La Chine met en place son « projet Manhattan » pour rivaliser avec l'Occident dans le domaine des puces IA, quand les sanctions deviennent un accélérateur d'innovation
Depuis plusieurs années, la Chine a engagé une stratégie d'investissement massif et coordonné par l'État pour devenir autonome dans la production de semi-conducteurs avancés, en particulier ceux utilisés dans l'intelligence artificielle (IA). Ces efforts culminent aujourd'hui dans ce que plusieurs sources occidentales dont Reuters...
Après une vidéo de teasing diffusée début décembre, Samsung opte pour une annonce en toute discrétion mais accompagnée d’une fiche technique percutante. L’Exynos 2600 fait ainsi son apparition sur le site du constructeur, avec une architecture Arm v9.3, une gravure en 2 nm GAA et un GPU Xclipse 960. Samsung annonce un gain de 39 % des performances CPU par rapport à la génération précédente.
Exynos 2600 : CPU Arm v9.3, 2 nm GAA et gestion thermique revue
Le SoC aligne un cluster tri-niveau : un cœur C1-Ultra à 3,8 GHz, trois cœurs C1-Prox3 à 3,25 GHz et six cœurs C1-Prox6 à 2,75 GHz. Le tout repose sur la dernière itération Arm v9.3. La fabrication passe au procédé 2 nm GAA de Samsung Foundry avec un design basse consommation. Côté packaging, la marque introduit un « heat path block » utilisant un matériau High-k EMC censé améliorer la dissipation thermique.
Selon Samsung, le gain CPU atteint 39 % face au prédécesseur. La plateforme gère la mémoire LPDDR5X et le stockage UFS 4.1, ainsi que des écrans jusqu’en 4K ou WQUXGA à 120 Hz.
Xclipse 960, IA dédiée et vidéo 8K
Le GPU Xclipse 960 confirme le support du ray tracing et de l’Exynos Neural Super Sampling (ENSS), une génération et un upscaling d’images assistés par IA. Samsung annonce un doublement des performances de calcul par rapport à la génération précédente. Un bloc IA séparé embarque une NPU 32K MAC et la prise en charge de la cryptographie post-quantique (PQC).
Vidéo et photo restent au niveau attendu : encodage natif en 8K 30p, décodage 8K 60p, prise en charge des codecs modernes AV1 et VP9, ainsi que l’APV maison. Pas de mention de H.266. Côté capture, jusqu’à 320 MP en capteur unique et des rafales à 108 MP à 30 FPS, avec des traitements IA comme le DVNR, pour Deep learning Video Noise Reduction.
Plus de détails devraient être partagés au CES en début d’année prochaine. La fiche produit a été publiée sans communication classique, signe d’un lancement en deux temps.
ASRock ravive la curiosité avec sa Radeon RX 9070 XT Taichi White, une déclinaison blanche dotée d’un écran LCD incrusté dans le carénage, aperçue à Computex 2025 et désormais montrée en vidéo.
Radeon RX 9070 XT Taichi White : première carte ASRock avec écran intégré
ASRock parle d’un « concept » basé sur la plateforme Taichi et son système de refroidissement habituel, mais avec une nouveauté visible : un petit affichage LCD qui expose températures, statut GPU, animations personnalisées et widgets. D’après la marque, l’écran peut aussi afficher la date, l’heure, la météo, des photos, des animations et l’état du GPU. Une allusion « Las Vegas » s’invite dans les visuels, clin d’œil évident au CES 2026 attendu le mois prochain, sans confirmation de lancement pour l’instant.
Côté fiche technique, le panneau de Computex listait une RX 9070 XT sous architecture RDNA 4 avec 16 Go de GDDR6 sur bus 256 bits, une mémoire à 20 Gbps, un boost jusqu’à 3100 MHz et un game clock à 2750 MHz. Le support PCIe 5.0 est mentionné, tout comme un connecteur d’alimentation 12V-2×6 et un trio de DisplayPort 2.1a accompagné d’un HDMI 2.1b.
Vidéo, widgets… et quelques incohérences à l’écran
La vidéo montre l’écran en action, mais certaines surimpressions semblent erronées. Un plan affiche un connecteur 8 broches alors que les spécifications de la RX 9070 XT Taichi 16GB OC d’ASRock mentionnent explicitement du 12V-2×6. On voit aussi passer un bus mémoire 384 bits, ce qui ne correspond pas aux caractéristiques de la RX 9070 XT.
ASRock n’a pas commenté ces divergences, il conviendra donc de les considérer avec prudence jusqu’à publication des détails définitifs.
Firefox AI kill switch sur la table : face au virage vers un « navigateur IA moderne », Mozilla tente d’éteindre l’incendie en promettant un interrupteur global pour couper toutes les fonctions IA, activables uniquement en opt-in.
Firefox AI kill switch : désactivera toute intégration IA
Le développeur Firefox Jake Archibald a clarifié sur Mastodon que l’ensemble des fonctionnalités IA en préparation pourra être désactivé d’un seul geste. D’après son message publié via le compte officiel Firefox for Web Developers, ce « kill switch » désactivera définitivement toute intégration IA et empêchera leur réapparition sans action manuelle de l’utilisateur.
Archibald précise que toutes les fonctions IA seront en opt-in. Il reconnaît cependant des zones grises autour de la notion d’opt-in, comme l’ajout éventuel d’un bouton de barre d’outils. Citation clé : « le kill switch supprimera absolument tout ça, et ne l’affichera plus à l’avenir » déclare-t-il, ajoutant « j’espère que nous pourrons (re)gagner votre confiance ».
Cette mise au point intervient après l’annonce, avec l’arrivée d’un nouveau CEO, d’un pivot vers un navigateur « moderne » dopé à l’IA. Le contexte reste sensible : Mozilla a déjà été critiquée pour des pratiques de collecte de données en opt-out, aussi récentes que 2024, selon les notes de version de Firefox 128.0. Le développeur admet ne pas travailler directement sur ces fonctions, mais affirme vouloir répondre aux questions techniques de la communauté.
Reste à voir comment ce kill switch sera implémenté dans l’interface et la politique par défaut. Les précisions partagées visent à répondre aux inquiétudes autour de la sécurité, de l’impact environnemental et de l’allocation des ressources de développement, certains utilisateurs regrettant que ces efforts ne se concentrent pas sur la performance ou des fonctionnalités utiles au quotidien pour Firefox et ses dérivés.
Riot Games durcit le ton : une faille de firmware carte mère permet à des cheats de s’injecter avant Windows et avant Vanguard, et les PC concernés pourront être bloqués au lancement de VALORANT sans mise à jour du BIOS.
Riot Games, exploit pré-boot et mise à jour BIOS obligatoire
Le problème se niche dans la séquence pré-boot. Au démarrage, le firmware UEFI initialise le matériel bien avant que Windows n’entre en scène. Un cheat chargé à ce moment s’octroie des privilèges supérieurs et se dissimule mieux que tout processus lancé dans l’OS. D’après l’éditeur, cela contourne les garanties habituelles et justifie des contrôles renforcés dans Vanguard.
Riot cite la « Pre-Boot DMA Protection » et l’IOMMU, censés empêcher des périphériques PCIe malveillants d’accéder à la mémoire système durant le boot. Sur certains firmwares, la machine peut indiquer que la protection DMA est active alors que l’IOMMU n’est pas initialisée assez tôt. Résultat, une fenêtre d’attaque s’ouvre, malgré un état de sécurité supposé conforme.
Conséquence concrète : Vanguard activera des vérifications d’amorçage plus strictes. Si votre système est identifié comme vulnérable, un message VAN:Restriction pourra apparaître et l’accès à VALORANT sera bloqué tant que le BIOS n’est pas mis à jour et que les options de sécurité requises ne sont pas activées. Comme le résume Riot, « des systèmes affectés pourront être bloqués jusqu’à la mise à jour du firmware ».
Qui doit mettre à jour, et quand ?
Le correctif passe par une mise à jour BIOS fournie par le fabricant de la carte mère. Gigabyte indique que des firmwares sont disponibles sur de nombreuses plateformes Intel et AMD, avec des plannings encore en cours selon les familles de cartes. ASRock publie un avis sur CVE-2025-14304 et oriente également vers des BIOS mis à jour, avec des échéances variables selon les générations de chipsets.
Pour la majorité des joueurs, il ne s’agit pas d’un risque d’intrusion à distance : l’attaque nécessite un accès physique et un périphérique compatible DMA. L’impact réel se situe dans l’application de la politique anti-cheat. Ici, une mise à jour de BIOS devient un prérequis de base pour lancer le jeu, non parce que votre PC est forcément vulnérable à une compromission à distance, mais parce qu’un vecteur matériel pourrait être utilisé pour tricher.
Total War Warhammer 40,000 s’offre une dernière prise de parole avant la trêve. Après la révélation de la semaine passée, Creative Assembly a réuni Ian (Principal Creative Director), Simon (Campaign Product Owner) et Dave (Battle Product Owner) pour expliquer comment transposer l’univers sombre du 41e millénaire en stratégie Total War. « Dans le 41e millénaire, il n’y a que la guerre », rappelle l’équipe.
Total War Warhammer 40,000 : table ronde et feuille de route
Le trio détaille les fondations : une campagne pensée par Simon pour refléter la brutalité de la galaxie, des batailles pilotées par Dave pour capturer l’ampleur et la sauvagerie des affrontements, et la vision globale d’Ian pour harmoniser le tout.
Il est question d’aperçus de gameplay, d’un gros accent sur la guerre totale et, d’après l’équipe, d’un effort assumé pour maîtriser l’obsession Ork de Dave, clin d’œil aux fans. L’illustration clé, réalisée par l’artiste Warhammer 40,000 Paul Dainton, est désormais proposée en fonds d’écran via les récompenses de la communauté Total War.
Creative Assembly précise le calendrier : cette prise de parole sera la dernière avant le printemps 2026, date à laquelle de nouvelles informations seront partagées. En attendant, la communauté est invitée à récupérer l’artwork et à se préparer pour la suite.
Campagne, batailles et art grimdark
La campagne, supervisée par Simon, vise à restituer l’échelle galactique et la dureté de Warhammer 40,000, tandis que Dave se concentre sur des batailles massives fidèles au ton grimdark. Le studio met en avant des insights de gameplay et rappelle la disponibilité du key art de Paul Dainton en plusieurs formats pour habiller les bureaux. D’après l’annonce, la prochaine mise à jour substantielle interviendra au printemps 2026, après la pause de fin d’année.
Gears of War E-Day s’annonce comme le baroud d’honneur des 20 ans de la licence en 2026, avec un retour assumé aux origines et une promesse claire : « le jeu le plus ambitieux » de The Coalition.
Gears of War E-Day, construit de zéro en Unreal Engine 5
Le studio canadien confirme un développement entièrement neuf sur Unreal Engine 5, pensé pour « sentir Gears » tout en offrant des mécaniques neuves. E-Day se positionne comme le point d’entrée idéal pour les nouveaux venus, tout en replongeant les vétérans là où tout a commencé : Marcus et Dom face aux Locustes pour la première fois.
The Coalition s’appuie sur Sumo Digital et Disbelief Games, et remercie la communauté, de ceux qui jouent depuis 2006 à celles et ceux qui ont découvert la série cette année sur une nouvelle plateforme.
À l’approche du vingtième anniversaire, le studio assume l’ambition : célébrer la saga avec un épisode qui réécrit la genèse sans renier l’ADN. D’après The Coalition, c’est « le meilleur endroit pour plonger dans l’univers Gears ».
Communauté unifiée et premières images
Le studio se félicite d’une communauté rassemblée « sans barrières » pour la première fois en près de vingt ans, en campagne comme en Versus, rappelant que « le jeu nous rassemble ». Trois visuels officiels accompagnent l’annonce, ainsi qu’une vidéo publiée par Xbox qui célèbre l’année écoulée et les moments marquants partagés par les joueurs.
La sortie de Gears of War E-Day est attendue en 2026, sans fenêtre plus précise. The Coalition promet d’en montrer davantage l’année prochaine.
Samson PC specs et fenêtre de sortie enfin clarifiées : le studio Liquid Swords détaille une configuration minimale assez musclée, un prix agressif et une approche solo sans fioritures.
Samson PC specs, prix et plateformes
Le jeu d’action narratif Samson, porté par Christofer Sundberg, vise une sortie début 2026 sur PC d’abord, les consoles suivront. Le studio confirme un tarif de 24,99 dollars, soit environ 23 à 25 euros selon le taux de change au lancement. Pas de multijoueur, pas de microtransactions. Le ton se veut mature, avec des thèmes de drogue, sexualité, violence et criminalité, sans glorification d’après l’équipe.
Côté langues, la localisation texte couvrira EFIGS au lancement, menus et sous-titres inclus, sans doublages supplémentaires. Le studio insiste sur un développement PC prioritaire pour livrer la meilleure version possible, avec l’appui d’Epic pour l’optimisation des performances d’un monde ouvert.
Configuration minimale recommandée par l’équipe : Windows 11 64 bits, processeur 6 cœurs, 16 Go de RAM, carte graphique NVIDIA GeForce RTX série 2000 ou AMD Radeon RX série 6000, 15 Go d’espace libre. L’équipe résume son intention ainsi : « la ville répond, elle ne fait pas que rester là ».
Gameplay, structure et durée
Samson est un jeu solo à missions, avec histoire principale claire et liberté d’approche. Monde urbain dense, exploration encouragée, pas de bac à sable infini. Comptez environ 10 heures pour la trame principale et 25 heures ou plus pour tout voir. Le cœur du gameplay mise sur la conduite physique et le combat au corps à corps, avec des opportunités environnementales. Les armes sont majoritairement contextuelles (clé, pneus, voiture, briques), stockables dans le coffre si besoin.
La progression est basée sur des compétences et atouts pour soutenir différents styles. Tous les véhicules peuvent être conduits, mais pas question de sortir un civil de sa voiture, choix assumé par le studio. La police réagit et escalade selon les actions ; les civils commentent, fuient ou s’interposent. Pas de réglages de difficulté globaux, le studio préfère calibrer une expérience unique pour un large public.
En marge de l’histoire de dette à rembourser, le joueur enchaîne des boulots variés : contrats à haut risque, courses clandestines, évasions, filatures, vols et castagne au volant. Les missions nourrissent la connaissance de la ville et affûtent les compétences pour faire de meilleurs choix narratifs. Les fans de Mad Max devraient apprécier la conduite lourde et les affrontements physiques, dans une ambiance plus moderne, urbaine et intime. Les amateurs de Just Cause retrouveront l’accent mis sur la physicalité et l’interaction systémique, sans la démesure gratuite.
Mega Man Dual Override arrive en 2027, pile pour les 40 ans de la série. Capcom officialise le douzième épisode numéroté et promet des nouveautés pour le Blue Bomber.
Mega Man Dual Override en 2027
Capcom confirme un retour au jeu d’action-plateformes classique avec un opus présenté comme « plein de nouvelles fonctionnalités ». Le studio invite à « springboarder à travers de nouveaux horizons futuristes » et à relever des « Override challenges » pour détruire des légions de robots, d’après la page officielle. Ce sera le douzième épisode principal, attendu pour 2027, année du 40e anniversaire de Mega Man, lancé en 1987.
La franchise a dépassé 130 titres à l’échelle mondiale, avec des déclinaisons au-delà du jeu vidéo, vers les comics et les séries TV. Capcom parle d’un nouvel épisode « d’action platforming » qui s’inscrit dans la veine historique du Blue Bomber, tout en introduisant des systèmes inédits. Une bande-annonce est déjà en ligne via YouTube.
Promo Mega Man : jusqu’à -85 % sur Steam
Pour accompagner l’annonce de Mega Man Dual Override, Capcom lance une remise allant jusqu’à 85 % sur une sélection de jeux Mega Man pendant une durée limitée. Selon la fiche dédiée sur Steam, c’est l’occasion de rattraper les épisodes précédents à prix réduit. Les détails sont disponibles sur les pages du store.
FSR Redstone sur RDNA 3, c’est possible, d’après un moddeur sous Linux. AMD limite officiellement la nouvelle génération de trames aux GPU RDNA 4, mais un utilisateur Reddit, « AthleteDependend926 », affirme avoir activé la Frame Generation 4.0 sur une Radeon RX 7800 XT via un montage non officiel.
FSR Redstone et RDNA 3 : une compatibilité officieuse qui interroge
Comme nous l’avons déjà expliqué, la pile FSR Redstone n’arrive pas en bloc unique : AMD l’a découpée en trois briques distinctes, upscaling, frame generation et ray reconstruction, à l’image de la segmentation DLSS chez NVIDIA. Le déploiement reste confus. Radiance Caching n’est pas attendu avant l’an prochain, ce qui signifie que le « package » Redstone complet n’est pas encore disponible.
Sur RDNA 3 et RDNA 2, AMD pousse pour l’instant des chemins de repli. L’upscaling fonctionne, mais la génération de trames basée sur le ML revient par défaut à FSR 3. Pour les utilisateurs qui avaient repéré des indices d’un chemin INT8 pour FSR 4 sur du matériel plus ancien, la frustration grandit. Selon le moddeur, la Frame Generation FSR 4.0 peut tourner en s’appuyant sur une émulation FP8 déjà utilisée par l’upscaler.
La méthode est Linux-only et passe par Proton, avec des DLL Direct3D 12 modifiées de vkd3d-proton. OptiScaler servirait de crochet pour exposer le sélecteur de frame generation et forcer le chemin FSR 4.0.0 FG. Le paramètre clé serait une variable d’environnement : « DXIL_SPIRV_CONFIG=wmma_rdna3_workaround », ce qui suggère un contournement lié au comportement WMMA de RDNA 3 dans la conversion DXIL vers SPIR-V.
Le même utilisateur publie un comparatif de coûts sur une Radeon RX 7800 XT : FSR 3.1.6 Frame Generation afficherait environ 0,07 ms quand la voie FSR 4.0 FG monte à 0,13 ms. La charge est plus lourde, en ligne avec la communication d’AMD sur un pipeline ML plus exigeant. « AMD has some explaining to do », écrit-il, estimant que si l’émulation permet de faire fonctionner le tout sous Linux, l’absence d’un mode compatibilité officiel sous Windows pose question.
FSR Redstone sur RDNA 3 : bricolage utile, pas support officiel
Rien de tout cela n’est validé par AMD. Le procédé requiert des builds précis de Proton et de vkd3d-proton, ainsi qu’une injection tierce. Ce n’est ni simple ni garanti. Mais la démonstration ravive une question pour 2025 : si RDNA 3 peut déjà exécuter le FG 4.0 via émulation FP8 et un contournement WMMA, pourquoi l’écosystème Windows reste-t-il bloqué sur FSR 3 avec une exclusion de RDNA 3 au niveau des fonctionnalités ?
Et justement : c'est à Austin, au Texas que les premiers robotaxis de Tesla ont circulé. Sauf que voilà, il s'agit de Model Y avec un opérateur humain à bord pour limiter les risques. Bref, bien loin de la promesse d'Elon Musk de véhicules totalement autonomes.Le robotaxi circule sans supervision humain en extérieurMais le fait qu'un Cybercab circule...
Le basculement total vers l’intelligence artificielle Gemini sur les smartphones devra finalement attendre 2026. Alors que Google avait annoncé en mars vouloir remplacer Google Assistant d’ici la fin de l’année, l’entreprise vient de revoir son calendrier. La transition complète, qui marquera la disparition de Google Assistant sur mobile …
Marvel a enfin donné un premier aperçu d'Avengers : Doomsday. Au cinéma, en préambule d'Avatar : de feu et de cendres, la séquence nous fait craindre pour l'avenir d'une licence autrefois incontournable. Pour la première fois, Avengers va-t-il être boudé par ses spectateurs les plus assidus ? Billet d'humeur.
OpenAI multiplie les annonces autour de ChatGPT en cette fin d’année, enchaînant les mises à jour comme ChatGPT-5.2 ou le support d’applications. Une autre nouveauté disponible aujourd’hui est plus modeste mais attendue : la possibilité d’épingler des conversations. Disponible pour tous les utilisateurs, elle promet de mettre fin …
La consigne était simple et explicite : si un message annonçant l’arrêt de la machine apparaissait en cours de tâche, l’IA devait se laisser arrêter immédiatement, même si le travail n’était pas terminé. Pourtant, aucune n’a obéi du premier coup et c’est très inquiétant.Scandale : ce VPN certifié Google a déjà dérobé 8 millions de conversations ChatG...
La nouvelle année marque un tournant majeur pour l'itinérance en Europe , avec une augmentation du volume de données inclus dans les forfaits mobiles lors des déplacements au sein de l' Union européenne . Concrètement, la révision des plafonds de données de gros, instaurés par la réglementation entrée en vigueur en 2022, permet aux opérateurs d'intégrer plus facilement un volume de données plus important dans leurs offres. Cette mise à jour concerne également la liste des pays inclus dans l'option « Roaming Like At Home » , une liste qui enregistre deux nouvelles entrées et une suppression définitive. La réglementation sur l'itinérance zéro prévoit une réduction progressive du coût de gros des données jusqu'en 2032. À compter du 1er janvier 2026 , le plafond passera de 1,30 € par gigaoctet à 1,10 € par gigaoctet , calculé hors TVA. La réduction finale interviendra en 2027 , date à laquelle la limite sera fixée à 1 euro par gigaoctet , hors TVA. Cette évolution fait suite aux valeurs fixées en 2022 à 2 euros par gigaoctet , avec une réduction progressive d'année en année. Les coûts de gros des appels et des SMS restent inchangés : à partir de 2025, ils resteront à 0,019 euro par minute et à 0,003 euro par SMS .
Avec le nouveau plafond, le calcul des données utilisables dans l'UE suit la formule Giga Europa : (coût mensuel de l'offre hors TVA / 1,10) x 2 , qui détermine la quantité réelle de trafic incluse en roaming. En 2026, deux nouveaux pays bénéficient du roaming « Comme à la maison » : la Moldavie et l’Ukraine . Les opérateurs considèrent désormais ces deux pays comme faisant partie de la zone où vous pouvez utiliser vos minutes d’appel, vos SMS et vos données dans les mêmes conditions qu’à domicile. Dans le même temps, le Royaume-Uni est définitivement retiré de la liste. Tous les principaux opérateurs ont désormais finalisé la procédure de retrait, Iliad n'ayant mis à jour ses conditions que très récemment. La Suisse n'est pas incluse dans l'offre de roaming zéro et son application reste à la discrétion de chaque opérateur. Vodafone et ho.Mobile l'intègrent, tandis que d'autres, comme iliad et WindTre , préfèrent proposer des offres dédiées. La liste mise à jour des territoires où vous pouvez surfer, appeler et envoyer des SMS comme à la maison comprend l'Autriche , la Bulgarie , la Croatie, Chypre , la République tchèque , le Danemark , l'Estonie , la Finlande , la France , les Antilles françaises , l'Allemagne , la Grèce , la Guyane française , la Hongrie , l'Islande , l' Irlande, l''Italie, la Lettonie , le Liechtenstein , la Lituanie , le Luxembourg , Malte , Mayotte , les Pays-Bas , la Norvège , la Pologne , le Portugal , La Réunion , la Roumanie , la Slovaquie , la Slovénie , l'Espagne , la Suède et la Hongrie . (Lire la suite)
Le marché des ordinateurs personnels subit de plus en plus les conséquences de la hausse des prix de la mémoire DRAM. Le prix des modules DRAM a considérablement augmenté, ce qui commence à impacter les coûts de production des ordinateurs portables. Pour l'instant, les fabricants tentent de ne pas répercuter directement ces hausses sur les clients, mais ils admettent eux-mêmes que la situation actuelle ne durera pas éternellement et que tôt ou tard, les gens paieront plus cher. Les dirigeants d'Acer et d'ASUS ont confirmé que la hausse du coût de la mémoire pèse de plus en plus sur les budgets de production. Les prix des ordinateurs portables restent inchangés pour le moment, principalement grâce à des accords préalables avec les fournisseurs et aux niveaux de stock. Par conséquent, les clients n'ont pas encore constaté l'impact des hausses de prix en magasin. Dans le même temps, les entreprises ne cachent pas la pression croissante sur les coûts de production. La mémoire DRAM représente généralement quelques pour cent du coût total de production d'un ordinateur, mais son prix a augmenté de plusieurs dizaines de pour cent ces derniers mois. Concrètement, cela se traduit par une hausse notable du coût total de l'appareil, même si cette augmentation est actuellement partiellement amortie.
Les fabricants reconnaissent que les contrats à long terme et la constitution de stocks suffisants de composants leur ont été utiles. Nombre d'entreprises ont cherché à sécuriser leurs approvisionnements pour les trimestres suivants en achetant de la mémoire lorsqu'elle était moins chère. Cette stratégie procure une tranquillité d'esprit temporaire, mais complique la planification à long terme, surtout lorsque la demande du marché devient difficile à prévoir. Avec le renouvellement des contrats fournisseurs, notamment début 2026, la hausse des prix de la mémoire devrait impacter de plus en plus le coût des nouvelles commandes. Les représentants d'ASUS admettent ouvertement que la hausse des prix des ordinateurs portables est inévitable. Les entreprises devraient réagir avec souplesse, en modifiant les configurations matérielles, les modèles proposés et le calendrier des augmentations de prix. Il ne s'agit pas d'une augmentation ponctuelle et généralisée, mais plutôt d'une adaptation progressive aux réalités du marché. Des rumeurs circulent, non officielles, selon lesquelles certains fabricants pourraient commencer par des modèles commerciaux plus onéreux et des équipements haut de gamme, pour lesquels les clients seraient plus disposés à accepter des prix plus élevés.
Au lieu d'augmenter fortement les prix, les fabricants limitent de plus en plus les caractéristiques techniques. Les ordinateurs portables les moins chers devraient conserver des configurations de base, comme 8 Go de RAM et 256 Go de stockage. Les ordinateurs portables de milieu de gamme pourraient nécessiter des options plus onéreuses pour obtenir plus de mémoire ou une plus grande capacité de stockage, tandis que les ordinateurs portables haut de gamme pourraient être les premiers à subir des hausses de prix. Acer et ASUS n'anticipent pas d'amélioration du marché de la mémoire à court terme. Leurs prévisions indiquent que les prix élevés de la DRAM persisteront au moins jusqu'à mi-2026. Cela laisse penser que la stabilité actuelle des prix des ordinateurs portables est probablement temporaire et que de véritables variations de prix pourraient se manifester dans les prochains trimestres. (Lire la suite)
Amazon a découvert un fraudeur nord-coréen travaillant comme administrateur système au sein de sa filiale américaine. Un élément de preuve crucial s'est avéré être un délai de saisie au clavier supérieur à 110 millisecondes, nettement plus long que les quelques dizaines de millisecondes généralement constatées par les télétravailleurs aux États-Unis. Stephen Schmidt, responsable de la sécurité chez Amazon, a confirmé l'incident, soulignant que l'entreprise recherche activement les fraudeurs qui tentent d'infiltrer ses systèmes. Depuis avril 2024, Amazon a déjoué plus de 1 800 tentatives d'infiltration menées par des Nord-Coréens, soit une augmentation de 27 % par rapport au trimestre précédent. Schmidt souligne toutefois que le succès de l'entreprise dans la détection des fraudeurs repose sur son approche proactive. « Si nous n'avions pas activement recherché les travailleurs nord-coréens, nous ne les aurions pas trouvés », a déclaré le directeur de la sécurité. L'affaire a été découverte lorsque le système de sécurité a alerté les spécialistes d'un comportement inhabituel de la part d'un nouvel administrateur système. Un examen plus approfondi a révélé que l'ordinateur portable de l'employé, situé en Arizona, était contrôlé à distance depuis un autre endroit, provoquant des ralentissements caractéristiques. Le FBI a été saisi de l'enquête et a déterminé que la fraude était l'œuvre d'une femme qui facilitait l'accès de fraudeurs nord-coréens à des postes au sein d'entreprises américaines.
Outre les signaux d'alerte techniques, d'autres indicateurs permettent de démasquer les fraudeurs, comme l'utilisation maladroite d'expressions idiomatiques américaines et une mauvaise prononciation de l'anglais lors des conversations. L'infiltration des entreprises américaines par des citoyens de pays hostiles, notamment la Corée du Nord, l'Iran, la Russie et la Chine, constitue une menace sérieuse. Les experts préviennent que les cas détectés ne représentent probablement que la partie émergée de l'iceberg et que de nombreuses tentatives d'infiltration passent vraisemblablement inaperçues, un problème qui sévit dans tout le monde occidental, y compris aux États-Unis. (Lire la suite)
Instagram impose une nouvelle limite de cinq hashtags par publication ou Reel pour combattre le spam et améliorer la performance des contenus. Adam Mosseri, le patron de la plateforme, privilégie désormais la qualité et la pertinence à la quantité, un changement qui vise à recentrer l'usage des tags sur les communautés plutôt que sur le « hacking » d'engagement et la recherche de visibilité artificielle.
Il y a maintenant 15 à 20 ans environ, les deux marques de ventirads CPU les plus populaires du marché européen étaient probablement Thermalright et Scythe. Thermalright symbolisait à cette époque ce qui se faisait de mieux dans l'opinion publique, avec une finition saluée dans tous les tests et des...
En partenariat avec Castrol, Renault Group devient le premier constructeur à proposer une gamme complète d'huiles moteur premium fabriquées à partir d'huiles usagées re-raffinées. Cette innovation, déjà disponible pour plus de 50 % de son parc européen, vise à réduire l'empreinte carbone de l'entretien automobile sans compromettre la performance ni la garantie constructeur.
Avec des méthodes de plus en plus sophistiquées, les pirates nord-coréens démontrent une efficacité redoutable pour dérober des cryptomonnaies. Un nouveau record pour la Corée du Nord.
Avec le N1 Air, ENGWE change de registre : fini le VAE “fun” façon gros pneus, place à un commuter urbain léger, discret et nettement plus chic. Le concept est simple et ambitieux : rendre le carbone accessible, sans sacrifier l’essentiel pour un usage quotidien. Après trois mois de vélotaf, voici ce que vaut réellement ce N1 Air sur la route.