League of Legends : le jeu de cartes Riftbound parlera bientôt français (et tentera de vider votre compte en banque)




Alors que la cérémonie des Game Awards approche à grand pas puisqu’elle sera diffusée cette nuit, des sources internes à Kotaku révèlent une fourchette tarifaire très élevée pour un spot de trois minutes.
Un article publié par Kotaku met en lumière le prix extrêmement élevé que doivent payer les éditeurs pour y diffuser une bande-annonce. Deux sources anonymes à Kotaku affirment qu’un spot de trois minutes lors de la cérémonie peut aujourd’hui dépasser le million de dollars, une somme astronomique que tous les éditeurs ne peuvent pas se permettre de débourser.
Les coûts élevés s’expliquent en partie par l’ampleur de l’événement : les sociétés de production, des prestataires techniques, la sécurité de l’évènement et etc. Par ailleurs et contrairement aux grands shows télévisés financés en partie par la publicité traditionnelle, la cérémonie repose presque entièrement sur le streaming, sans coupures publicitaires. Il faut donc compenser en monétisant les emplacements.
L’an dernier, la cérémonie aurait généré 14 millions de vues sur YouTube, ce qui équivaut à un CPM approximatif de 70 dollars, un niveau de CPM très onéreux mais qui s’explique par l’attention publicitaire très présente lors de ce genre d’évènements. À titre de comparaison, sur un emplacement publicitaire de Netflix en France avec un ciblage restreint, les CPM oscillent entre 35 et 50€ environ. Toutefois, ce tarif très élevé dépend presque exclusivement de la longueur de la vidéo et de son emplacement stratégique dans la cérémonie, plusieurs fourchettes doivent donc exister, mais celle-ci, ne semble pas incohérente.
Il est à noter également que certains studios bénéficient d’une diffusion gratuite lorsque Geoff Keighley estime qu’une annonce mérite une mise en avant particulière, notamment pour les jeux indépendants très attendus.
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Un mois après avoir mené à bien sa campagne de financement, le studio britannique Head On Studios semble être motivé et publie son premier devlog consacré à Ad Mortem.
La vidéo présente le jeu dans son état actuel de pré-alpha et dévoile les ambitions des développeurs : proposer un système de combat réaliste et dynamique, où chaque coup est une action déclenchée en temps réel plutôt qu’une simple animation. L’objectif affiché est d’offrir davantage de contrôle et de profondeur aux affrontements, en mettant l’accent sur la stratégie et la précision des armes et des mouvements.
Le devlog s’attarde ensuite sur les mécaniques principales du gameplay. On y découvre les attaques de base, les enchaînements de combos, ainsi que les feintes et morphs destinés à déstabiliser l’adversaire. Les systèmes défensifs, tels que le blocage, la parade et la riposte, sont également détaillés, aux côtés de fonctionnalités plus spécifiques comme le bash, le turncap (limitation de rotation) et la gestion des déplacements. L’ensemble est pensé pour limiter le clic droit, clic gauche à gogo, et favoriser une approche plus tactique. On sent qu’ils se sont plus inspirés des techniques de Mordhau que des combats plus casu de Chilvary 2.
La vidéo se termine en mettant en avant des éléments avancés qui, selon l’équipe, enrichissent l’expérience : le système de rage, les compétences propres aux classes et les arts d’armes, offrant une variété de styles selon le personnage choisi. Les développeurs insistent toutefois à la fin du devlog sur le caractère évolutif de ces mécaniques, encore en cours de développement.
À la rédaction, on trouve ce système de combats exigeant plutôt réussi, et on est curieux de voir comment le studio va intégrer celui-ci dans le gameplay. En attendant, vous pouvez ajouter Ad Mortem à votre liste de souhaits depuis sa page Steam.



