Randy Pitchford’s Online Outbursts: Baldur’s Gate 3 Devs Réagissent pour l’Équipe de Borderlands 4

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Né en 2019 en Bourgogne-Franche-Comté, le projet Bénévalibre poursuit son chemin vertueux avec la sortie de sa version 2, mise en production le 1ᵉʳ septembre 2025. Conçu pour faciliter la valorisation du bénévolat dans les associations, ce logiciel libre est […]
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Le Cyber Resilience Act (CRA), adopté par l’Union européenne, impose de nouvelles obligations de cybersécurité à tout logiciel et matériel commercialisé sur le marché. Pour l’éditeur Red Hat, cette législation pourrait transformer la manière dont les projets open source gèrent […]
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Google retarde ses correctifs de sécurité et l’open source tire la sonnette d’alarme
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Microsoft a décidé de repousser la suppression définitive de l’outil en ligne de commande WMIC (Windows Management Instrumentation Command-line).
Cet article Microsoft repousse la suppression de WMIC à Windows 11 25H2 a été publié en premier par GinjFo.
Bon alors, imaginez deux secondes… Vous êtes commandant de sous-marin nucléaire, tranquille à 300 mètres sous l’eau dans votre grosse boîte de conserve à 4 milliards d’euros. Pendant des décennies, votre job consistait essentiellement à jouer à cache-cache dans l’immensité océanique, en mode Octobre Rouge, persuadé que personne ne pouvait vous trouver dans ce territoire grand de 361 millions de km². Et là, paf, des chercheurs chinois débarquent avec leur IA qui est capable de vous détecter avec 95% de précision . Y’a de quoi avoir le seum.
Hé oui, c’est un triste jour car l’océan vient officiellement de perdre son dernier mystère. D’après une étude publiée dans Electronics Optics & Control , cette nouvelle IA militaire développée par l’équipe de Meng Hao de l’Institut chinois de recherche sur les hélicoptères transforme tout simplement les abysses en aquarium encore plus transparent que celui de Maurice votre poisson rouge. Fini l’époque où un sous-marin pouvait disparaître dans les profondeurs comme un ninja en maillot de bain. Maintenant, vous avez seulement 5% de chances de vous en sortir donc autant dire que c’est moins probable que de gagner à la tombola de votre CE.
Cette IA, elle ne fait pas que détecter. Elle agit comme un “commandant intelligent” qui fusionne en temps réel les données de tout un tas de capteurs : sonar, radar, température de l’eau, salinité, anomalies magnétiques. C’est un genre de sixième sens artificiel qui “voit” ce que les humains ne peuvent même pas voir. Le système crée ainsi une synesthésie numérique où la température devient une couleur, le magnétisme devient une forme, et salinité devient un mouvement…
Bref, les sous-marins américains, ces joujoux nucléaires censés garantir la dissuasion, se retrouvent soudain aussi discrets qu’un influenceur sur TikTok. Et le truc vraiment dingue avec cette IA c’est qu’elle communique même avec les opérateurs humains via des modèles de langage naturel , style ChatGPT des profondeurs. Comme ça, au lieu de regarder des écrans radars incompréhensibles avec des bips anxiogènes, le mec reçoit des instructions claires du genre “Sous-marin détecté à 3km nord-ouest, probabilité 97%, déployer contre-mesures recommandé”. C’est Alexa, mais pour la guerre sous-marine.
Ça me rappelle vite fait de loin ce qui s’est passé avec notre vie privée. Dans les années 90, on pensait qu’internet nous rendrait anonymes et libres et aujourd’hui, notre grille-pain connecté est la pire des balances…
Avant, un seul sous-marin pouvait tenir en respect toute une flotte, menacer des villes entières, ou simplement disparaître pendant des mois sans que personne ne sache où il était. Le fantasme ultime du militaire ou du père absent… Mais avec 95% de détection en simulation , même en utilisant des leurres, des drones sous-marins ou en zigzaguant comme un lapin poursuivi par un chasseur bourré, vous êtes grillé. L’IA anticipe vos mouvements, s’adapte à vos feintes, et continue de vous traquer comme Terminator.
En début d’année, les chinois toujours ont également mis au point un système qui utilise des atomes de rubidium dans des capteurs quantiques CPT montés sur des drones. Ces petits trucs détectent des variations magnétiques un milliard de fois plus faibles que l’aimant de votre frigo. Les capteurs sont tellement sensibles qu’ils captent la moindre perturbation du champ magnétique terrestre causée par la masse métallique d’un sous-marin. Donc autant dire que ce truc + leur IA, on est cuit !
Ah et les Américains ne sont pas en reste. Ils bossent sur leur propre technologie SQUID (Superconducting Quantum Interference Device) qui pourrait théoriquement détecter un sous-marin à 6 kilomètres de distance, contre 800 mètres pour les systèmes actuels. On est donc dans une course technologique où chaque camp essaie de rendre l’océan plus transparent que l’autre…
C’est la fin d’un concept vieux comme l’humanité… Car depuis la préhistoire, se planquer était une stratégie de survie basique et maintenant, entre les satellites, les drones, les capteurs quantiques et l’IA, il n’y a littéralement plus aucun endroit sur Terre où disparaître. Même au fond de la fosse des Mariannes, une IA pourrait probablement vous retrouver en analysant les perturbations gravitationnelles de votre présence.
Et le pire dans tout ça c’est que cette technologie ne va faire que s’améliorer. Les capteurs SERF promettent une sensibilité au niveau du femtotesla, mille fois plus précis que les systèmes actuels ce qui fait que dans quelques années, on pourra probablement détecter un poisson rouge dans un bocal depuis l’espace.
Les océans ne seront plus ces vastes étendues mystérieuses pleines de secrets militaires, mais des espaces totalement cartographiés où chaque mouvement sera enregistré, analysé, prédit.
Snif…
Le 16 septembre 2025, AMD a dévoilé deux nouvelles puces : le Ryzen 7 9700F pour AM5 et le Ryzen 5 5600F pour AM4. Le premier reprend l’architecture Granite Ridge sans iGPU, avec 8 cœurs et 16 threads jusqu’à 5,5 GHz. Le second, basé sur Vermeer, propose 6 cœurs/12 threads et des fréquences ajustées. Ce 5600F pourrait bien signer le dernier chapitre du socket AM4, lancé en 2016.
Après les Ryzen 5 7400, 7400F et 9500F, AMD enchaîne avec une nouvelle salve de références. Le constructeur officialise le Ryzen 7 9700F pour la plateforme AM5 et le Ryzen 5 5600F destiné à l’increvable AM4. Une annonce qui illustre la volonté d’AMD de renforcer son catalogue récent tout en donnant un dernier souffle à un socket qui refuse obstinément de disparaître.
Le Ryzen 7 9700F, déjà aperçu au fil de plusieurs fuites, reprend la recette du 9700X tout en faisant l’impasse sur le GPU intégré. Basé sur la puce Granite Ridge, il propose 8 cœurs et 16 threads, avec un boost jusqu’à 5,5 GHz pour un TDP de 65 W. Un choix taillé pour ceux qui disposent d’une carte graphique dédiée et veulent économiser quelques euros sans rogner sur les performances du processeur.
Le Ryzen 5 5600F adopte l’architecture Vermeer et propose 6 cœurs/12 threads. Sa fréquence de base tombe à 3,0 GHz avec un boost à 4,0 GHz, soit un léger retrait par rapport au Ryzen 5 5600 classique (–100 MHz et –400 MHz). L’avantage, c’est une compatibilité PCIe plus robuste que sur Cezanne, consolidant l’intérêt du modèle pour les mises à jour économiques sur AM4.
Lancé en septembre 2016, le socket AM4 approche de ses neuf ans de service. Beaucoup voient dans ce 5600F la dernière itération grand public avant la fin d’un cycle historique.
Pour situer ces nouveautés, AMD a également détaillé les gammes Ryzen 9000 et 7000. On y retrouve les modèles X3D aux caches L3 massifs et des fréquences boostées à plus de 5,7 GHz pour les Ryzen 9. Côté Ryzen 7 et Ryzen 5, la segmentation repose sur la présence ou non d’iGPU, avec des suffixes F qui gagnent en importance.
Modèle | Cœurs / Threads | Fréq. Max / Base | Cache L3 | DDR5 | TDP | Puissance socket | iGPU |
---|---|---|---|---|---|---|---|
Ryzen 9000 Series | |||||||
Ryzen 9 9950X3D | 16 / 32 | 5,7 / 4,3 GHz | 128 MB | 5600 MHz | 170 W | 200 W | Oui |
Ryzen 9 9950X | 16 / 32 | 5,7 / 4,3 GHz | 64 MB | 5600 MHz | 170 W | 200 W | Oui |
Ryzen 9 9900X3D | 12 / 24 | 5,6 / 4,4 GHz | 128 MB | 5600 MHz | 120 W | 162 W | Oui |
Ryzen 9 9900X | 12 / 24 | 5,6 / 4,4 GHz | 64 MB | 5600 MHz | 120 W | 162 W | Oui |
Ryzen 7 9800X3D | 8 / 16 | 5,5 / 3,8 GHz | 96 MB | 5600 MHz | 120 W | 162 W | Oui |
Ryzen 7 9700X | 8 / 16 | 5,5 / 3,8 GHz | 32 MB | 5600 MHz | 65 W | 88 W | Oui |
Ryzen 7 9700F | 8 / 16 | 5,5 / 3,8 GHz | 32 MB | 5600 MHz | 65 W | 88 W | Non |
Ryzen 5 9600X | 6 / 12 | 5,4 / 3,9 GHz | 32 MB | 5600 MHz | 65 W | 88 W | Oui |
Ryzen 5 9500F | 6 / 12 | 5,0 / 3,8 GHz | 32 MB | 5600 MHz | 65 W | 88 W | Non |
Ryzen 7000 Series | |||||||
Ryzen 9 7950X3D | 16 / 32 | 5,7 / 4,2 GHz | 128 MB | 5200 MHz | 120 W | 162 W | Oui |
Ryzen 9 7950X | 16 / 32 | 5,7 / 4,7 GHz | 64 MB | 5200 MHz | 170 W | 200 W | Oui |
Ryzen 9 7900X3D | 12 / 24 | 5,6 / 4,4 GHz | 128 MB | 5200 MHz | 120 W | 162 W | Oui |
Ryzen 9 7900X | 12 / 24 | 5,6 / 4,7 GHz | 64 MB | 5200 MHz | 170 W | 200 W | Oui |
Ryzen 9 7900 | 12 / 24 | 5,4 / 3,7 GHz | 64 MB | 5200 MHz | 65 W | 88 W | Oui |
Ryzen 7 7800X3D | 8 / 16 | 5,0 / 4,2 GHz | 96 MB | 5200 MHz | 120 W | 162 W | Oui |
Ryzen 7 7700X | 8 / 16 | 5,4 / 4,5 GHz | 32 MB | 5200 MHz | 105 W | 142 W | Oui |
Ryzen 7 7700 | 8 / 16 | 5,3 / 3,8 GHz | 32 MB | 5200 MHz | 65 W | 88 W | Oui |
Ryzen 5 7600X3D | 6 / 12 | 4,7 / 4,1 GHz | 96 MB | 5200 MHz | 65 W | 88 W | Oui |
Ryzen 5 7600X | 6 / 12 | 5,3 / 4,7 GHz | 32 MB | 5200 MHz | 105 W | 142 W | Oui |
Ryzen 5 7600 | 6 / 12 | 5,1 / 3,8 GHz | 32 MB | 5200 MHz | 65 W | 88 W | Oui |
Ryzen 5 7500F | 6 / 12 | 5,0 / 3,7 GHz | 32 MB | 5200 MHz | 65 W | 88 W | Non |
Ryzen 5 7400F | 6 / 12 | 4,7 / 3,7 GHz | 32 MB | 5200 MHz | 65 W | 88 W | Non |
Avec le Ryzen 7 9700F, AMD cible les configurations AM5 dédiées au gaming avec GPU séparé. Quant au Ryzen 5 5600F, il pourrait bien marquer l’épilogue d’AM4, un socket qui aura traversé près d’une décennie. Reste à voir si ce « baroud d’honneur » séduira les utilisateurs en quête de mise à jour à moindre coût.
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