Le 15 juillet dernier, les deux Français Sirius et Léonard Lemaitre, qui développent Straftat, ont poussé une mise à jour majeure pour leur arena shooter gratuit initialement uniquement en 1v1. En effet, on peut dorénavant jouer jusqu’à quatre, soit en équipe de 2v2, soit en free-for-all. Les développeurs indiquent qu’il est aussi possible de faire du 1v2 ou du 1v3.
Comme énoncé dans le billet de blog Steam, en plus de la correction de quelques bugs, cette mise à jour apporte quatre cartes gratuites avec des variantes, mais aussi une quinzaine supplémentaire pour le DLC Weapons, Maps and Hats, qui en contient déjà 150 pour moins de 6 €. Un second DLC, Supporter Edition, propose de soutenir les dev pour moins de 8 €, en fournissant des cosmétiques, un artbook pour faire des cauchemars avant de se coucher, et des fichiers Blender pour… heu… aucune idée.
Ce nouveau contenu semble avoir motivé les foules, car si les pics avoisinaient les 500 joueurs simultanés quelques jours auparavant, depuis la sortie, on est plutôt autour des 1 800. Donc aucune inquiétude, vous trouverez toujours quelqu’un pour vous ridiculiser.
Il n’y a pas à discuter, allez vite essayer Straftat, c’est gratos, et ça vous décoincera des muscles que vous n’avez plus utilisés depuis vos 20 ans. Et si vous aimez bien, filez-leur du blé, ils aimeraient bien développer BABBDI2, la suite de leur FPS d’exploration et de parkour psychédélique et brutaliste, BABBDI.
250 millions de dollars en une semaine au box office mondial, un score Rotten Tomatoes de 83%, une audience qui frôle les 93% de satisfaction : sur le papier, le nouveau Super...
Prévu pour l’été 2025, No Sleep For Kaname Date – From AI: THE SOMNIUM FILES fait partie de ces jeux qui vous intriguent sans prévenir. Quand un jeu Spike Chunsoft sort, on est irrésistiblement attiré par lui. Avec son univers néo-futuriste étrange, ses personnages aussi humains que déconcertants, avec un humour pince-sans-rire parfois borderline, ce visual novel signé Kotaro Uchikoshi (Zero Escape) propose une enquête aussi originale que les deux autres jeux de la franchise AI: THE SOMNIUM FILES. Flirtant habilement entre thriller psychologique, science-fiction et introspection, No Sleep For Kaname Date décide de prendre plusieurs chemins au sein d’un même jeu. Dans ce titre unique en son genre, les frontières entre rêve et réalité s’effacent, et chaque instant passé aux côtés des protagonistes du jeu devient une véritable plongée dans l’inconscient collectif ou vers des contréesextraterrestres.
Test réalisé sur Nintendo Switch grâce à une version numérique fournie par l’éditeur
Kaname Date reprend du service (et ça ne va pas être de tout repos)
Avant d’entrer dans l’histoire de No Sleep For Kaname Date, il est intéressant de s’intéresser d’abord à l’histoire AI: THE SOMNIUM FILES. En effet, il est recommandé de faire ce premier opus avant de se lancer dans No Sleep For Kaname Date. Cependant, il n’est en aucun cas obligatoire de le faire. Cela apportera simplement plus de contexte et de profondeur à l’histoire proposée. Ce premier épisode débute donc dans un Tokyo futuriste, où un tueur en série sème la terreur en laissant derrière lui des corps mutilés – un œil en moins. L’inspecteur Kaname Date, accompagné de l’IA Aiba implantée dans son œil gauche, est chargé de l’enquête. Or, l’affaire prend une tournure plus personnelle, mêlant passé refoulé, drames familiaux et souvenirs effacés. Des personnages hauts en couleur font leur apparition comme Iris Sagan dit A-Set, une idole d’internet et musicienne, Ota Matsushita, un geek dans toute sa puissance fan d’A-Set ou encore de Mizuki Okiura, une jeune fille à fort caractère prête à tout pour ceux qu’elle aime.
No Sleep For Kaname Date prend place quelques temps après la fin d’AI: THE SOMNIUM FILES, mais avant AI : The Somnium Files – nirvanA Initiative. Ce visual novel peut être vu comme une sorte de DLC disponible pour enrichir l’univers et apporter de nouveaux moments auprès de nos protagonistes préférés. Ici, Kaname Date, un homme brisé avec ses plaisanteries douteuses, fait à nouveau équipe avec l’AI-Ball, Aiba, pour s’attaquer à une affaire mystérieuse et sauver Iris Sagan, une idole d’internet qui a été forcée de participer à un dangereux escape game, kidnappée par des extraterrestres. Les extraterrestres veulent trouver les humains les plus qualifiés et les plus capables pour créer une nouvelle espèce sur terre et supprimer l’ancienne. Le but de ces petits hommes verts est de créer un nouvel ordre mondial (New Word Order), un monde meilleur en quelque sorte. L’histoire se veut dans un premier temps légère, mais réservera de nombreuses surprises. Elle adoptera un côté plus mature, mais aussi dérangeant dans certains moments. L’écriture se veut toujours aussi fine et complète de la part de Kotaro Uchikoshi (Zero Escape), qui maîtrise ses thèmes à la perfection.
Iris prisonnière des extraterrestres.
Contrairement à ses prédécesseurs, ce volet adopte une structure plus linéaire, sans les multiples embranchements narratifs habituels. En effet, le joueur suit un chemin principal, ponctué de fins annexes – certaines sombres, d’autres absurdes ou bien profondément émouvantes. Le jeu s’articule entre 3 phases différentes de gameplay qui seront expliquées en détail plus tard dans ce test : l’investigation / QTE, le somnium et le petit dernier, mais aussi nouveau pour la série : l’escape.
La durée de vie du jeu sera d’une dizaine d’heures, qui pourra être revue à la hausse selon le temps que vous prendrez pour trouver les fins ou tout simplement pour résoudre les énigmes de la section escape. L’ensemble est parfaitement maîtrisé, où chaque phase de jeu et de retournement de situation tombent pile au bon moment. On se surprend à s’interroger sur la nature de l’identité, la mémoire, les choix de vie, entre la réalité et la fiction. Une immersion à la fois intime, étrange et percutante.
Trois phases et mille façons de douter
Si No Sleep For Kaname Date est avant tout une expérience narrative, chaque interaction a du sens. Le jeu alterne entre 3 phases différentes de jeu dont la difficulté est modulable en début de partie. Il y a le choix entre le mode story, le mode easy ou le mode standard. Bien évidemment, la difficulté recommandée est le mode standard qui offre une expérience de jeu la plus complète, même si elle reste la plus stressante. Dans le cadre de ce test, nous avons opté pour la difficulté standard qui s’est révélée parfaitement équilibrée. Pour ceux souhaitant vivre l’expérience tranquillement, le mode story est recommandé.
Des QTE sont présents au moment de la phase d’investigation.
Dans la continuité des deux autres jeux, les phases d’Investigation/QTE permettent à Kaname Date de récolter des indices, d’interroger les suspects et de confronter leurs témoignages. Le système reste classique sous forme d’enquête de terrain à la 3e personne en mode point and click, mais cohérent et gagnant : cliquez, observez, recoupez les infos, analysez. Mais c’est là que la narration signée Kotaro Uchikoshi (Zero Escape), fait toute la différence. Chaque échange avec Aiba apporte une touche d’humour, de complicité ou de tension bien sentie. À cela s’ajoutent des QTE bien intégrés : certains moments clés de l’histoire se passent sous forme de cinématique, sont ponctués d’événements à choix rapides ou d’interactions dynamiques. Rien de punitif ici, mais une façon efficace de garder le joueur engagé dans l’instant.
Cependant, impossible de parler d’un jeu AI: THE SOMNIUM FILES sans évoquer les fameuses séquences Somnium. Dans ces phases, on explore l’inconscient d’un personnage, matérialisé sous la forme d’un rêve interactif, délirant et souvent très dérangeant. Chaque élément du décor, chaque interaction suit une logique propre, parfois absurde, parfois terriblement révélatrice. Ce ne sera que quelques temps plus tard qu’on comprendra que chaque élément proposé y trouvera sa place.
Aiba devient alors notre avatar principal et le joueur doit résoudre des énigmes ou choisir des directions pour progresser dans ce labyrinthe mental. Le tout sous une contrainte de temps de 6 minutes maximum, avec un nombre d’actions limité où chacune réduit le compteur, mais vous donne des bonus pour réduire ou augmenter ce délai pour les prochaines actions. Dans No Sleep For Kaname Date, ces moments sont maîtrisés avec brio. L’imaginaire visuel y est toujours aussi inspiré – entre paysages impossibles, symboles brisés et décors qui changent sous nos yeux -, les émotions qu’ils transmettent n’en sont que plus fortes. À chaque réveil, une partie du puzzle se révèle… mais de nouvelles zones d’ombre s’installent. Rien n’est laissé au hasard jusqu’à la fin du jeu.
Il faut résoudre les différents mentals locks pendant la période de Somnium.
Grande nouveauté de ce volet : les moments Escape, qui empruntent clairement aux codes du genre escape game. Cette fois, vous incarnez Iris Sagan, alias A-set, piégée dans une pièce truffée d’énigmes. L’ambiance passe alors en vue à la troisième personne, dans un décor 3D que l’on explore librement à la recherche d’indices, d’objets ou de codes cachés dans chaque recoin de la pièce. Chaque détail peut être la clé, et le joueur est poussé à sortir son papier et son crayon pour noter les éléments cruciaux. Cependant, aucune notion de temps n’est présente. Pas la peine de se précipiter pour trouver la clé de l’énigme, c’est un escape game, mais dans une ambiance plus légère. Ou presque.
Au fil du récit, Iris sera accompagnée d’Ota Matsushita, apportant sa propre sensibilité et ses réactions toujours très caractéristiques face à la pression. Jamais dans les mêmes salles, chacun vivra ses propres énigmes avec des indices différents, mais intrinsèquement liés. L’un comme l’autre devront faire preuve d’observation, de logique et de sang-froid pour progresser dans ces salles piégeuses, jusqu’à la dernière, The Third Eye.
Chaque action coûte un certain temps pendant la phase de Somnium.
Ici, plus de sécurité : un compte à rebours s’installe, la musique s’emballe, le danger est palpable. On sent le cœur qui accélère, les mains qui hésitent, les erreurs qui coûtent cher. Et surtout, une menace claire : si vous échouez, Iris n’en sortira pas indemne. Cette mécanique, inédite dans la licence, apporte une tension nouvelle, tout en conservant l’ADN narratif du jeu. Elle nous fait passer du rêve à la réalité avec une intensité rare.
Plus proche du deuxième opus que du premier
Si No Sleep For Kaname Date s’inscrit dans la continuité directe d’AI: THE SOMNIUM FILES, il ne se contente pas de répéter une formule déjà éprouvée. Bien au contraire, il apporte plusieurs évolutions qui renforcent l’immersion et la richesse du gameplay, tout en conservant l’essence qui a fait le succès de la franchise. D’abord, les fameuses séquences Somnium gagnent en ampleur et en liberté. Les phases de Somnium ressemblent plus au second opus qu’au premier : plus grands, plus ouverts, et parfois non linéaires, incitant le joueur à explorer et expérimenter plus librement. Le rythme s’en trouve allégé, laissant davantage place à la réflexion et à la découverte, plutôt qu’à la notion du temps restant qui s’avère très stressante.
L’autre ajout notable, qui ravira les fans de la série, est l’introduction du Wink Psync. Ce mini Somnium ultra-court, qui nous plonge dans la pensée très spécifique d’un suspect, enrichit la phase d’enquête en offrant des indices précieux souvent sous forme de révélations subtiles. Une nouvelle manière de creuser les profils psychologiques tout en dynamisant le déroulement de l’intrigue.
L’énigme The Third Eye où il sera nécessaire de voir les choses autrement.
Enfin, et c’est sans doute la grande nouveauté de cet opus, la session Escape propose une immersion nouvelle. Cette phase d’exploration en temps réel, ponctuée d’énigmes à résoudre sans pression de temps (sauf dans la séquence finale au suspense palpable), renouvelle le gameplay et invite à une immersion sensorielle complète. Il apporte également un vent de fraîcheur, multipliant la réflexion et obligeant à jongler entre observation fine et logique pure, papier et crayon à la main.
Une expérience sensorielle riche, avec ses quelques imperfections
Visuellement, No Sleep For Kaname Date conserve ce mélange efficace d’ambiance futuriste et de détails soignés. Les environnements, parfois épurés, collent parfaitement à l’atmosphère mystérieuse et psychologique du récit. Les personnages, quant à eux, gagnent en expressivité, renforçant l’immersion dans cet univers à la fois familier et décalé. Toutefois, on regrette que la Nintendo Switch ne tire pas pleinement parti de ses capacités, notamment avec un écran tactile qui reste sous-exploité, là où une interaction plus intuitive aurait pu améliorer le confort de jeu notamment dans les sessions Escape.
La musique accompagne parfaitement l’expérience, notamment lors des moments de tension où elle s’emballe avec justesse. Le thème d’introduction, mélancolique et envoûtant, marque durablement l’esprit, posant dès les premières minutes une ambiance particulière qui suivra tout le long du jeu. L’ambiance sonore générale, souvent discrète mais efficace, soutient bien le rythme de l’aventure sans jamais en faire trop. Et même si elle ne manque pas de charme, elle n’offre pas une expérience aussi forte qu’à travers un Zero Escape, un Danganronpa ou un Ace Attorney. Le voice acting a été conservé d’un opus à un autre, ce qui ravira plus d’un fan, toujours d’une grande qualité et aussi déjantée que les autres opus.
Une énigme à première vue pas si simple que prévu.
Côté positif, le jeu est fluide, avec un gameplay sans accroc. Le système de récapitulatif en début de session de jeu est bien pensé et permet de faire des sessions courtes comme longues, un vrai plus pour les joueurs occasionnels. Le tutoriel intégré à chaque nouvelle mécanique d’énigme facilite la prise en main, même pour les novices, et la possibilité d’ajuster la difficulté en cours de session Escape évite la potentielle frustration.
Cependant, quelques défauts subsistent. Le plus notable reste l’absence totale de prise en charge du français, que ce soit à l’écrit ou à l’oral, ce qui pourra freiner une partie du public francophone. Les récapitulatifs ne sont pas sous-titrés, ce qui peut poser problème à ceux qui souhaitent suivre l’intrigue sans maîtriser parfaitement l’anglais et ayant oublié ce qui s’est passé lors de la dernière session de jeu. Par ailleurs, certaines énigmes, notamment celles de la section The Third Eye, se montrent particulièrement ardues, demandant réflexion et persévérance. Si la difficulté reste globalement cohérente et progressive, elle pourrait en décourager certains, surtout en anglais où le sens est primordial.
Aiba toujours présente, même si le Somnium semble étrange.
Enfin, on note quelques rares bugs au niveau des transitions entre lieux pendant la phase d’investigation et lors des récaps, sans que cela ne gâche vraiment l’expérience. En termes de durée de vie, No Sleep For Kaname Date est plus court que ses prédécesseurs, proposant une aventure d’une dizaine d’heures environ, contre une trentaine pour le premier opus, et environ 25 heures pour le second, mais cela reste en phase avec son statut ressemblant à un DLC narratif riche en contenu supplémentaire.
Verdict
No Sleep For Kaname Date est un visual novel qui mêle habilement enquête policière, exploration onirique et escape game, offrant une expérience riche et immersive. Sa narration signée Kotaro Uchikoshi brille par son écriture fine, ses dialogues pleins d’humour et ses retournements surprenants, tandis que les mécaniques de gameplay, variées et bien équilibrées, maintiennent le joueur en haleine tout au long de la dizaine d’heures de jeu. Malgré quelques défauts, dont l’absence de traduction française, une durée plus courte que ses prédécesseurs, et des énigmes parfois trop corsées, le titre reste fluide et captivant. Ce visual novel ravira les fans de la série comme les nouveaux venus en quête d’une expérience narrative profonde, teintée d’énigmes et de mystère. Une belle réussite, à (re)découvrir sans hésitation.
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World War Z VR – L’apocalypse zombie en solo est prévue pour le 12 août prochain
C’est World War Z en VR avec beaucoup moins de de zombies à l’écran et toujours autant de skins, mais ça n’en reste pas moins une expérience qui s’annonce plutôt fun.
Dixotomia – La guerre contre les vampires débutera le 21 août
Découvert l’année dernière et initialement prévu pour fin d’année 2024, Dixotomia, un jeu d’aventure et de science-fiction avec des vampires pour ennemis, sortira finalement en accès anticipé fin août.
MEMOREUM – Le FPS VR d’action et d’horreur sortira le 9 octobre
Alors que vous sortez d’un sommeil cryogénique, une infection d’origine inconnue engendre des créatures hideuses et assoiffées de sang dans un vaisseau spatial, qu’est-ce qui pourrait mal se passer ?
SMASHER – Le rail shooter hyper flashy avec un style voxel est prévu courant octobre
Si d’ici là vous n’avez pas perdu la vue en visionnant la bande-annonce, SMASHER est un rail shooter où des hordes d’ennemis débouleront pour vous faire la peau.
What Comes After VR – Une expérience narrative avec un gunplay et des graphismes tout pourris annoncée pour cette fin d’année
Sorti l’année dernière sur Meta Quest, Zero Caliber 2, le COD-like VR, débarquera dans une version remasterisée sur Steam dans le courant du troisième trimestre 2025.
REACH – Une aventure prometteuse qui se la pète un peu trop
Bien que l’expérience présentée semble plutôt sympa, il faudrait peut-être un peu se calmer sur les superlatifs et autres termes marketeux présents sur la page Steam du jeu.
Of Lies and Rain – Un monde postapocalyptique entre le réel et le numérique
Spécialisé dans le multi VR, le studio Caveman dévoile du gameplay de leur dernier jeu tiré de leur licence Contractors, Showdown : ExfilZone, un savant mélange d’extraction shooter et de battle royale intégrant de la monnaie virtuelle, sorti l’année dernière.
ColdVR – Le cousin germain de SUPERHOT a reçu une mise à jour
D'après une nouvelle règle instaurée sur Steam, les partenaires bancaires de la plateforme commerciale ont désormais le droit d'exiger le retrait de titres pornographiques qui contreviennent à leurs règles. Pour aller jusqu'où ?
Après Silent Hill, Forbidden Siren, Gravity Rush et Slitterhead, Keiichiro Toyama devrait pouvoir inscrire au moins une ligne de plus à son CV. Le vétéran de Konami et PlayStation vient de confirmer que son studio a commencé à travailler sur un nouveau projet, qui ne sera toutefois pas une suite à Slitterhead.
Comme annoncé fin mai, une nouvelle mise à jour conséquente pour l’excellentissime tactical shooter Ready or Not est sortie. À la clef, deux nouvelles cartes issues de la période d’accès anticipé, Hunger Strike et Stolen Valor, et quatre armes :
Le lance-grenade à barillet M32A1, pour balancer gaz CS et flash avec allégresse
Le pistolet MKV .50AE, un 1911 chambré en .50 Action Express, comme le Desert Eagle
Le TRPL, un pistolet à balles de poivre comme nouvelle option non-létale compacte
Nouvelle feature également, l’ajout de trois modes de difficulté influant sur le comportement et la létalité des IA amies et ennemies. On n’a pas encore pu mesurer l’impact réel de ces différents modes, et on espère que c’est plus qu’un gimmick pour faire plaisir aux consoleux.
En effet, cette update est une conséquence de la sortie du jeu sur consoles. Et si on accueille volontiers l’ajout de contenu et la trouzaine de corrections de bugs, d’autres aspects sont moins sympathiques. Au-delà de la censure de certains éléments jugés trop choquants, des changements bien moins appréciables ont directement altéré la qualité graphique de Ready or Not dans un souci d’optimisation. Si le patch note mentionne que les LODs, c’est-à-dire le niveau de détail affiché selon la distance entre le joueur et un objet, ne sont pas finaux, on constate une impression de flou qui peut ne pas venir uniquement de ce réglage. Dans l’immédiat, la seule solution semble d’augmenter la résolution avec un outil comme le DSR de Nvidia, pour ensuite adapter l’image à la résolution de votre écran. On appelle aussi ça du supersampling, mais cette option n’est pas disponible directement en jeu.
Si on ne peut pas décemment reprocher à Void Interactive de vouloir sortir leur produit sur console, on regrette amèrement que le studio prenne leurs premiers clients, dont certains ont acheté le jeu en accès anticipé il y a presque quatre ans, pour des truffes.
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Souvent en promotion lors des récents soldes, Les Fourmis reçoit une mise à jour spectaculaire qui devrait vous encourager à relancer le jeu. Bien que cette dernière s’adresse essentiellement aux joueurs qui ont déjà terminé l’aventure, cela fait toujours plaisir de recevoir une mise à jour gratuite apportant du contenu supplémentaire de qualité. Avec l’ajout d’un mode coopératif, de modes de jeu solo, d’un nouveau champ de bataille et d’un nouveau pouvoir, il y aura de quoi faire.
Sans plus tarder, voici le journal des modifications complet de cette nouvelle mise à jour disponible sur consoles et PC :
Nouveautés
Mode coopératif : Joignez vos forces à celles d’un ami dans des batailles 2 joueurs contre 2 IA, contre une IA améliorée.
Mode Horde : Seul ou avec l’aide d’un ami, combattez des vagues incessantes d’ennemis de plus en plus puissants. Combien de temps parviendrez-vous à défendre votre colonie ?
Mode Défi : Rejouez certaines missions de l’histoire dans une difficulté plus élevée pour obtenir le meilleur score possible. Chaque action compte !
Nouvelle carte : The Riverside, conçue spécialement pour les batailles à grande échelle, cette bande de terre est l’endroit idéal pour les combats en 2 contre 2.
Nouvelle unité : Le Paussus : une nouvelle unité de soutien fait son entrée dans le jeu ! Envoyez-la dans le nid de votre adversaire pour voler de la nourriture et des améliorations sous son nez.
Nouveau pouvoir – Tempête de phéromones : Génère une énorme fumée qui empêche l’affichage d’informations à l’intérieur. Parfait pour distraire votre adversaire pendant que votre Paussus prend place dans l’un de ses nids.
Qualité de vie : Aperçu de la carte et paramètres
Chargements : Vous pourrez désormais enregistrer vos paramètres de puissance et d’unités et les charger lorsque la carte est sélectionnée en JcJ.
Équilibrage
Les unités volantes, telles que le scarabée rhinocéros, peuvent désormais être envoyées directement dans l’un des nids de l’adversaire.
Améliorations de l’information : Beaucoup coûtent désormais moins cher et ont été modifiés pour contrer l’effet de la tempête de phéromones.
Les pucerons accordent désormais un boost de mouvement à vos légions lorsqu’elles se déplacent.
Les escargots se déplacent désormais 30 % plus vite.
Les doryphores subissent désormais 5 à 10 % de dégâts en moins.
Les frelons reçoivent désormais 10 à 15 % de dégâts supplémentaires de la part des artilleurs.
Toutes les nouveautés décrites ci-dessus ont été résumées dans une nouvelle bande-annonce :
Pour rappel, Les Fourmis est disponible sur PS5, Xbox Series X|S et PC.
Le 6 juin dernier sortait Splitgate 2, la suite attendue au tournant du FPS de 1047 Games. Un mois et demi plus tard, le titre subsiste difficilement, surtout pour un free-to-play. C’est à se demander si les 400 000 dollars a priori déboursés auprès de différents streamers et créateurs de contenu ont été bien investis…