La plupart des séries cultes sont généralement disponibles en streaming légal, en France. Mais parfois, certaines malchanceuses se retrouvent perdues dans les limbes, malgré leurs qualités indéniables. Heureusement, une production horrifique culte vient enfin de retrouver la lumière, sur Prime Video.
Rocket Lab a dû annuler le décollage de sa fusée Electron ce 16 décembre 2025, une fraction de seconde seulement après l'allumage des moteurs. Un arrêt spectaculaire, qui démontre la capacité du lanceur à se diagnostiquer in extremis pour éviter le pire.
Renault officialise les prix de la nouvelle Twingo. La citadine néorétro peut s'afficher à moins de 15 000 € primes déduites en version entrée de gamme. Le haut de gamme est à un peu plus de 16 000 €.
Le constructeur chinois BYD continue d'innover sur le marché de la voiture électrique, avec une nouvelle annonce qui témoigne de la confiance sans faille accordée par la marque à tous ses véhicules, afin de rassurer les acheteurs, futurs comme anciens.
Team Cherry a confirmé l'arrivée d'un premier DLC pour Hollow Knight: Silksong, avec un très court teaser. Il sera disponible gratuitement en 2026 et emmènera l'héroïne dans des environnements marins.
LG vient de présenter son tout nouveau téléviseur : le Micro RGB Evo. Il présente une dalle micro-LED, mais également une IA intégrée. Le premier pas vers le futur de la télévision ?
IKEA présente une nouvelle gamme de chargeurs Qi2 15 W à prix cassés. Une nouvelle étape pour le groupe suédois, qui continue d’étendre discrètement son empreinte dans la tech du quotidien.
Après cinquante ans de carrière et des millions d'exemplaires écoulés, la célèbre fourmi de Wolfsburg entame sa mue technologique la plus radicale pour s'adapter aux exigences modernes.
Dans une interview accordée à la chaine YouTube, The Hardware Unboxed, Edward Crisler, de SAPPHIRE s'est offert un plaidoyer pour plus de libertés dans la création des cartes graphiques, tout en visant directement AMD !
Ce qui coule de sens, puisque SAPPHIRE conçoit et distribue exclusivement des cartes AMD, le bonhomme estime qu'AMD devrait se contenter de fournir les GPUs et las puces mémoires, tout en indiquant les exigences nécessaires à la compatibilité avec les cartes mères, puis de laisser la liberté à chaque partenaire, de concevoir un design spécifique.
Il estime, en effet, que les contraintes actuelles lissent bien trop le marché des GPUs, prenant pour exemple le faible pourcentage de différences de performances entre les modèles peu ou très overclockés d'usine, on ne peut pas lui donner tort, l'avènement de la technologie GPU Boost semble avoir largement lissé les performances des divers modèles... […]
Depuis des années (les premiers signalements sur notre compte remontent étonnamment à 2016) Google pouvait surveiller le Dark Web pour récupérer des informations « sur les violations de données ayant divulgué vos informations ».
Cette fonctionnalité, Google en a officiellement parlé pour les abonnés One en 2023, avant de l’ouvrir à tous fin 2024. Un an plus tard, Google annonce mettre « fin au rapport sur le dark Web ». Un message est envoyé aux utilisateurs concernés et une page support a été mise en ligne.
Dès le 15 janvier 2026, la recherche de nouvelles violations sur le dark Web sera arrêtée. Un mois plus tard, le 16 février 2026, « l’outil de rapport sur le dark Web ne sera plus disponible ». Toutes les données liées seront alors supprimées.
« Bien que le rapport fournisse des informations générales, les retours ont montré qu’il ne proposait pas d’étapes concrètes à suivre. Nous apportons ce changement pour nous concentrer sur des outils qui vous fournissent des procédures plus claires et concrètes afin de protéger vos informations en ligne. Nous continuerons à surveiller les menaces en ligne et à vous défendre contre elles, y compris sur le dark Web. Nous développerons également des outils pour vous aider à vous protéger ainsi que vos informations personnelles », avance Google comme justification.
Il n’en reste pas moins que c’était une fonctionnalité pratique. Rien qu’en 2025, nous avons eu une dizaine de notifications de la part de Google. Il fallait créer un profil de surveillance avec les nom, date de naissance, adresse email et numéro de téléphone que l’on souhaitait surveiller.
Le rapport n’indiquait évidemment pas le mot de passe en entier, mais seulement les premiers caractères, permettant de savoir s’il avait fuité en clair ou non. Dans les rapports que nous avons reçus, plusieurs fois des mots de passe en clair apparaissaient. Un service ne doit pour rappel jamais stocker un mot de passe en clair en théorie.
Huit ans après Orange et six ans après SFR, Free Mobile propose pour la première fois à ses clients une option montre connectée, qui permet de connecter une Apple Watch à son réseau 4G. Et grande surprise : il ne s'agit pas d'une option payante.
C’est officiel, la peluche du loup mal-aimé, de la publicité d’Intermarché, va sortir. En revanche, il est peu probable qu’elle soit disponible pour Noël.
Elle a résisté à Tchernobyl et à Fukushima, mais elle continue pourtant de tourner à plein régime. Au grand dam des riverains et des militants écologistes.
Hop et un petit concours, avec à la clé, une RTX 5070, des clés Borderlands 4 et des T-Shirt à gagner !
Il va falloir suivre le compte Instagram de son pays et jouer du hashtag: #Borderlands4 #DLSS4 #PALITMaker. […]
Vous vous êtes déjà demandé si les IA comprenaient vraiment ce qu’elles racontaient, ou si elles ne faisaient que recracher des mots à partir de statistiques liées aux mots ?
Oui, comme vous, je pensais jusqu’à présent qu’on était vraiment sur un déroulé textuel purement mathématique sans réelle compréhension. Hé bien des chercheurs de UC Berkeley viennent de mettre un gros pavé dans la mare en démontrant que le modèle o1 d’OpenAI est capable d’analyser le langage comme le ferait un étudiant en linguistique. Pas juste d’utiliser le langage, hein mais vraiment de l’analyser, le décortiquer, le comprendre dans sa structure profonde.
L’étude a été menée par Gašper Beguš, prof associé de linguistique à Berkeley, avec ses collègues Maksymilian Dąbkowski et Ryan Rhodes de Rutgers University et les résultats sont publiés dans IEEE Transactions on Artificial Intelligence,
donc ça a l’air d’être du sérieux
.
Leur truc, c’était de tester si les modèles de langage (LLM) pouvaient faire de la métalinguistique, qui est la capacité non pas simplement d’utiliser une langue, mais aussi de réfléchir sur la langue elle-même. C’est un truc que les humains font naturellement quand ils analysent une phrase, et qu’on a pour le moment jamais observé chez l’animal.
Pour leurs expériences, l’équipe a donc balancé 120 phrases complexes dans quatre modèles différents : GPT-3.5 Turbo, GPT-4, o1 d’OpenAI, et Llama 3.1 de Meta et ils ont regardé comment chaque modèle s’en sortait pour analyser la structure des phrases et résoudre les ambiguïtés, notamment avec la récursion.
La
récursion
, c’est un concept que Noam Chomsky a théorisé comme étant la caractéristique définitoire du langage humain. C’est en fait la capacité d’imbriquer des phrases dans d’autres phrases, à l’infini. Genre “Le chat que le chien que Pierre a vu a mordu dort”. Ouais, c’est tordu, mais c’est ça qui nous différencie aussi des autres animaux.
Et tous ces modèles ont réussi à identifier les phrases récursives, ce qui, jusque-là, n’a rien d’extraordinaire sauf que pour cartographier correctement la structure complexe des phrases, o1 a cartonné avec un score proche de 0.9 sur 1, contre une moyenne de 0.36 pour les autres. C’est un très gros écart.
Je vais vous donner un exemple concret. Avec la phrase “Unidentified flying objects may have conflicting characteristics” (les objets volants non identifiés peuvent avoir des caractéristiques contradictoires), o1 a correctement détecté la récursion. “Flying” modifie “objects”, et “unidentified” modifie “flying objects”. Il a même poussé le bouchon encore plus loin en proposant une extension de la phrase pour montrer qu’il avait compris le mécanisme.
Mais les chercheurs ne se sont pas arrêtés là car pour éviter que o1 ne triche en utilisant des données de son entraînement, ils ont inventé 30 mini-langues fictives avec leurs propres règles phonologiques. L’idée, c’était de voir si le modèle pouvait inférer les règles d’une langue qu’il n’a jamais vue. Et comme vous vous en doutez, o1 s’en est sorti comme un chef.
Bref, non seulement ces modèles peuvent utiliser le langage, mais certains peuvent “réfléchir” à la façon dont le langage est organisé.
Ce qui est dingue, c’est que cette étude relance le débat sur la compréhension des IA. Est-ce que ces modèles comprennent vraiment ce qu’ils font, ou est-ce qu’ils simulent très bien ? Beguš pense que cette capacité métalinguistique est “très conséquente” parce qu’elle montre que dans ces modèles, on a désormais quelque chose qu’on pensait réservé aux humains.
Attention cependant, qui dit capacité métalinguistique ne veut pas dire que l’IA est consciente ou qu’elle pense comme nous. Faut voir ça plutôt comme une capacité émergente qu’on n’a pas programmée explicitement, et qui est sacrément intéressante d’un point de vue scientifique.
Voilà, donc si comme moi, vous pensiez que ChatGPT ne faisait que du perroquet statistique, cette étude suggère visiblement que c’est un plus subtil que ça. Il faudra bien sûr plus d’études pour mieux comprendre ce phénomène mais il est maintenant clair que ces modèles récents ont des capacités qu’on croyait exclusives aux humains.
Le gouvernement britannique s'apprête à faire une demande explosive aux géants de la tech : empêcher purement et simplement la prise ou l'affichage de toute photo de nu sur les smartphones. Pour débloquer cette "fonctionnalité", l'utilisateur devrait impérativement prouver sa majorité via une vérification d'identité stricte. Une mesure radicale au nom de la protection de l'enfance qui soulève d'immenses questions sur la vie privée.
Merci à vous de suivre le flux Rss de www.sospc.name.
Je vous ai annoncé le 30 Août dernier la sortie d'Aomei Backupper 8.
Le temps a passé et curieusement pas de mises à jour n'étaient proposées par l'éditeur.
Je n'ai rencontré aucun souci lors de l'utilisation de cette mouture au look rajeuni, mais il est normal que des ajustements soient nécessaires lors de la mise à disposition d'une nouvelle version.
Voici donc la 8.1 publiée hier 15 décembre.
Si vous utilisez déjà la 8.0 la mise à jour n'est pas encore proposée, mais vous pouvez décider de l'effectuer avec l'exécutable que je vous fourni.
Attention, si votre licence a été gagnée à un concours ou provient d'un bon plan, il est possible que la migration ne soit pas autorisée et que vous passiez de la version Pro à la version Standard.
Vous en avez marre d’être coincé entre Android et iOS ? Genre vraiment marre, au point de vouloir un truc complètement différent ? Hé bien les Finlandais de Jolla sont de retour avec
Sailfish OS 5
et un nouveau téléphone prévu pour 2026. Et comme leur campagne de financement participatif a explosé les objectifs en moins de deux semaines, je me suis dit que ça méritait bien un petit article.
Alors faut remonter un peu dans le temps pour comprendre d’où sort ce bazar. Sailfish, c’est en fait le descendant indirect de Maemo, le système que Nokia avait créé pour son Nokia 770 en 2005 et
dont je vous ai parlé hier.
Après Maemo, y’a eu Meego, puis Mer, et finalement Sailfish quand d’anciens employés de Nokia ont lancé Jolla en 2012. Et la version 1.0 est sortie en février 2014 donc je vous parle quand même d’un projet qui a plus de 10 ans d’existence et qui visiblement refuse de mourir.
De son côté, l’histoire de
Jolla
c’est un peu les montagnes russes. Premier téléphone en 2013, bon succès initial, les gens étaient contents. Puis une tablette en 2014 financée par crowdfunding qui a mal tourné avec des problèmes financiers ce qui a fait que certains contributeurs n’ont jamais reçu leur appareil. Aïe aïe. L’entreprise a même envisagé d’abandonner le hardware pour se concentrer uniquement sur l’OS. Puis en 2015, les Russes se sont intéressés au projet comme alternative aux systèmes américains et puis en 2023, une nouvelle structure baptisée Jolla Mobile Oy a repris le flambeau. Bref, c’est du Linux qui a survécu à tout.
Maintenant parlons de ce nouveau téléphone, le Jolla. La campagne de réservation anticipée ciblait 2000 personnes avec un dépôt de 99 € pour janvier 2026 et ils se sont retrouvés avec plus de 5000 réservations enregistrées avant même janvier. Le prix final sera évidemment plus élevé, entre 579 € et 699 €, ce qui reste raisonnable pour un smartphone avec ces specs.
Et justement, côté specs, ils ont fait les choses bien. Un écran AMOLED de 6,36 pouces, de la 5G, 12 Go de RAM avec 256 Go de stockage extensible via microSD. Et le petit plus que j’apprécie, une batterie de 5500 mAh remplaçable par l’utilisateur. Oui, remplaçable, comme dans le bon vieux temps. Y’a aussi un commutateur de confidentialité logiciel pour couper le micro, le Bluetooth ou les apps Android. Par contre, pas de prise jack audio pour votre vieux casque mais de mon point de vue, c’est pas une grosse perte.
Côté interface, Sailfish OS 5 fait vraiment différent de tout ce qu’on connait. On navigue par balayage gauche-droite entre deux écrans principaux, l’un pour les messages et notifications, l’autre comme commutateur d’applications avec des tuiles (coucou Windows Phone) et un long balayage rapide vers le bas ouvre un panneau de paramètres. Le design est également très minimaliste avec des petits points blancs lumineux pour les indicateurs d’état. Faut s’y habituer mais c’est clairement pas du Android recouvert d’une surcouche.
Et la grande question que vous vous posez tous : Les APPS ?
Hé bien Sailfish inclut une couche AppSupport qui permet de faire tourner des applications Android, donc vous avez accès à trois stores différents : le Jolla Store officiel, StoreMan pour OpenRepos, et Chum GUI. Plus F-Droid et Aurora Store si vous voulez vraiment tout avoir. Des apps natives existent évidemment pour l’essentiel comme les emails, le calendrier, les contacts, ou encore la navigation.
D’après les premiers journalistes qui l’ont testé
, y’a encore des petits soucis… Par exemple Google Maps et Here ne fonctionnent pas, le clavier n’a pas de saisie par glissement, les outils de stockage cloud sont limités et l’interface reste un peu “idiosyncratique” comme ils le disent poliment (en gros ça veut dire qu’elle est un peu cheloue).
Le système Sailfish tourne donc officiellement sur les téléphones Jolla (dont le Jolla C2 basé sur le Reeder S19 Max Pro S), sur plus d’une douzaine de modèles Sony Xperia, et il existe des portages communautaires pour d’autres appareils, donc si vous voulez tester avant d’acheter le nouveau Jolla, y’a moyen de bricoler sur un Xperia 10 III par exemple.
La sortie de ce nouveau smartphone est prévue pour mi-2026, d’abord en UE, au Royaume-Uni, en Norvège et en Suisse. Donc si vous êtes du genre à chercher une rupture totale avec Android/iOS, c’est probablement l’alternative la plus sérieuse qui existe car c’est du vrai Linux, c’est indépendant des GAFAM, et la communauté est suffisamment motivée pour avoir financé plus de 5000 réservations anticipées.
Par contre, prévoyez un GPS de votre côté, parce que pour le moment, c’est visiblement son point faible ^^.
Avec un peu d'avance, la Renault Twingo électrique dévoile ses prix pour la France. Comme prévu, la petite voiture électrique démarre sous les 20 000 euros, et ce hors bonus et même en incluant la charge rapide.