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Dreame continue de nous surprendre avec des produits toujours aussi utiles. Aujourd’hui, on teste pour vous le C1 Station, un robot lave vitres qui risque bien d’alléger notre charge ménagère du quotidien ! Ce n’est pas notre premier test du genre puisque nous vous avions proposé le Tosima W2.
À l’heure où ses lignes sont écrites, vous le retrouverez en promotion au prix de 543 € sur Amazon. Place au test !
Sur la face avant, nous retrouverons le C1 Station de Dreame qui sera mis en scène en grand, avec un visuel qui montre clairement le robot lave-vitres et sa station, accompagné du nom du produit bien visible. À gauche, on retrouvera les principales fonctionnalités clés du C1 Station de Dreame à travers des pictogrammes simples et lisibles. Tandis que le côté droit sera dédié aux informations techniques et au contenu de la boîte, avec les éléments inclus et les données essentielles du produit. Pour finir à l’arrière, on retrouvera cette fois une présentation plus explicative du C1 Station, avec des visuels d’usage sur vitres et fenêtres mettant en avant son fonctionnement automatique et sécurisé.
| Caractéristique | Détail technique |
|---|
| Nom complet | Dreame Robot Laveur de Vitres C1 Station |
| Type d’appareil | Robot lave-vitres autonome avec station d’accueil intelligente |
| Dimensions du robot | 325 × 231 × 350 mm |
| Poids total (avec station) | Environ 7,6 kg |
| Puissance d’aspiration | 5 500 Pa |
| Autonomie | Jusqu’à 180 minutes |
| Capacité de la batterie | 7 800 mAh (intégrée dans la station) |
| Réservoir d’eau | 80 ml |
| Surface de nettoyage maximale | Environ 90 m² par session |
| Longueur du câble | 5,5 m (cordon composite avec gestion automatique) |
| Niveau sonore | Environ 63 dB |
| Technologie de nettoyage | Double pulvérisation + chiffons microfibres |
| Navigation | Guidage intelligent par IA avec trajectoires en « Z » et « N » |
| Modes de nettoyage | 5 modes : complet, rapide, bords, intensif, manuel |
| Système de sécurité | Corde de sécurité, détection de bords, verrouillage antichute |
Technologie CornerClean![]() |
Oui, pour atteindre efficacement les coins |
| Reprise automatique | Oui, reprend là où il s’est arrêté après interruption |
| Compatibilité application | Oui, via application Dreame Home |
| Type de vitres compatibles | Lisses, sans encadrement, à simple ou double vitrage |
| Couleur / design | Gris clair et blanc, design carré moderne |

Aspiration puissante jusqu’à 5 500 Pa pour assurer une bonne adhérence à la vitre.
Technologie « CornerClean
» avec brosses conçues pour atteindre les coins et assurer jusqu’à ~90 % de couverture aux angles.
Navigation assistée par IA : planification des trajectoires en « Z » ou « N », détection des bords et adaptation à la surface.
Sécurité renforcée : ventouse d’adhérence (~800 N), corde de sécurité, cordon composite pouvant supporter jusqu’à 140 kg, verrouillage antichute.
Station multifonctionnelle : batterie 7 800 mAh permettant jusqu’à ~180 minutes d’autonomie (~90 m²), câble composite de 5,5 m, fonction de recharge pendant utilisation.
Nettoyage humide amélioré : réservoir d’eau (~80 ml), technologie à double jet de pulvérisation, chiffon microfibre pour éviter gouttes et dépôts.
Gestion automatique du câble : libération et rétraction automatiques, pour éviter enchevêtrement et chute.
Mode reprise automatique en cas d’interruption : le robot reprend là où il s’est arrêté.
Cinq modes de nettoyage disponibles (via appli et via boutons sur la station) : nettoyage complet, nettoyage rapide, nettoyage uniquement des bords, etc.
Compatibilité via application mobile pour pilotage, suivi, choix de mode.
Le robot lave-vitres lui-même
La station d’accueil / base multifonction (accu + rangement accessoires)
Le câble d’alimentation (longueur ~1,8 m selon certaines sources)
Une corde de sécurité + attache/clamp de sécurité pour fixation sur structure fixe (pour éviter chute)
Des chiffons en microfibre pour les patins de nettoyage (au moins deux)
Des brosses ou patins coins/angles
Un manuel d’instructions / guide de l’utilisateur
Nettoyer ses vitres, c’est probablement l’une des corvées les plus ingrates du quotidien. Entre les traces qui reviennent toujours, surtout celles des petits doigts des enfants, la poussière qui colle et l’équilibre précaire sur un escabeau, il y a de quoi rêver d’une solution miracle. Et justement, Dreame — marque déjà bien connue pour ses aspirateurs robots — semble vouloir s’attaquer à ce problème avec son robot laveur de vitres Dreame C1 Station. Un produit ambitieux, qui promet de redonner leur éclat à vos surfaces vitrées sans effort. Promesse tenue ? C’est ce qu’on va voir.
Dès le déballage, on sent que Dreame n’a pas fait les choses à moitié. Le C1 Station respire la qualité, avec un design carré, compact, et des finitions soignées typiques de la marque. La vraie nouveauté ici, c’est cette fameuse station : une boîte intelligente qui sert à la fois de base de charge, de réserve d’énergie et de point d’ancrage. Contrairement à de nombreux modèles filaires, le C1 fonctionne avec une batterie intégrée à la station de 7800 mAh, capable d’assurer environ trois heures d’autonomie. Et ça change clairement tout : plus besoin de traîner un câble jusqu’à la prise la plus proche, on déploie le robot, on le colle à la vitre, et il s’occupe du reste.
Techniquement, le Dreame C1 Station impressionne. Son système d’aspiration de 5500 Pa lui permet de se maintenir solidement contre la vitre, même verticale, sans jamais donner l’impression de pouvoir tomber. C’est d’ailleurs l’un de ses gros points forts : on se sent en confiance dès la première utilisation. Il embarque un petit réservoir d’eau (environ 80 ml) qui lui permet d’humidifier la surface au fur et à mesure de son passage, et ses patins en microfibre frottent avec une précision redoutable. Le format carré, plus rare que les ronds, permet en plus d’atteindre les coins, souvent laissés de côté par les concurrents.
Sur le terrain, le résultat est franchement convaincant — à condition que vos vitres ne soient pas dans un état catastrophique. Sur des baies vitrées entretenues régulièrement, le Dreame C1 Station laisse une surface propre, sans trace visible, et sans effort. Ma véranda avait clairement besoin d’un coup de propre, et j’ai donc utilisé le mode intensif deux fois, dedans et dehors. Sur des vitres très encrassées (poussière accumulée, traces grasses, sel marin, etc.), le robot s’en sort honorablement mais nécessite parfois un second passage, voire un petit coup de chiffon manuel. En clair, il n’est pas magique, mais il est diablement efficace sur de l’entretien courant, et c’est cela qu’on vise.
Le pilotage se fait via l’application Dreame, claire et intuitive, mais le robot peut aussi fonctionner seul. On le positionne, il analyse la surface et se déplace de manière méthodique, avec des trajectoires en zigzag pour ne rien oublier. Et quand il a terminé, il revient à son point de départ, prêt à être décroché. Un détail qu’on apprécie quand on a plusieurs mètres carrés de vitrages à traiter.
En revanche, il ne faut pas s’attendre à une expérience totalement autonome. Il faut encore humidifier les chiffons, positionner le robot, lancer le mode de nettoyage, et parfois l’assister légèrement pour certaines zones. Ce n’est pas un appareil qu’on pose et qu’on oublie, mais plutôt un assistant efficace qui réduit drastiquement le temps et l’effort. Dreame ne promet pas une disparition totale de la corvée, mais il l’allège clairement.
Côté usage, le Dreame C1 Station s’adresse avant tout à ceux qui ont de grandes surfaces vitrées : baies, vérandas, fenêtres en hauteur, façades exposées. Dans ce contexte, il est redoutable. Si en revanche vous vivez dans un appartement avec trois fenêtres standards, son intérêt devient relatif, surtout compte tenu de son prix, autour de 600 € hors promotion. Il faut le voir comme un investissement pratique pour qui entretient régulièrement de grandes surfaces, pas comme un gadget ponctuel.
En termes de bruit, il reste dans la moyenne — disons comparable à un aspirateur en mode modéré —, donc pas idéal à lancer le soir quand les enfants dorment. En revanche, la sécurité est impeccable : le système d’aspiration combiné à la corde de sécurité élimine quasiment tout risque de chute. Dreame a clairement pensé à la tranquillité d’esprit de l’utilisateur.
Au quotidien, le Dreame C1 Station change la donne. On n’a plus besoin de frotter ni de grimper sur une échelle pour atteindre les vitres les plus hautes. On gagne du temps, on gagne du confort, et surtout, on garde une maison plus lumineuse, plus longtemps. Ce n’est pas un robot parfait — il demande encore un peu de participation et ne remplacera jamais totalement le nettoyage manuel —, mais il se rapproche de cette idée d’entretien intelligent et semi-automatique qui devient la signature de Dreame.
Pour conclure, le Dreame C1 Station est un produit abouti, élégant et terriblement pratique pour ceux qui en ont l’usage. Il brille sur les grandes baies vitrées, peine un peu sur les vitres très sales, mais vous aidera grandement pour un entretien plus fréquent. Je dirais que c’est l’un des meilleurs robots laveurs du moment, à la fois robuste, bien pensé et rassurant. Pas un gadget de plus, mais un vrai compagnon d’entretien domestique — un peu cher, certes, mais qui justifie son prix si vous passez trop souvent le week-end avec une raclette à la main. De mon côté avec la véranda, c’est clairement un must-have.
Bref, le Dreame C1 Station, c’est la fin des vitres ternes et des bras fatigués.
Test – Robot lave vitres C1 Station de Dreame a lire sur Vonguru.
Y'a des fois où je me dis que certaines entreprises font vraiment tout pour qu'on les déteste. Et Nintendo vient de passer un cap dans le mépris de ses clients.
La Free Software Foundation vient de publier un article au vitriol sur les nouvelles conditions d'utilisation de la Switch 2. En fait, Nintendo s'arroge désormais le droit de rendre votre console "définitivement inutilisable en tout ou en partie" s'ils estiment que vous avez violé leurs conditions. Oui, vous avez bien lu... Vous achetez une console, vous la payez plein pot, et si Nintendo soupçonne que vous avez fait un truc qui leur plaît pas, ils peuvent vous bannir des services en ligne à vie. La console reste utilisable hors-ligne, mais bon courage pour jouer à quoi que ce soit de récent sans téléchargements ni mises à jour.
Et attendez, c'est pas fini car les motifs de bannissement sont d'une largeur hallucinante. Modifier votre console c'est ban, jouer à des jeux de backup c'est ban, utiliser une flashcart c'est ban. Et le pire : acheter un jeu d'occasion peut vous valoir un bannissement !! U n mec a acheté une cartouche sur une marketplace, et sa console a été bannie parce que le précédent proprio avait peut-être cloné le jeu. Certains ont quand même réussi à faire lever le ban en prouvant que leur achat était légitime, mais faut voir la procédure de zinzin... c'est à vous de prouver votre innocence, et surtout pas à Nintendo de prouver votre culpabilité.
Les conséquences peuvent donc être permanentes et sont liées à la console elle-même, et pas à votre compte. Plus d'eShop, plus de téléchargements, plus de mises à jour de sécurité, plus de jeux en ligne. Vos jeux numériques déjà téléchargés restent jouables hors-ligne, et ceux liés à votre compte peuvent être récupérés sur une autre console. Mais si vous revendez la console, le nouveau propriétaire héritera du ban. Sympa pour le marché de l'occasion.
D'ailleurs, quelqu'un a acheté une Switch 2 reconditionnée en pensant faire une bonne affaire... et s'est retrouvé avec du matériel parfaitement fonctionnel mais inutilisable pour les services en ligne et la plupart des jeux récents. Nintendo avait banni la console avant qu'elle soit remise en vente.
Le pire dans tout ça c'est que les conditions d'utilisation incluent une clause d'arbitrage obligatoire. Cela veut dire que vous renoncez à votre droit de poursuivre Nintendo en justice, de participer à un recours collectif, ou même d'avoir un procès avec jury. Il existe un opt-out dans les 30 jours suivant l'achat, mais qui lit vraiment les CGU d'une console de jeu ?
Heureusement, tout le monde n'accepte pas ces conneries puisque le Brésil vient d'ouvrir une enquête contre Nintendo car Procon-SP, l'organisme de protection des consommateurs de Sao Paulo, considère que cette politique viole les droits des utilisateurs à accéder aux services qu'ils ont payés. En Europe, le droit de la consommation offre aussi des protections que les Américains n'ont pas.
Bref, Nintendo continue de prouver qu'on peut faire des jeux exceptionnels tout en traitant ses clients comme des criminels, alors la prochaine fois que vous hésitez entre une Switch et une Steam Deck, pensez-y.

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Clair Obscur: Expedition 33, c'est le jeu français qui a explosé tous les compteurs aux Game Awards 2025 avec 9 prix sur 12 nominations dont le très convoité Game of the Year. Un carton monstre pour Sandfall Interactive, le studio indé français.
Toutefois un petit drama vient d'avoir lieu... Une autre cérémonie, les Indie Game Awards viennent de lui retirer ses deux prix (GOTY et Best Debut Game) parce que... roulement de tambours... le studio a utilisé de l'IA générative pendant le développement. Et histoire d'en rajouter une couche, lors de leur candidature aux IGA, ils auraient déclaré ne pas avoir utilisé de gen-AI.
Oups...
Pour être plus précis, des artistes du studio ont utilisé quelques images générées par IA en tant que placeholders visuels, le temps de créer les vraies textures à la main. C'est une pratique hyper courante dans le dev de jeux vidéo, mais le problème c'est que quelques posters avec des textures IA sont passés entre les mailles du filet et se sont retrouvés dans la version finale lors du lancement. Rien de dramatique, juste des affiches en arrière-plan dans la zone de départ du jeu que le studio a retirés dans un patch quelques jours après la sortie.
Mais voilà, les Indie Game Awards ont une politique anti-IA extrêmement stricte et leur règlement interdit l'utilisation de l'IA générative y compris dans le processus de développement. Du coup, même si les éléments IA ont été retirés rapidement, ça suffit à disqualifier le titre.
L'usage d'IA avait été mentionné par le producteur François Meurisse dans une interview à El País dès juin 2025, mais c'est seulement après la cérémonie du 18 décembre que les IGA ont réagi. Et 2 jours plus tard, ils annonçaient la rétractation des prix... C'est donc Blue Prince qui récupère le GOTY et Sorry We're Closed (gratuit pour 24h sur l'Epic Games Store) qui empoche le Best Debut Game.
Si vous êtes fan de Clair Obscur: Expedition 33, rassurez-vous, le jeu garde ses 9 prix aux Game Awards, dont le Game of the Year principal. Après si vous voulez mon avis, on nage quand même en plein délire car si on pousse cette logique, qu'est-ce qu'on fait des devs qui utilisent ChatGPT pour débugger du code ?
Pour moi, jeter Clair Obscur: Expedition 33 parce qu'ils ont utilisé un peu d'IA dans un cadre de développement uniquement, alors que ça n'a floué personne et que c'était purement technique pour faire un peu de remplissage en attendant les assets finaux, c'est comme disqualifier un film à Cannes parce que le scénariste a utilisé un correcteur orthographique ou refuser un Grammy Award parce qu'une chanson contient un sample...
Bref, IA ou pas, Clair Obscur reste un excellent jeu et j'ai hâte qu'on revienne au monde d'avant quand on jugeait les œuvres sur leurs qualités objectives.

Vous avez un serveur dans un placard, un NAS chez vos parents, ou une machine headless qui fait des siennes et qui refuse de booter correctement ? Alors vous connaissez forcement cette galère quand c'est impossible d'y accéder à distance parce que l'OS a crashé, que le réseau ne répond plus, ou que vous avez besoin de tripatouiller le BIOS pour changer un réglage.
Ah mais c'est terminé ces galères de cro-magnons, car il existe maintenant un petit boîtier open source qui règle tout ça et qui s'appelle LeafKVM. C'est un KVM over IP sans fil, avec un écran tactile intégré, qui vous permet de prendre le contrôle total d'une machine depuis votre navigateur web, sans avoir besoin d'installer quoi que ce soit sur la machine cible.
Vous branchez le LeafKVM en HDMI sur votre serveur (pour capturer l'image) et en USB (pour émuler clavier/souris), et hop, vous accédez à l'écran de la machine depuis n'importe quel navigateur que vous soyez sur votre canapé ou à l'autre bout du monde via RustDesk , vous voyez exactement ce que la machine affiche, du BIOS jusqu'à l'OS, et vous pouvez taper au clavier comme si vous étiez devant. Vous pouvez même monter des images ISO à distance pour réinstaller un OS sur une machine plantée, ce qui est quand même bien pratique.
Et LeafKVM embarque sa propre connectivité Wi-Fi 5 avec un mode hotspot intégré, du coup, même si votre serveur n'a pas de réseau fonctionnel (genre le driver réseau qui merde au boot), vous pouvez quand même y accéder en vous connectant directement au Wi-Fi du boîtier depuis votre smartphone. Pas besoin de trimballer un écran et un clavier dans votre local technique, le LeafKVM fait tout ça dans son boîtier alu de 90x65mm qui tient dans la poche.
Côté specs, on a donc un processeur Rockchip RV1106G3 avec 256 Mo de RAM et 16 Go de stockage eMMC, une puce Toshiba TC358743 pour la capture HDMI jusqu'en 1080p/60fps avec une latence sous les 100ms, du Wi-Fi 5 et Bluetooth via une puce RTL8821CS, un port Ethernet 100 Mbps avec support PoE optionnel, et surtout cet écran tactile IPS de 2,4 pouces qui permet de configurer le réseau ou de prévisualiser l'écran directement sur le boîtier sans avoir besoin d'un PC.
Le tout est vraiment open source avec les schémas hardware sous licence CERN-OHL-W et le logiciel sous GPLv2/v3. Le firmware est basé sur Linux Buildroot avec un backend en Rust, et l'interface web est dérivée du projet JetKVM. Bref, vous pous pouvez auditer le code si ça vous amuse mais également le modifier et le compiler vous-même si ça vous chante..
Par rapport aux alternatives comme le JetKVM à 69 dollars qui n'a pas de Wi-Fi hotspot, ou le NanoKVM de Sipeed qui est moins cher mais qui a eu quelques soucis de sécurité avec ses mots de passe par défaut, le LeafKVM se positionne très bien sur le créneau du "fait maison mais bien fini".
Le projet est actuellement en pré-lancement sur Crowd Supply, donc pas encore de prix annoncé, mais si vous êtes du genre à avoir des machines éparpillées un peu partout et que vous en avez marre de vous déplacer à chaque fois qu'une d'elles fait des caprices, ça vaut le coup de garder un œil dessus.
Merci à Letsar pour le partage !

Le premier teaser d’Avengers: Doomsday vient de débarquer, mais pas selon les modalités habituelles. Marvel Studios adopte une approche singulière pour lancer cette campagne promotionnelle : la première bande-annonce confirme le retour de Chris Evans dans le rôle de Steve Rogers, tout en restant exclusivement diffusée avant les séances d’Avatar: Fire & Ash. Naturellement, cela ... Lire plus
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Le mois décembre 2025 permet de découvrir de nouveaux tests et dossiers. Voici le meilleur du Net Francophone (semaine 51).
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Dans un geste fort visant à préserver sa suprématie dans les semi-conducteurs, Taïwan resserre la bride sur les ambitions mondiales de TSMC, plaçant la souveraineté technologique au cœur de sa stratégie.

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Tommy Shelby avait brûlé son passé pour s’orienter vers un avenir incertain mais prometteur dans le final de Peaky Blinders. Pourtant, quelque chose l’a ramené à l’existence qu’il tentait de fuir dans le nouveau long-métrage de la franchise, Peaky Blinders: The Immortal Man. Cillian Murphy reprendra son rôle emblématique, entouré de nombreux nouveaux venus. Le ... Lire plus
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