Après une semaine de fuites un peu contradictoires sur un éventuel report, de nouvelles informations viennent clarifier l’avenir de l’iPhone Air 2. Loin d’être retardé, le futur modèle s’inscrirait dans une toute nouvelle stratégie de calendrier pour Apple avec pour priorité une avancée technologique : sa puce gravée en 2 nanomètres. Un « faux » retard qui […]
Cette fois, c’est la bonne... après un début novembre plutôt chaud, le froid débarque. Est-ce que pour autant ça va refroidir les chuchotements dans les couloirs glacés par l’hiver de l’Apple Park ? Ou les petites voix discrètes vont-elles réchauffer l’atmosphère ? Tour d’horizon avec Mark Gurman.
L’Apple Park dans les froides couleurs de l’hiver. Image générée par IA.
A Sky Full of Stars (Un ciel plein d’étoiles)
Depuis des années, la chose est bien rodée : les nouveaux iPhone sont présentés en septembre/octobre, et sortent dans la foulée. Très précisément, cette méthode a commencé en 2011, avec la sortie de l’iPhone 4S. Avant, les nouveaux téléphones de la pomme étaient plutôt présentés vers juin/juillet, et sortaient durant l’été. Mais du fait de retards dans la finalisation d’iOS 5, et ses acolytes iCloud et Siri, il a fallu décaler la présentation et donc la sortie à l’automne.
Au final, ce coup du sort a été bénéfique : non seulement ça plaçait la présentation vers la rentrée, moment où les clients potentiels sont plus enclins à la suivre qu’en plein milieu de l’été, mais en plus la sortie intervient juste avant les fêtes de fin d’année, période la plus propice aux achats de nouveaux smartphones. Cependant, tout ceci devrait changer dans les mois à venir, avec des sorties plus étalées. La raison est simple : avec six modèles de prévus sur l’année 2026/2027, tous les annoncer dans le même événement serait bien trop lourd, sans compter la charge pour les sous-traitants.
La présentation de l’iPhone 17 Pro était déjà chargée, alors avec 6 modèles... Image Apple.
En effet, la liste pour l’année 2026/2027 est longue : iPhone 18e, iPhone 18, iPhone 18 Pro, iPhone 18 Pro Max, iPhone Fold, et potentiellement nouvel iPhone Air. Trop de modèles différents pour avoir une présentation fluide de moins de deux heures, et encore plus difficile en moins de une heure trente. Et ne parlons même pas de la logistique derrière pour produire tous ces modèles en même temps. Alors Apple devrait étaler ses présentations : l’iPhone 18 Fold, l’iPhone 18 Pro et l’iPhone 18 Pro Max devraient être présentés en fin d’année, à la période habituelle. L’iPhone 18e, l’iPhone 18 et possiblement l’iPhone Air 2 au printemps 2027.
Fix You (Te réparer)
Selon Mark Gurman, l’iPhone Air nouvelle génération n’a jamais été pressenti pour être présenté en 2026 : si Apple ne lui a pas affublé le chiffre « 17 », ce n’est pas pour rien. Si officiellement sa présence est là pour remplacer celle de l’iPhone 16 Plus, ses caractéristiques sont plus à voir du côté d’un test grandeur nature : sa finesse, et la structure utilisée pour caser tous les composants et faire en sorte qu’il résiste à toutes les tortures, sont là pour évaluer les solutions techniques de l’iPhone Fold, que ce soit au niveau de la résistance en monde réel comme de l’efficacité des chaînes de montage.
De la même manière, le fuiteur ne parie pas sur l’ajout d’une seconde caméra à l’arrière de la prochaine génération, contrairement à The Information : elle engendrerait un chamboulement total de l’architecture consistant à planquer l’électronique dans la « bosse », et à moins que l’iPhone Fold ne case une seconde caméra, Gurman voit mal les équipes faire ce travail de modification pour juste l’iPhone Air. À la place, les équipes planchent surtout sur le passage du SoC à 2nm, afin de donner une autonomie améliorée à l’appareil.
L’iPhone Air serait plus un test d’ingénierie grandeur nature qu’un produit de masse. Image Apple.
Au final, Apple n’a jamais misé gros sur l’iPhone Air : toutes les prévisions en interne tablaient sur des ventes représentant entre 6 et 8 % de la totalité des iPhone de cette génération. Apple n’en fait d’ailleurs pas une grande publicité, et n’a semble-t-il jamais prévu de le mettre plus en avant. Il faut dire que de toute façon, vendre plus d’iPhone 17 Pro/Pro Max est plus intéressant pour Cupertino, et comme c’est ce qui se passe, tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes.
Adventure of a Lifetime (L’aventure d’une vie)
Pour l’année 2027/2028, la gamme « pro » devrait accueillir un changement de taille : le fameux iPhone 20, qui devrait être une modification radicale du design de base de l’iPhone, comme l’a été l’iPhone X en son temps. Plus qu’un sandwich verre/alu/verre, il devrait être quasi entièrement en verre avec des panneaux courbés, une caméra (enfin) placée derrière l’écran, et d’autres éléments cassant le train-train habituel des iPhone.
La séparation des gammes permet ainsi d’alléger la présentation, mais aussi pour Apple d’avoir un revenu constant au fil de l’année. Sans compter qu’un décalage de six mois entre les gammes permet qu’elles ne se cannibalisent pas entre elles, en tout cas moins qu’actuellement où le client peut hésiter entre un iPhone 17 ou un iPhone 17 Pro suivant ses envies. Les mises à jour d’iOS suivent déjà en partie ce pattern : iOS 26.4 promet d’avoir autant de nouveautés ou presque qu’une version majeure, avec enfin l’arrivée du Siri boosté au LLM.
Let Somebody Go (Laisser quelqu’un partir)
Moins joyeux pour les quelques-uns qui l’utilisent encore, l’emblématique Mac Pro vit probablement ses derniers mois, ou années : Apple semble décidée à le laisser mourir lentement, sans mise à jour prévue. Les choses étaient de toute façon bien mal parties pour cette machine, qui après une génération plébiscitée de machines Intel, a vu arriver une version 2013 que tout le monde ou presque a détesté : pas de possibilités de mise à jour, refroidissement mal pensé, limitations physiques trop importantes, pas d’ajout de cartes tierces,... le Mac Pro « trash can » était une catastrophe de conception, et en plus avait des soucis de fiabilité malvenus pour une machine de ce tarif et pour la clientèle visée.
Ce Mac a été une catastrophe industrielle. Image MacGeneration.
Apple a bien tenté de corriger le tir avec le Mac Pro 2019, qui reprenait une bonne partie des idées qui avaient plu dans un format remis au gout du jour, mais elle s’est retrouvée dans une impasse avec la version Apple Silicon : quel intérêt donner à cette machine, alors que ces dernières sont quasi inexistantes sur cette plateforme ? Si la réflexion a dû être intense concernant cet imbroglio, il semble que la réponse soit maintenant quasi définitive : le futur de la machine pro chez Apple, c’est le Mac Studio. Ainsi, le Mac Pro a fait l’impasse sur le M3 Ultra contrairement au Mac Studio. Le M4 Ultra n’a pas existé, et le M5 Ultra, s’il est bien prévu, devrait atterrir sur le Mac Studio, mais pas sur un prochain Mac Pro. La machine au format tour devrait s’éteindre petit à petit, reléguée au fond du catalogue sans mise à jour prévue.
Orphans (Orphelins)
Enfin, une question intéressante pourrait se poser : si l’iPhone va fêter son vingtième anniversaire en fanfare, pourquoi l’iPod ne se verrait pas renaître de ses cendres pour une série spéciale 25ème anniversaire l’année prochaine ?
Image MacGeneration.
Si l’idée ferait rêver beaucoup de passionnés de musique, plutôt nombreux à en croire les sites et forums proposant des mods d’iPod Classic, pullulant sur internet, le projet n’est pas dans les cartons. Apple n’a semble-t-il aucune envie, ni aucun intérêt à ressusciter l’iPod, ne serait-ce que pour une série spéciale. Apple n’a jamais fait dans la nostalgie pure et dure, et a bien l’intention de laisser le petit lecteur MP3 qui a fait sa fortune où il est : au musée.
Les temps changent, les envies ne sont plus les mêmes, et Apple s’adapte : l’iPod restera une icône, le Mac Pro s’apprête à prendre sa place au musée, et l’iPhone continue sur sa lancée, toujours plus puissant et versatile. Mais quel sera le prochain appareil à briser les codes ? Mystère. En attendant, je vous souhaite une bonne semaine, et à dimanche prochain !
Le Mac Pro, autrefois fleuron de la gamme Apple pour les professionnels de la création, semble vivre ses derniers instants. Selon les informations de Mark Gurman de Bloomberg, Apple n’aurait plus de projet de nouveau modèle, reléguant de fait son ordinateur de bureau le plus haut de gamme au second plan, au profit du Mac […]
Les jours du Mac Pro sont peut-être comptés. D'après les informations de Mark Gurman sur Bloomberg, Apple concentrerait ses efforts sur le Mac Studio pour sa future puce M5 Ultra. « Cela laisse penser que le Mac Pro ne bénéficiera pas d’une mise à jour majeure en 2026. » Le Mac Pro est...
C'est au début du mois de juillet qu'Apple avait annoncé le remplacement de Jeff Williams par Sabih Khan au poste de Chief Operating Officer. Jeff Williams est resté quelques temps à Cupertino avec un rôle allégé en tant que Vice-Président Senior en charge du Design, de l'Apple Watch et de...
En matière de sécurité, 2025 aura été catastrophique à tous les niveaux : vols de données sur certains des plus grands sites de la toile, attaques toujours plus sophistiquées, campagnes d’hameçonnage quasi indiscernables des messages légitimes… Nous sommes tous des cibles. Plus que jamais, il faut sortir couvert !
Non, être sur Mac ne suffit plus
Il faut se rendre à l’évidence : se croire à l’abri parce qu’on est sur Mac est illusoire. Mail n’est quasiment d’aucune aide contre le hameçonnage, par exemple. Longtemps, on nous a présenté les antivirus comme l’outil miracle pour se protéger. Mais à l’heure d’Internet, cet outil est devenu trop restreint pour garantir votre sécurité en ligne.
Alors, comment retrouver un peu de quiétude sur Internet ? En se protégeant en amont et en aval, avec un ensemble cohérent d’outils. Ceux-ci doivent non seulement protéger votre ordinateur, mais également vos différents terminaux (tablettes, smartphones…). Et là, je vous vois déjà grimacer à l’idée de devoir souscrire trois ou quatre abonnements pour profiter paisiblement d’Internet.
Multiplier les protections sans multiplier les abonnements
Pas de panique : il existe des solutions complètes, comme Surfshark One, qui propose une suite de sécurité tout-en-un.
Pour surfer en toute sécurité, le VPN demeure un incontournable. Cela tombe bien, c’est avec cet outil que Surfshark a bâti sa notoriété. On parle d’un VPN complet, simple d’utilisation, qui vous permet de vous jouer des contraintes géographiques.
Vous commencez à reprendre le pouvoir, mais ce n’est que le début. Quel est l’un des vecteurs les plus répandus de propagation de virus ? La publicité bien sûr ! Surfshark Ad Blocker vient à la rescousse et vous permet de surfer beaucoup plus rapidement. Cette solution présente deux avantages : elle est compatible avec tous les appareils. D’autre part, ce sont les serveurs de Surfshark qui font le travail, pas votre ordinateur !
Puisque l’on parle de contenus en ligne, un autre point mérite d’être évoqué : le Web Content Blocker. On ne peut pas toujours être derrière ses enfants lorsqu’ils surfent. Cet outil permet simplement de fixer des limites en fonction de leurs âges. Rassurant !
Une deuxième ligne de défense pour combler les failles
Avec ces outils, vous disposez d’une belle ligne de défense. Mais, comme toujours, il peut y avoir des trous dans la raquette. C’est là qu’intervient la deuxième couche de protection de Surfshark. Parce qu’on n’est jamais trop prudent — et que votre employeur peut vous le réclamer — Surfshark met à votre disposition un antivirus. Ce dernier ne se limite pas à détecter des malwares et autres virus : il est capable de vous alerter lorsqu’un processus s’intéresse d’un peu trop près à votre webcam.
Le phishing est peut-être la plus grande menace du moment. Surfshark propose une réponse très efficace. Un doute sur un mail ? Email Scam Checker l’analyse et vous dit, grâce à son système d’intelligence artificielle, si vous pouvez avoir confiance ou non. Le tout sous la forme d’une extension Chrome, parfaitement intégrée à Gmail.
Comme évoqué plus haut, nous ne sommes pas responsables des failles d’Internet. Un serveur compromis sur lequel vous étiez inscrit, et vous pouvez rapidement être en danger. Alert est là pour vous aider à prendre les devants. Si l’une de vos données sensibles circule sur le net, vous êtes immédiatement averti. Mieux : Surfshark fait tourner son armée de bots pour vous retirer des fichiers des brokers qui exploitent ces fuites.
Enfin, pour lutter contre le spam par message et par téléphone, Surfshark a une arme redoutable. Au lieu de laisser votre numéro quand vous vous inscrivez à un service, Surfshark peut vous générer un numéro de téléphone virtuel. Diabolique !
Vous voilà sans doute convaincu, mais il reste un dernier détail qui vous inquiète. Bien évidemment, c’est le prix. Mais ça tombe bien, c’est le Black Friday et les offres sont juste imbattables.
Black Friday : une suite complète à prix cassé
L’offre Surfshark One comprend quasiment tous les services proposés. Son prix : 2,62 € par mois ! Il y a trois avantages supplémentaires. Vous avez une période d’essai de 30 jours pour changer éventuellement d’avis. Deuxième avantage : il s’agit d’un abonnement de deux ans. Si l’offre vous séduit, vous serez tranquille un bon moment et sans hausse de prix. Enfin, pour vous remercier de votre confiance, Surfshark vous offre trois mois supplémentaires. Autrement dit, vous pouvez sécuriser tout votre parc informatique jusqu’en février 2028 pour seulement 59,13 € HT, soit 70,96 € TTC.
Positionnés entre les Beats Fit Pro historiques et les Powerbeats Pro 2 (lire notre test), les nouveaux Powerbeats Fit (229,99€) visent clairement le cœur des usages sportifs : tenue irréprochable, commandes directes, résistance à la sueur et un son énergique qui motive. Ce test passe en revue le design, le confort, l’audio, la réduction de bruit, […]
J'écris des moteurs d'échecs, ou d'autres comme pour le Reversi/Othello, depuis plusieurs décennies. Je suis en train de travailler sur un moteur sorti fin 1994 pour le Minitel, écrit en C-Ansi, Borland C 3.1 pour DOS à l'époque et gcc maintenant pour Posix dans un terminal VT-100, 32 bits pour Pentium [1] à l'époque et 64 bits pour x86 et ARM aujourd'hui. Du vieux code monothread, c'est à noter.
Et pour m'amuser, sur mon Mac mini M4, je ne fais non pas tourner une version compilée pour ARM mais celle compilée pour x86 64 bits. Le même exact code, grâce à Rosetta 2. Ce code x86 sort de gcc, avec l'option -O3 : optimisé mais en limitant les risques.
Je viens de m'apercevoir que si en moyenne un cœur Performance du M4 est 3,3 fois plus rapide que chaque cœur de mon MBP 15" 2017, ce qui devrait amener ce code x86 monothread à tourner près de 3 fois plus vite sous ARM via Rosetta 2, il tourne en fait 4 fois plus vite!
Je soupçonne que Rosetta 2 s'est vu amélioré et pourrait utiliser les 16 registres généraux en plus de l'architecture ARM 64 bits pour optimiser le code x86 quand il le transcrit pour nos Mac Apple Silicon. Ce code simple (non-vectoriel, non fpu) tourne 30% plus vite qu'il le devrait !
Une limitation du Amd64 (ou x86 64 bit, ou x86-64) créé par AMD, c'est que son architecture ne contient que 16 registres généraux (entiers et pointeurs), contre 32 pour ARM 64bits (AArch64).
Ça permet évidemment à nos Mac ARM d'émuler facilement les 16 registres du x86, mais en laisse beaucoup inutilisés, et je pense que Rosetta 2 en profite pour limiter les relectures après écriture dans la pile (les écritures étant probablement conservées).
Une autre optimisation peut être d'éliminer les copies de registres inutiles, puisque en ARM 64 bits les opérations ont souvent 3 opérandes (2 sources et 1 destination), contre 2 en x86 64 bits (1 source, 1 destination). Par exemple a=b+c en x86 64 bits consiste à "copier" (créer un alias) b dans a puis à lui ajouter c (2 opérations), quand en ARM 64 bits, on ajoute b et c dans a en une seule opération.
L'aliasing de registres (ex-copie) est "gratuite" en x86 maintenant, mais nécessite de décoder une instruction de plus, donc plus de charge coté décodeur (front end) qui est déjà un problème en x86 avec des instructions de longueur variable et le travail pour créer les micro-instructions et macro-instructions depuis les Core™ 2.
Je vais vous revenir avec une comparaison avec du code ARM natif (même compilo mêmes options). Mais ce résultat est très surprenant, Apple fait un travail incroyable sur Rosetta 2 !
Si vous comptez vous offrir un casque Bluetooth avec réduction active du bruit ambiant (ANC), le modèle le plus haut de gamme de Beats, actuellement en promotion à -52%, est un excellent candidat.
Un jury fédéral américain a condamné Apple à verser 634 millions de dollars à la société de technologie médicale Masimo pour la violation d’un brevet lié au capteur d’oxygène sanguin de l’Apple Watch. Apple a immédiatement annoncé son intention de faire appel de ce verdict. Une victoire pour Masimo, une décision contestée par Apple Dans […]
Les hostilités du Black Friday ont commencé chez Beats. Si vous envisagez d’acheter un casque ou des écouteurs de la marque, le moment est particulièrement favorable : les prix n’ont jamais été aussi bas. Tour d’horizon des meilleures offres.
Les PowerBeats Pro 2 à 208 €
Les AirPods Pro 3 ne sont pas les seuls écouteurs d’Apple capables de mesurer la fréquence cardiaque. Sortis en début d’année, les Powerbeats Pro 2 disposent eux aussi de cette fonction. Pensés avant tout pour le sport, ils ont d’ailleurs reçu récemment une grosse mise à jour logicielle leur apportant plusieurs avancées des AirPods Pro 3.
Ils sont proposés aujourd’hui à 208 €, soit 91 € de moins que leur prix public. Un tarif inférieur également à celui des AirPods Pro 3, actuellement affichés à 249 €.
Les Powerbeats Pro 2 embarquent des boutons physiques pour le réglage du volume, faciles à utiliser en plein effort. La réduction active du bruit est de très bonne facture, tandis que la qualité audio en appel a été nettement améliorée. L’autonomie annoncée atteint 10 heures par écouteur, ou jusqu’à 45 heures en tenant compte des recharges via le boîtier. Enfin, plusieurs tailles d’embouts sont fournies pour un ajustement précis.
Les casques Beats Studio Pro et Solo 4 à moitié prix
Si vous cherchez un casque à petit prix, Beats a vraiment fait le maximum pour vous convaincre d’opter pour l’un de ses deux modèles.
Le Beats Solo 4 est proposé à 113 €, quand son prix public est de 229,95 € ! Il est disponible à ce prix dans toutes les couleurs.
Image : WatchGeneration
Le Beats Solo 4 est un casque supra-auriculaire bien conçu, utilisable en Bluetooth ou en filaire. Son unique vrai défaut reste l’absence de réduction active du bruit. Un manque discutable à son prix public, mais beaucoup plus acceptable à ce prix-là, au regard de la qualité audio qu’il propose.
Mais la promotion la plus remarquable est sans doute le Beats Studio Pro qui est proposé à 189 € ! Tous les coloris profitent du même prix, ce qui est suffisamment rare pour être signalé. Comme souvent, l’offre est limitée dans le temps.
Nous avions pu tester le Beats Studio Pro lors de sa sortie. Il délivre un son convaincant, une réduction de bruit solide et fonctionne aussi bien dans l’écosystème Apple que sur Android. Pour les amateurs de filaire, une connexion USB-C est également possible. Il offre une autonomie jusqu’à 24 heures avec la réduction de bruit activée.
L’enceinte portative Beats Pill est également proposée à un prix très attractif : 95 € au lieu de 170 €. Cette version sortie en 2024, après une longue hibernation, a remis les compteurs à zéro : design allégé (680 g), port USB-C enfin généralisé — y compris pour écouter sa musique en Lossless en filaire — et autonomie annoncée de 24 heures.
L’enceinte est certifiée IP67, ce qui autorise une utilisation en extérieur sans trop de précautions, et elle est livrée avec une dragonne pour faciliter le transport.
Jeff Williams a officiellement pris sa retraite. Celui qui était le directeur de l’exploitation chez Apple, à savoir le numéro 2 dans la hiérarchie (juste derrière Tim Cook), a quitté l’entreprise. Sa dernière journée a été le 14 novembre 2025. Il a disparu de la page des dirigeants Apple. Apple avait annoncé sa retraite au […]
Il s’agit d’un petit jeu que l’on mène en interne. N’hésitez pas à participer dans les commentaires. La question est simple : à quelle date l’iPhone Air passera-t-il sous la barre des 800 € ? On n’en est plus très loin.
La chute des prix de l’iPhone Air reste impressionnante. Rappelons que ce modèle est vendu 1 229 € sur l’Apple Store. Dès la mi-octobre, il était déjà passé sous les 900 € chez Rakuten. Depuis, son tarif poursuit sa dégringolade et se rapproche dangereusement du seuil des 800 €.
Image : Apple
Il s’agit d’un modèle d’importation référencé A3260. Aucun problème particulier à signaler : ce modèle en provenance des USA gère davantage de bandes réseau que la version européenne, ce qui en fait même un compagnon de voyage idéal, notamment si vous vous rendez en Amérique.
Si vous cherchez un iPad à prix réduit, cette promotion mérite également le détour. L’iPad A16 tombe à 324 €, soit quasiment son plus bas niveau à ce jour.
Il s’agit d’un modèle d’importation vendu sur Rakuten. Pour obtenir ce tarif, il faut là aussi saisir le code BLACK15. À noter que le même modèle est proposé à 349 € sur Amazon. À vous de trancher.
L’iPad A16 n’a sans doute pas les prétentions des modèles Pro, mais il reste un très bon compromis pour la navigation web, la bureautique légère ou les usages multimédias du quotidien. La présentation d’iPadOS 26 a d’ailleurs remis un coup de projecteur sur cette gamme, toujours appréciée pour son excellent rapport qualité-prix.
Dans notre test, l’iPad A16 avait récolté la note de 3/5. Nous avions salué ses performances solides, ses 128 Go de stockage en standard et un tarif bien positionné. En revanche, son écran montrait clairement son âge, et l’absence de compatibilité avec Apple Intelligence pouvait refroidir les utilisateurs les plus technophiles.
Reste qu’à ce prix, on se montre logiquement moins exigeant sur la qualité de la dalle. D’autant que, pour la majorité des usages quotidiens, ChatGPT ou d’autres outils en ligne peuvent aisément compenser l’absence des fonctions d’Apple Intelligence.
Promo : l’iPad Air M3 à 464 €
Reste que si votre budget le permet, nous ne pouvons que vous recommander de mettre un peu plus et d’opter pour l’iPad Air M3, proposé aujourd’hui à 464 €. Il a rarement été affiché à un tarif aussi attractif. Plusieurs références figurent dans la liste ; nous vous conseillons celle vendue par OnePro.
Image : iGeneration
Pour 140 € de plus, vous accédez à une tablette nettement plus puissante, avec une durée de vie logicielle qui sera sans doute bien supérieure. Elle est également bien mieux taillée pour tirer parti d’iOS 26. Là encore, il s’agit d’un modèle d’importation, ce qui n’a jamais posé problème pour un iPad. N’oubliez pas de saisir le code BLACK15 lors de la commande.
Oui, vous ne rêvez pas : il s’agit bel et bien d’un iPhone 17 Pro Max faisant fonctionner iPadOS 26. Il est assez étonnant de voir un Dock omniprésent tout en bas d’un iPhone, des fenêtres se chevaucher…
À l’heure de l’intelligence artificielle générative, on pourrait crier au fake. Sauf que son auteur, Duy Tran, est un habitué de l’exercice. Il y a quelques mois, il avait publié une vidéo du même style dans laquelle on voyait des applications macOS fonctionner sur un iPhone XS
Sur X, il explique exploiter une faille connue depuis un certain temps déjà permettant de modifier MobileGestalt. Selon lui, cette faille est utilisée pour contourner certains mécanismes d’iCloud. La mauvaise nouvelle, c’est que ses expérimentations vont bientôt prendre fin. La faille en question a été rapportée à Apple, qui l’a corrigée dans la dernière bêta d’iOS 26.2.
iPadOS sur iPhone peut prêter à sourire en 2025, mais la question se posera sans doute autrement lorsque Apple sortira son iPhone pliable l’année prochaine. Déplié, ce modèle pourrait atteindre une diagonale d’écran de 7,8 pouces, soit à peu de chose près la taille d’un iPad mini.
Cela soulève deux ou trois questions intéressantes. Est-ce que le téléphone pliable d’Apple reprendra certains éléments d’interface d’iPadOS ? Sera-t-il équipé d’un Dock ou encore d’un système de gestion de fenêtres ? Cela commence à être envisageable.
Il y a un dernier point qui n’a pas encore beaucoup été évoqué dans les rumeurs : la prise en charge de l’Apple Pencil. En 2019, il s’était murmuré que l’iPhone 11 Pro Max pourrait le prendre en charge. Cela n’avait pas été le cas. Mais avec un écran aussi grand, la question devrait, là aussi, revenir sur la table.
Apple n'a pas encore les datacenter pour leurs propres IA cloud, et si des rumeurs indiquaient que de futurs M5 pourraient être des "compute module" pour cela, on est probablement à 1 ou 2 ans de leur implémentation à l'échelle de leur clientèle d'utilisateurs !
Mais où donc pourrait être alors hébergé le "cloud privé" d'Apple pour Siri?!?
Acte 2 : Google annonce son cloud privé sécurisé par TEE
La situation s'éclaire avec Google annonçant un "cloud privé sécurisé", dans ce cas des pool de serveurs au sein de ses propres datacenter, loués ou achetés par les clients l'utilisant pour faire tourner des IA, dont celles de Google: Gemini et/ou Gemma.
Le "cloud privé" d'Apple pour Siri pourrait bien n'être que des serveurs "privés sécurisés" chez Google. La sécurité reposant sur plusieurs couches, dont la couche matérielle TEE. Cette couche TEE devant théoriquement empêcher tout accès physique aux données présentes dans ces serveurs d'IA. C'est une protection contre l'accès physique aux données.
Google prétend que son "cloud privé sécurisé" serait aussi sécurisé que l'exécution locale. Ça rassure, la sécurité est incroyable grâce aux TEE ! Ou pas?
Pas de protection d'accès physique, donc aucun "cloud privé", Google étant en mesure d'accéder aux données de ces serveurs d'IA dans son datacenter. Ou des agences Américaines. À la merci de qui les exigera. Ou simplement pour récupérer nos échanges et nos vies...
Pour ceux qui veulent en savoir plus, c'est l'usage de chiffrements "déterministes" par réusage de clés qui est le problème, créant des possibilités d'attaques de type Replay. On ne fait jamais ça, on ne doit jamais faire ça. C'est plus rapide, mais non... Jamais !
Même pas besoin que la NSA, comme d'hab, pourrisse la génération de clés pseudo-aléatoires en poussant des générateurs pas du tout aléatoires. AMD a mis 6 ans avant de reconnaître sa faute. Un grand pas en avant qui simplifie tellement le travail des Agences Américaines !
Conclusion
Le "cloud privé sécurisé" dont Apple et Google se targuent n'est en rien sécurisé ou privé: je pense qu'ils foncent dans le mur, comme tout ceux qui croient à leurs promesses.
Il est à noter qu'il y a d'autres failles dans le modèle de "cloud privé sécurisé" de Google, puisque reposant sur des acteurs "indépendants", mais pas indépendants des Lois et Agences Américaines. Même pas besoin d'accès physique ! Même pas besoin de failles de TEE ! Les lois US !
Mon avis est que si c'est dans le cloud, ça n'est ni sécurisé ni privé, c'est publique... L'exception étant de contrôler le chiffrement et le déchiffrement localement, soi-même. Et pour les IA, c'est localement avec LM Studio par exemple (et beaucoup de RAM).
Apple accélère la préparation de l’ère post-Tim Cook, dont le départ pourrait intervenir dès l’année prochaine après plus de 14 ans à la tête de l’entreprise, selon les informations du Financial Times. Le conseil d’administration d’Apple et les dirigeants ont intensifié les discussions pour cette transition et un nom se détache pour prendre les rênes […]
Une vaste campagne de phishing exploite de faux sites de voyage pour voler les données bancaires de clients d’hôtels. Voici ce qu’il faut savoir pour éviter le piège.
Apple travaille à l'intégration des cartes Conecs à l'application Cartes, a repéré Aaron Perris dans les entrailles de la version bêta d'iOS 26.2. Là où les transactions des cartes bancaires traditionnelles reposent par exemple sur les réseaux CB, VISA ou Mastercard, les transactions des...
Déjà présenté sur de nombreux salons, la borne de recharge Anker SOLIX V1 pour véhicules électriques est enfin disponible en Europe. Il s'agit donc d'un chargeur intelligent qui fera logiquement parti de l'écosystème de la marque, déjà présent sur kits de panneaux solaires, les batteries de stockage et qui compte bie
Si vous désirez vous offrir un casque Bluetooth avec réduction active du bruit ambiant performant, c'est le moment de craquer pour le Sony WH-1000XM6 grâce à cette promotion
Avec le Mini 4K, DJI propose l'un de ses best‑sellers légers et compacts – moins de 249 g ! Une bouffée d’oxygène créative pour les amateurs d’images aériennes à emporter partout avec soi.
Tim Cook pourrait quitter la direction d'Apple dès 2026, affirme ce samedi le Financial Times : « son conseil d'administration et ses hauts dirigeants ont récemment intensifié les préparatifs en vue du passage de témoin de Cook à la tête de l'entreprise. » L'annonce pourrait se faire très...
Conecs, le réseau qui sous-tend la majorité des cartes de titres-restaurant en France, est en passe d’être pris en charge nativement sur Apple Pay. Une évolution qui devrait fluidifier les transactions liées à ces titres spéciaux.
D’après des ressources dénichées par @aaronp613, iOS 26.2 pourrait ajouter la compatibilité Apple Pay pour les cartes Conecs en France. Conecs, c’est l’opérateur technique qui gère les transactions des titres-restaurant, comme Edenred (Ticket Restaurant), Pluxee ou UpDéjeuner. C’est en quelque sorte l’équivalent de Visa ou Mastercard, mais spécialisé dans ce mode de paiement réservé aux salariés. On reconnait les cartes compatibles au logo « Conecs » inscrit dessus.
Image Conecs
Là, vous vous dites peut-être : « mais ma carte Edenred/Swile/UpDéjeuner/autre est déjà dans Wallet et je paie mes repas avec depuis des années. » C’est vrai, mais cela cache plusieurs subtilités. Il faut plonger dans la mécanique de la monétique pour comprendre ce qui se joue.
D’un côté, certaines cartes, notamment celle de Swile, s’appuient essentiellement sur le réseau Mastercard, comme une carte bancaire classique. De l’autre, certaines cartes physiques sont cobadgées, c’est-à-dire qu’elles sont compatibles à la fois avec Conecs et un autre réseau de paiement.
Lorsque ces cartes cobadgées sont utilisées via Apple Pay, c’est le second réseau qui prend le relais, puisqu’Apple Pay ne gère pas encore Conecs. En conséquence, le terminal de paiement du restaurateur ou du commerçant ne reconnait pas la transaction comme un titre-restaurant, les plafonds et restrictions alimentaires ne s’appliquent pas automatiquement, et les remboursements ne suivent pas le circuit traditionnel. C’est plus souple pour le client, mais moins fiable pour le commerçant, qui subit aussi une commission supplémentaire.
Image Edenred
Vers une prise en charge de Conecs plus limpide
Comme l’explique Numerama, dans le cas de Swile, sa carte Mastercard intègre les règles légales : le terminal voit un paiement bancaire standard et c’est Swile qui applique en temps réel les contraintes propres aux titres-restaurant, comme le plafond quotidien de 25 €.
Quand une carte dématérialisée Conecs passe par un contournement — on dit qu’elle est « tokénisée » via Visa/Mastercard/CB — , elle est traitée comme une carte bancaire ordinaire. Le terminal ne détecte plus un titre-restaurant et ses règles ne sont plus appliquées automatiquement. L’émetteur tente alors de rattraper tout cela côté serveurs, avec une fiabilité inégale. D’où la volonté de mieux intégrer Conecs dans ce parcours.
La prise en charge prochaine de Conecs sur Apple Pay n’est pas une surprise. Lors d’une table ronde organisée en mars, Renan Le Bot, un des dirigeants du groupement CB, avait annoncé que l’intégration serait prête « avant l’été ». Elle aura pris manifestement plus de temps que prévu, mais elle semble désormais imminente.
Le réseau franco-français CB, qui s'attache depuis quelques années à contrer les Américains Mastercard et Visa sur le paiement mobile, va conserver un rôle primordial, servant de partenaire pour l’intégration. « On a choisi CB comme partenaire pour nous digitaliser. Ça nous permet, vis-à-vis des X-Pay [portefeuilles mobiles, ndlr], de mutualiser les investissements », expliquait alors Astrid Hémain, directrice marchands et opérations chez Pluxee.
Après Apple Pay, CB prévoyait de rendre Conecs compatible avec Google Pay « après l’été ». Quant à Samsung Pay, aucun projet n’était sur la table au printemps dernier, faute d’« appétence » du secteur à ce stade.