Xiaomi ouvre son premier magasin en Allemagne : la France dans le viseur ?
Si vous voulez recevoir les meilleures actus Frandroid sur WhatsApp, rejoignez cette discussion.
Si vous voulez recevoir les meilleures actus Frandroid sur WhatsApp, rejoignez cette discussion.
Préparez-vous à descendre dans un cauchemar sans fin. Pour cet opus, Treyarch sort l’artillerie lourde avec une version survitaminée du mode Zombies dans Black Ops 7, mêlant nostalgie, chaos coopératif et ambitions démesurées. On parle ici de la plus grande carte jamais conçue, mais ce n’est que le début du délire.
Le mode Zombies emblématique par manches fait son grand retour dans Black Ops 7, avec une nouveauté de taille : des véhicules jouables qui vous propulsent à travers une carte gigantesque, peuplée de lieux inédits et de secrets bien glauques.
Mais le vrai choc, c’est le crossover temporel. L’équipe de Black Ops 6 croise des versions alternatives des figures mythiques : Richtofen, Takeo, Nikolai et Dempsey. Ces légendes ne se souviennent de rien, mais devront affronter ensemble une nouvelle horreur… car dans le Dark Aether, les règles n’existent plus.
Autre clin d’œil aux puristes : les cartes Survie font leur come-back, centrées sur un seul objectif : tenir bon le plus longtemps possible face à des vagues toujours plus féroces.
Et pour ceux qui aiment l’absurde et les explosions : Dead Ops Arcade 4 revient dans une version encore plus barrée. Arènes déjantées, armes expérimentales, pièges farfelus… que vous jouiez seul ou en escouade, préparez-vous à un carnage total.
Suite aux événements de Black Ops 6, l’équipe de Weaver se retrouve coincée dans un univers parallèle – le Dark Aether. Ce n’est plus une simple dimension : c’est un piège psychotique où les règles du temps et de l’espace n’existent plus. Brouillard épais, structures désintégrées, distorsion permanente de la réalité… et au milieu de ce chaos, un nouveau terrain de jeu à explorer.
Plot twist majeur : la team Black Ops 6 croise une version alternative du crew légendaire — Richtofen, Takeo, Dempsey, Nikolai. Sans souvenir commun, sans repère, mais unis face à une horreur qui dépasse tout ce qu’ils ont connu. Ce crossover ouvre des perspectives folles sur le lore, avec un double niveau de narration.
« Après les événements de l’histoire Zombies de Black Ops 6, l’équipe se retrouve piégée au cœur du Dark Aether et entre en collision avec une version alternative de l’équipe originale — Richtofen, Nikolai, Takeo et Dempsey. Disons simplement que l’histoire Zombies s’apprête à partir dans des directions folles. »
— Leslie, développeuse chez Treyarch, interview officielle via TechPowerUp
Le terrain n’est plus un simple décor figé. Ici, on explore un monde fragmenté, interconnecté, avec transport par Wonder Vehicle pour relier des zones éloignées.
Chaque portion recèle ses propres secrets, armes spéciales et points d’intérêt. Et pour les puristes, le retour des Survival Maps permet de s’enfermer dans des zones spécifiques, version “BO2 hardcore”.
Toujours plus barré, Dead Ops Arcade 4 propose une parenthèse arcade top-down, jouable jusqu’à 4, dans un tourbillon de bonus, pièges, arènes absurdes et progression au rythme des explosions. C’est bourrin, c’est fun, c’est assumé.
Dead Ops Arcade 4 débarque dans Black Ops 7 !
— Call of Duty France (@CallofDutyFR) August 19, 2025
Ce shooter Zombies en vue du dessus offre une action arcade explosive avec progression du joueur. Entre atouts, pièges et vagues d’ennemis, c’est le chaos coop jusqu’à 4 joueurs. Plus d’infos très bientôt. pic.twitter.com/QNcipS191s
XP, défis, camos, progression globale : tout ce que vous débloquez dans Zombies sert aussi en multijoueur, campagne et Warzone. La synergie est totale.
Le mode Zombies de Black Ops 7 promet une aventure mémorable, et l’attente sera brève: la présentation officielle du mode Zombies est prévue dans quelques semaines.
À lire aussi : Tout savoir sur Black Ops 7
À découvrir : Campagne Black Ops 7, entre mémoire et folie
Campagne de Black Ops 7 : entre héritage, manipulation et chaos psychologique à Avalon City ! Dix ans après les événements de Black Ops 2, la franchise revient avec une campagne solo (ou coop jusqu’à 4 joueurs) qui réunit anciens visages familiers et nouvelles figures marquantes. On y retrouve David Mason, fils d’Alex, épaulé par Mike Harper, Eric Samuels et Leilani « 50/50 » Tupuola, dans une mission qui bascule rapidement du tactique au cauchemar existentiel.
Le monde de 2035 n’a plus rien de stable. Ravagé par les conflits et la désinformation, il devient le terrain d’un affrontement entre l’ancien antagoniste culte Raul Menendez, de retour avec une menace planétaire, et une mystérieuse entité techno-militaire : The Guild, dirigée par l’ambiguë Emma Kagan.
Le point de départ : une vidéo cryptique de Menendez qui annonce l’effondrement global. En réponse, The Guild promet de rétablir l’ordre, quitte à franchir toutes les lignes rouges.
David Mason, désormais commandant au sein du JSOC, est envoyé à Avalon, mégalopole méditerranéenne et centre névralgique de cette crise.
Conçue comme un personnage à part entière, Avalon est bien plus qu’un décor. Derrière ses façades high-tech, ses rues tentaculaires et ses installations secrètes, la ville incarne la philosophie trouble de The Guild. C’est aussi le théâtre du mode Endgame, pivot narratif où le joueur débloque de nouvelles capacités et affronte des vagues d’ennemis dans un environnement semi-ouvert.
Le cœur du scénario repose sur une arme conçue pour transformer la peur en outil de domination. Exposés à ce dispositif expérimental, les membres de l’équipe de Mason voient leur perception se distordre. Le réel se mélange à leurs souvenirs, leurs traumatismes, et c’est tout le gameplay qui bascule : niveaux hallucinés, introspection forcée, paranoïa ambiante.
Leur dynamique renforce la narration : tension, complémentarité et conflits internes rythment l’aventure.
À mesure que l’intrigue progresse, la frontière entre mission et hallucination se brouille. Le joueur n’est jamais totalement sûr de ce qu’il vit. Une narration à la Inception, entre souvenirs modifiés et manipulations mentales. L’héritage des anciens opus est bien présent, mais repensé pour un récit à la fois autonome et profondément dérangeant.
À lire aussi : Tout ce qu’il faut savoir sur Black Ops 7
A découvrir : Black Ops 7 Zombies : retour dans le Dark Aether avec la carte la plus vaste de la série
Google a annoncé l’expansion de son Mode IA, une fonctionnalité de recherche alimentée par l’intelligence artificielle, à 180 pays et territoires, à l’exception de l’Union européenne. Initialement lancé aux États-Unis, au Royaume-Uni et en Inde, ce déploiement marque une étape majeure dans l’accessibilité mondiale de cette technologie. Une …
Aimez KultureGeek sur Facebook, et suivez-nous sur Twitter
N'oubliez pas de télécharger notre Application gratuite iAddict pour iPhone et iPad (lien App Store)
L’article Google étend son Mode IA dans 180 pays… mais zappe l’Europe est apparu en premier sur KultureGeek.
Rejoignez-nous de 17 à 19h, un mercredi sur deux, pour l’émission UNLOCK produite par Frandroid et Numerama ! Actus tech, interviews, astuces et analyses… On se retrouve en direct sur Twitch ou en rediffusion sur YouTube !
Envie de rejoindre une communauté de passionnés ? Notre Discord vous accueille, c’est un lieu d’entraide et de passion autour de la tech.
Auchan annonce avoir fait l’objet d’une nouvelle cyberattaque, ce qui a entraîné le vol des données de plusieurs centaines de milliers de clients. L’enseigne avait déjà fait l’objet d’un piratage en novembre 2024, cela avait touché 500 000 clients. Nouvelle cyberattaque visant Auchan Dans un e-mail envoyé aujourd’hui …
Aimez KultureGeek sur Facebook, et suivez-nous sur Twitter
N'oubliez pas de télécharger notre Application gratuite iAddict pour iPhone et iPad (lien App Store)
L’article Auchan est une nouvelle fois piraté avec le vol de données clients est apparu en premier sur KultureGeek.
GoPro, altimètres connectés et lunettes intelligentes transforment les sauts en parachute en garantissant l’immersion et une analyse des données précise.
L’article GoPro, altimètre connecté… des innovations qui changent la pratique du saut en parachute est apparu en premier sur Toms Guide.
Orange dévoile sa nouvelle Flybox 5G+ Home, une box développée en collaboration avec Nokia, intégrant le Wi-Fi 7 et exploitant le réseau 5G+ pour offrir une alternative performante à la fibre optique. Conçue pour répondre aux besoins croissants des foyers n’étant pas éligibles à la fibre optique, cette …
Aimez KultureGeek sur Facebook, et suivez-nous sur Twitter
N'oubliez pas de télécharger notre Application gratuite iAddict pour iPhone et iPad (lien App Store)
L’article Orange améliore son offre 5G+ fixe avec une Flybox Wi-Fi 7 est apparu en premier sur KultureGeek.
Chaque jour nous dénichons pour vous des promos sur les produits High-Tech pour vous faire économiser le plus d’argent possible. Voici la liste des bons plans du jour (valable au moment où nous écrivons ces lignes) : Les stocks des produits sont limités, les prix peuvent donc remonter …
Aimez KultureGeek sur Facebook, et suivez-nous sur Twitter
N'oubliez pas de télécharger notre Application gratuite iAddict pour iPhone et iPad (lien App Store)
L’article [#BonPlan] Les promos High-Tech du 21 aout est apparu en premier sur KultureGeek.
AMD continue de dérouler sa gamme Ryzen 9000, et cette fois, c’est le Ryzen 5 9500F qui fait parler de lui. Positionné comme une version allégée (et sans fioritures) du 9600, ce processeur à six cœurs entend bien séduire les amateurs de config budget… à condition d’accepter de faire une croix sur la partie graphique intégrée.
Après le Ryzen 5 9600X3D et le Ryzen 7 9700F, le 9500F s’annonce comme le véritable remplaçant du Ryzen 5 7500F, un modèle qui avait marqué l’entrée de gamme AM5. Avec des premiers benchmarks qui le placent au coude-à-coude avec ses grands frères, ce CPU semble bien décidé à redéfinir le segment des processeurs abordables.
Sous le capot, on retrouve ce qu’AMD sait faire de mieux en Zen 5 : un CCD avec 6 cœurs / 12 threads, SMT actif bien sûr, et des caches dans la norme de la série :
Côté fréquences, le 9500F affiche un base clock de 3,8 GHz et grimpe jusqu’à 5,05 GHz en boost. Des chiffres très proches du Ryzen 5 9600, qui monte à 5,2 GHz en pointe.
Testé sur une carte ASUS TUF Gaming B850M-Plus WiFi et 32 Go de DDR5 à 6000 MT/s, le Ryzen 5 9500F a livré les résultats suivants sur Geekbench 6 :
Des scores qui le placent quasiment à égalité avec le Ryzen 5 9600, crédité de 3 166 / 14 257 points. La seule vraie différence ? Le boost légèrement supérieur du 9600… et la présence d’un iGPU, évidemment.
Le suffixe « F » ne laisse aucun doute : pas d’iGPU ici. Pour l’affichage, il faudra donc obligatoirement passer par une carte graphique dédiée. Un choix assumé par AMD, qui vise clairement les gamers ou les utilisateurs équipés d’un GPU discret, pour qui l’iGPU est de toute façon désactivé.
Cette absence permet aussi de tirer le prix vers le bas : si l’on en croit la logique de gamme, le 9500F devrait se positionner sous la barre des 200 €, voire sous les 180 €, ce qui le rendrait très compétitif face au reste du line-up.
Modèle | Cœurs / Threads | Base/Boost | L2 | L3 | Mémoire | iGPU | TDP | Prix |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
Ryzen 9 9950X3D | 16 / 32 | 4,3 / 5,7 GHz | 16×1 Mo | 96+32 Mo | DDR5-5600 | Oui | 170 W | 649 € |
Ryzen 9 9950X | 16 / 32 | 4,3 / 5,7 GHz | 16×1 Mo | 2×32 Mo | DDR5-5600 | Oui | 170 W | 519 € |
Ryzen 9 9900X3D | 12 / 24 | 4,4 / 5,5 GHz | 12×1 Mo | 96+32 Mo | DDR5-5600 | Oui | 120 W | 549 € |
Ryzen 9 9900X | 12 / 24 | 4,4 / 5,6 GHz | 12×1 Mo | 2×32 Mo | DDR5-5600 | Oui | 120 W | 336 € |
Ryzen 7 9800X3D | 8 / 16 | 4,7 / 5,2 GHz | 8×1 Mo | 96 Mo | DDR5-5600 | Oui | 120 W | 449 € |
Ryzen 7 9700X | 8 / 16 | 3,8 / 5,5 GHz | 8×1 Mo | 32 Mo | DDR5-5600 | Oui | 65 W | 278 € |
Ryzen 7 9700F | 8 / 16 | 3,5 / 5,5 GHz | 8×1 Mo | 32 Mo | DDR5-5600 | Non | 65 W | ? € |
Ryzen 5 9600X3D | 6 / 12 | ? / ? GHz | 6×1 Mo | 96 Mo | DDR5-5600 | Oui | ? W | ? € |
Ryzen 5 9600X | 6 / 12 | 3,9 / 5,4 GHz | 6×1 Mo | 32 Mo | DDR5-5600 | Oui | 65 W | 189 € |
Ryzen 5 9600 | 6 / 12 | 3,8 / 5,2 GHz | 6×1 Mo | 32 Mo | DDR5-5600 | Oui | 65 W | 205 € |
Ryzen 5 9500F | 6 / 12 | 3,8 / 5,05 GHz | 6×1 Mo | 32 Mo | DDR5-5600 | Non | ? W | ? € |
Avec des performances quasi identiques au 9600 et un tarif plus contenu, le Ryzen 5 9500F coche presque toutes les cases pour ceux qui cherchent un processeur moderne, performant, et sans superflu.
Il faudra encore attendre une annonce officielle d’AMD pour en savoir plus sur sa disponibilité réelle et son prix exact. Mais une chose est sûre : si le 9500F est bien lancé sous les 200 €, il risque de faire de l’ombre à plus d’un CPU dans sa catégorie.
À retenir : le Ryzen 5 9500F pourrait bien devenir le nouveau roi du rapport perf/prix chez AMD, à condition d’avoir déjà un GPU sous la main. Si vous cherchez un CPU pour une config gamer sans vous ruiner, gardez un œil sur ce modèle.
Comme à son habitude, MSI profite de la maturité d’une plateforme pour lancer sa version « MAX ». Cette année, c’est à l’occasion de la Gamescom que la marque dévoile la série X870E MAX, un refresh bienvenu de ses cartes mères AM5.
L’idée ? Apporter des optimisations concrètes pour tirer encore plus de jus des processeurs Ryzen 9000 tout en peaufinant l’ergonomie et la stabilité. Rien de révolutionnaire sur le papier, mais un vrai coup de polish sur tous les points stratégiques. Découvrons ensemble les nouveautés et les quatre modèles X870E MAX annoncés par MSI.
Avec les X870E MAX, MSI double la mémoire du BIOS, passant à 64MB, histoire d’accueillir sereinement les prochaines évolutions de microcode AMD. Côté overclocking, l’intégration d’un OC Engine permet de désolidariser le BCLK du reste, pour des réglages plus fins et surtout plus performants.
Pour les plus impatients, le jumper Direct OC autorise même des ajustements à chaud, sans redémarrer. Parfait pour les amateurs de fine-tuning en conditions réelles.
Que vous soyez joueur, créateur ou gros transféreur de fichiers, tout est là : slots PCIe Gen5 pour les GPU, ports M.2 Gen5 sans compromis, USB à 40 Gbps, Wi-Fi 7, LAN 5G, et même 10G pour les modèles premium. MSI a clairement sorti l’artillerie lourde côté connectique. Le tout, sans conflit de bande passante grâce à une meilleure gestion du bifurcation PCIe.
Clips M.2 à une main, détache rapide pour les GPU, fixation simplifiée pour les antennes : MSI continue de peaufiner l’expérience de montage. Couplé au BIOS Click X, qui facilite le réglage sans prise de tête, la série X870E MAX se veut plus accueillante, même pour les utilisateurs moins aguerris.
Modèle premium longtemps attendue depuis le lancement de l’AM5, l’ACE MAX avait fait une apparition timide au Computex sous forme « standard »… sans jamais être commercialisée.
La voilà enfin officialisée dans la série MAX – espérons qu’elle ne reste pas qu’un croquis dans un catalogue. Elle conserve son esthétique noire et dorée, typique de la gamme MEG, et embarque ce qu’il faut pour séduire les passionnés : alimentation musclée, PCIe Gen5, USB 40 Gbps, LAN 10G, Wi-Fi 7, audio haut de gamme. Elle bénéficie évidemment du BIOS 64MB, de l’OC Engine et des fonctionnalités MAX attendues sur ce segment.
Déjà l’une des cartes les plus complètes de sa catégorie dans sa version classique, que nous avions passée au crible lors de son lancement.
La CARBON revient en version MAX avec des capacités encore renforcées. Look noir carbone et finition musclée, elle vise clairement les configurations gaming exigeantes. Alimentation 18+2+1 phases, triple M.2 dont un en Gen5, dissipateurs costauds, double LAN (5G et 2.5G), Wi-Fi 7, USB 40 Gbps : elle coche toutes les cases. Comme le veut la série, elle embarque le BIOS 64MB, l’OC Engine et l’ensemble des fonctionnalités EZ DIY.
Classique de chez MSI, la TOMAHAWK MAX propose une configuration équilibrée, fiable et performante. Étages d’alimentation 14+2+1 phases, triple M.2 avec un port Gen5, Wi-Fi 7, LAN 5G, USB 40 Gbps… Rien ne manque. Et avec l’intégration du BIOS MAX, de l’OC Engine et des outils EZ DIY, elle se positionne comme un choix robuste pour les gamers avertis.
Avec son design argenté et son format soigné, l’EDGE TI MAX s’adresse aux builders qui aiment les setups lumineux. Elle embarque du PCIe 5.0, du Wi-Fi 7, un port USB 40 Gbps, et trois emplacements M.2. Côté alimentation, elle repose sur un étage en 14+2+1 phases, renforcé par un système de dissipation efficace. Elle bénéficie évidemment des atouts MAX : BIOS 64MB, OC Engine et EZ DIY complet.
Déclinée désormais en blanc, cette carte mère propose une base solide pour les configurations AM5 sans compromis. On y retrouve un slot PCIe 5.0 x16, trois ports M.2 dont un en Gen5, du Wi-Fi 7, un port USB4 à 40 Gbps, ainsi qu’un LAN 5G signé Realtek. Compatible avec la série Ryzen 7000 à 9000, elle adopte aussi les standards de la gamme MAX : BIOS 64MB, OC Engine, Direct OC Jumper et fonctionnalités EZ DIY complètes.
Pas de refonte drastique chez MSI, mais une série « MAX » qui assume son rôle : stabiliser, renforcer, optimiser. Ces cartes mères sont pensées pour ceux qui veulent tirer le meilleur de l’écosystème AM5 sans attendre la prochaine révolution. À la Gamescom, MSI a donc consolidé sa gamme, en proposant aux utilisateurs une plateforme mature, richement équipée, et prête pour le futur.
Envie d’en savoir plus sur la GODLIKE X dévoilée à la Gamescom ? Lisez notre récap événement.