iOS 26 : les nouvelles fonctions pour votre iPhone (ebook) MISE À JOUR : 26.2

Apple a supprimé une fonctionnalité historique d’Apple Plans passée largement inaperçue : les visites urbaines automatisées via Flyover. Introduites il y a plus de dix ans, ces animations permettaient de survoler automatiquement les monuments et quartiers emblématiques de grandes métropoles à l’aide d’images 3D immersives. La disparition de cette option semble coïncider avec le déploiement […]
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Le contentieux antitrust visant Apple et son App Store connaît un nouveau rebondissement majeur. La Cour d’appel fédérale du neuvième circuit américain a en effet décidé de rouvrir l’examen d’une action collective accusant le groupe de Cupertino d’abus de position dominante sur le marché des applications iPhone. Un dossier judiciaire au parcours sinueux L’affaire, connue […]
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Quelques mois après son lancement, OpenAI propose depuis peu ChatGPT Go en France. Cet abonnement facturé 8 € par mois pour les nouveaux abonnés (et peut-être moins si vous êtes déjà abonné) est une formule d’entrée de gamme qui intègre les mêmes fonctionnalités que la version gratuite, mais avec des limites supérieures. ChatGPT Plus, l’offre payante la plus abordable jusque-là, est quasiment trois fois plus chère, même si elle ajoute quelques fonctions supplémentaires et encore plus d’usage des modèles de base.
ChatGPT reste gratuit à la base et on peut même l’utiliser de manière très légère sans compte. Se connecter avec un compte OpenAI permet une utilisation plus intensive des fonctionnalités de base : discussions avec les variantes allégées du grand modèle de langage du moment et créations de textes et images. Il y a toutefois des limites quotidiennes suffisamment basses pour gêner un usage même modéré, en particulier si on veut utiliser des fonctionnalités comme une réflexion prolongée avec les modèles plus avancés.
Jusque-là, il fallait débourser pas moins de 23 € par mois pour lever ces limites, alors l’introduction de la formule ChatGPT Go est une bonne nouvelle à cet égard. Pour 8 € par mois, on a un accès plus large à GPT-5.2 et ses futures mises à jour, on peut créer plus d’images au quotidien, importer des fichiers en plus grand nombre et plus lourds, ou encore utiliser plus souvent le modèle « Thinking », qui offre des réponses plus complexes. Comme toutes les entreprises du secteur, OpenAI se garde bien de définir clairement les limites qui subsistent et son site se contente d’indiquer :
ChatGPT Go inclut des limites d’utilisation plus élevées que l’offre gratuite pour le chat principal et les outils. Ces limites peuvent varier en fonction des conditions du système afin de garantir une expérience fluide pour l’ensemble des utilisateurs.
Seul l’usage permet de déterminer si l’option Go pourrait suffire ou si la formule Plus reste nécessaire. La réponse dépendra sûrement du nombre de requêtes approfondies utilisées chaque jour ainsi que de la taille du contexte, c’est-à-dire du nombre d’informations associées à une demande. Si vous comptez souvent sur ChatGPT pour lire de longs documents ou pour analyser de grandes quantités de code source, vous aurez probablement besoin de monter votre abonnement d’un cran. ChatGPT Plus a d’autres arguments à faire valoir, avec la possibilité d’organiser les échanges en projets thématiques, l’accès à Codex qui sert à générer du code ou à Sora pour créer des vidéos.
Cela dit, si vous vous étiez abonné à ChatGPT Plus et que vous n’utilisez pas ces avantages ou tout simplement que vous souhaitez économiser un peu sur votre facture mensuelle, sachez qu’il est possible de descendre sur la formule Go. Dans mon cas, OpenAI me propose même un tarif réduit, puisque je ne paierais que 4 € par mois, soit quasiment six fois moins ! Voilà qui est tentant, sachant que je n’utilise jamais Sora et rarement Codex et même si j’ai commencé récemment à exploiter les projets, je pourrais m’en passer pour faire de belles économies.
Tous ces forfaits étant sans engagement, rien n’empêche de les tester pendant un mois avant de changer d’avis. C’est vrai pour la formule Go comme pour la Pro, vendue à 229 € par mois pour un usage illimité de ChatGPT (avec tout de même quelques garde-fous techniques) et un accès aux nouveautés en avant-première. C’est sans doute bien trop élevé hors d’un contexte professionnel, mais rien ne vous interdit d’essayer un mois pour trancher.
Tim Sweeney avait promis un retour de Fortnite sur l’iPhone au Japon quand le pays avait annoncé son intention de forcer Apple à ouvrir son smartphone. Maintenant que la loi MSCA a été votée et que l’iPhone va effectivement s’ouvrir aux boutiques alternatives, on apprend finalement qu’il n’en sera rien. Le patron d’Epic Games a détaillé ses raisons sur X et la plus importante est financière : il n’apprécie pas les 5 % qu’Apple peut exiger sur chaque transaction effectuée hors de l’App Store.
La réglementation japonaise permettrait à Epic Games de proposer son jeu phare sans utiliser le système de paiement de l’App Store et donc sans reverser la commission de 15 ou 30 % exigée par Apple. On peut rappeler que c’était en effet le point de conflit entre le créateur de Fortnite et le concepteur de l’iPhone et ce qui avait poussé Tim Sweeney à affronter directement Apple en 2020. À l’époque, une mise à jour avec une boutique qui proposait des achats en direct avait été distribuée, entraînant la suppression de l’app sur la boutique et un long procès qui n’est toujours pas terminé cinq ans plus tard.
Epic Games défie Apple avec des achats directs dans Fortnite
Apple perd son appel contre Epic, mais sauve sa commission sur les achats externes
Depuis, Apple a été contrainte d’assouplir ses règles, en particulier en Europe dans le cadre du DMA. Cela a permis à Fortnite de revenir grâce à des boutiques d’apps alternatives, puis même sur l’App Store, où il est désormais possible de proposer des méthodes alternatives de paiement.
Fortnite est de retour sur iPhone en Europe avec l'Epic Games Store
Après 5 ans d'absence, Fortnite revient sur l'App Store américain
Retour au Japon : pourquoi est-ce que Tim Sweeney refuse finalement d’y lancer Fortnite, s’il peut à la fois compter sur des boutiques tierces et sur des moyens de paiement alternatifs dans l’App Store ? Contrairement aux règles actuellement en vigueur en Europe, les législateurs japonais ont permis à Apple de prélever un pourcentage sur chaque transaction effectuée dans une app installée sur l’iPhone, peu importe son origine. Un développeur devra ainsi reverser 5 % pour les apps distribuées sur une boutique tierce et 15 % s’il veut utiliser un moyen de paiement externe sur l’App Store.
Néanmoins, comme le rappelle MacRumors, la situation va bientôt changer en Europe, où Apple va imposer la même commission de 5 % à partir du 1er janvier 2026. Jusque-là, les développeurs pouvaient opter pour un prélèvement unique de 50 centimes, ce qui était certainement plus intéressant pour une app comme Fortnite, où les joueurs peuvent dépenser régulièrement des sommes parfois importantes. Cet avantage va disparaître en Europe, alors est-ce que le jeu d’Epic Games disparaîtra lui aussi ?
DMA : Apple simplifie l'ajout de liens d’achat externes en Europe et introduit une nouvelle commission
Outre les questions financières, Tim Sweeney critique aussi les écrans systématiquement affichés par iOS lorsque l’on veut sortir du cadre de l’App Store et qui vont sans doute dissuader une partie des utilisateurs. Selon lui, Apple respecte la loi japonaise avec mauvaise foi et n’essaie pas vraiment d’ouvrir son iPhone à la concurrence, en faisant tout pour empêcher l’émergence d’une alternative populaire.
Tim Sweeney n’hésite jamais à utiliser Fortnite comme moyen de pression sur Apple et Google et c’est encore une fois le cas au Japon. Pour autant, le législateur semble satisfait de l’implémentation d’Apple, alors on ne sait pas trop quelle marge de manœuvre il pourrait avoir. Peut-être que ses arguments feront mouche et que le MSCA sera à son tour ajusté en sa faveur…
Nous vous avons parlé récemment de la disparition de la marque Crucial destinée au grand public. L'une des raisons de cette fermeture est liée à la pénurie de mémoire que Micron préfère maintenant destiner à son marché professionnel plus rémunérateur.
La hausse des cours de la DRAM et de la NAND continue et les analystes n'espèrent pas de changement de tendance avant la fin 2026, si tant-est que la demande des centres de données destinés aux calculs "IA" ne continue pas à exploser
Les premières conséquences seront une hausse de prix des appareils électroniques. Selon leur tarif et la marge des fabricants elle sera surtout conséquente pour les produits d'entrée de gamme.
D'ailleurs le chamboulement va aller plus loin. Par exemple, Nvidia va cesser de fabriquer certaines cartes graphiques d'entrée de gamme et va produire de manière privilégiée des cartes plus coûteuses. Ce sera bien plus rentable pour la société, la RAM étant la même sur le plus gros des produits.
Il y aura certainement d'autres annonces du même genre pour les autres produits.
On vous parlait d'une arrivée probable d'un MacBook d'entrée de gamme doté d'une puce A18Pro. Cette tendance pourrait en freiner la sortie à moins qu'Apple ne limite sa RAM au strict minimum ce qui ne serait pas une bonne nouvelle pour l'usage et la pérennité de la machine.
Donc, affaire à suivre dans le futur.
À quelques jours de Noël, on peut encore profiter de bons plans sur des produits Apple. Le MacBook Air M2 est disponible à 749 € à la Fnac et chez Darty. Dans les deux cas, une livraison avant Noël est proposée. C’est un tarif devenu assez habituel, Amazon fait le même, mais en plus le groupe français offre 50 € en carte cadeau.

Chez Darty, il faut utiliser le code MACBOOK50 lors de la commande pour en profiter. Attention à une chose, les conditions d’utilisation de la carte cadeau sont assez strictes : elle est valable uniquement dans les magasins Darty de France métropolitaine, hors darty.com, du 10/01/2026 au 24/02/2026.
À la Fnac, les conditions sont différentes : les 50 € reversés sont réservées aux adhérents Fnac+ et sont valables 30 jours à partir de la réception du produit. Dès le cumul de 1 € sur le compte fidélité, il est possible d'obtenir un chèque-cadeau virtuel Fnac du montant cumulé valable dans les magasins Fnac et Darty participants ainsi que sur Fnac.com.
Même s’il a été lancé il y a trois ans, le MacBook Air M2 reste dans le coup. Il est léger, silencieux, performant et endurant — il tient sans aucun problème une longue journée. Deux générations lui ont succédé, mais la formule n’a pas changé, si bien qu’il est tout à fait recommandable encore aujourd’hui.
Promo : un iPhone 17 Pro à - 11 % et livré juste à temps pour Noël
Il n’est pas trop tard pour faire des économies sur ses cadeaux de Noël Apple. L’iPhone 17 Pro orange est vendu 1 184 € sur Amazon Italie au lieu de 1 329 € chez Apple. Il est affiché à 1 199 € sur Amazon.it, mais une fois les taxes et les frais de livraison calculés, il revient à 1 184 €. Il est livré en France le 24 décembre, juste à temps pour l’emballer et le mettre sous le sapin, donc.

Vous pouvez passer commande sur Amazon Italie avec votre compte Amazon français. Seule la couleur orange est disponible avant Noël.
Si vous l’ignorez, l’iPhone 17 Pro représente le top du top chez Apple. Il a un magnifique écran OLED de 6,3", une nouvelle structure unibody solide, une puissance de feu, un appareil photo ultra complet (enfin, presque) et une excellente autonomie. Les seules critiques qu’on peut lui faire, c’est que son design n’est pas du goût de tout le monde et surtout qu’il est relativement lourd et imposant.
Test des iPhone 17 Pro et 17 Pro Max : le Pro est-il devenu de trop ?
Vos proches ont déjà des iPhone qui tiennent la route ? Une Apple Watch peut faire un très beau cadeau. En plus, c’est moins cher qu’un smartphone. L’Apple Watch Series 11 est à 358 € sur Amazon Italie, soit 20 % de moins que chez Apple.
L’Apple Watch Series 11 est une excellente montre connectée, l’aboutissement d’une dizaine d’années d’évolutions. Les progrès par rapport à la Series 10 sont très minimes, mais l’écart devient nettement plus perceptible face aux générations précédentes. C’est une montre fine et très bien finie, avec une bonne autonomie et de multiples fonctionnalités utiles au quotidien. Si vous voulez le meilleur de l’Apple Watch sans passer à la massive Ultra, vous ne serez pas déçu.
ChatGPT reçoit une petite fonctionnalité bien pratique, avec la possibilité d’épingler des conversations que l’on juge importantes. Quand on commence à utiliser le chatbot d’OpenAI de manière intensive, on peut effectivement finir avec une longue liste d’échanges. Même si le système tente de nommer chaque chat de manière intelligente, on se retrouve vite noyé par le volume et incapable de retrouver rapidement un élément. Les chats épinglés resteront en tête de la liste, une bonne manière de garder sous la main l’essentiel.
La fonctionnalité a été annoncée sur X, où OpenAI précise qu’elle est déployée sur iOS, Android, le web… mais pas le Mac. Bizarrement, alors que ChatGPT avait certainement la meilleure app macOS de la catégorie, l’application semble un peu à l’abandon ces derniers temps ou en pleine phase de transition si l’on veut être optimiste. Quoi qu’il en soit, il ne sera pas possible d’épingler un chat sur le Mac, ni même de voir les chats épinglés sur d’autres appareils en tête de liste, ce qui est plus gênant si on compte utiliser la nouveauté.
ChatGPT annonce le retrait du mode Voice uniquement sous macOS
Sur le web, on épingle un chat en cliquant sur les trois points qui s’affichent à son niveau lors d’un survol du curseur, puis en choisissant la nouvelle option dans le menu contextuel. Sur les appareils mobiles, un tap prolongé sur une conversation affiche également un menu contextuel, où se trouve l’option. S’il n’est pas nécessaire de mettre à jour l’app, il m’a fallu la redémarrer pour que l’option apparaisse sur mon iPhone.
On peut épingler les chats dans la liste globale ainsi qu’à l’intérieur d’un projet. Les données sont logiquement synchronisées entre les différentes apps (sauf sous macOS) et le web. En revanche, on est limité à trois épingles seulement, ce qui semble bien peu. Si on a déjà trois conversations en tête de liste, un message d’erreur suggère ainsi de retirer une épingle pour pouvoir en ajouter une autre.
ChatGPT enchaîne les nouveautés en ce moment. Hier, c’est sa boutique d’apps qui est sortie, avec notamment son intégration à Apple Music. En début de semaine, OpenAI présentait un nouveau générateur d’images amélioré pour répondre à la pression de Google. La semaine dernière, c’était la sortie de la version 5.2 de sa famille de grands modèles de langage, une sortie précipitée pour réagir à la concurrence.
GPT-5.2, partenariat avec Disney : OpenAI fait feu de tout bois pour insister sur sa supériorité
GPT Image 1.5 : ChatGPT rattrape enfin Nano Banana sur la retouche d’images
OpenAI ouvre l’App Store de ChatGPT aux utilisateurs comme aux développeurs
On peut d’ailleurs ajouter à cette liste la sortie aujourd’hui de ChatGPT-5.2-Codex, la dernière version du modèle optimisé pour le développement. D’après les chiffres fournis par OpenAI, ce modèle surpasse tous ses prédécesseurs et serait même « le modèle de programmation agentique le plus avancé à ce jour ».
OpenAI a lancé au début du mois une « alerte rouge » pour reprendre l’avantage technologique, en particulier face à un Google particulièrement agressif. On en voit les fruits, avec de multiples évolutions rapides. Reste à savoir si ce sera suffisant pour revenir à la première place…
En « alerte rouge », OpenAI lancerait GPT-5.2 dès cette semaine
Dans l’écosystème de l’Apple Watch, c’est un petit événement. Bevel, l'une des applications de suivi de santé les plus complètes du moment, change radicalement de modèle économique. La quasi-totalité de ses fonctions est désormais gratuite.
Bevel fait partie de ces applications qui vont plus loin que l’app Santé d'Apple. Elle comble ce qui manque cruellement à la solution native : une véritable analyse des données pour offrir une batterie d’indicateurs quotidiens. Au-delà du simple tableau de bord, Bevel se comporte comme un journal de bord où l’on consigne son activité et ses repas. Entre le coach sportif et le nutritionniste de poche, l'app tente de couvrir tous les angles de la forme physique.
Son interface et sa philosophie s’inspirent ouvertement de Whoop, ce bracelet sans écran qui mise tout sur la récupération et la charge cardiaque. Sur le plan matériel, une Apple Watch dispose pourtant de capteurs similaires. La différence se joue sur le traitement logiciel, et c'est précisément là que Bevel intervient pour transformer la montre d'Apple en un véritable outil de santé et de coaching.
Jusqu’à présent, cette expertise se payait au prix fort : 59,99 € par an. Mais l’éditeur a décidé de changer son fusil d’épaule. Désormais, l’immense majorité des fonctionnalités sont gratuites.
Dans la vidéo d’annonce, Bevel insiste lourdement sur un point : si le service devient gratuit, ce n’est pas vous le produit. L’éditeur martèle qu’il n’a aucune intention de vendre vos données de santé à des tiers. Alors, comment l'entreprise compte-t-elle se rémunérer ?
La réponse tient en deux lettres : IA. Les seules fonctions qui restent payantes sont regroupées sous le label Bevel Intelligence. C'est elle qui génère des plans d’entraînement personnalisés ou des analyses prédictives. Ce choix est pragmatique : l'exécution des modèles d'IA coûte cher en serveurs, contrairement au traitement local des données de santé qui, lui, devient gratuit.
Depuis son lancement fin 2023, Bevel a énormément évolué, mais l'ambition ne s'arrête pas là. L’éditeur travaille activement sur une version 3.0 prévue pour 2026, qui promet de « bousculer à nouveau l'industrie ».
En devenant en grande partie gratuite aujourd'hui, Bevel veut s’imposer comme la référence absolue sur un marché de la santé ultra-dynamique. C'est aussi une manière d’étoffer considérablement sa base d'utilisateurs avant l'arrivée programmée pour l’année prochaine de Health+, le service d’Apple qui pourrait rebattre les cartes.
Health+ : le service de santé d'Apple attendu pour 2026
Bon à savoir : Si vous êtes déjà abonné, ne résiliez pas forcément tout de suite. L'éditeur a précisé que les abonnés actuels bénéficieront d'un statut privilégié.
En l’espace de quelques années, Raycast est devenu l'un des utilitaires les plus populaires sur Mac. Il s’agit d’un lanceur dans la lignée d’Alfred, de LaunchBar ou encore de Quicksilver. Mais par rapport à ses concurrents historiques, Raycast se distingue par son ouverture vers les services tiers et mise énormément sur l’intelligence artificielle.
À la découverte de Raycast, le puissant lanceur multifonctions pour le Mac
Pour les aficionados du logiciel, la courte vidéo mise en ligne par l’éditeur a suscité une certaine effervescence. Si le teaser reste mystérieux, il laisse entrevoir une interface repensée pour se fondre encore davantage dans macOS. L'éditeur semble avoir concocté un mode compact encore plus minimaliste. L’esthétique, plus fine et épurée, adopte les codes visuels récents d'Apple : l'objectif est clairement de proposer un outil qui sait se faire oublier visuellement tout en restant immédiatement accessible sous les doigts.
Mais la véritable "killer feature" suggérée par ces quelques secondes concerne l'audio. Raycast semble prêt à intégrer la dictée vocale avancée directement au cœur du lanceur. Il ne s'agirait plus seulement de lancer des commandes à la voix, mais bien de dicter du texte avec la puissance de l'IA, à la manière de ce que proposent aujourd'hui des utilitaires spécialisés comme MacWhisper ou Wispr Flow. En intégrant nativement une telle fonction, Raycast pourrait bien "sherlocker" quelques applications tierces et s'imposer définitivement comme le centre névralgique de la productivité sur Mac.
Lancés il y a quelques mois, les AirPods Pro 3 figurent sans doute parmi les meilleurs produits lancés par Apple cette année. Toutefois, tout n'est pas parfait pour autant : depuis leur commercialisation, plusieurs dysfonctionnements persistent et n'ont toujours pas été corrigés malgré l'enchaînement des mises à jour.
Comme nous le notions déjà fin octobre, un problème de grésillement — s'apparentant à de l’électricité statique — vient régulièrement perturber l’écoute. Le phénomène est particulièrement audible lorsque la réduction active du bruit (ANC) est activée, mais qu'aucun contenu n’est diffusé. Plus irritant encore, certains utilisateurs rapportent des sifflements aigus intermittents. En ce qui nous concerne, nous avons expérimenté ce bug à deux reprises le même jour ; il ne s'est fort heureusement plus manifesté depuis.
AirPods Pro 3 : un bug sonore qui fait grincer des oreilles
AirPods Pro 3 : certains utilisateurs se plaignent d’un bruit blanc constant
Apple est pourtant au travail, du moins sur le papier. Depuis l'émergence des premiers témoignages, deux mises à jour ont été déployées. La dernière en date, la B30 sortie il y a une semaine, permet notamment d’accéder à la traduction en direct en Europe.
Un nouveau firmware pour les AirPods Pro 2 et 3
Pourtant, le constat reste le même : les retours sur les forums d’assistance indiquent que ces nouveaux micrologiciels n’ont pas corrigé le tir. Les bruits de friture persistent, avec ou sans musique, et de nouveaux griefs font leur apparition, notamment concernant la latence et des problèmes de synchronisation audio lors de la lecture de vidéos.
C’est toute la question qui anime la communauté. Certains clients ont tenté le passage en Apple Store pour un échange standard, mais la déception est souvent au rendez-vous : les écouteurs de remplacement présentent parfois les mêmes symptômes. Cela laisse planer un doute sur la nature du problème : s'agit-il d'un bug profond dans le traitement du signal ou d'un défaut de conception matérielle ?
Fidèle à ses habitudes, Apple reste peu loquace. Les notes de version se contentent de vagues « corrections de bugs et autres améliorations », sans jamais nommer précisément le problème de l'ANC. Pour une paire d'écouteurs vendue à ce prix, le silence de Cupertino finit par devenir aussi assourdissant que les grésillements qu'ils sont censés corriger.
Test des AirPods Pro 3 : un vrai coup de cœur
Quoi qu’il en soit, n’hésitez pas à nous faire part de vos témoignages dans les commentaires si vous rencontrez également ces problèmes !

Apple aurait créé un prototype de MacBook, sans qu'on en connaisse les détails et la configuration, avec une ancienne puce A15 d'iPhone 13.
Ce SoC A15 est similaire coté cœurs CPU, GPU et NPU avec le M2 des Mac, avec moins de cœurs essentiellement. Consommant moins aussi.
La rumeur d'un MacBook 12", ou plutôt 12,9", équipé d'un A18 Pro issu des iPhone 16 Pro, enfle, devient de plus en plus présente.
Et dans les dernières capture de logiciels, ce MacBook vient même avec un numéro de produit J700.
On se souvient du Mac mini DTK équipé du A12z dérivé du A12 des iPhone XS, et évidemment remplacé en production grand-public par le M1 dérivé des A14 des iPhone 12.
Il est évident que ce MacBook devrait bientôt arriver, créant une nouvelle entrée-de-gamme, mais probablement sans Apple Intelligence™ car avec 8 Go de RAM pour limiter la casse.
Les prix de la RAM et des GPU explose, ceux des SSD aussi, les CPU vont suivre: le marché est saturé d'une demande absolument incroyable pour les fermes d'IA dans le cloud.
Il est possible que Apple revoie ses placements tarifaires à la hausse début 2026 à cause de cela...
Début septembre, nous nous étonnions de la disparition soudaine des visites guidées Flyover dans de très nombreuses villes. Ces survols automatisés n’étaient plus au programme, que ce soit sous iOS 18 ou sous les bêtas de son successeur.
Trois mois plus tard, comme le souligne MacRumors, cette fonction est toujours aux abonnés absents. On peut désormais acter la décision d’Apple : la firme a discrètement débranché une fonctionnalité qui, si elle n'était sans doute pas la plus utilisée, restait l'un des fleurons visuels de son application de cartographie.
Il ne faut pas confondre la technologie Flyover (la vue 3D), lancée en grande pompe en 2012 avec iOS 6, et les City Tours (les visites guidées). Ces derniers ne sont arrivés qu'en 2014, avec iOS 8 et OS X Yosemite. L'idée était séduisante : utiliser la richesse de l'imagerie aérienne pour proposer une découverte scénarisée des grandes métropoles.
Pendant une décennie, il suffisait de tapoter sur l'icône Flyover lors de la recherche d'une ville pour lancer le guide. Aujourd'hui, l'option a tout simplement été rayée de la carte. Un ménage de printemps avant l'heure, probablement justifié par des statistiques d'utilisation proches du néant.
Que les amateurs de tourisme virtuel se rassurent : seule la visite automatisée disparaît. L’imagerie Flyover reste disponible dans plus de 350 villes à travers le monde. Vous pouvez toujours admirer les monuments, les parcs et les gratte-ciel avec cette vue plongeante si particulière.
Pour rappel, Apple utilise des clichés capturés par de petits avions pour modéliser ces environnements avec une précision chirurgicale. Une technologie impressionnante qui explique aussi pourquoi certaines zones restent désespérément "plates" pour des raisons de sécurité nationale ou de confidentialité.
En somme, Apple fait table rase pour laisser toute la place à l'expérience « Détails de la ville » (Detailed City Experience). Lancée avec iOS 15, cette cartographie « nouvelle génération » est autrement plus ambitieuse qu'une simple vidéo en boucle : elle propose une modélisation chirurgicale du relief, des marquages au sol précis, des passages piétons en 3D et des monuments dessinés à la main qui s'illuminent délicatement une fois la nuit tombée.
Il serait toutefois de bon ton qu’Apple mette maintenant un sérieux coup d'accélérateur sur le déploiement de cette fonctionnalité. Si le résultat est bluffant, il reste encore trop souvent l'apanage de quelques métropoles triées sur le volet. En France, Paris fait toujours cavalier seul et reste la seule ville à offrir cette expérience complète.
C’est une vieille connaissance que l’on aurait préféré ne pas revoir. Depuis le lancement de macOS Tahoe en septembre dernier, le Studio Display semble pris d’une soudaine passion pour le stroboscope. Un bug agaçant qui, loin de se résorber avec les dernières mises à jour, semble au contraire gagner du terrain.
Le problème n'est pas totalement inédit. Comme le rapporte MacRumors, les témoignages d'utilisateurs excédés s'accumulent sur les forums de support. Si des phénomènes de scintillement avaient déjà pointé le bout de leur nez sur de précédentes versions du système, macOS Tahoe semble avoir définitivement ouvert la boîte de Pandore : ce qui n'était qu'un incident isolé par le passé devient, avec cette mouture, un défaut récurrent.
Nous avons d'ailleurs pu constater le phénomène directement à la rédaction : l'un de nos Studio Display est touché par ces clignotements intempestifs. Et le constat est sans appel : les versions 26.1 et 26.2 de Tahoe n'ont absolument rien réglé à l'affaire. Il est à noter que, selon certains témoignages, ce bogue frapperait également des moniteurs d’autre marque.
Si le bug peut frapper de manière aléatoire, il semble avoir une prédilection pour les contenus multimédias. Le scintillement se manifeste plus souvent lorsque de la photo ou de la vidéo est en jeu. De mon côté, le déclencheur est presque systématique : il suffit de lancer l'application Photos pour que l'écran se mette à vaciller, surtout lors du passage entre des interfaces sombres et des fonds très clairs.
En attendant qu'Apple se décide à publier un correctif — probablement via une mise à jour du firmware de l'écran — une solution de fortune semble porter ses fruits. Chez moi, le problème a été en grande partie résolu par une manipulation simple dans les Réglages Système : décocher l'option « Régler la luminosité automatiquement ».
Il semblerait que le capteur de luminosité ambiante et la gestion logicielle de Tahoe ne fassent plus bon ménage, provoquant ces ajustements brutaux qui ressemblent à des flashs. Ce n'est certes pas une solution idéale pour un écran de ce prix, mais cela permet au moins de retrouver un confort de travail acceptable en attendant des jours meilleurs.