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TEST Yooka-Replaylee : une aventure remise au goût du jour avec la manière
Pour la deuxième fois en huit ans, la suite spirituelle de Banjo-Kazooie revient dans une version modernisée sur les consoles de dernière génération et PC. En effet, Playtonic Games nous propose Yooka-Replaylee en plein cœur d’un mois d’octobre particulièrement chargé en nouveautés. On retrouve ainsi nos deux héros emblématiques dans une aventure déjà bien connue, mais cette fois accompagnée d’une nette progression sur le plan technique.
Test réalisé sur PS5 Pro grâce à une version numérique fournie par l’éditeur
Un premier épisode en quête de rédemption
Comme nous l’évoquions dans notre introduction, Yooka-Replaylee n’est pas un nouveau jeu à proprement parler, mais bien le remake de Yooka-Laylee. Sorti en 2017 sur la génération PS4/Xbox One, ce jeu de plates-formes avait reçu un accueil plutôt mitigé de la part de la presse spécialisée et des joueurs. Et pour cause : l’ensemble manquait de cohérence, avec un gameplay rigide et une réalisation en demi-teinte, même pour l’époque et ce, malgré une colorimétrie globalement enthousiasmante. Deux ans plus tard, un second épisode voyait le jour, radicalement différent dans sa formule. Cette fois-ci, le gameplay s’inspirait des classiques du genre en 2D, à la manière de Mario Bros ou Rayman. Une vraie réussite, saluée aussi bien par les joueurs que par la presse.
Aujourd’hui, notre test est consacré au remake du tout premier épisode, désormais rebaptisé Yooka-Replaylee. Le nom de ce portage joue habilement avec les notions de reboot et de rejouabilité — et il faut bien admettre qu’il lui va plutôt bien. Car soyons honnêtes : le premier épisode n’avait pas marqué les esprits, et cette refonte représente un véritable défi. Pour les amateurs de jeux de plates-formes que nous sommes, une question s’impose : comment transformer un jeu moyen, sans réel attrait, en un titre abouti qui coche toutes les cases du genre ?

Disponible sur les consoles de dernière génération, dont la Nintendo Switch 2 et le PC, Yooka-Replaylee s’impose comme une véritable démonstration du fait que le gameplay reste le cœur de toute production vidéoludique. Et petite cerise sur le gâteau : des versions physiques sont bel et bien prévues, avec une sortie annoncée pour le 18 décembre 2025. Attention toutefois, leur prix sera nettement supérieur à celui des éditions numériques. Pour faire le point, il faudra débourser 29,99 € pour l’édition numérique — avec une remise de 10 % accordée aux anciens possesseurs du jeu — tandis que les versions physiques seront plus onéreuses. Comptez 49,99 € pour la version PS5 en boîte, et 54,99 € pour la mouture Nintendo Switch 2, qui aura l’avantage d’être proposée sur une véritable cartouche, et non sous forme de carte clé de jeu. Maintenant que les présentations sont faites, il est temps de rentrer dans le vif du sujet.
Une refonte totale qui ne déplaît pas la rétine
Le premier aspect — et non des moindres — mis en avant lors des différentes bandes-annonces concerne la partie technique. Ne tournons pas autour du pot : Yooka-Replaylee est un très beau jeu de plates-formes, même si l’on pourra lui reprocher quelques textures un peu ternes par endroits.
Comme pour l’œuvre originale, le titre repose sur Unity, et non sur l’Unreal Engine comme beaucoup de productions récentes. Cela n’empêche pas cette nouvelle version d’offrir une réalisation visuelle aboutie, avec une profusion de détails, une haute résolution et un framerate parfaitement stable : 4K et 60 FPS sans faillir sur notre machine de test. Les jeux de lumière bénéficient également d’une nette amélioration, avec une gestion des éclairages bien plus réaliste et immersive. À noter pour les joueurs intéressés par la version Nintendo Switch 2 : il faudra pour l’instant se contenter d’un framerate bloqué à 30 FPS, bien que stable. Enfin, précisons que le jeu ne bénéficie d’aucune optimisation spécifique sur PS5 Pro.

Aucun mode graphique n’est à sélectionner : pas de souci donc, quelle que soit la plateforme choisie. Que ce soit dans des environnements clos ou ouverts, le titre ne montre aucun signe de faiblesse, et les nouvelles téléportations disponibles s’effectuent en seulement quelques secondes. Rien que pour l’aspect fluidité et confort de jeu, cette nouvelle version marque un véritable bond en avant. Manette en main, les sensations sont également bien différentes de celles de la version d’origine. On profite enfin d’un personnage maniable à souhait, moins rigide et surtout bien plus précis dans ses sauts. C’était l’un des points faibles du jeu original, et on ne peut s’empêcher de penser que Yooka-Laylee aurait dû sortir dans cet état… il y a déjà huit ans.
En dehors de l’aspect plateforme, désormais bien plus maîtrisé grâce à des sauts précis et fluides, on retrouve notre caméléon et sa palette de mouvements habituels : sauter, frapper, rouler, rebondir… De nombreuses techniques sont à assimiler, mais pas d’inquiétude : un petit carnet consultable à tout moment répertorie l’ensemble des actions disponibles. De plus, lorsque vous rencontrerez pour la première fois une plateforme apparemment hors d’atteinte, le jeu vous indiquera automatiquement la combinaison de touches à effectuer. D’autres activités viennent enrichir l’expérience, comme des courses, des combats de boss ou encore des phases en appareils volants. L’ensemble est bien équilibré, et la diversité des séquences apporte un véritable bol d’air frais : on n’a jamais l’impression de répéter les mêmes actions.

Le principal problème qui subsiste concerne la gestion de la caméra, toujours aussi capricieuse dans l’ensemble. Présentée par les développeurs comme l’un des piliers de cette refonte, elle montre pourtant des signes d’instabilité dès que l’on s’approche de trous, de rebords ou de zones non prévues pour l’exploration. Dans ces moments-là, elle tend à reprendre le contrôle sur notre gestion via le stick droit, se plaçant parfois derrière un élément du décor ou une texture, ce qui empêche de voir correctement notre personnage. Un défaut regrettable, surtout dans un jeu de plates-formes où la lisibilité est essentielle. Espérons que ce souci majeur sera corrigé rapidement par le biais de mises à jour.
Des ajouts minoritaires mais bien pertinents
Vous l’aurez compris, Yooka-Replaylee bénéficie de plusieurs nouveautés, tant sur le plan technique que sur celui de la rejouabilité. Mais d’autres ajustements plus discrets sont également de la partie. Car nous ne l’avions pas encore précisé : le titre est un jeu de plates-formes en 3D avec une vue légèrement plongeante. On y incarne Yooka, un caméléon vert, accompagné de Laylee, sa fidèle chauve-souris au nez rouge, dans une quête visant à rassembler les pages d’un précieux livre. Bien entendu, de nombreux ennemis — parfois effrayants, souvent redoutables — viendront se dresser sur notre chemin. Si le jeu a bénéficié d’une légère réécriture, on peut toutefois lui reprocher l’absence totale de doublages, même en anglais. Chaque personnage rencontré déclenche une interaction textuelle, et il est regrettable qu’aucune voix ne vienne accompagner ces dialogues — un ajout qui aurait été particulièrement utile pour les joueurs les plus jeunes.
Finalement, la structure de Yooka-Replaylee rappelle celle de Super Mario Odyssey. Bien que les deux titres ne jouent pas dans la même catégorie, les cinq mondes proposés sont agréables à explorer, et nous avons bouclé une première partie en une dizaine d’heures. Comptez environ le double pour atteindre les 100 % et décrocher le précieux trophée platine. La durée de vie globale est donc satisfaisante, d’autant plus que chaque monde possède sa propre identité. De la forêt tropicale aux étendues enneigées, en passant par un marécage, les environnements ne sont pas révolutionnaires, tout comme la direction artistique, mais ils restent plaisants à parcourir. La chasse aux collectibles — pièces de puzzle, argent, pages et bien d’autres — apporte une vraie dynamique à l’exploration. Et pour une trentaine d’euros, le contenu proposé est généreux. La monnaie récupérée permet d’obtenir des améliorations… ou au contraire, de corser l’expérience pour ceux qui trouvent le jeu trop facile. Une belle initiative qui ajoute une touche de personnalisation bienvenue.

Bien que cela ne soit pas une nouveauté, le mode coopération est toujours présent. Désormais devenu une tradition — malheureusement — dans le genre, le second joueur accompagne le joueur principal à distance, sans incarner un personnage visible à l’écran ni bénéficier d’un écran scindé comme à la belle époque. Une formule minimaliste, mais fonctionnelle. La véritable nouveauté liée au gameplay réside dans l’apparition d’une carte complète et de points de téléportation. On peut enfin se déplacer rapidement d’un point A à un point B sans devoir parcourir l’intégralité de la zone, ce qui change sensiblement notre façon d’aborder l’exploration. La carte permet également de mieux visualiser les objectifs restants, ce qui améliore la lisibilité globale de la progression. Enfin, côté bande-son, l’OST propose des thèmes plus entraînants qu’auparavant, agréables à écouter, même s’ils ne marqueront pas durablement les esprits.
Verdict
Yooka-Replaylee est une aventure amusante que nous avons parcourue avec un plaisir certain. Bien que quelques problèmes subsistent — notamment avec une caméra parfois capricieuse — la refonte visuelle est réussie, et les ajustements de gameplay permettent de redécouvrir le titre dans de bien meilleures conditions qu’en 2017. Cependant, le contenu proposé reste sensiblement identique à la version d’origine, ce qui pourra décourager les joueurs ayant déjà exploré l’épisode de fond en comble à investir une seconde fois dans cette production. Une aventure que nous recommandons donc aux nouveaux venus, amateurs du genre, mais qui s’avère plus dispensable pour les autres.
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Des FPS pour le Steam Néo Fest d’octobre 2025
C’est reparti pour le Steam Néo Fest, comme tous les trois mois. Cette année, on a encore moins de temps que d’habitude pour vous faire une sélection, alors n’hésitez pas à partager vos trouvailles en commentaires. On n’a pas encore eu le temps de se pencher sur les démos, mais celles qui nous tentent le plus sont celles de Painted in Blood (parce que ça a l’air bien) et Painkiller (parce que ça a l’air nul).
Painted in Blood
Genre : Rétro-FPS
Il arrive dans moins de 10 jours, et on l’attend de pied ferme. On a tout de même lancé la démo pour voir ce que ça donnait, et c’est très prometteur… si on parvient à résoudre la première énigme. Sinon, côté visuels, déplacements et combats, c’est du tout bon !
Painted in Blood sur NoFrag // Steam // Date de sortie : 23/10/2025
Road to Vostok
Genre : Extraction shooter solo
Le fameux extraction shooter solo développé par un développeur solo, aux ambitions énormes. Mais le truc, c’est qu’il est vachement fort, et même s’il ne tient plus trop les deadlines initiales, le projet semble bien avancer. Cette nouvelle démo est la dernière avant l’arrivée de l’accès anticipé. Bon, pour l’instant, aucune date n’a encore été définie, mais on peut voir sur la roadmap que deux phases de test sont prévues d’ici là.
Road to Vostok sur NoFrag // Steam // Date de sortie : Non connue
Shell Soldier
Genre : Fast-FPS
Comme prévu lors du Brutal Indies Unleashed Showcase, Shell Soldier sort sa démo. Il s’agit d’un fast-FPS avec du bullet time, qui semble pas mal s’inspirer de F.E.A.R. ou Severed Steal. Intéressant sur le papier.
Shell Soldier sur NoFrag // Steam // Date de sortie : Non connue
Painkiller
Genre : Coopération
Le seul rapport avec le jeu mytique de People Can Fly, c’est son nom et l’arme de corps à corps. Pour le reste, on est sur un jeu coop qui ne donne pas très envie. Dites nous si c’est pas si nul, finalement.
Painkiller sur NoFrag // Steam // Date de sortie : 21/10/2025
’83
Genre : Milsim
La démo est arrivée un peu en avance, mais uniquement sur des créneaux à la con, histoire que seules quelques personnes puissent se rendre compte à quel point c’était moche. On a pu le constater avec une certaine hilarité hier, en découvrant que la pixélisation dégueulasse n’était pas un effet de style, mais bien parfaitement involontaire. Difficile de se concentrer sur le gameplay avec une technique visuelle aussi à la ramasse, mais on a tout de même pu entrevoir un concept qui tient la route — sans pour autant soutenir la comparaison avec des jeux sortis depuis une dizaine d’années. On comprend maintenant pourquoi les financeurs avaient préféré tirer la prise quand Antimatter Games travaillait dessus.
’83 sur NoFrag // Steam // Date de sortie : Q4 2025 en accès anticipé
Citizen Pain
Genre : First Person Slasher
On dirait que les First Person Slasher ont le vent en poupe : Citizen Pain nous place dans un univers dark fantasy donner de grands coups d’épée et de pied dans nos adversaires. Ça a l’air moins technique qu’un Chivalry, mais c’est peut-être tout de même sympathique.
Citizen Pain sur NoFrag // Steam // Date de sortie : 05/12/2025
Klostyn
Genre : Rétro-FPS
Développé sous Godot Engine, Klostyn est un rétro-FPS qui tâche, et il est adoubé par David Szymanski, le papa de Dusk. C’est donc sans doute plutôt correct.
Klostyn sur NoFrag // Steam // Date de sortie : Non connue
Project Warlock: Lost Chapters
Genre : Rétro-FPS
Suite directe du premier épisode, Project Warlock: Lost Chapters nous permettra d’incarner à nouveau le maître sorcier qui est prêt à en découdre. À l’aide d’armes et de sorts inédits, le Warlock voyagera dans différents environnements afin d’abattre les divers ennemis et boss qui les peuplent. Reprenant les mêmes mécaniques de gameplay et la direction artistique de Project Warlock, ce nouvel épisode s’annonce plutôt fun sans pour autant révolutionner le genre. À la rédac, on a plutôt apprécié la démo qui se déroule dans l’univers de la piraterie et avons hâte d’en voir davantage.
Project Warlock: Lost Chapters sur NoFrag // Steam // Date de sortie : Non connue
Aerial_Knight’s DropShot
Genre : Fast-FPS
Le concept avait l’air marrant et la direction artistique était plutôt pas mal, mais c’est parfaitement injouable, car on ne peut pas régler la sensibilité de la souris. En plus, c’est une sorte de railshooter sans grand intérêt.
Aerial_Knight’s DropShot sur NoFrag // Steam // Date de sortie : Non connue
Bullet Ballet
Genre : Rétro-FPS
Avec sa direction artistique plutôt jolie et inspirée de la bande dessinée, Bullet Ballet est un rétro-FPS se déroulant dans le Far West qui nous narre l’aventure de Johnny en quête de réponses sur le passé de son père. En voyant ce jeu, il est difficile de ne pas se souvenir d’un certain Fallen Aces, un rétro-FPS embrassant la thématique du polar, sorti en accès anticipé il y a un an. Sinon, le gameplay a l’air pas mal, avec des projections d’hémoglobine un poil abusé et un univers des cow-boys qui semble bien retranscrit, comme Outlaws et Wanted 3D: Dead or Alive.
Bullet Ballet sur NoFrag // Steam // Date de sortie : Non connue
Tales of the Bullet Knight
Genre : Rétro-FPS
On ne va pas vous mentir, on a juste été attirés par l’esthétique un peu atypique de Tales of the Bullet Knight. Ça ressemble à un rétro-FPS plutôt classique, mais si ça se trouve, c’est à chier.
Tales of the Bullet Knight sur NoFrag // Steam // Date de sortie : Non connue
SPORTAL
Genre : Rétro-FPS
Emprisonné dans un monde où les mythiques monstres des films des années 90 coexistent, SPORTAL est un roguelite à la première personne où vous devrez survivre en utilisant les équipements de sport tels que la batte de baseball, la crosse de hockey, le club de golf, les balles… ainsi que des tenues qui y sont associées. Original par sa thématique liée au monde sportif et des figures du cinéma d’horreur, les mécaniques de gameplay semblent toutefois classiques et plairont probablement aux aficionados de rétro-FPS.
SPORTAL sur NoFrag // Steam // Date de sortie : Non connue
It Consumes
Genre : Arena-FPS
Prévu pour le 21 janvier 2026, It Consumes est un FPS roguelite où vous devrez affronter des hordes d’ennemis en les repérant uniquement à l’aide des échos d’un cœur. À chaque victoire, vous pourrez améliorer votre arsenal et votre artefact pour lutter efficacement contre les prochaines vagues d’ennemis. Les mécaniques paraissent plutôt basiques, à voir si ce clone de Devil Daggers dans le noir arrivera à se distinguer auprès des joueurs.
It Consumes sur NoFrag // Steam // Date de sortie :21/01/2026
Crisol: Theater of Idols
Genre : Survival Horror
FPS horrifique s’inspirant du folklore hispanique, Crisol: Theater of Idols vous mettra dans la peau d’un soldat nommé Gabriel qui aura la particularité d’utiliser son sang comme munitions pour ses armes. Missionné pour découvrir les secrets de l’île de Tormentosa, vous devrez combattre des marionnettes humanoïdes tout en prêtant attention à la gestion de votre sang pour ne pas crever comme une merde et ne pas vous retrouver à sec. À l’instar des robots, on espère que ces ennemis ne seront pas des éponges à balles et ressentiront bien l’impact de nos tirs. À la rédac, on est pas fans de jeux d’horreur mais Crisol: Theater of Idols reste malgré tout intriguant de part son univers et son gameplay.
Crisol: Theater of Idols sur NoFrag // Steam // Date de sortie : Non connue
The Last Caretaker
Genre : Survie & Craft
Ah, le jeu de survie réglementaire de tout article récapitulatif de NoFrag. Il se pourrait que l’un des rédacteurs serait possiblement intéressé. On verra d’ici quelques jours s’il a lancé la démo. Pour savoir ce que c’est, consultez nos précédentes news, on n’a pas que ça à faire.
The Last Caretaker sur NoFrag // Steam // Date de sortie : 06/11/2025
The Midnight Walkers
Genre : Extraction / zombies
Découvert à cause d’une vidéo de présentation absolument atroce, on ne s’attend pas à grand chose avec The Midnight Walkers, un extraction shooter contre des zombies dans des endroits un peu restreints. Si ça se trouve, ce n’est pas aussi nul qu’il n’en a l’air.
The Midnight Walkers sur NoFrag // Steam // Date de sortie : 21/11/2025
Pathologic 3
Genre : Enquête
Après un prologue sorti en mars dernier, Pathologic 3 nous présente une démo, avant une sortie en janvier prochain. D’après notre expert Stuka, le prologue était chouette, car il proposait une approche différente des précédents jeux. À voir.
Pathologic 3 sur NoFrag // Steam // Date de sortie : 09/01/2026
Forefront
Genre : Battlefield-like en VR
C’est Battlefield, mais en VR. Et il paraît que c’est pas mal.
Forefront sur NoFrag // Steam // Date de sortie : Non connue