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Kiev et Washington élaborent un nouveau plan de paix affiné en 19 points

À l’issue de leurs négociations à Genève, l’Ukraine et les États-Unis sont parvenus à un projet de document complètement révisé, laissant les deux parties “optimistes”. Selon la presse internationale, les aspects les plus délicats – notamment les questions territoriales et le soutien de l’Otan – restent toutefois en suspens.

© photo service de presse ukrainien/AFP

Le président ukrainien Volodymyr Zelensky (à gauche) accueille le Secrétaire américain à l’Armée Daniel Driscoll lors de discussions à Kiev le 20 novembre 2025.
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Le Pakistan mène des frappes meurtrières en Afghanistan

La trêve entre Kaboul et Islamabad est plus fragile que jamais : au moins dix personnes, dont neuf enfants, ont péri dans la nuit de lundi à mardi dans des frappes pakistanaises en Afghanistan, au lendemain d'un attentat-suicide contre le QG des forces de sécurité pakistanaises dans une province frontalière.

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En achetant des chasseurs chinois, l’Indonésie replace l’Asie au cœur des enjeux stratégiques mondiaux

En commandant 42 avions de chasse chinois pour son armée de l’air, l’Indonésie diversifie ses ressources en armement et affirme une nouvelle autonomie stratégique. Elle consacre aussi le rôle régional de la Chine, se réjouit ce spécialiste indonésien en géopolitique.

© Dessin de Tiounine paru dans Kommersant, Moscou.

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“Hemeti”, chef de guerre cynique prêt à tout pour asseoir son pouvoir au Soudan

Depuis plus de deux ans, le Soudan est plongé dans un conflit meurtrier entre généraux rivaux. À la tête des paramilitaires des Forces de soutien rapide (FSR), Mohamed Hamdane Daglo, dit “Hemeti”, a pris le contrôle de la partie ouest du pays. L’hebdomadaire britannique “The Economist” brosse le portrait d’un homme au pragmatisme froid qui a su nouer des alliances de circonstance au service de sa propre ascension.

© PHOTO ASHRAF SHAZLY/AFP

Le chef des Forces de soutien rapide (FSR), Mohamed Hamdane Daglo dit “Hemeti”, ici photographié à Khartoum le 5 décembre 2022, quelques mois avant l’éclatement du conflit soudanais.
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Guerre en Ukraine : le soulagement et les doutes des Européens et de Kiev après le remodelage en profondeur du plan Trump

Les négociations de Genève ont permis de retirer du projet américain les points les plus problématiques pour les pays de l’UE et l’Ukraine. Mais l’épisode a un goût de déjà-vu après le sommet Trump-Poutine d’août. Et il a mis en exergue les divisions européennes.

© Thibault Camus / AP

Le chancelier allemand Friedrich Merz au sommet des dirigeants du G20 à Johannesburg, en Afrique du Sud, le samedi 22 novembre 2025.
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A Lomé, au Togo, la marine militaire russe a désormais un accès privilégié au port

Un nouvel accord bilatéral entre la Russie et le Togo, ratifié le 25 octobre, prévoit la formation de l’armée togolaise par le ministère russe de la défense, le partage de renseignements et la tenue d’exercices militaires conjoints.

© Ramil Sitdikov /VIA AP

Le président russe Vladimir Poutine et le président du conseil des ministres togolais Faure Gnassingbé, lors de leur rencontre au Kremlin, à Moscou, le 19 novembre 2025.
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Plan Trump sur l’Ukraine : « Pour l’Europe c’est l’heure de vérité : elle doit dire non »

Cinq auteurs, dont l’historien Sylvain Kahn et la géographe Béatrice Giblin, réfutent le constat sur lequel repose le « plan de paix » proposé par Donald Trump pour mettre un terme à la guerre sur le sol ukrainien et expliquent, dans une tribune au « Monde », qu’il s’agit d’un « moment de vérité » pour l’Europe.

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Donald Trump poursuit sa stratégie de vindicte judiciaire contre ses adversaires, malgré un lourd revers face à James Comey et Letitia James

Les inculpations de l’ancien patron du FBI et de la procureure de New York ont été annulées, lundi 24 novembre, pour vice de procédure. Mais des poursuites pour « trahison » menacent Mark Kelly, sénateur démocrate de l’Arizona, qui avait appelé les militaires à ne pas suivre d’éventuels ordres illégaux.

© BRENDAN SMIALOWSKI, TIMOTHY A. CLARY / AFP

Un montage photo, montre l’ancien directeur du FBI, James Comey, au Capitole à Washington, le 8 juin 2017, et la procureure générale de New York, Letitia James, à New York, le 16 février 2024.
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Plan américain pour l’Ukraine : « La Russie utilise la diplomatie comme une arme de guerre »

Le chercheur et journaliste Peter Pomerantsev, spécialiste de la propagande russe, décrypte, dans un entretien au « Monde », le « plan de paix » de Donald Trump.

© Gavriil Grigorov / AP

Le président russe Vladimir Poutine préside une réunion du Conseil de sécurité par vidéoconférence depuis le Kremlin à Moscou, en Russie, le 21 novembre 2025.
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EN DIRECT, guerre en Ukraine : le bilan de l’attaque ukrainienne dans la région russe de Rostov monte à trois morts, selon le gouverneur régional

Le ministère de l’énergie ukrainien a lui fait état d’une « attaque massive » russe contre les infrastructures énergétiques du pays pendant la nuit.

© Efrem Lukatsky/AP

Les pompiers s’efforcent d’éteindre un incendie après une attaque de drone russe contre un immeuble, à Kiev, le 25 novembre 2025.
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Kirill Dmitriev, l’homme lige de Vladimir Poutine au cœur du plan Trump pour l’Ukraine

Le banquier s’est imposé comme l’intermédiaire entre le Kremlin et la Maison Blanche, rédigeant avec l’envoyé spécial du président américain, Steve Witkoff, lui aussi venu du monde des affaires, un projet d’accord de paix très favorable à Moscou.

© Contributor / Getty Images

Kirill Dmitriev lors d’une réunion bilatérale au sommet de l’Organisation de coopération de Shanghai, le 1er septembre 2025 à Tianjin, en Chine.
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Donald Trump va-t-il provoquer une guerre au Venezuela ?

Depuis cet été, les Etats-Unis déploient une force navale impressionnante au large du Venezuela, officiellement pour lutter contre le narcotrafic. Mais que cache la stratégie de Donald Trump ? Réponses en podcast avec Marie Delcas, correspondante régionale du « Monde ».

© Jonathan KLEIN / AFP

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Au procès de Lafarge, la question centrale du dossier : les anciens dirigeants du groupe avaient-ils conscience de financer des organisations terroristes ?

Le tribunal a ouvert, lundi, le chapitre des groupes armés auxquels le cimentier a versé des pots-de-vin pour maintenir son activité en Syrie. Certains prévenus ont admis qu’ils savaient qu’un de ces groupes, au moins, était classé comme « terroriste » à l’époque des faits.

© DIMITAR DILKOFF/AFP

L’ancien directeur général adjoint des opérations de Lafarge chargé de la Syrie, Christian Herrault, et son avocate Solange Doumic, au tribunal de Paris, le 4 novembre 2025.
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50 000 femmes et filles tuées par un proche dans le monde en 2024, dénonce l’ONU

Le domicile reste le lieu le plus dangereux pour les femmes, avec 60 % des féminicides commis par un proche selon le dernier rapport d’ONU Femmes.

© BERTRAND GUAY/AFP

Lors d’une manifestation organisée par le collectif français Nous Toutes contre les violences faites aux femmes, place de la République, à Paris, le 22 novembre 2025.
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Tunisie : deux humanitaires condamnés mais libérés après un procès inédit sur l’aide aux migrants, non-lieu pour trois autres

A l’audience, Mustapha Djemali, 81 ans, ancien haut cadre de l’ONU, a défendu avec émotion son action, soulignant que son association s’occupait « de demandeurs d’asile, sans aucun lien avec l’immigration clandestine » et qu’il œuvrait « dans l’humanitaire depuis plus de quarante ans ».

© Amnesty International

Un portrait de Mustapha Djemali diffusé par Amnesty International.
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Féminicides en Turquie: les ONG dénoncent l’augmentation de «morts suspectes» et l'inaction de la justice

En cette journée internationale pour l'élimination des violences faites aux femmes, les ONG féministes en Turquie alertent sur la hausse inquiétante du nombre de « morts suspectes » en Turquie. Des décès de femmes dont les circonstances ne permettent pas d'exclure la possibilité d'un meurtre. Leur nombre a plus que doublé en cinq ans. Les ONG y voient un symbole de l'échec des autorités à lutter contre ces violences.

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Donald Trump enclenche le processus de désignation de certaines branches des Frères musulmans comme « organisations terroristes étrangères »

La Maison Blanche note que les branches des Frères musulmans « au Liban, en Jordanie et en Egypte commettent ou encouragent et soutiennent des campagnes de violence et de déstabilisation qui nuisent à leurs propres régions, à des citoyens américains ou à des intérêts américains ».

© KHALIL MAZRAAWI/AFP

Des manifestants avec des drapeaux des Frères musulmans, lors d’un rassemblement de soutien aux Palestiniens, au lendemain d’un raid israélien meurtrier dans le camp de Jénine. A Amman, le 27 janvier 2023.
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