Pour Divinity, Larian admet employer de l'IA et se mange une polémique quelque peu exagérée




Alors que leur dernier titre date seulement de septembre dernier, Techland semble déjà sur le pied de guerre pour le développement de leur futur opus Dying Light.
Lancé en septembre dernier, Dying Light: The Beast a marqué le retour de Kyle Crane, personnage du premier opus dans une expérience modernisée et portée par un monde ouvert dense dont la fin est volontairement ambiguë.
Une offre d’emploi repérée récemment révèle que Techland recherche un concepteur spécialisé dans le jeu en ligne. Le descriptif évoque la structure d’une nouvelle expérience en ligne liée à la franchise Dying Light, suggérant que le développement d’un nouveau projet est déjà bien avancé.
Cette orientation laisse penser que Techland souhaite renforcer l’aspect en ligne de sa licence. Si Dying Light a toujours intégré des modes coopératifs et quelques éléments compétitifs comme c’était déjà le cas dans Dying Light 2: Stay Human, le studio pourrait désormais viser une expérience en ligne plus ambitieuse.
Reste à déterminer s’il s’agira d’un nouvel épisode principal ou d’un autre spin-off car pour rappel, Dying Light: The Beast devait initialement être une extension de Dying Light 2 et les développeurs ont décidé de ne pas l’appeler Dying Light 3.
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Il y a quelques jours, nos confrères de Gamesindustry.biz annonçaient que le chinois Tencent se séparait de Bulkhead (Battalion 1944) et que ce dernier était racheté par un consortium de trois fonds d’investissement. L’un d’eux est la société mère de Team17, qui édite notamment WARDOGS, le prochain jeu du studio britannique. On apprend également qu’un autre de ces fonds est géré par l’équipe dirigeante de Bulkhead. Cela fait beaucoup de rapprochements, qui devraient déboucher sur une forme de collaboration entre studios des différents groupes. Ce ne sera franchement pas du luxe pour le créateur de Battalion 1944, qui n’était clairement pas un pro de la communication, ni même des choix de design. Dans tous les cas, ils semblent confiants quant à une date de sortie en accès anticipé l’année prochaine pour WARDOGS, leur mélange de Battlefield et de construction de bases.
Point positif : tous les développeurs du studio restent à leur poste. Ce qui inquiète, en revanche, c’est cette petite phrase : « Super Media Group (ndlr, le fonds dirigé par les chefs de Bulkhead) explore également la possibilité de codévelopper les prochains opus de la franchise Hell Let Loose de Team17. » Mais laissez donc Hell Let Loose: Vietnam tranquille ! Vous avez déjà votre WARDOGS qui a l’air un peu naze, ne venez pas casser le jouet des autres !
Si vous souhaitez plus d’infos, notamment sur qui possède quoi et quelle société a des parts dans qui, n’hésitez pas à consulter l’article d’origine sur Gamesindustry.biz (en anglais). On suivra avec attention les implications du studio dans le développement d’Hell Let Loose: Vietnam, ou dans d’hypothétiques spin-off, comme Hell Let Loose: Black Cab ou Hell Let Loose: Fish & Chips Simulator. Pour WARDOGS, l’engouement est un peu moindre, mais sait-on jamais : ce sera peut-être le premier projet de Bulkhead à ne pas finir encastré dans le mur.
CULTIC s’apprête à accueillir un cadeau sous le sapin de nöel, avec Home For Cultmas, une mise à jour gratuite prévue pour le 18 décembre. De quoi occuper vos soirées pendant les fêtes, puisque les cultistes n’ont visiblement pas prévu de vous laisser passer un Noël tranquille.
I’ll Be Home For Cultmas!, la nouvelle carte ajoutée, est présentée comme un hommage à certaines des inspirations de CULTIC. L’occasion pour Jason Smith de s’autoriser un peu plus de liberté que d’habitude. Au programme : un nouvel arsenal, un nouvel ennemi, et évidemment des paquets de cultistes à défoncer au fusil à pompe et à réduire en petits morceaux sanguinolent à la dynamite.
La durée de vie annoncée est comparable à celle d’Interlude, soit environ 60 minutes de jeu. La mise à jour sera également l’occasion d’essayer les modifications de la branche bêta comme l’automap, les ajustements d’équilibrage, le nouveau modèle de dégâts de brûlure, et d’autres améliorations de confort.
Si vous ne possédez pas encore le jeu (on ne le dira pas à Stuka) vous pouvez toujours vous l’acheter sur Steam pour un peu moins de 10 €, ou avec le chapitre 2 pour 19,5 €.
