NVIDIA obtient peut-être l’approbation pour le processeur Blackwell AI en Chine, un atout pour sa part de marché


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Du 23 au 25 janvier 2026, la commune de St-Cergue, dans le canton de Vaud, accueillera la dixième édition des Rencontres Hivernales du Libre (RHL), l’un des rares événements en Suisse romande entièrement dédiés au logiciel libre, au numérique éthique […]
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La prochaine Xbox, attendue pour 2027, combinerait Windows et l’écosystème Xbox pour offrir une compatibilité totale avec les anciens jeux, une interface optimisée et possiblement le multijoueur en ligne gratuit.
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Et si la carte son redevenait un centre de contrôle ? Creative annonce Sound Blaster Re:Imagine, un hub audio modulaire qui veut bousculer l’idée même de « carte son » et part aujourd’hui sur Kickstarter.
Créateur de la mythique Sound Blaster des années 90, Creative Technology lance une plateforme pensée pour les créateurs, joueurs et télétravailleurs. Sound Blaster Re:Imagine accepte PC, Mac, mobiles, consoles, micros, casques, enceintes et instruments, avec un routage entrée/sortie instantané, sans câblage alambiqué.

Le cœur de l’appareil est modulaire : des modules magnétiques interchangeables (Smart Screens, curseurs, molettes, touches rapides) permettent d’adapter l’interface à l’usage et de la reconfigurer au fil du temps. Chaque bouton est entièrement programmable : macro pour couper un appel, lancer une compilation de code ou déclencher un appareil domotique compatible Matter.

Côté son, la promesse est de niveau studio : lecture haute résolution en 32 bits/384 kHz, DAC et ampli capables d’alimenter des casques pro comme de grosses enceintes de bureau. Creative ouvre aussi la machine aux développeurs : avec un accès superutilisateur au matériel, ils peuvent créer et partager leurs propres applications pour cette plateforme ouverte.

La dimension ludique n’est pas oubliée : mini‑apps intégrées avec jeux DOS rétro, visualiseurs audio, un DJ dopé à l’IA, et le retour de mascottes cultes comme Dr. Sbaitso et le perroquet Sound Blaster, réimaginés via IA. Il faut dire que la marque assume l’héritage : « Nous reconfigurons la Sound Blaster en hub modulaire et terrain de jeu créatif », résume Darran Nathan, vice‑président de Creative Technology.
Creative revendique plus de 400 millions d’unités Sound Blaster expédiées depuis 1989. Re:Imagine veut, d’après la société, dépasser la simple évolution produit en impliquant directement la communauté via Kickstarter, afin d’orienter la feuille de route comme à l’époque des pionniers du multimédia PC.
Le lancement est prévu le 28 octobre 2025 à 16 h (heure de Paris). Les premiers contributeurs recevront systématiquement le Horizon Base Unit avec Smart Screen et commandes modulaires. Un palier additionnel vise à débloquer le Vertex Base Unit, un châssis plus grand avec davantage d’emplacements d’extension. Reste à voir si la communauté poussera jusqu’à cette version plus ambitieuse.
Creative présente Re:Imagine comme une plateforme ouverte et évolutive, à la croisée du studio et du jeu. Les curieux peuvent découvrir la campagne et ses paliers sur la page Kickstarter dédiée.
Source : TechPowerUp
Le Mondial 2026 s’annonce comme l’un des événements les plus capturés de l’histoire, et Sandisk entend être de la partie avec une collection officielle taillée pour l’image et la vidéo.
La marque lance une série de produits licenciés pour aider fans, créateurs et pros à immortaliser la compétition. Au programme : une clé USB-C en forme de sifflet, un SSD portable, ainsi que des cartes mémoire SD UHS-II et CFexpress Type B. Chaque produit arbore les marquages officiels et des détails inspirés des pays hôtes. « La FIFA World Cup 2026 devrait être l’un des événements les plus capturés et partagés », résume Janet Allgaier, vice-présidente chez Sandisk.
La clé USB-C sifflet sera proposée en éditions globale et pays hôtes (États-Unis, Canada, Mexique), avec une Gold Edition prévue début 2026. Le SSD portable vise les sauvegardes rapides et les transferts sur ordinateur avec jusqu’à 1 To. Les cartes CFexpress Type B et SD UHS-II ciblent la vidéo 4K/8K et les rafales rapides, de quoi couvrir un match du coup d’envoi au coup de sifflet final.
Les précommandes ouvrent dès maintenant chez certains revendeurs, ou via notification de disponibilité. Tarifs annoncés aux États-Unis : clé USB-C sifflet 64 Go à 15,99 dollars (environ 15 euros) et 128 Go à 21,99 dollars (environ 21 euros) ; SSD portable 1 To à 109,99 dollars (environ 105 euros) ; carte CFexpress Type B 256 Go à 199,99 dollars (environ 190 euros) ; carte SD UHS-II 128 Go à 129,99 dollars (environ 120 euros). La Gold Edition de la clé USB-C arrivera en 2026, son prix sera communiqué à ce moment.
Sandisk met aussi en avant une conception robuste, pensée pour supporter les déplacements intensifs entre stades et la frénésie des tournages, ce qui, il faut dire, colle bien aux usages attendus pendant la compétition.
Source : sandisk
Accélérer l’IA tout en musclant la simulation scientifique : HPE et le laboratoire de Los Alamos annoncent « Mission » et « Vision », deux supercalculateurs taillés pour franchir un cap stratégique.
Hewlett Packard Enterprise a été retenu par le département de l’Énergie américain, la NNSA et le Los Alamos National Laboratory pour livrer deux machines de pointe, baptisées Mission et Vision. Les systèmes s’appuieront sur la nouvelle plateforme HPE Cray Supercomputing GX5000 à refroidissement liquide direct, et sur les futurs superchips NVIDIA Vera Rubin, d’après l’annonce. L’ensemble s’inscrit dans un investissement de 370 millions de dollars (environ 350 millions d’euros) destiné à accélérer la recherche, renforcer l’IA et la sécurité nationale.

D’après HPE, la GX5000 a été conçue pour l’exascale à l’ère de l’IA, avec des capacités multi‑locataires pour optimiser le débit de recherche et une densité en hausse de 25 % par rapport à la génération précédente. Elle adopte en outre des lames serveur issues de l’Open Compute Project, offrant plus de flexibilité d’intégration au LANL. Le réseau s’appuiera sur NVIDIA Quantum‑X800 InfiniBand, et la partie accélération sur les GPU Vera Rubin.
Le laboratoire met en avant un gain net sur la modélisation, la simulation et l’analyse IA. Mission serait quatre fois plus rapide que Crossroads, l’actuel système du LANL, et doit soutenir les besoins critiques de la NNSA. Vision, de son côté, prolongera l’élan de Venado (également signé HPE), initialement dédié à la recherche non classifiée, avec une nette montée en puissance pour les travaux dopés à l’IA.
Les partenaires martèlent l’enjeu stratégique. Trish Damkroger (HPE) évoque des architectures de nouvelle génération « pour stimuler l’innovation en IA ». Brandon Williams (NNSA) souligne que ces capacités « feront avancer analyses et prédictions cruciales ». Et pour Thom Mason, directeur du LANL, « ces nouveaux systèmes permettront de repousser les limites du calcul scientifique ».
La présentation officielle coïncidera avec NVIDIA GTC DC, où le DOE, la NNSA, le LANL, HPE et NVIDIA détailleront les capacités et l’ambition : accélérer la recherche, l’IA générative et la sécurité. Il faut dire que Los Alamos n’en est pas à son coup d’essai, et rien d’étonnant à ce que le duo HPE‑NVIDIA serve de rampe pour cette nouvelle génération.
Source : TechPowerUp
Supermicro met l’accent sur des serveurs fabriqués aux États‑Unis et déroule, avec NVIDIA, une feuille de route taillée pour les exigences fédérales.
À l’occasion de NVIDIA GTC à Washington, Supermicro a dévoilé une série de plateformes IA destinées aux workloads critiques du gouvernement américain : cybersécurité, ingénierie, santé, analytique et simulation. Le constructeur annonce pour 2026 les plateformes NVIDIA Vera Rubin NVL144 et Vera Rubin NVL144 CPX, présentées comme la prochaine marche en entraînement et inférence. « Notre collaboration élargie avec NVIDIA et notre fabrication aux États‑Unis nous positionnent comme un partenaire de confiance », affirme Charles Liang, PDG de Supermicro.
Le cœur de l’offre s’appuie sur les dernières briques NVIDIA : HGX B300 et B200, GB300 et GB200, ainsi que les RTX PRO 6000 Blackwell Server Edition. Objectif : des performances et une efficacité accrues, avec une évolutivité pensée pour des déploiements rack‑scale. Supermicro met en avant la conformité TAA et l’éligibilité Buy American Act : conception, intégration et validation ont lieu à San Jose, un atout pour la sécurité d’approvisionnement et la traçabilité.
Parmi les nouveautés, un serveur 2OU HGX B300 à 8 GPU adopte une approche OCP rack‑scale. Il peut aligner jusqu’à 144 GPU par rack, de quoi répondre aux besoins d’entraînement massif en data centers gouvernementaux. Le constructeur indique aussi optimiser son portefeuille pour le référentiel NVIDIA AI Factory for Government, une architecture de référence couvrant déploiement on‑prem et hybride en conformité avec les organisations à haut niveau d’assurance.
Supermicro lance la Super AI Station ARS-511GD-NB-LCC, une station liquid‑cooling qui transpose le Superchip NVIDIA GB300 dans un format bureaux ou rack. Selon Supermicro, elle peut atteindre jusqu’à 20 PFLOPS IA, supporter des modèles jusqu’à 1 000 milliards de paramètres, et offrir plus de 5× les performances IA d’une station PCIe traditionnelle. On y trouve jusqu’à 784 Go de mémoire cohérente, un SuperNIC ConnectX‑8 intégré, un bloc d’alimentation 1 600 W compatible prises standard et une option GPU PCIe additionnelle pour le rendu.
Côté data center, la plateforme ARS-121GL-NB2B-LCC NVL4 est désormais disponible pour le HPC et l’IA scientifique : 4 GPU Blackwell B200 reliés en NVLink et deux CPU NVIDIA Grace unifiés via NVLink‑C2C. Jusqu’à 32 nœuds par rack peuvent être interconnectés en ConnectX‑8 pour offrir jusqu’à 800G par GPU. Le tout prend place dans un rack MGX 48U pouvant accueillir jusqu’à 128 GPU, avec alimentation par busbar et refroidissement liquide direct‑to‑chip, via CDU en rack ou en allée.
Accélération réseau : Supermicro prévoit l’intégration des récents NVIDIA BlueField‑4 DPU et ConnectX‑9 SuperNIC pour des « gigafactories » d’IA. Grâce à son design modulaire, la marque entend réduire le temps d’ingénierie et accélérer la mise sur le marché, une approche qui vise explicitement les clusters de prochaine génération.
Enfin, le portefeuille s’élargit avec la Super AI Station sur base GB300 et des solutions GB200 NVL4 à l’échelle du rack, le tout optimisé pour les environnements fédéraux. Reste à voir si ces systèmes, annoncés avec des densités et performances élevées, répondront sur la durée aux contraintes de sécurité, de disponibilité et de coûts imposées par les agences américaines.
Source : TechPowerUp








Microsoft pourrait à nouveau privilégier les processeurs ARM avec Windows 11. Une version 26H1 se destinerait uniquement aux PC équipés des nouvelles puces Snapdragon X2 Elite, avant une version 26H2.

