Apple TV vont pouvoir découvrir plus tôt que prévu le dénouement de la première saison de Pluribus. La plateforme a confirmé que l’épisode final sera diffusé en avance la semaine prochaine, à l’instar de ce qui s’était déjà produit pour un épisode précédent de la série (deux épisodes avaient été diffusés la […]
Bloom (16,4 €) est un gestionnaire de fichiers pour le Mac qui est sorti au printemps dernier. Il s’agit d’une alternative au Finder, une catégorie qui n’attire sans doute plus autant de développeurs qu’à une époque, mais qui reste attrayante pour tous ceux qui sont insatisfaits de l’interface intégrée à macOS. Bloom vient ainsi concurrencer de nombreux noms bien ancrés dans le domaine, à commencer par Path Finder, qui reste sûrement la référence. Son positionnement est d’ailleurs similaire, en pariant sur de multiples fonctions avancées pour mieux se distinguer du gestionnaire de fichiers d’Apple.
Bloom en action avec ici trois panneaux dans une seule fenêtre, plus la petite fenêtre « Portal » en bas. Image MacGeneration.
L’app a beau être relativement jeune, la liste de fonctionnalités qu’elle propose est déjà impressionnante. Bloom permet de découper ses fenêtres en panneaux, deux à la verticale par défaut, jusqu’à quatre si vous le souhaitez. Chaque panneau affiche le contenu d’un dossier, indépendamment de tous les autres, ce qui facilite le travail sur plusieurs emplacements en parallèle. On peut par ailleurs sauvegarder des espaces de travail, qui combinent l’organisation en panneaux et les emplacements de chaque élément. Par défaut, l’app ouvrira le dossier du bureau à gauche et celui des téléchargements à droite et vous pourrez créer des combinaisons en fonction de vos besoins.
En plus de tous ces panneaux, le « Portal » est une petite fenêtre flottante qui affiche le contenu du dossier de votre choix. Elle peut servir d’espace temporaire qui se fermera automatiquement dès que vous changez de contexte, ou bien d’espace permanent épinglé, qui restera alors au-dessus de l’interface de Bloom et même des fenêtres des autres apps. Le gestionnaire de fichiers propose aussi un puissant outil qui permet d’ouvrir rapidement un dossier et qui fait office de moteur de recherche. C’est un peu l’équivalent d’un lanceur similaire à Spotlight ou Raycast à cet égard, sauf qu’il ne gère que les fichiers. Tout peut être géré au clavier et la fonctionnalité est associée par défaut au raccourci clavier ⇧⌘↩︎.
La fonction qui permet à la fois d’ouvrir un dossier et de rechercher un fichier dans Bloom. Image MacGeneration.
Je suis loin d’avoir couvert toute la liste de fonctions et les réglages intégrés à Bloom sont d’une densité rare de nos jours. Vous pouvez ajuster la présentation et le fonctionnement très précisément et il y a de nombreuses idées à découvrir. Par exemple, il est possible de synchroniser deux panneaux, pour que la sélection d’un dossier dans l’un affiche son contenu dans l’autre. Les colonnes peuvent aussi être automatiquement redimensionnées selon de multiples critères. Côté interface, l’app propose de changer la couleur de fond de chaque fenêtre ou encore de modifier l’icône associée à chaque favori dans la barre latérale.
Possibilité de créer des fichiers, ajout d’actions pour manipuler des documents, ouverture d’une session de terminal pour un dossier… il y a encore plein de petites fonctionnalités à découvrir. Bloom nécessitera un temps de découverte pour en faire le tour, si bien que les sept jours de démonstration ne seront peut-être pas suffisants. Au-delà, il faudra payer une licence à environ 16,4 € au minimum (on peut donner plus). C’est une licence personnelle, mais elle peut servir sur trois Mac, ce qui est plutôt généreux.
L’interface de Bloom n’est pas traduite en français et l’app nécessite macOS 14 au minimum.
Vous avez maintenant encore plus d’occasions de vous servir d’Apple Pay. Régulièrement, des plateformes en ligne ajoutent la technologie d’Apple à leurs options de règlement. Deux services particulièrement populaires ont sauté le pas ces dernières semaines.
Depuis une quinzaine de jours, HelloAsso prend en charge Apple Pay, ainsi que Google Pay. Au moment du paiement, vous pouvez maintenant choisir entre la saisie des infos de votre carte bancaire à l’ancienne ou bien Apple Pay. Une évolution qui facilitera un petit peu le règlement des inscriptions à une association ou à un club sportif, la plateforme étant largement utilisée par ce type d’organisations.
Le mois dernier, Yurplan a également intégré Apple Pay parmi ses moyens de paiement. Cette billetterie en ligne est utilisée pour de nombreux événements, qu’il s’agisse de compétitions sportives, de festivals ou de salons professionnels, comme le sympathique Marché de la Mode Vintage.
Les plateformes ont plutôt intérêt à adopter Apple Pay, car ce mode de paiement limite les abandons d’achat au dernier moment liés à des frictions ou des blocages. « En termes de transformation, si l’on compare les gros volumes de transaction en dehors du BNPL [buy now pay later, paiement différé, ndlr], Apple Pay convertit le mieux, suivi de PayPal et des cartes bancaires », expliquait récemment un responsable de Cdiscount à mind Retail. Sur ce créneau du paiement en ligne, Apple Pay va bientôt être concurrencé par Wero, qui va s’intégrer à des sites français à partir de 2026.
Les propriétaires d’AirPods Pro 3 continuent de subir des dysfonctionnements sonores gênants, allant de grésillements persistants à des sifflements aigus imprévisibles. Malgré le déploiement récent de plusieurs correctifs logiciels par Apple, ces anomalies techniques affectent toujours l’expérience, remettant en question l’efficacité des solutions proposées jusqu’à présent. Toujours des bruits parasites sur les AirPods Pro 3 […]