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Que vaut la fontaine à oiseaux intelligente Birdfy Bath Pro ?

L’automne arrive, doucement, mais sûrement, et on va pouvoir retourner dans le jardin. Oui retourner, car les moustiques avaient jusqu’ici pris possession de ce dernier, tout du moins chez moi, et la chaleur ne donnait vraiment pas envie de s’y attarder. Les petites découpes et tailles arrivent, et il est grand temps de remettre d’aplomb tout ça. Si nos mangeoires connectées ont permis de belles observations ces derniers mois, il nous manque définitivement un bain pour nos oiseaux de passage, et c’est donc naturellement que nous avons décidé de tester le Birdy Bath Pro.

C’est la version avec socle qui nous a gentiment été envoyée et qui est affichée au prix de 399,99 € hors promotion, mais à l’heure où ces lignes sont écrites, vous retrouverez notre Bath Pro du jour au prix de 309,99 €.

 

Unboxing

À l’avant, on découvre le produit en situation : le bassin avec la caméra et la fontaine, un oiseau posé dedans, et le panneau solaire bien visible. Le visuel donne un aperçu clair de ce que l’on achète, avec le logo Birdfy et la mention « Bath Pro » bien mise en avant. À gauche et à droite, on aura une mise en avant des spécifications techniques et le contenu du colis à l’arrière. On voit rapidement ce qui est inclus : le bassin, la fontaine, le socle, les buses, le câble de charge et tous les accessoires. L’une des faces montre aussi les dimensions et le poids pour se faire une idée précise de l’encombrement.

Bien sûr à l’arrière, c’est ici que sont détaillées les fonctionnalités principales : caméra dual-lens, vision nocturne, reconnaissance IA des oiseaux, alimentation solaire, et autonomie de la batterie. On y retrouve également un QR Code pour télécharger l’application et la communauté faisant office un peu de réseau social pour oiseau est bien mise en avant.

 

Caractéristiques techniques

Caméra

Caméra frontale à double objectif

Couleur

Bleu

Objectif grand-angle

2 MP & 1080p

Objectif portrait

3 MP & 2K

Panneau solaire (caméra)

Intégré, 1,9 W

Panneau solaire (fontaine)

Intégré, 1,65 W

Reconnaissance des oiseaux (IA)

À vie / par abonnement

Batterie

9000 mAh

Connexion réseau

Wi-Fi 2,4 GHz

Connexion Bluetooth

Non

Matériau

Plastique ABS (20 % recyclé) + métal

Étanchéité

IP66

Mode vision nocturne

Lumière blanche uniquement

Audio bidirectionnel

Microphone & haut-parleur

Capacité du bassin

0,9 gallon (3,5 L)

Profondeur du bassin

1,65 pouces (4,2 cm)

Diamètre du bassin

16 pouces (41 cm)

Hauteur du poteau

17,7 pouces (45 cm)

Hauteur après installation

30 pouces (76,5 cm)

Poids du colis

Birdfy Bath Pro avec pied : 10,8 lbs (4,916 kg)

Dimensions du colis

Birdfy Bath Pro : 17,6 » x 7,1 » x 19,7 » (448 x 180 x 500 mm)

Lecture carte Micro SD

Non

Température de fonctionnement (fontaine)

0°C à 50°C (32°F à 122°F)

Température de fonctionnement (caméra)

-10°C à 50°C (14°F à 122°F)

Garantie

2 ans

Certifications

FCC, IC, CE(RED), ROHS, CEC, DOE, TSCA, WERCS, IP66

 

Fonctionnalités

 

 

Contenu

• Manuel d’utilisation ×2

• Guide de démarrage rapide ×1

• Bassin + Caméra + Panneau solaire intégré

• Câble de charge ×1

• Goupille d’éjection ×1

• Buses ×7

• Coton filtrant ×6

• Poteau ×1

• Pied (support) ×1

• Connecteur ×1

• Vis ×4

• Goupille à verrou + lanière ×1

 

 

Installation

Installer le Birdfy Bath Pro avec son socle est assez simple et rapide. Il suffit de fixer le poteau sur le pied fourni à l’aide des vis et du connecteur inclus, puis de positionner le bassin avec la caméra et la fontaine dessus. La goupille à verrou et la lanière assurent la stabilité de l’ensemble, et comme tout est pré-monté et pensé pour être modulable, il n’y a pas besoin d’outils particuliers. En quelques minutes, le dispositif est prêt à l’emploi et peut être placé dans le jardin à un endroit ensoleillé pour profiter pleinement des panneaux solaires.

J’ai d’ailleurs installé notre modèle du jour avec mon fils de 5 ans, totalement fan déjà des mangeoires de la même marque, et ce fut un réel plaisir de réaliser cette activité ensemble.

 

Test & Application

Quand on découvre le Birdfy Bath Pro, on se rend vite compte que ce n’est pas un simple bain pour oiseaux, mais une véritable expérience connectée, pensée pour transformer le moindre jardin en scène de documentaire animalier et surtout destinée à ceux qui aiment ces petites bêtes. Clairement, nous sommes sur un produit dit de niche. On remarquera également directement sur la face avant du produit qu’il s’agit du modèle avec l’abonnement IA intégré, sans abonnement en plus, et ça, on adore !

Là où la plupart des bains d’oiseaux restent de simples coupelles en céramique ou en métal, Birdfy a choisi d’en faire un objet hybride, à la fois élégant, autonome et bourré de technologie. L’idée est séduisante : installer une petite fontaine solaire, alimentée en continu, capable d’attirer les oiseaux tout en les filmant avec une double caméra qui retransmet tout en direct sur votre smartphone.

Le design est tout en sobriété. Disponible en bleu, le Birdfy Bath Pro ne se fond pas réellement dans le décor, mais passons. Son plastique recyclé et sa certification IP66 garantissent une solidité bienvenue face aux caprices du temps, et surtout, sa partie solaire lui permet d’être complètement autonome, sans branchements disgracieux qui viendraient casser l’harmonie du jardin. On comprend que Birdfy vise une clientèle sensible au respect de l’environnement, plus qu’à la beauté de l’objet. J’avais peur des coups de vent, le mistral ne rigolant pas souvent chez moi et pourtant, je ne l’ai jamais retrouvé au sol ce qui est clairement un bon point !

Côté technologie embarquée, parlons notamment de la caméra grand-angle en 1080p et l’optique portrait en 2K transforment une scène banale en véritable film nature miniature. On reçoit des alertes en direct dès qu’un oiseau s’approche, on peut revoir les séquences stockées automatiquement, et si l’on opte pour l’abonnement Birdfy AI, on profite même d’une reconnaissance de plus de six mille espèces, avec rapports quotidiens et mensuels. Tout est pensé pour que l’utilisateur devienne un observateur privilégié, presque un scientifique amateur, sans effort particulier. Le Birdfy Bath Pro n’est pas seulement un bain, c’est une fenêtre connectée sur la biodiversité locale.

Cependant, comme souvent avec les objets trop parfaits sur le papier, la réalité réserve quelques surprises. La fontaine, par exemple, perd régulièrement de l’eau, ce qui oblige à la remplir bien plus souvent qu’espéré. Ce n’est pas rédhibitoire, mais cela rappelle que l’entretien reste nécessaire, même avec une solution « intelligente ». De mon côté, ayant à remettre des graines tous les 3/4 jours dans les mangeoires (je ne vous raconte pas le budget nourriture pour les oiseaux, d’ailleurs), j’en profite pour rajouter de l’eau.

Les capteurs de mouvement, eux, se montrent un peu trop enthousiastes : une feuille qui tombe, une voiture qui passe, un insecte qui traverse le champ, et votre téléphone vibre. De quoi lasser si l’on n’ajuste pas un minimum la sensibilité. Enfin, et c’est presque ironique, les oiseaux eux-mêmes ne se laissent pas toujours séduire immédiatement. Comme pour lesdites mangeoires, j’ai dû attendre plusieurs jours avant d’avoir leurs premiers visiteurs, et ce n’est qu’en ajoutant des pierres dans le bassin, pour offrir des repères rassurants, que les oiseaux ont fini par s’approcher plus volontiers. Par contre, et c’est à souligner, le côté mobile et portable de cette petite baignoire est vraiment top, car on peut la déplacer afin de trouver LE bon emplacement ou tout du moins, celui qui plaira le plus aux oiseaux.

Le Birdfy Bath Pro est donc un objet un peu paradoxal. D’un côté, il incarne le rêve moderne : une technologie solaire, durable, discrète et connectée, qui offre une qualité d’image bluffante et la promesse de transformer votre jardin en réserve ornithologique miniature. De l’autre, il aura quelques défauts comme indiqué précédemment, notamment l’entretien régulier, les fausses alertes et le prix élevé.

Conclusion

Le Birdfy Bath Pro n’est pas parfait, mais il parvient à marier poésie et technologie, et c’est sans doute ce qui le rend si singulier. Si vous cherchez une manière d’observer la vie sauvage autrement qu’à travers un documentaire Netflix, si vous avez envie de faire de votre jardin une scène vivante et connectée, alors ce petit bijou a toutes les chances de vous séduire, à condition d’accepter ses petits caprices et d’y mettre le prix.

Pour rappel, c’est la version avec socle et abonnement à vie qui nous a gentiment été envoyée et qui est affichée au prix de 399,99 € hors promotion, mais à l’heure où ces lignes sont écrites, vous retrouverez notre Bath Pro du jour au prix de 309,99 €.

Test – Fontaine à oiseaux intelligente Birdfy Bath Pro a lire sur Vonguru.

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Google poursuit activement sa domination sur le marché de l'intelligence artificielle, et ses efforts ont suscité la controverse, non pas à cause des produits eux-mêmes, mais à cause du traitement réservé à l'équipe qui les soutient. Selon un récent article de Wired, plus de 200 sous-traitants qui soutenaient les projets d'IA de Google, notamment Gemini et AI Overviews, ont été licenciés sans préavis en août. Ces employés, recrutés par l'intermédiaire de tiers, ont joué un rôle clé dans le développement de l'IA de Google. Leurs responsabilités comprenaient l'analyse des réponses de l'IA, leur modification, l'évaluation du contenu et le retour d'information pour garantir le bon fonctionnement des systèmes. Malgré leurs importantes contributions, beaucoup étaient confrontés à des salaires bas et à de mauvaises conditions de travail. Par exemple, les « super-évaluateurs » embauchés par GlobalLogic étaient payés entre 28 et 32 dollars de l'heure, tandis que les sous-traitants effectuant des tâches similaires étaient payés entre 18 et 22 dollars. Plusieurs employés ont déclaré manquer de sécurité d'emploi et d'accès aux avantages sociaux. Les tensions se sont intensifiées lorsque des employés ont commencé à exprimer leur mécontentement quant à leurs conditions de travail et à envisager de se syndiquer. Ces efforts n'ont pas plu à Google, qui a lancé des avertissements aux employés qui en parlaient sur les réseaux sociaux. Peu après, des licenciements soudains ont commencé, et les questions des employés se sont heurtées à des réponses vagues, comme quoi il fallait « supprimer le projet ». Apparemment, développer l'IA coûte très cher. (Lire la suite)

Le 16 septembre, MediaTek a confirmé que son premier processeur phare basé sur la technologie 2 nm de TSMC avait franchi avec succès la phase de développement, faisant de l'entreprise l'une des premières à adopter ce nœud technologique. La puce devrait entrer en production de masse d'ici fin 2026. Il convient de noter que les deux entreprises développent conjointement des processeurs alliant hautes performances et faible consommation d'énergie pour les plateformes mobiles phares, les systèmes informatiques, l'industrie automobile, les centres de données et d'autres applications. Par rapport au procédé N3E existant, la technologie 2 nm améliorée multiplie la densité logique par 1,2, améliore les performances jusqu'à 18 % à consommation énergétique identique et réduit la consommation d'environ 36 % à vitesse de fonctionnement identique. L'entreprise n'a pas encore précisé le segment auquel ce processeur phare sera destiné, mais le terme « phare » laisse entrevoir une possible coopération avec NVIDIA, les deux entreprises ayant déjà travaillé sur la superpuce GB10 « Grace Blackwell ». Les processeurs N1X et N1 de NVIDIA ont également été créés en collaboration avec NVIDIA, mais aucune annonce officielle n'a encore été faite à leur sujet, malgré des rumeurs annonçant leur lancement début 2025. L'entreprise fournira probablement plus d'informations prochainement, avec une annonce probablement prévue début 2026. Ce sera certainement intéressant à suivre, surtout dans le contexte de la faillite d'Intel. (Lire la suite)

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De nouveaux moniteurs à double mode font leur apparition sur le marché, et le Philips Evnia 27M2N5901A se présente comme une option abordable supportant jusqu’à 160 Hz en 4K et 320 Hz en 1080p. Philips Evnia 27M2N5901A : 4K@160Hz et FHD@320Hz, Ambiglow IA et connectivité moderne Philips enrichit sa gamme Evnia 5000 avec un moniteur […]

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Aujourd’hui, l’éditeur A Plus a annoncé la date de lancement de l’MMORPG gratuit Blue Protocol: Star Resonance en Occident. Ce titre sera disponible en Europe, en Amérique du Nord et en Amérique du Sud sur PC (Steam, Epic Games Store) et mobile (iOS, Android) à partir du 9 octobre. Bien que le studio ait précédemment […]

Tucker Carlson demande à Sam Altman si un ancien employé d'OpenAI a été « assassiné sur vos ordres »,
Suchir Balaji est devenu une épine dans le pied de l'entreprise lorsqu'il a commencé à dénoncer son utilisation d'oeuvres protégées

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AMD prépare le lancement d’un nouveau processeur, le Ryzen 7 9700F, qui fait partie de son architecture Zen 5. Ce processeur doté de 8 cœurs et 16 threads promet des performances intéressantes pour les utilisateurs. Processeurs Ryzen 9000 : Nouvelle gamme AMD Aujourd’hui, AMD a discrètement présenté plusieurs nouveaux processeurs au sein des familles Zen […]

Bon alors, imaginez deux secondes… Vous êtes commandant de sous-marin nucléaire, tranquille à 300 mètres sous l’eau dans votre grosse boîte de conserve à 4 milliards d’euros. Pendant des décennies, votre job consistait essentiellement à jouer à cache-cache dans l’immensité océanique, en mode Octobre Rouge, persuadé que personne ne pouvait vous trouver dans ce territoire grand de 361 millions de km². Et là, paf, des chercheurs chinois débarquent avec leur IA qui est capable de vous détecter avec 95% de précision . Y’a de quoi avoir le seum.

Hé oui, c’est un triste jour car l’océan vient officiellement de perdre son dernier mystère. D’après une étude publiée dans Electronics Optics & Control , cette nouvelle IA militaire développée par l’équipe de Meng Hao de l’Institut chinois de recherche sur les hélicoptères transforme tout simplement les abysses en aquarium encore plus transparent que celui de Maurice votre poisson rouge. Fini l’époque où un sous-marin pouvait disparaître dans les profondeurs comme un ninja en maillot de bain. Maintenant, vous avez seulement 5% de chances de vous en sortir donc autant dire que c’est moins probable que de gagner à la tombola de votre CE.

Cette IA, elle ne fait pas que détecter. Elle agit comme un “commandant intelligent” qui fusionne en temps réel les données de tout un tas de capteurs : sonar, radar, température de l’eau, salinité, anomalies magnétiques. C’est un genre de sixième sens artificiel qui “voit” ce que les humains ne peuvent même pas voir. Le système crée ainsi une synesthésie numérique où la température devient une couleur, le magnétisme devient une forme, et salinité devient un mouvement…

Bref, les sous-marins américains, ces joujoux nucléaires censés garantir la dissuasion, se retrouvent soudain aussi discrets qu’un influenceur sur TikTok. Et le truc vraiment dingue avec cette IA c’est qu’elle communique même avec les opérateurs humains via des modèles de langage naturel , style ChatGPT des profondeurs. Comme ça, au lieu de regarder des écrans radars incompréhensibles avec des bips anxiogènes, le mec reçoit des instructions claires du genre “Sous-marin détecté à 3km nord-ouest, probabilité 97%, déployer contre-mesures recommandé”. C’est Alexa, mais pour la guerre sous-marine.

Ça me rappelle vite fait de loin ce qui s’est passé avec notre vie privée. Dans les années 90, on pensait qu’internet nous rendrait anonymes et libres et aujourd’hui, notre grille-pain connecté est la pire des balances…

Avant, un seul sous-marin pouvait tenir en respect toute une flotte, menacer des villes entières, ou simplement disparaître pendant des mois sans que personne ne sache où il était. Le fantasme ultime du militaire ou du père absent… Mais avec 95% de détection en simulation , même en utilisant des leurres, des drones sous-marins ou en zigzaguant comme un lapin poursuivi par un chasseur bourré, vous êtes grillé. L’IA anticipe vos mouvements, s’adapte à vos feintes, et continue de vous traquer comme Terminator.

En début d’année, les chinois toujours ont également mis au point un système qui utilise des atomes de rubidium dans des capteurs quantiques CPT montés sur des drones. Ces petits trucs détectent des variations magnétiques un milliard de fois plus faibles que l’aimant de votre frigo. Les capteurs sont tellement sensibles qu’ils captent la moindre perturbation du champ magnétique terrestre causée par la masse métallique d’un sous-marin. Donc autant dire que ce truc + leur IA, on est cuit !

Ah et les Américains ne sont pas en reste. Ils bossent sur leur propre technologie SQUID (Superconducting Quantum Interference Device) qui pourrait théoriquement détecter un sous-marin à 6 kilomètres de distance, contre 800 mètres pour les systèmes actuels. On est donc dans une course technologique où chaque camp essaie de rendre l’océan plus transparent que l’autre…

C’est la fin d’un concept vieux comme l’humanité… Car depuis la préhistoire, se planquer était une stratégie de survie basique et maintenant, entre les satellites, les drones, les capteurs quantiques et l’IA, il n’y a littéralement plus aucun endroit sur Terre où disparaître. Même au fond de la fosse des Mariannes, une IA pourrait probablement vous retrouver en analysant les perturbations gravitationnelles de votre présence.

Et le pire dans tout ça c’est que cette technologie ne va faire que s’améliorer. Les capteurs SERF promettent une sensibilité au niveau du femtotesla, mille fois plus précis que les systèmes actuels ce qui fait que dans quelques années, on pourra probablement détecter un poisson rouge dans un bocal depuis l’espace.

Les océans ne seront plus ces vastes étendues mystérieuses pleines de secrets militaires, mais des espaces totalement cartographiés où chaque mouvement sera enregistré, analysé, prédit.

Snif…

Bref

Le 16 septembre 2025, AMD a dévoilé deux nouvelles puces : le Ryzen 7 9700F pour AM5 et le Ryzen 5 5600F pour AM4. Le premier reprend l’architecture Granite Ridge sans iGPU, avec 8 cœurs et 16 threads jusqu’à 5,5 GHz. Le second, basé sur Vermeer, propose 6 cœurs/12 threads et des fréquences ajustées. Ce 5600F pourrait bien signer le dernier chapitre du socket AM4, lancé en 2016.

Après les Ryzen 5 7400, 7400F et 9500F, AMD enchaîne avec une nouvelle salve de références. Le constructeur officialise le Ryzen 7 9700F pour la plateforme AM5 et le Ryzen 5 5600F destiné à l’increvable AM4. Une annonce qui illustre la volonté d’AMD de renforcer son catalogue récent tout en donnant un dernier souffle à un socket qui refuse obstinément de disparaître.

Ryzen 7 9700F : un 9700X sans iGPU

Le Ryzen 7 9700F, déjà aperçu au fil de plusieurs fuites, reprend la recette du 9700X tout en faisant l’impasse sur le GPU intégré. Basé sur la puce Granite Ridge, il propose 8 cœurs et 16 threads, avec un boost jusqu’à 5,5 GHz pour un TDP de 65 W. Un choix taillé pour ceux qui disposent d’une carte graphique dédiée et veulent économiser quelques euros sans rogner sur les performances du processeur.

Ryzen 5 5600F : l’ultime baroud d’honneur de l’AM4 ?

Le Ryzen 5 5600F adopte l’architecture Vermeer et propose 6 cœurs/12 threads. Sa fréquence de base tombe à 3,0 GHz avec un boost à 4,0 GHz, soit un léger retrait par rapport au Ryzen 5 5600 classique (–100 MHz et –400 MHz). L’avantage, c’est une compatibilité PCIe plus robuste que sur Cezanne, consolidant l’intérêt du modèle pour les mises à jour économiques sur AM4.

Lancé en septembre 2016, le socket AM4 approche de ses neuf ans de service. Beaucoup voient dans ce 5600F la dernière itération grand public avant la fin d’un cycle historique.

Rappel des gammes Ryzen 9000 et 7000

Pour situer ces nouveautés, AMD a également détaillé les gammes Ryzen 9000 et 7000. On y retrouve les modèles X3D aux caches L3 massifs et des fréquences boostées à plus de 5,7 GHz pour les Ryzen 9. Côté Ryzen 7 et Ryzen 5, la segmentation repose sur la présence ou non d’iGPU, avec des suffixes F qui gagnent en importance.

Modèle	Cœurs / Threads	Fréq. Max / Base	Cache L3	DDR5	TDP	Puissance socket	iGPU
Ryzen 9000 Series
Ryzen 9 9950X3D	16 / 32	5,7 / 4,3 GHz	128 MB	5600 MHz	170 W	200 W	Oui
Ryzen 9 9950X	16 / 32	5,7 / 4,3 GHz	64 MB	5600 MHz	170 W	200 W	Oui
Ryzen 9 9900X3D	12 / 24	5,6 / 4,4 GHz	128 MB	5600 MHz	120 W	162 W	Oui
Ryzen 9 9900X	12 / 24	5,6 / 4,4 GHz	64 MB	5600 MHz	120 W	162 W	Oui
Ryzen 7 9800X3D	8 / 16	5,5 / 3,8 GHz	96 MB	5600 MHz	120 W	162 W	Oui
Ryzen 7 9700X	8 / 16	5,5 / 3,8 GHz	32 MB	5600 MHz	65 W	88 W	Oui
Ryzen 7 9700F	8 / 16	5,5 / 3,8 GHz	32 MB	5600 MHz	65 W	88 W	Non
Ryzen 5 9600X	6 / 12	5,4 / 3,9 GHz	32 MB	5600 MHz	65 W	88 W	Oui
Ryzen 5 9500F	6 / 12	5,0 / 3,8 GHz	32 MB	5600 MHz	65 W	88 W	Non
Ryzen 7000 Series
Ryzen 9 7950X3D	16 / 32	5,7 / 4,2 GHz	128 MB	5200 MHz	120 W	162 W	Oui
Ryzen 9 7950X	16 / 32	5,7 / 4,7 GHz	64 MB	5200 MHz	170 W	200 W	Oui
Ryzen 9 7900X3D	12 / 24	5,6 / 4,4 GHz	128 MB	5200 MHz	120 W	162 W	Oui
Ryzen 9 7900X	12 / 24	5,6 / 4,7 GHz	64 MB	5200 MHz	170 W	200 W	Oui
Ryzen 9 7900	12 / 24	5,4 / 3,7 GHz	64 MB	5200 MHz	65 W	88 W	Oui
Ryzen 7 7800X3D	8 / 16	5,0 / 4,2 GHz	96 MB	5200 MHz	120 W	162 W	Oui
Ryzen 7 7700X	8 / 16	5,4 / 4,5 GHz	32 MB	5200 MHz	105 W	142 W	Oui
Ryzen 7 7700	8 / 16	5,3 / 3,8 GHz	32 MB	5200 MHz	65 W	88 W	Oui
Ryzen 5 7600X3D	6 / 12	4,7 / 4,1 GHz	96 MB	5200 MHz	65 W	88 W	Oui
Ryzen 5 7600X	6 / 12	5,3 / 4,7 GHz	32 MB	5200 MHz	105 W	142 W	Oui
Ryzen 5 7600	6 / 12	5,1 / 3,8 GHz	32 MB	5200 MHz	65 W	88 W	Oui
Ryzen 5 7500F	6 / 12	5,0 / 3,7 GHz	32 MB	5200 MHz	65 W	88 W	Non
Ryzen 5 7400F	6 / 12	4,7 / 3,7 GHz	32 MB	5200 MHz	65 W	88 W	Non

Conclusion

Avec le Ryzen 7 9700F, AMD cible les configurations AM5 dédiées au gaming avec GPU séparé. Quant au Ryzen 5 5600F, il pourrait bien marquer l’épilogue d’AM4, un socket qui aura traversé près d’une décennie. Reste à voir si ce « baroud d’honneur » séduira les utilisateurs en quête de mise à jour à moindre coût.

Activision a présenté un premier aperçu de Call of Duty: Black Ops 7 Zombies avec un trailer cinématique. Ce dernier dévoile les personnages clés de l’histoire, en attendant davantage d’informations lors de l’événement Call of Duty Next à la fin du mois. Huit personnages Ce trailer ne contient pas de gameplay, mais il présente la […]