↩ Accueil

Vue lecture

Tim Cook confirme le nouveau Siri avec IA pour 2026

La nouvelle version de Siri qui s’appuie sur l’intelligence artificielle verra bel et bien le jour en 2026, comme l’annonce aujourd’hui Tim Cook. Le patron d’Apple a fait la déclaration en marge de la publication des résultats financiers de la société. Siri avec Apple Intelligence arrivera bien l’année prochaine Tim Cook a indiqué à Reuters […]

Lire la suite...

Suivez iPhoneAddict.fr sur Facebook, et suivez-nous sur Twitter

N'oubliez pas de télécharger notre Application gratuite iAddict pour iPhone et iPad (lien App Store)


L’article Tim Cook confirme le nouveau Siri avec IA pour 2026 est apparu en premier sur iPhoneAddict.fr.

  •  

Tim Cook confirme le nouveau Siri pour 2026

Alors qu’Apple vient d’annoncer ses résultats trimestriels, Tim Cook s’est laissé aller à une confidence dont il n’a pas coutume avec CNBC, confirmant la rumeur tenace selon laquelle Cupertino prévoit un Siri totalement revu courant 2026.

Cette nouvelle version est attendue de pied ferme. Capture MacGeneration.

Tim Cook a ainsi confirmé à son interlocuteur que l’assistant vocal d’Apple serait revu et corrigé pour 2026, et qu’en parallèle l’entreprise continue les discussions en vue d’intégrer d’autres chatbot en plus de ChatGPT dans Apple Intelligence. Même minime, une telle déclaration de la part du CEO d’Apple sur une fonction encore à venir, peu commune chez la pomme, montre à quel point la pression est forte sur l’entreprise pour sortir une version plus moderne et à jour de Siri.

Apple compterait concurrencer OpenAI et Perplexity dès 2026 avec un chatbot de recherche intégré à Siri

Apple compterait concurrencer OpenAI et Perplexity dès 2026 avec un chatbot de recherche intégré à Siri

Le Siri plus personnel serait attendu pour le printemps 2026

Le Siri plus personnel serait attendu pour le printemps 2026

C’est une confirmation du bout des lèvres des fuites entendues par nombre d’oreilles attentives, que ce soit celles de Mark Gurman ou d’autres fouineurs, voulant qu’iOS 26.4 intègre le renouveau de Siri en tant que chatbot gavé aux LLM afin de concurrencer plus fortement ChatGPT ou Gemini. Si Tim Cook n’a pas donné de date précise concernant la sortie de cette nouvelle version de Siri, il y a de fortes chances que les rumeurs nombreuses voient juste, et que la prochaine itération du chatbot sorte au printemps 2026.

  •  

Apple, le grand retour : 2025 finit bien mieux qu’elle n’avait commencé

Malgré un début d’année compliqué, Apple termine 2025 en beauté. Le géant californien signe un quatrième trimestre record, porté par les bonnes performances de ses divisons Mac, iPhone et Services.

Autant être franc : 2025 s’annonçait très mal pour Apple. Les ventes d’iPhone marquaient le pas, le retard dans l’intelligence artificielle devenait criant — au point de provoquer une réorganisation complète de cette division — et la guerre commerciale faisait planer des menaces sérieuses sur la firme de Cupertino.

Un redressement presqu'inattendu

Quelques mois plus tard, le décor a changé : Apple a su tirer son épingle du jeu dans cette guerre commerciale, sa nouvelle gamme d’iPhone connaît un succès presque inattendu, et Liquid Glass a presque réussi à faire oublier, pour un temps, les retards d’Apple dans le domaine de l’intelligence artificielle.

Au moment d’annoncer ses résultats trimestriels et annuels, le titre Apple a repris des couleurs. La firme à la pomme fait à nouveau partie du club très fermé des entreprises valorisées plus de 4 000 milliards de dollars.

Des résultats légèrement supérieurs aux attentes

Apple semble poursuivre son redressement. Elle a bouclé son quatrième trimestre fiscal 2025 sur une très belle note : le groupe de Cupertino affiche un chiffre d’affaires de 102,5 milliards de dollars, en hausse de 8 % sur un an, et un bénéfice par action de 1,85 $, soit près de 5 % de mieux que les attentes des analystes.

Sur le trimestre écoulé, Apple affiche un bénéfice net de 27,46 milliards de dollars, contre 14,29 milliards un an plus tôt. Un chiffre faussement modeste, plombé à l’époque par le remboursement à l’Irlande des 13 milliards d’euros d’avantages fiscaux exigé par Bruxelles.

L

L'Irlande récupère 15 milliards d'euros d'Apple à reculons

La firme signe au passage un record de revenus pour le trimestre de septembre et se montre très satisfaite des performances de ses nouveaux produits.

« Aujourd’hui, Apple est très fière d’annoncer un chiffre d’affaires record pour le trimestre de septembre, à 102,5 milliards de dollars, incluant un record pour l’iPhone sur cette période et un record absolu pour les Services, a déclaré Tim Cook, le PDG d’Apple. En septembre, nous avons été ravis de lancer notre meilleure gamme d’iPhone à ce jour, avec l’iPhone 17, l’iPhone 17 Pro et Pro Max, ainsi que l’iPhone Air. Nous avons également présenté les formidables AirPods Pro 3 et la toute nouvelle gamme d’Apple Watch. En y ajoutant les MacBook Pro et iPad Pro récemment annoncés, équipés de la puce M5 ultra-puissante, nous sommes enthousiastes à l’idée de proposer la gamme de produits la plus exceptionnelle de notre histoire à l’approche des fêtes. » C'est un détail, mais Apple oublie de mentionner le Vision Pro sorti en même temps que les derniers MacBook Pro et iPad Pro.

Sur l’ensemble de l’exercice, Apple réalise 416 milliards de dollars de revenus et une croissance à deux chiffres du bénéfice par action. Kevan Parekh, le directeur financier d’Apple, se félicite pour sa part de constater que la base installée d’appareils actifs a également atteint un nouveau record historique, toutes catégories de produits et zones géographiques confondues.

Les gagnants et perdants du trimestre

Apple a beau afficher une croissance solide de 8 % pour son quatrième trimestre fiscal, toutes les divisions ne surfent pas sur la même vague. Derrière la moyenne, certains segments s’envolent, d’autres stagnent, et quelques-uns peinent à suivre le tempo.

Les locomotives : Services, Mac et marchés asiatiques

C’est peu dire que les Services sont devenus le moteur d’Apple. Avec une croissance de +15,1 %, la firme récolte une fois de plus les fruits de son virage vers les revenus récurrents : abonnements, cloud, publicité et App Store battent tous des records. Cette division représente désormais près d’un quart du chiffre d’affaires total du groupe.

Autre bonne surprise : le Mac, valeur sûre de l’année. Les ventes d’ordinateurs ont bondi de +12,7 %, portées par le renouvellement de la gamme et la fin de la prise en charge de Windows 10, qui stimule le marché du PC. Apple semble parfaitement tirer profit de cette fenêtre d’opportunité.

Sur le plan géographique, l’Europe (+15,2 %), le Japon (+12 %) et le reste de l’Asie-Pacifique (+14,3 %) font plus que tirer leur épingle du jeu.

Les valeurs sûres : iPhone et les Etats-Unis

Dans la moyenne du groupe, l’iPhone reste l’arme principale d’Apple, avec une progression de +6,1 % sur un an. Un rythme modeste, mais solide compte tenu du cycle produit : la gamme iPhone 16 vivait ses derniers mois avant d’être remplacée par l’iPhone 17, qui rencontre un succès rapide.

Aux États-Unis (+6,1 %), Apple avance à un rythme mesuré. La dégradation du contexte économique pèse sans doute sur la demande, mais la marque conserve une position dominante sur un marché devenu mature.

Les maillons faibles : Chine et wearables

Après un trimestre dans le vert, la Chine repart à la baisse, avec un recul de 3,6 %. Tim Cook veut croire que la tendance va à nouveau s'inverser ce trimestre : la nouvelle gamme d’iPhone y rencontre un vif succès.

Les produits de la division Wearables, Home and Accessories (AirPods, Apple Watch, HomePod) fléchissent légèrement (–0,3 %), mais le trimestre actuel s’annonce meilleur, porté par les AirPods Pro 3 et les nouvelles Apple Watch.

Tim Cook optimiste pour le trimestre en cours

Tim Cook se montre particulièrement optimiste pour le trimestre en cours, visant une croissance du chiffre d’affaires comprise entre 10 et 12 %. Il justifie cette confiance par l’accueil exceptionnel réservé à l’iPhone 17.

Tim Cook lors du lancement de l'iPhone 17 - image : Apple

« Les résultats que nous observons, l’accueil des consommateurs pour la nouvelle gamme d’iPhone, le trafic en forte hausse dans nos boutiques… tout cela témoigne d’un réel enthousiasme à travers le monde », explique-t-il.

Tim Cook a précisé qu’Apple travaille toujours sur le lancement d’un nouveau Siri prévu pour 2026, et que d’autres accords, comparables à celui conclu avec OpenAI autour de ChatGPT, étaient en préparation.

Tim Cook confirme le nouveau Siri pour 2026

Tim Cook confirme le nouveau Siri pour 2026

« Notre intention est d’élargir ces intégrations au fil du temps », a-t-il précisé.

Tim Cook a également prévenu que le trimestre en cours serait plus difficile pour le Mac que celui de l’an passé. En fin d’année dernière, Apple avait en effet renouvelé une large partie de sa gamme, notamment les MacBook Pro et le Mac mini. À côté, le MacBook Pro M5 14” fait pâle figure. Une manière de dire qu’il ne faut pas s’attendre à de nouveaux Mac d’ici la fin de l’année.

Hors séance, l’action Apple progresse de plus de 3 % à 280,84 $. La vengeance étant un plat qui se mange froid, Tim Cook a sans doute savouré la dégringolade de Facebook en bourse. Les investisseurs commencent à douter de la stratégie dépensière de Mark Zuckerberg dans l’intelligence artificielle.

Meta perd plus de 200 milliards de valorisation boursière, suite aux doutes sur ses investissements dans l’IA

Meta perd plus de 200 milliards de valorisation boursière, suite aux doutes sur ses investissements dans l’IA

  •  

Meta perd plus de 200 milliards de valorisation boursière, suite aux doutes sur ses investissements dans l’IA

Alors que les résultats d’Apple sont attendus dans la soirée, c’est Meta qui vient de prendre un méchant coup dans le cours de son action, suite à quelques précisions sur son investissement dans l’intelligence artificielle, comme le remonte MarketWatch.

Le siège de Meta est sis au 1 Hacker Way. Image Wikipedia/Nokia621, CC BY-SA 4.0.

L’action du Group de Mark Zuckerberg est en effet en forte baisse, ayant perdu plus de 11 % soit la bagatelle de plus de 200 milliards de dollars dans la journée. Une telle chute n’était pas arrivée depuis le 27 octobre 2022, où l’action avait plongé de 25 % suite à l’annonce de retours sur investissement faibles en comparaison des dépenses engagées.

Et 3 ans plus tard, on prend les mêmes et on recommence : c’est encore une fois suite à une alerte sur un ROI relativement faible, alors que les dépenses en recherche sur l’intelligence artificielle sont énormes, que l’action chute. L’analyste Oppenheimer (non, pas l’inventeur de la bombe atomique) reproche à Meta des « investissements significatifs dans la Superintelligence alors que les opportunités de retour sur investissement dans le domaine sont équivalentes aux dépenses engagées en 2021/2022 dans le Metaverse ».

Si Meta croit pouvoir sortir de ses « Superintelligence Labs » une IA capable de dépasser le cerveau humain, une question reste en effet en suspend : alors que les dépenses dans le domaine se chiffrent en dizaines voire centaines de milliards de dollars, l’entreprise de Mark Zuckerberg n’a aucune certitude d’un possible retour sur investissement, n’ayant aucune idée des possibilités de rentabilité d’une telle IA. L’année dernière, Meta avait déjà investi 39 milliards de dollars dans le domaine, et cette année devrait s’installer dans les 70 à 72 milliards. Une paille.

Si ce n’est pas la première fois que des doutes sont émis concernant la rentabilité de la course à l’IA, une telle chute d’un des grands groupes de la tech annonce-t-elle la suite des événements dans ce que certains qualifient de « bulle de l’IA » ? Ce serait s’avancer un peu trop tôt, mais le doute s’installe dans les investisseurs.

  •  

Prosser vs Apple : l’intermédiaire nie avoir prémédité la fuite de l’interface d’iOS 26

Jon Prosser, connu depuis 2020 et son indication fiable sur la date de sortie de l’iPhone SE 2020, a évolué au fil des années dans sa relation avec Apple : autrefois considéré comme un youtubeur comme les autres, bien qu’ayant de bonnes sources concernant ses rumeurs, il est devenu gênant pour Apple depuis iOS 26 et les fuites qu’il a dévoilées, et Cupertino a intenté depuis un procès contre lui, son intermédiaire et l’employé de l’Apple Park peu scrupuleux.

Prosser est passé ennemi public n°1 pour Apple depuis ses fuites de l’interface d’iOS 26. Image Jon Prosser.

Apple a un fonctionnement un peu particulier avec les « chercheurs de fuites » : ne pouvant lutter contre ceux installés en Asie, elle se concentre spécifiquement sur ceux qui logent sur le continent américain. Pour ceux-là, les choses semblent relativement simples : tant que le fuiteur ne fait que donner des dates possibles, ou évoquer de possibles nouvelles fonctions, Apple le laisse tranquille. Prosser semble avoir franchi une étape qu’Apple n’a pas supporté : non content de divulguer des informations encore sous NDA (Non Disclosure Agreement, contrat de non-divulgation), il en a aussi montré les preuves, en laissant apparaître des clichés et des vidéos de la nouvelle interface Liquid Glass qui allait être présentée avec iOS 26.

Apple porte plainte contre Jon Prosser et révèle l

Apple porte plainte contre Jon Prosser et révèle l'origine des fuites sur iOS 26

En juillet 2025, Apple porte plainte contre lui, ainsi que son contact Michael Ramacciotti et le désormais ex-employé Apple Ethan Lipnik. Si ce dernier semble avoir été berné par son ami sur ce coup, il reste cependant responsable des fuites arrivées jusqu’aux oreilles de Prosser depuis 2019, et Apple ne compte sûrement pas le lâcher aussi facilement. Cependant, Ramacciotti de son côté a légèrement modifié sa version des faits, mais ce changement pourrait avoir de grosses conséquences pour lui, comme l’indique The Verge.

En effet, alors que les avocats d’Apple indiquent que Ramacciotti a été payé pour divulguer les informations par Prosser pour la somme de 650 dollars, Ramacciotti nie tout arrangement à l’avance : selon lui, aucun accord n’a été passé entre lui et Prosser concernant la fuite d’iOS 26 venant du smartphone de Lipnik, et aucun autre arrangement n’a été conclu à l’avance. Ce n’est qu’après coup que Prosser l’aurait payé 650 dollars pour son information, et il avance pour preuve de sa bonne foi le fait que le versement n’apparaît dans aucune communication avant les faits.

De la même manière, il nie en bloc le fait d’avoir suivi la position de Lipnik pour accéder en douce à son téléphone de développement, et indique avoir été passif durant la conversation FaceTime avec Prosser, laissant à ce dernier l’initiative de demander des visuels d’iOS 26. Ramacciotti affirme même que Lipnik lui avait montré déjà plusieurs semaines auparavant la nouvelle interface, et qu’il ne s’était pas montré plus intéressé que ça par cette démonstration : il aurait écouté Lipnik juste parce que celui-ci s’est montré particulièrement enthousiaste.

Suite à ces affirmations et changements de ton, Prosser tout comme Apple n’ont pas souhaité répondre aux demandes de The Verge. Si Prosser a signalé être en discussions actives avec Apple, la pomme a de son côté répondu que des discussions avaient lieu, mais n’étaient pas indispensables à la poursuite du procès.

  •  

Apple T4 2025 : succès pour l’iPhone et le Mac, chiffre d’affaires record

Apple vient de publier les résultats du quatrième trimestre de son année fiscale 2025. Cela correspond au troisième trimestre dans notre calendrier. Les résultats financiers couvrent la période de juillet à septembre 2025. Celle-ci fut notamment l’occasion d’avoir le lancement des iPhone 17, iPhone Air, iPhone 17 Pro et iPhone 17 Pro Max. Il est […]

Lire la suite...

Suivez iPhoneAddict.fr sur Facebook, et suivez-nous sur Twitter

N'oubliez pas de télécharger notre Application gratuite iAddict pour iPhone et iPad (lien App Store)


L’article Apple T4 2025 : succès pour l’iPhone et le Mac, chiffre d’affaires record est apparu en premier sur iPhoneAddict.fr.

  •  

Fuite d’iOS 26 et plainte d’Apple : Jon Prosser a payé Michael Ramacciotti pour les détails

Dans le procès intenté par Apple concernant la fuite d’iOS 26, le co-accusé Michael Ramacciotti a finalement répondu à la plainte. Tout en reconnaissant certains faits, sa défense nie l’existence d’un complot avec Jon Prosser et dépeint une version des événements qui isole le célèbre leaker. Fuite d’iOS 26 confirmée, mais la thèse du complot […]

Lire la suite...

Suivez iPhoneAddict.fr sur Facebook, et suivez-nous sur Twitter

N'oubliez pas de télécharger notre Application gratuite iAddict pour iPhone et iPad (lien App Store)


L’article Fuite d’iOS 26 et plainte d’Apple : Jon Prosser a payé Michael Ramacciotti pour les détails est apparu en premier sur iPhoneAddict.fr.

  •  

Disney+ passe au HDR10+

Disney+ commence enfin le déploiement du HDR10+. Annoncée en janvier, la fonctionnalité arrive cette semaine mais avec des limitations : elle est d'abord exclusive aux TV Samsung et ne concerne pour l'instant que le catalogue Hulu. Les autres (Apple TV, Fire TV) attendront.
  •  

Prise en main du Leica M EV-1

Depuis quelque temps, j’ai fait l’acquisition de matériel Leica, dans la gamme Q, absolument extraordinaire, ce dont je vais vous parler très très prochainement. Il se trouve que j’ai eu l’occasion de tester trois jours le tout nouveau Leica M EV-1, doté d’un objectif Sumicron 90 mm f2 apochromatique. Si vous n’êtes pas au courant de la vie de Leica, la gamme M, née dans les années cinquante, c’est celle des appareils mythiques ... Continuer la lecture
  •  

Comme Microsoft, Google va rouvrir une centrale nucléaire pour ses data-centers

Alors que se multiplient inexorablement les data-centers de par le monde, et encore plus aux USA, les entreprises de la tech se rendent rapidement à l’évidence : peu de sources d’énergie permettent d’alimenter ces monstres boulimiques d’énergie rapidement et facilement, sans pour autant faire exploser la facture carbone. À part planter des centaines voire milliers d’éoliennes, ou des champs de panneaux solaires à perte de vue (et les batteries qui vont bien pour alimenter les serveurs la nuit), il n’y a que l’énergie nucléaire pour fournir plusieurs MegaWatts sans sourciller.

Il y a déjà un peu plus d’un an, Microsoft annonçait un partenariat avec Constellation Energy pour redémarrer le réacteur n°1 de Three Mile Island, centrale bien connue pour avoir manqué de peu la médaille de première catastrophe nucléaire d’ampleur avant Tchernobyl : le réacteur n°2 a en effet subi une fusion partielle du cœur, suite à des erreurs de manipulation sur le circuit de refroidissement. D’une puissance de 819 MWe (MegaWatts électriques), le réacteur TMI-1 devrait être remis en service d’ici 2028, pour alimenter les serveurs dédiés à l’intelligence artificielle de Microsoft.

L’énergie nucléaire privilégiée par plusieurs acteurs de l’IA

L’énergie nucléaire privilégiée par plusieurs acteurs de l’IA

Si cette remise en route d’un vieux réacteur (TMI-1 a quand même 50 ans) peut paraître surprenante, c’est pourtant un choix assez logique : la centrale a certes un demi-siècle, mais les éléments ont été contrôlés et remis à jour de manière régulière pour la maintenir aux normes, et ce jusqu’en 2019, date à laquelle le réacteur a été fermé, faute de rentabilité. Avec seulement 5 ans de différence entre la date de fermeture et celle de décision de réouverture, et 9 ans entre la fermeture et le redémarrage, la remise à niveau ne devrait pas être trop coûteuse.

Three Mile Island vue de haut. Les deux tours de refroidissement sont TMI-1 et TMI-2. Deux autres réacteurs étaient en construction, abandonnés lors de l’accident. Image domaine public.

L’idée est si bonne qu’elle fait des émules : c’est Google qui a décidé de s’engouffrer dans la brèche ouverte par Microsoft, en annonçant un partenariat avec NextEra Energy pour rouvrir la centrale de Duane Arnold Energy Center. Celle-ci possède un réacteur de 615 MWe, et comme TMI-1, a été fermée 5 ans avant la décision de réouverture, en 2020. Autre point commun, les fondations du réacteur datent elles aussi d’il y a 50 ans, ayant été démarré pour la première fois en 1975.

Google a signé un partenariat de 25 ans pour l’approvisionnement en énergie de son data-center de l’Iowa. Comme l’annonce l’entreprise, c’était après études la façon la plus rapide de trouver l’énergie nécessaire à l’alimentation de ses serveurs, toutes énergies confondues.

Si l’idée de redémarrer un réacteur récemment arrêté peut paraître intéressante (et l’est souvent, que ce soit au niveau économique comme écologique : il est bien moins coûteux en CO2 de redémarrer une infrastructure existante que d’en construire une nouvelle, toute peur de l’atome mise de côté), ce n’est pas quelque chose qui pourra se multiplier à l’infini. Sur les huit réacteurs fermés depuis moins de 10 ans, et donc encore dans un état raisonnable, trois sont déjà pris (TMI-1, Duane Arnold, et Palisades, ce dernier redémarré par l’État du Michigan lui-même pour alimenter les citoyens). Il en reste donc une toute petite poignée de disponibles, sous réserve que leur installation soit en état. Ensuite, il faudra trouver d’autres solutions...

  •  

Android fait mieux que l’iPhone contre les appels et SMS frauduleux

De nouvelles données suggèrent qu’Android est devenu un environnement plus sûr qu’iOS et l’iPhone pour gérer ses appels et ses messages. Grâce à des protections basées sur l’intelligence artificielle intégrées, les utilisateurs d’Android signalent moins d’arnaques par SMS et font davantage confiance à la sécurité de leur téléphone. Android plus fort qu’iOS pour éviter les […]

Lire la suite...

Suivez iPhoneAddict.fr sur Facebook, et suivez-nous sur Twitter

N'oubliez pas de télécharger notre Application gratuite iAddict pour iPhone et iPad (lien App Store)


L’article Android fait mieux que l’iPhone contre les appels et SMS frauduleux est apparu en premier sur iPhoneAddict.fr.

  •  

La suite Affinity devient totalement gratuite, mais fait payer l'accès à l'IA

La suite Affinity, qui s'était fait un nom en proposant des applications de traitement d'images (Affinity Photo), de création (Affinity Designer) et de publication (Affinity Publisher), devient gratuite. C'était un changement prévisible après un rachat par Canva en 2024 et — plus récemment — par l'annonce de la gratuité des versions iPad. La nouvelle version, Affinity Professional, combine les trois applications précédentes et est donc totalement gratuite.

La nouvelle version fusionne les apps. Image Affinity.
Les apps d’Affinity ont été achetées par Canva, un outil de création graphique sur le web

Les apps d’Affinity ont été achetées par Canva, un outil de création graphique sur le web

Les applications précédentes étaient payantes, mais avec un paiement à l'achat (et pas un abonnement comme chez Adobe) et un prix assez doux comparativement : 180 € en théorie, mais les promotions étaient courantes et la période d'essai assez longue.

On a trois logiciels en un. Image Affinity.

La nouvelle version existe pour Mac et pour PC, et une version iPad devrait suivre bientôt, pour remplacer les anciennes apps, encore disponibles. Canva a évidemment trouvé une solution pour financer son travail : si l'application est gratuite (et parfaitement utilisable), une petite partie des fonctions n'est accessible qu'avec un abonnement Canva Premium (disponible à partir de 110 € par an). Nous sommes en 2025, et vous l'aurez peut-être deviné, les fonctions en question sont celles liées à l'IA. Sous le nom Studio IA Canva, vous retrouverez le remplissage à l'aide d'une IA générative, la génération d'images, la suppression de l'arrière-plan en un clic, la modification d'images pour un mode portrait (flou et éclairage) ou les fonctions d'agrandissement assistée. Des fonctions pratiques, déjà vues dans d'autres logiciels, et qui peuvent justifier de payer un abonnement à Canva, qui offre par ailleurs du stockage dans le cloud (100 Go) et de nombreux outils liés à Canva.

L'intégration de l'IA est payante. Image Affinity.
  •  

Nouvelle version de l'application créative Affinity

La suite créative Affinity (Photo, Designer, Publisher) est appréciée depuis des années par de nombreux utilisateurs, pour sa facilité d'usage, avec notamment la possibilité d'intervenir de manière non destructive sur les photos mais aussi pour son prix modique et parce qu'elle n'imposait aucun abonnement. Il y a un peu plus d’un an, lorsque la société Serif éditrice de la suite graphique Affinity avait été rachetée par Canva, portail de création graphique grand public au succès impressionnant, de nombreuses interrogations avaient surgi quant à son devenir. Dans la foulée, les deux sociétés avaient publié quatre engagements (https://affinity.serif.com/en-us/press/newsroom/affinity-and-canva-pledge/) afin de rassurer leurs utilisateurs.

Aujourd’hui est sortie la nouvelle version d’Affinity, Affinity par Canva, qui intègre en une application unique les fonctions des trois applications. Ça veut dire un seul type de fichier (.af), des documents dans lesquels on peut profiter de tous les outils,… mais aussi, la possibilité de définir de multiples environnements de travail personnalisés (barres d’outils, panneaux, raccourcis,…) selon la tâche envisagée (dessin vectoriel, retouche photo, mise en page, typographie, fusion de données,…)

Les personnes ayant un plan Canva Premium ont en plus accès aux fonctions d’IA de Canva à partir d’Affinity (non testé). (À noter aussi que les fonctions de Machine Learning ne sont accessibles que pour les Mac Silicon avec Ventura ou plus récent.) Toutefois toutes les fonctions ordinaires sont accessibles à chacun, et ce sans bourse délier !

En effet, cette nouvelle version est distribuée gratuitement, non seulement aux écoles et aux organisations sans but lucratif comme précédemment mais désormais à tous ! Dès lors, il sera plus simple de partager des documents préparés avec Affinity.

Plus d’infos :

https://www.affinity.studio/fr_fr


Parmi les nouveautés les plus attendues, une fonction de traçage vectoriel à partir d’une image bitmap, l’export vers le format EPUB, et d’autres choses auxquelles je ne pense pas spontanément…

Je vous laisse essayer et découvrir par vous-même.

Ceux qui sont accoutumés aux versions précédentes retrouveront quelques bugs récurrents et déploreront l’absence de quelques fonctions de pré-presse comme le contrôle des séparations quadrichromiques.

Néanmoins, c’est une très bonne application, avec laquelle il est clairement possible de réaliser du travail professionnel, pour pas un rond ! Et l'intégration en une seule application, comme on la connaissait déjà en partie en changeant de "persona" avec Studio Link dans Publisher apporte un confort de travail difficile à imaginer.

Enjoy!

  •  

La principale nouveauté de macOS 26.1 ...

La principale nouveauté de macOS 26.1 est de permettre de changer la transparence des éléments visuels de LiquidGlass, avec une nouvelle option "teinté" qui permet enfin de les faire mieux apparaître avec plus de contraste local.

Apple avait présenté LiquidGlass lors de la WWDC '25 cet été, avec une immense fierté!

Las, préversion après préversion, le LiquidGlass de nos Mac s'éloigne de la version initiale présentée, qui a comme défaut de manquer de contraste visuels (ce qui était voulu), pour ramener plus d'usabilité au fur et à mesure.

Le LiquidGlass est beau. Je veux dire que je trouve ça beau, vos avis peuvent varier.
Mais visiblement personne chez Apple ne s'était posé la question de son usabilité, notamment via des moniteurs externe de médiocre qualité, et pour les gens ayant des problèmes de vue.

LiquidGlass étant la plus grosse nouveauté de macOS 26, peut-être là pour faire oublier le surplace si pas l'enlisement de leurs IA locales et l'absence de leurs IA dans le cloud Apple ou hybrides, ça semble avoir été bricolé à la va-vite, sans étude sérieuse.

  •  

Le terminal Linux d'Android 16 ne fonctionne pas sur les puces Snapdragon, qui sont trop protégées

Une des nouveautés intéressantes d'Android 16 est la possibilité d'avoir un accès à un terminal. Sur les smartphones compatibles, il est possible d'accéder à une application qui permet d'effectuer des tâches en ligne de commande, à travers une distribution GNU/Linux virtualisée. Des petits malins ont évidemment réussi à lancer des applications graphiques comme Doom, et il est aussi possible d'installer des environnements de bureau libre comme XFCE.

Un environnement XFCE sur un appareil Android. Image Android Authority.

Ce terminal est une des premières briques de la fusion entre Android et Chrome OS, mais il a un petit problème : une compatibilité qui reste assez limitée. En effet, comme le notent nos confrères d'Android Authority, ce terminal ne fonctionne pas sur les puces Snapdragon de chez Qualcomm, alors qu'il est accessible avec des systèmes sur puce Mediatek ou Samsung. Ce n'est pas une limite artificielle ou un bridage quelconque, mais bien un problème lié à une contrainte technique, selon eux.

Le terminal d

Le terminal d'Android va pouvoir lancer des applications graphiques, comme Doom

Le terminal d'Android 16 repose sur AVF (Android Virtualization Framework) et demande la prise en charge d'instructions spécifiques liées à la virtualisation. Et si Samsung, Mediatek ou Google prennent en charge le nécessaire, ce n'est pas le cas de Qualcomm. Plus exactement, les puces Snapdragon acceptent les machines virtuelles protégées (protected VM) mais pas celles qui ne le sont pas (non-protected VM). La différence principale vient de l'accès à la mémoire vive : dans le premier cas, le système hôte (Android) n'a pas accès à la mémoire du client, qui est totalement indépendant. Dans le second, vous l'aurez compris, l'hôte peut accéder à la mémoire vive du client. Et la machine virtuelle employée pour le terminal repose sur le second type de mémoire vive.

Cette limitation matérielle, présente même avec les dernières de Qualcomm comme le Snapdragon 8 Elite Gen 5, amène des situations un peu étonnantes : un smartphone comme le Galay Z Flip 7 est compatible avec le terminal grâce à sa puce Samsung Exynos, alors que le Z Fold 7, lui, en est privé à cause de sa puce Snapdragon 8 Elite.

  •  

L’Apple TV HD a 10 ans : le boitier qui a tout changé (jeux, apps, tvOS, etc.)

Il y a tout juste dix ans, Apple dévoilait une refonte majeure de sa box multimédia : la quatrième génération de l’Apple TV, plus tard rebaptisée Apple TV HD. Lors de l’événement du 9 septembre 2015 à San Francisco, le directeur général Tim Cook avait alors affirmé que « le futur de la télévision est […]

Lire la suite...

Suivez iPhoneAddict.fr sur Facebook, et suivez-nous sur Twitter

N'oubliez pas de télécharger notre Application gratuite iAddict pour iPhone et iPad (lien App Store)


L’article L’Apple TV HD a 10 ans : le boitier qui a tout changé (jeux, apps, tvOS, etc.) est apparu en premier sur iPhoneAddict.fr.

  •  

Démontage iPad Pro M5 : le score pour la réparation progresse

Le site iFixit propose son démontage de l’iPad Pro M5 et a attribué un score de réparation de 5 sur 10. C’est une mauvaise note, mais elle représente malgré tout un bond en avant pour une tablette Apple, sachant que les précédents modèles sont habitués à 2/10 ou 3/10. Ce score illustre un paradoxe : […]

Lire la suite...

Suivez iPhoneAddict.fr sur Facebook, et suivez-nous sur Twitter

N'oubliez pas de télécharger notre Application gratuite iAddict pour iPhone et iPad (lien App Store)


L’article Démontage iPad Pro M5 : le score pour la réparation progresse est apparu en premier sur iPhoneAddict.fr.

  •  

N'achetez pas un adaptateur secteur USB sur Temu ou Shein, ils sont dangereux

Nos confrères d'UFC - Que choisir viennent de publier un article sur un sujet déjà largement connu, mais qui a le mérite d'être très clair : il ne faut pas acheter d'adaptateur secteur à bas prix sur Temu ou Shein, deux plateformes chinoises très populaires qui proposent des produits à prix cassés. Leurs essais montrent qu'ils sont dangereux.

Image UFC - Que choisir.

L'association a acheté 54 adaptateurs secteurs (27 pour chaque plateforme), vendus entre 2 et 18,64 €. Sur le total, 21 n'arboraient pas le logo CE qui — rappelons-le — n'est pas directement un gage de qualité : il peut s'agir d'une autocertification qui indique que le produit est conforme aux exigences européennes, sous la seule responsabilité du fabricant. 51 adaptateurs sur les 54 n'ont pas résisté aux tests mécaniques de nos confrères, ce qui implique des broches qui se tordent ou se tournent trop facilement, ou un boîtier cassé lors d'une chute. Quatre des adaptateurs étaient mal conçus, avec une partie haute tension (reliée à la prise, 230 V) trop proche de la partie basse tension (généralement 5 V en USB). Un problème de ce type peut amener un arc électrique dans certains cas, ou provoquer un court-circuit si l'adaptateur secteur est employé dans une pièce humide. La condensation peut en effet dans certains cas créer des gouttes assez grosses pour créer un lien… et une catastrophe.

Quatorze autres adaptateurs chauffaient aussi trop, ce qui implique une mauvaise conception. Les modèles fautifs dépassaient les 77° C en charge (la limite autorisée) et un des adaptateurs secteurs à même atteint 102° C, ce qui pourrait provoquer un incendie. Sur les 54 modèles testés, seuls, deux répondaient en tout point aux normes européennes. Au-delà des risques d'incendie, bien réels, un adaptateur secteur de mauvaise qualité peut endommager vos appareils avec des tensions inadaptées, mais peut aussi provoquer des brûlures ou des chocs électriques, compte tenu des températures atteintes.

Un exemple dd'adaptateur secteur USB, acheté 2 € sur Wish il y a quelques années. Image Canard PC.

Substances toxiques, jouets et bijoux dangereux

Nos confrères n'ont visiblement pas testé ce point, mais lors d'un test de produits achetés sur Wish et Joom (deux ancêtres de Shein ou Temu), j'avais acheté des adaptateurs secteurs USB pour le magazine Canard PC Hardware. Un des exemplaires contenait notamment du plomb, ce qui est interdit en Europe (et est toxique). Et la qualité de fabrication était dans la même veine que pour les modèles présentés par UFC - Que choisir, c'est-à-dire catastrophique.

Les soudures contenaient du plomb, ce qui est interdit (et toxique). Image Canard PC.

Dans leur article, nos confrères montrent aussi que des jouets achetés sur les deux plateformes sont dangereux, avec des niveaux sonores trop élevés, la présence de substances toxiques, une qualité de fabrication trop faible (avec des risques d'ingestion de petites pièces cassées) et des compartiments à piles insuffisamment protégés. Rappelons que l'ingestion d'une pile bouton au lithium, par exemple, peut être mortelle ou très handicapante. Enfin, des tests sur des bijoux montrent que certains contiennent des quantités très importantes de substances toxiques, comme le cadmium ou le nickel.

Dans l'ensemble, nous vous conseillons de ne pas jouer avec le feu lors de l'achat d'accessoires, comme des adaptateurs secteurs ou des batteries externes. Sans aller vers les modèles Apple, généralement bien conçus mais assez onéreux, mais de nombreuses marques reconnues proposent des produits conformes aux lois européennes et sans dangers particuliers. Même s'il est difficile de juger au premier abord un produit de ce type, partez du principe que si le prix paraît trop beau pour être vrai… c'est que c'est probablement trop beau pour être vrai.

  •  

Self Service Repair : la gamme iPhone 17 rejoint le programme de réparation à domicile d’Apple

Les bricoleurs vont pouvoir réparer leur nouvel iPhone. MacRumors a remarqué que l’iPhone 17, l’iPhone Air et les deux tailles de 17 Pro étaient désormais éligibles au programme de réparation à domicile d’Apple. Différents composants sont proposés, des batteries en passant par les dos en verre jusqu’aux supports pour carte SIM.

Les différentes pièces sont maintenant disponibles sur la boutique du fabricant. Une batterie d’iPhone Air coûte 135 €, sachant qu’il est possible d’obtenir un crédit après avoir renvoyé la pièce remplacée (elle passe à 70,20 €). Pour vous donner un ordre d’idée, un écran de 17 Pro coûte 384,74 € après crédit, et la caméra avant 174,04 €. Les pièces d’iPhone 17 sont logiquement plus abordables, la batterie étant facturée 56,68 € et un verre arrière 128,44 €.

Rappelons qu’il est nécessaire de louer un kit d’outils à 55,20 € les 7 jours pesant une vingtaine de kilos. La démarche est donc à réserver aux bricoleurs qui savent ce qu’ils font, d’autant plus qu’elle n’est pas forcément très intéressante d’un point de vue économique. Les différents manuels sont disponibles sur le site d’Apple, où vous trouverez de quoi faire pour l’iPhone 17, l’iPhone Air, l’iPhone 17 Pro et l’iPhone 17 Pro Max.

Rappelons qu’Apple propose ses outils de diagnostic des Apple Store aux bricoleurs. Il permettent de tester différents aspects, comme l’écran, les haut-parleurs ou l’appareil photo. Son interface est assez abordable, et l’utilitaire se lance depuis un navigateur. Nous avions eu l'occasion de l'essayer :

Votre iPhone a un problème ? Vous pouvez (presque) le tester avec les outils de diagnostic des Apple Store

Votre iPhone a un problème ? Vous pouvez (presque) le tester avec les outils de diagnostic des Apple Store

Le Self Service Repair a été lancé au début 2023 dans l’Hexagone. S’il ne concernait initialement que les iPhone 12/13, il s’est élargi au fil des années. L’iPad a par exemple été ajouté au début d’année, tandis que les Mac et autres Studio Display sont proposés depuis quelque temps. Elle prend désormais en charge environ 70 produits Apple.

  •