La communauté prend en main le FSR 4 pour l'adapter aux anciens GPU

Plus de 200 personnes qui évaluaient et modéraient les résultats des modèles d’IA générative de Google ont été licenciées alors qu’elles se battaient pour obtenir de meilleures conditions de travail et des augmentations de salaires. Le conflit se passe chez les sous-traitants de Google (notamment chez GlobalLogic, filiale d’Hitachi) qui ont pour tâche de filtrer les résultats erronés.
Depuis l’avènement des modèles de langage et de leur utilisation dans tous les produits d’IA générative, les entreprises comme Google ont redoublé le recours à la sous-traitance du travail de la donnée, que ça soit dans des pays comme le Venezuela, le Kenya, le Brésil, Madagascar où la France, avec des situations bien différentes. Ce système maintient « les dépendances économiques historiques et génère des inégalités qui s’ajoutent à celles héritées du passé », exposent les sociologues Antonio Casilli, Paola Tubaro, Maxime Cornet, Clément Le Ludec, Juana Torres-Cierpe et Matheus Viana Braz.
Après avoir utilisé des « travailleurs du clic », les entreprises d’IA génératives ont cherché à faire appel à des « experts » susceptibles, théoriquement, de mieux évaluer les réponses de leurs modèles qui hallucinent et génèrent toujours des réponses problématiques et ainsi améliorer les réponses des produits boostés à l’IA générative comme AI Overviews.
Ainsi, des entreprises comme TuringAI ou Toloka se sont lancées dans ce marché. Du côté de chez Google, c’est essentiellement GlobalLogic qui fournit cette main d’œuvre depuis 2023. Filiale d’Hitachi, cette entreprise a embauché des évaluateurs qui doivent noter et modérer des contenus créés par les modèles de Google. Mais, comme l’explique le Guardian, ces travailleurs se plaignent de pressions énormes, d’exposition à des contenus violents et de salaires peu élevés.
Contactés sur LinkedIn et recrutés pour leurs connaissances spécialisés et leurs diplômes de master ou même de thèse sur des postes aux intitulés vagues comme « analyste en rédaction », des enseignants et des rédacteurs techniques se retrouvent, aux États-Unis, à être payé entre 16 dollars et 21 dollars de l’heure pour ces évaluations de contenus parfois extrêmement violents ou sexuels.
« J’ai été choqué que mon travail implique de traiter des contenus aussi pénibles », explique au Guardian Rachael Sawyer, qui travaille en tant qu’ « évaluatrice généraliste » depuis mars 2024. « Non seulement parce que je n’ai reçu aucun avertissement et qu’on ne m’a jamais demandé de signer de formulaire de consentement lors de mon intégration, mais aussi parce que ni le titre ni la description du poste ne mentionnaient la modération de contenu ».
En décembre dernier, TechCrunch expliquait que les évaluateurs experts de GlobalLogic avaient reçu la consigne (venue de Google) de répondre même sur des questions se trouvant en dehors de leur champ de compétence.
Wired raconte que l’entreprise employait depuis une dizaine d’années des évaluateurs généralistes. Et en 2023, Google a demandé à GlobalLogic d’embaucher des « super » évaluateurs pour ses IA génératives et notamment pour AI Overviews. De 25 « super » évaluateurs en 2023, l’entreprise serait montée à près de 2 000 récemment.
Mais GlobalLogic et les autres sous-traitants seraient en train de brusquement licencier leurs évaluateurs, explique Wired. 200 personnes auraient été licenciées sans préavis lors d’au moins deux vagues au mois d’août dernier.
Interrogé par Wired, Ricardo Levario, l’un des évaluateurs licenciés et ancien enseignant dans le Texas, explique que les problèmes ont commencé quand GlobalLogic a elle-même fait appel à des sous-traitants. Les super évaluateurs de GlobalLogic étaient payés entre 28 et 32 dollars de l’heure, mais ses sous-traitants payent maintenant entre 18 et 22 dollars de l’heure pour le même travail.
Ricardo Levario raconte à Wired la construction d’un mouvement social interne à GlobalLogic notamment à travers un groupe WhatsApp après que certains aient forgé des liens sur les espaces sociaux numériques laissés à disposition par Google. Ce mouvement a notamment abouti à la création de la branche des évaluateurs d’IA au sein du syndicat de Google. En réaction, l’entreprise a interdit l’utilisation des espaces sociaux pendant les heures de travail.
Ricardo Levario a envoyé une plainte à la maison-mère Hitachi, en tant que lanceur d’alerte. Suite à cet envoi, il a été convoqué à un entretien à distance quatre jours après durant lequel il a été licencié au bout de cinq minutes.
Alors que les outils basés sur l’IA générative comme Overview montrent régulièrement leurs limites, le travail de ces évaluateurs permet néanmoins aux entreprises du secteur d’éviter les enjeux les plus problématiques et de faire croire que leurs produits sont des outils doués d’une intelligence artificielle qui ne déclament pas des horreurs à leurs utilisateurs. « En tant qu’évaluateurs, nous jouons un rôle extrêmement important, car les ingénieurs, entre le code et tout le reste, n’ont pas le temps de peaufiner le bot et d’obtenir les commentaires dont ils ont besoin », explique Alex, une évaluatrice généraliste interrogée par Wired. « Nous sommes comme les sauveteurs en mer sur la plage : nous sommes là pour veiller à ce qu’il n’arrive rien de grave ».
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Oui, je sais, les arnaques SMS il y en a tellement que l'on ne peut plus les dénombrer.
Sauf que, si l'on ne dit plus rien, si on décide que c'est normal, que c'est la routine de recevoir tous ces messages piégés on ouvre un boulevard à ces malfrats.
Je vais donc vous présenter une nouvelle arnaque, je sais que la très grande majorité d'entre vous va me dire que c'est tellement gros qu'ils ne seraient pas tombés dans le panneau.
Mais, logiquement, si elle ne fonctionnait pas ou plus, elle aurait déjà disparu...
Cet article [Vidéo] Attention à l'arnaque du colis qui ne rentrait pas dans la boîte aux lettres est apparu en premier sur votre site préféré www.sospc.name
3h37… la cafetière grogne comme un vieux moteur diesel et moi je fixe l’écran de mon PC avec cette fichue pièce jointe .exe qui vient d’atterrir. Le titre ? « Facture impayée ». L’expéditeur ? Un coréen dont le nom ressemble à un captcha mal imprimé. Mon doigt tremble au-dessus du trackpad, et déjà mon cerveau me hurle : « Ne clique pas, gros malin. » Mais je suis crevé, ça fait 36 heures que je vous ponds des articles à la chaine … je n’ai même pas le temps de réfléchir au risque que mon doigt à déjà cliqué par réflexe. Heureusement, Surfshark One est déjà en action.
En arrière-plan, sans que je bouge un cil, mon IP saute de Paris à Tokyo, puis à Toronto, puis à Sydney. Le botnet qui espionne ma ligne voit 4 continents défiler en moins de dix secondes ; il perd la trace, panique, et abandonne la connexion. Pas de lag, pas de coupure sur la série Netflix qui tourne en fond sur la télé, juste un léger pictogramme qui clignote dans la barre des tâches pour me dire « déplacement en cours ». Je souris, je n’ai même pas eu besoin d’ouvrir l’appli.
Le fichier .exe téléchargé par mégarde démarre dans un bac à sable invisible. L’antivirus Avira (assisté par IA) observe : tentative d’accès à la webcam, requête vers un domaine .onion, écriture dans le registre. Le verdict tombe en 0,2 seconde : comportement suspect = quarantaine immédiate. Je n’ai même pas le temps de voir la pop-up ; l’icône du bouclier redevient verte, le fichier est déjà mort et enterré dans le Cloud Protect System. Le tout sans que mon CPU ne grimpe au-dessus de 12%. Mon ordinateur continue de diffuser Spotify comme si de rien n’était.
Pendant que le malware agonise, Alert scrute déjà ses bases de fuites recensées. Mon adresse mail apparaît dans une liste fraîchement publiée sur un forum russe. Ping : notification push, SMS de secours, et un lien « Change ton mot de passe en un clic ». J’appuie (encore par réflexe conditionné, je clique tout ce qui passe ce soir), je tape « bonne-nuit-les-pirates-2025 », et c’est réglé. Trois secondes plus tard, je reçois un rapport écrit en français clair : « Aucune carte bancaire ni ID n’ont fuité, tu peux dormir tranquille. »
Mais vous me connaissez, je veux comprendre ce virus. J’ouvre Surfshark Search à 3h56, je tape « ransomware polymorphe 2025 ». Résultats : zéro pub, zéro tracker, zéro suggestions étranges sur la page de recherche. Deux liens vers des analyses techniques, un thread Reddit ultra frais. Je découvre que la même attaque a déjà visé au moins 400 personnes ces dernières heures, mais que la dernière signature est déjà dans la base virale de Surfshark depuis… 3 h 49. Autrement dit, la suite m’a protégé avant même que je ne sache vraiment par quoi j’étais visé.
Puisque j’aime vivre dangereusement, je décide de tester un site de téléchargement parmi les plus douteux pour voir si je peux réitérer l’attaque. Je clique sur « Créer un alias ». Surfshark me file instantanément « Manolo Korbera, 33 ans, Porto, plutôt bg », avec un mail @surfshark.net. Je l’utilise, je télécharge le fichier suspect, rien ne se passe : l’alias reçoit le spam, pas moi. Dans le dashboard, je clique sur « Supprimer l’alias ». Manolo disparaît, comme s’il n’avait jamais existé. Mon vrai mail reste vierge. J’aurais dû y penser à 3h37 avant le premier clic.
3h23. Woaw. Il ne s’est rien passé. Je n’ai pas cliqué sur le .exe, c’était un rêve, je me suis juste endormi sur ma chaise et à mon âge ça fait mal au dos. Un coup d’oeil rapide sur l’écran, les quatre icônes de Surfshark One clignotent calmement : VPN vert, antivirus vert, Alert vert, Search vert. Je vide ma tasse de café froid, j’éteins la lumière, et je vais enfin me coucher tranquille. Sachant que la suite continuera de s’améliorer pendant que je dors : nouvelles signatures, nouvelles adresses IP, nouvelles menaces anticipées.
Juste avant de fermer les yeux, je me souviens de ce à quoi je pensais avant de sombrer la première fois : la nouveauté Surfshark Everlink.
Grâce à une infrastructure brevetée, Surfshark redirige maintenant le tunnel vers un serveur sain automatiquement s’il y a coupure. Vous ne remarquez même pas le changement, votre IP reste cachée, votre binge YouTube ne s’interrompt pas. Votre connexion VPN devient une sorte de passerelle magique : même si le serveur sur lequel vous êtes tombe en panne ou passe en maintenance, Everlink recolle le lien en temps réel sans jamais vous déconnecter.
Contrairement au classique « kill switch » qui coupe Internet quand le VPN lâche, Everlink guérit la connexion avant qu’elle ne meure. Résultat : zéro déconnexion, zéro exposition, même en pleine heure de pointe ou sur un Wi-Fi d’aéroport douteux. Disponible par défaut avec le protocole WireGuard sur tous vos appareils, et sans surcoût, c’est la sécurité qui roule en pilote automatique.
Je vais enfin pouvoir dormir sur mes 2 oreilles. Surtout que pour en profiter, la suite complète ne coûte que 61,83 € pour 27 mois (soit 2,29 € TTC par mois). C’est pas cher payé pour éviter des cauchemars.
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