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La Bolivie inquiète après une tentative de coup d’Etat

Quinze personnes accusées d’avoir participé au soulèvement militaire conduit mercredi par le général Juan José Zuñiga ont été arrêtées.

© Rodwy Cazon Barrios / AP

Le président bolivien Luis Arce, devant le palais du gouvernement, à La Paz, le 26 juin 2024.

La France tente de forcer la main de Téhéran au moyen d’une affaire de rétention administrative d’un Iranien

Le cas de Bashir Biazar, ancien responsable de l’audiovisuel public du régime de Téhéran, arrêté en France à des fins d’expulsion, est utilisé comme une carte dans les négociations en cours pour libérer trois Français détenus par la République islamique.

© @JasonMBrodsky via X

Portrait de Bashir Biazar diffusé par le politologue Jason Brodsky en annonçant sa détention en France, le 26 juin 2024.

En Chine, deux ministres de la défense jugés pour corruption

Les purges au sein de l’armée montrent la toute-puissance de Xi Jinping mais aussi son incapacité à mettre un terme à la prévarication des dirigeants.

© Pedro Pardo / via REUTERS

Le président chinois, Xi Jinping, et sa femme, Peng Liyuan, lors de la cérémonie d’accueil du président polonais Andrzej Duda au Grand Hall du peuple à Pékin, le 24 juin 2024.

Aux Etats-Unis, le naufrage de Joe Biden lors du débat télévisé contre Donald Trump

Le premier face-à-face entre les deux candidats à la présidentielle, sur le plateau de CNN jeudi, a viré au désastre pour le président démocrate, qui est apparu à plusieurs reprises dépassé, butant sur les mots, incapable de suivre le fil de sa pensée.

© ANDREW CABALLERO-REYNOLDS / AFP

Le président américain Joe Biden et son prédecesseur Donald Trump, lors du premier débat pour la présidentielle, à Atlanta (Georgia), le 27 juin 2024.

Défense : Marine Le Pen lance les hostilités contre le « domaine réservé » du chef de l’Etat

Marine Le Pen a déclaré que le titre de chef des armées était « honorifique ». De son côté, Emmanuel Macron procède à des nominations qu’il avait jusqu’ici repoussées.

© CYRIL BITTON / DIVERGENCE POUR « LE MONDE »

Marine Le Pen lors d’une conférence de presse de Jordan Bardella pour la présentation du programme du RN, à Paris, le 24 juin 2024.

Trump et Biden affichent leur inimitié - et leur rivalité au golf - au grand jour

La question était liée à leur âge avancé, Donald Trump et Joe Biden en ont profité pour se chamailler sur leur performance... au golf. Le moment, saugrenu, a donné le ton du premier débat entre les deux candidats à la Maison Blanche, entre animosité, invectives et dédain.

© ANDREW CABALLERO-REYNOLDS

Joe Biden (D) et Donald Trump à Atlanta pour leur premier débat le 27 juin 2024

Devant le débat, les partisans de Trump exultent, ceux de Biden désespèrent

"La guerre en Ukraine n'aurait jamais eu lieu avec moi" au pouvoir, a martelé Donald Trump pendant le premier débat face à Joe Biden jeudi. "C'est vrai!", approuve bruyamment Monika Rothenbuhler, au milieu des applaudissements dans un bar de San Francisco.

© JOSH EDELSON

Des clients réagissent lors du débat télévisé entre Joe Biden et Donald Tump, dans un pub de San Francisco (Californie), le 27 juin 2024

Leila Seurat, politiste : « Les Palestiniens considèrent la paix d’Oslo comme un piège »

Dans un entretien au « Monde », la chercheuse considère que l’un des objectifs de l’attaque du 7 octobre 2023 visait à remettre en cause les accords d’Abraham signés en 2020 et à imposer la Palestine comme une question centrale de l’agenda international. Selon elle, toutes les perspectives politiques butent sur une réalité du terrain qui reste, côté palestinien, sous le contrôle du Hamas.

© AP

Le président américain Bill Clinton, avec le premier ministre israélien Yitzhak Rabin (à gauche) et le chef de l’OLP, Yasser Arafat, le 13 septembre 1993, à la Maison Blanche, à Washington, pour une poignée de main historique scellant les accords de paix d’Oslo.

Mateusz Morawiecki : « Il y a bien un système oligarchique en Europe »

ENTRETIEN - L’ex-premier ministre polonais explique pourquoi son parti Droit et Justice pourrait quitter les Conservateurs et réformistes européens au Parlement pour rejoindre un groupe «Visegrad plus».

© Aleksandra Szmigiel / REUTERS

L'ancien premier ministre polonais, Mateusz Morawiecki, lors d’un rassemblement des partisans du parti Droit et Justice (PiS), à Varsovie, le 11 janvier 2024.
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