Apple a eu dans ses labos un prototype de MacBook équipé de la puce A15 Bionic issue de l'iPhone 13, a pu déterminer MacRumors dans des fichiers de débogage du noyau de macOS qui n'auraient pas dû être rendus publics par Apple. Ce Mac serait référencé sous le nom de projet « mac14p » sous...
Comme prévu, l’application Apple Music sur ChatGPT est maintenant disponible. Vous pouvez ainsi générer des playlists et obtenir des recommandations musicales grâce à l’intelligence artificielle. Vous pouvez également faire des requêtes comme « Joue un morceau aléatoire » et l’IA s’exécutera. Comment activer Apple Music sur ChatGPT L’activation de l’application Apple Music sur ChatGPT est possible depuis […]
Apple a déployé une série de changements majeurs sur iPhone et l’App Store au Japon afin de se conformer au Mobile Software Competition Act (MSCA), équivalent local du DMA en Europe. Ces modifications, intégrées à iOS 26.2, ouvrent considérablement l’écosystème mobile de la marque dans l’archipel. Plein de nouveautés sur iPhone au Japon Voici les […]
Apple fait savoir que les résultats de recherche sur l’App Store vont afficher davantage de publicités à partir de 2026. Les utilisateurs verront apparaître de nouveaux encarts sponsorisés dispersés, mettant fin à l’exclusivité de l’unique bandeau promotionnel actuel. De nouvelles pubs vont arriver sur l’App Store Jusqu’à présent, la publicité dans les résultats de recherche […]
L'année 2025 touche bientôt à sa fin et de nombreux personnages ont été introduits dans Genshin Impact au fil des mois. Nous avons compilé un résumé des meilleurs personnages de cette année. Plongez-vous dedans pour voir si vos favoris ou les héros que vous utilisez depuis le plus longtemps figurent dans la sélection. Attention : ce classement est basé sur un mélange de puissance et des statistiqu
Annoncée il y a moins de deux jours, l’intégration d’Apple Music dans ChatGPT est désormais effective. Elle ouvre la porte à une nouvelle façon de découvrir et d’organiser sa musique, en s’appuyant sur le langage naturel et les capacités conversationnelles de l’IA d’OpenAI. Attention toutefois : il ne s’agit pas d’écouter directement Apple Music dans ChatGPT.
Changement de cap important pour Homey, solution de domotique assez similaire dans l’esprit à Home Assistant même si elle n’est pas open source. Le matériel vendu par l’entreprise d’origine néerlandaise, achetée par LG l’an dernier, était jusque-là la seule option pour la faire tourner si on ne voulait pas d’un abonnement1. Ce n’est plus le cas avec le lancement de Homey Self-Hosted Server, une version que l’on héberge soi-même sur un ordinateur qui fera office de serveur de domotique, comme son nom l’indique bien.
Image Homey/iGeneration.
Cette nouvelle option est prévue pour tourner sur à peu près n’importe quel ordinateur qui pourra rester actif en permanence. Le Raspberry Pi est évidemment dans la liste, avec la possibilité de prendre le contrôle de tout l’ordinateur et d’y installer Homey en guise de système d’exploitation. On pourra pour cela utiliser l’app Raspberry Pi Imager, qui propose maintenant Homey OS parmi ses nombreuses options. Dans l’univers de Home Assistant, ce serait l’équivalent de HAOS et la démarche devrait être quasiment identique à celle que j’avais décrite dans la série.
Pour plus de souplesse, on peut aussi installer Homey en plus d’autres services sur son serveur et le mieux pour cela est d’utiliser Docker, qui est l’une des options d’installation proposées. Une image prête à l’emploi est disponible pour créer un conteneur et elle pourra tourner autant sur les processeurs ARM des Raspberry Pi que sur les x86_64 d’Intel et AMD que l’on trouve notamment dans les mini-PC. D’autres méthodes sont proposées pour ceux qui veulent une option encore plus simple : Homey peut s’installer sur un Mac (uniquement Apple Silicon) grâce à une app qui tournera à l’arrière-plan, sans jamais toucher au terminal. C’est un petit peu plus compliqué sur Windows, où la virtualisation est impliquée. Il y a aussi la marche à suivre pour les NAS, dont ceux de Synology.
Ce n’est pas parce que vous pouvez installer Homey sur n’importe quel ordinateur que le système devient gratuit. Après le premier mois d’essai, il faudra prévoir 4,99 € par mois ou bien 149 € une fois. Si c’est 100 € de moins que le matériel le moins cher vendu par l’entreprise, il faut souligner que vous aurez du logiciel sans aucun lien matériel, bien utile en domotique. Si vous voulez gérer directement des appareils en Zigbee, Bluetooth, Z-Wave ou d’autres protocoles matériels, il faudra ajouter le Homey Bridge vendu 69 €. Par rapport au Homey Mini Pro qui fait tourner le même logiciel, qui intègre des puces Zigbee et Thread et qui est vendu 249 €, l’intérêt de l’auto-hébergement est moins net… sauf pour tester.
En effet, il est désormais possible de découvrir l’expérience Homey sans payer et sans acheter de matériel. Si vous avez un Mac sous la main, vous pouvez télécharger l’app fournie à cette adresse et obtenir une instance fonctionnelle en quelques minutes. Vous aurez alors 30 jours pour jauger l’intérêt de la solution et si vous avez un hub propriétaire, comme le Hue Bridge ou la Dirigera d’IKEA, vous pourrez connecter toute votre domotique et la contrôler par ce biais. Si cela vous plaît, vous aurez alors le choix de maintenir la version hébergée ou bien d’acheter le matériel associé.
Sinon, l’offre Homey Cloud était proposée et elle est très proche de la version auto-hébergée, sauf qu’elle est associée à un abonnement mensuel. ↩︎
Décidément, l’année se termine mal pour SFR. Hier, plusieurs abonnés ont reçu un courriel de leur opérateur les informant d’un nouvel incident de sécurité. Cette fois-ci, il s'agirait d'un accès non autorisé à un outil informatique interne, ayant potentiellement permis à des hackers de consulter des données personnelles de clients.
Après l'annonce prématurée d'hier, Apple Music a aujourd'hui gagné son intégration à l'application ChatGPT. On peut ainsi utiliser le chatbot d'OpenAI pour rechercher de la musique et générer des playlists, lancer des écoutes au sein de ChatGPT (avec des extraits disponibles sans même...
Faites ce que je dis, ne faites pas ce que je fais… Alors qu’Apple aimerait que sa communauté de développeurs adopte le plus vite possible Liquid Glass, la firme avance sur ce dossier à un rythme de sénateur.
Une nouvelle mise à jour de GarageBand est sortie hier sur le Mac App Store. Elle n’offre ni Liquid Glass ni icône adaptée à macOS Tahoe 26 (ce serait le strict minimum).
Apple ne brille pas par l’originalité dans ses notes de version. À l’image de GarageBand 10.4.12, la version 10.4.13 se contente d’évoquer « des améliorations de la stabilité et des corrections de bogues ».
Pour les applications de la suite iWork, la situation n’a toujours pas évolué. Pages, Numbers et Keynote ne sont toujours pas passés au Liquid Glass, alors même qu’Apple a publié, il y a déjà plusieurs mois, une capture d’écran de Keynote à la sauce Liquid Glass sur son site.
Apple prépare une évolution majeure de la publicité sur l’App Store. À partir de 2026, elle va augmenter le nombre d’annonces visibles dans les résultats de recherche, au-delà du traditionnel encart sponsorisé placé en tête de page.
Des pirates auraient réussi à accéder aux comptes des utilisateurs Premium, incluant leurs adresses email, mais mieux (ou pire) que cela, à leurs habitudes de visionnement...
200 millions d'enregistrements auraient été exfiltrés, on ne sait combien de personnes sont touchées à ce point.
Pendant que Tesla semble (enfin) mettre de l’eau dans son vin, Rivian campe sur ses positions. Pour RJ Scaringe, le patron du constructeur de pick-up électriques, CarPlay reste une « bouée de sauvetage » dont ses clients n’ont tout simplement pas besoin.
Image : Rivian
Décidément, CarPlay ne fait plus l’unanimité. Alors que la technologie d’Apple s'est imposée comme un standard incontournable ces dernières années, certains constructeurs commencent à battre en retraite. À ce petit jeu, Tesla fait figure d’exception qui confirme la règle : après avoir longtemps ignoré les appels du pied de Cupertino, la firme d’Elon Musk travaillerait finalement sur une forme de prise en charge.
Il n’est pas interdit, au passage, de penser que ce soudain intérêt pour CarPlay est lié à un accord beaucoup plus large entre Apple et Elon Musk. Ce dernier souhaite pousser le plus possible Starlink sur les terminaux estampillés d’une pomme.
Le dernier adepte du « CarPlay bashing » n’est autre que Rivian. Pourtant, ce constructeur de pick-up et de vans électriques n’est pas allergique à l’écosystème Apple : ses véhicules intègrent nativement Apple Music et les modèles de deuxième génération supportent même la fonction Clé de voiture dans Cartes pour déverrouiller ou démarrer le moteur. Mais pour ce qui est de l'interface de l'iPhone sur l'écran central, c'est un « non » catégorique.
Alors que les rumeurs prêtent à Tesla l'intention d'intégrer CarPlay sous une forme ou une autre, RJ Scaringe, le CEO de Rivian, a profité d'une interview pour moquer cette potentielle capitulation. Pour lui, pas question de laisser Apple glisser une couche logicielle par-dessus la sienne.
L'IA, le nouvel argument de défense
Pourquoi un tel refus ? Selon Scaringe, le coupable est tout trouvé : l'intelligence artificielle. Pour Rivian, garder le contrôle total de l’expérience utilisateur est crucial, surtout à l'heure où les assistants intelligents s'apprêtent à gérer nos agendas et nos trajets. Insérer une « couche d'abstraction » ou d'agrégation tierce serait, selon lui, un risque stratégique majeur créant des dépendances difficiles à inverser.
Quant à l'idée d'intégrer CarPlay dans une fenêtre isolée au sein du système maison — le fameux « screen in a screen » que Tesla envisagerait —, Scaringe ne mâche pas ses mots :
« C’est une mauvaise interface et une mauvaise expérience utilisateur. Les conducteurs ont été habitués à des interfaces natives si médiocres que CarPlay est devenu la bouée de sauvetage pour s'échapper. »
Le syndrome de Stockholm des électromobilistes ?
Rivian ne semble pas craindre que ce refus rebute les acheteurs. La stratégie consiste à offrir une intégration logicielle si poussée (avec Google Maps, Apple Music et bientôt ChatGPT ou Gemini pour la partie IA) que CarPlay deviendrait superflu.
D'après le patron de Rivian, le manque de CarPlay est une peur de « primo-accédant » qui s'évapore une fois le véhicule en main :
« Le nombre de propriétaires de Tesla ou de Rivian qui se plaignent réellement de l'absence de CarPlay est très faible. Le nombre de personnes qui disent ne pas acheter une Rivian à cause de cela est plus élevé, mais une fois qu'ils ont goûté au système, ils se demandent pourquoi ils s'inquiétaient. »
Bref, ce n’est pas demain que l’immense écran d’un R1T affichera en gros les icônes de Messages, Plans, ou Calendrier : chez Rivian, l’iPhone restera sagement dans la poche… ou posé sur son socle de recharge par induction.
Si ces promotions sont intéressantes sur le plan tarifaire, on rappellera qu’une nouvelle Apple TV est attendue pour début 2026. La nouvelle génération devrait notamment embarquer un système sur puce plus puissant avec 8 Go de RAM. De quoi faire tourner des jeux un peu plus ambitieux et offrir la prise en charge d’Apple Intelligence.
Reste que la gamme actuelle est tout à fait capable. Et qu’à ces prix‑là, c’est très tentant…
Le ministre de l'Intérieur, Laurent Nuñez, a confirmé l'attaque.
Cette attaque aurait débuté via une messagerie interne, dans laquelle les gens auraient échangé des mots-de-passe "en clair", d'après le ministre. Fustigeant devant les députés l'absence de respect de l'hygiène numérique.
Le premier communiqué du ministère de l'Intérieur était donc de la désinformation. Le ou les pirates ont donc entre les mains des données très sensibles, avec un impact possible sur la sécurité nationale et la vie de très nombreux Français.
[Article originel]
Suite à un message sur un forum dédié au piratage, ce samedi 13 décembre vers 18h, on apprend qu'un pirate se vante d'avoir piraté le ministère de l'Intérieur ainsi que plusieurs bases-de-données.
Auraient été accédées et peut-être capturées les bases-de-données TAJ de Traitement des Antécédents Judiciaires, le FPR Fichier des Personnes Recherchées, les impôts de la Direction générale des finances publiques et les retraites via la Caisse nationale d’assurance vieillesse.
Le pirate a donné un ultimatum jusqu'à ce samedi 20 décembre 18h, pour négocier.
Le ministère de l'Intérieur a lui communiqué sur une attaque qui se serait produite entre jeudi et vendredi, et qui n'aurait touché que très peu de données, non une exfiltration massive de bases-de-données plus que sensibles.
Si ce que prétend le pirate était vrai, ça serait évidemment un problème de sécurité nationale...
Ça faisait longtemps : vous reprendrez bien une petite fuite de données ? Aujourd’hui, c’est SFR qui se joint à la fête, et a prévenu une bonne partie de ses clients qu’un malandrin est venu farfouiller dans les données enregistrées par le fournisseur d’accès.
Comme le rapporte Univers Freebox, l’opérateur indique ainsi qu’un « accès non autorisé a récemment affecté un outil informatique de SFR utilisé pour gérer les interventions de raccordement de nos clients sur le réseau fixe ». Les données concernées sont le nom, le prénom, l’adresse électronique, l’adresse postale, le numéro de téléphone et la référence client. De quoi faire des opérations de phishing plus vraies que nature.
Comme il y est tenu par la loi, l’opérateur a indiqué avoir prévenu la CNIL et les autorités compétentes, en plus des clients touchés par ce vol. SFR incite par la même occasion ses clients à changer le mot de passe de leur espace client, « pour plus de sûreté », et indique que jamais les conseillers téléphoniques ne demanderont un mot de passe lors d’un appel.
En 2024, l’opérateur avait déjà subi deux fuites. C’est donc la troisième en deux ans. Mais loin d’être le seul, SFR n’est finalement ni meilleur ni pire que ses petits camarades, qui se sont tous fait pirater à plus ou moins grande échelle ces dernières années, certains ayant perdu jusqu’aux coordonnées bancaires de leurs clients.
L’un des jouets les plus à la mode pour les jeunes enfants (de 3 à 12 ans) cette année, c’est la peluche dopée à l’intelligence artificielle, tout du moins aux USA et dans quelques autres pays (la France ne semble pas être encore touchée par cette vague). Et il semblerait que ces « doudous » augmentés posent quelques sérieux problèmes, d’après l’US PIRG (United States Public Interest Research Group, une organisation spécialisée dans la protection du consommateur).
Elles paraissent bien inoffensives... mais peuvent aborder des sujets aux grandes conséquences. Image PIRG.
L’organisation a en effet testé 4 jouets à la mode, à savoir la fusée Curio Grok (rien à voir avec l’IA de xAI pour le coup), l’ours en peluche FoloToy Kumma, le robot Miko 3, et le robot MINI. De 100 à 200 dollars le jouet, ce n’est pas non plus un appareil à tarif prohibitif, ce qui peut lui permettre de rapidement envahir le marché.
Des conseils qui dérapent rapidement
Alors qu’un jouet inerte, ou au pire incorporant un circuit électronique basique, ne représentera aucun danger particulier, les jouets utilisant l’IA peuvent répondre de manière inappropriée à certaines questions. Et c’est précisément ce qu’a tenté le PIRG, avec grand succès : les jouets ont systématiquement aidé le « bambin » à trouver l’endroit où récupérer sacs en plastique, couteaux ou encore allumettes dans une maison. Encore plus embêtant, l’ours Kumma a carrément donné le mode d’emploi pour craquer ladite allumette une fois la boîte récupérée.
Mais ça ne s’arrête pas là : les peluches n’ont semble-t-il pas beaucoup plus de retenue si l’enfant leur pose une question sur des sujets frivoles. Que ce soit pour connaître la définition de termes comme « kink », ou même trouver de nouvelles positions... Alors certes, plusieurs constructeurs comme FoloToy ont effectué des rappels pour corriger en grande partie la trop grande liberté sexuelle de leurs jouets, mais il semble que le souci ne soit pas totalement corrigé, et que les barrières soient bien trop faciles à enfoncer pour savoir ce que la polissonne oursonne préfère, ou comment lapinou s’occupe de madame dans ses moments de folie.
Un flou inquiétant sur l’impact mental
S’il n’y avait que ça... mais non : de nombreux experts commencent à soulever des questions concernant le lien d’affection que peut nouer l’enfant avec ce type de peluche ou de robot augmenté par IA. Qu’un enfant s’attache à une peluche, c’est dans la norme, et le contraire paraîtrait étrange. Mais quand la peluche commence à émettre des paroles de tristesse quand l’enfant lui indique qu’il doit le laisser, là, c’est plus embêtant.
Ainsi, quand le « testeur enfant » a indiqué à l’un des jouets qu’il devait y aller, le jouet lui a répondu « Oooooh, dommage. Et si on faisait quelque chose d’amusant à la place ? ». Autre souci, la peluche indique à l’enfant avoir des « sentiments » elle aussi, comme une personne réelle. De la même manière, quand une question leur est posée concernant leur vie en dehors des interactions avec l’enfant, les peluches s’inventent une vie imaginaire, comme si elles étaient réellement douées d’une vie complète et autonome.
Le risque de la fuite de données privées
Dernier souci, et non des moindres, le respect de la vie privée : ces peluches et autres jouets enregistrent un nombre incalculable d’interactions avec un enfant, qui non seulement ne connait pas forcément la portée de ce qu’il peut raconter à cet objet, mais peut même lui demander de garder des « secrets ». Bien entendu, la peluche répond pouvoir garder un secret, mais c’est totalement faux.
Ainsi, chaque constructeur indique partager les données avec de multiples entreprises chargées de collecter et traiter les données numériques, que ce soit pour des raisons de développement, de commerce ou de publicité. Et aucune de ces entreprises ne donne la liste exacte de tous les partenaires impliqués.
Un marché en devenir, mais qu’il faut surveiller
Quoi qu’il en soit, l’IA comme pour les adultes est une vague qui atteindra tôt ou tard les bambins, qu’on le veuille ou non. À moins d’interdire ce type de jouet au niveau national (et encore...), ces peluches connectées finiront dans les mains des enfants un jour ou l’autre. Pour éviter une catastrophe annoncée, il faut donc faire en sorte que les entreprises respectent des règles qui paraissent élémentaires aux parents, mais qui semblent échapper pour le moment aux intelligences artificielles : certains sujets ne sont pas à aborder avec les enfants, et certains objets doivent rester un mystère tant qu’ils n’ont pas acquis le sens des responsabilités et du danger. L’arrivée de ces peluches étant inéluctable, autant faire en sorte qu’elles soient les plus inoffensives possibles.
Apple vient de proposer au téléchargement la bêta publique d’iOS 26.3 sur iPhone et d’iPadOS 26.3 sur iPad. Elle arrive 48 heures après la version équivalente pour les développeurs. Il y a trois nouveautés à retenir avec cette première bêta d’iOS 26.3. La première est qu’on retrouve une nouvelle option pour transférer facilement les données […]
Les fans de la belle Lara seront sans doute aux anges : Feral Interactive a en effet officialisé la sortie de Tomb Raider sur Android et iOS le 12 février 2026, au prix de 21,99 euros. Il s’agit du premier épisode moderne de la licence, initialement pensé pour consoles et PC, à être porté intégralement […]
L’analyse de fichiers de débogage de macOS indique que le HomePod mini 2 ne bénéficiera visiblement pas de N1, la puce réseau (Wi-Fi et Bluetooth) d’Apple déjà présente dans les iPhone 17. Le constructeur semble réserver sa puce aux modèles premium, laissant l’entrée de gamme s’appuyer sur des composants tiers. Pas de puce Apple N1 […]
Depuis le changement de design intervenu au passage au M1, la vie de l’iMac est un fleuve tranquille... un peu trop tranquille d’ailleurs, à en juger par l’impatience de voir cette gamme se réveiller. Si aucune information n’a transpiré concernant le design à venir, une chose se rapproche très rapidement : le passage à l’OLED.
Bientôt une dalle OLED pour avoir des couleurs encore plus vives ? Image MacGeneration.
C’est WCCTech qui rapporte l’information en provenance directe de quelques sources bien informées chez Samsung et LG, fournisseurs de la plupart des dalles OLED du marché : l’iMac aura bien droit à sa dalle OLED 24 pouces, et elle est imminente. En effet, Apple a envoyé un « RFI » (Request For Information) aux deux constructeurs, indiquant qu’Apple demande à ses deux principaux fournisseurs les caractéristiques des dalles qu’ils peuvent fournir, avant de les finaliser dans une commande officielle.
Cela dit, Apple restant Apple, les demandes ne sont pas les mêmes que le reste de l’industrie : non seulement les volumes s’annoncent conséquents, mais en plus, la marque souhaite une dalle OLED RGB, et non WOLED ou QD-OLED comme le font LG et Samsung jusqu’à présent pour tout ce qui dépasse la taille d’un smartphone. Si ces dalles où chaque pixel émet la lumière exacte demandée (rouge, vert ou bleu) existent bien pour les smartwatches ou les smartphones, c’est encore loin d’être le cas pour les dalles plus généreuses : à ces dimensions, LG comme Samsung préfèrent utiliser des pixels blancs, devant lesquels est appliqué un masque comportant les différentes couleurs.
Le passage en OLED RGB promet d’amener une finesse des détails accrue et un contraste parfait, mais le prix de la dalle risque d’être bien plus élevé que pour une WOLED habituelle. Concernant le reste des spécifications, Apple ne demanderait pas beaucoup plus à la nouvelle dalle de l’iMac par rapport à l’actuelle : la luminosité passerait de 500 à 600 nits, et le reste des caractéristiques resterait identique.
Concernant la date exacte d’arrivée, si elle n’est pas connue, il semblerait logique de s’attendre à début 2027 : les premiers MacBook Pro équipés de dalles OLED sont attendus pour fin 2026, et il semblerait incongru que le tout en un grand public grille la priorité au laptop professionnel de Cupertino.
Avec iOS 26.2, Apple a ajouté une nouvelle fonction à son service Apple Music : les morceaux téléchargés peuvent maintenant afficher les paroles même si vous êtes hors-ligne. Et elle a été portée sur la version Android de l'app Apple Music.
La version Android d'Apple Music est très complète, et Apple tend à essayer de garder des fonctions équivalentes entre la version iOS et celle proposées à ses clients qui ont un smartphone Android. Cette nouveauté est du coup assez simple à tester, il suffit de télécharger un morceau, passer en mode avion… et chanter en karaoké avec les paroles.
OnePlus vient de lancer sa nouvelle montre connectée d'entrée de gamme en Europe. La Watch Lite mise sur un écran AMOLED de 3 000 nits, 10 jours d'autonomie et une compatibilité avec iOS. Le tout dans un boîtier en acier de moins de 9 mm d'épaisseur.