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Apple menace d’arrêter les notifications de suivi publicitaire en Europe

Apple pourrait désactiver l’App Tracking Transparency (ATT) dans l’Union européenne, à savoir les notifications de suivi publicitaire des applications, en réponse aux pressions réglementaires croissantes. Dans une déclaration transmise à DPA International, le fabricant d’iPhone dénonce des « efforts de lobbying intenses en Allemagne, en Italie et dans d’autres pays européens » qui pourraient contraindre […]
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Wero est enfin disponible pour les clients Fortuneo
Il aura fallu être patient ! Le service Wero, qui a pris le relais de Paylib en France, est enfin disponible chez Fortuneo. Il permet d’envoyer des fonds à un particulier pour des opérations de la vie courante, par exemple pour rembourser un repas à un proche ou participer à un cadeau commun. Lancé à l’automne 2024 dans de nombreux établissements bancaires, il est disponible dès aujourd’hui chez les clients de la filiale du Crédit Mutuel Arkéa.

Pour en profiter, il suffit de mettre à jour son application avant de se rendre dans l’onglet Paiements. Un encart dédié à Wero devrait être présent, qu’il faut tout d’abord activer d’un clic. Une fois les conditions d’utilisation acceptées, il suffit de valider ses coordonnées et le compte de réception. L’envoi d’argent se fait ensuite simplement, l’app présentant une liste de contacts avec un badge « Wero » à côté de leurs noms s’ils sont déjà sur le service. Notons qu’un plafond de 300 € par jour s’applique pour les transferts via Wero.
Le service, soutenu par de grandes banques européennes, a quelques avantages. Un utilisateur français peut par exemple faire un virement à un ami belge ou allemand sans que cela pose de problème. Il n’y a pas besoin d’entrer son IBAN, et seuls un numéro de téléphone ou un mail suffisent. Wero a trouvé son public : en septembre dernier, il comptait plus de 43,5 millions d’utilisateurs.
Wero fourbit ses armes face à Apple Pay
S’il est pour le moment limité aux particuliers, les choses devraient accélérer. Il devrait permettre de payer ses achats en ligne d’ici la fin de l’année en Allemagne, et à partir de 2026 en France. Plusieurs entreprises comme Air France, E. Leclerc ou Orange/Sosh ont indiqué vouloir participer, ce qui devrait se traduire par un nouveau bouton Wero au côté d’Apple Pay ou de PayPal.
Wero a également pour ambition de s’ouvrir aux commerçants en 2026 tout en arrivant aux Pays-Bas et au Luxembourg. Il pourra ensuite éventuellement proposer des paiements échelonnés ou une intégration des programmes fidélité de commerçants. À terme, Wero ambitionne aussi de gérer les abonnements et de s’imposer dans les boutiques physiques.
La fin de Windows 10 donne un coup de fouet aux ventes de Mac
La semaine prochaine, Apple dévoilera ses résultats financiers. Deux indicateurs seront sans doute suivis de près :
- les ventes d’iPhone, pour mesurer l’ampleur du rebond entamé il y a quelques mois ;
- et le chiffre d’affaires du Mac, pour évaluer à quel point la fin de Windows 10 joue en faveur de Cupertino.
D’après les chiffres publiés par Counterpoint Research, l’abandon de Windows 10 profite clairement à Apple. Les livraisons de Mac ont progressé d’environ 15 % au troisième trimestre 2025 — seule Lenovo fait mieux, avec une hausse de 17 %.
Dans l’ensemble, le marché du PC retrouve des couleurs, avec une croissance de 8,1 % sur la période. Ce cycle de renouvellement, porté par la migration vers Windows 11, devrait se poursuivre : 40 % du parc mondial reste encore sous Windows 10.
La fin de Windows 10 : un nouveau motif de switch vers le Mac ?
Autre moteur identifié : l’essor de l’intelligence artificielle, qui devrait avoir un impact important sur les ventes de PC d'ci 12 à 18 mois, selon les responsables de l'étude.
Pour expliquer le succès d’Apple, Counterpoint avance deux raisons principales : le lancement réussi des nouveaux MacBook et leur adoption croissante dans le monde de l’entreprise.
Apple exploite-t-elle à fond le potentiel des Mac Apple Silicon ?
Reste la question qui revient à chaque publication de statistques : le succès commercial du Mac est-il vraiment à la hauteur de l’avance technologique apportée par Apple Silicon ? Depuis deux ans, les performances sont bonnes, mais le rythme de croissance d’Apple reste parfois en deçà de ce que ses puces laissent espérer.
Sur certains segments, l’avance technologique de Cupertino est telle qu’il en devient presque frustrant de voir un concurrent comme Lenovo croître encore plus rapidement. Mais la messe est loin d’être dite : ces chiffres concernent le troisième trimestre, alors que la fin officielle de Windows 10 n’est intervenue que depuis quelques jours.
L'iPhone 18 pourrait gagner en capacités satellitaires avec Starlink
La connectivité satellitaire de l'iPhone devrait s'améliorer avec la gamme d'iPhone 18 attendue l'année prochaine, d'après The Information. « Apple prévoit d'intégrer dès l'année prochaine la prise en charge par ses prochains modèles d'iPhone des réseaux 5G non liés à la surface de la...

OpenAI achète Sky, l’outil d’automatisation basé sur IA des créateurs de Raccourcis
Sky ne verra jamais le jour, du moins pas sous la forme d’une app indépendante. Présenté en mai dernier pour la première fois, cet outil d’automatisation pour le Mac se basait sur l’intelligence artificielle générative pour réaliser des tâches sous macOS. Outre son nom bizarrement générique, l’app se distinguait surtout par son origine : ses créateurs sont à l’origine de Workflow, l’app qu’Apple a acheté pour la transformer en Raccourcis. Quelques mois après cette présentation, on apprend qu’OpenAI a finalement acheté l’entreprise et son équipe pour l’intégrer à ses propres produits.
L’annonce ne laisse planer aucun doute sur la nature de l’acquisition : OpenAI compte intégrer les idées de Sky dans ChatGPT pour macOS, tandis que tous les employés de la start-up vont rejoindre les équipes du géant de l’IA. Ari Weinstein, l’un des co-fondateurs de Workflow puis de Sky, glisse dans le communiqué de presse qu’il est ravi de rejoindre OpenAI pour réaliser leur vision d’une informatique automatisable simplement grâce aux LLM à des millions de personnes. C’est évident que seule, leur app n’aurait jamais eu l’impact qu’une intégration à ChatGPT pourra offrir, peut-être même au-delà du Mac d’ailleurs, même si on peut noter que la plateforme d’Apple est redevenue essentielle dans ce domaine.
Quand le Mac (re)devient le laboratoire du logiciel moderne
Quasiment personne n’a pu tester Sky avant cette vente, puisque l’app était en bêta privée depuis le printemps et n’a jamais été diffusée au-delà d’un petit cercle de testeurs. Parmi eux, Federico Viticci avait pu essayer l’app et la présenter en longueur sur son site MacStories. De quoi découvrir un concept effectivement très proche de ChatGPT, mais avec une intégration bien plus profonde à macOS et ses apps. Le principe était similaire, l’exécution semblait bien différente et permettait d’aller bien plus loin que tout ce que les grands noms peuvent offrir aujourd’hui.
Sky, la nouvelle app des créateurs de Raccourcis, automatise tout le Mac grâce à l’intelligence artificielle
Lors de sa présentation initiale, on notait que l’app reposait très largement sur le grand modèle de langage fourni par OpenAI, ce qui pouvait être un problème sur la durée, que ce soit en termes d’indépendance technologique ou même de rentabilité. La vente de Sky au créateur du modèle est une conclusion assez logique en ce sens, ces idées et leur mise en œuvre trouveront aisément une place dans ChatGPT, qui bénéficie déjà d’offres payantes pour rentabiliser ces opérations potentiellement coûteuses.
Une autre acquisition logique était évidemment à chercher du côté d’Apple. Après tout, l’entreprise connaissait déjà une partie de l’équipe, puisque les développeurs de Workflow avaient travaillé pendant quelques années à Cupertino suite à l’achat de leur première app. Surtout, Sky semblait correspondre assez précisément à ce qu’Apple compte faire avec Apple Intelligence : son Siri vraiment intelligent qui doit pouvoir agir au sein des apps aurait, lui aussi, pu profiter des idées de la start-up. On ne sait pas si la Pomme a été un temps intéressée par une acquisition, mais si c’est le cas, OpenAI l’a emporté.
S’il n’y a aucun détails financiers dans la communication, on peut imaginer que la firme de Sam Altman aurait été de toute manière bien plus généreuse que celle de Tim Cook. Ce n’est pas l’argent qui manque dans le monde des IA et on suppose qu’acheter Sky et tous ses développeurs est nettement moins coûteux que de créer des centres de données et commander des palettes de cartes graphiques pour faire tourner ChatGPT.
Amplify : les chaussures électriques signées Nike
« Je ne peux pas sortir tout de suite, je n’ai pas rechargé mes chaussures. » Cette phrase peut paraître aujourd’hui totalement incongrue, mais elle pourrait bien devenir réalité d’ici quelques années. Nike a dévoilé hier le Project Amplify, que la marque présente comme « le premier système de chaussures à assistance motorisée au monde ».
On aurait pu penser qu’un tel dispositif visait à aider des personnes souffrant d’un handicap, mais ce n’est pas le cas — du moins pas encore. Nike a conçu ces chaussures pour aider les athlètes du quotidien à aller un peu plus vite, un peu plus loin, tout en fournissant un peu moins d’efforts.
Voilà qui pourrait donner lieu à des scènes cocasses sur les terrains d’entraînement dans un futur pas si lointain. Le système Amplify a été imaginé pour amplifier les mouvements naturels du bas de la jambe et de la cheville, offrant une sorte d’assistance mécanique à chaque foulée.
Une deuxième paire de muscles du mollet
Le système en lui-même est assez astucieux. Fruit des travaux du Nike Sport Research Lab, il repose sur des algorithmes de mouvement maison. Il combine un moteur compact, une courroie d’entraînement et une batterie rechargeable logée dans une chevillère. L’ensemble s’intègre dans une chaussure de running équipée d’une plaque en fibre de carbone, que l’on peut porter avec ou sans le module motorisé.
Réalisé en partenariat avec la société robotique Dephy, ce système permet de passer d'une allure de 8 minutes au kilomètre à une allure de 6 minutes au kilomètre. Chez Nike, on fait volontiers l'analogie avec le vélo électrique. Ces chaussures, si elles sont commercialisées un jour, doivent permettre à leurs utilisateurs d'aller plus loin sans faire plus d'efforts.
À ce jour, 400 personnes ont participé aux tests, cumulant 2,4 millions de pas — soit près de 12 000 tours de piste. Nike affirme avoir déjà conçu neuf versions différentes du matériel pour affiner les sensations et l’efficacité du système. Le Project Amplify en est encore à la phase de test, mais Nike ne cache pas ses ambitions : la marque souhaite proposer à terme une paire de chaussures équipée de cette technologie.
Nomad dévoile le Stratos Band, un bracelet mêlant titane et fluoroélastomère
Nomad est l'un des rares accessoiristes qui essaie de faire autre chose que des clones de bracelets Apple. La preuve avec le Stratos Band, un nouveau bracelet hybride mêlant titane et fluoroélastomère. Ce modèle haut de gamme est d’ores et déjà en vente sur le site du fabricant au prix de 179 €. Sur le prix, Nomad n'a pas manqué de s'inspirer d'Apple.
Le Stratos Band combine des maillons extérieurs en titane Grade 4, obtenus par moulage par injection, et du fluoroélastomère à l’intérieur pour relier les éléments entre eux. Résultat : un bracelet plus souple qu’un modèle métallique classique, mais tout aussi robuste. Le FKM apparaît subtilement entre les maillons arrondis, apportant une touche de couleur et une meilleure respirabilité grâce à une aération naturelle du poignet.
Des finitions haut de gamme et un ajustement précis
Nomad propose deux finitions de titane — argent ou carbide (noir) — associées à trois teintes de FKM : noir, volt (vert vif) ou ultra orange. Le fermoir magnétique sur mesure assure un maintien ferme sans sacrifier l’élégance. Un outil de réglage et deux demi-maillons sont inclus pour un ajustement précis, quelle que soit la taille du poignet.
Si le Stratos Band a été conçu pour les modèles Apple Watch Ultra, il reste compatible avec l’ensemble des Apple Watch, y compris les plus anciennes générations. Le Nomad Stratos Band est disponible dès maintenant sur le site du fabricant au prix de 179 €.
Apple : la fin annoncée du panneau “Autoriser le suivi” (ATT) en Europe ?
La fonction App Tracking Transparency (ATT), connue en France sous le nom “Autoriser les demandes de suivi des apps”, pourrait bientôt disparaître en Europe.
C'est ce qu'Apple a fait savoir à l'agence de presse allemande DPA. Apple déclare notamment :
Des efforts de lobbying intenses en Allemagne, en Italie et dans d’autres pays d’Europe pourraient nous contraindre à retirer cette fonctionnalité, au détriment des consommateurs européens.
Apple n’en dit pas beaucoup plus pour le moment, si ce n’est qu’elle ne compte pas baisser les bras :
Nous continuerons d’exhorter les autorités compétentes en Allemagne, en Italie et dans toute l’Europe à permettre à Apple de continuer à offrir cet important outil de protection de la vie privée à nos utilisateurs.
Cette affaire est pour le moins cocasse. Alors que l’Europe cherche à renforcer la protection des citoyens, cette fonction — qui impose aux applications de demander explicitement le consentement au suivi publicitaire — allait précisément dans le bon sens.
Apple, pas si exemplaire
Apple reste toutefois loin d’être irréprochable. Lors de l’introduction d’ATT en 2021, la firme avait “oublié” de s’appliquer la règle à ses propres apps. C’est d’ailleurs ce que pointe l’Office fédéral allemand de la concurrence, qui estime que ses règles n’empêchent pas Cupertino de combiner les données issues de l’App Store, de l’Apple ID ou des appareils connectés à des fins publicitaires. En France, Apple a écopé d’une amende de 150 millions d’euros pour abus de position dominante dans une affaire similaire — une décision contre laquelle l’entreprise a fait appel.
Encadrement du pistage : Apple fait appel de sa condamnation en France à 150 millions d’euros
Une chose est certaine : cette fonction a provoqué la colère de nombreuses régies publicitaires - européennes et américaines - qui ont perdu beaucoup d'argent. Meta est notamment vent debout dans cette affaire et est parvenu à plusieurs reprises à contourner avec des solutions technologiques le dispositif d'Apple.
Un ancien employé accuse Meta de contourner les mesures interdisant le suivi des utilisateurs d’iOS
Ces déclarations d’Apple ne doivent sans doute rien au hasard : elles semblent surtout préparer le terrain à un possible retrait d’ATT. Peut-être dès iOS 26.1, qui sait…
iPhone 18 Pro : Apple préparerait la 5G satellite avec SpaceX
IA : pourquoi OpenAI s’offre la firme derrière les Raccourcis d’Apple ?
OpenAI acquiert les créateurs de l’application Raccourcis d’Apple

OpenAI met la main sur Software Applications Incorporated et son application Sky, dopée à l’intelligence artificielle, disponible sur Mac. Un coup stratégique qui ramène chez OpenAI l’équipe à l’origine de Workflow, rachetée par Apple pour ensuite proposer l’application Raccourcis sur iPhone et les autres appareils. D’indépendants à Apple puis à OpenAI L’ironie de cette acquisition […]
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Apple aide Donald Trump en finançant en partie la salle de bal de la Maison Blanche

Plusieurs géants de la tech américains, dont Apple, participent au financement d’une vaste salle de bal que le président Donald Trump fait construire à la Maison Blanche et qui nécessite une importante démolition du bâtiment existant. Cette contribution marque un tournant dans l’approche politique de la firme de Cupertino. Apple aide au financement du projet […]
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Orange a testé la prochaine norme fibre en conditions réelles, avec 40 Gb/s entre Lyon et Marseille
Alors que l’agrume a déjà bien entamé la généralisation du XGS-PON permettant le 8 Gb/s pour ceux qui ont la chance d’être fibrés, remplaçant les modules G-PON qui plafonnaient à 2 Gb/s, Orange a commencé les tests pour la prochaine norme, le 50G-PON.

Cette nouvelle version de la fibre optique permet des débits pouvant atteindre les 40 Gb/s, multipliant par cinq les débits théoriques atteignables par rapport à la version actuelle.
Orange a ainsi fait une démonstration pratique de cette nouvelle norme, en permettant un test de performance entre deux joueurs, l’un à Lyon (Crimson) et l’autre à Marseille (Kayane) qui se sont affrontés sur 2XKO, développé par Riot Games.
Si cette démonstration montre qu’Orange maîtrise le sujet, quelques questions se posent : quels travaux seront à effectuer sur le réseau pour passer à la nouvelle norme ? Et surtout, qu’apportera-t-elle de plus pour l’utilisateur futur ?
Si la première question a déjà une réponse, Orange assurant que les infrastructures actuelles sont compatibles avec le 50G-PON moyennant un simple changement de la carte réseau au bout de la fibre (et bien entendu de la box chez l’utilisateur), la seconde dépendra surtout à la fois des usages, la 5G ayant montré qu’un débit encore plus grand n’est pas forcément utile pour le grand public, mais aussi des serveurs en bout de chaîne : déjà actuellement avec une connexion 8 Gb/s, ce sont souvent les serveurs qui plafonnent et ne permettent même pas l’usage complet de la connexion de l’utilisateur. Quoi qu’il en soit, si la demande est là, Orange sera à même d’y répondre.
Apple sauterait l’iPhone 19, pour atteindre l’iPhone 20 à temps pour le vingtième anniversaire
Alors que les iPhone 17 sont sortis il y a à peine un mois maintenant, les rumeurs vont déjà bon train pour la génération suivante. Il faut dire qu’elle devrait marquer une étape importante, la fin 2026/début 2027 devant marquer le vingtième anniversaire de l’iPhone. Heo Moo-Yeol, responsable chez Omdia s’est confié dans une conférence à ETNews concernant la prochaine gamme.

Selon les retours collectés, Apple devrait présenter l’iPhone 18e et l’iPhone 18 en début d’année 2027, laissant ainsi de la place en fin d’année 2026 pour l’iPhone Air seconde génération, l’iPhone 18 Pro, l’iPhone 18 Pro Max, et le très attendu premier « iPhone Fold ». Étaler les sorties de cette manière devrait en plus permettre à Apple d’avoir une demande soutenue pendant toute l’année, plutôt qu’une poussée en fin d’année qui retombe petit à petit après comme actuellement.
L’iPhone pliable devrait être encore plus fin que l’iPhone Air
Mais c’est surtout la fin 2027 qui est dans le viseur, avec une petite surprise au niveau de la nomenclature : de la même manière que l’iPhone présenté pour le dixième anniversaire ne s’est pas appelé « iPhone 9 », mais est directement passé à iPhone X, avec le dix stylisé en chiffres romains, l’iPhone du vingtième anniversaire devrait sauter le 19, et s’appeler tout simplement « iPhone 20 » (ou iPhone XX ?).
Apple pourrait lancer un tout nouvel iPhone chaque année pendant trois ans
Ce nouvel iPhone faisant partie des hauts de gamme de la marque, Apple devrait ainsi présenter fin 2027 l’iPhone 20 Pro, l’iPhone 20 Pro Max, l’iPhone Air 3e génération et l’iPhone Fold 2e génération. Pour l’iPhone 20 « standard », il faudrait attendre début 2028.
Apple semble vouloir marquer le coup, et faire de la paire d’années à venir l’année du renouveau pour l’iPhone, entre l’anniversaire à fêter, l’arrivée de nouveaux iPhone comme récemment l’iPhone Air ou plus tard l’iPhone Fold, et un tout nouveau design prévu pour l’iPhone 20. Et vous, en dehors d’un chiffre bien rond, qu’attendez-vous de cet anniversaire ?
Apple pourrait conclure un accord avec Starlink dans les mois à venir, par la force des choses
Même si ces nouvelles fonctions sont très peu visibles en France ou même ailleurs dans le monde en dehors des USA, il y a une nouveauté qui a le vent en poupe chez les constructeurs de mobile, lancée par Apple avec l’iPhone 14 : la connexion par satellite, quand le réseau mobile est absent. Si Globalstar est le fournisseur de Cupertino depuis le départ, il est possible qu’Apple change pour Starlink, selon The Information.

Starlink et Apple, c’est un peu une histoire d’amour-haine : les deux entreprises ont déjà eu plusieurs discussions, y compris pour fournir le service qu’Apple souhaite donner à ses utilisateurs sur téléphone mobile, mais les relations entre Tim Cook et Elon Musk sont électriques, et la conclusion d’un accord est compliquée.
Déjà à l’époque du premier iPhone connecté par satellite, Starlink avait proposé à Apple par le biais d’Elon Musk de fournir la connectivité satellite à l’iPhone 14. Pour ce faire, il demandait un montant de 5 milliards de dollars pour l’exclusivité, auxquels s’ajoutaient 1 milliard de dollars par an pour la continuité du service une fois les concurrents autorisés à venir. Apple a refusé, préférant aller voir Globalstar.
Si jusqu’ici ce fonctionnement vivote, avec au départ la possibilité d’envoyer uniquement un message de secours, étendue aux messages textes à n’importe quel destinataire pour les USA, le Canada et le Mexique, l’Europe se contentant pour le moment de l’assistance d’urgence. Et c’est bien là que le bât blesse : Apple aimerait bien développer plus avant ces fonctionnalités mais Globalstar, avec ses 24 satellites à 1 400 km d’altitude, est bien trop limitée pour le permettre.
Les SOS d'urgence par satellite maintenant disponibles en France sur les iPhone 14
Comment essayer le SOS d'urgence par satellite sur iPhone 14
Alors que faire ? Acheter Globalstar ? Même si c’était une solution disponible, l’opérateur satellite cherchant d’ailleurs un intéressé pour 10 milliards de dollars, Apple n’en veut pas. Non pas qu’elle n’en ait pas les moyens, mais la pomme n’a pas du tout envie d’être considérée comme un opérateur télécom par les régulateurs, avec les réglementations strictes du secteur. C’est d’ailleurs une des raisons pour lesquelles Apple ne fait toujours pas payer le service de secours, ou de messages par satellite pour ceux qui en bénéficient : facturer le service la placerait de facto en position d’opérateur télécom.
À la place, Apple a fait jusqu’à présent ce qu’elle sait faire de mieux : investir dans le partenaire. C’est ainsi que Cupertino a injecté 2 milliards de dollars dans Globalstar, pour aider l’entreprise à se développer. Mais ça ne suffit pas : la constellation de l’opérateur est bien trop petite, bien trop peu dimensionnée pour permettre autre chose que quelques messages de la part des utilisateurs d’iPhone. Preuve supplémentaire que le partenariat fait du sur place, Globalstar a récemment annoncé à ses investisseurs que la « possible perte » de leur plus gros client aurait des effets non négligeables sur les profits et au final la santé financière de l'entreprise.
Starlink gagne de nombreuses fonctions sur les smartphones aux États-Unis : WhatsApp, X, musique, météo, etc.
De ce fait, plusieurs voix y compris en interne appellent Tim Cook à réfléchir plus sérieusement à un partenariat avec Starlink et SpaceX : la constellation d’Elon Musk est bien plus grande que celle de Globalstar, avec son 10 000e satellite envoyé en orbite récemment, et bien que les relations n’aient jamais été au beau fixe, les appels du pied de l’opérateur satellite sont de plus en plus insistants. Depuis plusieurs mois, les satellites envoyés par Starlink présentent la possibilité d’émettre et de recevoir dans la bande de fréquence des téléphones mobiles, y compris celle actuellement utilisée par Apple avec Globalstar, ce qui permettrait de basculer les iPhone actuels d’un réseau à l’autre en toute transparence, mais en plus, Starlink se donne les moyens de voir plus loin : le mois dernier, elle a racheté la bande de fréquence détenue par l’opérateur EchoStar, pour 17 milliards de dollars.
Pourquoi mettre autant pour cette bande appelée « bande S » ? Tout simplement parce qu’elle représente la meilleure option pour proposer un service d’internet par satellite sur les smartphones, que ce soit Apple ou les autres, et la CEO de SpaceX, Gwynne Shotwell, est déjà en discussions avec les fabricants de puces comme Qualcomm pour l’intégrer. La bande permettrait de proposer des communications et de l’internet à haut débit dans le monde entier avec un simple iPhone, chose dont Globalstar n’a pas et n’aura sûrement jamais les moyens.
Apple a discrètement travaillé avec T-Mobile pour connecter les iPhone aux satellites de SpaceX
Les relations ont beau être tumultueuses entre les deux entreprises, Apple se rend petit à petit à l’évidence : SpaceX/Starlink se rend au fil du temps incontournable, et il sera difficile voire impossible de proposer un service de téléphonie et d’internet par satellite sur l’iPhone sans passer par la société d’Elon Musk, d’autant plus maintenant avec l’acquisition de la bande S. Apple tenant apparemment à intégrer internet par satellite dans ses smartphones, au moins pour les zones isolées, un accord entre les deux entreprises n’est plus une histoire de « peut-être », mais plus de « quand ».
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App Store : Apple condamné au Royaume-Uni pour sa commission de 30 %

Apple a subi une défaite judiciaire au Royaume-Uni, où un tribunal de Londres a jugé que l’entreprise abusait de sa position dominante en imposant une commission de 30 % aux développeurs sur l’App Store. Cette décision ouvre la voie à des dommages et intérêts pouvant atteindre 1,72 milliard d’euros. Un abus de position dominante avec […]
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