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Jusqu’à –70 % sur le stockage cloud à vie avec pCloud : une offre à ne pas manquer à l’occasion du 14 juillet !

pCloud vous propose rien de moins que la tranquillité d’esprit : le stockage sécurisé de vos données pour la vie, pas d'abonnement et en prime un gestionnaire de mots de passe offert. C’est le moment de profiter des promos !

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Subnautica 2 perd ses créateurs… à cause d’une réorientation vers le GAAS ?

Il y a de quoi se poser bien des questions : Charlie Cleveland, Max McGuire et Ted Gill, les créateurs historique de l’excellent jeu de craft et d’aventure sous-marine Subnautica, ont brutalement quitté le studio Unknown Worlds qu’ils codirigeaient par ailleurs jusqu’ici. Dans un court communiqué, l’éditeur coréen …

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Ironheart : comment la fin choquante de la série va impacter la suite du MCU

Riri Fière

Après deux semaines de diffusion, Ironheart tire déjà sa révérence, l’intégralité de ses six épisodes étant disponibles sur la plateforme de streaming Disney +. La série Marvel Television mettant en scène le personnage de Riri Williams s’offre un final riche en rebondissements, qui mérite qu’on s’y attarde quand même un petit peu. Attention spoilers.
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Disk Fight - Un jeu de la taupe avec des vraies disquettes qui sautent partout

Vous savez ce qu’on fait avec des vieilles disquettes en 2025 ? Bah la plupart du temps, on les balance à la poubelle ou on les utilise comme dessous de verre. Mais Rob Smith, lui, il a eu une idée complètement barrée : il a transformé ses disquettes en jeu vidéo physique ! Et pas n’importe quel jeu puisqu’il s’agit d’un Jeu de la taupe (Whack-a-mole) où au lieu de taper sur des taupes, vous devez remettre des disquettes qui sautent littéralement de leur lecteur.

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Amazon a déployé un million de robots dans ses entrepôts

Amazon a franchi un cap symbolique en annonçant avoir déployé un million de robots dans ses entrepôts à travers le monde, treize ans après l’acquisition de Kiva Systems en 2012. Ce millionième robot a été livré dans un centre de traitement des commandes au Japon. Cette progression rapide …

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Une calculatrice bien plus performante que celle de Windows (v5.6)

Merci à vous de suivre le flux Rss de www.sospc.name.

Cela vous est certainement arrivé : vous avez besoin de faire un rapide calcul et vous n'arrivez pas à mettre la main sur votre calculatrice.

Bon, comme vous le savez, Windows 10 en intègre une mais très basique.

Celle de Windows 11 est un petit peu plus évoluée, mais pas de révolution...

Je vous ai proposé au mois de mai d'utiliser à la place un logiciel libre beaucoup plus complet, une nouvelle version ayant été publiée le 30 juin je vous la propose donc.

Pour rappel, voici le descriptif de l'éditeur traduit avec DeepL :

C'est une calculatrice de bureau polyvalente et multiplateforme. Elle est simple à utiliser mais offre une puissance et une polyvalence normalement réservées aux progiciels mathématiques compliqués, ainsi que des outils utiles pour les besoins quotidiens (tels que la conversion de devises et le calcul de pourcentages). Parmi les fonctionnalités, on trouve une grande bibliothèque de fonctions personnalisables, des calculs et des conversions d'unités, des constantes physiques, des calculs symboliques (y compris des intégrales et des équations), une précision arbitraire, la propagation de l'incertitude, l'arithmétique d'intervalle, le traçage et une interface conviviale (GTK, Qt et CLI).

Vous pouvez l'utiliser à partir de Windows 10 en version 64 bits.

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pCloud sort l'artillerie lourde pour le 14 juillet : -70% sur le stockage à vie + gestionnaire de mots de passe offert ! 🎆

– Article en partenariat avec pCloud

Salut la compagnie !

Alors que tout le monde se prépare à faire péter les saucisses merguez et à regarder les feux d’artifice, pCloud nous sort une promo qui va faire plus de bruit que tous les pétards du 14 juillet réunis. Le service de stockage cloud suisse (oui, celui qui respecte vraiment votre vie privée) débarque avec des offres complètement folles à savoir jusqu’à -70% sur leurs plans à vie, avec en prime le gestionnaire de mots de passe pCloud Pass Premium offert !

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Test Hegzis (PS5) - Un casse-tête vraiment trop simple

Développé par Clazz Apps Software, Hegzis propose un gameplay inspiré des jeux de réflexion classiques, mais avec une structure hexagonale visant à offrir une petite variation sur le thème. L'impact initial avec Hegzis est minimaliste, presque excessif. Le menu principal propose immédiatement deux modes : « Stage », pour choisir librement le niveau à affronter, et « Next Level », qui suit un parcours progressif. Pas d'introduction, pas de tutoriel audio ou textuel : on est immédiatement plongé dans le jeu, pour le meilleur et pour le pire. Les paramètres sont réduits au strict minimum, à tel point qu'on se croirait dans un vieux jeu sur navigateur web. On ne peut régler que le volume de la musique et des effets sonores. Pas d'options d'accessibilité, pas de commandes alternatives. On perçoit presque une certaine paresse qui se reflète dans le reste de l'expérience. L'objectif de chaque niveau est clair : remplir les lignes de la grille hexagonale pour marquer des points et atteindre la cible représentée par des pièces d'or. Une fois cela fait, vous passez à la suite. Il n'y a pas de pénalités en cas d'erreur, pas de limite de temps, et même pas de véritable courbe de difficulté. Tout se déroule au même rythme, sans surprise. La mécanique de base d'Hegzis s'inspire du genre classique des puzzles, dont Tetris est un précurseur, mais la décline en une clé hexagonale. Vous placez des pièces composées de plusieurs cellules hexagonales à l'intérieur d'un grand hexagone central. L'idée est de créer des lignes complètes dans n'importe quelle direction pour les éliminer et marquer des points . Sur le papier, ce n'est pas mal, en fait, ça a même du potentiel. Le problème, c'est qu'on ne l'utilise jamais vraiment. La possibilité de faire tourner les pièces librement rend le défi pratiquement inexistant. Il suffit de tourner et de tourner jusqu'à ce que quelque chose convienne. Et sans limite de temps, pression extérieure ni pénalité, on finit par jouer automatiquement , sans tension ni réelle satisfaction. (Lire la suite)
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Microsoft teste un nouveau menu Démarrer pour Windows 11

Microsoft a décidé de renouveler en profondeur le menu Démarrer , le rendant plus flexible et adapté aux différents formats d'écran. Dans la nouvelle version, disponible pour les abonnés Dev Channel , le menu s'adapte automatiquement à la taille et à la résolution de l'écran. - Sur les écrans plus grands : 8 colonnes d'applications épinglées, 6 suggestions et 4 colonnes pour les catégories - Sur les appareils plus petits : 6 colonnes d'applications épinglées, 4 suggestions et 3 colonnes pour les catégories La nouveauté la plus visible est la possibilité de faire défiler toutes les applications directement dans le menu, sans avoir à ouvrir des écrans secondaires. Cela accélère la navigation, surtout avec de nombreuses applications installées. Vous pouvez également désactiver la section « Recommandées » pour libérer de l'espace et voir plus d'applications en un coup d'œil. Pour répondre aux goûts de chacun, Microsoft a également introduit deux nouvelles vues : - Vue par catégorie , qui regroupe les applications par type - Vue en grille , avec des applications triées par ordre alphabétique dans un style de liste classique La mise à jour du canal de développement ne se limite pas au menu Démarrer. La nouvelle version introduit également une fonctionnalité permettant de personnaliser les widgets de l'écran de verrouillage , en choisissant lesquels afficher, dans quel ordre et si certains éléments doivent être inclus ou non. Un détail qui améliore l'expérience utilisateur dès le démarrage de votre PC. Une autre nouveauté concerne les appareils de jeu portables : Microsoft a mis à jour le clavier de la manette, permettant aux utilisateurs de saisir le code PIN de connexion avec une manette. Une fonctionnalité conçue pour simplifier l'utilisation de Windows 11 sur des appareils comme ROG Ally , de plus en plus populaires parmi les joueurs. Tous ces changements montrent clairement la direction de Microsoft : rendre Windows 11 plus polyvalent et confortable , même en dehors des bureaux classiques. (Lire la suite)
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Raycast arrive sur Windows en version bêta

En résumé, Raycast est une application conçue pour simplifier et accélérer les opérations informatiques quotidiennes. Elle fonctionne comme un lanceur intelligent, activé par une simple combinaison de touches, et vous permet d'exécuter des commandes, de rechercher des fichiers, de gérer des applications et bien plus encore, sans jamais quitter le clavier. Raycast a gagné une clientèle fidèle grâce à son interface claire , sa rapidité d'utilisation et, surtout, sa prise en charge des extensions tierces . Il existe des plugins pour pratiquement tout : créer des rappels, consulter son calendrier, interagir avec GitHub, Slack, Notion, Google Agenda et des dizaines d'autres outils. Un autre point fort de Raycast réside dans sa personnalisation complète . Les utilisateurs plus expérimentés peuvent même créer leurs propres scripts ou workflows automatisés, faisant de Raycast un outil adapté à tous les besoins. Au fil des années, il est devenu l'alternative préférée à Spotlight ou Alfred pour de nombreux utilisateurs de Mac, mais avec une particularité : une communauté active et une philosophie d'utilisateur expérimenté qui met l'accent sur la vitesse. Après des années d'exclusivité sur macOS, Raycast débarque sur Windows avec de nombreuses fonctionnalités. Pour l'instant, il s'agit d'une version bêta , ce qui signifie que tout n'est pas encore à sa place. Même sous Windows, vous pouvez utiliser des extensions tierces , ce qui vous permet de personnaliser l'application selon vos besoins dès le premier lancement. Il s’agit d’un aspect clé, car il vous permet de profiter immédiatement de nombreuses fonctionnalités clés de Raycast, telles que les intégrations avec des outils externes. Mais attention, il existe encore plusieurs limites. En voici quelques-unes à prendre en compte. - Pas de synchronisation cloud : l’une des fonctionnalités Pro les plus utiles, qui vous permet de conserver la même configuration sur plusieurs appareils, n’est actuellement pas disponible sur Windows. - Extensions incompatibles : De nombreux plugins créés pour macOS ne fonctionnent pas sur la version Windows. - Incohérences de performances : Comme tout logiciel bêta, Raycast sur Windows peut rencontrer une certaine instabilité ou un ralentissement. L' abonnement Pro , facturé 8 $ par mois (facturé annuellement), n'est pas adapté aux utilisateurs Windows pour le moment, précisément parce que les fonctionnalités supplémentaires manquent encore. Raycast a confirmé leur arrivée prochaine , sans toutefois fournir de date précise. Pour essayer Raycast sur Windows, vous devez vous inscrire sur la liste d'attente depuis le site officiel en saisissant votre adresse e-mail via https://www.raycast.com/windows . Si vous recevez l'invitation, vous pourrez également inviter d'autres utilisateurs. Vous trouverez ci-dessous la vidéo de présentation de la version Windows. YKARc05qixw (Lire la suite)
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Les rôles arrivent sur Google Home, car tout le monde ne peut pas tout gérer

Google continue de développer l' expérience de la maison connectée , la rendant toujours plus accessible et personnalisable pour toute la famille. La dernière mise à jour de l' application Google Home apporte une fonctionnalité très attendue qui simplifie la gestion des appareils connectés, notamment lorsque plusieurs personnes partagent la maison avec des besoins différents. Nous pouvons désormais attribuer différents rôles aux membres de la famille ou aux amis, en décidant qui peut contrôler quoi. Google introduit deux nouveaux profils : Administrateur et Membre , avec des accès et des fonctions distincts. Qui est administrateur peut gérer tous les appareils, configurer les services connectés et ajouter ou modifier d'autres utilisateurs. C'est le rôle qui offre tous les pouvoirs dans la maison connectée. En revanche, les membres ne peuvent utiliser que les commandes de base, comme allumer les lumières ou surveiller les caméras de sécurité en direct. En pratique, les administrateurs peuvent décider de : - Activer l'accès aux paramètres , pour permettre aux membres de modifier des configurations spécifiques ; - Accordez l'accès à l'activité afin de pouvoir consulter l'historique des événements, tels que les mouvements détectés ou les notifications de la sonnette vidéo. L'une des mises à jour les plus utiles concerne les familles avec de jeunes enfants. Jusqu'à présent, ajouter un enfant à sa maison connectée était un véritable défi : entre Family Link, Google Home et Google Assistant, le processus était souvent confus et fragmenté. Désormais, Google a décidé de simplifier les choses. Il suffit de créer un compte pour l'enfant via Family Link, de l'ajouter au groupe familial, puis de l'inviter via l'application Google Home. L'enfant sera automatiquement ajouté en tant que Membre , avec les limites applicables. De cette façon, les plus petits pourront utiliser certaines fonctions de base, comme allumer une ampoule intelligente ou visualiser le flux en direct de leur caméra domestique, mais sans aucun accès aux paramètres ou à l'historique . (Lire la suite)
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Cloudflare veut taxer les IA qui aspirent le contenu des sites : un péage pour OpenAI et Google ?

Cloudflare veut taxer les IA qui aspirent le contenu des sites : un péage pour OpenAI et Google ?Alors que de plus en plus de médias critiquent vivement l’intelligence artificielle, accusée directement de faire perdre du trafic à certains journaux comme le New-York Times, le combat entre les créateurs de contenus et les intelligences artificielles est encore loin d’être terminé. Et si on a appris, ces derniers jours, qu’un juge a donné raison […]
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Seulement 10% des entreprises françaises utilisent l’IA en 2024 : la France décroche face à l’Europe

Seulement 10% des entreprises françaises utilisent l'IA en 2024 : la France décroche face à l'EuropeAlors qu’une récente étude de Bpifrance révélait que seulement 32% des PME françaises utilisent l’intelligence artificielle dans leur quotidien, il semblerait que le chiffre soit encore plus alarmant sur l’ensemble des entreprises en France. En effet, si on pouvait s’attendre à ce que le développement des intelligences artificielles comme OpenAI, Perplexity, et jusqu’à Mistral AI […]
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Faux comptes à rebours, abonnements piégés : une enquête dévoile l’ampleur des manipulations dans les jeux vidéo

Faux comptes à rebours, abonnements piégés : une enquête dévoile l'ampleur des manipulations dans les jeux vidéoAvec 3,3 milliard de joueurs de jeux vidéo dans le monde selon les derniers chiffres communiqués par Prioridata en janvier dernier, il est fort probable que vous ou l’un de vos proches soit un joueur occasionnel. Et si le principe d’un jeu-vidéo doit se baser sur la pratique et sur une part de hasard, il se […]
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L’impact de l’IA sur la planète ? Personne n’en parle (mais l’IA sert la désinformation)

Next, si !
L’impact de l’IA sur la planète ? Personne n’en parle (mais l’IA sert la désinformation)

Si des études scientifiques s’y attellent, les effets de l’explosion du secteur de l’intelligence artificielle sur l’environnement restent très peu discutés dans l’espace public, selon un rapport de Sopra Steria.

Depuis l’été 2022, l’intelligence artificielle est dans toutes les discussions. Impacts économiques, politiques, médiatiques, potentielle bulle financière, même, tous ses effets sont décortiqués à l’exception d’un, et non des moindres : celui que le secteur a sur l’environnement.

Entre janvier 2024 et avril 2025, moins de 1 % des 802 465 publications X et LinkedIn liées à l’IA et analysés par Opsci.ai évoquaient par exemple les effets de l’intelligence artificielle sur l’écosystème planétaire. Menée avec Opsci.ai, une récente étude de Sopra Steria sur le brouillard informationnel qui obscurcit les liens entre IA et environnement constate que le climat n’arrive qu’en huitième position des préoccupations des 100 leaders de l’IA listés par le Time Magazine, loin derrière les débats autour des modèles ou encore de l’actualité du secteur.

Le sujet est pourtant d’importance : si le rôle de l’humanité dans le réchauffement climatique fait consensus dans la communauté scientifique depuis plus de 15 ans, 33 % de la population française considère en 2024 que le réchauffement climatique n’est qu’une hypothèse sur laquelle les scientifiques ne sont pas tous d’accord. Et alors qu’une soixantaine de scientifiques du GIEC annonçaient mi-juin que le maintien du réchauffement climatique sous les 1,5 °C de plus qu’avant l’ère pré-industrielle était désormais impossible, 29 % de la population mondiale doute de ce consensus.

Sur le rôle spécifique de l’IA dans le domaine, les calculs sont complexes, mais les premières données scientifiques sont claires : recourir à des modèles de langage généralistes est beaucoup plus consommateur que de se tourner vers de plus petits modèles – des besoins en énergie qui, le plus souvent, sont synonymes d’accroissement significatif de multiples impacts environnementaux, à commencer par les émissions carbone.

Relative focalisation sur la question énergétique

Du côté des personnes clairement intéressées par la lutte contre les bouleversements climatiques, l’IA n’occupe que 2,85 % des discussions, constate Sopra Steria après analyse de 314 419 messages issus d’un panel LinkedIn dédié. Dans ces cas là, elle est principalement présentée comme une menace en termes d’énergie – un enjeu compréhensible, dans la mesure où le patron d’OpenAI lui-même suggère qu’à terme, « une fraction significative de l’énergie sur Terre devrait être consacrée à l’exécution de calculs d’IA ».

Quasiment pas de trace, en revanche, de ses effets sur le cycle de l’eau, sur lesquels le sociologue Clément Marquet ou l’urbaniste Cécile Diguet sont revenus pour Next, ou sur la santé des populations, pourtant directement touchée par la pollution atmosphérique des centres de données.

En s’arrêtant sur l’épisode de génération mondiale de starter packs, qui avait ouvert un semblant de discussion sur le sujet, l’étude constate que les discours sur X et sur LinkedIn sont relativement différents.

Sur la première plateforme – dont le manque de modération a par ailleurs fait fuir bon nombre de spécialistes depuis plusieurs années, l’essentiel des discussions était enthousiaste envers le fait de se créer des starter packs, et consistaient à partager des conseils de prompts (requêtes). 17,2 % des publications émettaient néanmoins des critiques, dont 2,4 % en s’inquiétant spécifiquement de l’eau utilisée par les data centers. 



Sur LinkedIn, 29,4 % des publications critiquaient les starter packs. Les publications enthousiastes restaient majoritaires, souligne l’étude, mais ont recueilli moins d’engagement (22,86 % du total étudié) que celles critiquant le fait de générer ces images (33,56 %).

L’IA au service de la désinformation

Impact indirect de l’IA : les modèles génératifs servent par ailleurs à désinformer sur les enjeux environnementaux. En 2024, l’IA avait notamment été employée dans la campagne de désinformation qui avait perturbé le secours aux victimes des ouragans Hélène et Milton. En janvier 2025, l’European Digital Media Observatory alertait sur le fait que ces thématiques étaient devenues le premier sujet de désinformation en Europe.

Sur X, le chatbot Grok de xAI participe par ailleurs directement au problème, glissant directement des propos climatosceptiques dans certaines réponses relatives au climat – le robot a par ailleurs été utilisé pour produire une « étude » dont la totalité du propos vise à nier le rôle de l’humanité dans le changement climatique.

Les médias traditionnels ont, eux aussi, des progrès à faire. En recourant à de la détection automatisée (d’aucuns la qualifieraient d’IA), QuotaClimat a détecté pas moins de 128 cas de désinformations environnementale dans l’audiovisuel français en 3 mois, soit une dizaine de propos faux par semaine.

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Xbox Game Pass : la première vague de juillet vous gâte !

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Pour les abonnés Xbox Game Pass, le mois de juillet 2025 s'annonce riche en nouveautés. Microsoft, via son service d'abonnement offrant un accès à une vaste bibliothèque de jeux en streaming ou en téléchargement, a révélé la première vague de titres qui viennent enrichir le catalogue. C'est l'occasion de découvrir les ajouts majeurs qui marqueront ce mois estival.

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Exchange, SharePoint : Microsoft acte la hausse de prix de ses licences « on premise »

On premise, mais pas trop
Exchange, SharePoint : Microsoft acte la hausse de prix de ses licences « on premise »

Microsoft appliquera à compter du mois de juillet une hausse de 10 % sur le tarif des licences de ses logiciels serveur Exchange, SharePoint et Skype for Business quand ces derniers sont installés on premise. Les licences d’accès client (CAL) associées augmenteront quant à elles de 15 à 20 % au 1er août.

« Bien que les suites Microsoft 365 continuent d’être un excellent choix (…) en raison de leurs performances, de leur évolutivité et de leur sécurité exceptionnelles, nous reconnaissons le besoin critique et toujours d’actualité de déploiements sur site dans certains environnements clients », commence par affirmer Microsoft. Mais si l’éditeur se dit enclin à perpétuer la possibilité d’installer un serveur Exchange ou SharePoint on premise, c’est à dire sur l’infrastructure en propre du client, cette alternative sera désormais facturée plus cher.

Des hausses de prix comprises entre 10 et 20 %

En l’occurrence, le prix facial de la licence SharePoint Server, Exchange Server ou Skype for Business Server augmente de 10 %, avec une hausse censée entrer en vigueur courant juillet. Microsoft justifie cette augmentation par la nécessité de « prendre en charge la maintenance continue et les mises à jour des produits de serveur sur site ».

L’éditeur annonce dans le même temps une hausse du prix des licences d’accès client (CAL) associées, qui s’ajoutent à la licence du logiciel serveur pour gérer les utilisateurs finaux. Cette fois, l’augmentation est datée au 1er août. Elle sera de 15 % sur la suite CAL Core Microsoft, et se montera à 20 % pour la suite CAL Entreprise Microsoft.

« Ces modifications s’appliquent exclusivement aux versions sur site de ces produits. Elles n’ont aucun impact sur les tarifs de SharePoint Online, Exchange Online ou Microsoft Teams achetés séparément ou via une licence Microsoft 365 », prend encore soin de préciser l’éditeur.

Lancement d’Exchange Server Subscription Edition

Ces hausses de prix interviennent alors que Microsoft vient tout juste d’annoncer la disponibilité générale de l’offre qui remplace désormais Exchange Server 2016 ou 2019 : Exchange Server Subscription Edition (résumé en Exchange SE), accompagné d’une version équivalente de Skype for Business Server.

L’occasion est toute trouvée de remettre l’accent sur l’intérêt des déclinaisons cloud de l’offre. « Alors qu’Exchange Online et Microsoft 365 continueront d’offrir les solutions les plus récentes et les plus innovantes, notamment l’intégration de Microsoft 365 Copilot, Exchange SE démontre notre engagement à fournir un support continu pour les scénarios dans lesquels les solutions sur site restent essentielles », répète ainsi la firme de Redmond.

L’introduction d’Exchange Server SE marque pour mémoire un tournant dans la façon dont Microsoft gère ses licences logicielles. Alors que les précédentes versions d’Exchange Server sont associées à une date de fin de support prévisionnelle – la dernière mise à jour des éditions 2016 et 2019 est censée intervenir le 14 octobre prochain, cette Subscription Edition bascule sur une logique d’amélioration continue. Elle est donc censée recevoir des mises à jour et des nouveautés fonctionnelles sans interruption, dont l’utilisateur pourra profiter tant qu’il remplit les conditions exigées.

Comme rappelé dans une FAQ dédiée, Microsoft n’autorise plus, avec Exchange Server SE, l’achat de licences nues comme il le faisait avec Exchange Server 2019. Outre la licence serveur et les CAL, l’entreprise cliente doit en effet disposer soit d’un abonnement Software Assurance (SA), soit d’abonnements cloud pour tous les utilisateurs et appareils qui seront amenés à accéder à Exchange Server SE… au moyen par exemple d’abonnements Microsoft 365.

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Claude Code, l'assistant IA d'Anthropic, supporte maintenant les hooks, qui permettent un contrôle déterministe du comportement de Claude sur certaines actions, plutôt que de simplement compter sur le LLM

Claude Code, l'assistant IA d'Anthropic, supporte maintenant les hooks, qui permettent un contrôle déterministe du comportement de Claude sur certaines actions, plutôt que de simplement compter sur le LLM.

Claude Code, l'assistant IA d'Anthropic, supporte maintenant les hooks, qui permettent un contrôle déterministe du comportement de Claude, en s'assurant que certaines actions se produisent toujours plutôt que de compter sur le LLM pour choisir de les exécuter. Anthropic note que les hooks exécutent...

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Grammarly vient d'acquérir la start-up d'e-mail Superhuman dans le cadre de sa stratégie qui va au-delà de la correction grammaticale pour créer une suite complète d'outils de productivité basés sur l'IA

Grammarly vient d'acquérir la start-up d'e-mail Superhuman dans le cadre de sa stratégie qui va au-delà de la correction grammaticale pour créer une suite complète d'outils de productivité basés sur l'IA

Dans le cadre d'une stratégie visant à étendre ses capacités au-delà de la correction grammaticale, Grammarly vient d'acquérir la start-up Superhuman, spécialisée dans les e-mails, marquant ainsi son entrée sur le marché des suites d'outils de productivité basés sur l'intelligence artificielle (IA)....

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Samsung lève le pied, repousse son 1,4 nm et ajoute un 2 nm au programme...

Il y a exactement deux ans, Samsung Foundry ambitionnait d'introduire son procédé SF1.4 (1,4 nm) en 2027, sur les pas d'un SF2, qui aurait entre-temps été décliné moult fois et se devant de rattraper les errements de l'entreprise avec un 3 nm raté. Néanmoins, les plans ont (encore changé) ! Comme at...

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