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L’Ukraine sous le coup d’un ultimatum des Etats-Unis pour accepter un plan de paix déséquilibré

Donald Trump a donné jusqu’au 27 novembre à Kiev pour consentir à l’accord proposé, largement favorable à la Russie. Les Européens, mis devant le fait accompli, s’efforcent de soutenir Volodymyr Zelensky et de faire des contre-propositions.

© OZAN KOSE / AFP

Le président ukrainien, Volodymyr Zelensky, à Ankara, le 19 novembre 2025.
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Anna Colin Lebedev : « En Ukraine, la guerre est menée conjointement par l’armée et la société »

La particularité de l’armée ukrainienne tient notamment au fait que les trois quarts des soldats étaient des civils avant l’invasion russe, souligne la sociologue Anna Colin Lebedev dans un entretien au « Monde ». Elle observe une « civilianisation » de la conduite de la guerre et en décrypte les effets.

© Mishel & Nicol Feldman

« Le Dix d’épées », carte représentant des cocktails Molotov, issue d’un jeu de tarot conçu par les sœurs jumelles Mishel et Nicol Feldman, connues sous le nom d’artiste Sestry Feldman (mai 2022). Sur cette carte, qui appartient au tarot « Gloire à l’Ukraine », créé dans les premières semaines de l’invasion russe, les dix cocktails Molotov incarnent la résistance de ceux qui n’ont pas d’armes, mais la volonté de tenir.
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G20 en Afrique du Sud : comment les Etats-Unis ont tenté de torpiller le sommet

Washington boycotte l’événement qui se tient samedi et dimanche à Johannesburg. Malgré les intimidations de l’administration Trump, l’Afrique du Sud s’est efforcée de promouvoir son agenda, plaçant les attentes des pays en développement au cœur de ce sommet, le premier à se dérouler en Afrique.

© Themba Hadebe / AP

Le président sud-africain, Cyril Ramaphosa, et la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, à Johannesburg, le 20 novembre 2025.
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Le centre de commandement du plan Trump pour Gaza, cette “start-up chaotique”

Inauguré le 17 octobre à Kiryat Gat, dans le sud d’Israël, un centre de coordination dirigé par des militaires américains est chargé de faciliter la mise en œuvre du plan pour Gaza. L’activité y est intense même si, pour l’instant, il navigue à vue, constate “The New York Times”.

© PHOTO AHIKAM SERI/AFP

Une salle à l’intérieur du Centre de coordination militaro-civil pour la bande de Gaza, à Kiryat Gat, dans le sud d’Israël, le 19 novembre 2025.
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Après le Rwanda, l'émir du Qatar en visite en République démocratique Congo

Après sa visite au Rwanda, l'émir du Qatar a atterri dans la capitale Kinshasa pour une brève escale. Si la venue du Qatar a pour objectif de booster les investissements dans le pays, la question sécuritaire de l’est congolais a aussi été au menu. Le Qatar sert de médiateur dans les négociations entre les rebelles du M23 et le gouvernement congolais.

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EN DIRECT, guerre en Ukraine : Donald Trump affirme qu’il « faudra bien » que Volodymyr Zelensky accepte le plan américano-russe

Le président ukrainien, qui estime que son pays vit l’un « des moments les plus difficiles de son histoire », a promis de proposer, avec les Européens, d’« autres options » avant le 27 novembre, date limite fixée par son homologue américain.

© Nina Liashonok / REUTERS

Après une attaque russe à Odessa, le 21 novembre 2025.
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Jair Bolsonaro

Jair Bolsonaro, président du Brésil de 2019 à 2022, est un ancien capitaine de l'armée brésilienne, membre du Parti social libéral. Il est connu pour sa politique nationaliste, conservatrice et populiste et pour ses commentaires controversés sur les minorités et le climat. En 2022, il perd l'élection présidentielle face à l'ancien président Lula. Ce dernier est investi en janvier 2023, en l'absence de Jair Bolsonaro, parti en Floride. Suivez les dernières actualités internationales sur BFMTV.

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Présidentielle en République serbe de Bosnie: «Voter pour Karan c'est comme voter pour Dodik et sa politique»

Une élection présidentielle anticipée se tient ce week-end dans la République serbe de Bosnie, l'entité serbe de ce pays toujours divisé selon des lignes ethniques. Condamné et déclaré inéligible, l'ancien président nationaliste, Milorad Dodik, ne peut pas se présenter après 19 ans de pouvoir sans partage, mais son parti présente un candidat. L'entité serbe de Bosnie pourrait tourner la page du nationalisme lors de cette élection, dont le résultat s'annonce incertain, dans un pays ravagé par la corruption et les difficultés économiques

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