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Dans le nord de la Californie, Suisun City, 30.000 habitants à peine, pourrait devenir la « prochaine grande ville américaine ». Un promoteur soutenu par de riches figures de la Silicon Valley veut y bâtir une vaste cité avec des logements, des usines et des quartier de loisirs. Un projet spectaculaire et déjà très discuté.

L'horloge atomique américaine a pris du retard à cause d'une panne de courant

Une violente tempête dans le Colorado a provoqué une panne électrique au National Institute of Standards and Technology (NIST), décalant l'horloge atomique, référence du temps officiel américain. Résultat : un retard de 4,8 microsecondes, infime mais potentiellement critique pour les technologies de pointe.
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AMD Zen 6 : Ce document secret qui change tout pour le futur des processeurs Ryzen
Alors que nous commençons à peine à apprivoiser Zen 5, une fuite d’ampleur vient déjà lever le voile sur la suite. Un document technique officiel d’AMD, destiné aux développeurs, détaille l’architecture Zen 6 et esquisse une évolution majeure : un moteur de calcul élargi à 8 slots, capable de redistribuer beaucoup plus d’instructions par cycle. De quoi redéfinir le niveau de performance attendu sur PC dans les années à venir, possiblement dès 2026.
Cette révélation s’inscrit dans un contexte plus large, alors qu’AMD a déjà confirmé Zen 6 en 2 nm tout en préparant Zen 7, laissant entrevoir une accélération nette de sa feuille de route CPU.
AMD Zen 6 se dévoile en coulisses : une microarchitecture taillée pour le calcul massif
Une documentation technique officielle destinée aux développeurs, récemment repérée, offre un premier aperçu détaillé de la future microarchitecture. Derrière un titre austère et sans la moindre mention commerciale se cache pourtant un changement profond dans la façon dont les cœurs Zen traiteront les instructions.

Le document, référencé comme AMD Family 1Ah Model 50h–57h Processor Performance Monitoring Counters, décrit de nouveaux compteurs de performance internes. Leur existence permet, en creux, de reconstituer l’organisation du cœur Zen 6 et d’identifier plusieurs évolutions majeures, à commencer par un élargissement significatif du front-end.
Un cœur Zen 6 plus large et plus agressif
Le dispatch passe à 8 slots
La révélation la plus marquante concerne l’étage de dispatch. Zen 6 adopte une unité de distribution à 8 slots, contre 6 sur les générations Zen actuelles. Concrètement, cela signifie que le processeur pourra envoyer davantage d’instructions par cycle vers les unités d’exécution. Ce type d’évolution n’est jamais anodin : il implique une refonte en profondeur du pipeline, des buffers internes et de la gestion des dépendances.

Un dispatch plus large permet d’augmenter le débit d’instructions en conditions idéales, mais surtout de mieux exploiter les ressources lorsque le code présente suffisamment de parallélisme. Cette évolution fait écho à la refonte de l’interconnexion interne Sea-of-Wires, pensée pour réduire la latence et améliorer l’efficacité globale.
Une meilleure exploitation du parallélisme interne
Avec 8 slots, Zen 6 se rapproche d’architectures historiquement plus agressives sur le plan du front-end. L’objectif n’est pas uniquement d’augmenter les performances maximales, mais aussi de réduire les phases de sous-utilisation des unités d’exécution. Moins de bulles dans le pipeline, c’est un meilleur rendement énergétique et un gain de performances plus régulier, y compris hors benchmarks synthétiques.
SMT toujours de la partie, mais mieux instrumenté
Le multithreading simultané est maintenu
La documentation confirme également que Zen 6 conserve le SMT. AMD continue donc de faire confiance à cette approche pour améliorer l’occupation des ressources et les performances en multitâche. Rien d’étonnant à cela, mais le point intéressant se situe ailleurs : dans la finesse de l’observation.

Les nouveaux compteurs exposés permettent de suivre avec précision la manière dont les threads se partagent les ressources internes. Attentes dans le pipeline, conflits d’accès, saturation de certaines unités : tout devient mesurable. Cela donne aux développeurs des outils précieux pour comprendre où se situent les véritables goulots d’étranglement et adapter leurs optimisations à une architecture plus large et plus complexe.
Zen 6 change de dimension côté calcul
Le support explicite des instructions 512 bits
Autre élément clé du document : la prise en charge d’instructions 512 bits. AMD renforce clairement les capacités vectorielles et en calcul flottant de Zen 6. Cette évolution aligne davantage l’architecture sur les besoins modernes en calcul scientifique, traitement multimédia et charges professionnelles intensives.
IA, chiffrement et charges spécialisées en ligne de mire
La présence d’instructions comme VNNI pour l’IA, ainsi que les extensions AES et SHA pour le chiffrement et le hashing, montre une orientation très nette. Zen 6 n’est pas seulement pensé pour le desktop grand public, mais pour des usages où le CPU reste central malgré la montée en puissance des accélérateurs dédiés.
Une vision encore incomplète, mais déjà très parlante
À ce stade, aucun nom commercial, aucun calendrier et aucun benchmark ne figurent dans la documentation. Impossible donc de savoir quand Zen 6 arrivera sur le marché ou comment il sera décliné entre desktop, mobile et serveur. En revanche, les premières indications côté plateforme AM5 se veulent rassurantes.

Une évolution majeure dans la philosophie Zen
Avec Zen 6, AMD semble préparer un véritable changement de rythme. Front-end élargi, calcul vectoriel renforcé, instrumentation plus fine du SMT : tout indique une architecture pensée pour durer et pour encaisser les charges de travail des prochaines années, notamment dans l’IA et le calcul intensif.
Ce premier aperçu ne dit pas tout, mais il suffit déjà à comprendre une chose : Zen 6 ne sera pas une simple itération. C’est une montée en gamme structurelle, et probablement l’une des évolutions les plus ambitieuses de l’architecture Zen depuis ses débuts.
DDR5 RDIMM 4 To NEMIX à plus de 70 800 dollars, un kit pour hyperscalers
DDR5 RDIMM en très haute capacité, mais à prix qui fait grimacer : NEMIX liste un kit 4 To à 70 800 dollars, soit environ 65 000 € au cours actuel. Un tarif de l’ordre de 17,3 dollars par Go, bien au-dessus des quelque 10 dollars/Go de la DRAM grand public.
DDR5 RDIMM 4 To : 16×256 Go, 6400 MT/s, CAS 52
Le kit réunit 16 barrettes de 256 Go au format ECC RDIMM, cadencées à 6400 MT/s avec une latence CAS de 52. NEMIX, fournisseur américain travaillant avec de grands groupes et des agences gouvernementales, cible sans détour les hyperscalers et stations de travail au budget musclé. Contexte aggravant : la pénurie de DRAM gonfle les prix, et ces modules embarquent des technologies que l’on ne trouve pas sur de la DDR5 standard.

Au-delà de l’ECC sur puce propre à la DDR5, ces RDIMM intègrent des circuits d’erreur dédiés hors-die, nécessaires pour une correction complète en environnement critique. La configuration 4Rx4 vise la régularité des performances, l’ensemble fonctionne à 1,1 V et profite du buffering enregistré avec ECC intégré. D’après la fiche, c’est précisément ce surcoût de silicium et de fonctions qui justifie un prix quasi doublé par rapport aux DIMM classiques. Comme le résume la source : « ces modules montrent pourquoi leur prix est bien plus élevé que les DIMM traditionnels », souligne TechPowerUp.
DDR5 RDIMM pour IA, bases en mémoire et virtualisation
Le positionnement ne laisse guère de doute : IA à grande échelle, bases de données in-memory en téraoctets, clusters de virtualisation hébergeant des centaines de conteneurs. Selon NEMIX, ce type de kit s’adresse aux environnements « mission-critical » où densité mémoire et intégrité des données priment. Les hyperscalers obtiendront probablement des remises volumes, et dans un déploiement massif, 70 800 dollars ne représentent qu’une fraction du coût d’infrastructure.
Source : TechPowerUp
Lire aussi : Pénurie de DRAM : des retards de lancement se profilent chez les grands fabricants
RTX 5090 : un câble 12VHPWR aurait pris feu, nouveau cas inquiétant
Comme si fondre n’était déjà pas assez problématique, le 12VHPWR semble désormais vouloir passer à l’étape supérieure. Odeur suspecte, puis flammes au connecteur : un propriétaire de RTX 5090 affirme que son câble 12VHPWR ne s’est pas contenté de chauffer, mais a littéralement pris feu. Le témoignage, publié sur Reddit, évoque une utilisation d’environ neuf mois avant l’incident, ajoutant une nouvelle couche d’inquiétude à un connecteur déjà largement surveillé par la communauté hardware.
Spoiler : l’alimentation en cause n’est ni un modèle haut de gamme ni une référence bien identifiée du marché. Il s’agirait d’une alimentation ATX 3.0 de marque inconnue, autrement dit une noname. Un détail loin d’être anodin lorsqu’on parle d’une RTX 5090 et d’un connecteur 12VHPWR déjà réputé pour ne pas pardonner la moindre approximation.
RTX 5090 : un connecteur 2VHPWR en cause, un feu déclaré
Le témoignage souligne un point de bascule par rapport aux cas classiques de surchauffe et de connecteurs ramollis : il s’agirait cette fois d’un départ de feu « dans la zone du connecteur », d’après l’auteur. Selon le post, le câble incriminé est un 12VHPWR fourni avec l’alimentation, utilisé exclusivement avec cette carte.

L’alimentation serait une Alimentation ATX PowerSpec 1050 W, certifiée 80 Plus Gold et entièrement modulaire et porte la mention ATX 3.0 et non ATX 3.1 avec le nouveau câble 12V-2×6. celle-ci est référencée chez Micro Center, avec l’ensemble des informations détaillées.

Le problème des câbles 12VHPWR a déjà été observé sur plusieurs générations, entre soucis d’ajustement et chaleur excessive. Ce signalement se démarque car il décrit un feu actif, et non un simple écran noir ou la découverte tardive d’un connecteur déformé. L’auteur dit avoir d’abord perçu une odeur étrange, puis aperçu des flammes au niveau de la prise.

Précautions immédiates avec les connecteurs 12VHPWR
De notre point de vue, la meilleure option reste l’utilisation d’une alimentation ATX 3.1 de qualité, issue d’un fabricant reconnu, plutôt que d’un modèle générique sans pedigree, a fortiori avec une GeForce RTX 5090. Le standard 12V-2×6 apporte en outre des améliorations concrètes sur la conception et la fiabilité des connecteurs, ce qui renforce la sécurité dans ce type de configuration très exigeante.
Lire aussi : Meilleures alimentations ATX 3.1 pour la RTX 5090 : Fais pas cramer ta config !
Source : Reddit
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